Sujet: i wasn't asleep. i was drunk. Ϟ laah. Jeu 13 Oct - 18:00
FEAT. TAE YANG - DONG YOUNG BAE
Lyorik-Arbo Azurian HAE
22 ans → né à miami le 09/11/1988 → diplômé en droit, mannequin et gérant de chez gucci (si possible - manhattan). célibataire → bisexuel caché → membre des populars.
And who i am ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Le commun est loin d’être intéressant, le particulier l’est d’autant plus ; et c’est sans doute ce qui fait de moi cette personne un peu spéciale tant au niveau physique qu’aux autres plans imaginables. Je ne suis pas ce qu’on pourrait appeler de frêle, bien au contraire ; j’ai une musculature plutôt présente, voire même un peu imposante, bien que ma taille ne doit pas être dans les moyennes américaines, et encore moins des mannequins typiques, puisque n’ayant qu’un mètre soixante-quatorze pour cinquante-huit kilos, ce qui, je vous l’avoue, n’est pas grand-chose mais suffisant, je semble même bien petit à côté des modèles féminins. Du côté ruinage de corps, je n’ai rien de ce que vous pourriez appeler tatouage ou piercing, mais plutôt quelques grandes cicatrices au niveau des omoplates, dont je vous justifierai la présence un peu après. J’avoue bien que ce n’est pas un avantage lorsque l’on est mannequin, mais certaines prouesses technologiques permettent au photographe d’en enlever les traces ; et puis, après tout, je n’ai pas tellement honte de ces marques, ça ne m’a rendu qu’un peu plus fort, et j’ai même une certaine fierté à les exhiber. Mon style n’est pas de ceux que l’on pourrait qualifier de communs, mais plutôt d’extravagants. Évidemment, il l’est, tout en se mêlant à un mouvement assez hip-hop, rappeur et classe, il me permet de me distinguer du reste de la population. Jérémy Scott est un dieu et porter ses toutes dernières collections est un réel bonheur pour ma personne. Bien sûr, il n’est pas le seul et l’unique, mais peut-être que dans le domaine de l’extravagance il dépasse les autres ; autrement, j’aime autant Gucci que Dior, et d’ailleurs, ce sont deux couturiers que je porte assez régulièrement, en ayant largement les moyens. J’aime le tape-à-l’œil, après tout, c’est une manière comme une autre de se faire remarquer ; même si je n’en ai pas tant besoin pour l’être. uc.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Veuillez décrire ici le caractère de votre personnage. 15 Lignes minimum. Bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla bla
Well... It's my story...
miami, neuf novembre dix-neuf-cent quatre-vingt-huit. Naître et risquer d’y perdre sa vie, ou de faire perdre la vie à sa mère, c’est en quelque sorte les problèmes qu’a rencontré ma naissance. Tout allait trop vite, j’étais trop jeune pour voir le monde, et j’ai vécu pendant un certain temps dans une couveuse, trop faible pour respirer par mes propres moyens, ou toute autre chose qu’un nouveau-né aurait su faire. Quant à ma mère, par la plus grande des chances, elle n’a pas eu tant de complications que les médecins l’avaient prédit ; et elle n’a rien perdu. Il paraît que j’étais un enfant bruyant, sans doute aimais-je qu’on s’occupe de moi ; mais je n’en sais rien. Famille n’est pas forcément synonyme de personnes ayant un lien de parenté tout en étant unis. Dans tous les cas, ça n’a pas été ainsi chez nous, les Hae. Pour tout vous avouer, je ne connais pas ma mère, les seules choses que je sache d’elle sont qu’elle était très jeune lorsqu’elle m’a eu, pas plus de dix-huit ans – et sans doute mon père et elle avaient une assez grande différence d’âge déjà –, et qu’elle était colombienne. C’est vrai, j’aurais aimé la connaître, mais je n’ai pas