Sujet: LIKE A VIRGIN (a) - Owen Stewart Mar 6 Sep - 1:18
Morama (lj)
Age: Date de naissance: Lieu de naissance: Métier/Etude:
J'appartiens au groupe des Workaholics
Personnage:Poste VacantScénarioInventé
"Touched for the very first time ♫" Madonna
Signe(s) Particulier(s)
Un tatouage, erreur de jeunesse dû a l'ivresse et surtout a sa cousine Théa entre placé entre ses omoplates. Il possède également une légère cicatrice très discrète au niveau de son bassin a droite. Eeet en rab une alliance à la main gauche.
Orientation Sexuelle
Bonjour le roman pour expliquer l'orientation sexuelle de ce cher wenou, je vais épargner le recap complet. Sachez que pour l'heure (et à l'avenir) il est Cill-ien et c'est sa seule option.
Owen Stewart
Physique & Caractère
Apparence & Style: Physiquement parlant, il est disons... Banal. Personne ne sait exactement de qui il tiens. De ses grands-parents sans doutes, mais après tout il s'en fout, son physique est bel et bien sa dernière préoccupation. Grand, châtain, aux yeux bleus... Que demander de plus? Il est d'ailleurs assez souvent complimenté pour ses yeux, mais dans le fond là encore il s'en fout. Ça le fait sourire, creusant deux jolies petites fossettes timides, rougir, il remercie à chaque compliment fait, mais il a horreur de ça. Pour Owen tout est banal chez lui, et il n'a pas franchement envie de faire d'efforts pour changer quoi que ce soit. Il n'a pas envie de se révéler par ce qu'il porte, ce qui engendre souvent l'effet inverse. Ne marquant aucune mode ou style bien particulier, ne cherchant pas a affirmer un caractère bien particulier mais plutôt passe-partout, il met ce qui lui plait et lui va bien, tout en discrétion. Sa taille est disons, raisonnable; un mètre quatre-vingt-trois. Lui, ça lui convient parfaitement, même si sa sœur a toujours eut tendance à lui dire que ce n'était pas assez grand. Pourquoi vouloir être grand hm? Comme s'il en avait réellement besoin. Son torse quand à lui, est assez musclé, dû a divers sport qu'il pratique assez souvent, parce qu'il adore ça. Il a souvent pratiqué le football Américain, et le baseball. Sinon il adore courir, histoire de penser à autre chose. Du coup ça lui fait un corps assez agréable a regarder, bien qu'il se ballade que très rarement torse nu. Dommage.
Caractère: Le trais de caractère le plus visible chez le jeune homme est en sans doute sa discrétion. En effet Plutôt timide et réservé aux premiers abords il se fait bien peu remarqué. Il est loin d'être comme la plupart des jeune de son âge aujourd'hui. Son côté banal a limite tendance à le faire sortir du lot. Il ne se drogue pas ( ô grand jamais il n'y touchera d'ailleurs) il ne boit quasiment pas (parce que sinon il fait n'importe quoi et a perdre tout contrôle de lui même et de l'image qu'il tente de donner)et il ne fume pas non plus. Et -détail non négligeable- il ne va jamais aux fêtes... ou sous la contrainte.. c'est vraiment pas son truc. Il préfère de loin rester chez lui tranquillement, ou bien avec des amis plutôt que de se défoncer toute la nuit et baiser à tout va. Il a d'ailleurs été un très bon élève à la fac, et ce depuis toujours.
Owen a souvent tendance à passer pour le mec tranquille, sans histoires, bon ami toujours là pour les autres, qui sais garder les secret etc etc... Ce qui est majoritairement vrai. Il est un excellent ami, parfaitement loyal et toujours présent pour autrui qui fait souvent passer avant lui-même. On sait bien peu sur lui.. ou bien seulement ce qu'il laisse apercevoir, il est donc aisé pour lui de modifier son comportement d'une personne à une autre, une sale habitude qu'il a adopté et qu'il a du mal a abandonner, a son grand damne, car il fini par perdre toute spontanéité. Mais il travail là dessus.
