Age: Date de naissance: Lieu de naissance: Métier/Etude:
J'appartiens au groupe des Workaholics
Personnage:Poste VacantScénarioInventé
"Comme indestructibles ! " de Saez
Signe(s) Particulier(s)
Son corps est comme la conception que Paris Hilton se fait de la vie, parfaite et complètement immaculée. En effet, son corps n'est couvert d'aucune plaie, aucune cicatrice ni d'aucun tatouages. Il ne possède rien, absolument rien pouvant faire défaut à sa peau. Quelques poils parsème son corps, après tout... C'est un homme assez poilu.
Orientation Sexuelle
Plus hétérosexuel que lui, tu meurs ! C'est un homme, un vrai. Il raffole des jupes féminines, il court la gonzesse comme on dirait ! Le divorce n'étant pas encore prononcé, il ne couche plus nul part. Ce n'est pas par simple soucis juridique, mais parce qu'au fond, c'est toujours cette femme qu'il aime plus que tout.
Howard John Crowling
Physique & Caractère
Apparence & Style:Imaginez vous la plus belle personne que vous n'avez jamais vu. Imaginez vous une personne parfaite, une peau pas trop terne, pas trop brillante non plus. Imaginez vous un type pas trop poilu, un homm pas imberbe non plus. Imaginez vous quelqu'un qui aurait subi une sorte de ... Transformation physique, quelque chose à la Marvel. Le Super Héro dont la parfaite beauté et la parfaite grandeur seraient les uniques supers pouvoirs. Voilà ! Vous n'avez absolument pas Howard devant vous. Howard est plutôt le contraire de cela, c'est un type assez mince, mais avec une certaine carrure, un certain style qui vous donnera du fil à retordre. C'est un homme au visage assez carré, des traits bourrus, une peau élastique qui permet de faire des grimaces somptueuses. Des yeux banaux, rien de bien extraordinaire dans ce visage. Quant à son style vestimentaire, c'est toujours pareil, une certaine routine plutôt chiante où il s'enfonce et demeure chaque jour de sa conne de vie. Il porte toujours des costumes d'un noir tranchant, des costumes très chers, très classe mais très simple. Ouais, mais ça fait vendre, topichou, hein ?
Caractère: "Putain ! Vous m'en parlez surtout pas, c'est d'accord ? Bon... Maintenant que vous avez mis mon joli minois en rogne, vous allez poser vos fesses sur ce canapé en cuir noir, venu de la peau de fesses d'un chameau, et vous allez écouter. Vous voyez, cet homme est arrogant, riche, peut-être... Mais il déteste complètement cette notion d'argent. Vous savez, cette arrogance ne le quitte jamais. Il a envie de vous expédier un poing dans la figure dés qu'il vous regarde. Comment je le sais ? Parce que j'en ai fais les frais. Un beau jour, comme ça, s'en prévenir, j'ai eu le droit à un coup de poing et un nez cassé en prime. Putain, j'ai envie de dire, vive la cohésion, hein ? Je vous jure, saloperie d'enflure. Ce type, imbu de lui même, abusant de la froideur... Je le hais" Un ex employé.
"Mhhh.... Howard... C'est un homme un peu... Spécial, mais très gentil. Vous savez, il y a quelques temps, nous marchions dans la rue pour nous rendre dans un petit restaurant de banlieue, le genre d'endroit où il adore manger, sans strass ni paillettes, et là, aux devantures d'un restaurant, un homme sans foyer, un type que la divine providence avait particulièrement oublié, il a sorti son porte-feuille et lui a offert mille dollars, comme ça.Le type, tellement heureux s'est extasié. Vous voyez, la générosité de cet homme ? Et bien, c'est cela. C'est cela l'honneur, c'est ça, être un véritable Homme. Il donnera toujours aux autres avant de se donner à lui même. Cet homme est généreux, cet homme est misérable mais bon. Pour lui, le don aux autres est la chose la plus importante qui soit.