eu cette opportunité, puisque très vite après ma naissance, mon géniteur m’a emmené avec lui, loin, très loin des États-Unis. Cet homme avait une place assez importante en Corée du Sud à cette époque, puisqu’il en était l’un des ministres. Je ne sais rien de cette époque, mais je me doute un peu qu’il ait toujours été un homme à femmes, puisque aujourd’hui encore, il ne peut s’empêcher de toutes les séduire. Finalement, deux ans après ma naissance est arrivé mon frère, Haru Alex Hae ; et je vous avouerai que mon avis sur ce nom est plutôt négatif, puisque donner un tel nom est d’un ridicule sans pareil. Mais là ne semble pas être la question. Et qui était sa mère ? Une dite japonaise dont il n’aura pas non plus connu l’existence, et mes souvenirs de cette femme avec qui mon père est resté durant environ deux années après qu’elle eut accouché de mon cadet sont plutôt vague, ayant été bien trop jeune pour en avoir des concrets. Et puis, finalement, la petite dernière est arrivée, la dite cadette, 'prénom prénom' Hae, un an après mon frère. Et sans doute vous en doutez-vous, elle non plus n’a pas la même mère que moi-même, ou encore mon frère ; à croire que mon géniteur était réellement un fan du changement et du mélange de toutes les nationalités possibles et inimaginables. Donc, cette dernière a eu la chance d’avoir une mère 'nationalité'. L’école m’intéressait plus que n’importe quelle autre chose ; et j’ai toujours été le meilleur de ma classe. QI trop développé selon de nombreux médecins ; et c’est vrai, mon père s’est demandé à plusieurs reprises ce qu’il se passait dans ma petite tête. Je savais bien trop de choses pour mon jeune âge, et je suppose que c’est pour cette raison que j’ai tout d’abord sauté l’une des premières années à l’école, ce qui faisait que j’étais le plus jeune élève de ma classe chaque année. Et autant vous dire que j’étais une sorte de tête de turque pour tout le monde ; je n’étais pas bien grand, pas très beau – au contraire d’aujourd’hui, évidemment –, encore moins musclé qu’un enfant normal, et mes grosses lunettes gâchaient tout. Mais derrière tout ça ne se cachait pas un ange ; je suis même certain que j’étais le pire petit diable qui pouvait exister. Et finalement, en grandissant, j’ai appris à faire regretter aux gens ce qu’ils essayaient de me faire subir. Puis est arrivé l’époque où on a proposé à mon père de me faire sauter une deuxième classe ; et il a refusé. Il était certain que je ne suivrais rien de toute façon. C’est peut-être aussi l’une des choses qui m’a un peu motivé à me lancer dans le sport et à me forger une certaine carrure. Et, finalement, vers mes dix ans, j’ai entrepris d’entrer dans une équipe de baseball ; et étrangement, il se trouvait que je n’étais pas si mauvais que cela en sport. C’est même très vite devenu une passion. uc. my life isn't the same as before. she has changed. i have changed. Aujourd’hui, je ne me consacre plus à mes études, ayant été diplômé d’Harvard et ayant de nombreuses portes de grands cabinets déjà ouverts ; j’ai préféré me lancer dans le commerce, en quelque sorte, en plus de mon métier de mannequin. J’ai tenté et été pris au poste de gérant de chez Gucci, à Manhattan, et autant vous dire que je prends ce métier très au sérieux ; ça ne fera que m’ouvrir d’autres portes par après, c’est toujours une bonne chose pour un employeur que de savoir qu’un probable futur employé a déjà détenu plusieurs titres. Mais je ne fais pas que ça, je ne suis pas du genre à me coincer chez moi une fois mon travail fini ; je sors, et je fais la fête. Et quand je dis faire la fête, ce n’est pas simplement aller en boîte et