❝ dans ton crew t'es qu'une pute on t'appelle nicki minaj ❞ ✩ antoine
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Sujet: ❝ dans ton crew t'es qu'une pute on t'appelle nicki minaj ❞ ✩ antoine Dim 16 Oct - 12:30
FEAT. ALEX PETTYFER
Antoine Raphaël DESVIGNES
20 ans → Né(e) à Paris le 19/06/1991 → Etudiant en 3ème année de Sciences Po et Artiste. célibataire → hétérosexuel → membre des Artists.
And who i am ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Le dernier jean Hugo Boss, la dernière chemise Gucci, tout ça, très peu pour moi. Je ne vois aucun intérêt à dépenser autant de thunes pour des fringues. On peut clairement avoir des trucs aussi bien, voire même mieux, à beaucoup moins cher. La seule différence, c'est l'image de marque, tout ce putain de business qui empoisonne l'esprit de beaucoup de personne, dans notre belle société de surconsommation. Je critique mais je ne vaux pas mieux que le commun des mortels. Même si je suis plutôt du genre jean, t-shirt, simple, ça ne m'empêche pas de prendre soin de mon look, d'acheter encore et encore. Preuve en sont, les tatouages que j'ai sur mon corps. Ça ne sert pas à grand chose au final, mais cela n'empêche que j'aime bien ça, et que je dépense de la thune dedans. Un sur l'épaule, un sur la poitrine et un sur l'omoplate. Je pense que c'est suffisant, et que je n'en ferai pas d'autre. Mais qui sait, une subite envie de nouveauté, et je pourrai ajouter un nouveau tatouage à ma collection. Voici la société dans laquelle nous vivons, une société ou l'on cède bien souvent aux tentations, et putain que c'est bon !
★Quel est le caractère de ton personnage? → La franchise, mon principal trait de caractère. Je ne parle pas de qualité car dans bien des cas, il s'agit plutôt d'un défaut. Parce que je suis tellement franc que je dis toujours ce que je pense, dans toutes les situations. Ce qui me vaut bien souvent des appellations bien sympathiques du genre "connard, fils de pute, enculé". La franchise, ça plait, ou ça ne plait pas. Beaucoup de personne pense qu'il s'agit d'une qualité, mais change rapidement d'avis quand je leur dit ce que je pense réellement d'eux. Les gens ne savent pas ce qu'ils veulent, ils font l'éloge de certains comportements, pour les blâmer dans les secondes qui suivent. On parle de génération internet, de génération maudite, moi je parlerai plutôt de génération lunatique, on ne sait jamais ce qu'on veut car beaucoup d'entre nous obtiennent bien trop souvent ce qu'ils veulent, pourris gâtés, quand tu nous tiens. Ah, vous l'aurez peut être remarqué, je suis quelqu'un qui adore analyser le monde dans lequel je vis. J'aurai aussi pu dire quelqu'un qui aime critiquer, mais, ça, c'est plutôt la conséquence de l'analyse. Je critique beaucoup car je vois bien que le monde dans lequel je vis comporte énormément de chose qui m'exaspère. Mais je ne me voile pas la face, un monde parfait, ça n'existe pas. C'est bien pour ça que je profite quand même à fond de ce monde, vivant à 200%. Je suis venu aux Etats-Unis pour étudier. Enfin ça, c'est ce que j'ai dit à mes parents. Car oui, je vais étudier, mais ça, j'aurai très bien pu le faire en France, non les études je n'en ai strictement rien à faire. Moi je vis pour la musique, et si je suis venu ici c'est pour vivre mon American Dream et percer dans le milieu du rap, être le premier rappeur français à être reconnu outre atlantique. Mais je ne parle pas de ces rappeurs, faux MC, hyper commercial, avec des lyrics, non je parle de mon rap, du seul dans lequel je trouve un intérêt, celui qui est profond, un brin noir et cynique, j'en ai strictement rien à battre des rappeurs qui font les mecs avec des grosses voitures et des putes, ils n'ont simplement rien compris à la vie. Bref, ça, c'était un petit aperçu, pour le reste, disons que je vais entretenir le suspens.
Well... It's my story...
