Sujet: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée] Sam 2 Juil - 4:02
Icône
Age: Date de naissance: Lieu de naissance: Métier/Etude:
J'appartiens au groupe des Beauty Queens
Personnage:Poste VacantScénarioInventé
" La vie est une fleur. l'amour en est le miel." de Victor Hugo
Signe(s) Particulier(s)
Herendiera a un petit aigle sur le poignet. En dessous, il ya marqué cette phrase « Paloma y Águila amantes par siempre ».
Orientation Sexuelle
De par ses croyances, Herendiera est fortement hétérosexuel. Toutefois, cela ne veut pas dire qu’il a quelque chose contre les homosexuels, puisqu’elle est très libre d’esprit. Selon elle, tout le monde est libre maître de son existence.
Herendiera Elinathan Martín-Xerès
Physique & Caractère
Apparence & Style:Herendiera fait cinq pieds dix pouces et pèse un poids équivalent à celui d’une top-modèle soit 54 kg. Elle l’a d’ailleurs été pendant environ un an. Seulement, elle travaille afin de reprendre cinq à six kilogrammes supplémentaires pour donner à sa silhouette une forme moins frêle et plus athlétique. Ses cheveux sont brun et les yeux noisettes contrastant avec son teint de pêche. Son visage ovale et anguleux est semblable à celui d’une poupée. Son nez retroussé et sa bouche bien dessinée agrémentée de lèvres pulpeuses souvent couvert de rouge à lèvres écarlate. Sinon elle se mout avec rapidité et agilité sur ses jambes interminables et fines tel une ballerine. Son débit de voix est assez irrégulier, entre vitesse et lenteur, ne prenant pas toujours le temps d’articuler, ce qui ne facilite pas la compréhension de son interlocuteur, puisqu’en plus, elle possède un accent marqué voguant entre l’exotisme de l’espagnol et du portugais, ses deux langues maternelles. Côté style, Hendi vacille entre séduction, élégance et liberté. Les grandes marques, le moulant, le coloré et le court sans exagération, les tissus fins et légers, le raffiné, les looks plus rudimentaires comme les fameuses vestes de cuir assorties aux jeans délavés et troués, le vintage, le look à la française, 70’S ou bohème et romantique; Des escarpins Jimmy Choo ou Louboutin aux Pumas , du sac à main Fendi à la lingerie française, de la petite robe Chanel aux espadrilles E.D Hardy et chemise 70’s à carreaux de H&M avec des bottillons de cuir ,elle alterne entre plusieurs looks qui s’agencent ou qui s’opposent selon les cas.
Caractère:Herendiera, épicurienne de la vie et noctambule, elle vit toujours dans le feu de l’action et ne se reposant pour ainsi dire jamais. Sportive et énergique, cette dernière ne peut à tenir en place très longtemps. Aussi, elle aime socialiser et débattre de différents sujets avec les autres, tout en ne pouvant s’empêcher d’en placer une. Une vraie pie celle-là! Pas le temps de réfléchir, et la voilà déjà parti pour une nouvelle aventure! Si elle motivée, il peut lui arriver de réaliser de très grandes choses. Toutefois cela dépend des jours! Seulement, une fois partie, elle fonce tête baissée, sans voir les obstacles devant elle, qu’elle considère d’ailleurs comme de simples gênes, faciles à écarter. C’est aussi une féroce compétitrice qui ne s’avoue que rarement vaincue. De ce fait, c’est une charmeuse hors-pair et une femme très persuasive, grâce à son énorme charme. D’un côté cela est bien, mais de l’autre on pourrait considérer son empressement et sa témérité comme du suicide. Son trop plein assurance et sa spontanéité sont sûrement la cause de toute cette fougue. Son caractère cyclothymique et imprévisible n’est pas de tout repos. On ne sait donc jamais à quoi s’attendre avec lui. Aussi, elle peut se montrer de temps à autre un peu égocentrique et en même temps narcissique, mais cela ne l’empêche pourtant pas de se montrer très généreuse, envers ses proches. De plus, sa dignité et sa loyauté envers ses proches sont sans faille. Avec eux, ce dernier se montre franche, très protectrice, attachante et drôle; Quant à l’élu de son cœur, avec lui elle est créative, ludique et lubrique ainsi que gourmande, quoique infiniment impulsive et jalouse, mais également un peu volage! Rebelle dans l’âme et ennemie jurée de toute contrainte, le respect et le savoir-vivre sont deux des rares règles auxquelles elle se plie. Et laissez-moi vous dire qu’elle ne plie pas souvent! En plus de ne pas se laisser faire et de toujours vouloir mener, elle n’en fait qu’à sa tête et cherche souvent la bagarre. On peut aussi lui reprocher son trop grand attrait pour l’inconnu, ce qui l’a souvent amené dans des situations qu’elle aurait pu et voulu éviter ou encore sa trop grande fierté ainsi que son orgueil qui la rende parfois déroutante. C’est en même temps une jeune demoiselle très indépendante et qui tient comme fer à sa liberté. Sinon, c’est une jeune femme efficace qui possède un bon sens critique et étant apte à gérer. Finalement, Hendi’ sais bien s’adapter au changement; elle a d’ailleurs besoin de beaucoup besoin d’action et de mobilité combiné à une certaine nervosité ainsi qu’une forte impatience qu’elle compense par de nombreuses expéditions et voyages à travers le monde.
