Sujet: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Dim 28 Aoû - 15:58
Mymz
Age: Date de naissance: Lieu de naissance: Métier/Etude:
J'appartiens au groupe des Playboys
Personnage:Poste VacantScénarioInventé
"Il faut du courage pour courtiser une femme avec une salade de thon." Derek (Grey's Anatomy)
Signe(s) Particulier(s)
Le chiffre 24 tatoué derrière son oreille gauche ; il possède plusieurs cicatrices à la jambe droite.
Orientation Sexuelle
Hétérosexuel
Leandro A. Montgomery
Physique & Caractère
Apparence & Style: De grands yeux d’un bleu saisissant, une chevelure d’un châtain clair impossible à coiffer, Leandro a tout d’un jeune homme charmant et attirant. Les demoiselles ne s’y trompent pas, d’ailleurs. Il n’a pas besoin de porter sans arrêt des costumes trois pièces ou même d’être en short de bain sur la plage pour attirer la gente féminine. Parfois, un simple sourire de sa part suffit : Cela indique notamment qu’il prête attention à autrui et qu’il s’intéresse à une potentielle rencontre. Ses dents blanches et parfaitement alignées ont souvent fait fondre des cœurs, d’ailleurs, excepté le sien. Mais ça, c’est un autre débat. Contrairement aux apparences, Leandro suit sa propre mode sans véritablement se soucier des courants. Il peut choisir au hasard des vêtements dans son armoire sans faire attention aux couleurs, cela n’a aucune importance : Il a un don naturel pour se mettre en valeur sans en faire des tonnes. Il privilégie notamment une bonne chemise confortable et un pantalon ou un jean qui va lui faire un petit moment plutôt que des fringues à six cents dollars qu’il ne va porter qu’une fois de peur de les abîmer. Il préfère être en mesure de sortir avec des vêtements, du coup, il ne met jamais des tonnes de moyens dans l’achat de ceux-ci, notamment parce qu’il a une sainte horreur du shopping et tout ce qui se rapporte à l’achat d’habits ou de chaussures. D’autant qu’il est relativement grand (Un mètre quatre vingt dix), par conséquent il lui faut parfois des vêtements et des chaussures sur mesure, double raison pour lui de ne pas courir après la perle rare de manière systématique. Il est, qui plus est, souvent vêtu de sa blouse blanche et de son ensemble d’interne en chirurgie. Le prestige de la blouse ! Celui-ci lui a rapporté de nombreuses conquêtes supplémentaires, et sans surprise, il y tient, surtout lorsqu’il peut avoir la chance de tomber sur d’excellents cas chirurgicaux. Il faut dire que peu de monde résiste à ses traits à la fois très matures et semblables à ceux d’une poupée de porcelaine version masculine. Certes, Leandro est très compétent, mais son physique on ne peut plus avantageux ne joue pas toujours en sa faveur, au contraire, il le décrédibilise auprès des titulaires. C’est pourquoi il n’en n’use souvent qu’une fois sortit de l’hôpital.
Caractère: Telle une énigme digne d’un archéologue, Leandro peut revêtir autant de masques et de casquettes qu’il en existe en ce monde. Difficile il est de réellement le connaître sur le bout des doigts, et ce pour la simple raison qu’il n’aime pas spécifiquement être connu. Le mystère a toujours été sa plus belle carte : Il a pour habitude de rester dissimulé derrière un masque de bienséance et un sourire charmeur, preuve qu'il écoute tout ce qui lui est dit et bien qu'il n'en perde pas une miette, ses réactions vont souvent à l'encontre de ce que n'importe qui attendrait. Lorsqu’il revêt sa blouse d'interne en chirurgie, et qu’on lui assène du « Docteur Montgomery » à longueur de journée, Leandro est un jeune homme attentif, avenant, dévoué et aussi disponible que compréhensif. Mais ce n'est qu'une autre façade : Jamais il ne froisse ses collègues, jamais il ne fait mine de marcher sur les plates bandes de quiconque...Mais la vérité est toute autre. Sans être particulièrement sournois, il poursuit son petit bonhomme de chemin sans se soucier du quand dira-t-on. Il aide son prochain du mieux qu’il peut en gardant toujours un visage aimable, aussi détendu que possible, et son verbe n’est jamais trop haut : Il trouve toujours LE mot pour réconforter, quelque soit les circonstances à endurer. Par ailleurs, il possède des nerfs d’acier, une patience à toute épreuve et c’est ce qui fait qu’on peut difficilement le détester. Leandro est compétent, aimé de ses patients, et son travail au niveau de la chirurgie est toujours irréprochable : Depuis son entrée en tant qu’interne au plus important hôpital universitaire de New York, il a fait du chemin. Il ne panique pas pour un grain de riz, tâche de