Age: Date de naissance: Lieu de naissance: Métier/Etude:
J'appartiens au groupe des Ordinaries
Personnage:Poste VacantScénarioInventé
"Il n'y a pas de femmes moches, il n'y a que des verres de vodka trop petits. " Beigbeder
Signe(s) Particulier(s)
Il a des ailes d’ange tatouées dans le dos, un as de pic au poignet gauche et un C stylisé sur la hanche, tout ça grâce à son cher ami Cillian Morrison du temps où ils ne pouvaient pas se supporter et s’appliquaient chacun de leurs côtés à se faire les pires des vacheries. Il a également une petite cicatrice sous l’œil droit.
Orientation Sexuelle
Bisexuel
Quentin Denzel Klein
Physique & Caractère
Apparence & Style: Quentin est d'une apparence plutôt ordinaire, des cheveux bruns qui frisotent lorsqu'ils sont mouillés et des yeux de la couleur du chocolat noir, tantôt chaud et petillant, tantôt éléctrique et glacé. Ses yeux sont le reflet de ses humeurs, c'est bien la seule chose qu'il ne pourra jamais contrôler, et quand on le connait il est facile de deviner ce qu'il pense en observant son regard. Il mesure un joli mètre 86 pour un poids tout à fait honorable, avec de belles tablettes qu'il entretient du mieux qu'il peut et une peau couleur sable. Bizare de dire d'une peau qu'elle est couleur sable, je sais, mais je vous jure que c'est exactement ça. Pas trop bronzée ni trop palichonne, pas caramel, sable quoi. Niveau apparence, Quentin a du mal à envisager la possibilité de ne pas s'habiller d'une manière classe. C'est à dire que même s'il lui arrive d'enfiler de temps en temps de véritables loques quand il est seul dans son appart et en pleine depréssion des neurones, quand il sort, et même la plupart du temps, il s'habille avec une chemise ou un tee-shirt très cher. THE chemise et THE tee-shirt. En plus le fait de travaillé trois fois par semaine dans un cabinet d'avocat l'oblige à être justement bien habillé.
Caractère: Il faut tout un mode d’emploi pour comprendre un Quentin, c’est pas si simple que ça en à l’air de décrire ce caractère là. Le Frenchy est du genre à ne pas vouloir grandir. Rester un grand gamin, un emmerdeur. Il a peur des responsabilités et à tendance à constamment tout tourner en dérision. C’est difficile d’avoir une conversation sérieuse avec lui parce qu’il fuit les problèmes comme la peste. Du coup on a l’impression qu’il se fout de tout ce qui l’entoure, alors que c’est faux, c’est juste que son estime pour lui même est à un niveau complètement pitoyable et qu’il pense qu’il est incapable de changer et de devenir un adulte. De toute manière, avoir une vie normale le terrifie, alors il préfère faire n’importe quoi dans le seul but de ne pas penser à l’avenir. Il ne se fixe quasiment aucune limite dans ce qu’il entreprend, il aime l’excès sous toutes ses formes (drogue, alcool, sexe et autre connerie en tout genre, ça lui est déja arrivé de terminer dans un commissariat) et dépense son argent sans compter (il a encore du mal avec la notion de pauvreté). Très étrangement, même s'il ne croit pas vraiment en lui-même, il n'est pas dénué d'orgueil et d'arrogance, avec une certaine tendance à l'égocentrie et à la moquerie. Il peut tout aussi bien être courageux que lâche, il peut vous tendre la main et refuser de vous la serrer cinq minutes plus tard, vous trouvez ça absurde ? C'est normal. Sa qualité ? Son cœur d’artichaut. Ouais ouais, rigolez si vous voulez, mais lui c’est un vrai petit tendre. Incapable de prendre une décision au bon moment, maladroit et parfois désagréable (c’est un spécimen très étrange, plus il déprime, plus il est méchant), il est néanmoins très attentif aux autres et aime bien faire plaisir, même s’il reste discret dans ses attentions.
