Sujet: Emy Barthélémy ||| "Il est verre, mon vide." Lun 4 Juil - 20:27
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Personnage:Poste VacantScénarioInventé
"Il n'y a pas de femmes moches, il n'y a que des verres de vodka trop petits." Frédéric BEIGBEDER
Signe(s) Particulier(s)
Un piercing au nez, un tatouage dans le dos représentant un dragon. Elle s'est récemment fait tatouée des signes chinois près du poignet droit, mais en garde la signification pour elle.
Orientation Sexuelle
Un mot? Chatte. Pour paraître moins vulgaire, on dira simplement lesbienne.
Emmeline Barthélémy
Physique & Caractère
Apparence & Style: Emy est loin, très loin des filles types de ces jeunes amateurs de magazines qui mettent en scène toute une bande de blonde à forte poitrine. Blonde peut être, mais plutôt petite poitrine. Un look à la garçonne, des piercing, tatouages, il faut vraiment être stupide, ou alors sous une dose incroyable de produits illicites, pour ne pas comprendre l'orientation sexuelle de la jeune femme. En effet, elle le clame haut et fort: elle est lesbienne, et ça se voit. Les cheveux plutôt courts, habillée branchée, la démarche assurée et décontractée d'une fille bien épanouie qui sait qu'elle plaît, on la dirait un peu sortie tout droit d'une série gay où elle jouerait la grande tombeuse, Dom Juan au féminin. Dans le dos, un tatouage rappelant un dragon. Pourquoi? C'est un mystère. Tout comme l'autre tatouage qu'elle s'est fait à la mort de son frère, sur l'avant bras droit, près du poignet, signe chinois dont elle ne décline en aucun cas la signification. Une apparence rendue un peu fragile, et cela surtout par la marque de l'alcool et de la drogue, sur son visage. Ses traits tout le temps fatigués, on à parfois l'impression que sa vie la dépasse. Soit on la trouve sans intérêt, on se dit simplement que c'est une pauvre fille qui s'est réfugié dans la vodka, soit, on est irrésistiblement plongé dans l'admiration de sa personne, on cherche à comprendre ce qui fait sa personnalité, et ce qui rend ses traits si tristes et durs à la fois.
Caractère: N'essayez surtout pas de la caser dans un de vos stéréotype. Emy est le genre de filles indiscernable, qui fait partie de tous les groupes. Droguée, alcoolique et pleine de revendications, on pourrait la classer chez les rebelles. Un esprit vagabond et emplies d'idées fleurissante, un goût prononcé pour la photographie, on pourrait aussi la dire artiste. Grande tombeuse (chez les filles, bien entendu, mais aussi chez les garçons), on peut la nommer playboy au féminin. Voilà pourquoi on se contente de dire que c'est une populaire, parce que de toute manière, elle l'est. Connue tout d'abord pour son trafic, c'est aussi le genre de filles que tout le monde aime, à moins d'être homophobe. Une fille tranquille, sympa, qui ne se prend pas la tête, c'est un peu l'amie de tout le monde. Mais, tout le monde n'est pas non plus son ami. En fait, rare, sont ses amis. Elle vit au jour le jour, et sait qu'à tout moment elle pourrait les quitter pour s'en aller. Par des expériences passées, elle sait très bien qu'elle est incapable de garder très longtemps des relations, amoureuses ou amicales, et c'est pour ça qu'elle évite de trop se lier aux gens, elle se lasse très vite des personnalités de chacun. Comme elle le dit, "Mon meilleure ami, c'est l'eau de vie. Ma bestha, c'est la vodka." Elle est bien consciente que tout cela ne la mène pas réellement à ce que les gens appellent une "belle" vie, mais elle se fou pas mal des idées reçues de la société, pour elle, la norme est simplement un principe inventé par des gens qui n'ont aucune personnalité. Certes, elle a beaucoup de défauts, et d'addictions dont elle ferait bien de se passer, mais elle aime sa vie telle qu'elle la mène. Et puis, après tout, le seul moyen de se délivrer de la tentation, c'est d'y céder.