L'histoire
C’est un deux avril pluvieux, vingt-quatre ans plus tôt que je vins au monde, à Mar Del Plata, une ville portuaire en Argentine d'environ 448 000 habitants .Les croyances populaires veulent que la pluie soit une bénédiction quoiqu’à mes yeux, cela est plus un signe de mauvais présage. Aujourd’hui en y repensant, je me dis que j’avais sûrement raison… La vie ne m’a pas fait beaucoup de cadeaux. Je suis d’origine brésilienne et argentine. Mes parents Francisco Xerès et Maya Rósea Martín étaient jeunes quand ils m’ont eu. Je fus pour eux une joie de plus dans leur vie, en tant que deuxième enfant. En effet, je suis née quatre ans après mon frère aîné Henrique. Ils n’étaient pas mariés à ma naissance, car j’étais arrivé de façon inattendue alors qu’ils y songeaient. Ils reportèrent alors l’évènement à deux plus tard. Ma famille n’était pas riche, mais nous vivions quand même bien. Mon père était un talentueux cuisinier et restaurateur venu de Rio, émancipée de sa famille immédiate avec qui il n’avait plus de contact depuis longtemps. Ma mère était, elle une étudiante élite à l'académie de danse argentine, orpheline depuis la naissance.
Mon enfance fut un peu mouvementée, mais très agréable. Pour mes parents, ce fut …un enfer! Dès l'âge de trois ans, je devins l’ombre de mon frère Henrique, le suivant à la trace; nous nous ne quittions presque jamais; C'était mon idole. Il s'y était habitué, et avec le temps je finis par devenir sa protégée. Puis comme on s'entendait bien, traîner ensemble ne fut pas un problème. Enfants, nous faisions les quatre-cent coups ensemble; Henrique et moi étions toujours de mèche, pour le grand damne de mes parents. Aussi, nous avions presque les mêmes copains. Je ne traînais pas vraiment avec les filles, ni les enfants de mon âge; je n’aimais pas les filles et leurs manières, les ragots et le sabotage, préférant mille fois les garçons, leur fraternité, leur franchise, leur simplicité, voire leur grossièreté et leur violence. En effet, j'étais un vrai garçon manqué, téméraire comme personne et déterminée ainsi que batailleuse; puis, j'étais très spontanée, voire fofolle ainsi que très bavarde. Une vraie boule de feu quoi! En moi, je possédais déjà de nombres aptitudes masculines ainsi qu'une grande habilité à imiter la rudesse propre aux hommes que j’admirai, tout en étant doté au fond d’une grande finesse et d’une certaine élégance. De ce fait, j’étais doté de ce charme ravageur que j’utilisais à mon avantage et sans le savoir depuis très jeune afin d’obtenir les bonnes grâces des adultes en particulier. Sinon, il m'arrivait de m'ennuyer de ma mère quand elle partait en stage de danse ou en tournée pour des semaines ou encore des mois. Heureusement, mon père savait comment s'y prendre pour nous le faire oublier en nous divertissant. Puis je n'avais pas de problèmes avec le changement. Dès mon jeune âge, je su bien m'adapter aux nouveautés. D'ailleurs, lorsque nous quittâmes l'Argentine pour New York, lorsque j'eus sept ans, malgré mon grand attachement pour mon pays, je vis ce départ comme le début d'une nouvelle aventure. Quel changement ce fut pour nous tous! D'abord nos moyens diminués par le coût de la vie nous amenèrent à emménager dans le quartier de Bronx. Et pourtant nous n'étions pas pauvres en Argentine. Mes parents furent tellement déçus que si leur travail ne les avait pas satisfaits, nous aurions sûrement pliés bagages. En tout cas, même s'il s'inquiétait de l'influence qu’aurait le Bronx sur nous-puisque nous étions deux vrais petits monstres- ils savaient qu'avec Henrique, je serais malgré tout toujours en sécurité. Ils ne s’objectèrent donc pas à l’idée que je fréquente les mêmes amis qu’Henrique. En effet, dès notre arrivée il s’était rapidement créé un clan. De mon côté, tout aussi sociable que lui, je m’étais étonnement fait des amies et de plus, beaucoup plus vieille que moi; trois filles du quartier, qui restèrent mes trois meilleures amies à vie. Portia, Cindy et Megan, âgées de neuf, dix et onze ans. Je présentai ensuite ces dernières à la bande d’Henrique, puis comme le courant passait bien, nous restâmes tousensemble. Deux ans après, Henrique nous amena un nouveau dans la bande. Il s’appelait Antonio Scarcelli. C’était un vrai gentilhomme, si on outrepassait son côté indocile, d’une beauté éblouissant avec ses airs de James Dean. Malgré tout cet adage masculin, je ne pus résister devant cet apollon. Je tombai alors éperdument amoureuse de ce « Robin de Bronx », comme je le surnommais affectueusement. Cependant, il garda ses distances avec moi, ne comprenant pas ce qu’un bébé comme moi faisait dans leur groupe. Seulement, après plusieurs discussions, le malaise passa et il devint mon meilleur ami. Nous étions alors neuf, soit quatre filles et cinq garçons; neuf libertins qui profitaient de leur enfance au maximum, de la bonne comme de la mauvaise façon.