L'histoire
Bip. Bip. Bip. Un bruit strident, un bruit éparse, qui se répand. L'homme s'étire, il n'a aucune envie de quitter ce magnifique lit pour deux personnes qui s'est transformé, après le départ de sa donzelle en lit qui se meurt. Une place uniquement était occupée, laissant un côté de cette structure de bois laquée à l'abandon, comme si... Comme si un fantôme flottait toujours ici bas, dans cette magnifique chambre. Mais pourtant, personne n'était là, personne ne s'était manifesté, ni quelqu'un d'humain, ni une quelconque forme de paranormal. Howard John Crowling, était à trente cinq ans, un homme totalement malheureux. Les pales figures étaient belles à montrer, les gens pensaient que derrière ce parfait sourire se cachait un homme à la hauteur de son empire industriel.On pensait tous qu'il était un homme comblé, que dans sa vie, tout lui souriait. Et pourtant, sa vie amoureuse était le reflet parfait d'une vie professionnelle rayonnante. L'homme qui avait longuement été un homme parfait sur tous les plans n'était plus qu'un demi homme. Il ne commettait plus le pêché de chair depuis longtemps. Si Benoit XVI était un de ses amis proches, il aurait été heureux de voir que ses discours à la con sur la religion et le sexe marchaient correctement, depuis longtemps, Howard ne rêvait que d'une chose. Que sa femme, la seule femme qu'il ait jamais aimé soit enfin à côté de lui à nouveau. Il voulait que cette divine créature retrouve sa naturelle place à côté de lui, pour qu'il puisse la toucher, pour qu'il puisse effleurer son divin corps, ses courbes d'une grandeur incarnée. Elle était enceinte, et c'était un des plus grands bonheurs qu'il aurait pu connaitre si sa femme était toujours ici, avec lui, à attendre tranquillement que vienne son gosse. Mais ce n'était pas possible, et cela à cause de quoi ? Vous vous demandez ce qui avait poussé le patron d'une des plus grandes entreprises d'armements à quitter sa femme ? Un soucis politique, voilà ! Elle souhaitait participer aux manifestations de Green Peace, en parfaite petite écologiste à la noix, il avait refusé, il était bourré et deux tartes plus loin, elle avait finie par se casser. Maman j'ai froid, maman j'ai peur, maman, papa j'suis désolé. Même Sexion d'Assaut aurait été dépassé par tant d’intelligence parolière, n'est-ce pas ? Oh que ouais, oh que ouais, génial. Il L'homme avait l'habitude des coups, sa mère se faisait cogner par son ivrogne de mari et cette fois, il n'avait pas vu le truc venir, les deux claques étaient parti, frappant d'un côté, puis de l'autre. Vie de damné, solitude quand tu nous tiens ! Il haïssait tellement ses actes, et maintenant, il faisait tout, tout pour oublier cette fille, mais seulement... Ce n'était pas si simple, et l'envie de lui sauter dessus, l'envie de lui faire encore l'amour, de l'aimer était tellement présente. Et même son travail s'en ressentait, il déléguait, passant son temps sur ces sites de réseaux sociaux, à épier les photos de celle qui portait encore son nom. Le divorce n'était pas encore là, il n'avait jamais signé les papiers. Il attrapa son paquet de cigarettes et en tira une. Il l'alluma et jeta son briquet au sol. La chambre de son appartement faisait la taille d'un salon ordinaire ce qui permettait à la fumée de s'évaporer rapidement, des systèmes de renouvellement de l'air et de refroidissements ultra-performants traversaient tout l'appartement, lui fournissant ainsi une sécurité, jamais il ne pourrait s’étouffer par manque d'air, le monoxyde de carbone n'avait qu'à bien se tenir. Petit coquinou !
Behind the computer
Prénom:Yoann Âge : 17 ans Avatar choisi :Jim Carrey Comment as-tu connu ce forum ? :Top site Ton avis (design, contexte, ...) : Il gère la fougère Présence sur le forum : écrire ici Autre(s) compte(s) : Aucun Exemple de RP :
Spoiler:
"Terres dévastées, ruines fumantes, bruits d'explosions incessants. C'est par cette courte phrase que je soulignerais mes souvenirs des premières années de ma vie. Bien entendu, malgré un cerveau que je sais assez poussé, presque aussi développé que l'odeur du sperme dans la bouche, je ne me souviens pas de ma naissance, ni des trois premières années de ma vie. Quelques images me viennent parfois, projetées comme une radiation dans les fesses d'un japonais. Je vois parfois un visage figé dans l'élan de jouissance, en réalité... Plutôt celui de pousser un cri atroce, une femme, elle est belle. Deux diamants d'un vert profond, parsemés d'un brin de noir en guise d'yeux, un visage aux traits assez fin, comme si un peintre aveugle avait parfaitement esquissé ce petit nez en trompette, ce menton d'une finesse sans pareille, deux lèvres fines et si attirantes. La magnifique femme, dans chacune de mes visions tombe dans un dernier cri silencieux, lorsqu'à la manière d'une caméra, je la vois en gros plan, son corps est coupé en deux, les jambes sont séparées du corps, elles flambent.