L'histoire
*Félicitations, vous venez de gâcher votre vie
Que faut il à deux meilleurs amis, pour détruire leur vie? Baiser. Coucher. Faire l'amour. On peut le dire de toutes les façons possibles, ça ne change rien à l'acte. Et quand justement, l'acte, n'est pas protégé. Ça peut engendrer des problèmes. Un problème qu'on nommera ensuite Emmeline, un bout de chair et d'os d'environ cinquante centimètre, pesant dans les alentours de trois kilos. Un sac à soucis. C'est comme ça, personnellement, que je suis venue à la vie: avec une image de "chose", et et non de personne, non désirée. Mais, après tout, Louis et Laurence étaient meilleurs amis, alors ils se sentaient tout à fait capable de se forcer à vivre ensemble, pour élever un petit bout de vie qui ne sait que brailler. Pour un enfant, c'est quand même pas mal frustrant, au bout d'un moment, quand tu commences à comprendre ce qu'il se passe dans ta tête, et autour de toi, de voir que tes parents ne sont pas comme les autres. Pas qu'ils soient spécialement laids ou bizarres, juste qu'ils ne s'embrassent jamais, et ramènent d'autres hommes et femmes à la maison. Au début, c'est perturbant. A la fin, tu t'habitue. Pis viens le jour où ton père se marie. La femme qu'il épouse, Eve, vient emménager avec son fils, Mathieu. Un mec super sympa, avec qui finalement, tu va vraiment t'entendre comme frère et soeur. Mais, un ménage avec deux femmes, ça le fait pas, donc finalement, c'est ta mère qui s'en va. Oh, mais pas d'inquiétude, elle ne déménage pas trop loin, elle reste dans ta ville. Metz. Ah Metz. Une petite ville de Lorraine, dans le nord est de la France. Un endroit où il pleut tout le temps, où avoir un orage le lendemain d'un jour de canicule n'étonne personne, mais, une ville que j'aime tellement. Sérieusement, je n'ai jamais compris tous ces gars, si fiers d'habiter à Paris, Londres, New York. Je ne vois pas spécialement l'intérêt d'habiter dans un endroit où tu ne prendra pas le temps d'apprendre à connaître ceux qui t'entourent.
*C'est marrant comme ton nom va pas avec ta tête
Forcément, il nous arrive de grandir. C'est fou hein? Qu'on ai pas toujours dix ans. Que ce serait. Moi, je veux pouvoir me mettre de la peinture sur tout le corps, sans me faire gronder. Je veux n'avoir pour seul soucis, que choisir la couleur que je devrais utiliser pour mon mouton. Je voudrais tant ne pas grandir. Parce que oui, être un adulte, c'est savoir rester un enfant. Enfin, avant d'être adulte, on a cette chance inouïe d'être un ado. Se chercher, succomber à tous les vices, en ayant l'excuse qu'on doit faire ses propres erreurs, pour pouvoir se construire, c'est une chose que, je pense, on ne doit pas se laisser enlever par l'éducation nationale. Comment savoir que l'alcool et l'herbe vont te tuer à petit feu, si tu ne t'es jamais pris une cuite, et n'a donc pas les souvenirs, ou plutôt justement, les manque de souvenirs qui vont avec. Quoi qu'il en soit, dans ma petite ville française, j'ai quand même vécu heureuse. Vivant à partir de mes dix ans, une semaine chez ma mère, et une semaine chez mon père et sa femme, je n'avais pas vraiment de problème. Des hommes venaient souvent à la demeure maternelle, ça ne m'étonnait que peu, ma mère était une belle femme. Nous vivions tranquillement, j'allais au collège de centre ville, et sortait après les cours avec mes