mettre en action tout ce qu’il a appris et fait appel à ses réflexes théoriques pour se sortir même des pires situations. C’est indéniable : Leandro est un petit génie. Derrière son visage de porcelaine aux traits poupins et l’impression qu’il donne d’être encore un enfant, c’est un jeune homme mature et à même de prendre d’importantes décisions. Hélas, on ne le prend que rarement au sérieux, surtout en dehors de l’hôpital, à cause du fait qu’il ne fait pas réellement son âge. Faut-il qu’il ait les reins solides et une patience de fer pour ne pas envoyer valser quiconque le traite comme un vulgaire gamin sans cervelle. Gentil, oui. Bête comme ses pieds, certainement pas ! Certes, il se cache aux yeux de tous, use de sa diplomatie légendaire et d’un brin de manipulation pour obtenir gain de cause lors d’une situation de crise, mais cela ne fait pas de lui un écervelé de bas étage, bien au contraire. Leandro est juste un garçon au tempérament complexe et aux relations humaines qui ne le sont pas moins. Par ailleurs, c’est un acharné dans tout ce qu’il entreprend, et même la plus infime tâche est menée jusqu’au bout. Leandro n’agit pas en surface, mais bien en profondeur, et son esprit étant facilement porté sur l’analyse du monde dans lequel il vit : Chaque détail est noté dans un coin de sa tête et reste prêt à être utilisé lorsqu’il en a besoin. En apparence, Leandro est quelqu’un d’extrêmement posé et de calme, un brin solitaire, mais ce n’est qu’une carapace savamment étudiée : Il sait très bien dire « merde » quand il faut, bien qu’il sache le dire avec les formes, et envoyer tout valser si cela lui chante. Il sait manipuler pour parvenir à ses fins, pour peu que cela soit en dehors de l'hôpital. Il n’est pas réellement régit pas des règles, des codes de conduite extrêmement précis, pour la simple et bonne raison qu’il s’adapte à la situation. Ce sont SES règles, SES codes de conduite en fonction des situations de crises qu’il utilise. Il ne réfléchit pas des années à l’avance avant de répondre à quelqu’un et fait parfois preuve d’un petit côté sauvage en cela : Bien qu’il soit résolument pragmatique, Leandro aime bien se fixer des limites dans ses relations humaines, malheureusement peu nombreuses. Il ne peut pas toujours dominer ce petit côté versatile qui a souvent fait son charme et qui est à l'origine de ses nombreuses histoires d'une nuit. Il a beaucoup de mal à s’attacher aux personnes et aux souvenirs, du fait de son histoire complexe et difficile. Dès lors que son emploi du temps rudement chargé le lui permet, il possède des histoires d’une nuit, qui elles sont relativement nombreuses. Leandro ne s’attache pas, ne se dévoile pas et entend que la situation reste ainsi. Par ailleurs, sa fragilité physique le freine parfois dans les relations purement physiques : Comme tout un chacun, il lui arrive de céder à des pulsions on ne peut plus humaines, mais de s’arrêter en chemin parce que son corps ne peut pas supporter tant d’adrénaline d’un coup. Ne jamais oublier qu’il ne se donnera à fond que pour son travail et rien d’autre…Leandro a perpétuellement peur d’être déçu et préfère décevoir le premier, quitte à s’armer d’une carapace plus épaisse encore, afin de se préserver. Son petit cœur sensible, très bien caché derrière une montagne de principes et un tempérament trop cartésien, reste vulnérable aux attaques extérieures et il se voit parfois contraint de couper les ponts avec autrui dès lors qu’une relation devient trop complexe. Vu sous cet angle, on pourrait presque croire que c’est une petite chose fragile…C’est aussi vrai que c’est faux, à vrai dire. Leandro est aussi passablement fou et imprévisible, et ce dans le meilleur sens du terme : Il lui suffit d’un regard pour sonder quelqu’un et savoir jusqu’où il peut aller avec ladite personne ; nul ne peut se prétendre capable de sonder la réaction qu’il aura face à telle ou telle situation, et si c’est une véritable énigme vivante, il aime cet état de fait. Cela lui permet de vivre sa vie comme il l’entend sans se préoccuper de ce que les autres pourraient éventuellement penser de lui. Encore une fois, Leandro possède un cœur en or, mais cela ne veut pas dire pour autant qu’il est stupide…Et qu’il ne sait pas blesser autrui en réparation d’un mal qu’on lui aurait causé. S’il y a bien UN défaut dont il faut particulièrement se méfier, c’est son côté rancunier : Leandro n’oublie jamais rien. Il classe tout dans un coin de son esprit et malheur à celui qui chercherait à le blesser d’une manière ou d’une autre.