Plutôt changeant, il ne faut jamais espérer voir en lui une certaine notion de stabilité. Il fait parti de ces personnes pour qui il est impossible de se fixer sur quelque chose, avoir un avis bien précis ou une opinion bien arrêtée, au contraire, il est même trop facile de le faire changer d'avis. ( sauf dans le cas où, justement, il veut absolument en changer) Il faisait parti de ces enfants puis jeune qui veulent tout faire sans pouvoir se décider. Il voulait être un artiste mais ne s'est jamais décidé a prendre en main un crayon, un pinceau ou bien un quelconque instrument de musique. Surtout par peur de se planter il faut l'avouer. Il a longtemps voulu être pompier puis médecin. Lui est resté en tête un sacré bout de temps l'idée de servir son pays et d'être militaire ou bien s'orienter vers la neurologie. Mais le voilà instituteur. ahem, a quand la nouvelle lubie? Plutôt... impulsif il a tendance a parler sans réfléchir, sur le coup de la colère et le regretter par la suite, surtout que sur le coup il déballe tout ce qu'il a sur le cœur. Ainsi s'il refuse de parler après que vous lui ayez annoncé quelque chose susceptible de ne pas lui plaire, laisser couler, il s'expliquera plus calmement par la suite, il faut juste lui laisser quelque temps, car il reste une personne particulièrement conciliante et peu rancunière, quelque minutes pour le laisser se calmer et tout ira bien. Le doute est une notion un trop bien acquise chez lui, souffrant d'un grand manque de confiance en lui ( en en les autres aussi), il en a également bien peu dans ses choix et jugements et se demande toujours après coup s'il a bien réagit, dit ce qu'il fallait ou adopter le bon comportement. De quoi se prendre la tête durant des heures pour un petit rien. C'est à peine s'il se comprend, à vrai dire il préfère analyser les autres, car il n'arrive même pas à se cerner lui même.
Behind the computer
Prénom:Hélène, je m'appelle hélène ♫ (lalala hm, bref) Âge : Dix-huit ans. Avatar choisi : Vladimir Ivanov. Comment as-tu connu ce forum ? : pfiou. Ton avis (design, contexte, ...) : c'est NYCL quoi! ♥ Présence sur le forum : A voir. Autre(s) compte(s) : Nop. Exemple de RP :
Spoiler:
Était chose sûre qu'Owen, depuis sa plus tendre enfance aurait voulu être un artiste. Peintre, musicien, écrivain, illustrateur, peu importe à vrai dire tant qu'il y avait cette notion artistique, cette certaine sensibilité que les autres non pas, ce regard bien particulier sur le monde, les sentiments, la vie en elle même. L'art. Peut-être que s'il n'est rien de tout ça aujourd'hui c'est bel et bien car il ne s'est jamais autorisé à toucher le moindre instrument, ne s'est jamais essayé, même seul, a dessiner réellement quelque chose, a écrire, ou bien même peindre. Jamais il ne pourra, jamais il ne saura comprendre, ressentir, le lien qui uni le peintre a sa toile. Du musicien et son instrument. Quelque chose qui le dépasse, quelque chose qu'il admire, qu'il envie. Au lieu de ça il s'était enfermé dans une vie monotone, fade de sens, sans passions, sans loisirs. Il avait toujours lu, beaucoup, des classiques pour la culture générale surtout. La seule chose qu'il savait à présent faire à peu près correctement c'était travailler, encore et toujours, plus ou moins bien, a vrai dire il s'en foutait. C'était sa seule occupation, comme toute les personne triste en se monde rongée par l'ennui, las de vivre toujours la même chose. Mais il aimait bien trainer du côté des expo, voir un peu du monde, se poser quelque instant pour écouter de la musique. La vraie. Celle des passionnés, des vrais artistes. Pas la merde qu'on servait à la radio de jeunes qui ne rêve de que fric et de baises dû a leur pseudo popularité. Enfaite il aurait voulu être comme son frère. Un mec bourré de talent, un jeune un peu paumé, désinvolte, aux allures de poète maudit, peintre scandaleux a qui certains y voyaient du talents. Complètement coké à dix-sept ans déjà il devait être mort à l'heure actuelle. Neuf ans déjà qu'il avait disparu de la surface de la Terre. Owen le tuerait d'être un tel gâchis. Il le tuait par pensé, comme là, debout devant une expo pseudo contemporaine dans une petite galerie paumée en plein New York ou il pensait à Jeremiah et à la merde qu'il avait fait de sa vie. Gros con, il aurait pu exposer en galerie! Là où il adorait aller, là où personne ne penserait le trouver. Son frère aurait très bien pu peindre ce qu'il avait sous les yeux ouais, quel con. Il n'y comprenait rien, c'était de l'art, normal. Il se donnait sa propre interprétation tant pis si ce n'était pas celle de l'artiste. Lui ne l'était pas, il n'avait pas besoin de faire semblant de comprendre.
Reniflant il tourna les talons pour sortir et retrouver le temps nébuleux New-Yorkais. Il faisait gris, pour changer, le mois d'Octobre bien avancé les feuilles avait tôt fait de tomber et les arbres arboraient soit une palette de couleur chaudes, soit commençaient a se dévêtir. C'était triste, L'automne. Et il n'avait rien a faire. Il pourrait trainer à Central park comme un con en quête de poésie, il pourrait s'engouffrer dans un bar et boire un truc pour se réchauffer, rentrer chez lui et ne rien faire puisqu'il n'y avait jamais rien a faire, ou bien appelé quelqu'un. Loan, Cillian, Dylan, Billie ... la liste était longue et pourtant il n'en avait pas envie. Loan était un peu chiante sur les bords pas parce qu'ils avaient pris des chemins de plus en plus différents et qu'ils s'éloignaient quelque peu non; parce qu'elle passait son temps a critiquer Cillian quand Owen la voyait. Quand a ce dernier ... Il hésita a l'appeler. Bien évidement il avait toujours envie de le voir, comment pourrait-il en être autrement? Mais a force d'hésiter il fini par opté pour quelqu'un d'autre. Genre Rachel. Elle était jolie Rachel, elle était gentille rachel, dans son genre. Il l'aimait bien malgré ses airs de pouffiasse prétentieuse. Mais personne n'est parfait, ça faisait un peu son charme non? Bref, il avait envie, il avait besoin de la voir elle et pas quelqu'un d'autre. Il n'y avait pas de raison particulière a son choix, mais dans son état d'esprit actuel son cerveau avait fait un choix sélectif bien précis. C'était elle ou rien. Il s'arrêta sur la chaussée pour fumer une clope quelque minutes avant de se mettre en route. Il avait la flemme de marcher, teeellement la flemme, mais pas le porte monnaie pour le payer son énième tour de taxi du mois. Le temps était a chier, il avait froid, et envie de nicotine. Pas besoin, pas encore, juste envie. Il n'était pas un gros fumeur, il avait commencé dans l'année il y a a peu près dix mois. Et peu de gens ici, a New York, le savait. Même s'il lui arrivait de puer la cigarette froide, non c'était pas lui, parce qu'Owen Stewart ne fume pas, il est saint dans un corps saint, ses poumons vont parfaitement bien, quelle idée. Tous des cons qui l'empêchaient de vivre parce qu'il s'obligeait lui-même a ne pas se laisser aller et a laisser paraitre l'image qu'il a toujours eut l'habitude d'afficher. Innocent et pur haha. Tss Merde. Peut-être même qu'il en fumerait une deuxième pour le coup.
Rachel n'habitait pas si loin, marcher n'était pas un réel soucis. Il fallait juste qu'il bouge son petit cul de là et qu'il aille sonner a sa porte, sourire aux lèvres, un petit air innocent collé sur la gueule. Il la regarderait avec son regard un peu paumé du genre à la Owen. Et elle avait intérêt à le laisser entrer. Lorsqu'il fût enfin arrivé et que, gelé, il avait sonné à sa porte il ne se serait jamais douter la retrouver en jogging, un bol de céréales en main. « Je me fais chier je viens crécher chez toi ♥» Tel était le cas bonne vielle Rachel, je squatte et puis c'est tout. Il voyait pas quoi dire d'autre face à la blonde qui le regardait de bas en haut, appuyée à l'embrasure de la porte. « T'aurais pas un bol de céréales pour moi ? » Ou un pot de crème glacé, un truc à manger quoi. Il déprimait un peu sur les bords, mais ça il ne comptait pas le dire. Il n'avait même pas de raisons a ce sentiment soudain autre que l'ennui, alors peu importait. Il lui fit son plus joli sourire innocent, et entra sans même qu'elle l'y invite. Un peu sans gêne aujourd'hui, mais bon il s'en foutait, c'était Rachel après tout, il la connaissait depuis qu'ils avaient trois ans, il n'allait pas faire des politesses avec non plus juste pour la beauté du geste. Si elle trouvait de quoi faire en plus, ce serait parfait, faut bien lui occuper l'esprit à wenou.
Code du règlement :
Spoiler:
ok by Dylan
Dernière édition par Owen Stewart le Dim 11 Sep - 23:48, édité 4 fois
Sujet: Re: LIKE A VIRGIN (a) - Owen Stewart Mar 6 Sep - 1:22
L'histoire
NEW YORK - 14 DÉCEMBRE 1995.
Jaune. Jaune. Marron. Jaune. Bleu, le ciel c'est bleu, c'est bien ça, le bleu. Marron. Rose? Non. C'est nul et puis en plus c'est pour les filles. Couché a plat ventre, le deuxième fils de la famille Stewart traçait avec concentration et sérieux des traits sur sa feuille blanche. Owen se devait de se changer les idées, attendant que sa sœur le rejoigne dans leur chambre, il s'en voulait presque d'être là. Jeremiah prenait soin d'elle tandis que lui était enfermé dans sa chambre. Mais plus pour longtemps, il le savait, les rôles allaient être échangés. C'était à Jeremiah d'être exilé cette fois pour avoir répondu à leur mère. Il n'entendait presque plus les cris. C'était bientôt fini. Toujours la même chose. Il la détestait. Il y avait ce dégoût en lui, cette haine que ne devrait pas connaitre un enfant de sept ans. Du haut de son mètre vingt il n'était nourri que de ces deux sentiments qui s'entre choquaient à lui en faire mal qu'il n'était même pas en mesure de nommer. Il les détestait. « Owen? » une petite voix fébrile s'échappait de l'obscurité dans laquelle la pièce était plongée depuis un sacré bout de temps déjà. « Approches, tu peux entrer » Se redressant sur lui même il se mit en tailleur une lampe de poche a ses pieds. Nina et lui avait cette habitude de faire une tente quand tout allait mal, draps coincés entre quelques chaises et c'était parfait, c'était leur signal, leur petit rituel, leur monde. Jeremiah leur avait appris la technique. « C'est quoi ?» elle pointa du doigt le dessin inachevé de son frère. Il fronça les sourcils, c'était pourtant évident non? « Une girafe. » « ... oh. » Perplexe. Elle était très belle sa girafe à trois pâtes d'abord. silence. «Pourquoi papa et maman nous aiment pas?» Voir sa petite frimousse a moitié plongée dans l'obscurité et ses yeux baignés de larmes lui brisait le cœur. Il la prit dans ses bras. Jamais il ne la lâcherait. « Je sais pas trop... Jeremiah m'a dit que c'était normal, c'est parce qu'ils ne sont pas heureux et que maman est triste et papa est en colère. ... des trucs de grands.» Il disait aussi que ce n'était que des cons et qu'ils n'avaient pas le droit de faire ça aussi, mais ça, Owen préférait le garder pour lui. Premièrement parce qu'il trouvait que son frère parlait mal pour ses onze ans et puis parce que, par principe, on ne dit pas de mal de ses parents. Tout ce qu'Owen avait compris c'était que, non, ce n'était pas normal. Au début il le pensait, il pensait réellement que c'était la même chose dans toute les familles, un petit rien, pour leur éducation, pour les former, les faire grandir. Des coups pour n'importe quel motifs, des disputes en fond sonore tous les jours. Ils n'avaient pas le droit d'être des enfants, tout ce qui était jugé trop enfantin était puni, ça énervait leur père. C'était normal. Et encore il ne savait pas encore qu'avec le temps ça allait empirer. Monsieur Stewart se sentait puissant comme jamais, lui qui avait passé sa vie a être soumis, dans l'ombre, on lui avait toujours dicté une conduite a adopter, il en avait essuyé des ordres, et sa vie a l'heure actuelle était minable, il allait crevé un jour et n'aurait fait qu'être l'esclave des désirs d'autrui. Il avait besoin de ça, il avait besoin d'avoir une emprise sur quelque chose. La vie lui avait offert trois enfants, très bien, ça fera l'affaire, il pourra enfin jouir d'une autorité nouvelle et libérer cette colère enfouie en lui, haine qu'il refilera a ses propres enfants, les détruisant aussi bien a l'extérieur qu'à l'intérieur. Il sentait sa sœur trembler de tout son petit corps contre lui, elle ne prenait jamais les coups, ses frères étaient là pour ça, mais elle était terrifiée. Nina était la personne la plus importante a ses yeux et le fait qu'on porte la main sur elle le révoltait bien plus que lorsqu'il était lui même la cible. « et dis, c'est vrai que quand on va être grands et ben on va partir tous les trois? Loooin de New York et de papa et maman? C'est promis?» « Oui» Ce n'était pas la première fois qu'elle posait la question, et a chaque fois la réponse était la même. Jeremiah leur avait fait cette promesse, dans quelques années il le pourront, ils partiront tous les trois, ailleurs, et ne reviendront jamais plus à New York, jamais. Il en avait la certitude.
NEW YORK - 28 AVRIL 2001.
Il est parti. l'enfoiré. il s'est cassé comme ça, un matin, a dix-sept ans à peine. Owen fulmine, il l'avait senti venir, petit a petit il c'était rendu compte que quelque chose allait se produire, les plans allaient changer. Promesses tombées à l'eau. Sa mère dans la pièce d'à côté est en train de piquer une crise monumentale, heureusement Nina n'est pas là, mais bien sûr on ira lui demander des comptes à lui, Owen. Il faisait les cents pas dans sa chambre, le soleil baignant la pièce d'une douce lumière. C'était une belle mâtiné, ambiance apaisante. Bordel, il n'avait rien demandé de tout cela. « On va leur dire qu'il s'est engagé pour l'armée voilà tout. » Jolie excuse. Les poings serrés il les écoutait chercher une excuse pour la disparition mystérieuse de leur fils, l'idée d'aller déposer une requête a la police ne leur avait même pas traversé l'esprit. Ce n'était pas bon pour leur image de famille parfaite qu'ils renvoyaient a tout le monde. Madame parfaite et ses gentils enfants. Madame je suis parent d'élève et le bonheur des enfants est ma priorité. Monsieur je suis le bon mari et le bon collègue qui fait des blagues foireuses autour de la machine a café au boulot. Personne, personne sur cette fichue planète ne se doutait de ce qu'il se tramait dans cet appartement. Leur camé de fils, qu'il crève, il l'aura bien cherché. Ce qu'ils ne savaient pas c'était qu'en réalité il n'était pas parti pour ça, Jeremiah, mais ça leur plaisait bien, a eux, de ce dire que ce n'était pas de leur faute s'il avait élevé un petit con, que c'était la faute de la drogue. Ah les jeunes de nos jours je vous jure, n'importe quoi. Il ne le chercheront pas, ça lui fera les pieds. Il a fugué pour avoir de l'attention, il n'en aura pas. Mais Jeremiah avait tenté de leur expliqué durant la nuit, a Nina et lui, il avait trouvé une fille. C'était la fille, il avait de nouveaux plans d'avenir et c'était avec elle. Elle était enceinte et ils allaient vivre de sexe et d'alcool jusqu'à la fin de leur vie. Super, génial. C'était bien dans son tempérament de faire des conneries et tout quitter sur un coup de tête, il était l'exacte opposé d'Owen. Il perdait un frère et gagnait la responsabilité d'une petite sœur. Il devait assurer sa sécurité. L'idée de sortir était totalement exclue, déjà qu'il passait son temps a travailler, il devait maintenant être là pour veillé chaque seconde de la journée, jusqu’à ce qu'ils partent tout les deux. Il avait treize ans et n'avait jamais autant haït la terre entière.
IOWA - 03 AOÛT 2004
« Oweeen rougies pas comme ça, ce ne sont que des filles » Cassie n'en pouvait plus de rire, Owen la tuait littéralement avec son côté petit prude. les filles c'était no way en amour, dans le sens ou dès que l'une essayait d'être un minimum entreprenante (= l'embrasser, plus, c'était lui vouloir un arrêt cardiaque) ça le mettait dans tout ses états. « Des filles toutes en sous-vêtements. Et en plus il y a ta copine Jess. » Jess c'était la brunette qui s'était montré trop entreprenante lorsqu'il avait joué à 7 minutes au paradis lorsqu'ils étaient gosses. Il en était ressorti traumatisé. Il n'était pas doué avec les filles, il ne les comprenait pas, trop compliquées. Et puis ça avait le dont de le mettre mal à l'aise. « Owen, tu comprends que tu es joueur dans une équipe de football .. que tu ais peur de passer du temps avec des filles, c'est pas très crédible. » La mine renfrogné il n'était pas près de changer d'avis. A seize ans son tableau de chasse n'était pas très glorieux, mais il s'en fichait, étrangement. Il n'aimait pas jouer a celui qui en aura mis le plus dans son lit le plus tôt possible. Ses potes se moquaient gentiment de lui a ce sujet, en particulier les membres de son équipe. Il en était encore qu'aux baisers chastes qui représentaient comme une épreuve pour lui. « Tu n'as pas le choix de toutes façons. Tu passes tout tes étés ici et c'est toujours la même chose chaque année, tu les connais quasi toutes, c'est juste une soirée pyjama. Et c'est pas parce qu'on a seize ans qu'on va se balader en petite culotte sous tes yeux.» Quoique. Juste pour s'amuser elles le feraient bien, le voir rougir et ouvrir grand les yeux tout en essayant de détourner le regard c'était, il faut l'avouer, une idée assez plaisante. Histoire de se distraire un peu. Alors elle continuait sur sa lancée « tu n'as rien a craindre avec moi, c'est déjà mieux que le mois de Juillet que tu as passé avec Théa à Londres non? D'ailleurs ce tatouage je veux le voir. ça va leur plaire, Un mec intelligent, craquant et timide, mais qui a un petit côté bad boy. »Associer bad boy avec Owen c'était juste impossible, contraire, opposé. Il avait passé un mois chez sa cousine anglaise, unique cousine du côté de sa mère, à Londres. un soir, elle n'a rien trouvé de mieux que de tomber dans les draps d'un tatoueur londonien plutôt sexy lui promettant de lui faire un tatouage gratos si elle le désirait après une nuit plutôt torride. Raawr. Et le pire, c'est qu'elle a accepté, mais morte de trouille, elle a décidé d'attirer son cousin dans la même galère qu'elle histoire de ne pas être toute seule. Il ne pouvait pas le nier, avec Cassandra c'était un autre registre. Elle était, elle aussi, comme sa sœur. A vrai dire il aurait aimé grandir dans sa famille, son oncle et sa tante étaient plus proche de l'idée de parent pour lui que son son père et sa mère ne l'étaient. Il était impensable pour lui d'imaginer que sa tante et son père aient été élevés ensemble, trop différents, bien trop différents. Ils étaient sa famille de substitution tandis que Nina, elle, passait tous ses étés en Angleterre. Un moyen qu'avait trouvé leur parent pour les séparer. Mais retour à la réalité. Cassie venait de se changer, prête pour ses invitées. « Tu sais Owen, je crois savoir pourquoi tu t'intéresses si peu aux filles. » « Qu'est-ce que tu veux dire? » Elle savait, depuis toujours, bien avant que lui même ne s'en rend compte. On sonne a la porte.
NEW YORK - 19 SEPTEMBRE 2009
Douce euphorie. Il y avait cette luminosité qui passait la barrière de ses paupières, inhabituelle. Sa main se refermait doucement sur le draps qui l'enveloppait. ça encore c'était pour le moins inhabituel, c'était fluide, doux, soyeux. Il n'avait pas envie d'ouvrir les yeux, ni de se souvenir. Savoir où il était, et pourquoi il était là semblait très secondaire. C'était calme, paisible, une bulle hors de New York, bercé par une respiration posée et une chaleur délicate a sa droite qui semblait l'appeler. Il n'aurait préféré ne jamais ouvrir les yeux. Il aurait préféré ne pas reprendre conscience. Sauf qu'il le faut bien, quelque part dans son cerveau un lien s'était fait, contre sa volonté. Il était dans un lit qui n'était pas le sien, nu, avec quelqu'un. Ce n'était pas normal. La soirée de la veille, cette nuit, son regard, ses caresses, tout lui revient en mémoire. Plus que le fait qu'il ait couché avec quelqu'un le fait d'être nu en présence de le fit instantanément réagir, ses yeux s'ouvrir en un éclair de seconde et il se redressa, cherchant du regard de quoi s'habiller, de quoi se cacher, en réalité. Le rouge au joues il en oublierait presque de se montrer discret et prudent. Pour peu il serait sorti brusquement du lit plutôt que de se glissé hors des draps. Par la fenêtre on voyait la mer. Le plus silencieusement du monde, bouffé par la crainte d'être découvert et de devoir affronté a nouveau ce regard bleu-vert il s'habilla en vitesse. Mais il ne pouvait pas détacher son regard. Un ange. Pour peu il aurait a nouveau ôté ses vêtement pour se glisser a ses côtés. Son cœur n'en pouvait plus de battre contre sa poitrine, il le fixait sans pouvoir quitter la chambre. Et c'est a ce moment là qu'il réalisa qu'il avait choisi, pour sa première fois, un homme. C'était rare de trouver de nos jours un jeune homme de vingt-et-un an toujours puceau. Mais il voulait attendre la bonne, et contre toute attente, il avait été le bon. Il était étrangement heureux, excité. Il y avait cette chaleur venue de l'intérieur qui l'enveloppait. Et il avait fait ça avec un homme, il ne savait pas exactement s'il avait fait une bonne ou une mauvaise chose. Il l'avait fait déjà. Un homme. Un homme. Son esprit trouble n'arrivait pas vraiment a faire le point, était-il réellement surpris ou non? Il avait sans doute eu le temps de se faire a cette idée la veille. Et lorsqu’ils ont commencés a retirer leurs vêtements et puis quand ... stop. uh. Merde. Donc ahem, par la fenêtre on voyait la mer. Il n'avait pas le choix, il devait partir. Chercher Liby et la conduire à l'école, sa petite nièce. Il devait décollé son regard. Difficile. hm. D'autant plus que s'y partait maintenant c'était mort avant même d'avoir réellement commencé. Il allait être un coup d'une nuit, il n'aimait pas ça, il ne s'était pas offert a n'importe qui a n'importe quelle occasion, juste pour coucher avec quelqu'un. C'est ainsi qu'est née une idée, une idée qui ne lui ressemble pas, agir sur un coup de tête. Hm. Il allait ouvrir le premier tiroir venu pour récupérer quelque chose. Une bonne excuse. Non pas pour se transformer en groupie ou tueur psychopathe qui vole des fringues pour avoir l'odeur de leur chéri/victime. Non juste une excuse pour le revoir. Voilà tout. hm. Il n'allait pas encore conscience que par ce petit geste irréfléchi allait en découlé une relation pour le moins surprenante et sérieuse avec Cillian Morrison le plus grand don juan diablement sexy de NY.
LOS ANGELES - 25 MAI 2010
« Casses-toi. » Il se força a placer un petit sourire satisfait alors qu'il ne l'était pas. Évidemment. Autant jouer le connard jusqu'au bout. Enfoiré. Mais il était allé à bonne école, il ne faut pas lui en vouloir après tout. Elle le regarda surprise. Non surprise est un terme encore bien trop faible. Elle était sans doute même ... choquée. Oui. Choquée. De le voir agir ainsi, sans raisons apparentes. Mais sa patience avait des limites, et il les avait atteinte depuis plusieurs mois déjà.
« J'ai dit casses-toi.» Visiblement blessée, outrée, elle lui lança un regard meurtrier du genre tu-me-prends-pour-une-pute-ou-quoi? Avant de comprendre qu'elle n'avait plus rien a faire ici, se lever, prendre ses fringues et se casser avec un charmant « Enfoiré » au bout des lèvres. Merci honey, mais t'es pas la première personne à me le dire.
Il glissa hors des draps, et prenant juste la peine d'enfiler un caleçon, prendre une bouteille de vodka, son paquet de clopes et direction le balcon. Et il était six heures du mat'. Le soleil commençait à pointer le bout de son nez, au même titre que les souvenirs qui l'assaillaient à présent. Cet appart n'était pas le sien. Cette femme n'était pas sienne. Et lui même n'était plus qu'un mensonge. Il s'approcha de la barrière et, fermant les yeux quelques secondes vida le contenu de la bouteille sur le trottoir avant de la poser par terre et de se poser lourdement sur la chaise qui trainait là. C'était stupide. Il avait pensé que tout serait facile, beaucoup plus facile. Aujourd'hui plus de 50% de son âge vivaient ainsi, mais lui en était incapable. Il avait tout quitté, tout planté, tout foutu en l'air. Il n'avait pas fait cela dans l'unique but d'aller chercher sa sœur à l'autre bout du pays, il l'avait fait pour changer, être quelqu'un d'autre, reprendre le contrôle de lui même en changeant d'identité. Peut-être qu'il était trop naïf, trop émotif, ou bien qu'il avait trop peu d'expérience pour coucher, ou ne serait-ce que l'imaginer, avec quelqu'un, même d'inconnu, une unique nuit, sans que quelque chose n'en résulte. Il ne pouvait pas. Il n'en voulait pas. Voilà trois mois que ce même schéma se répétait inlassablement tous les soirs. Pourtant sans autre désir que celui de se détruire à petit feu. Mais c'était jouissif. Il jubilait presque de s'infliger autant de souffrances et de se voir se consumer jour après jour jusqu'à en crever. Que de l'illusoire. Et il le sentait. Il le sentait à chaque caresse, chaque soupir. Il se dégoutait. A en vomir, a en crever. Mais la vodka brûlante coulait à présent dans ses veines. Son cerveau lui dictait de continuer a se bousiller, encore et toujours jusqu'au moment fatidique. Une prise de conscience.
NEW YORK - OCTOBRE 2010
Y'a des fois on comprend pas vraiment ce qui nous arrive, les choses vont si vite qu'il est dur de réaliser que ce qui est en train de se produire est la réalité... Et pas forcement des plus agréable parfois, il faut l'avouer. Que ce soit au niveau de sa vie ces derniers mois ou en cet instant précis tout était allé beaucoup trop vite. Son départ à LA. ,par exemple, s'était arrangé en quelques jours à peine, même pas le temps de réaliser sa connerie qu'il était à l'autre bout du pays, une pouffiasse a son bras, et une bouteille dans l'autre. Autant dire qu'a ce niveau se dire que ce qu'on est en train de vivre, ce qui est en train de nous bousiller c'est la réalité et qu'il n'y en a aucune autre, c'est dur. Mais revenons à nos moutons. Encore une fois il avait fait une connerie, son poing était parti tout seul, et franchement c'était pas sont but au départ. Ce qui lui était passé par la tête, il n'en avait aucune idée, mais c'était arrivé point. Mais c'est là que tout s'enchaine, même pas le temps de respirer que déjà une douleur le surprend au niveau de sa mâchoire. Quelques secondes et le goût métallisé du sang baignait déjà dans sa bouche, et en moins de temps encore il était au sol, respiration coupée, yeux clos il aurait pu mourir là que ça n'aurait pas changé grand chose. Ça faisait un bon paquet d'années qu'il n'avait pas reçu de coups d'une telle violence et étrangement ça ne l'avait pas manqué. Une fois mis dehors il n'avait toujours pas eut le temps de réaliser et pourtant il avait la rage. Le sang bouillonnant il aurait bien défoncé cette foutue porte pour lui exploser la tête dans le mur cette fois, laissant de côté les précautions prises la première fois. Mais non. Gueuler ne servirait à rien, l'insulter, insulter sa mère ou que sais-je encore en servirait strictement à rien. Aller laisse tomber Owen, t'aurais jamais dû te foutre dans la merde comme ça, pas pour un enfoiré pareil, juste sort, prend un taxi, rentre chez toi, prend une douche, et dors. Bon plan. Il cracha ( oui pas très classe, mais bon) devant la porte de l'autre enfoiré le flot de sang qui n'en pouvait plus de couler. Un peu plus et il lui aurait pété une dent. D'un mouvement rapide il essuya du revers de sa main un filet de sang qui s'échappait d'entre ses lèvres. enfoiré.
Ce fut rapidement mais non sans difficultés qu'il descendit les quatre étages qui le séparait de la sortie. Il faut dire qu'il était quelque peu secoué et connaissait quelque difficultés à respirer normalement. Mais le spectacle - si je puis dire - qui l'attendait en bas, sur la rue valait carrément le déplacement et les efforts qu'il avait dû fournir pour descendre à pieds ces foutus escaliers. Qui peut bien se vanter d'avoir vu Cillian Morrison, LE Cillian Morrison, couché sur le trottoir, à même pas deux heures du mat, même pas complètement habillé. Son jean, ses chaussures, et une simple veste entrouverte sur les épaules. wow. Non mais ce mec est complètement malade il allait attraper la crève couché sur le trottoir. Sur le trottoir merde! et a moitié à poil! C'était bien la peine qu'Owen se fasse défoncer pour lui si lui, en attendant se laissait mourir en pleine rue. Pour le coup Quentin avait raison... (damn "Quentin avait raison" le truc que j'écrirais qu'une fois dans ma vie), Cill aurait pu se faire ramasser par n'importe qui. Wake up sleeping beauty il est pas l'heure de dormir. Il passa a côté de lui histoire d'appeler un taxi. Autant le faire avant de le réveiller. Et en bon New-Yorkais il parvint a attiré l'un deux en quelques secondes. New York, ville qui ne dort jamais et où il est facile de trouver un taxi a 1h.30 comme en pleine journée. Ok... et maintenant? Il était censé le réveiller comment? Aller hop, c'est parti pour le baiser ! ... non? Ok non. bon. Il laissa ses doigts effleurer sa peau, caressant sa joue. Merde c'qu'il était beau endormi comme ça. Stop, on arrête de rêvasser Owen, on respire et on le réveille. Il le secoua légèrement, juste assez pour le réveiller. « Aller la belle au bois dormant on s'réveille, j'te ramène chez moi. » wait, wait, wait ... Chez lui ? Ok bon il avait pas vraiment réfléchit exactement à quoi lui dire, c'était sorti... instinctivement. Silence. Normal il faut bien lui laisser le temps de se réveiller à la belle endormie. « Me regarde pas comme ça, t'es pas en état de rentrer chez toi. » Il plongea son regard dans ses yeux pour la première fois depuis ... une éternité. Quelques secondes seulement avant de tourner la tête en direction du chauffeur qui semblait lui s'impatienter.
Il ne fallut pas beaucoup de temps pour qu'Owen se replonge dans son petit cocon, pas beaucoup plus pour qu'ils finissent par emménagé ensemble et se posent enfin comme un couple aussi normal que possible. ( et fiancé aussi haha) Allés et retours de la petite Jilly, sa nièce, enfant parmi -sans doute- tant d'autres de Jeremiah. Autant s’entrainer pour son rôle de futur papa.
Dernière édition par Owen Stewart le Jeu 20 Oct - 1:43, édité 29 fois
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Sujet: Re: LIKE A VIRGIN (a) - Owen Stewart Mar 6 Sep - 1:25
Touched for the very first time ♪
(re) bienvenue XD
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Sujet: Re: LIKE A VIRGIN (a) - Owen Stewart Mar 6 Sep - 1:30
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: LIKE A VIRGIN (a) - Owen Stewart Mar 6 Sep - 1:45
Re-bienvenue
Comment c'est trop le kiffe de te revoir ici
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Sujet: Re: LIKE A VIRGIN (a) - Owen Stewart Mar 6 Sep - 10:07
Bienvenus ici Bonne chance pour ta fiche :brigitte:
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Sujet: Re: LIKE A VIRGIN (a) - Owen Stewart Mar 6 Sep - 10:27
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Sujet: Re: LIKE A VIRGIN (a) - Owen Stewart Mar 6 Sep - 12:09
owen.
Re-bienvenue ici.
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Sujet: Re: LIKE A VIRGIN (a) - Owen Stewart Mar 6 Sep - 12:27
Rebienvenue ici
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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Sujet: Re: LIKE A VIRGIN (a) - Owen Stewart Mar 6 Sep - 15:07
*va faire des bébés à Cillian dans un coin ♫ *
Merci tout le monde
C'est kiffant d'être de retour choute :ella: (On pourra à nouveau se fouettez joyeusement sur la Cb huhu) ; Micah ; Noah (quoique répondre le smiley lechouille a un smiley :mwahahajevaistedécouper: c'est pas ce qu'il y a de mieux hm. ) ; & puis mack rawr *_*
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Sujet: Re: LIKE A VIRGIN (a) - Owen Stewart Mar 6 Sep - 15:24
Bienvenuuue à touaaa ! & Bonne continuaation !
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Sujet: Re: LIKE A VIRGIN (a) - Owen Stewart Mar 6 Sep - 17:14
Bienvenue parmi nous!
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Sujet: Re: LIKE A VIRGIN (a) - Owen Stewart Mar 6 Sep - 17:39
J'en étais sûûûûûûre, après Cillian, obligééééé que tu reviennes. *-* Team 78 toujours. reBienvenue parmi nouuus.
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Sujet: Re: LIKE A VIRGIN (a) - Owen Stewart Mar 6 Sep - 19:37
Bienvenue
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Sujet: Re: LIKE A VIRGIN (a) - Owen Stewart Mar 6 Sep - 19:42
Owen Stewart a écrit:
C'est kiffant d'être de retour choute :ella: (On pourra à nouveau se fouettez joyeusement sur la Cb huhu)
ouais comme au bon vieux temps :ella:
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Sujet: Re: LIKE A VIRGIN (a) - Owen Stewart Mar 6 Sep - 19:53
Hélèèèèèèèèèèèèène je m'appelle Hélèèèèèèèèèène, je suis uneuh fiiiiiiiiiiiille, commeuh les aaaaaaaaaaaaaaaaaaautreuh !!!