amis. C'est en 5e que ma vie a légèrement basculée. Je suis tout simplement tombée amoureuse de ma meilleure amie. A ce moment, j'étais encore "une fille". Ce fut sans doute la chose la plus troublante qui m'étais jamais arrivée, étant donnée que notre relation était presque fusionnelle. Mais je ne me sentais bien qu'auprès d'elle. Tandis que son coeur allait à une autre, oui, car elle était lesbienne. Au bout de six mois, je n'en pouvais plus, mon silence me déchirait le coeur chaque jour un peu plus, alors je décidais de couper les ponts, sans lui donner de raisons. Les six mois suivants furent tout aussi durs. Et, lorsque j'arrivais enfin à la sortir de mon esprit, c'était pour y faire entrer une nouvelle demoiselle. Une lesbienne, encore, une vraie de vraie. Du genre, Dom Juan au féminin. Notre relation devint très ambiguë, je n'étais pas du tout son genre de fille, et pourtant, l'attirance était réciproque. Mais elle sortait avec d'autres, ne cessant pourtant jamais de m'appeler "Mon coeur", "Amour". Moi qui croyais avoir touché le fond la dernière fois, je découvrais que ma douleur pouvait en fait aller bien plus loin. C'est à mon arrivée en 3e que mon homosexualité fut découverte au grand jour. Durant l'été, je m'étais coupé les cheveux, et avait totalement changé de style vestimentaire. Je m'étais enfin sentit moi même. Faire semblant d'être une petite princesse avait toujours étouffé ma personnalité. Je crois que sans cela, je n'aurais jamais réussi à me libéré de mon obsession de l'amour. En effet, ma Dom Juan quitta mon esprit seulement lorsque je sortit avec ma première copine. Ce fut comme une libération. Cela dura deux mois, puis, j'enchainais les conquêtes, sans jamais dépasser la barre du premier mois. Quinze ans, je n'avais pourtant que quinze ans. Et c'est pourtant à ce moment, que je commençais ma débauche, ne comprenant pas que j'entamais une descente aux enfers. Le soir, on passait chez momo, on achetais nos deux trois bouteilles, et on rejoignait les autres au temple, qui avait déjà roulé pour 50e. Pour tout ça, on était maximum six. Autant dire que après, on était six cadavres. Je crois qu'à partir de mes 15 ans, il n'y a plus une seule soirée dont je me souvienne réellement, et où les photos ne m'apprennent rien. Certains auront donc raison, en me reprochant que je ne faisais pas ça juste pour me détendre, étant donné que je me faisais plus de mal que de bien, mais aucun d'eux ne savait quelle douleur me poussait à tout cela. Par la suite, entré à la Communication, le lycée de drogués par excellence ne m'apporta rien de bon. Mais tout en étant des plus populaires et des plus fêtards, je réussissais à garder le rythme niveau étude. De toute façon, je voulais devenir photographe, et étant donné que mon père avait beaucoup de relations dans ce milieu, même si je ne voulais pas être l'ombre de mon paternel, je pouvais toujours m'en sortir. Je m'étais tout de même fixé quelques règles: pas d'héroïne, et dans les very bad trips, se faire aider. Finalement, ma vie se déroulait parfaitement comme ça. A ving ans, je laissais ma famille pour aller étudier à Paris, résidant alors au Marais. Quartier gay par excellence. Mon frère lui, partait aux Etats Unis, où je lui rendais une à trois fois visite par an.
*La faim, c'est le début de la fin. La fin, c'est juste le début d'autre chose.