Dernière édition par Leandro A. Montgomery le Mer 31 Aoû - 1:15, édité 5 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Dim 28 Aoû - 15:58
L'histoire
« Plus tard, je me marierais à mon ours en peluche. » Non, Leandro n’a jamais été comme les autres enfants. Il ne rêvait pas de se marier avec sa maman, ou même d’avoir un petit frère ou une petite sœur. Il n’était pas porté non plus sur le machisme le poussant à réfuter le symbole même du mariage et tout ce qu’il peut bien impliquer. Le début de sa vie était déjà bien assez tragique pour qu’il n’ose rajouter la moindre déception supplémentaire : En effet, quand beaucoup d’enfants sont désirés et apportent de la joie au sein d’une famille, Leandro n’était qu’un accident. Un petit bout de chou qui n’aurait pas dû naître. Il ne saura jamais qui était sa vraie génitrice, du reste. Mais celle-ci était d’origine suisse, une actrice dont la carrière avait été brisée et qui était tombée enceinte accidentellement en flirtant avec son manager. Pendant les trois premières années de Leandro, cette jeune Maman avait tâché de s’en occuper du mieux possible. On ne pouvait pas dire qu’elle était réellement faite pour être mère, aussi, c’était dans une indifférence certaine que le petit garçon avait commencé à grandir. Mais vint un jour où ce semblant de famille fut tellement étranglé par les dettes que le bout de chou de trois ans fut abandonné. La Maman de Leandro le fit monter dans un sublime carrousel, à Wellington, la ville où elle lui avait donné naissance, avant un simple mot sur elle : « Il s’appelle Leandro, il a trois ans. Par pitié, prenez soin de lui…Je ne peux pas le garder, je suis désespérée. » Un morceau de papier qu’aujourd’hui encore, le jeune homme garde précieusement avec lui, comme l’unique souvenir de sa véritable mère. Leandro fut recueillit par un jeune homme venant tout juste de perdre sa femme, Luke Forbes. Ce fut un peu son cadeau tombé du ciel, surtout pour un propriétaire de cirque. Il l’éleva comme son propre fils, qu’importent les sacrifices que cela lui demanda. Leandro prit part à cette grande famille en devenant LA coqueluche : Il était doué pour le jonglage, il savait illuminer un trapèze, et savait s’approcher de la cage des fauves sans ressentir autre chose que de l’excitation et de la passion. A sept ans, il avait déjà son propre numéro et était le chouchou du public. C’est à ce moment là qu’ils quittèrent la Nouvelle Zélande pour sillonner les routes d’autres pays, notamment la Suisse et la France, un pays qui restera à jamais gravé dans la mémoire de Leandro : « La France, ce n’est pas que le pays de la Choucroute, il y a le vin et le fromage aussi. » Très tôt, il se passionna pour tout ce qui faisait la fierté de cette belle contrée. Ce n’était pas seulement le côté alimentaire de luxe qui lui plaisait, mais également l’art, les paysages, la différence de relief flagrante présente entre une ville, une région et une autre…Leandro apprécia tout particulièrement le passage qu’ils firent à Paris, la ville lumière : Ce fut le lieu de sa rencontre avec celle qui allait devenir sa future mère, Mina Montgomery, une femme d’affaires aussi jeune que milliardaire et qui prit bientôt ce petit jeune homme de dix ans en affection. Au départ, elle l’impressionnait tellement qu’il n’osait pas dire plus de deux mots d’à filée…Jusqu’à ce qu’il parvienne à la faire rire à l’aide d’une simple grimace. « Mina, ma mère, c’était le gâteau sur la cerise. » Pour Leandro dont l’environnement familial n’était guère idéal, avoir une chance d’être adopté, à son âge et alors que le cirque battait de l’aile était primordial. Il s’intéressa à tout ce que sa nouvelle mère lui apprit, jusqu’à ce qu’elle ne décide de quitter définitivement Paris en l’emmenant avec elle. Bien évidemment, le cirque suivit la jeune femme jusqu’aux États-Unis, pays qui devait leur redonner un peu de poil de la bête, mais qui ne fut en vérité qu’un gigantesque désastre.
« Le bonheur, c’est quand les emmerdes se reposent. » La notion d’épanouissement pour Leandro était très subjective. Après tout, si Mina était une mère protectrice et avenante envers son fils adoptif, Luke et ne s’intéressait à lui qu’à partir du moment où il était capable de gérer un show tout seul. Leurs relations furent aussi diverses qu’enrichissantes, jusqu’au moment où deux catastrophes survinrent dans l’existence du jeune garçon : La première, un malaise qui lui offrit un aller direct pour l’hôpital le plus proche, et dévoila un souffle au cœur redoutablement important. Le diagnostic à long terme, c’était une greffe cardiaque. La nouvelle fut rude à encaisser pour le jeune Leandro, comme pour sa mère. Il n’était âgé que de onze ans, et la plupart des numéros qu’il faisait au cirque nécessitait un cardio plutôt impressionnant. Au départ, le jeune garçon ne pu que souhaiter écouter les conseils avisés du médecin : Il fallait sûrement qu’il mette de côté toute activité liée au cirque, au moins le temps que la greffe ne