boire un ou deux verres. C’est la vraie fête, avec des défis pas possibles, un taux d’alcoolémie surprenant, et même un peu de drogue par-ci par-là. Oui, je sais, ce n’est pas bien ; et je m’en fous, je l’assume, et je suis près à le crier sur tous les toits. Perdre mon boulot ? Croyez-moi, c’est im-po-ssible. Mon cœur n’est pas plus libre qu’un autre : il n’appartient qu’à moi. Bon, c’est vrai, quelqu’un me trotte bien constamment en tête. Mais… Ce n’est pas pareil, ce n’est pas comme les autres ; c’est bien plus bizarre. Moi qui me déclarais pur hétéro, comment est-ce que je peux rêver d’un homme ? Rêver de le toucher ? Pourquoi est-ce que je suis dans la plus énorme des joies lorsqu’il est en ma présence ? Je ne sais pas, et quelque part, je n’ai même pas envie de le savoir. Sortir avec une femme pour l’oublier ? Et pourquoi pas ? Ce n’est peut-être pas une si mauvaise idée ; il me sortira bien de la tête. Certes importante mais non indispensable, la famille est et sera toujours, à mes yeux, un moyen de maintenir un homme chez lui et à bousiller sa vie, sentimentale ou non. C’est vrai, j’ai longtemps été incapable de quitter ma sœur, mon frère et mon père pendant une longue période ; et la cause était tout bonnement mon attachement pour chacun d’eux. Certes, les relations avec mon père n’ont jamais été très fusionnelles puisque étant trop absent, je me demande même si je connais ne serait-ce qu’un quart de sa personnalité. Quant à mon frère, j’ai vu son caractère changer ; et sans doute le plus gros changement a été de devenir ce que l’on pourrait appeler d’asocial. Je me suis longtemps demandé s’il était malade ou bien s’il le faisait exprès, mais j’ai finalement compris que nos nombreux déménagements, et soi-dit en passant presque tous les ans, l’avaient blessé auparavant, en quelque sorte, ou plutôt le fait de devoir créer des liens pour ensuite les briser comme si de rien n’était, comme si tout avait toujours été comme cela. Et puis, finalement, il y a ma sœur, avec qui j’ai toujours eu de très bons liens, et c’est même un peu de ma faute si elle a ce tempérament de peste aujourd’hui ; c’est vrai qu’être l’aîné de la famille m’a laissé beaucoup de pouvoir sur mes deux cadets, et je m’en suis bien amusé. Mais quelque part, peut-être voulais-je simplement qu’elle me ressemble ? Sans doute ; mon frère et moi sommes trop différents pour réellement nous comprendre je suppose, ce n’est pas fusionnel, mais vraiment pas. Je vais vous avouer une chose : je ne ferai jamais ce que je fais avec ma sœur, avec mon frère ; mon côté « j’aime montrer tout l’argent dont on dispose » est loin d’être similaire au côté « je ne crie pas sur tous les toi que l’on est trop riches pour les trois quarts de la population » de mon frère ; et ça nous sépare simplement, c’est un peu comme s’il y avait un gigantesque gouffre entre nous. Nos chemins sont simplement différents, on ne vit pas sur la même planète. La famille n’est et ne sera plus jamais la même ; j’ai osé partir cinq ans sans revenir, jusqu’à il y a un an. Et je sais que ma sœur m’en veut, au contraire de mon frère qui semble ne pas s’en préoccuper plus que cela. Et j’ai comme l’impression que je vais devoir payer mon absence ; mon enfer a déjà commencé avec ma sœur. Une chose encore : appelez-moi Arbo.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Mégane ✤ BEOMERANG ✤ 15 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → top-sites paraît-il. ★Ce personnage est-il un double compte ? → du tout. ★Présence sur le forum → tout dépend. connectée tous les jours mais niveau rp, plutôt deux sur sept. ★Personnage inventé ou scénario ? → inventé.
