Âge: Date de naissance: Lieu de naissance: Métier/Etude:
J'appartiens au groupe des Rebels
Personnage:Poste VacantScénarioInventé
« Une fois que t'as fondé une famille, que t'as une belle maison et deux ou trois enfants, bah il te reste plus qu'à te suicider. » Johnny Rotten
Signe(s) Particulier(s)
Un piercing au lobe de l'oreille gauche auquel il porte un écarteur en métal argenté de 4 mm. Il s'est fait percer le jour de ses 17 ans. Il a également quelques cicatrices dues aux bagarres récurrentes, notamment une qui court le long de son bras gauche.
Orientation Sexuelle
Ethan ne s'est jamais questionné sur son orientation sexuelle. Il n'aime pas l'idée d'avoir l'esprit conditionné par les normes de la société: si t'aimes les mecs, t'es pédé, si t'aimes les nanas, t'es hétéro. Lui, il ne se pose pas de question, il est prêt à avoir une relation avec la première personne qui lui fera envie, mec ou nana.
Ethan William Brogan
Physique & Caractère
Apparence & Style: Ethan est plutôt du style "passe-partout". Il n'aime pas tellement se faire remarquer par son style vestimentaire, c'est pourquoi il a opté depuis longtemps pour des habits simples. Un sweat à capuche, un t-shirt, un jean et une paire de Converse déchiquetées à force d'avoir été portées font amplement l'affaire à ses yeux. Et puis, travail oblige, le jeune homme ne peut pas non plus se permettre d'arborer des tenues très extravagantes. Il porte quand même quelques accessoires : deux ou trois bagues en métal argenté, ainsi qu'une ou deux chaînes, avec ou non un pendentif. Ethan a une carrure plutôt fine, même s'il est assez musclé au niveau des bras et du torse. Il est de taille moyenne, environ 1m75. Les traits de son visage son plutôt bien dessinés, sa bouche est fine et entourée d'une moustache peu fournie ainsi que d'un bouc. Ses yeux sont de couleur bleue-grise, en amande. Ce visage plutôt agréable à observer est couronné par une touffe de cheveux bruns indomptables, souvent repoussés en arrière.
Caractère: Ethan est un personnage complexe, difficile à cerner. Du moins, quand il s'agit de ses sentiments. En effet, sa fierté l'empêche d'exprimer tout sentiment fort vis-à-vis d'une autre personne, comme l'amour ou l'amitié. Pourtant, c'est un être doté d'un coeur, mais sa méfiance envers tout le monde l'empêche de montrer ce qu'il ressent, certainement de peur de se faire rejeter. Venons-en, à la méfiance. Sur ce plan, c'est clair et net, Ethan ne fait confiance à personne. Il revêt ainsi le costume d'un jeune homme cynique, arrogant, fier et sarcastique, ce qui ne pousse pas vraiment les autres à vouloir se lier d'amitié avec lui, surtout que ce n'est pas lui qui fera le premier pas ! Une fois que le mécanisme est enclenché, ça peut marcher (et encore, il faut supporter son caractère et ses sautes d'humeur !), mais ne comptez surtout pas sur lui pour venir vous tendre la main en souriant et vous proposer d'aller boire une bière pour faire plus ample connaissance. Il est comme ça, Ethan. Au début il se braque, c'est une manière de vous tester, puis si vous en valez la peine il se radoucit petit à petit. C'est également un jeune homme impulsif, une véritable boule de nerfs. Il ne supporte pas qu'on lui manque de respect, et ne réfléchit pas deux fois avant de coller son poing dans la figure de celui qui aura commis l'imprudence de mal le regarder.