se fasse et qu’il ne retrouve une vie normale. Mais Leandro n’était pas destiné à avoir une existence dite normale…Luke devait le sentir, et refusa que sa meilleure recrue n’abandonne son talent en le jetant en pâture aux orties. Il fallait dire que sans lui, une grande partie du spectacle était foutu. Les places allaient donc moitié moins se vendre, et en homme d’affaires qu’il était, Luke fit passer son profit avant la santé de Leandro. Ce qui lui évita un procès sanglant, c’était que Mina était en voyage d’affaires à ce moment là. Puisque son fils était lié au cirque par contrat encore quelques temps, elle délégua ses responsabilités de parent à Luke, sans se douter de ce qu’il comptait justement en faire. Ainsi, il poursuivit donc l’exécution de son show à chaque représentation, suivant de près les ordres de cette sorte de mentor l’ayant sorti en premier du marasme dans lequel il avait été abandonné…Malheureusement, cela le conduisit à la seconde catastrophe, à savoir une chute vertigineuse de trapèze. En plein spectacle, les battements irréguliers de son cœur le firent lâcher prise en plein saut, et il se retrouva à terre, la tête en sang, sous les regards horrifiés des spectateurs. « On a toute la mort pour se reposer. » Leandro passa une bonne semaine à l’hôpital, et au final, il ne s’en sortit qu’avec quelques égratignures. Physiquement, il avait eut beaucoup de chance ; mais moralement, c’était la pire expérience qu’il ait eue à supporter. C’était à peine s’il était capable de regarder à nouveau son tuteur en face, et bien qu’il ne soit guère porté sur la haine et la vengeance à cette époque, il se rendait bien compte qu’il l’avait forcé à risquer sa vie pour une poignée de dollars. A ses yeux, rien n’aurait pu expliquer un tel comportement, ni un tel égoïsme. Il fut donc contraint de lui balancer dans les gencives qu’il ne reprendrait pas son rôle au sein du cirque tant que son cœur ne le lui permettrait pas…Après tout, s’il n’avait pas eu autant de chance, il aurait très bien pu se rompre le cou ! Hélas, sans sa participation active, le cirque commença effectivement à décliner. Ce n’était pas faute d’essayer de trouver des dizaines de solutions pour redresser la barre, et même une tournée à travers tous les États-Unis n’y fit rien : Luke n’était rien sans Leandro. Il savait toucher son public comme personne, et plus que tout, il semblait avoir le cirque dans le sang. Mais Mina s’empressa d’interdire à Luke de reprendre contact avec son fils, et pour parvenir à ses fins, déménagea à Chicago. C’était une ville peu propice aux numéros de cirque en soit, et accessoirement la ville du siège de sa société en plein essor. Là bas, Leandro commença à s’intéresser à des études plus normales, obtenant son diplôme du lycée à à peine quinze ans, preuve de son extraordinaire intelligence. Il se lança sans l’ombre d’une hésitation dans la médecine sitôt accepté à la fac la plus réputée de Chicago, toujours protégé par le cocon offert par sa mère…Hélas, Mina ne pouvait pas tout prévoir, malgré des moyens colossaux et un compte en banque proprement homérique.
« Qui veut une femme belle, riche et attentionnée doit en chercher trois. » Le premier épisode notable des à l’université ne fut pas des moindres : Leandro n’avait pas encore idée du côté dévergondé des américains, et du fait qu’il soit capable de devenir encore plus effronté qu’eux une fois en leur présence. C’est ainsi qu’il fut surprise en pleine séance d’essayage de vêtement dans un petit magasin sans prétention, et ce par une jeune femme qu’il n’avait jamais vue auparavant. N’importe qui aurait été offusqué, évidemment…Leandro n’en fit rien. A la place, il lui proposa d’aller faire un petit tour en voiture, à savoir un magnifique 4x4 de chez Porche pour lequel Mina avait largement participé, utilisé pour son petit shopping en solitaire…Il faisait quasiment nuit, mais cela n’empêcha pas le jeune homme de forcer la voyeuse à se déshabiller à son tour avant de faire mine de l’abandonner en pleine rue. Il ne l’avait récupéré que bien après, alors qu’elle n’était qu’en chemise et en culotte par une nuit particulièrement fraîche. Auparavant, jamais Leandro ne se serait amusé à ce genre d’ineptie…Mais il allait bientôt découvrir qu’il avait plus d’un tour dans son sac pour oublier sa triste condition actuelle, comme le fait que cette jeune femme soit faite pour lui…En apparence. « L’alcool désinhibe tous les sens, même celui de la bienséance. » Plus les mois passaient, plus Leandro se concentrait sur son diplôme et sa propre vie. Lorsqu’il n’avait pas le nez dans les bouquins ou à suturer des bananes pour se faire la main avant son internat, il donnait le peu de temps libre qu’il avait à Callie, ce joli brin de fille à qui il avait fait une farce des plus douteuses et qui faisait pourtant tant chavirer son cœur. Il le savait, elle ne pouvait qu’être l’unique personne à faire battre son cœur malade…Il était jeune, il était hélas naïf ; Callie l’était nettement moins.