Il m'arrive aussi de voir un grand homme, j'ai l'impression de me regarder dans un miroir que ce bon vieux coincé de Sigmond désignerait de rêves, mais ça ressemble plus aux descriptions de la vielle gitane qui se farcit les clients dans son arrière boutique de "Voyance Expresse". Cet homme me ressemble très fortement, mais il est plus petit, plus trapu. Un badge est accroché à sa poitrine, je ne lis pas ce qui est marqué dessus, ça semble être un nom, tracé d'un vert penchant, presque hypnotisant. Ce n'est pas un type normal, ça se sent. J'ai toujours eu un don pour juger les gens du premier coup d’œil et ce sosie mal recopié, ce Viêt du clonage ne semble pas net. Une barbe de trois jours, une main tremblante lui donnent un côté allemand très fort. Pourtant, il pose aux côtés d'un type en uniforme. Ces visions me reviennent parfois, lorsque je connais de lourdes périodes de stress.
Elles ont débuté à l'âge de trois ans, alors que j'apprenais que le Père Noël n'existait pas, déçu de ce que je pensais être mes parents à cette époque, je m'étais enfermé dans ma chambre, sans me nourrir, sans prendre la peine de donner à manger aux tambourinements presque sexuels d'un estomac d'obèse réclamant la dose journalière d'un africain. Elles ne m'ont presque jamais quittées, ne laissant qu'un bref répit parmi l'obscurité. Depuis ce temps, je suis devenu un insomniaque profond, ne dormant pas plus que Mylène Farmer dans un lit, je passe mes soirées à diverses occupations, je peux me plonger pendant des heures dans des lectures qui me rappelle la belle époque, celle de l'enfance. Fils spirituel de la littérature étrangère, je me retrouve parfaitement dans certains personnages de Molière, tantôt Tartufe, tantôt Misanthrope.
Si quelque chose me fut inculqué au cours de cette enfance promulguée par deux tuteurs que je pensais mes parents fut des valeurs morales que jamais je n'aurais pu bafouer, contre vent et tempête, je me défendrais d'être queqlu'un de bon, qui a œuvré pour le bien de son pays pendant plus de trente ans. Ultra conservateur sur les bords, je me réjouis de ne pas avoir été Président de la France, Noël Mamère et ses grosses moustaches attirant parfaitement la peur dans mon pauvre être. Je me vante également d'avoir évité Merkel et ses culottes de cheval. J'ai été élevé selon des principes très religieux, anti anglicanisme, mais très branché catholicisme , je visitais souvent des églises durant la période de l'adolescence. Je m'y attachais particulièrement, aux douceurs des courbes des cathédrales aux gorgones primitives, je me souviens jusqu'à l'odeur de moisi si enivrante qui flottait comme les paroles d'un libyen trop énervé dans un air propre, pur. Je me détachais de cette religion lorsque j'étais admit à l'école supérieure d'études et de sciences politiques de Londres. En effet, la religion encore très présente dans mon esprit fut balayé au profit d'une science et d'un autre mode de vie, celui de la rationalité. Mon ami Jeremiah me disait toujours que j'étais un des amis de Dieu, ne pouvant tailler de pipes au Divin, j'avais quelques autres privilèges que je n'aurais laissé au bord d'une route pavée pour rien au monde, même, au péril de ma vie. J'avais en ma possession un savoir, un réfléchi que je comptais bien utiliser à des fins politiques. Depuis l'âge de trois ans, je suivais des débats, je pouvais, des heures entières fixer un écran de télévision pour y écouter les Lords, de costumes magnifiques vêtus. C'est dans les années qui suivirent ma sortie de l'école que je devenais pour l'Angleterre, un homme avec un certain mérite, quelqu'un qui se faisait connaitre pour être un des plus jeunes secrétaires d'état. Je fis la rencontre d'un homme qui, sans le savoir aller bouleverser ma vie à jamais. Le Professeur O'Connor, cet homme de trois ans mon ainé était quelqu'un d'assez impoli, mais pourtant, il y avait de cette bouche, de ses paroles quelque chose de sacré, une prière mystérieuse. Je les buvais avec démence, j'étais envouté par le moindre de ses dires. Il m'introduisit parfaitement aux fondements d'une Nation propre. J'étais séduis par une telle intelligence, une lucidité sans failles. Je pensais sincèrement qu'un jour cet homme deviendrait encore plus important qu'aujourd'hui, déjà directeur du Génie Militaire Anglais, et vice président de la Commission à l'Aviation, il pouvait à tout moment, faire appel à ses hommes et renverser le pouvoir. Il n'eut à cette époque, pas de raisons de le faire. Le Professeur s'éloigna, il fut envoyé en mission à l'autre bout de la Manche, la France était déjà dans une période de Révolution sans précédent, un régime de dictature s'était installé, et les Anglais, amoureux de la démocratie s'y opposait parfaitement. De gestes lasses, O'Connor s'exécutait, même si au fond de moi, je savais que cet homme aimait le totalitarisme, qu'il était un fanatique d'Adolf Hitler et de Joseph Staline.