L'histoire
Ethan n'a pas eu une vie extraordinaire. Il est né dans une famille aisée au coeur d'Edimbourg, le genre de famille bien coincée, bien catho et qui souhaite avant tout mettre en avant son côté "petite famille parfaite et bien organisée, avec des gosses sages, bien éduqués, une mère qui fait bien la cuisine et le ménage, et un père qui est devenu un célèbre avocat". Ethan a toujours détesté cet environnement, ce mode de vie qui vise à rendre jaloux le monde entier, du genre "regardez-nous et prenez en de la graine, jamais vous ne croiserez une famille aussi parfaite que la nôtre". En réalité, la cohésion dans cette famille est amplement basée sur le mensonge, l'hypocrisie. On vit mieux ensemble quand on ne se reproche rien. Et forcément, toutes ces cachotteries, ça ne rend pas heureux. Les parents qui ne se supportent plus mais refusent de se l'avouer "pour ne pas perturber le pauvre petit Ethan", le gamin le ressent tout de même. Et des parents qui se détestent, ça marque à vie quand on est gosse. Si Ethan a grandi dans l'hypocrisie et le superficiel, il a tout fait pour s'éloigner de cette vie autant qu'il était possible. Il a toujours détesté cette putain de religion qui conditionne l'esprit des gens. À partir de ses quinze ans, il a commencé a contester les idées et l'autorité de ses parents. Il voulait avant tout leur montrer qu'ils ne connaissaient rien à la vie. Il ramenait des filles à la maison, et parfois même des garçons. Juste pour les dégoûter, leur faire honte. Son père gueulait, lui agitait sa Bible sous le nez, tandis que sa mère reniflait dans un coin, s'épongeant les yeux avec un mouchoir blanc. Et ce spectacle, ça faisait sourire Ethan. Oh oui, il aimait ça ! Il voulait que son père le déteste du plus profond de son être, que sa mère s'ouvre les veines de désespoir. Il les haïssait, ces deux êtres qui avaient voulu lui poser des barrières dans son propre esprit. Ils appelaient ça l'éducation. Eh bien, qu'elle aille se faire foutre, l'éducation. Ça a duré jusqu'à ce que le jeune homme soit assez âgé pour quitter le domicile familial pour vivre sa vie. Ce jour-là, Ethan a réservé un aller simple pour New York. Deux jours plus tard, bagages en main, il montait dans un taxi sans prévenir personne. "Adieu mère soumise, adieu putain d'avocat, adieu religion de mes deux."
Behind the computer
Prénom:Mathilde Âge : 16 ans Avatar choisi : Aaron Johnson Comment as-tu connu ce forum ? : Grâce à un forum de pub dont je ne me souviens plus du nom. Ton avis (design, contexte, ...) : J'aime beaucoup le design et la précision de l'environnement du RP <3 Présence sur le forum : Tous les jours pendant les vacances, sauf exceptions ; 2 fois par semaine en période de cours Autre(s) compte(s) : Nada Exemple de RP :
Spoiler:
J'ouvris lentement les yeux, soudainement frappé par la douleur qui enserrait mon crâne comme un étau. Bon sang. J'étais dans les vapes, et je ne perçus pas immédiatement le bourdonnement qui parvenait jusqu'à mes oreilles. Je regardai autour de moi sans vraiment distinguer ce qui composait mon environnement, ce que je voyais était flou. Je portai une main à mon crâne et me massai la tempe, clignant plusieurs fois des yeux. Je voyais de plus en plus net, et bientôt je pus constater que je me trouvais à l'arrière d'une voiture. Je me redressai en fronçant les sourcils, le cerveau assailli de questions. Qu'est-ce que je faisais dans cette voiture ? Où m'emmenait-on ? Qui étaient ces deux types assis devant moi ? Je jetai un coup d'oeil par la vitre contre laquelle j'avais dormi. Le soleil était resplendissant, et à en croire sa hauteur dans le ciel il devait être aux environs de midi. D'ailleurs, ce beau temps n'était pas caractéristique de ma Bretagne natale...
Une voix grave provenant de l'avant du véhicule me tira de mes pensées. "Il est peut-être pas mort, finalement." Je jetai un coup d'oeil devant moi, et trouvai une paire d'yeux qui me fixaient dans le rétroviseur. Ah, c'est de moi qu'il parlait... Ben, évidemment que j'étais vivant. C'est en croisant ce regard que des bribes de souvenirs remontèrent à la surface. Les pavés durs et froids des rues de Brest, la nuit, puis deux lumières aveuglantes qui s'arrêtent juste devant moi. Des voix d'hommes, on me transporte, on m'installe à l'arrière d'une voiture. Des uniformes bleus. Un bureau, une pièce vide. On me pose des questions que je ne comprends pas, on fouille dans mes poches. Je perds la notion du temps. Est-ce que j'étais resté assis là des heures, des minutes, des jours ? Je ne m'en souvenais plus. Des morceaux de phrase refirent surface dans mon esprit. "mère droguée... anorexie... foyer éducatif... prison... réhabilitation... centre spécialisé... seconde chance" Je me souvenais vaguement m'être fait à nouveau transporter jusqu'à un autre véhicule. Et là, c'était le noir total. J'avais dû m'endormir aussitôt. Je baillai paresseusement. En gros, les flics m'avaient trouvé dans la rue complètement arraché, ils avaient trouvé mes papiers, étaient remontés jusqu'à mon ancien foyer éducatif, et maintenant je me faisais conduire jusqu'à un centre spécialisé pour me donner une seconde chance. Cool, je me reconnaissais bien là. Le seul truc gênant, c'est que j'ignorais totalement où était ce soit-disant centre de la seconde chance. Mais alors, je n'en avais pas la moindre idée. Et au final, qu'est-ce que j'en avais à faire ? Rien. Rien de chez rien. Il pouvait se trouver au fin fond de la forêt amazonienne, ben j'en avais strictement rien à faire.
