Autumn S. Rainsworth. “ Si la violence ne résous rien, c'est qu'on ne tape pas assez fort. ” [Finit]
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Empire State of Mind
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Sujet: Autumn S. Rainsworth. “ Si la violence ne résous rien, c'est qu'on ne tape pas assez fort. ” [Finit] Lun 22 Aoû - 2:31
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Age: Date de naissance: Lieu de naissance: Métier/Etude:
J'appartiens au groupe des Rebels
Personnage:Poste VacantScénarioInventé
"La pluie de tes insultes n'atteint pas le parapluie de mon indifférence." Auteur inconnu.
Signe(s) Particulier(s)
Hum', tu n'aimes pas parler de ton corps. Même si quelques fois tu aimes t'exhiber. Ta croupe ruisselle de cicatrices car, nous n'allons pas le nier, tu es du genre masochiste. Sinon tu en as un peu partout sur le corps des plus ou moins voyante vu que tu ne te laisse pas faire. Quant à tes piercing tu en a un sur la langue et un la lèvre. Sinon il arrive de te voir avec des lunettes, mais la plupart du temps, tu mets des lentilles.
Orientation Sexuelle
Toi tu ne t'ai jamais posé la question, oh que non. Tu ne t'ai jamais dis « Les filles ou les garçons ? », qu'importe. Ce n'est pas le sexe de la personne qui fait les sentiments, comme tu dirais. Donc oui, tu es bisexuelle.
Autumn Sue Rainsworth
Physique & Caractère
Apparence & Style:
Tu avances droit devant. Que vois-tu ? Tu vois une vitrine, tu vois le reflet de ta personne. Tu avances, tu avances pour mieux regarder ton visage, ton corps. Bien concentrée sur ta petite personne. Observant chaque petits détails, que tu n'avais d'ailleurs jamais remarqué. Lorsque tu aperçois ne serait-ce qu'une parcelle de ta peau, ça t'inspire le dégout. Tu te dégoûtes. Pourtant tu n'es pas laide, mais toi tu te vois comme telles. Tu n'as jamais aimé ce que tu voyais dans les glaces, d'aussi loin que tu t'en souviennes.
Petite. Ce détail t'a toujours énervée. Pour toi, ce n'était pas qu'un simple détail, loin de là. A l'école, tu étais toujours la plus petite de la classe. Chose qui t'énervais d'avantages. « Tout ce qui est petit et joli », c'est ce que disaient tes parents n'est-ce pas ? Pas une seule fois tu as répondu gentiment à cette phrase, les envoyant bouler. Ton rêve ? Faire 1m70 au moins, si ce n'était pas plus. Malheureusement tu n'avais pas hérité de la taille de ton père, tu mesurais donc près d'1m56. Ce qui t'agace vraiment au plus haut point. Cette taille de vulgaire insecte, trop petite pour ta magnifique personne. Au moins, tu es bien heureuse d'avoir de longues jambes pour accompagner cette taille. Elles sont belles, blanches comme toutes les autres parties de ton corps, ainsi que fine et lisses surtout. Par contre, si nous remontons un peu plus haut, nous pouvons apercevoir tes hanches. Tu ne sais pas ce qu'il fait là, mais l'un de tes grands atouts est ta paire de fesses. Non vraiment. Elles sont bien rebondis, pas trop grosse ni trop plate non plus, juste parfaite. Etrangement tu es très bien gâtée de ce côté-là. C'est l'une des parties de ton corps que tu détestes le moins. Ton ventre est plat, il n'y a pas de surplus de poids de se côté là. Après remontons doucement jusqu'à ta poitrine. Je pense que c'est ton plus gros complexe non ? Il y avait un gros vide par ici, juste deux petites mandarines côtes à côtes. Tu passais tes mains dessus, regardant comment elles étaient pitoyables. Mais le peu qu'il y avait restait ferme. Et un petit grain de beauté ornait le sein droit. Seul quelques personnes ont eus la chance de l'apercevoir, car même en maillot de bain, nous ne le voyons pas. Le reste de ton corps est frêle et sans grand intérêt. Quant à ton visage, il n'a pas trop changé : un visage toujours aussi petit, avec une petite bouche et des lèvres fines, formant généralement un croissant de lune, lorsque tu tires la langue nous pouvons y apercevoir un piercing. Tes grands yeux toujours pétillants, que tu sois triste, énervée, ou non. Ta peau si claire te donne un air de cadavre, d'ailleurs à cause de cette blancheur tu