" C.E.S.T.F.I.N.I.T. C'est amusant la facilité que j'ai à l'écrire, comparé à la difficulté que j'ai à l'accepté. Plus de Mathieu. C'est finit. Plus de jeux de cartes les soirs chaud d'été. C'est finit. Plus de bouteilles volées dans la réserve des parents. C'est finit. Plus de confessions dans les moments où on ne sait plus sur qui compter. C'est finit. Plus de câlins réconfortants sans arrières pensées -genre de choses qu'on ne peut pas avoir avec un ami. C'est finit. Plus de frère. C.E.S.T.F.I.N.I.T. C'est impuissante, que je regardais mon monde s'écrouler devant mes yeux. Incapable d'en sauver quoi que ce soit, y compris moi même. " 16 mai. Un mois après mon anniversaire. Un mois avant celui de Mathieu. Il était mort, et je ne savais pas comment m'en remettre. J'avais beau ne plus le voir autant qu'avant, on se téléphonait souvent, il faisait tout simplement partit de moi. C'est pour cela que je me rendais aux Etats Unis, afin de retrouver son appartement et de le vider. Je savais que je le retrouverai dans ses odeurs, dans ses objets. C'était la seule chose à laquelle je pouvais m'accrocher: un fantôme du présent qui peu à peu, laisserait place à de vagues souvenirs auxquels je repenserai dans des moments précis, inattendus de ma vie. New York. Lors de ma visite, je ne m'y plaisais pas spécialement, mais je ne m'y déplaisais pas non plus. Pourtant, l'évidence me vint lorsque je m'étais rendue à l'appartement de mon frère: je ne pouvais plus la quitter. L'endroit où il avait habiter était sans doute le seul où je pouvais désormais me sentir bien, comme s'il avait encore été là pour me serrer dans ses bras. Et, après tout, on a plus besoin de photographe à New York qu'à Metz. C'est ainsi qu'à 24 ans, je débutais une nouvelle vie.
Behind the computer
Prénom:Elsa Âge : 15 ans Avatar choisi :Ruta Gedmintas Comment as-tu connu ce forum ? : Annuaire forumactifs Ton avis (design, contexte, ...) : Absolument magnifique, rien à dire. Présence sur le forum : J'essaie de passer au moins une fois par jour. Autre(s) compte(s) : Nop' Exemple de RP :
Spoiler:
Désolée, n'ayant pas RP depuis plus d'un an, je n'ai retrouvé que celui là, issu d'un forum médiéval, j'espère que ça convient tout de même.
Une douce brise balayait les feuilles au sol. Voilà longtemps, très longtemps, que Finàel, ou plutôt Silver n'avait plus remis les pieds dans un royaume des siens. Alors, qu'est-ce qui pouvait mener cet elfe, si longuement oublié et partit, sur ces anciennes terres? Personne n'aura jamais de réponse, et il est probable que même lui ne le sâche pas. Mais qu'importe, ses jambes l'avaient guidé jusque là. Autrefois, c'était un elfe tout ce qui avait de plus appréciable, compagnon de route de Gil-Galad et de nombreux autres grands, il était aimant, sympathique, chaleureux. Mais les temps l'avaient changé, et il s'était assombri. Désormais, tout ce qui ont connu Finàel n'arrivent même plus à faire le rapprochement avec celui qu'ils croisent maintenant tant la transformation fut grande... Alors que deviennent les légendes oubliées... ? Elles survivent, tant qu'une personne au moins en garde le souvenir.
C'était un matin, l'aurore d'un nouveau jour, l'aube d'une nouvelle aventure. Une ombre se glissait en Lindon. Longtemps, elle avait errer, mais certains besoins se faisaient ressentir. Celui de confort? De nouvelles? Peu importe, certaines n'étaient présentes que dans de grandes cités, et c'est ainsi que Silver DeDalbrai avait pénétré Mithlond, en quête de vie. Il s'était fait discret, et seul ceux auxquels ils voulaient bien se montrer détectaient sa présence, autant dire, aucun d'eux. Pourtant, deux jours après son arrivée, alors qu'il vaquait à quelques affaires douteuses, un bruit le sortit de ses esprits.
Une branche brisée? Un souffle coupé? Quelqu'un l'espionnait. Silver fit comme si de rien était, et resta assis tel qu'il l'était, faisant tout de même un imperceptible mouvement vers son épée. Puis, tout se passa très vite. L'espion sortit de sa cachette d'une vitesse monstrueuse, Silver se leva en dégainant son épée avec la même réactivité. Le silence fut brisé par deux lames qui s'entrechoquaient à grande vitesse. Silver savait ce qui lui valait de se faire ainsi attaqué par un elfe: bien qu'il en était lui même un, il l'avait la sombre aura d'un traitre. Les lames sifflaient, les parades s'enchaînaient, les ripostes sifflaient. Les elfes étaient tout deux très rapides, tout aussi réactifs, et leur tactiques se ressemblaient beaucoup, peut être même un peu trop... L'espion changea brusquement d'attaque et réussit à désarmé Silver, mais ce dernier ne se déstabilisa pas, et para l'attaque suivant de son avant bras, enchaînant avec un coup de poing dans la mâchoire de son adversaire. De nos temps, rares étaient les hommes, elfes, nains ou autres qui se battaient à mains nus. Mais Silver en faisait partit. En tout cas, cela perturba son adversaire qui, sous l'effet du coup ou de la surprise, recula d'un pas. Il dévisagea Silver, et c'est seulement à ce moment que ce dernier put vraiment étudier le visage de son agresseur... Une minute passa.
