Sujet: Melina ♣ « Et bien me voilà, que veux-tu de plus ? » Ven 12 Aoû - 16:36
Mymz
Age: Date de naissance: Lieu de naissance: Métier/Etude:
J'appartiens au groupe des ORDINARIES
Personnage:Poste VacantScénarioInventé
"Je connais mes limites, c'est pourquoi je vais au-delà." de Gainsbourg
Signe(s) Particulier(s)
Effectivement, je possède un tatouage au niveau de mon poignet droit. C'est une sorte de triballe, pas très grand, que je me suis fais faire il y a de ça un peu plus d'un an, pour je ne sais qu'elle raison.
Orientation Sexuelle
Ce n'est pas difficile, j'ai toujours été attirée par les hommes et, je peux vous dire que cela n'est pas près de changer. Je suis donc hétéro. Mais cela dit, je respecte ceux et celles qui sont dans ce cas.
Melina Andrea Benedetti
Physique & Caractère
Apparence & Style: Généralement, mon style et mon apparence pourraient se définir en deux mots. Sportif et décontracté. On me dit souvent que j'ai l'oeil pour m'habiller. Entre nous, il est vrai que je fais très attention, à ce que j'enfile. Et ça dépend des jours. Je peux mettre un débardeur blanc et un legging en cuir comme un maillot en col V et un pantalon de survêtement. Je suis plutôt cool comme fille, donc ça se voit sur mon apparence. Mais je suis loin de ressembler à un sac ! Je peux ressembler à "une bagnole volée" si je veux !... Disons que je ne me tracasse pas la tête, j'ai juste une façon d'être bien à part. Pour tout avouer, je pense que j'ai à plaire à personne. Mais tout le monde n'est pas du même avis. Certains pensent que je me laisse aller, d'autres qui trouvent que je ne suis pas fière de mon corps. J'estime qu'il faut rester soi-même pour plaire avec un grand P, si on veut. De nos jours, beaucoup de jeunes femmes ont oubliés ce détail.
Caractère:
Je ne suis pas méchante, ni violente, mais ce qu'on peut apprécier chez moi, c'est mon sens de l'humour. Il m'arrive de sortir des blagues vraiment ringardes comme hyper drôle. J'ai ce côté souriant que tout le monde apprécie. Et quand j'essaye de rester calme, on me reproche d'avoir quelque chose derrière la tête ou que je suis de mauvaise humeur. Je suis assez souriante et bien dans ma tête la plupart du temps, je prends la vie du bon côté si on veut. Je suis également ouverte aux autres, je m'intègre facilement dans un groupe et je ne suis pas timide. Puis quand il s'agit de dire les quatre vérités à quelqu'un ou de dire la vérité, je ne cherche pas midi à quatorze heures, je suis franche et directe.
Quand je suis énervée ou stressée, je suis très nerveuse. Je deviens agressive, odieuse. Ce ne me ressemble pas vraiment, mais disons que je me défoule quand je le peux. Parfois, quand j'en ai envie, j'ai besoin de contrôler quelque chose. Je dis assez souvent ce que certaines personnes doivent faire... Je veux toujours le dernier mot. Dans ces moments-là, je peux paraître vraiment autoritaire. Quand il s'agit de vouloir n'importe quoi, je suis obstinée. Je suis prête à tout pour avoir ce que je veux ou avoir raison. La plupart du temps, quand j'ai une opinion, je la maintiens coût que coût, même si je sais qu'elle est fausse. Il m'arrive également de réagir sans réfléchir. Dans n'importe quelle situation, je fais preuve de spontanéité.
Behind the computer
Prénom: Sonia Âge : Bientôt 15 piges =P Avatar choisi : Lea Michele Comment as-tu connu ce forum ? : Euuh... Qui ne connait pas NYCL ? (aa) Ton avis (design, contexte, ...) : J'aime (: Ça me donne envie de manger (a) Présence sur le forum : 7/7 Autre(s) compte(s) : Nope =P Exemple de RP :
Spoiler:
Ce jour-là, j'aurais mieux fais de rester coucher. Quelle journée ! Dès le matin, je me dispute en cours avec l'une de ses bourgeoises au coeur de pierre, après je bouscule un nouveau en renversant toutes mes affaires contre lui dans les couloirs et pour finir, je perd mon portable ! Il y a vraiment de quoi péter un plomb ces jours-là... Mais heureusement, en vue d'une absence du prof du dernier cours, j'ai pu finir plus tôt, vers 14h plus précisément. Je me sentais si mal après cette journée, j'avais un de ses coup de cafard que je déteste. Et mon pays natale me manquait tellement... Alors, je réfléchissais allongée dans mon lit de ma chambre, de ce que j'allais faire de cette fin de journée ... Rester cloîtrée dans ma chambre, seule à réfléchir ? Non... Faire un tour dans les couloirs pour discuter avec quelqu'un que je connais ? Non plus... Je voulais prendre l'air et m'aérer les idées, pour une fois que je pouvais, donc direction la plage !