n'as pas le droit de rester longtemps au soleil, sous risque de brûlure, de vertige, ou encore de saignement de nez. C'est toi tout crachez, et ça te rend malade. Il y a bien sûr quelques trucs qui ont changé, mais pas flagrant. Tes cheveux qui était plat et blonds foncé, sont maintenant blond platine, et glissent le long de tes épaules pour arriver jusqu'à ta poitrine . Quelques mèches viennent orner ta chevelure, du bleu, du vert, du rose, tu aimes que l’on te remarque et tu aimes être différente. Puis quand tu t’en lasse, tu fais seulement des mèches noires. Tu ne t'habilles plus comme une petite fille, la dentelle rose c'est terminé pour toi. Tu portes souvent des jupes; à carreaux, à poids, plissés, qu'importe du moment que c'est une jupe même des robes de temps en temps. Avec bien sûr de grandes chaussettes rayées noires et blanches, ou simplement noir et même des collants genre troué. Le haut, ça dépend, des fois ce sont des images mignonnes -un T-shirt avec un panda qui tire la langue-, d'autres des images plus glauque -un T-shirt avec la tête de Pikachu qui a un bout de cervelle qui sort-. Mais la plupart du temps tu optes pour une jean, des converses et un T-shirt large. Tu aimes beaucoup t'habiller toute en noir, avec une seule couleur qui ressort -rose, rouge, jaune, vert, bleu, orange, violet...-. Et une chose que l'on doit savoir sur toi, tu as toujours ta sacoche près de toi, muni d'un calepin sur lequel tu aimes bien écrire et dessiner à ton temps perdu.
Tu fermas doucement les yeux pour ne plus te voir. Lâchant un soupire, faisant dos à la vitrine d'un magasin de confiserie, tu reprenais ton chemin.
« J'aime entendre vos mains claquer...Quand je me cambre j'ai besoin d'être corrigée. » Tu es masochiste, tout simplement. Tu aimes sentir ta peau brûler. Voir la couleur rosie de ta croupe. Mais tout ça n'est pas que sexuellement parlant. Tu aimes que l'on te frappe, que l'on te griffe. Même que l'on te morde ! En somme, tout ce qui est sencée faire mal à quelqu'un de plus ou moins normal. Un sourire s'affiche alors sur tes fines lèvres. Toi, tu sais très bien que toutes les cicatrices qui sont sur ton corps viennent de se plaisir extrème. Tu as besoin d'être humiliée.
« Bon tu dégages j'te déteste ! Non mais qu'est-ce que tu fais ? Reviens je t'aime ! » D'un coup tu hais tous le mondes, le monde c'est de la merde. Puis le lendemain tu aimes tout le monde, tu vois la vie en rose. Un jour oui, un jour non. Tu changes tout le temps d'humeur ! S'en est presque troublant. Tu t'approches d'eux pour se blottir dans leur bras, avant de leur vociférer des insultes. Oui, c'est assez troublant au début, mais vous allez voir vous allez vous y habituer ! Puis si vous y arrivez pas, vous pouvez toujours vous enfuir. Mais vous ratez quelque chose moi je vous le dis. Mais c'est vrai que si vous désirez rester avec elle il faut franchement vous accrocher.
« Huhu, vient là que je te découpe en morceau mon petit... » Te souviens-tu de l'époque où tu torturais les poules de la ferme de chez tes grands parents ? Oui, oui tu leur tordais le cou avec délicatesse, un sourire narquois aux lèvres. Oh oui tu aimes ça. Oh et puis là fois où tu avais étalé de la cire chaude sur l'un de tes nombreux partenaires, tu le trouvais trop poilu n'est-ce pas ? Où tu voulais voir son râle de souffrance ? Et quand tu t'es coupée au bras avec un couteau de boucher c'était pas voulu ? Mouais...Certaine ?
« Non mais toi j't'aime pas ! » Pour une fois tu as une qualité ! /PAN/ Enfin pas toujours, peut-être que des fois il faudrait que tu apprennes un peu à te taire. Mais non, jamais. Quand tu penses quelque chose tu ne peux t'empêcher de le dire à ton interlocuteur. Toi tu ne parleras jamais dans le dos de quelqu'un, mais tu iras la chopper pour lui dire tout ce que tu as à dire. Loyale et sans arrières pensées. Voilà ce que tu es. Mais ça ne peut pas plaire à tout le monde. Tu as tendances à blesser les gens avec tes paroles trop dures et froides. Tu joues les filles dures comme la pierre, alors que tu es aussi frêle qu'une gamine de quatre ans.