Il fait beau. Un cadavre. Une femme. Elle est belle. Nue. Découpée. Approche toi, que je te vois
Au moment où j'écris, mes yeux sont lourds, à demi clos. Mon verre de whisky est pour la dixième fois de la soirée dans un état proche du zéro absolu. Mon cerveau me joue des tours, cette femme apparait encore. Je lutte, ferme les yeux, les ouvre. Où en étais-je déjà ? Ah oui ! J'évoquais la situation en France. Alors que nous pensions que cela serait comme Susanne Boyle : laid mais isolé. Nous nous trompions royalement, ce fut ensuite le tour de plusieurs grands états européens. Constamment, les frontières étaient condamnées. Il m'est arrivé, alors que j'étais Ministre aux Affaires des Autres (étrangères), j'ai du faire dans la finesse* (* en français dans le texte). pour y entrer. Je me suis rendu sur place, la situation est exprimée dans mon rapport du dix juin par une phrase "Apocalypse, terres dévastées. Europe dans un état grave, la fin est proche."
Oh oui, encore un peu. Je peux sentir la peur sur ton visage. Je peux voir tes yeux ronds Je peux voir ton corps décharné. Je veux le toucher, je veux te faire crier encore un peu.
Je me sens mal, mes yeux me jouent encore des tours, mon cerveau est dans un état second, mes mains sont crispées, la plume s'abbat sauvagement sur ma feuille. Mon souffle se fait légèrement décalé, je suis malade, très malade. Je me sers un verre de Whisky, je bois encore, je tente de faire partir ces images de mon crâne, elles y sont ancrées, impossible. Je me sens encore plus mal, j'ai froid, j'ai chaud. Mon corps brûle de l'intérieur, mon sexe me fait frisonner. Ma main lourde écrit encore sur ce bout de papier, mon cerveau est transporté. Je quitte spirituellement ce monde pour quelques instants.
Viens par ici Viens me voir Je suis un gentil homme Je veux juste te tuer Te faire du mal Je veux juste de découper Je veux juste te faire crier Souffres encore, j'aime ça.
Mes souvenirs deviennent plus présents encore, je rythme mes pensées qui soulagent mon corps, je chantonne, ça y est, tout est très clair pour moi, laissez moi vous présenter George Hemingway, laissez moi vous rappeler mes actes, laissez vous avoir.