Mon exemple de RolePlay:
L’amour, c’est une chose. L’amour entre un frère et une sœur, c’en est une autre. Surtout lorsque ces derniers s’avèrent être des jumeaux, comme nous le sommes, mon frère et moi. Mais qu’est-ce que cela provoque lorsque l’on combine un amour fraternel à un amour bien plus poussé ? Des regards exprimant bien les pensées des gens, de tous ceux qui vous entourent, et l’on comprend bien vite ce qu’ils en pensent. Mais au fond, qu’est-ce qu’on peut en avoir à faire ? Pas grand-chose. Surtout lorsque l’une de ces deux personnes s’avère être… Moi. Pandorah. Vous devez sans doute vous dire « mais qu’est-ce que cela peut changer ? », pas vrai ? Et bien, cela change tout un tas de choses. Et vous allez bien vite le comprendre. Séparée de mon frère, j’ai toujours ce sentiment d’insécurité, comme si quelque chose allait forcément m’arriver, comme si quelqu’un allait me foncer dessus et m’embarquer dans une ruelle ou même dans sa voiture. C’est sans doute cela qui m’empêche d’être séparée d’Alexander plus de six heures. Et la nuit, comment est-ce que je fais ? Et bien, nous avons notre propre technique : nous dormons ensemble. Et même si nos parents se sont mis en travers de notre chemin à plusieurs reprises, nous avons toujours été plus rusés qu’eux. Certes, ils passaient sans arrêt dans nos chambres, à chaque heure, jusqu’au moment de se coucher, eux-mêmes. Et c’est là que les deux petits monstres que mon frère et moi étions plus jeunes se levaient et allaient se rejoindre, dans la chambre de l’un ou de l’autre. Cette technique ne nous a jamais quitté, semblerait-il. Parce que oui, encore aujourd’hui, nous dormons ensemble ; après vingt ans de vie commune, s’imaginer l’un sans l’autre est tout bonnement impossible. Et c’est surtout invraisemblable. Voyez-vous un fumeur sans sa nicotine ? Ce serait bien étonnant. Et pour nous, c’est à peu près la même chose. Rien de bien compliqué à comprendre, au final. Mais revenons-en au sujet principal qu’est l’amour. Parti comme ça, vous devez vous dire « mais qu’est-ce qu’elle tente de nous expliquer au juste ? De l’inceste ? » Et peut-être n’êtes-vous pas loin du sujet. Pas du tout même. Peut-être êtes-vous bien dessus, et que vous avez déjà tout compris. Et bien, bravo. Passer du temps avec lui, c’est un réel plaisir. Mais c’est tout à fait logique. Si je n’aimais pas, je ne l’aimerais pas non plus. Ou pas aussi sérieusement. Les magasins, c’est une chose que j’aime faire par-dessus toutes les autres choses possibles. Ou peut-être après la création de mes vêtements, plutôt. Parce que les vêtements et les accessoires que je peux trouver peuvent être mes bases. Ou simplement parce que le magasin en question est un magasin pour enfants. Ou plutôt pour les grands enfants. Un peu comme nous. Des peluches et des dvd de Walt Disney ; que pourrions-nous demander de plus ? Pas grand-chose, c’est une évidence. Ainsi, aujourd’hui, la destination n’avait pas été dure à programmer. Nous étions tous deux d’accord. De toute façon, autrement, je l’aurais tiré de force avec moi.
« Bro, I’m your sis’, et tu dois t’occuper de toi comme tu ne t’occuperais d’aucune autre femme. Alors entrons dans ce magasin et dévalisons-le ! » Occupes-toi de moi, oui. Exactement. Tu n’as pas le choix, après tout. Achetons tout. Tout le magasin. Je veux ci, je veux ça. Toutes les peluches, parce que tu sais que je les aime. Et que tous ces Walt Disney ont bercé notre enfance, comme celle de beaucoup d’autres. Mais surtout la nôtre. Oui. Accrochée au bras de mon jumeau, je le tirais par-ci, par-là, à la recherche des individus parfaits. Des peluches parfaites. Et puis, finalement, me dirigeant d’un pas décidé vers un gros tas de peluche, je lui montrais la plus grosse de mon index. Elle devait sans doute valoir des centaines d’euros, mais qu’est-ce que je pouvais en avoir à faire ? L’argent était loin d’être un problème chez nous. « Bro. I want this one. I need this one. Vas me la chercher, s’il te plaît. Tu ne vas pas me dire non, pas vrai ? Autrement, je te bouderai. Tu verras. » Menace à deux francs ? Peut-être, mais elle me plaisait bien, à