« Fin.... » « Non, le coupa l'autre, Silver. » « Mais... Pourquoi...? » « C'est ainsi, Annael, et pas autrement. Mais, une chose, comment as-tu su? » « Je ne connais personne qui sache être aussi réactif à mains nues. »
Les deux se turent. Annael, car tel était son nom était une très bonne connaissance de Silver, au temps où il n'était pas considéré comme déchu. En fait, Silver avait en quelque sorte élevé, éduqué, Annael. Le jeune elfe était perdu, il s'était retrouvé capturé par une horde d'Uruk-Haï, dont Silver l'avait libéré. Il l'avait alors pris sous son aile, l'avait entrainé... Et appris à se battre à mains nues. Annael baissa sa lame. Il était frustré, son professeur avait tellement changé... Il ne le reconnaissait pas.
« Que s'est-il donc passé?» « Rien qui ne vaille vraiment qu'on s'y attarde. » « S'il te plaît... » « Je suis désolé, je n'ai rien à rajouté. »
L'autre se tût, il savait que cela ne servait à rien d'insister, même si sa curiosité lui criait de le faire. Il préférait ne pas se froisser dès le début avec ce nouveau Finàel, ou plutôt Silver. En faire un ami serait bien plus stratégique, étant donné les capacités de l'elfe... Du noldo. Annael ramassa la lame de son ami et la lui rendit, l'autre la rangea immédiatement. Pour détendre l'atmosphère, il lança une boutade.
«Je t'ai déjà vu avec de meilleurs armes mon ami! » « C'est bien certain... Cela fait partie des choses qui m'amènent ici. » « Et quelles sont les autres? » « Je ne sais pas exactement. Ce sont mes jambes qui m'ont guidés ici. Dois-je y voir un signe? Je ne sais pas. »
Les deux elfes continuèrent de parler un temps. On ne peut pas dire que les échanges furent ceux d'anciens excellents amis, plutôt de deux êtres qui se verraient pour la première fois, et essaieraient de se cerner. Pourtant, Annael proposa à son ami de venir chez lui, ainsi, ils pourraient continuer en toute discrétion. Silver évita, en aucun cas, il ne voulait se faire remarquer, et se rapprocher de la population n'était pas le meilleur moyen de passer inaperçu, mais il savait encore qu'il pouvait faire confiance à son camarade. C'est ainsi qu'ils partirent pour la demeure d'un elfe, en connaissance parfaite des risques.
Code du règlement :
Spoiler:
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Dernière édition par EMMELINE BARTHELEMY le Mar 5 Juil - 0:29, édité 15 fois
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Sujet: Re: Emy Barthélémy ||| "Il est verre, mon vide." Lun 4 Juil - 20:31
Bienvenue.
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Sujet: Re: Emy Barthélémy ||| "Il est verre, mon vide." Lun 4 Juil - 20:32
bienvenue merci de mettre le nom de la célébrité choisit dans la case sous ton titre.
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Sujet: Re: Emy Barthélémy ||| "Il est verre, mon vide." Lun 4 Juil - 20:43
Bienvenue ici
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Sujet: Re: Emy Barthélémy ||| "Il est verre, mon vide." Lun 4 Juil - 20:51
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Emy Barthélémy ||| "Il est verre, mon vide." Lun 4 Juil - 21:13
bienvenue
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Sujet: Re: Emy Barthélémy ||| "Il est verre, mon vide." Lun 4 Juil - 21:16
Merci à toutes et tous. J'ai rajouté le code, ainsi que le nom dans le sous titre. Je finis ça au plus vite, bises
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Sujet: Re: Emy Barthélémy ||| "Il est verre, mon vide." Lun 4 Juil - 21:24
Welcome & bon courage pour ta fiche!