« Hum'...regarde-moi. J'suis gentille hein. » Rare sont ses fois là, mais tu peux l'être. tu peux te montrer gentille, voire irréprochable envers ceux qui ont décroché un soupçon de ta confiance. Tu peux te montrer aimante, dévouée et serviable. Tu peux tomber amoureuse en un rien de temps, et tu trouves ça pathétique. Tu peux rire aux éclats, être fidèle, ce qui ne ressemble pas du tout à la personnalité que tu façonnes pour échapper à cet enfer que peut être la vie.
Quelques petites choses à savoir sur Autumn' :
✖. Tu es très soupe-au-lait. ✖. Tu t'habilles avec des vêtements pas trop commun car tu aimes que l'on t'admire. Peut importe les critique du moment que l'on te regarde. ✖. Tu es une vraiment...très mauvaise joueuse ! ✖. Tu es très forte en littérature (d'où ses études) donc il t'arrive d'écrire des petites histoires avec toi comme personnage principal. C'est un secret. ✖. Si tu tombes amoureuse, tu ne le lâche plus jusqu'à ce qu'il/elle te réponde. ✖. Tu es gourmande ! Bonbons, chamalow, chocolat et nutella sont fais pour toi.
L'histoire
Père Castor raconte-nous une histoire, même deux histoires !
Chapitre I : Le commencement de la fin.
Il était une fois, une petite fille, toi. Je sais que tu n'aimes pas raconter ta vie aux inconnus, mais là je vais devoir le faire à ta place. Tout d'abord, tu es née le 4 Février à 23h52. C'était une nuit glaciale, les flocons neiges suivaient le sens du vent. Tu étais le deuxième enfant de la petite famille et tes parents furent très heureux de t'avoir parmi eux. Mais ton grand-frère, quant à lui te fusillais du regard. Il n'aura plus l'attention de papa et maman, se disait-il, le soir où tu vis le jour. Ca ne changea aucunement au fur et à mesure des années. Petite, tu étais un peu leur petite princesse. Tu demandais quelque chose, aussitôt tu l'avais. Il te suffisait de claquer des doigts. Ce qui ne plaisait pas du tout à ton frère, il était très jaloux et assez méchant avec toi. Il s'attirait les foudres de tes parents et toi, tu récoltais l'amour de ceux-ci. Ta mère adorait t'acheter de sublime robe de princesse. A croire que tu étais sa poupée, son jouet. Mais à l'époque, tu aimais bien être chouchoutée de la sorte. C'était une forme d'attention que tu ne refusais jamais, tes parents, tu les adorais. Mais ton frère, contre ton gré, tu le détestais. Mais la question que tu te posais tous les soirs avant de t'endormir c'était « Pourquoi est-il aussi méchant avec moi ? ». Toi qui n'avais jamais broncher contre lui, contre ses moqueries, contre ses coups, il fallait qu'il te déteste autant. Bien sûr, il n'osait pas te faire grand-chose vu que tu n'avais qu'une dizaine d'années à l'époque, et que lui n'en avait que quinze. Mais, les années passèrent et il devint plus violent, délaissant le jeune adolescent qu'il était à l'époque pour revêtir ce masque de bourreau. Chaque fois que tu désobéissais à une de ses règles, il te cognait. Ensuite, il disait à tes parents que tu t'étais battue à l'école. Et, sans même faire de vérifications, ils le croyaient. Ils le croyaient car tu n'avais pas de très bonnes fréquentations. Des fréquentations qui abordaient des couleurs de cheveux peu communs, enfin pour des gens de leur âge. Ils étaient sûrs que tu traînais dans les rues, que tu étais une enfant rebelle. Peut à peu, ils arrêtèrent de te croire, se rangeant du côté de ton grand-frère, qui avait obtenu ce qu'il voulait. Même adulte, il avait ce besoin d'attention. Tu le trouvais ridicule et, quelquefois, tu faisais exprès de le provoquer. Comme si tu voulais te prouver à toi-même que tu étais assez brave pour défier ses règles. Tu faisais n'importe quoi.
Chapitre II : Un pas vers la débauche.