moi. Cette peluche était celle que je voulais, point barre. Et si un sale gamin tentait de me la prendre, il comprendrait bien vite d'où il vient exactement. Quitte à le remettre dans le ventre de sa mère. Qu'est-ce que ça peut me faire ? Ce qui est à moi n'est pas aux autres. Mais ce qui est aux autres est aussi à moi. Finalement, tout m'appartient. Oui, oui, je vous l'assure ! J’observais un peu autour de moi afin de trouver une prochaine victime. Tout du moins, victime ne convient pas réellement à ce que je cherchais. Une victime est faite pour être agressée, tandis que ce que je cherchais était simplement un deuxième tas doux. Tout doux. Très doux. Simplement comme je les adorais et comme je les adorerai toujours. J’aurais facilement pu vénérer des Teddy Bear. Ces gros ours, ou plutôt un futur compagnon du gros Winnie que j’avais repéré juste auparavant. Il me fallait maintenant l’un de ses compagnons. Et de la même taille, ou environ. Qui pouvais-je trouver ? J’aurais aimé ce fameux tigre, mais… « Bro. Tigrou est absent aujourd’hui ? Je te promets que je le veux. Je te l’assure, même. S’ils ne l’ont pas, je fais un scandale. Ils vont comprendre qui je suis. Qui nous sommes. » Je ne cessais de chercher autour de moi, en espérant tout de même que mon Alexander arriverait à en trouver un. Parce qu’il était hors de question que je ne fasse pas ce que je venais de dire. Ce scandale, j’allais réellement le faire. Quitte à attirer tous les regards vers nous. Mais après tout, ça, j’en avais pris l’habitude. Alors rien ne pouvait m’arrêter. Ou presque. Mais quoi ? Aucune idée.
Le code règlement:
→ ok by Aidy.
Dernière édition par Lyorik-Arbo A. Hae le Ven 14 Oct - 19:19, édité 19 fois
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Sujet: Re: i wasn't asleep. i was drunk. Ϟ laah. Jeu 13 Oct - 18:06
Re-bienvenue et bonne chance pour ta nouvelle fiche
(Noel est content )
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Sujet: Re: i wasn't asleep. i was drunk. Ϟ laah. Jeu 13 Oct - 19:53
Bienvenue
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Sujet: Re: i wasn't asleep. i was drunk. Ϟ laah. Jeu 13 Oct - 19:53
Re bienvenue, apparemment
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Sujet: Re: i wasn't asleep. i was drunk. Ϟ laah. Jeu 13 Oct - 20:39
Bienvenue
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Sujet: Re: i wasn't asleep. i was drunk. Ϟ laah. Jeu 13 Oct - 20:53
Re-bienvenue
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Sujet: Re: i wasn't asleep. i was drunk. Ϟ laah. Jeu 13 Oct - 22:27
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i wasn't asleep. i was drunk. Ϟ laah. Jeu 13 Oct - 22:29
rebienvenue sur nycl.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i wasn't asleep. i was drunk. Ϟ laah. Ven 14 Oct - 8:41
Rebienvenue si tu as des questions n'hésite surtout pas & bon courage pour ta fiche
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: i wasn't asleep. i was drunk. Ϟ laah. Ven 14 Oct - 13:23
Ca c'est du nom Bienvenue !
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Sujet: Re: i wasn't asleep. i was drunk. Ϟ laah. Ven 14 Oct - 19:49
welcome !
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Sujet: Re: i wasn't asleep. i was drunk. Ϟ laah. Ven 14 Oct - 22:34
le pseudo défonce tout bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: i wasn't asleep. i was drunk. Ϟ laah. Ven 14 Oct - 23:03
Bienvenue sur le fow. Courage pour ta fiche. J'ai validé ton code de règlement qui était le bon.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i wasn't asleep. i was drunk. Ϟ laah. Ven 14 Oct - 23:16
bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: i wasn't asleep. i was drunk. Ϟ laah. Dim 16 Oct - 16:38
Je discutais avec une demoiselle par mp et pouf tout d'un coup c'est un mec. Y a de quoi me perturber, t'es d'accord hein ? =P Re Bienvenu et puis bonne chance pour ta nouvelle fiche !!!! n_n hâte de lire tout ça n_n
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Sujet: Re: i wasn't asleep. i was drunk. Ϟ laah.
i wasn't asleep. i was drunk. Ϟ laah.
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