Je m'étirai tout en baillant bruyamment. La voiture était totalement silencieuse depuis que mon chauffeur (cette notion de chauffeur me fit sourire, parce que c'était marrant d'imaginer un mec à la rue avec un chauffeur privé) avait dit que finalement, j'étais peut-être pas mort. C'était ce que j'appelais un échec. Je décidai alors de combler le silence gênant qui régnait dans l'habitacle par un peu de musique. Je détachai ma ceinture et me déplaçai sur la place centrale, puis je me redressai et me penchai en avant entre mes deux compagnons de voyage, un doigt tendu vers le bouton de la radio. Une main s'abattit sur mon crâne et me repoussa en arrière. "Reste assis et rattache ta ceinture." J'hésitai à répondre "Oui monsieur l'agent", mais je me suis dit au dernier instant que ce serait peut-être mal perçu de la part d'un type qui s'était fait ramasser par les poulets la veille au soir. Du coup, j'ai juste soupiré. Sans me rattacher. Ouh, le rebel. Mon chauffeur suivit un panneau indiquant Nice à treize kilomètres. Ah, c'était donc ça, le beau temps ! Bienvenue sur la Côte d'Azur, mon p'tit gars. Bienvenue au pays du champagne et de la cocaïne, des gonzesses peroxydées en bikini sur la plage, des célébrités et du fric. Tous les trucs que j'avais jamais connu, en fait. Oui parce que les gonzesses peroxydées en bikini sur la plage, c'était assez rare en Bretagne.
Je jetai un coup d'oeil sur le tableau de bord qui indiquait que l'on roulait à quatre-vingt-dix kilomètres/heure, que le réservoir était encore plein d'essence et qu'il était actuellement treize heures quarante-trois. Par la même occasion, j'observai mon reflet dans le rétroviseur central. Ouuuh, la sale gueu** du lendemain de cuite ! Je frottai inutilement ma joue pour tenter de faire disparaître les traces que ma ceinture avait laissées sur ma peau lorsque je m'étais endormi dessus. Je souris de toutes mes dents à mon reflet, ignorant le regard interloqué du passager installé à l'avant qui devait bien me prendre pour un con.
Après environ dix minutes de route silencieuse, la voiture s'arrêta devant un grand portail. Mon chauffeur et le passager descendirent, je restai le cul posé sur mon siège jusqu'à ce que l'un des deux ouvre ma portière. Je tournai la tête vers lui, feignant de ne pas comprendre ce qu'il voulait que je fasse, en l'occurrence descendre à mon tour. C'était un de mes loisirs favoris: quand quelqu'un me demandait un renseignement ou me donnait un ordre, je tournais un regard rempli d'incompréhension vers lui et il repartait en disant "Mais qu'il est con, celui-là! Décidément, les clodos..." Moi, ça me faisait beaucoup rire parce qu'au final c'était moi qui me foutais de lui. Ce coup-ci, ça n'a pas marché. Le type a soupiré puis il a plongé un bras dans la voiture et m'a attrapé par le t-shirt, me tirant vers l'extérieur. Je suis donc sorti du véhicule sans plus de résistance. Il faisait chaud, très chaud. J'étais pas habitué, moi qui n'avais jamais quitté ma douce Bretagne... Un sac de sport rempli d'affaires à moi et ma guitare atterrirent à mes pieds. J'ignorais comment j'avais fait pour les récupérer, mais ils étaient désormais devant moi. Bon. Je me tournai vers les deux types, l'air de leur demander "Et maintenant, on fait quoi ?". Mon chauffeur a montré la bâtisse qui se dressait devant moi d'un geste du menton. "Ça, c'est ton nouveau chez toi." Il a ensuite posé sa main sur mon épaule, comme si on était potes alors qu'il ne m'avait pas adressé la parole du trajet. "Fais pas trop de conn*****, bonhomme." C'est ça. Compte sur moi. Après ça, il est retourné devant son volant, et l'autre passager a incliné sa tête comme pour me saluer. J'ai de nouveau pris mon air con, l'air de pas comprendre, et il a de nouveau soupiré avant de retourner à son tour dans la voiture, qui s'est éloignée quelques secondes plus tard. Je me suis tourné vers l'imposant bâtiment qui se trouvait face à moi. Salut, nouveau chez moi.
Code du règlement :
Spoiler:
ok by Dylan
Dernière édition par Ethan W. Brogan le Mar 5 Juil - 15:15, édité 1 fois
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Ethan W. Brogan >> TERMINÉE.
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