Puis tu devenais de moins en moins sage. Les gens que tu côtoyais ton fuit car de jour en jour ton visage, ou ton corps était de plus en plus amoché. Les hommes ? Etaient-ils tous les mêmes ? Les hommes jouaient-ils tous à un jeu ? Avaient-ils tous des règles différentes ? Tu n'en savais rien, toi qui n'avais jamais décidé d'approcher les hommes, mais à ce que tu pouvais observer chaque jour, tu savais que les hommes pouvaient être les pires êtres du monde. Tes cheveux blonds foncés, tu les teins en blond platine et te fis quelques mèches voyantes sur le devant de tes cheveux. Tu te fis percer la lèvre, ainsi que la langue. Et enfin pour clôturer le tableau tu te mis à fumer. Tu séchais les cours, tu bâclais tes devoirs, tu menais la vie dure à tes parents, sans pour autant être violente. Pourquoi faisais-tu tout cela ? Aucune idée. Et c'est que tu fis la rencontre de nombreux hommes et femmes, aussi paumée que toi. C'est à cette époque que tu appris ton penchant sur le masochisme. Puis maintenant tu eux comme une sorte de flash back avec ton frère, qui te frappais, mais tu y ressentais presque du plaisir. Oui ! C'est ça qui devait l'énerver. Même de temps en temps, tu éteignais ta clope sur ton bras. C'est aussi ce jour là que tu vins voir la tête haute, celui qui était censé être ton frère. Tu croisais les bras, posant tes pupilles dans les siennes, l'air narquois. « Tu sais, j'aime quand tu me frappe. ♥ » Il ne se fit pas prier pour t'en envoyer une belle sur la joue. Tu souriais, oui de tes pleines dents blanches. Il te regardait d'un air à moitié effrayé, tout en bien sûr gardant un air autant sur le visage. C'est à partir de se jour qu'un jeu se fit entre vous. Te le laisser te frapper autant qu'il le désirait pour ainsi prendre ton pied. Il te tirait les cheveux avec brutalité, se servait de ta peau comme cendrier, s'amusait à caresser chaque parcelle de ta peau avec un sécateur, te laissant de nombreuses traces. Et je ne parle même pas quand il te mordait, ou te griffais. C'était une relation étrange que tu entretenais avec ton frère.
Chapitre III : Il ne faut jamais tomber amoureuse.
Le problème, c'est que toi aussi tu aimais faire souffrir les autres. Masochiste, mais sadique. Tu n'as jamais prêté une grande attention aux sentiments que ton entourage te montrait. Oh non, tu t'en fichais royalement. Tu étais une petite fille joueuse et tu avais développé, on ne sait comment, un comportement sadique, masochiste, calculateur, vicieux. Puis un jour, un jeune homme te collait d'un peu trop près, c'est là que tu remarquais que tu ne sais comment, il avait craqué pour toi. A ta grande surprise votre relation durait déjà depuis un mois, vous n'aviez toujours rien fait de sexuel. Ce que tu sentais approcher de plus en plus. Le problème c'est que cette fois si, tu ressentais vraiment quelque chose pour cet homme. Une nuit d'automne, dans un hôtel pas très loin de chez toi, oui il ne valait mieux pas que ton frère soit dans la pièce à côté, tu lui dévoilas ton corps. Ton corps muni d'une multitude de cicatrice. Il y avait juste une lampe de chevet pour vous éclairer. Il te sourit, te prenant dans ses bras. Puis dévoila le siens, lui aussi, il était comme toi. Puis cette soirée fut violente, ayant appris ton secret il ne se fit pas prier pour te procurer se plaisir, et tu en fis de même. Ce n'était pas très saint, mais tu t'en foutais. Vous avez terminé au petit matin. C'est là que l'irréparable arriva, ton frère. Tu étais nue dans le lit, avec ton amant. Lui était devant vous. Il avait l'air énervé, les yeux exorbités il vous regardait. Le visage devenant de plus en plus rouge de colère. Vous deux, vous ne saviez pas trop quoi faire, vous contentant de le regarder. Dans sa main droite, nous pouvions apercevoir un couteau. Il sauta sauvagement sur ton partenaire, venant le planter une multitude de fois. Les draps qui étaient blanc prenaient la couleur du sang. Tu restais ébahi devant cette scène. Puis sentant encore le pou de ton amant tu dégageas ton frère d'un violent coup de poing. La sirène de l'hôpital retentissait.
