Apparence & Style: Sirivanh n’est pas une accroc au shopping. Elle peut vivre facilement pendant des mois sans avoir mis les pieds dans un magasin de vêtements. Pour décrire son style, il est assez simple. Un simple jean et un t-shirt lui suffisent amplement la plus part du temps. Elle ne fait pas de son « look » vestimentaire sa priorité dans la vie. En restant un minimum correct tout de même. Elle n’a que deux paires de chaussures. Des converses noires un peu usées et une paire de doc martens.
Un jean déchiré, des t-shirts AC/DC ou encore Iron Maiden (par exemple), remplissent son placard. Elle adore porter ce style de t-shirt, pour se donner un style assez rock and roll, tout en restant cool. Cela dépend de son humeur en fait. Physiquement, elle mesure 1m70 pour 55 kilos. Elle a la peau mâte, avec de longs cheveux bruns mi-raides/mi-ondulés qui longent son dos.


Caractère: Sirivanh est d’une nature assez complexe. Elle est très lunatique. Un jour elle peut être heureuse et le lendemain être triste, voir haïr tout le monde. Parfois elle arrive à se contenir, mais d’autres fois sa colère a du mal à rester en place. Elle a facilement deux facettes. Elle peut être à la fois, la fille la plus studieuse au monde et deux jours plus tard, une petite fêtarde. Elle a énormément de mal à voir ses limites. Elle a des moments assez philosophiques ou encore des moments de bêtises. Elle est en général de bon conseils et adore écouter les personnes. Elle trouve les êtres humains intéressants, même si parfois ils n’ont aucune logique à ces yeux. Pour elle, la vie est absurde, dépourvue de sens. Elle se pose énormément de questions sur cette dernière. Concernant l’amour, elle est très timide. Quand un homme/femme lui plaît, elle a du mal à prendre les devants. Elle a plutôt tendance à le/la taquiner, sans chercher à lui faire comprendre qu’elle est intéressée, même si au fond d’elle, elle espère qu’il/elle comprendra son message codé. Elle dit à tout le monde que l’amour ne sert à rien. Elle se fabrique une sorte de carapace, alors qu’elle n’attend qu’une chose, être avec la bonne personne. Sa fierté l’empêche certainement de se permettre d’être aussi niaise que certains couples qu’elle a pu connaître dans un passé proche, ou encore, elle veut cacher ces sentiments juste en ayant peur d’être rejetée. La peur de souffrir.

Née d’un père américain et d’une mère laotienne à Huayxay au Laos le 29 septembre 1989, Sirivanh est plutôt d’une nature lunatique. Elle a passé les six premiers mois de sa vie au Laos, au près de sa famille maternelle. Son père journaliste a ensuite été muté à Auburn Hills dans le Michigan.
Elle est fille unique et se croit différente de toutes les personnes de son âge. Depuis l'âge de 5 ans, elle joue du piano. Elle adore sa mélodie, le son qui ressort de cette huitième merveille du monde. Elle peut en jouer des heures entières en continue. Généralement, elle en joue la nuit, lors de ses insomnies et dés qu'elle a du temps devant elle la journée. A côté de cela, elle adore écrire, mais ce n'est pas son point fort. Pourtant elle aimerait écrire de sublimes poèmes ou chansons. Avec de la détermination, elle y arrivera peut-être.
A l’âge de 12 ans, elle a découvert qu’elle était bisexuelle. Elle n’a pas eu de mal à assumer sa sexualité, ces parents ont été très compréhensifs. Elle se dit plus attirer sexuellement par les garçons que par les filles, or à ce jour, elle a eu plus de conquêtes féminines que masculines.
D’une nature assez solitaire, depuis toute petite elle n’a eu que très peu d’amis. Elle en changeait constamment. Pour elle, les relations ne sont qu’éphémères.
Elle adore étudier les êtres humains. Elle trouve leur mentalité intéressante. Intéressante certes, mais cela ne veut pas dire qu’elle adore ce qu’elle découvre. Elle en trouve certains illogiques, inutiles ou encore ennuyeux à mourir. Mais cela ne l’empêche guère de les « étudier » ou encore essayer de les comprendre.
Sirivanh a obtenu son diplôme de fin d’étude lycéenne en 2007. Elle a ensuite déménagé à New-York pour entreprendre des études de psychologie, au Marymount Manhattan College (MMC). Cette année, ce sera sa dernière et elle espère obtenir son diplôme pour ensuite entrer dans la vie active, même si au fond, cela ne l’excite pas tant que ça. Elle habite dans les environs de son université, toute seule. La vie en colocation n’est pas trop faite pour elle.
Si vous voulez connaître plus en détail sa vie et essayer de la cerner, il ne vous manque plus qu’une chose à faire. Venir lui parler et voir ce qu’elle vous réserve.