L'histoire
Quentin a toujours pensé que la vie est censée se dérouler comme dans des séries. D’ailleurs, sa propre vie ressemble fort à un film, même si elle reste relativement simple, quoique assez mouvementée du début jusqu’à aujourd’hui. Quentin à la base, c’était le chiffre mystère, la donne qui modifiait toute l’équation, l’électron libre venu dérégler la vie bien réglée de la famille Klein. La famille Klein, c’était un mari riche, une femme qui trompait ledit mari riche avec un autre riche, et un enfant unique, Zachary, petite perle de perfection aux yeux de ses parents, bourreau détestable et méprisable aux yeux de Quentin. Leur relation a toujours été conflictuelle. Zachary prenait exemple sur sa mère, qui détestait Quentin parce qu’il était la preuve vivante qu’elle avait cocufié son mari, et sur son père, qui ne l’appréciait pas non plus parce que ce n’était pas son enfant, donc Zachary détestait Quentin et celui ci le lui rendait bien puisque de toute manière, il aurait fallu être fou pour apprécier quelqu’un qui vous hait. Ça va, vous suivez jusque là ? Rassurez vous, ça ne se compliquera plus trop à partir de maintenant, si vous avez survécu aux premières lignes pour survivrez au reste ! C’est sans doute de là qu’est né le complexe d’infériorité du Frenchy, maintenant que j’y réfléchis. Le manque de confiance en lui, je veux dire. Vous voyez, c’est un fait, Zachary a toujours été meilleur que lui, à l’école, en sport, et finalement, sur le plan des ambitions, Quentin était constamment battu. Oh pas de beaucoup, il arrivait à chaque fois à la seconde place, mais c’était suffisant pour qu’il se sente nul, bien sur. Zachary entraîna Quentin à des fêtes et l’incita à se droguer, ce dont il finit par prendre plaisir et il en devint dépendant. Pour se venger Quentin raconta à sa mère que son demi-frère se droguait, avec preuve à l’appui. Et en apprenant ça, le beau père se suicida. Magnifique résultat qui n’était en réalité que le départ d’un véritable effondrement familial, le premier domino face à la chute impossible à arrêter de la mère, puis du frère. Pour éviter de voir la réalité en face, à savoir que le suicide du père de Zachary était quand même un peu sa faute, en plus du fait que sa mère ne cessait de le tromper constamment, il décida d’entamer des études de droit aux USA, à New York. Et à New York, il rencontra d’abord Elliott, avec qui il fila le parfait amour durant un an. Un an oui, car à ce moment là, ce fut au tour de sa mère de se défenestrer et il partit à l’enterrement sans en dire un mot à Elliott, qui le prit très mal. Leur couple un peu branlant finit néanmoins par revivre, sauf que, manque de chance, quelques mois plus tard, Elliott partit à son tours. Et très, très longtemps. En fait, son absence dura carrément un an. Un an oui, ce qui laissait à Quentin tout le loisir d’enchaîner les dépressions et de se droguer encore plus qu’il ne le faisait habituellement. Heureusement que Cillian Morrison était là pour lui changer les idées. A présent il est de nouveau célibataire, est très heureux de l’être d’ailleurs, il a décidé de réduire les doses de drogue, voir carrément d’arrêter, mais ça promet d’être dur, et il s’est plongé plus sérieusement dans ses études de droit. Il n’a quasiment rien touché de l’héritage de ses ‘parents’ et s’est trouvé un emploi dans un cabinet d’avocat, ce qui lui permet de vivre à son aise pour le moment. Voila, en résumé, la vie palpitante de Quentin Klein. Dans les schémas de vie habituels, les gens naissent pauvres et en gagnant au loto, ils deviennent riches. Ben Quentin lui, c'est le contraire. Et dire que ce n’est même pas encore fini !
