Apparence & Style: Qu'elle est votre opinion sur mon apparence ? Est-ce que je ressemble à un américain ou à un italien ? Les gens on tendance à dire les deux, car oui j'ai des traits qui ressort beaucoup de l'Europe. Par contre, mon style fait beaucoup mettre les gens dans la confusion. Lorsqu'on me demande si je viens de l'Italie, je ne répond jamais, car parfois, ce sont des gens qui vienne au bar et il ne prenne pas la peine de regarder sur mon chandail, mon étiquette avec mon prénom qui ne fait pas du tout italien. Par contre avec mon teint bronzé, mon style vestimentaire et mes tatouages, je peux facilement passé pour un des leurs. Je ne changerais pas pour les millier de personnes et j'espère que ça va être claire bien sûr dans leurs tête que être soit même est le meilleur conseil à ce donner.


Caractère: Mon caractère est assez facile à percevoir. Je suis un homme sérieux et qui a aussi un bon sens de l'humour. Par contre, je ne parle pas beaucoup. J'adore faire du socialisme avec les gens, mais ce que je veux dire par la c'est que je déteste parler pour ne rien dire. Je n'aime pas dire des choses pour me faire passé pour un con, car cela ne serre à rien d'être un con. On peut être un taré dans un sens positif, mais dans le sens négatif, on fini toujours par se faire cassé la gueule. Je déteste les gens qui se crois plus supérieur que les autres. Honnêtement, qui aimerais se faire dire des ordres par d'autre gens qui n'est pas votre employeur ? Cela me fâche et lorsque je suis dans cette phase, il faut mieux de se trouvé un coin pour se cacher. Mais, je ne suis pas une personne méchante, car mon père était toujours à l'entour de moi. J'ai hérité du côté sérieux de mon père qui aujourd'hui est devenu moins pire, car avant on me donnait toujours des préjugés sur le fait que je ne souriait presque jamais. Je sourit aujourd'hui et je séduit beaucoup de gens avec mon sourire.

Tout le monde adore la ville de Miami et encore plus lorsqu’on roule sur l’une des autoroutes que l’on peu sentir à des milles et des milles les arbres d’oranges qui pousse sur le bord de la route. J’ai toujours adoré l’odeur de ce délicieux agrume orange qui parfois me brûle le coins des lèvres tellement que c’est acide comme fruit. Moi et ma famille nous sommes tous originaires de la Floride. Voilà pourquoi que nous avons tous un teint un peu foncé. On ne peux pas dire que nous sommes noir, car être mulâtre, c’est complètement différent. Mon père est la personne la plus respecter dans ma famille. Il est comme le chef de la famille tout entière. Non, nous sommes de la mafia, mais à en jugé de comment mon père s’habille dans la vie de tout les jours, il pourrai facilement se faire passé pour une personne de la mafia. Mon père Henri White est un agent policier de la CSI à Miami. Il ne fallait jamais faire de connerie avec mon père dans les parages, car si non, le confessionnal arriva très vite et par le fond de culote même. Moi et mon frère nous étions très surveiller par mon père. Il n’y avait pas de caméra dans la maison, car si non ma mère était pour y faire une crise très sévère. Oui, ma mère est une vrai tigresse et je peux vous dire qu’il fallait lui parler très doucement pour qu’elle puisse nous parler avec un ton normal s’en ressentir un effet qui va nous rendre inconfortable. Ma mère Rébecca Jones White est la personne la plus importante dans ma vie. Par parce qu’elle ma donner la vie, mais parce qu’elle est une personne qui est à mes yeux qui ressemble à un super héro. N’allez pas vous faire des idées, car elle est loin de ressembler à Wonder Woman. Ma mère est un super héro pour moi, car après la naissance de mon frère Jake, elle a survécu à cinq cancer en près de huit ans. Je n’avais jamais vue mon père aussi terrifier par le fait de voir ma mère malade. Moi durent mon enfance, je ne comprenais pas, car ma mère était toujours à l’hôpital. Lorsque je suis entrer dans mon adolescence, j’avais compris maintenant que c’était difficile de voir ma mère avec un bandeau sur la tête et de voir ses cheveux étendu sur le plancher froid de la maison ou de l’hôpital. À seize ans, ma famille et moi avions eu l’obligation de déménager à New York, car mon père à eu un augmentation dans son travail et un nouveau rang dans son domaine, mais il se trouvait simplement à New York. J’ai connu pour la première fois la vie urbaine avec presque aucune verdure dans les alentours. À part le parc au centre de New York, il n’y avait pas grande chose qui poussais de vert. J’ai goûté à ma nouvelle vie scolaire et aussi j’ai réussit à faire un bac en biologie, en chimie et en physique, car je voulais travailler avec mon père. Je voulais devenir une personne qui voulait pratiquer des autopsies sur des corps morts. J’ai réussit à me trouvé une place au près de mon père, mais je me suis retrouvé dans un bar, car le patron de mon père pour une simple raison ne voulait pas avoir de liaison familial dans son bâtiment. Cela ma complètement fait viré sur le dessus avec cette déclaration et mon père en était bien déçu avec ma réaction que je lui avait donner. Lorsque j’ai eu mes vingt ans, mon père à fait construire une salle secrète pour moi dans l’appartement de l’Upper Est Side qu’il ma acheter. Ma salle se trouvait entre la cuisine et l’énorme salle de bain. Disons que j’avais la plus énorme espace entre tout les autres appartement. Personne ne pouvais rien voir et ne pouvais pas tombé malade durent un soupé tellement que c’est bien cacher. Être un barmen est simplement un travail temporaire pour ne pas que le patron de mon père découvre que je travail avec lui. Ma mère trouve que je suis un peu trop paranoïaque pour ce que j’aime et aussi j’aime bien faire des boissons qui rend les gens soit soul ou même heureux.