Les oiseaux chantonnent, il fait chaud, trop chaud pour l'homme sur la terrasse. Il maudit la météo, il maudit les idiots de la télévision, il maudit tout le monde, même les trois jardiniers qui s'activent dans son jardin. Il fixe un point dans le vide, son front graisseux est parcourut d'une sueur puante, rance. Une femme magnifique, une blonde aux yeux verts de noir, élancée, silhouette mince s'en approche. Ils discutent, ils ont grands, ils peuvent parler. George n'est pas très loin, il joue à abattre une grenouille qu'il vient de pêcher dans le petit étang privé du domaine, il la tape, un sang blanc coule bientôt. Il affiche un sourire satisfait, heureux de son crime, il vient de mettre à mort la première bête de son existence. Il ressent des picotements au niveau du sexe, il semble adorer ce genre de choses. George fixe les deux êtres qui s'embrassent sauvagement sur la terrasse, il est très en colère. Ils sont puants, comment peut-on s'aimer ? Il ne comprend pas, lui ce qu'il veut, c'est tuer, faire du mal, comme lorsqu'il a frappé la petite Betty jusqu'à lui casser trois dents et le nez, sans raisons, juste parce qu'il avait envie. C'était la première fois que son sexe s'était tendu à ce point, et depuis; il ne se tendait jamais que lorsqu'il tapait quelqu'un ou tuer une bestiole. George s'imagine déjà, il sera libre dans quelques temps, il suffit que ces deux silhouettes soient effacées, comme la brume efface les traces d'un phare. Il suffit de les faire disparaitre, ce sera enfantin, il le sait. A ce moment, son cerveau décroche, il veut les tuer, il veut être un petit homme libre. Il ne supporte pas ses parents, il ne supporte personne. Vivre ou mourir... Le choix n'appartiendra pas à ces deux personnes, non. Il veut avoir la vie de ses parents entre les mains, il veut pouvoir palper leurs cadavres découpés en suivant le sens des artères, ne jamais abimer une proie, il le sait, papa l'a amené à la chasse. Il regarde l'heure sur la montre reçue pour ses dix ans. Il est six heures moins le quart, son père se débarrasserait de sa blague "l'heure du ricard" si on lui eut annoncé l'heure. Il le sait, c'est ce soir le bon soir. Depuis six mois, il attendait que lui murmure le chant des oiseaux, il attendait de sentir ce léger frottement en lui. Il en est certain, il devra les découper ce soir, les faire souffrir un peu plus. Il en salive, il en bave. Il est heureux, il sort de derrière le buisson. Maman se précipite pour le serrer dans ses bras fins, de petite fille. Il la laisse faire sans convictions, pensant au nombre de sachets qu'il faudra pour emballer ses bras, ses cuisses, son buste, et la pièce maitresse, la tête. Il veut contrôler son cœur, lui murmurer des mots doux avant qu'elle s'abandonne à la mort dans un dernier cri. Il veut qu'elle tombe, qu'elle s'écroule, qu'elle brûle. Il a élaboré une petite bombe artisanale grâce à la "recette" trouvée dans les livres sur la guerre de Papa. Il a déjà la pièce parfaite, il les fera descendre à la cave, il voudra montrer la pièce dérobée qu'il a découvert. Papa et Maman seront fiers de lui, il le sait, et il mettra en place son jeu pervers, salace. Il veut toucher son sexe déjà dur à cette idée, il veut voir en sortir ce liquide viril. Il voudrait avancer le temps pour voir brûler les corps.
Quelques heures plus tard. C'est l'heure, c'est enfin le moment qu'il attendait. Son sexe n'a pas baissé de volume, son pantalon lui fait mal, son membre est prisonnier derrière une épaisseur en tissus, il souffre, mais ne dit rien. Tout doit être parfait, tout doit être comme dans son fantasme, magique, mathématiques, logique. Malgré son jeune âge, il sait déjà où il va aller, il ira chez son oncle et sa tante, qui se meurt d'un cancer du cerveau. Il est prêt. Il appelle Papa et Maman d'une voix presque mélodieuse, chantant le printemps, annonçant un bon présage. Il fait une mine étonner, déjà dans la cave, faisant semblant d'avoir découvert quelque chose de magique, comme la clé vers un monde de prostitués japonaises. Ils viennent, on entend les pas lourds de son père, et les talons qui claquent de sa pauvre mère. Ils entrent, George dit aller chercher une lampe torche, lorsqu'il sort de la pièce, il enferme ses parents. Tout est prêt pour eux depuis plus de huit mois; Il est enfin sûr de lui. Son sexe est tendu, il le libère, il le touche légèrement, le laissant ainsi à l'air libre de l’escalier tiède. Il entend déjà ses parents demander d'ouvrir, lorsque personne ne vient ouvrir, et qu'ils se rendent compte être réellement pris au piège, la femme pleure, hurle. Le sexe de George coule tout seul, il entame des vas et viens rapides. Au bout de quelques secondes, un cri rauque lui échappe, ses muscles se contractent, les cris ont doublé de volume. Il attrape le petit détonateur dans sa poche. Construit pendant la guerre, cette cave est blindée, résistant à toutes sortes d'explosions. Il presse le bouton, un boum, des cris. Puis plus rien. Un silence...De mort. Il ouvre après quelques secondes d'hésitations. Une odeur emplit ses narines, l'homme est mort, la femme a perdue ses jambes mais soupire encore. Il s'en approche, il penche son visage sur le sien et lui souffle au visage, elle suffoque, elle souffle, presque morte. Il se masturbe de nouveau et répand sa semence sur le visage de sa mère, il rigole à ne plus en pouvoir. L'odeur de chaire brûlée le drogue, il aime, il renifle. Il l'achève du couteau qu'il tenait dans sa main droite. Le Mal est né ce soir là... Camouflé pendant des années, il fit de nouveau son apparition.