Behind the computer
Prénom:Marion Âge : 17 x) Avatar choisi : Louis Prades Comment as-tu connu ce forum ? : je m'en rappelle même plus, c'est pour dire @__@ .... cillian m'a trainé de force. <_< vilain, vilain, vilain Cillian ♥. Ton avis (design, contexte, ...) : ♥ j'adhère Présence sur le forum : le plus régulièrement possible. Autre(s) compte(s) : nop Exemple de RP :
Spoiler:
Il pleuvait. Foutu temps qui rendait les gens d’humeur morose. Je sortais du boulot. J’avais passé 3 heures pendu au téléphone, répondant aux appels de multiples clients qui me demandaient tantôt comment allumer leur télévision, tantôt comment réparer leur box. Jusqu’à ce que j’accepte ce job je n’aurais jamais cru que des gens pouvaient se permettre d’appeler à 23 heures tout ça pour pouvoir s’abrutir devant un écran de télé. Et oui, ce genre de personne existe. Et en plus de ça elles ne sont pas aimables. Ça doit être trop demandé que de dire merci, bonjour ou au revoir, à la place ils raccrochent au nez. Ils s’imaginent que ce sont de notre faute si leur truc ne fonctionne plus. Que ce sont nous qui leurs avons vendu de la camelote, pour les obliger à venir racheter la même chose un an plus tard. Quelque part ils n’ont pas complètement tord mais ils se trompent simplement de cible. Ce qui est drôle c’est que quand on m’a proposé ce poste, le mec en face me parlait comme s’il me donnait là un travail un or. Ahaha, attention petit gars, grâce à moi tu vas devenir le roi du téléphone, tu seras payé une misère mais tu n’auras pas le droit de te plaindre parce que répondre à des gens hystériques, exigeants et pressés, ce n’est pas donné à tout le monde ! Des vies dépendent de ton travail assidu, jeune mortel ! Alors quand on sort du boulot à minuit et qu’on se retrouve devant un rideau de pluie, il est compréhensible qu’on ait tout sauf envie de sourire. En soupirant je réajustais ma veste et sortis mon parapluie de mon sac à dos. Les rues étaient englouties sous l’eau, recouvertes de flaques. C’était le déluge, et moi, je me donnais l’impression d’être Moïse marchant sur l’eau. Ce n’était pas normal qu’il pleuve autant en une journée. Il n’avait pourtant pas fait particulièrement chaud ces derniers jours, ni même trop froid. La température impeccable, et voilà que les nuages étaient arrivés pour tout bousiller. En résumé, c’était un temps de merde, et moi j’étais pressé de rentrer chez moi. Je pris une longue inspiration avant d’entamer mon trajet. Il y avait du monde dans les bars mais personne dehors, ce qui était normal vu les trombes d’eau qu’il tombait. J’étais donc le seul crétin sous la pluie, le point positif ? J’avais le trottoir pour moi seul, youpi. L’eau ne tarda pas à s’infiltrer dans mon bas de pantalon et je frissonnais alors que j’accélérais le rythme. J’habitais à une demie heure à pied de mon lieu de travail ce qui en soit n’est pas si loin. Quand il fait beau. Le vent ne tarda pas à me décoiffer complètement. J’allais choper une pneumonie. Je passais devant le sdf habituel. J’étais bientôt chez moi, j’allais pouvoir me mettre au chaud. Quelques escaliers à grimper, une porte à ouvrir. Je glissais la clé dans la serrure. Il fallait pousser fort pour ouvrir l’entrée, elle bloquait toujours à cause du bois qui s’était un peu effrité. Je laissais mon parapluie pendu dans le couloir avant d’aller allumer les radiateurs. Je retrouvais l’univers rassurant de mon appartement. Ou tout était propre, ou tout était bien rangé. Je pris le temps de changer de pantalon et de chemise avant de sentir un petit pincement dans un coin de ma tête. Je la connaissais bien, cette petite voix. Rien qu’un souffle, mais qui s’insinuait dans chaque interstice de mon esprit. Je n’essayais même pas de résister, j’étais trop crever. D’habitude j’essayais de