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Sujet: Re: Emy Barthélémy ||| "Il est verre, mon vide." Lun 4 Juil - 21:41
Bienvenue parmis nous :hope:
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: Emy Barthélémy ||| "Il est verre, mon vide." Lun 4 Juil - 21:49
OMG une Lorraine dans un RPG. ENOOOOOOOOOOOOOOOORME ! Toi je t'aime. Par contre t'as pas oublié le z ? de Metz ?
Bienvenue !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Emy Barthélémy ||| "Il est verre, mon vide." Lun 4 Juil - 22:11
Merci les gens! Mdr! Bah oui attend, t'as cru quoi, les gens font toujours leur personnages dans les p*tains de grandes villes. De faire des p*tains d'histoires, avec des p*tains de caractères. Mais sérieusement, ce dont on parle le mieux, c'est ce qu'on connait! =) Et oui en effet, j'ai zapé le z! Je vois la connaisseuse !?
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Emy Barthélémy ||| "Il est verre, mon vide." Lun 4 Juil - 22:32
Bienvenue sur le forum, et bonne chance pour ta fiche.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Emy Barthélémy ||| "Il est verre, mon vide." Lun 4 Juil - 23:29
Dylan L. Cooper a écrit:
merci de mettre le nom de la célébrité choisit dans la case sous ton titre.
Mackenzie J. Howard
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Sujet: Re: Emy Barthélémy ||| "Il est verre, mon vide." Lun 4 Juil - 23:43
EMMELINE BARTHELEMY a écrit:
Merci les gens! Mdr! Bah oui attend, t'as cru quoi, les gens font toujours leur personnages dans les p*tains de grandes villes. De faire des p*tains d'histoires, avec des p*tains de caractères. Mais sérieusement, ce dont on parle le mieux, c'est ce qu'on connait! =) Et oui en effet, j'ai zapé le z! Je vois la connaisseuse !?
Bah ouais, hé Lorraine pure souche !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Emy Barthélémy ||| "Il est verre, mon vide." Mar 5 Juil - 0:30
Désolée Dylan, je l'avais fait, du moins j'avais cru le faire! Mais j'ai pas du enregistré. M'enfin là normalement c'est bon!
Merci Hope!
Et noooooon! T'es pas sérieuse! Mais, RPZ la Lorraine moi je dis!
Et sinon, j'ai fini.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Emy Barthélémy ||| "Il est verre, mon vide." Mar 5 Juil - 0:41
Sujet: Re: Emy Barthélémy ||| "Il est verre, mon vide." Mar 5 Juil - 19:26
Il y a quelques petites fautes d'accords, fais-y attention lors de tes futurs RP Sinon je te prévalide. Un admin devrait te valider rapidement!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Emy Barthélémy ||| "Il est verre, mon vide." Mar 5 Juil - 22:25
Validée !
Je te demanderai de mettre ton pseudo en minuscules par contre sous la forme ; Prénom P. Nom. Si tu sens que tu auras besoin d'aide pour trouver ta place sur le forum, le système d'intégration pourra t'y aider. N'hésite bien entendu pas à créer tes fiches de liens et de sujets ainsi qu'à faire toutes les demandes relatives à ton personnage. Si tu as la moindre question, tu peux t'adresser par message privé à l'un des membres du staff. N'hésite pas à venir faire un tour dans le flood, dans les jeux ou sur la chatbox pour te familiariser avec les autres membres. Et, finalement, n'oublie pas de voter de temps en temps sur le topsite d'Obsession, en commençant par cliquer sur Pikachu !
Bon jeu parmi nous !
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Sujet: Re: Emy Barthélémy ||| "Il est verre, mon vide."
Emy Barthélémy ||| "Il est verre, mon vide."
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