Il veut effleurer son corps, toucher ses seins nus, croquer sa pauvre peau. Il enlève ses vêtements, se retrouve nu comme au premier jour, il fait trop chaud. Il passe d'abord ses mains appliquées sur son bras, il la touche, explore la marchandise. Son bras parfumé est bon, très bon. Il lèche sensuellement, son autre main caresse son sexe dur. Il jouit très vite, mais ne se laisse pas déconcentrer par un cri de jouissance. Il s'amuse tout d'abord, mordant comme un nourrisson suce le lait au sein de sa mère. Puis, tendrement, il tordit son bras, il y enfonça sa dentition, le sang encore chaud coulait dans sa gorge. Il en boit à la source, son autre main caresse ce corps coupé en deux. Il lèche encore, il croque, arrache la chair sauvagement. Il aime ça. Il grignote jusqu'à l'os, le suce délicatement. Il décide de couper ce corps en morceaux et de garder ceux qu'il mangera. Il s'applique, et se lève, vers l'autre cadavre. Le repas promettait d'être excellent. Bienvenue aux Enfers.
Code du règlement :
Spoiler:
ok by Denden
Dernière édition par Howard J. Crowling le Mer 24 Aoû - 13:46, édité 4 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Howard J. Crowling Mar 23 Aoû - 22:47
Bienvenue Merci de mettre le nom de la célébrité choisit dans la case sous ton titre (:
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Howard J. Crowling Mar 23 Aoû - 22:51
HAN MON DIEU !! JIM CARREY Ce mec est extraordinaire BIENVENUE et je réserve déjà un lien :brigitte:
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Howard J. Crowling Mar 23 Aoû - 22:53
Bienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Howard J. Crowling Mar 23 Aoû - 22:58
bienvenue
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Bienvenue Les Howard sont les meilleurs héhé ! Et Carrey est un super choix !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Howard J. Crowling Mar 23 Aoû - 23:06
OMG, Carrey, ça c'est pas courant. Et excellent à la fois.
Welcome & bon courage pour ta fiche!
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Howard J. Crowling Mar 23 Aoû - 23:38
O__O pour le pseudo (aa) Merci beaucoup à vous touuuuuuuuuuuuuus <3 Voilà, fiche terminée *O*
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Howard J. Crowling Mer 24 Aoû - 0:49
Dylan L. Cooper a écrit:
Merci de mettre le nom de la célébrité choisit dans la case sous ton titre (:
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Howard J. Crowling Mer 24 Aoû - 12:01
Bienvenue sur le forum
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Howard J. Crowling Mer 24 Aoû - 13:46
Merci. Mh, bizarre, j'ai mis le nom, mais ce dernier s'est effacé.
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Howard J. Crowling Mer 24 Aoû - 14:56
Ow Jim Carrey Bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Howard J. Crowling Mer 24 Aoû - 15:02
Bonjour, J'ai validé ton code de règlement qui est bon. Il y a deux ou trois trucs à modifiés dans ta fiche. Déjà, il y a quelques fautes d'orthographe qu'il faudrait corriger. Elles sont pas nombreuses mais quand même. Ensuite, on demande 5 ans de différence avec la personne de l'avatar. Jim carrey a 49 ans, ton personnage peut alors avoir au pire 44 ans. Lorsque les modifications seront faites, reposte dans le topic adéquate pour le dire. Sinon, bienvenue sur le forum.
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Howard J. Crowling Mer 24 Aoû - 15:07
JIM CARREEEEEEEEY.
Bienvenue sur nycl.
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Howard J. Crowling Mer 24 Aoû - 20:55
Bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Howard J. Crowling Jeu 25 Aoû - 3:29
J'me suis justement dis, aujourd'hui: Howard, c'est tellement cool comme prénom! Haha ^^
Jim Carrey, ce type est simplement extraordinaire ** Bon choix, et bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Howard J. Crowling Sam 27 Aoû - 12:26
Oh mon dieu, JIM QUOI. Bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Howard J. Crowling Sam 27 Aoû - 16:00
Bienvenue a toi
Contenu sponsorisé
Empire State of Mind
Sujet: Re: Howard J. Crowling
Howard J. Crowling
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum