« Tout est dans l'apparence. » Son teint pale et doux fait élégamment ressortir ses long cheveux blond soyeux souvent en nattes, en couettes, ou en beaucoup d'autre coiffures extravagantes. On pourrait dire qu'au soleil, des reflets roux apparaissent si on regarde bien. Oui, roux, d'ailleurs les différentes couleurs de cheveux qu'elle aura eu au cours du temps s'accordais toujours bien avec ses yeux. C'était peut-être un peu fait exprès. Mai c'est vraiment qu'elle a de jolis yeux, d'un mélange bleu-gris-vert, qui donne un petit éclat d'on ne sait quoi. Oh, et puis Victoire, elle a un nez droit et des lèvres pulpeuses. Des lèvres mouillée qui appellent au baiser. C'est parce qu'elle mets souvent du glose, pas de rouge-à-lèvre, du glose. Le rouge-à-lèvre c'est pour les grandes occasions. Et puis Victoire, elle a peut-être un corps maigrelet et un petite paire de seins, mais elle sais s'en servir comme il faut. Vous n'avez qu'a demandé à chacune des personnes, des nombreuses personnes, avec qui elle l'a fait. Et avec ça, elle est très souple, c'est pour ça qu'elle a fait de la danse, parce que sa souplesse de bébé elle l'a gardé.

Côté vestimentaire, l'adolescente s’habille... et bien... à sa façon. Ca peut partir un jean simple/t-shirt basic et Baskets pour arriver à une robe haut-de-couture sur mesure, en passant par le jeans déchiré/grand décolleté avec chapeau de paille et grosse fleur. Et c'est cela qui fait tout sont charme ! Elle aime passer du temps devant son armoire ou encore devant la glace à se pomponner et à se coiffer. On pourrait penser que cette fille est superficielle, mais en réfléchissant bien, tout le monde est comme ça. Il faut savoir qu'on plait physiquement à quelqu'un, avant toutes choses. Tout part de la. Alors, oui, peut-être que Victoire est un tantinet superficielle, mais ce ne serait pas Victoire sinon.


« On l'a ou on l'a pas. »Victoire, on pourrait la qualifié de belle. De mignonne. D'élégante. Cette fille, très sociable, n'a aucuns mal à s'intégrer dans une société, grâce au fait qu'elle soit « mignonne », et, bien que son physique y soit pour beaucoup, la jeune fille à un sacré caractère qui ne laisse pas les gens indiffèrent. Victoire, elle est tout simplement à croquer. Son visage exprimant toujours ce qu'elle ressent, permet aux autres de savoir quand il faut arrêter de l'embêter, car la miss peut parfois piquer une colère sans qu'on s'y attende vraiment. Victoire, c'est aussi une d'aristocrate, c'est pour ça d'ailleurs qu'elle aime être au centre de l'attention, et qu'elle déteste rester dans l'ombre ; elle tiens à cette popularité qu'elle a mis longtemps à bâtir et qui risque de s'écrouler à la minute qui suis. Mais rassurez-vous, il en faudrait tout de même plus pour faire capituler quelqu'un comme elle ; elle s'accroche et tiens bon, car le plus souvent elle finit par bien se sortir de choses les plus embarrassantes. Car, oui, Victoire, c'est aussi une compétitrice, une déterminée, une fille forte qui sais se concentrer et travailler quand il le faut. Elle est vraiment étonnante par fois. Mais Victoire, elle sais surtout s'amuser, délirer et faire des sorties et des choses folles avec ses amis. C'est pour ça qu'elle est intéressante. Car Victoire, elle est capable tu pire comme du meilleur, mais quand quelqu'un l'embête elle n'y va pas par quatre chemin. On peut alors la qualifié de sauvage, de rebelle, elle ne souhaite pas qu'on la mette en cage. C'est une fille assez manipulatrice et calculatrice, car elle sais ce qu'elle veut faire et elle serait capable de se servir de sa meilleure amie pour parvenir à ses fins. Ca c'est sur, on pourrait la détester Victoire. Mais bien sur, Victoire ne serait pas Victoire si il n'y avait pas ce petit point qui apporterais une touche d'originalité au tableau. Le petit coup de pinceau qui remettrait le tableau entier en question. C'est grâce à ça que Victoire s'est fait autant d'amis ou autant de bonne connaissances du moins. Oui, elle est un peu hypocrite, Victoire.

Victoire, elle prend soin de son corps grâce à des activités physiques et sportives, elle aime bouger et faire des activités amusant, elle donne l'air d'être un peu naïve. A trois ans elle dansait déjà et s'amusait à chanter pour ses parents, mais ça ne lui à pas trop pris a coeur alors elle a abandonner les cours pour se tourner vers les études et des choses plus réelles et plus décentes, bien qu'elle ai la chance d'avoir des parents riches. Oui, car Victoire, elle se pose beaucoup de question, elle réfléchit et elle sait faire les bons choix. C'est d'ailleurs pour ça qu'elle obtenait toujours un sourire de la part de ses différents professeurs particuliers. Elle est très intelligente Victoire. Oh, et puis elle est bien plus encore...

2030. « On peux dire que j'en ai bavé pour retrouver un minimum la mémoire. Au cours du temps j'ai développé cette sorte d'amnésie. Ca m'a joué beaucoup de tour depuis que j'ai quitté New York. Pourquoi je l'ai quitté ? Bah parce que j'avais trop de mal à y rester en sachant que mes perte de mémoire pouvant être plus ou moins importantes, je ferais souffrir trop de gens. Les enfermer dans un cercle vicieux infinis duquel ils ne pourraient s'échapper. Et puis à quoi bon rester la-bas, avoir un mari, un enfant, alors que je savais que ce serait impossible. Dans la famille, on a tendance à mourir jeune, ma mère m'a eu à l'age de 16 ans pour être sur d'assurer une descendance, elle est morte à 27 ans. Elle aura fait tellement de sacrifice qui n'auront servit à rien. Car, moi, je ne veux pas d'enfant. Je ne veux pas leur faire endurer ce que j'ai du endurer moi, c'est trop dur. J'ai pourtant vécu une enfance assez heureuse, avant sa mort. Fille d'une famille d'aristocrates, qui durait depuis plusieurs génération, j'était donc une petite bourgeoise née avec une cuillère en argent dans la bouche. J'étais la petite Princesse tant attendu, on m'appelait Milady si je me souviens bien. D'ailleurs je me demande bien pourquoi mon père s'est marié avec maman tout en sachant qu'elle allait mourir...prématurément ? Je croit que c'était à cause de cette inconditionnel amour qu'il portant à maman. Des fois je me dis que cet homme était fou. Fou de croire que l'amour est quelque chose d'extraordinaire, quelque chose de beau, de poétique. L'amour n'est rien de tout ça ! Comment a-t-il pus être bête à ce point ? Moi je ne me laisserais jamais avoir, car, moi, je ne cherchais à dépendre de personne. En faite, j'étais un peu comme un libertine qui dépassait les lois morales. Mais pour pouvoir faire de grandes choses, je savais que ce n'est pas ce qu'il fallait faire. Mais je ne voulais pas me retrouver en cage éternellement. Moi, ce qui me passionnait, c'était l'art. L'art en générale. L'art du pinceau, l'art de la photo, l'art de la danse, du chant... Et puis, pour devenir une femme, il fallait que j'ai un rêve, quelque chose qui me ferait toujours aller plus loin. Maman m'a toujours répété ça. Autant, quand j'étais petite, cette phrase ne me disais rien, autant, maintenant et entant que femme, je me rend compte à quel point cette phrase est importante. Alors j'ai finis par me lancer dans le dessin, puis dans la photo, puis dans la danse et enfin dans le chant. Et puis plus tard j'ai tenté de combiner les trois, obtenant à chaque essaie, des résultats différents.

Avant j'habitais à San Diego, et puis avant avant j'habitais Philadelphie. Deux villes dans lesquels beaucoup de choses se sont passées. Et ces villes, elle étaient comme une partie de moi. Mais jamais, je ne retournerais la-bas. Avec le temps, les gens finiront bien par m'oublier et ce sera mieux comme ça. En réalité, je n'en avait pas envie, j'avais encore trop peur d'affronter le passer qui se transformerais en futur. Mais un futur qui resterait toujours incertain, à cause de la mort qui guette. C'est à Philadelphie que j'ai abandonné ma meilleure amie, j'avais 11 ans. Abandonné, c'est le cas de le dire. Alors qu'on s'entendait bien, qu'on s'marait, qu'on s'faisait des délires, qu'on partageais tout plein de truc, on était comme fais l'une pour l'autre ! J'étais même tombée amoureuse. Tombée, oui, c'est le bon mot. Je ne m'y attendais vraiment pas, ça m'a pris de cours. Moi qui trouvais ça cruel, j'ai soudainement trouver ça merveilleux , beau, tendre, tant que ça reste magique, comme dans un rêve. Mais voyez-vous, on ne peut pas toujours compter sur la confiance de ses amis. Car cet amour, il a été gâché par cette fille en qui je croyais avoir confiance. Et puis je me suis rendu compte à quel point les gens peuvent être méchant. Elle s'était servie de moi, je lui avait accordé ma confiance et elle l'avait gâché... je n'en finirais pas de dire comme ça m'a brisé. Ca à détruit tout ce qu'il y avait entre nous, et puis est née en moi la rage, la haine. Je n'avait plus que les point pour me sortir de cette terrible humiliation. Alors je l'ai frappé je lui ai cassé le nez. Je sais, c'est peu être un peu exagéré, mais cette pétasse l'avait bien mérité. Et c'est un eu à cause d'elle que j'ai quitter Philadelphie. Et lui, avant de partir, il m'a embrassé sur la joue, mais je ne l'ai plus revu. Jamais. J'ai même oublier son prénom. Leur prénoms à tous. Trop bête pour m'en souvenir et pour faire face, lâche que je suis, je suis partie sans même accorder un regard à personne.

Entant que princesse, nous avons déménagé à San Diego dans une maison encore plus grande, mais mes parents appelaient ça « un petit bout de terrain ». Alors c'est quoi « un bout moyen » ou « un grand bout de terrain » ? Dés que nous nous somme installé, j'ai commencé à prendre des cours de danse, de chant, de piano, de tenue, de gastronomie, d'histoire, de géographie, de français, de maths... Pour enfin appartenir au rang de la haute société m'ont-ils dit. Mais tout ça, c'était contre mon gré. Je me sentais alors comme emprisonnée. Et puis j'ai découvert la drogue et le sexe. Pendant mes temps libre j'allais rejoindre mes quelques (mauvaises) fréquentations, et on délirait. Il m'arrivait même de sécher des cours, rien que pour me calmer les nerfs. ET puis il y avait cette fille, je ne me souvient plus de son nom non plus, on a partager pleins de choses. Des choses que vous ne pouvez même pas imaginer. J'étais un peu devenu schizophrène. D'un côté la petite fille sage qui n'avait rien à se reprocher, et de l'autre la droguée qui ne faisait que coucher avec des inconnu(e)s. Et je me parlais toute seule, quand je m'ennuyais. Un jour, j'ai fait une crise, et mes parents m'ont payé une psy. Elle m'a un peu prise pour une folle au début, mais on s'entendait bien. Et puis on a couché ensemble. J'avoue que j'avais trop calculé quand on l'a fait. J'étais un peu confuse pour ce qui est de ce que je ressentais vraiment pour elle. Ca oui, j'ai vraiment vécu des années noires, et j'en suis consciente, mais j'essaie de me rattraper avec toutes les bonnes choses que j'ai pus faire. Par exemple, peu de temps après notre aventure, j'ai pris conscience que ce que je faisais était mal. Très mal. Et il fallait que je me ressaisisse. J'ai abandonné mes nouveaux amis, et je suis partie. J'ai repris mes cours et me suis concentrée sur mes devoirs entend que princesse, mais je continuais à la voir, elle, régulièrement. Avec elle, c'était pas comme avec les autres filles, c'était différent. A ce moment la je me suis de nouveau rendu compte des ravage que peu provoquer l'amour. J'ai essayé à plusieurs reprise de lui faire comprendre que je ne pouvais pas. Mais ça finissait toujours dans un lit dans un hôtel. C'est qu'elle était vraiment belle. Un jour, alors que je ne m'y attendais pas, y'a la bande qu'est revenu. Ce jour-la j'ai vraiment flippé, ils son venus de toutes parts et m'ont agressé. Je me suis rendu compte à quel point c'était horrible. Horrible comme j'avais agis, comme tout ce que j'aurais pus faire. Horrible. Et puis elle, et seulement elle, est venus pour me sortir de ce pétrin. Oui, elle était majeur, elle devait avoir un an de plus que moi, alors elle à menacé d'appeler la police. Ils se sont enfuis dés l'instant ou il ont compris qui ils étaient entrain de violer. Et puis c'est le lendemain qu'ont m'a annoncé que je partais pour New York, les gens à la charge de papa. Sur le coup j'ai pas noté que c'était irréversible et que j'allais une nouvelle fois abandonner mes proches. Car j'avais finis par me faire quelques amis. Tout. Tout ce que j'avais accumulé, une nouvelle fois réduis à néant parce que monsieur mon père voulais me transféré dans une autre ville pour que je sois bien protégée et pour que je reçoive la meilleure des étude. Il a dit que des personnes dont je ne soupçonnerais même pas l'existence seraient chargé de me protéger. Pitoyable. Mais devant lui, je ne devant rien laisser paraître car malgré tout, je l'aimais. Alors je suis partie, et j'ai laisser derrière moi toutes ces personnes auxquelles je tenais tant, une nouvelle fois encore.

Cher journal,
aujourd'hui je part pour New York, la ville éternelle ! Il est à peine 6h35 du matin... et l'avion est tout de même en retard ! Je ne sais pas ce qui m'attend la-bas, mais j'espère que tout se passera pour le mieux. Elle m'a promis de me rejoindre plus tard, on y croit ! Je ne sais toujours pas ce que je compte faire plus tard, et comme je suis majeur, il faudra que j'apprenne à gagner ma vie ! Malgré la somme colossale que papa m'envoie tout les mois... M'enfin bon, Espérons que je ne sois pas déçus en arrivant la-bas ♥ »