« Gandhi disait : Quoi que vous fassiez, ce sera insignifiant. Mais il est très important que vous le fassiez. » Leur idylle dura pas moins de trois ans avant qu’une véritable catastrophe n’arrive : Un beau matin, Callie lui annonça qu’elle était enceinte. Ce fut un choc sans nom pour Leandro. Lui qui était romantique à l’époque, il ne se voyait pas s’engager à ce point aussi jeune, et ce bien qu’il soit amoureux fou de cette charmante blondinette aux yeux d’un vert émeraude. A ce moment précis, il aurait tout donné pour disparaître comme dans un tour de passe-passe et ainsi se faire oublier le temps que la tornade ne se calme…Hélas, ce n’était pas ainsi que cela pouvait marcher. Et, bien qu’il ne soit nullement prêt à assumer son rôle de père, à aucun moment Callie n’eut à se plaindre. Il était présent, aux petits soins, toujours à l’écoute. Il répondait aux moindres caprices de la future maman, et s’il fallait partir faire le zouave dans les rues de Chicago pour obtenir une barquette de fraises en plein mois de décembre, il s’y collait, et avec le sourire en prime. Leandro fut le parfait gentleman et s’arrangeait pour qu’elle ne manque jamais de rien. Il prit même son courage à deux mains pour l’annoncer à sa mère, non pas pour qu’elle ait à subvenir aux besoins de la future petite famille mais bien pour qu’elle le conseille…Hélas, tous les conseils du monde ne suffirent pas à empêcher Callie de se faire la malle le jour de l’accouchement. Alors qu’elle venait d’être maman d’une sublime petite fille, elle quitta subitement l’hôpital sans un mot. Leandro n’eut jamais de nouvelles d’elle, et dû faire avec au quotidien. Peu sont capables de combiner à la fois leurs études de médecine et une vie parentale. Autant dire que le jeune homme se donne du mal à la tâche…Mais il ne faut surtout pas oublier que depuis, il a cadenassé son cœur à double tour et que celle qui le fera changer d’avis n’est pas née. Ce n’est pas pour rien qu’il refuse toujours de présenter sa fille à ses conquêtes d’une nuit, qui s’enchaînent depuis la disparition de Callie. En d’autres termes, il n’existe pas de trésor semblable à celui que représente sa fille, la petite Aurore.
« Nous laissons une part de nous-mêmes dans tout ce que nous touchons. Est-ce que c’est vrai pour tout le monde, ou est-ce juste de la poésie à deux francs cinquante ? » Pendant près de trois ans, Leandro cumula aussi bien ses études que ses responsabilités de père. Non sans l’aide de sa mère, évidemment…Mina ne pu décemment laisser son fils dans le besoin, et fit en sorte qu’il n’ait pas à trouver de petit boulot supplémentaire. Elle prenait également Aurore avec elle dès lors qu’il avait des examens ou d’importantes procédures à réviser…Sans elle, jamais il n’aurait pu finir sa quatrième année de médecine en un seul morceau et être admis au plus important hôpital universitaire de New York, où ils avaient déménagé pendant les vacances d’été, juste avant qu’il ne commence. Mina avait pensé que c’était préférable qu’ils changent tous d’air…« Il faut avoir des rêves suffisamment grands pour ne jamais les perdre de vue. » Depuis son emménagement à New York, Leandro semble voir enfin le bout du tunnel. Certes, il fait des semaines de quatre-vingt heures, pas moins de six jours sur sept et travaille souvent jusqu’à l’épuisement, mais le monde n’a jamais vu de jeune père aussi responsable que lui. Il ne ramène jamais de conquête chez lui et, bien qu’il fasse mine d’agir comme un véritable gosse de riche insupportable, ce n’est qu’une image très, très fausse. Disons que toutes les excuses sont bonnes et tous les masques sont appréciables pour ne surtout pas être sondé au grand jour. Vous l’aurez compris : Leandro est un véritable cachottier.
Behind the computer
Prénom:Mélie Âge : 22 ans Avatar choisi : Chace Crawford Comment as-tu connu ce forum ? : J'y ai déjà été inscrite y'a un bail^^ Ton avis (design, contexte, ...) : Excellent <3 Présence sur le forum : 7j/7 sauf contre ordre & je préviendrais Autre(s) compte(s) : Nope Exemple de RP :
Spoiler:
LYNN – « Rien que de penser à Adam ça me donne envie de prétexter l’usage de sa clef à molette pour un toucher rectal !! Il ne l’aurait pas volé, si tu veux mon avis. Enfin…Personnellement, je ne vois pas mon cœur comme cadenassé, mais plutôt comme un organe à suturer. Déformation professionnelle. Mais…Tu as mis de l’eau dans ton cocktail en guise d’alcool ? Autant faire les choses en grand, attends voir, je vais nous arranger ça en deux coups de cuillère à pot ! »
A vrai dire, c’était un moyen comme un autre de briser la glace et d’éviter le sujet Adam, ou sentiments, ou tout ce qui s’y rapprochait. Ce n’était pas le souvenir que Lynn souhaitait pour cette dernière soirée à San Francisco…Elle avait besoin de redevenir le petit rayon de soleil qu’elle avait toujours été et qui s’était quelque peu dissimulé derrière d’épais nuages récemment. Ce fut pourquoi elle s’empara aussitôt de leurs deux verres à cocktail avant de contourner le bar place en face du canapé où Aaron était toujours assis, afin de faire ce fameux mélange dont elle avait le secret et qui était toujours la cerise sur le gâteau des soirées réussies. Le jeune homme la connaissait suffisamment pour savoir qu’elle ne comptait pas les saouler, bien au contraire, simplement donner davantage de goût à ce cocktail déjà fort gouleyant. D’un autre côté, un peu d’éloignement, même temporaire, était toujours bon à prendre. Lynn parvenait mieux à s’exprimer et arrivait à faire tomber définitivement le masque lorsqu’elle se trouvait en face d’Aaron et non à côté de lui. Non pas que la caresse contre sa nuque n’ait pas été agréable…Mais il fallait d’abord qu’elle ait un petit temps d’adaptation avant de redevenir tactile envers lui sans éprouver la moindre petite gêne, si fugace soit-elle.
LYNN – « Pour être franche, c’est totalement par choix que je m’en vais. Sincèrement, je ne vois pas ce que je pourrais attendre de plus ici, hormis des ennuis. Je n’ai plus envie de passer des nuits dans les locaux du FBI à attendre qu’un avocat vienne me sortir de là alors que je n’ai jamais été responsable de cette vaste fumisterie…Je sature. Mais d’un autre côté, je ne veux pas d’une vie trop tranquille. J’ai besoin d’avoir de l’adrénaline, de suturer, d’avoir l’impression d’être un médecin même si cela doit être dans les pires conditions du monde. Ca m’est égal. Ici, je n’ai jamais vraiment eu l’impression d’avoir ma place…Ce n’est pas faute d’avoir essayé, tu peux me croire ! Mais à chaque fois que je me lançais dans quelque chose de précis, que ce soit mes études de médecine ou même la rénovation de ma caravane, je voulais sentir le regard de mes parents sur moi. Je voulais qu’ils soient fiers de moi, qu’ils soient heureux là où ils sont. A chaque fois que je vais quelque part, je cherche leur attention dans la foule. Et…C’est une déception perpétuelle que de ne rien ressentir d’autre qu’une brise inutile contre mon visage. Je sais, mon discours est plutôt étonnant mais je ne veux plus ressentir ça. Je veux avoir le cerveau et les mains suffisamment occupés pour ne pas me préoccuper d’autre chose que de mon métier. Je pense que tu peux le comprendre. »
C’était bien là la seule explication qu’elle puisse donner à son envie de mettre les voiles le lendemain dès l’aube, habillée d’un uniforme fait pour elle et d’un bagage qui porterait son nom et son matricule. Après tout, que pouvait-on lui faire de plus ? Mourir ne lui avait jamais fait véritablement peur et avec tout ce qu’elle avait vécu, si elle devait perdre la vie demain, elle n’éprouverait pas le moindre regret. Lynn avait l’impression d’en avoir plus vu que n’importe qui d’autre, surtout de son âge, et éprouver une peur perpétuelle d’être à nouveau seule, très peu pour elle. Avec l’armée, elle se trouvait une nouvelle famille, un nouveau cocon, si spécial soit-il, et une raison de vivre. Cette décision était aux antipodes de son romantisme habituel, la poussant à désirer une famille à elle, un beau mariage, des enfants et un chien dans une maison qu’elle aurait bâtie elle-même…Ou tout du moins dont elle aurait dessiné les plans. Mais il n’était plus temps de réfléchir à ce genre d’option ridicule. Comme Aaron l’avait justement fait remarquer, son cœur était fossilisé…Et c’était une position très nettement confortable.
LYNN – « Avant, sur mon grand terrain, je voulais dessiner et construire une maison où des enfants gambaderaient partout, avec un chien, un labrador. J’en suis revenue ! Tu demanderas à ton collègue, Will, de te montrer le numéro cinquante de Bettany Wisper. Tu verras ses joues changer de couleur, surtout si tu évoques mon nom juste après. Je l’ai compris quand il est passé te chercher à l’hôpital. C’est un peu fataliste comme façon de voir les choses, mais qui se préoccupe d’avoir une vraie famille de nos jours, hum ? Durant mes quatre ans d’internat, j’ai vu plus de bébés prématurés abandonnés dans une poubelle que de fleurs distribuées un jour de Saint Valentin ! Alors je campe sur mes positions, et je préfère passer pour cette blondinette qui suture des bananes et s’entraîne sur des peluches pour travailler ses connaissances en médecine. C’est la bonne planque, si tu savais ! »
Lynn en plaisantait volontiers, et d’ailleurs, tandis qu’elle s’affairait derrière le bar afin de leur préparer deux cocktails d’anthologie, son sourire n’avait pas diminué. La jeune femme semblait légère, à l’aise, rayonnante…Un vrai rayon de soleil un magnifique matin de printemps. Elle ne ressentait plus aucun poids contre ses épaules, ni aucune gêne, et confiait ce genre de choses sans l’ombre d’une hésitation. Comme s’ils étaient retournés dix ans en arrière et qu’elle lui faisait découvrir le fameux cocktail qu’elle avait manié par erreur lors d’une soirée particulièrement arrosée. Elle ne tarda pas à cesser de secouer son shaker avec autant de ferveur afin de verser le résultat de son mélange dans les deux verres précédemment utilisés par Aaron pour mieux tendre celui qui lui revenait au jeune homme. Elle n’assit ensuite contre le canapé avant de trinquer volontiers et gaiment, à une vie plus clémente et à un séjour dans l’armée qui allait certainement lui remettre divinement les pendules à l’heure. Ainsi, elle n’était pas forcément obligée de promettre qu’elle ferait toujours attention à elle et, sans jouer les suicidaires, elle comptait bien vivre sa vie comme elle l’entendait quitte à devoir suivre à la lettre les ordres d’un supérieur…Pour peu que celui-ci l’aide à surveiller ses arrières.
LYNN – « Arrête de culpabiliser, Aaron Harrington…Je vais bien à ma façon et c'est suffisant. Je ne vois strictement pas ce que tu aurais pu faire à tout ça. Je te l’ai dis, je n’aurais jamais accepté l’aide de personne. Je me suis construite, j’ai avancé…Et j’ai refusé de courber l’échine face à ceux qui souhaitaient me blesser. Mes derniers mots pour Adam étaient les suivants, d’ailleurs : Je ne voulais pas m’excuser pour la façon dont j’essayais de réparer ce que d’autres avaient brisé. On m’a laissé tomber, c’est vrai. Mais je suis une véritable citadelle à présent, et je sais comment gérer tout ça. J’ai appris à avoir des nerfs d’acier, et aujourd’hui, je me fiche éperdument de ne pas y voir clair. Après tout, quand j’étais gamine, je rêvais tellement du prince charmant sur son beau cheval blanc que j’en ai pris des cours d’équitation…Quand je me suis cassé le coccyx, je crois que j’ai compris que j’aurais beaucoup de mal à m’attacher comme les autres. Alors, je répare. Puisque je n’ai pas pu soigner ma mère et la garder avec moi, alors je soigne autant que je le peux, à mon échelle. Je sais qu’à l’avenir ça ne va pas être une promenade de santé, mais c’est parfait. Je n’aurais plus l’impression de me réveiller sans arrêt d’un immense cauchemar, ou à tout le moins, je saurais pourquoi ! Je ne te ferais aucune promesse, en d’autre terme. Je ne fais jamais de promesse que je ne suis pas sûre de tenir, tu le sais bien. »
Face à ces paroles, Lynn but une gorgée plus importante de cocktail avant de caresser doucement l’épaule d’Aaron pour mieux se lever du canapé et s’allonger à même le sol, sur un tapis on ne peut plus moelleux afin d’observer le plafond. C’était un vilain réflexe lorsqu’elle réfléchissait dans une conversation devenant sérieuse…Et c’était la preuve qu’elle n’était pas sous morphine : Si elle avait plané, elle aurait probablement fait des avances et cherché son propre malheur sans le vouloir. Là, elle souhaitait simplement placer ses mains sous sa tête, respirer profondément et fermer les yeux afin d’adopter une expression des plus paisibles. Sûrement la dernière avant un long moment…
LYNN – « Tu vas très bien t’en sortir, je n’en doute pas une seconde. Pour ta défense, dis-toi qu’il y a au moins un millier de larmes que j’ai effacées moi-même sans l’aide de personne. J’ai toujours été trop sensible, et un rien m’affecte, même encore aujourd’hui. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir tenté de devenir comme une pierre, comme un objet qui ne ressent rien…Mais je dois être la plus incapable du monde pour le faire. Je m’attache, je regrette…C’est comme arracher un pansement sans anesthésie. Il faut savoir accepter la douleur en s’attendant à un ciel plus clément ensuite. J’ai appris à accepter le mauvais avec le bon…Et je n’éprouve pas la moindre peur à partir avec l’armée. Si je perds la vie, et bien tant pis, j’ai déjà bien vécu si l’on fait le compte exact. Il y aura toujours des choses que je ne vivrais jamais et très étrangement, je prends ça avec philosophie. Enfin…Je ne t’ai jamais haït Aaron. Tu m’as fait du mal, c’est vrai. Je me suis relevée et ressaisie, ça l’est tout autant. Et à ton tour, tu existeras très bien sans moi, non ? Je ne sais même pas si je vais revenir dans les parages, alors crois-moi, tout ce qui s’est passé de lugubre est pour ma part oublié. Je me concentre sur l’essentiel, à savoir que tu as un tapis d’un moelleux exquis et que l’on sirote un cocktail excellent. Pourquoi complexifier ? C’est tellement simple ainsi. »
Ca ne voulait pas dire qu’elle savait exister sans lui. Aaron lui avait diablement manqué, mais c’était trop tôt pour ce genre de déclaration. Peut-être n’allait-elle-même pas le lui répéter, pensant que c’était inutile. Lynn était en train d’agir avec philosophie : Elle profitait de l’instant présent, allant même jusqu’à rouvrir temporairement les yeux pour lui faire un clin d’œil accompagné d’un sourire franc, avant de les refermer et de pousser un soupir d’aise inimitable. Même dans cette position, elle avait l’air proprement rayonnante…Et effectivement, elle ne ressemblait à aucune autre, même dans cette position étrange.
LYNN – « Si tu as des questions à poser, profites-en tant que tu m’as sous la main. Comme il n’est pas question que tu me vois partir en uniforme parce que je n’ai pas envie d’avoir des adieux larmoyants, je jure de dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité, parole de scout. Tu sais, un cœur fossilisé se radoucit en parlant et en étant exploré. Ca ne m’arrivera probablement pas mais ça peut t’arriver. Regarde, tu as bien une petite fille tout à fait adorable ! Elle me manquera, d’ailleurs. Le plus drôle, c’est que je l’ai rencontrée en face de tous les couffins de la nurserie. J’y vais lorsque je sens un petit coup de cafard arriver. Ce réflexe va me manquer aussi, du reste. Peut-être qu'à bien y réfléchir une promesse peut être faite : Puisque l'on a su se retrouver et se disputer comme des chiffonniers, on se retrouvera forcément, dans cette vie ou dans la suivante. De toute évidence, tu t'ennuierais s'il fallait que je ressemble à n'importe quelle femme, c'est une certitude. Mais trop de différence, c'est lassant. Tu verras que c'est bien de ne pas m'avoir sur le dos tous les quatre matins ! »
Et pour sa promesse, évidemment, elle avait levé la main pour faire mine que sa parole de scout était inébranlable. Inutile pour elle de faire preuve d’autre chose qu’un entrain indéniable et d’une chaleur humaine que beaucoup ne pouvaient que lui envier…Surtout en sachant dans quel coin du monde dangereux elle allait se rendre.
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Dernière édition par Leandro A. Montgomery le Lun 29 Aoû - 22:57, édité 3 fois
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Dim 28 Aoû - 16:00
chace laisse moi t'épousé en plus ce nom bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Dim 28 Aoû - 16:01
M'épouser rien que ça? Merci beaucoup pour l'accueil
Mackenzie J. Howard
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Dim 28 Aoû - 16:05
Genre Maisy tu vas faire cocu John !
Choisis moi plutôt, Mackenzie n'est pas encore officiellement engagée (a)
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Dim 28 Aoû - 16:06
Mackenzie J. Howard a écrit:
Genre Maisy tu vas faire cocu John !
C'est une façon de parler Mack
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Dim 28 Aoû - 16:07
Un deuxième Chase Bienvenue merci de mettre le nom de la célébrité choisit dans la case sous ton titre, j'edit ton code qui est bon (:
Dernière édition par Dylan L. Cooper le Dim 28 Aoû - 23:47, édité 1 fois
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Dim 28 Aoû - 16:07
Faites-moi une liste que j'en pioche une (Ou plusieurs ) au hasard :hope:
Merci à toutes, j'édite ça de suite
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Dim 28 Aoû - 16:21
En plus Mack t'es avec Tyler, fais pas genre ~
En revanche moi...
Enfin, bienvenue sur NYCL !
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Dim 28 Aoû - 16:27
Et un CHACE de plus Très bon choix de vava & alors si ya mariage moi je veux bien faire ton enterrement de vie de garçon So Welcome here et bonne chance pour la suite de ta fiche
Dernière édition par Ariel A. Pierce le Dim 28 Aoû - 16:32, édité 1 fois
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Dim 28 Aoû - 16:31
crawfooooord ton avatar vaut tous les smileys du monde (a) bienvenue parmis nous!
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Dim 28 Aoû - 17:49
Noah^^ Merci à tous pour ce formidable accueil
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Dim 28 Aoû - 18:49
Bienvenue a toi
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Dim 28 Aoû - 18:54
Merci
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Dim 28 Aoû - 18:56
De rien
Mackenzie J. Howard
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Dim 28 Aoû - 19:40
Noah Moore a écrit:
En plus Mack t'es avec Tyler, fais pas genre ~
C'est pas encore officiel non mais
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Dim 28 Aoû - 20:47
Owi battez-vous pour mwa
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Dim 28 Aoû - 23:42
Un deuxième Chace Bienvenue & bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Dim 28 Aoû - 23:52
Merci beaucoup
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Lun 29 Aoû - 11:20
Mackenzie J. Howard a écrit:
Choisis moi plutôt, Mackenzie n'est pas encore officiellement engagée (a)
Bienvenue Leandro ^^
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Lun 29 Aoû - 11:33
Je reconnaitrais ta plume entre mille, très chère...
Bieeeeenvenue!!!!!!!!!!!!!!!!! Et bon courage pour la fiche. Déjà, le caractère est super.
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Lun 29 Aoû - 12:57
Burberry V. Da Vindicci a écrit:
Je reconnaitrais ta plume entre mille, très chère...
Bieeeeenvenue!!!!!!!!!!!!!!!!! Et bon courage pour la fiche. Déjà, le caractère est super.
Mais non mais non Merci en tout cas
Et merci Tyler
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Lun 29 Aoû - 17:10
Bienvenue sur nycl.
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Lun 29 Aoû - 17:11
Merci Heavy Cool de voir que y'a toujours des têtes connues
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum ! Lun 29 Aoû - 17:13
HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAN je sais pas si j'ai le droit de te vendre mais LIZOUILLE. Ca fait plaisir de te revoir ici. Et oui, j'suis encore là, j'commence à prendre des rides...
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Sujet: Re: Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum !
Leandro Ҩ J’m’en doutais. Si j’rêvais y’aurait du rhum !