Je m'en fichais d'être seule à y aller, je voulais absolument quitter les lieux de l'UCLA pour oublier tout ça quelques instants. Marchant tranquillement la tête haute, avec les écouteurs dans les oreilles, je décompressais tranquillement, en rejoignant les bancs de la plage. Il n'y avais pas grand monde, juste ce qu'il fallait pour s'y sentir bien. Des mères avec leurs enfants entrain de se baigner, des couples qui se baladaient mains dans la mains et, des surfeurs. De suite je me sentais détendu, reposée et, je ne pensais à rien. L'air de la mer, le bruits des vagues, rien de plus calme pour se reposer... Cela me mettait de bonne humeur après la sale journée que j'avais passé, alors il me pris l'envie de me prendre une glace ou quelques choses à manger. Ce que je pris de suite, pour m'assoir aux tables pour pic-nic prévu à cet effet. Quant j'appercois un gars à une table avec ses potes. Il m'avait l'air familier, je commencer à croire l'avoir déjà vu quelque part et, soudain sa table se libère car ses amis le quittent se retrouvant seul à sa table.
J'avais tant envie de le voir, je ne sais pas ce qui me pris sur le coup, j'avais cette impression de déjà vu que je voulais vérifier. Alors, avec un peu d'hésitation, je m'approcha tout doucemment vers lui en disant: « Salut !... Je peux ?... » en montrant la place vide de sa table. Sur le coup, il se demanda qu'est ce que je voulais mais il me répondis "Bien sur" en murmurant. Alors je m'assis et posa ma glace sur la table. Je ressentais que je le gênais, en même temps, je ne savais pas ce qu'il m'avais pris de m'incruster à sa table. Je le regarda dans les yeux en lui disant bien curieusement: « Excuse-moi mais, on ne se saurait pas déjà vu ? ». De suite, j'avais le sentiment de m'être incrustée fortement. Mais je voulais absolument savoir, si mon impression était fondée et, de toute manière, j'avais envie d'engager la conversation...
Code du règlement :
Spoiler:
Code OK par JACS
Dernière édition par Melina A. Benedetti le Lun 15 Aoû - 1:12, édité 28 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Melina ♣ « Et bien me voilà, que veux-tu de plus ? » Ven 12 Aoû - 16:36
L'histoire
Chapitre I - L'enfance
Tout commença le 28 avril 1988, autrement dit ma naissance. Un jour banal et comme les autre dans la ville de New Jersey. Ce jour là, la météo était assez mauvaise, il faisait gris et froid. Je n'ai jamais su vraiment, si j'étais voulu de la part de mes parents, mais je peux vous dire qu'ils avaient très peur de mon arrivée. Peur, parce qu'il ne savaient pas réellement ce qu'un bébé pouvait changer dans la vie d'un jeune couple. Je dis jeune, parce que ma mère avait 20 ans et mon père 21 ans, lors de ma naissance. Ils se sont rencontrés parce qu'ils étaient dans le même lycée. Ils se sont tout de suite entendu, puis très vite aimés. Par la suite, ma mère tomba enceinte lors d'une soirée bien arrosée. C'est seulement 3 semaines plus tard qu'elle s'en ai rendu compte. Ils ne me voyais pas comme une erreur, mais comme une chance et ils ne le savaient pas encore, mais j'étais leurs premier et dernier enfant. Une fois ma venue au monde ils ont pu le constater ; la venue d'un bébé change effectivement beaucoup de choses au sain d'un couple. C'est alors que ma mère a donc arrêté ses études pour s'occuper de moi et mon père a du les arrêter également mais pour trouver un travail qui en passant n'a pas traîner à en trouver un, puisque ce travail était dans l'entreprise de mon grand père. Et ainsi, il a pu avoir un salaire convenable pour subvenir à nos besoins. Ils étaient peut-être jeune, mais ils ont vite appris à être responsable et adulte. Après ça, tout c'est fait très vite ; ils ont emménagés ensemble, ils se sont mariés et ont su à peu près remonter la pente. Cela a était assez facile, parce que leurs parents ont étaient compréhensif et les ont aidés. Ils eurent une vie aussi simple et basique qu'on pouvait espérer avoir. Je devenais pas à pas, une petite fille comblée. J'étais, sans me vanter, calme et agréable, ce qui enchantait davantage mes parents. Et ça a continué au fil des années, allant à une école primaire et public. Parmi cette école, j'étais une petite fille mignonne par les professeurs et une chouette copine par les amies. Bref, j'avais ce qu'on pouvait souhaiter à cet âge, mais dieu seul savait ce qui nous attendais par la suite...
Chapitre II - L'adolescence
Vous savez ce que c'est quand on est adolescente ? C'est là où on se rebelle, là où on a les hormones qui travaillent et là où on s'imagine vraiment de tout et de n'importe quoi... Et bien voilà le genre d'ado que j'étais, mais en bien pire... J'étais la sale gosse qui sombrait dans la délinquance. Mais cela tenait rien qu'à moi, parce que du côté de mes parents, ça allait à merveille ! Pour ainsi dire, mon père succédait à l'entreprise de mon grand-père devenant ainsi, l'un des plus grand et jeune PDG de la ville et pour ma mère, elle avait trouvé un job honnête dans une banque. J'avais des parents friqués, mais moi ce qui m’intéressais, c'était d'être la fille la plus respectée et populaire du collège. J'étais prête à tout pour avoir davantage de respect de la part des autres collégiens. On me disais de voler un jeu vidéo, je le faisais. On me disais de braquer une personne âgé pour avoir son sac à main, je le faisais. Et cela finissait à chaque fois au commissariat. Et à chaque fois, je leurs disais : « Je m'en fous de ce que vous pouvais m'dire, mes parents vont arrivés dans pas longtemps de tout' manière. ». Mes parents arrangeaient les bêtises que je faisais, en continu et pendant des années. Mon père a pensait à un moment à m'envoyer en pension, le temps de me calmer. Mais ma mère souffrait de l'éloignement. Malgré tout ce que je pouvais lui faire subir, elle m'aimais. Sans le savoir, je causais également des ennuis dans leur couple. Vers mes 15 ans, mon père en à eu marre. Il a alors commençait à me frapper, pour me faire comprendre mes actes. Et quand je dis "frapper", je pèse mes mots. Ça allait, de bonnes claques à des coups de poings. Il avait peur pour sa réputation surtout. Malgré les coups que je recevais toutes les semaines de sa part, j'avais cette voix au fond de moi qui me disais de continuer. Et c'est ce que j'ai décidé de faire. A cette période, j'étais lycéenne. Mais une des lycéenne les plus respectées et populaire du bahut. J'avais ce que je voulais depuis toujours, dans un sens. Je me souviens qu'un fameux soir, je voulais faire quelque chose de grand. C'est alors qu'avec trois amis, qu'on s'est mis à taguer les murs du lycée. Un bel et grand tag apparaissait sur un de ses murs. Mais juste après ça, j'ai commençais à regretter. Je pensais à ce que mon père allait me faire, et j'en ai eu peur. Je voulais faire fuguer pour ne pas l'affronter, mais c'est ma mère qui me préoccupais le plus, à cet instant. Car pendant ces derniers mois, elle a commencé à me défendre. Je n'étais pas du tout un ange, mais elle me défendais. Parce que j'étais sa fille, comme elle me disais. Donc elle se faisais frapper à ma place, sauf qu'elle, elle a eu le courage de se plaindre et, de porter plainte. Elle a commençait à avouer tout ce qu'ils nous avait fait ces dernières années et, elle profita du moment pour divorcer. Tout allait en sa faveur et mon père en pris alors pour 3 ans de prison. Ma mère avait de la famille quelque part dans la ville New York. Une ville bien sympathique selon elle. Et, elle me proposa donc d'y aller pour y vivre une fois le divorce prononcé. C'était l'occasion de me ranger du bon côté et d'avoir une nouvelle vie...
Chapitre III - Adulte
Heureusement que j'avais ma mère à mes côtés. Elle qui m'a soutenu et aidé depuis toujours. Une fois arrivé à New York près de notre famille, nous avons su nous faire une nouvelle vie. J'allais à un nouveau lycée, j'avais de nouveaux amis. Et ce changement de vie m'a permis également de changer ma vision des choses. L'envie de faire des conneries autour de moi m'étais passée, si je peux dire. Et je me suis jurée à cet instant précis, que plus tard, j'aurais un boulot honnête et que je serais quelqu'un de bien. Et par mon passé, j'ai voulu faire des études pour un travail important, des études pour être flic. J'ai toujours aimé faire respecter quelque chose. A mes 18 ans j'étais majeur, mais je sortais également du lycée mais pour rentrer à l'école de police. Tout allait pour le mieux pour moi. A ce moment, où je rentre dans cette école, je rencontra ma première histoire sérieuse : Josh. Actuellement, nous nous sommes perdus de vue, mais je m'en souviens encore de notre histoire. Depuis l'école de police, nous avons tout fait ensemble. Nous avons d'abord été amis. Puis les sentiments sont venus et le reste s'est fait. Nous avons débutés puis enquêtés ensemble. Mais hélas, du jour au lendemain, il a été muté pour je ne sais quelle raison. Je pensais que c'était sérieux entre nous, j'étais prête à passer à l'étape supérieure. Je n'ai jamais su si c'était à cause de moi, où ça venait de lui. Alors, nous avons poursuivis notre carrière séparément. Aujourd'hui, je suis lieutenant dans une brigade que j'apprécie. J'aime mon boulot, mes collègues, mon patron,... Ma famille a enfin retrouvé la paix... Tout est redevenu normal. Mais une chose est sur ; je ne suis pas prête de refaire confiance à un homme. Pour ce qui est de mon père, dieu seul sait ce qu'il est devenu...
Dernière édition par Melina A. Benedetti le Dim 14 Aoû - 22:46, édité 8 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Melina ♣ « Et bien me voilà, que veux-tu de plus ? » Ven 12 Aoû - 16:44
Bienvenue à Toi
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.