l’ignorer, hin, j’essayais vraiment. C’était mon démon à moi, mon enfer personnel, ce petit morceau de folie qui me dévorait vif parfois. Je pouvais essayer de me persuader que je n’avais rien fait qui puisse justifier un tel acte mais quelque part je savais bien que j’avais toucher le téléphone, les touches de clavier, la poignée, la rampe d’escalier… Donc je devais me laver les mains neuf fois et le visage sept. J’essuyais ensuite mes mains et mon visage rougis à force d’avoir frotté et j’allais me laisser tomber dans le canapé. Il pleuvait encore et toujours. Comment il se débrouillait, le sdf, quand il faisait un temps pareil ? Il ne se débrouillait pas, il passait la nuit dehors sous la pluie parce qu’il n’avait pas le choix. Ce n’était pas vraiment un sdf, il était trop soigné, trop jeune. Je l’avais compris très rapidement. La plupart des soirs quand je rentrais du boulot, il n’était pas là… Le genre de personne que je ne comprenais pas, malgré les efforts que je faisais pour. Ça m’agaçait. Encore un soupir. Aller Drayan, sois généreux et altruiste. Tu peux le faire, t’as assez de place dans ton appart pour qu’il puisse passer une nuit ici, tu le croises tous les jours, tu peux quand même faire ça pour lui. Bon…d’accord. Mais il ne fallait pas qu’il découvre mon secret. J’enfilais un imperméable noir et repris mon parapluie. Je ne savais même pas pourquoi je faisais ça, quand j’étais à Phoenix je n’avais jamais accueilli personne chez moi et pourtant les sdf étaient monnaie courante. Je dégringolais les escaliers comme si j’avais la capacité de passer entre les gouttes et retournais dans la rue. Il était allongé là, sur une bouche d’aération. Bon sang, il ne fallait pas que je le touche. Pas avant qu’il ait pris une douche au moins, voire deux. Je m’approchais doucement, réfléchissant à ce que je pouvais dire. Je n’avais aucune envie qu’il me considère comme un client potentiel, je voulais simplement l’aider. J’arrivais à côté de lui et penchais le parapluie de manière à le protéger lui aussi de la pluie. -Si tu as envie de dormir au chaud cette nuit, tu peux venir avec moi. Ouai, c’était pas mal ça, même si j’aurais put faire encore mieux. Quand je parle j’ai souvent l’impression de passer pour un crétin alors qu’en fait non, mais bon. Profite mec c’est ma BA du jour.
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Dernière édition par Quentin D. Klein le Sam 12 Nov - 19:00, édité 9 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Fucking Bisounours Jeu 18 Aoû - 23:11
Bienvenue
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Sujet: Re: Fucking Bisounours Jeu 18 Aoû - 23:18
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Sujet: Re: Fucking Bisounours Jeu 18 Aoû - 23:31
merci !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Fucking Bisounours Jeu 18 Aoû - 23:45
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Fucking Bisounours Ven 19 Aoû - 0:09
bienvenue, je valide ton code qui est bon
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Fucking Bisounours Ven 19 Aoû - 8:00
Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Fucking Bisounours Ven 19 Aoû - 11:30
merci beaucoup j'ai fini ma fiche !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Fucking Bisounours Ven 19 Aoû - 11:41
je te laisserais posté dans le topic approprié
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Fucking Bisounours Ven 19 Aoû - 11:57
Le mode d'emploi pour comprendre le Quentin est disponible où?
Bienvenue parmi nous & bon courage pour ta fiche!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Fucking Bisounours Ven 19 Aoû - 13:55
cillian m'a trainé de force. <_<
C'est que mon meilleur ennemi sert à quelque chose quand il veut
Bienvenue parmi nous
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.