Nous étions soudés par ce même envie de vivre en marge des autres, jusqu’à ce que Toni déménage à Manhattan, après que sa famille ai gagné à la loterie, trois ans plus tard. C’est à partir de là que tout se mis à déraper. Ses parents se mirent à snober mes parents. D'ailleurs, les choses n'étaient plus pareilles entre eux depuis que mon père avait fermé son resto l’année précédente à cause de la crise économique de 2001. Toni avait aussi changé d’école, ce qui fit qu’on le vit tous de moins en moins, pour finalement ne plus le revoir du tout. Et pourtant, il nous avait promis tant de choses, surtout à moi; de téléphoner, de venir me voir…etc. Je ne pu encaisser le coup, et très vite, je décidai de le retrouver et de le ramener, ce que je réussi à faire; je l’ai retrouvé puis engueulé; Il s’est ressaisi, il a compris combien nous avions tous besoin de lui et il est revenu vers nous, sans le dire à ses parents. Il a ensuite renoué avec la bande, et depuis, il eut une dette envers moi, car sans moi, je crois que le groupe serait mort. Tout s’arrangea, mais dès lors, notre amitié devint un interdit.
L’adolescence fut une période affreuse pour moi. Sinon, je ne changeai pas, étant toujours voire plus turbulente même et très indépendante. Seulement, je m’étais démarquée de mon ancienne moi en acceptant enfin ma part de féminité cachée. D’une part, j’eus un peu de mal à accepter ma très grande taille, mes jambes interminables ou encore mon absence de poitrine. Heureusement, Toni me rassura en disant qu’il trouvait ces particularités physiques plutôt attirantes! D’autre part, je n’ai jamais d’acné. J’avais sinon les mêmes envies, les mêmes craintes et les mêmes désirs que les autres, le besoin de relations, de me découvrir, de découvrir et d'être soutenue surtout. Je fréquentais un bon Collège et j’étais une bonne élève, et ce malgré mes nombreux écarts de conduites. Autant intello que sportive, mes lieux de prédilections à l’école était le terrain de soccer ou encore la bibliothèque. Je lisais beaucoup, autant des romans de suspense que des études psychologique, domaine qui me passionnait depuis. Et pourtant, je ne savais pas ce que je voulais faire plus tard. Il y avait trop d’options. J’étais plutôt populaire, reconnue pour mes bottées gagnant dans l’équipe de soccer du Collège puis du lycée, ma personnalité de feu et ma frivolité amoureuse. Pourtant, je trainais encore beaucoup avec les garçons et peu avec les filles, évidemment tous plus vieux que moi.
À treize ans, le décès de mes parents dans un accident d’auto, me laissa quasiment orpheline. Il ne me resta alors que mon frère pour m’élever. Si la bande n’avait pas été là, seul, il se serait effondré à cause de la drogue, qu’il consommait depuis un an déjà. Cependant, avec leur aide, Henrique réussit plus ou moins à assumer la chose. En effet, le groupe nous fût d’un très grand soutien. Ce fut difficile au début, mais tout finit par s’arranger. Quand nous n’eûmes plus de toit pour vivre, les parents de Megan nous hébergèrent. Pendant ce temps, le père de Portia, un dealer ou membre de la Cosa Nostra selon les rumeurs, nous trouva un petit appart; Il n’était pas grand, mais propre, beau et tout meublé. Quand Henrique se chercha un boulot bien rémunéré à la place de commencer la fac, le père de Portia le prit sous son aile. Je détestais cette idée, lui voyait le côté pratique de la chose. Pourtant, le pire pour moi ce fut de voir Toni mentir à ses parents pour leur emprunter de l’argent ou de pirater le câble de nos voisins avec l’aide de Peter. Quant au reste du groupe, je ne veux même pas en parler! Tous s’arrangeaient pour nous aider, ce que je dus supporter, pour le bien de mon frère. Si cela n’avait pas été pour lui, j’aurais refusé leur aide, orgueilleuse comme je suis. Heureusement, je ne fis pas cette erreur, après le décès de mon frère, abattu par la police, lors d’une descente chez un de ses amis de Harlem pour une histoire de deal; j’avais seize ans. Je n’y croyais pas. Nous avions réussi à nous rebâtir un semblant de vie stable et puis, Henrique avait l’air heureux. Ce n’était que les apparences évidemment! J’étais si naïve à l’époque, trop pour voir que mon frère suffoquait en silence. Toni, qui s’était séparé du groupe quelques temps après être revenu, savait dans quel état il était; ses parents avaient découvert la vérité. En tout cas… La mort d’Henrique est arrivée si soudainement. Nous étions censés partir en voyage pour l’été à South Beach quelques jours après, comme nous le faisions depuis deux ans déjà. À la place de finaliser les préparatifs pour le voyage, nous dûmes entamer les procédures pour l’enterrement d’Henrique.
Après sa mort, je fus perdue; je ne savais pas quoi faire, tout comme les autres. Les têtes fortes du groupe, Toni et Henrique, nous les avions perdus. Nous dûmes alors faire au mieux sans eux. Je sus toutefois une chose : j’allais devoir me débrouiller quasiment toute seule. Je savais bien qu’avec les coûts des études universitaires, financièrement la bande ne pouvait me venir en aide. Je me mis donc à chercher un emploi dont le salaire me permis de payer le lycée et le reste, en vain. Après les funérailles, j’emménageai chez les parents de Portia, à regret. Chez eux, il se passait pleins de trucs suspects ayant rapport avec la Mafia; je voulais me trouver un petit appart à moi et déguerpir en vitesse. Seulement je n’avais presque plus d’argent ainsi qu’aucun bon emploi assez payant pour que je puis habiter un appartement dans un quartier plus tranquille. Je passais quatre mois chez eux. Puis je me trouvai un emploi de mannequin; je n’avais plus rien à perdre. Cet emploi était bien payant, mais pour le conserver, je dus faire un paquet de sacrifices. En effet, malgré les protestations de mes amis, j’abandonnais mes études après la fin du Sophomore year. Aussi, je du me mettre à m’entraîner pour garder la ligne, manger moins, rester éveiller à jusqu’à plus d’heure et « dealer » avec une armée d’autres amazones comme moi se piétinant les pieds entre elle pour gravir les échelons. Évidemment, ma personnalité ne fut complémentaire à pratiquement aucune des leurs. En effet dans cette jungle qu’est le monde de la mode, je n’eus presque pas d’alliées. Par contre j’avais quasiment toute la gente masculine à mes pieds, pour le déplaisir de plusieurs; photographes, assistants, couturiers parfois même et j’en passe. S’ils ne tombaient pas sous mon charme, c’était sûrement du mon caractère.
Avec ce nouveau job, je vivais confortablement, mais je m’ennuyais de mes amis, et vice-versa. Je ne les voyais que très rarement, ce qui m’effrayait. Ne voulant pas leur faire le même coup que Toni, j’improvisais des sorties avec eux dès que j’avais une seconde de libre. Ce fut difficile à cause de nos horaires, mais nous sûmes passer au travers avec le temps. Parfois, je m’ennuyais aussi de ma vie d’avant que je jugeais plus facile, du lycée, etc. Pas étonnant que je me sentis nostalgique; j’étais devenue adulte avant le temps. Les mois passèrent, puis un soir, vers le début mai, alors que je me rendais chez moi, je tombais sur Antonio; en réalité, il m’attendait devant la porte de mon appart. Évidemment émue, car malgré la colère, j’étais toujours amoureuse de lui, je me montrai désagréable avec lui, cherchant à le faire fuir; Il n’avait aucune envie de partir, je le voyais bien dans ses yeux. Il chercha à entamer la conversation avec moi, et rapidement je me laissai aller. À la fin, je me retrouvais dans ses bras, pleurant, me confiant à lui, comme sa confidente d’autrefois. Il sût par moi que j’avais lâché le lycée pour devenir mannequin, ce qui le mit en colère. Comprenant alors que j’étais pratiquement laissé à moi-même, il m’offrit –ou plutôt il me força-à devenir sa protégée. Je refusais, puis quand il invoqua cette dette qu’il avait envers moi, j’acceptais. Toutefois, je m’inquiétai de ce que sa famille allait dire, mais je fus rassurer d’apprendre qu’à part l’aide qu’il apportait à ses parents dans leur pâtisserie, il s’était complètement affranchi d’eux, surtout financièrement. Il possédait d’ailleurs son appart à lui, une petite fortune personnelle et une voiture luxueuse, tous des termes d’une entente convenu entre ses parents et lui. Du jour au lendemain, je laissais tomber mon emploi, puis quittais mon appartement, etc. J’ignorais comment j’en étais arrivé là, mais d’ici Thanksgiving, j’emménageai avec Toni. Tout avait passé si vite entre nous. Je m’étais attaché plus que voulue à lui, délaissant mes amis, qui se doutait que j’avais quelque chose à cacher. Je gardai le silence, jusqu’en septembre, où je leur avouai que j’avais repris mes études. Je leur mentis toutefois, en prétextant avoir beaucoup travaillé pour payer le loyer de mon nouvel appart. Quant à Toni, je me méfiais autant que je le pouvais de ces bonnes intentions. Toutefois, Toni n’étais pas aussi perverti que je le pensais. Au contraire, je cru par des manifestations plus qu’évidentes qu’il était amoureux de moi.Tout devint finalement clair, le jour du nouvel an lorsqu’il m’embrassa. Le temps que la St-Valentin arrive, nous sortions ensemble.
Évidemment, ceci était un secret bien gardé entre nous, mais je voulais aussi le partager avec quelqu’un d’autre, hors de notre couple, avec qui je pourrais me confier totalement, à qui je pourrais dire que mon rêve le plus fou venait de se réaliser : devenir la copine d’Antonio Scarcelli. J’attendis un peu, puis voyant que je pouvais faire confiance à Megan, je lui racontais tout, du comment Toni avait réapparu dans ma vie à ce couple que nous formions maintenant. Elle fut moitié choqué moitié folle de joie; Elle en voulait un peu à Toni sa trahison, mais en même temps Megan était contente pour moi, car depuis toujours elle avait compris ce qu’Antonio représentait pour moi. Malheureusement, elle ne put garder le secret, qui fut révélé un mois après ; Cela amena un grand conflit entre nous tous. Ce conflit prit trois mois à se régler, soit jusqu’en juillet. Après cela, les choses ne redevinrent pas intactes, mais au moins tout le monde était à nouveau réuni. Quant à mon couple, notre relation devint plus épanouie encore. Nous nous complétions bien, malgré nos grandes différences, puis nous aimions toujours plus, et, ce malgré les nombreuses disputes que nous traversions. Il était toujours là pour moi, puis moi, j’apportais toujours un peu de folie dans son quotidien, tout en essayant de l’encourager à continuer de ses études universitaires et à abandonner son ancienne vie de débauché tout en l’aidant à arrêter de fumer. En septembre, à ma grande surprise, Toni reprit le chemin de la fac pour continuer ses études en architecture à Fordham. Moi pendant ce temps, j’entamais le Senior Year avec la crainte que le quotidien dans lequel nous nous installions ruine notre couple. Peut-être que le fait de savoir qu’il aurait moins de temps à me consacrer à cause de la fac me faisait peur. J’eu en partie raison. Moi entre les amis du lycée, la vieille bande du Bronx et les études, je fus moins disponible. Quant à lui, ce fut pire. Pourtant moi, je ne lui en voulu pas trop. Toni lui jugea que je faisais passer mes amis avant lui, car je passais une bonne partie de mon temps avec eux. Le pire fut quand il me soupçonna d’avoir une aventure avec un de mes amis. Je ne compris pas vraiment ce qui le prenait d’être aussi possessif et jaloux. Je ne l’avais jamais imaginé ainsi. Peut-être un peu protecteur, sans plus. Bien sûr, je ne le pris pas vraiment au sérieux. Je me disais que notre distance le rendait anxieux, rien de plus. Alors, je me contentais que de le rassurer un peu en passant quelques soirées en tête avec lui, mais sinon après je continuais à sortir comme avant. De toute façon, j’en avais besoin. Il le savait d’ailleurs depuis toujours que j’étais une fille sociable et très indépendante. Puis j’étais encore une ado, au fond. Et pourtant, il prit mon attitude comme du désintéressement. Il se fit alors plus réservé, boudeur et froid; aussi, un rien l’énervait. Je n’y comprenant rien, alors je répondis avec exaspération à ses crises, puis avec énervement. Les disputes se fit de plus en plus nombreuses au fil des mois, au point où le soir quand je sortais, je ne rentrais que pour me changer et prendre une douche le lendemain. Lui aussi le faisait donc je m’e foutais.
Souvent absente, je ne remarquai pas qu’il buvait plus souvent qu’à son habitude. Ses colères étaient alors explosives. J’eus même droit à des scènes en public. Je commençai vraiment à remettre en question notre couple, tout en étant écœuré de son attitude. Je décidai au fond de moi-même de lui donner une dernière chance de se rattraper, soit en m’accompagnant à mon bal de promo. S’il me décevait encore, non seulement j’allais le quitter, mais en plus je profiterais des vacances pour partir en voyage. Voyez-vous, je le lui ai clairement dit qu’il y avait un bal, détail qu’il savait déjà depuis longtemps. Et pourtant, cela ne l’a pas empêché de briller par son absence cette soirée-là. Étant complètent humiliée et déçue, je rentrais pour l’affronter. C’est là que je reçu la plus grosse gifle de ma vie, lorsque je le surpris en plein acte avec une pétasse… brune! J’en profitai évidemment pour me défouler sur cette poufiasse, puis ensuite sur lui. La chambre ressemblait à un vrai champ de bataille lorsque je partis. Comme prévue, je partis pendant tout l’été dans les Caraïbes. Je fis la fête durant toutes les vacances, jusqu’à m’en donner mal à la tête et au foie tellement je bus pour oublier. Je reçu plusieurs appels de mes amis, dont ceux du Bronx qui s’inquiétait à mort pour moi depuis que Toni leur avait parlé de notre dispute. Puis Antonio m’appela quelques fois, mais jamais je ne répondis .Par contre je répondis à ses nombreux texto, où je lui parlais de cet amant imaginaire que je m’étais trouvé dans les Caraïbes, de combien je m’amusais, etc. Je continuais à le torturer ainsi presque tout l’été, jusqu’à ce qu’un jour, je ne reçoive plus de texto d’Antonio. Je passais alors des jours à m’inquiéter. Mon sixième sens me disait qu’il était arrivé quelque chose à Antonio. J’en reçu la confirmation par téléphone, quand Cindy m’appela pour me dire qu’il avait eu un accident d’auto et qu’on l’avait hospitalisé. Je paniquai, imaginant le pire, songeant à mes parents qui avaient péri ainsi. Je partis alors, prenant le premier vol que je trouvai.
À l’hôpital, je trouvai Antonio dans un sale état, mais ce qui m’importait le plus était qu’il soit sain et sauf. Je ne l’ennuyais pas au début, me contentant de sa présence, mais très vite, je lui demandais des explications sur l’accident. Il m’avoua qu’il avait bu comme un trou le soir de l’accident et qu’en rentrant il roulait tellement vite qu’il a fait un virage trop sec et a frappé une autre voiture. Il ravala ensuite sa fierté lorsqu’il me confessa qu’il s’était saoulé afin de m’oublier, ce dont je me doutais. Après cet incident, je ne retournais pas habiter avec lui pendant un moment, mais je lui rendais souvent visite pour prendre soin de lui, le temps qu’il retrouve des forces, l’usage de tous ses membres, etc. On parla une seule fois de notre dispute, de son infidélité et de notre relation durant les derniers mois, puis ce fut tout. Ce fut une occasion pour nous deux de nous défaire de nos ressentiments ainsi que d’enterrer la hache de guerre. Par la suite, les choses allèrent au ralenti. Je commençai mes études en sciences neurologiques et études comportementales à la fac de Columbia que j’adorais tout en intégrant la confrérie des Beauty Queens, pour faire changement. Je voulais faire différent, changer mes habitudes, me rapprocher de ma féminité, des filles donc je n’intégrais pas les Rebels. Aussi, je sortais souvent avec mes nouveaux amis et les anciens aussi, je voyais Toni, etc. Je voyais pourtant que cela ne lui plaisait pas. Il voulait que tout redevienne comme avant, mais j’étais encore sur mes gardes. Pourtant, il ne me brusqua point. Nous finîmes par se remettre ensemble officiellement durant le temps des fêtes, mais jamais plus nous fîmes l’erreur d’habiter ensemble. Je vivais dans mon appart et lui dans le sien. Toutefois nous étions toujours aussi attaché l’un à l’autre, tellement que quelques mois après, pour la Saint-Valentin, nous nous fîmes tatouer ensemble; inspirée par une vieille légende mexicaine racontée par mon père dans ma jeunesse, je me fis tatouer un aigle sur le poignet et Toni une colombe représentant l’autre avec une petite phrase en-dessous. C’était romantique, sexy, rebelle, un peu kitch, mais tellement nous! Cela pourrait paraître un peu idiot, mais ce tatouage nous a beaucoup rapprochés. Même encore aujourd’hui, ce symbole de notre amour finit toujours par nous réunir. Peut-être avions-nous l’impression d’être toujours avec l’autre, partout où nous allions.Qui sait?
Aujourd’hui, j’ai 21ans. La vie n’est pas toujours facile sans la présence de ma famille, mais je me débrouille. En tout cas, j’ai ma vieille bande du Bronx, puis Antoni. Voilà ma famille à présent. Toni et moi sommes toujours fous amoureux, toutefois, je pressens qu’il voudrait passer au niveau supérieur. Je ne sais pas si c’est ce qu’il souhaite vraiment ou si c’est une simple folie passagère, quoiqu’avec Antoni, aucune décision même la plus dingue n’est passagère, mais je ne crois pas que je sois prête à me marier. Je l’aime, je suis sûre qu’il est l’homme qui m’est destiné, mais je ne sais pas si le mariage serait un bon truc pour nous. Je suis trop libre et lui trop peu vertueux; Nous sommes trop libéraux pour suivre les lignes droites du mariage. Sinon j’étudie encore à Columbia pour atteindre mon but d’ouvrir un centre de désintox pour aider les gens comme mon frère par exemple. Quant à ma confrérie, j’ai réussi à m’adapter à cet univers de filles, pas si rose bonbon que je pensais et que j’apprécie en grande partie. Par contre, j’ai du bien entendu régler le compte de plusieurs pouffes afin de m’affirmer et prendre ma place, puis accepter le fait que les autres me collent à tord l’étiquette de poupée riche et gâtée que je ne suis pas au front. Dans le fond, pas grand monde ne sait d’où je sors, d’où vient mon argent, qui j’étais dans le passé, et c’est bien ainsi. Je ne tiens pas à m’attirer la pitié des gens en leur disant que je suis une argentine-brésilienne du Bronx, vrai garçon manquée malgré ses talons hauts, orpheline et pauvre, qui vit de la richesse de son petit copain de Fordham. Le passé est révolu.Seul le présent compte pour moi maintenant.
Behind the computer
Prénom:Mandy Âge : 17 ans Avatar choisi : Behati Prinsloo Comment as-tu connu ce forum ? : Grâce à google Ton avis (design, contexte, ...) : J'adore le design,New York, le contexte,puis l'aide humanitaire pour le japon, ça me touche. Présence sur le forum : 4 jours / 7 Autre(s) compte(s) : Non Exemple de RP :
Spoiler:
C’est un principe. Nulle part il n’est écrit, mais tout le monde le connaît bien. La vie est injuste et ne fait pas de cadeaux. Que tu sois riche ou pauvre, quelque soit ta nationalité, que tu sois innocent ou non. Peu importe. Quand la vie décide de s’acharner sur vous, elle n’y va pas juste à moitié. Elle vous prend tout ce que vous possédez, tout ce auquel vous tenez, elle vous dépouille puis s’en va. Sa meilleure amie, c’est la mort. Elle vous prend, elle vous jette à gauche puis à droite. Elle vous réduira en pièces. Vous n’êtes qu’un petit jouet pour elle. Elle vous rend amère et aigrie, vous laisse vide, mais ce qui fait plus mal, c’est que vous ne vouliez qu’une chose : Être heureux.
Tout le monde veut être heureux, je voulais être heureux. J’étais supposé en tout cas… J’étais pourtant si innocent. Qu’avais-je donc fait pour mériter cela. Je me le demande toujours. Pourtant aujourd’hui je n’y pensais pas vraiment. Je voulais seulement vivre.
Après une journée de cours trépidante, je décidai d’aller prendre un café, puis je passais à la banque pour sortir du liquide afin d’aller magasiner. Je voulais renouveler ma garde-robe, puis en même temps, je tenais à m’offrir cette jolie veste noire « style militaire » aperçu dans une des vitrines de mes magasins favoris et une nouvelle paire de chaussures de cuir italiennes trop belles dont je ne me rappelais pas le nom du magasin. Je me retrouvais alors dans Bayview District à la recherche de nouvelles fringues. Je me promenai à travers les magasins pendants trois longues heures.
Finalement après tout ce flânage, je reçu un texto d’un ami d’une autre confrérie qui m’informa qu’une soirée avait lieu dans sa confrérie, ce qui sonnait comme une invitation. Je lui répondis alors que d’ici quarante-cinq minutes j’y serai. Je rentrais donc au campus pour y déposer mon sac de cours et mes nombreux sacs de vêtements. Je pris simplement une douche et changea de vêtements avant de ressortir aussi vite que j’étais rentré.