Chapitre IV : Il était une fin.
Vivant. Il était vivant. Mais plus jamais il ne voulait avoir à faire à toi, ton frère était vraiment trop dangereux, il ne voulait pas risquer de vraiment mourir la prochaine fois. Lorsque tu appris cette nouvelle, tu donnas un coup violent, très violent dans la face à ton frère. Le faisant saigner du nez. Tes parents pensaient que c'était toi qui avait fait du mal au jeune homme. Oui, mais de cette façon tu leur avais crié. Mais rien n'y fait, tes parents sont bornés. Ton frère te fit à la suite qu'il voulait être le seul à te battre de cette façon, tu lui répondais d'un merveilleux coup de pied dans l'entre jambe. Suivi de ça, un billet d'avion. Tu écarquillais les yeux. Puis tu t'envolais vers les Etats-Unis, plus précisément à New York. Ils t'avaient trouvé une école là-bas. Et shit. Ils t'avaient déjà inscrite en littérature. Comment savaient-ils, tout simplement car ils ont retrouvé tous tes livres. C'est qu'après, une fois le vole pris, qu'ils t'ont dis qu'il voulait t'emmener le plus loin possible de ton frère. New York City Life, voilà Autumn'. Il était une fin.
Mets tes lunettes et lis nous tout !
Behind the computer
Prénom:FlyPanda. Âge : Bientôt 16 ans. Avatar choisi : Avril Lavigne. Comment as-tu connu ce forum ? : Je sais plus. x'D Ton avis (design, contexte, ...) : Super ! o/ Présence sur le forum : 5/7 minimum. Autre(s) compte(s) : / Exemple de RP :
Spoiler:
Aujourd'hui est un jour comme tous les autres. Comme n'importe quel autre jour le réveille sonna et comme d'habitude tu te réveillas. Ce qui dès le matin te rendait de vraiment très mauvaise humeur. Le « Bip ! Bip ! Bip ! » incessant de se foutu réveil. A moitié endormie, tu ne te fis pas prié pour lui donner un gros coup, l'explosant à moitié pour essayer de l'éteindre. Comme n'importe quel autre jour, tu te rendormis. Puis tu te réveilles en sursaut voyant que tu es en retard. Sans prendre le temps de regarder l'heure, tu te levas, te trainant à la salle de bain, grommelant quelques insultes au passage. Tu pris tout ton temps. Un peu trop peut-être ? On cogna à ta porte, ouais il faudrait se grouiller. Puis comme d'habitude, tu oublias tes vêtements sur le lit. Tu te traînas jusqu'à la chambre, entreprenant d'enfiler tes habits. Se résumant à un bermuda gris et noir avec des carreaux, une chaîne pendait du côté droit & un T-shirt blanc, étant fan d'Alice aux pays des merveilles, il dessinait comme motif les vêtements du lapin blanc. Ainsi vêtu, les cheveux encore humides, tu pris ton sac et te pressa d'aller en cour.
Tu arrivais dans cette fourmilière, un fouillis de rumeurs, de ragots & de caquetages sans intérêt, mais toujours plus intéressant que les cours. Et toi ? Tu avais les pieds sur la table, essayant désespérément de finir ta nuit. Tes paupières masquaient alors la couleur de tes pupilles azurée. Au bout de quelques instants tu finis par t'étirer dans un râle de plaisir. Tes lunettes disposées sur ton visage, ouais tu avais oublié de mettre tes lentilles. Tu pris ton crayon dans ta main droite, n'écoutant pas le prof', comme tout le monde d'ailleurs. Partant dans ton imaginaire. Tu savais écrire, tu étais imaginative alors tu laissais parler ton crayon. Qui grésillait sous chacun de tes mouvements du poignet. Tu inspiras profondément, et tu étais parti.
« Une jeune fille était assise sur un muret. Une clope à la bouche, alors que le feu consumait sa clope, la fumée sortait de ses narines. La demoiselle était blonde, muni de quelques mèches colorés. Qui te donnait un air excentrique. Nous descendons un peu pour se voir dessiner des formes. Peu alléchante, mais tout de même là. Un tissu cachait sa poitrine, juste une petite bande rose. Pour continuer, nous voyons une ceinture muniede nombreux points blanc, et à la fin de cette robe dessinait comme une sorte de tutu. Le tout était rose. Nous pensons que c'est une danseuse, ou une fille sage mais c'est en descendant encore un peu que l'on peut apercevoir un collant noir pas vraiment opaque, dessinant une multitude de trous. Pour en finir avec se profil tu portais des converses. Un look assez étrange, mais qu'elle adorait. Une larme glissait le long de sa joue. Elle était mélancolique. Elle expirait la fumée de sa cigarette, les yeux brillants. Elle ne pris pas la peine de les essuyer. Un mystérieux inconnu vint se déposer sur le muret, elle ne voyait pas bien son visage. Il s'approcha de la jeune femme, lui essuyant ses larmes du bout des doigts.