Je me rendis ensuite à pieds jusqu’à la résidence, mais au beau milieu de mon chemin, je dus m’arrêter pour respirer un peu. Il fallait avouer qu’une journée de cours et trois heures de shoping pouvait être éreintent. Puis en même temps, mon corps réclamait sa dose régulière de cocaïne. Je l’avais remarqué depuis ma chambre tantôt, lorsque je me préparais J’avais ressenti cette sensation de creu, de vide intérieur, puis mes mains et mon corps s’était mise à trembler, d’abord pendant quelques secondes et faiblement, jusqu’à maintenant, de façon continuelle et sur un intervalle de plusieurs minutes et fortement. Je le savais bien .J’avais voulu faire un effort en me restreignant durant une journée complète, dans l’espoir que d’ici un an, je ne prenne presque plus de drogue. Je voulais arrêter depuis si longtemps déjà, mais je n’en avais pas eu le courage. Je le souhaitais maintenant .Cette journée tombait d’ailleurs parfaitement bien, car je m’étais réveillé de bonne humeur, puis que jusqu’à maintenant, j’avais passé une bonne journée.
Juste une…Juste une ligne pour la forme et c’est tout, me dis-je tout haut en m’arrêtant devant une table à pique nique duquel je me rapprochai. Je sorti ensuite un petit sachet de ma poche arrière de jeans, contenant une petite dose de cocaïne, la dernière qui me restait. Je ne pris même pas la peine de vérifier si personne ne m’observait, faisant glisser ce qui restait, soit une fine ligne de poudre blanche sur la table. Je replaçai ensuite le sachet dans ma poche avant de rapprocher mon nez sur la table, venant alors sniffer la poudre d’un trait. Il ne resta aucun résidu de poudre. Je me nettoyai ensuite le nez avant de reprendre rapidement mon chemin vers la fête, comme si de rien était.
Une fois arrivée, je retrouvais mon ami avec qui je passais une bonne partie de la soirée, même lorsque je tombai sur une ravissante blonde Bêta que je draguais. Elle avait l’air attiré par moi, si bien que je rentrai chez les Gamma avec elle. Évidemment, je couchai avec elle. On aurait dit que j’avais tiré le numéro gagnant, car je découvris avec délectation qu’elle était plutôt expérimentée en plus d’être sensuel. Deux heures de pur délice puis elle disparut, aussi vite qu’elle était apparu.
Couché sur mon lit en, vêtu d’un simple pantalon de jogging gris, depuis une demi-heure environ une demi-heure, je me repassais en mémoire le beau moment que je venais de passer en la compagnie de cette charmante demoiselle. Puis sentant cette même sensation que sur le Chemin des Grecs m’envahir et n’ayant plus de cocaïne pour compenser, je décidai de me rouler un joint. Je glissai ma main sous le matelas, en sortant une vieille boîte métallique. Je l’ouvris, déballai le sac de résine qu’il contenait et un filtre à carton. Habilement, je le roulai, puis sortit le briquet qui accompagnait l’herbe de la boîte pour ensuite l’allumer. J’entrouvris ensuite les lèvres pour laisser pénétrer le rouleau, dont j’inhalai tranquillement la fumée. Les yeux fermés, je l’absorbais pleinement et la gardai longtemps en moi avant de la relâcher, dans une grande expiration. Déjà là je sentais une légère sensation d’étourdissement venir lentement. Je souris en y pensant. Je pris alors une deuxième puff , une troisième puis une quatrième, etc. Je continuai ainsi pendant … je m’en rappelle plus, mais ce n’est pas grave!
À ce moment, je devais être à mon quatrième ou mon cinquième joint, je ne le sais plus. En tout cas, j’étais en plein délire. Je m’imaginais dans un monde de fées dont j’étais le roi et que les ampoules des lumières de ma chambre étaient des petites fées, toutes à mon service et exauçant tous mes désirs les plus fous et les plus tordus. Je pouvais les toucher et les caresser. Elles le faisaient aussi. J’étais en plein extase. Pervers vous me direz? Je vous dirai pour ma défense qu’après le sexe, il est normal que mon esprit ne soit orienté que dans cette optique et que je puisse ni penser ni fabulé sur autre chose.
Pour en revenir à mon « histoire », j’étais dans un magnifique château irlandais, en train de me faire servir des raisins par de séduisantes fées lorsque des troubadours se présentèrent au palais pour venir me jouer un morceau, que j’écoutais avec attention. C’était mélodieux. Il y avait un piano, une guitare et une batterie, puis une chanteuse et un chanteur. Si je n’avais pas été aussi « high », j’aurais remarqué que c’était la sonnerie de mon portable, soit la chanson I Need You Now de Lady Antebellum. Puis j’aurais décroché en découvrant que l’appel venait d’Elzibieta. C’est ma cousine, je la connaissais depuis peu, mais nous étions quand même proches depuis un certain temps. En effet, ces temps-ci Elzi traversait des moments difficiles et elle avait besoin de moi. Cette dernière devait sûrement vouloir parler. Dommage pour elle, car ce soir Henryk le psy n’est pas disponible. Par contre, elle peut toujours parler au roi, qui lui transmettra le message.
Sinon, les troubadours ne restèrent point longtemps, simplement le temps de deux chansons, puis ils partirent. Les fées s’occupèrent de me divertir ensuite, jusqu’à l’arrivée de la princesse Elzibieta dans mon château. Depuis le temps qu’elle était venue! Je ne m’attendais pas du tout à sa visite. Sa venue me rendait heureux, moi qui vivait en solitaire dans mon palais. J’étais toutefois trop paresseux pour me lever. Je la saluai d’un signe de tête avant d’ajouter un simple « Votre Altesse », alors qu’elle se posait sur le lit. Je chassais les bonnes d’un mouvement de main. Je la laissai me prendre la main, m’attendant à un baise main royale. Je fus toutefois surpris de ne pas la voir s’exécuter.
-« Ca t’arrive souvent de ne pas répondre à ton portable ? »
Je la regardais comme on regarde un extraterrestre, puis je m’esclaffais. Sa question ne faisait simplement pas de sens dans ma tête. Vous auriez pu me demander la racine carré de 144 , je n’aurais pas su quoi répondre tellement j’étais gris.
-« Un portable? Il faudrait premièrement que je sache ce que c’est… Vous êtes arrivez un peu trop tard Majesté. Vous venez de manquer les troubadours. Ils jouaient de ces mélodies! »
J’étais trop perdu dans mes divagations pour remarque les yeux d’Elzi, fixés sur mes joints. À jeun, je me serais inquiété pour elle, je l’aurais averti du danger que représentais ces rouleaux, je les aurais caché.
-« Hey! Redonnez-moi mon cigare cubain. »
J’essayais de toutes mes forces de lever mon bras pour attraper mon « cigare », mais je ne fis que de battre de l’air. Puis épuisé, je renonçai et m’allongeai paresseusement sur mon lit. Je laissais ma cousine le fumer. - «Finalement, vous pouvez le garder … » Je fis ensuite signe à mes servantes de revenir me servir du vin, puis je les remerciai. Je tournais ensuite la tête vers Elzi qui fumait son joint. - «Et puis ? fis-je. Vous le trouvez comment ? Tout droit sorti de Cuba me vantais-je, fière. Toutefois je suis sûre que j’aurais fais une autre tête si je n’avais pas fumé cinq joints...
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Dernière édition par Herendiera Martín-Xerès le Dim 3 Juil - 20:40, édité 22 fois
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Sujet: Re: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée] Sam 2 Juil - 4:11
Bienvenue et bonne chance
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Sujet: Re: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée] Sam 2 Juil - 4:46
Shanae <3 Merci beaucoup
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Sujet: Re: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée] Sam 2 Juil - 5:03
Tes prénoms et noms et ta célébrité, je l'aime :bave: Behati. Bienvenue sur le forum et bonne chance pour ta fiche.
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Sujet: Re: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée] Sam 2 Juil - 5:10
Merci J'aime bien Sara Paxton aussi
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Sujet: Re: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée] Sam 2 Juil - 5:20
Je te promet de ne jamais être capable d'écrire ton nom correctement, même après 2 ans Sinon, bienvenue !
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Sujet: Re: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée] Sam 2 Juil - 5:22
J'espère que tu tiendras ta promesse Merci
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Sujet: Re: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée] Sam 2 Juil - 9:10
Bienvenue ici
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Sujet: Re: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée] Sam 2 Juil - 9:41
Welcome!
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Sujet: Re: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée] Sam 2 Juil - 10:42
Behatiiiii Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée] Sam 2 Juil - 11:41
Je ne savais pas qu'il y avait une accentuation sur le nom de famille espagnol Martìn, mais après vérification, j'ai appris quelque chose aujourd'hui. Bienvenue.
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Sujet: Re: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée] Sam 2 Juil - 12:21
Bienvenuuuuuuue
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Sujet: Re: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée] Sam 2 Juil - 12:42
Bienvenue
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Sujet: Re: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée] Sam 2 Juil - 13:04
Heaven qui recommence avec ses accents
En tout cas Bienvenue puis BEHATI je l'aime elle est trop mignonne puis have fun
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Sujet: Re: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée] Sam 2 Juil - 13:53
bienvenue j'edit ton code qui est bon
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée] Sam 2 Juil - 15:30
Bienvenue !
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Sujet: Re: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée] Sam 2 Juil - 15:42
Welcome
Behati
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Sujet: Re: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée] Sam 2 Juil - 17:48
Merci à tous pour l'accueil Je crois que j'ai fini ....
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Sujet: Re: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée] Sam 2 Juil - 18:16
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée] Sam 2 Juil - 18:26
Merci
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Sujet: Re: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée] Dim 3 Juil - 17:14
Toi & Dakota vous allez réussir à me déprimer avec vos histoires pleines de morts xD EDIT; j'ai zappé ce détail, en métier étude tu as mis étudiante mais il faudrait préciser en quoi (a)
Validée !
Si tu sens que tu auras besoin d'aide pour trouver ta place sur le forum, le système d'intégration pourra t'y aider. N'hésite bien entendu pas à créer tes fiches de liens et de sujets ainsi qu'à faire toutes les demandes relatives à ton personnage. Si tu as la moindre question, tu peux t'adresser par message privé à l'un des membres du staff. N'hésite pas à venir faire un tour dans le flood, dans les jeux ou sur la chatbox pour te familiariser avec les autres membres. Et, finalement, n'oublie pas de voter de temps en temps sur le topsite d'Obsession, en commençant par cliquer sur Pikachu !
Bon jeu parmi nous !
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Sujet: Re: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée] Dim 3 Juil - 17:19
Je sais on me l'a souvent dit que mes posts sont des assomoirs Merci Oh yeah j'suis validée
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Sujet: Re: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée] Dim 3 Juil - 17:22
J'avais édité je ne sais pas si tu as vu, il faudrait préciser quelle matière elle suit à Columbia =)
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Sujet: Re: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée] Dim 3 Juil - 17:39
Ok je vais le faire de ce pas
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Sujet: Re: HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée]
HERENDIERA ♨ Hot & Dangerous [Fiche Terminée]
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