« Une si jolie femme que vous, ne devrai pas pleurer. »
Cette phrase la fit s'empourprer. Elle le regardait étonnée, et charmée par ses propos. Puis elle esquissa un sourire radieux sur son visage. L'homme déposa un baiser sur sa joue, mais elle ne voyait pas ça ainsi et lui déroba un baiser sur ses lèvres... »
Tu rêvassais. Toujours là sur ta table à écrire des histoires. Qui pourront peut-être un jour arriver. Enfin,c'est ce que tu espères. Mais il faut que personne ne sache ce que tu écris.
Code du règlement :
Spoiler:
Code OK par Jacs.
Dernière édition par Autumn S. Rainsworth le Jeu 25 Aoû - 20:40, édité 14 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Autumn S. Rainsworth. “ Si la violence ne résous rien, c'est qu'on ne tape pas assez fort. ” [Finit] Lun 22 Aoû - 2:47
Bienvenue Merci d'enlever l'apostrophe de ton pseudo.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Autumn S. Rainsworth. “ Si la violence ne résous rien, c'est qu'on ne tape pas assez fort. ” [Finit] Lun 22 Aoû - 2:55
Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Autumn S. Rainsworth. “ Si la violence ne résous rien, c'est qu'on ne tape pas assez fort. ” [Finit] Lun 22 Aoû - 10:54
Bienvenue
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: Autumn S. Rainsworth. “ Si la violence ne résous rien, c'est qu'on ne tape pas assez fort. ” [Finit] Jeu 25 Aoû - 11:19
Bienvenue sur le forum.
Pour te valider, il faudrait que tu coches si ton personnage est inventé, ou un scenario.
Punaise, c’est la première fois que je lis une fiche écrite à la deuxième personne, pas commun. Mais c’est une agréable surprise. En espérant que tu ne sois pas autant torturée que cette pauvre Autumn.
J’ai validé ton code du règlement qui était bon. Tout est en ordre, ne manque qu’à cocher. Une fois fait, revient signaler que ta fiche est terminée.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Autumn S. Rainsworth. “ Si la violence ne résous rien, c'est qu'on ne tape pas assez fort. ” [Finit] Jeu 25 Aoû - 20:07
Avril étant de 1984, ton personnage ne peut pas être de 1991. Merci de relire le règlement pour ce passage & de reposter dans le bon topic lorsque cela sera modifié.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Autumn S. Rainsworth. “ Si la violence ne résous rien, c'est qu'on ne tape pas assez fort. ” [Finit] Sam 27 Aoû - 12:21
Ton pseudo. Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Autumn S. Rainsworth. “ Si la violence ne résous rien, c'est qu'on ne tape pas assez fort. ” [Finit] Sam 27 Aoû - 23:29
Validée !
Un système d'intégration est mis en place sur le forum sous forme de flood d'intégration, mélangeant anciens et nouveaux membres, n'hésite pas à t'y inscrire ! N'oublie pas de compléter ta fiche personnage, ton profil et de faire toutes les demandes nécessaire. Si tu as la moindre question ou problème, tu peux bien sur contacter un membre du staff par MP. Et puis tu peux bien sur voter toutes les deux heures pour aider le forum en cliquant sur la petite poire (a)
Have Fun !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Autumn S. Rainsworth. “ Si la violence ne résous rien, c'est qu'on ne tape pas assez fort. ” [Finit] Sam 27 Aoû - 23:49
Bienvenue ! Très sympa le style d'écriture à la 2e personne. Tu comptes aussi faire ça pour tes RPs ?
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Sujet: Re: Autumn S. Rainsworth. “ Si la violence ne résous rien, c'est qu'on ne tape pas assez fort. ” [Finit]
Autumn S. Rainsworth. “ Si la violence ne résous rien, c'est qu'on ne tape pas assez fort. ” [Finit]
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