Mon histoire ? Rien de très extravaguant. Je suis né par une soirée de Juin 91, dans le 9ème, à Paris. Une famille plutôt aisée, mais pas non plus blindée, je n’ai jamais manqué de rien. Mon enfance se déroula sans trop d’accrocs, elle se résumait entre les parties de foot avec les copains (attention, le vrai foot, pas ce faux rugby que vous pratiquez outre atlantique), mon vélo, mon skate, mes billes et mes cartes Pokémons. A y repenser, c’était plutôt cool, je dirai même que c’était le bon temps, on se prenait pas la tête pour de la merde, pas comme aujourd’hui. On s’éclatait à l’école, c’était même un plaisir d’y aller, le soir on arrivait, on faisait ses devoirs en 20 minutes, puis on jouait toute la soirée. Franchement, il y a pas à dire, la vie d’un enfant, se rapproche pas mal de la vie idéale selon moi. Antoine Desvignes, vingt ans, frappé par le syndrome de Peter Pan. Les choses se sont un peu compliquées à mes 12 ans, mon père qui perd son emploi, ma mère qui demande le divorce. Elle n’en voulait apparemment qu’à son fric, mais c’était ma mère, je ne pouvais vraiment pas la voir comme une salope, on ne touche pas aux mères. Alors j’ai commencé à être trimballé d’une semaine sur l’autre, de chez ma mère, à chez mon père. Elle était restée dans un beau quartier, étant une rentière, elle avait pas mal d’argent de côté, il était parti vivre en banlieue défavorisée Parisienne. Choc des cultures, une semaine je côtoyais les fils à papa pétés de thune, l’autre semaine j’étais dans un quartier considéré comme sensible. C’est là que tout a plus ou moins basculé, que mon innocence s’est envolée, que mon cynisme l’a remplacé. C’était à cause de mes mauvaises fréquentations selon ma mère, c’était parce que je trainais avec des voyous, pas avec des gens de bonnes familles. Je vous épargne tous les propos racistes qu’elle a pu tenir. Je ne disais rien, je n’avais pas envie de rentrer en conflit avec elle, autant la laisser parler et l’ignorer. Mais un jour, j’en eus plus qu’assez. Salope, conasse, trainée, furent les termes que j’employai. Je ne voulais plus vivre avec elle, j’en avais plus qu’assez, alors je demandai au juge qui avait traité leur divorce, de me placer uniquement sous la garde de mon père. Ce ne fût pas chose aisée, mais après plusieurs mois, le jugement fût positif. Entre temps, mon père avait retrouvé un boulot plutôt bien payé et nous nous étions installés dans une banlieue un peu plus tranquille avant de revenir dans le 9ème. Seulement je ne perdis pas de vue mes racines, je développais cette culture « street » qui était désormais ancrée au plus profond de moi-même. Il y a quatre ans, je décidai de commencer le rap, bien loin de ces mecs qui se la jouent, qui pensent avoir réussi parce qu’ils ont fait un tube (pourri soit disant passant). Non, ces mecs là, je ne pouvais pas les voir, ils jouaient les mecs durs alors qu’ils ne savaient se battre qu’en bande, ils se prenaient pour des rappeurs alors que leurs lyrics avaient autant de profondeur d’esprit qu’un poisson rouge. Au bout de deux ans de pratique, je commençais à être connu en région parisienne, j’avais 18 ans, je participais à quelques concours de rap. Mais je n’étais pas vraiment apprécié dans le milieu, car je ne cachais pas mon antipathie pour ceux qui se prenaient pour des MC. A vrai dire, ce comportement engendra quelques coups, ces écervelés n’appréciaient pas, alors ils tapaient. Ils avaient la force de frappe, j’avais la force de parole, ils avaient besoin de se battre alors qu’en quelques mots je les humiliais. Aujourd’hui, lassé par ce rap business français de merde, là où les plus mauvais percent, j’ai décidé de partir étudier à New York. Mes parents sont fiers de moi, mais ils ignorent que je fais ça pour vivre mon American Dream, pour vivre de ma passion, pour vivre du rap, pour percer outre atlantique et pour prouver à tous ces loosers français que le rap ce n’est pas une grosse voiture, deux trois salopes et du bling bling, mais plutôt une profondeur dans des paroles censées, peace out suckers.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → A; 20 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Partenariats, bouche à oreille, etc. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → 4 à 5 jours par semaine. ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé.
Mon exemple de RolePlay:
→
Un vide perpétuel. Voilà ce qu’était au fond l’histoire de ma vie. Il manquait toujours quelqu’un pour que mon bonheur soit plein. Quand j’étais gosse, c’était mon père, cet ivrogne qui frappait toute la famille. Puis il était mort, et mon frère était parti en prison pour homicide volontaire. Il ne me restait plus que ma mère, une dépressive sur laquelle je ne pouvais pas vraiment compter. C’était le départ de cette vie de solitaire que j’allais mener contre mon gré. Le temps passait, et l’histoire se reproduisait, cycliquement. Mes amis partaient, les uns après les autres. Alors, à mon tour, j’avais décidé de partir. Partir pour l’université. J’avais vu ce départ comme une opportunité à ne surtout pas manquer, comme la possibilité d’un nouveau départ. Mais non, tout recommençait, inéluctablement. Reagan s’en allait, Drew passait du statut d’ami à celui d’ennemi numéro, quant à Perdita, et bien nous n’étions à présent plus que de simples étrangers aux yeux de l’autre. Tout ça, par ma faute, je n’avais pas été assez fort pour garder cette amitié. Je l’avais complètement sacrifié pour un petit béguin passager. Car c’était le cas en réalité. A l’époque, Perdita m’attirait, il n’y avait aucun doute là-dessus, mais mon cœur, lui, était déjà pris, Reagan y était toujours profondément ancrée, sans que j’en sois conscient. Alors au final, son refus avait peut-être été un mal pour un bien. C’était juste moi qui avait mal agit par la suite, en fuyant cette amitié si forte que nous pouvions avoir à l’époque. J’avais tout gâché à cause de ma stupide fierté, qui, une fois de plus, avait dicté le rythme de ma vie et m’avait joué des tours. Aujourd’hui, une nouvelle fois, je me retrouvais seul, mes potes étaient partis s’éclater à Cancun, et moi, par peur de ce que je pouvais faire une fois sous l’emprise de l’alcool, entouré de filles canons légèrement vêtues, j’étais resté bien tranquillement à l’université, pour ne pas faire de conneries et prendre le risque de perdre ma rock star préférée. Elle, pendant ce temps, était partie en tournée internationale avec son groupe, j’étais donc seul, extrêmement seul. Cette solitude me hantait, cela faisait à peine une semaine que tout le monde – ou presque – avait quitté Berkeley, et je n’en pouvais déjà plus d’être seul à longueur de journée. Je n’avais rien à faire, je m’ennuyais comme jamais. Passer la journée devant la télé ou un écran d’ordinateur, ça allait cinq minutes, mais c’était vite lassant. Alors, pour me vider la tête, penser à autre chose, j’essayais de faire pas mal de sport. Seulement, en grand adepte de sport d’équipes que j’étais, faire du sport tout seul, m’énervais. La solitude et moi n’étions vraiment pas faits pour cohabiter. Le point positif là-dedans ? C’était que je serai en plein forme physique pour la reprise de l’entrainement avec l’équipe de football. De ce fait, j’augmentais mes chances d’être promu de la place de vice-capitaine, à celle de capitaine de l’équipe. C’était mon envie du moment, celle dans laquelle je plaçais tous mes espoirs pendant la tournée de ma blonde. Mais aujourd’hui, j’avais envie de lever un peu le pied, de prendre mon temps, arrêté d’être speed, voir qui était resté au sein de l’université, histoire de reste en contact avec la civilisation. D’habitude sociable, j’avais évité tout contact avec les étudiants depuis quelques jours, la majorité de ceux étant restés à Berkeley étant des personnes voulant prendre des cours particuliers, bosser encore et toujours plus, ce n’était pas vraiment une mentalité que j’appréciais. D’un côté, je ne valais pas vraiment mieux… Même sans partir à Cancun, j’aurais pu partir en vacances, mais non, j’avais préféré rester à l’université pour m’entraîner… Comme si après une année passée ici, je n’avais pas envie de voir autre chose. Mais non… mon fameux nouveau père m’avait demandé de rester à San Francisco, histoire qu’on se voit plus souvent. C’était la condition sine qua non pour que je touche son héritage, passer du temps avec lui, alors je n’allais pas faire un caprice et envoyer tout valser, non il en était hors de question.
Tout ce que j’avais à faire ? Arrêter de penser. Je pensais beaucoup trop, je me construisais mes propres problèmes. Trop compliqué, trop torturé, je ne cessais de me morfondre, jour après jour. Mais quel con étais-je pour agir de la sorte ? J’étais intelligent, plutôt bien foutu, riche, j’avais de très bons amis qui m’entouraient et je sortais avec une fille géniale. J’avais tout pour être heureux, mais non, je m’apitoyais trop sur des petits problèmes qui au fond n’en n’étaient pas pour reconnaître que j’avais une vie que beaucoup pourraient envier. Cela devait cesser, et le plus rapidement possible, je devais retrouver cette bonne humeur, quasi enfantine qui me caractérisait lorsque je n’étais pas encore à l’université. A cette époque, j’avais des problèmes, des vrais, mais j’étais au-dessus de ça, alors il n’y avait aucune raison pour que je n’agisse pas de la même manière aujourd’hui. Etre heureux, un concept qui m’étais bien lointain. Pour redevenir heureux, je devais d’abord renouer contact avec les personnes qui m’étaient cher. L’opportunité me tendait les bras, avec Perdita, à qui j’avais envie de reparler depuis très longtemps, mais je n’osais pas. Today, it’s my rebirth. Perdita avait l’air d’être sur la même longueur d’ondes que moi, aucune rancune dans l’air, et ça me soulageait. « Ma vie est assez compliquée ici et je pense que partir là - bas n'arrangerait pas forcément les choses. Comme toi je l'ai choisi. Et toi qu'est ce qui te retenait à Berkeley ? Ton lit, une fille ou juste le fait de pouvoir avoir la confrérie pour toi tout seul. » La question que tout le monde me posait actuellement. Pourquoi je n’étais pas venu à Cancun. Bien entendu, j’avais du mal à dire la vérité à ce sujet. Ne pas venir à cause de sa copine, ça fait clairement le mec soumis, alors pour mon égo, l’affirmer serait prendre un sacré coup. Le pire étant que Reagan ne m’avait rien demandé, cette décision émanait de moi, et de moi seul. « Compliquée ? Tu veux en parler ? Excuse-moi, ça ne me regarde pas, ça doit être personnel… » Je n’osais pas lui demander, je ne savais pas si cela était indiscret ou non, je ne savais pas si nous étions toujours amis ou non, je ne savais si elle m’en voulait ou non de l’avoir délaissée de la sorte, alors lui demander des détails personnels, c’était sûrement trop. « Il y a pas mal de raisons qui m’ont poussé à rester. Disons que la principale, c’est que je dois m’entraîner pour la nouvelle saison, j’ai toujours de la rééducation à faire à cause de cette balle que j’ai prise… » Mensonge, mensonge et encore mensonge ! Cette balle que j’avais reçue dans l’abdomen à Noël dernier me servait d’excuses pour pas mal de choses, dès que je devais me sortir d’une situation délicate, j’en parlais. Les gens ne savaient pas comment réagir dans ce genre de situation, ils ne savaient pas s’ils devaient en parler, ou éviter le sujet. Il faut dire que ce n’est pas tous les jours qu’une personne de votre entourage se fait tirer dessus, à moins que vous soyez militaire… Je me rapprochais d’elle, au fond de moi, tout ce dont j’avais envie, c’était de la prendre dans mes bras et lui demander pardon pour tout ce que j’avais fait, mais il était encore trop tôt, beaucoup trop tôt. Elle me manquait terriblement, mais je l’avais cherché, cette situation, j’en étais l’unique responsable, c’était à moi désormais de tout réparer. « Je fais aller, je continue sur ma voie. Et toi comment ça se passe de ton côté ? » On parlait peut-être de tout et de rien, mais cela faisait du bien, parler avec elle, quelque chose qui autrefois faisait partie de mon quotidien et qui, aujourd’hui, me semblait si difficile. « Hmm, disons qu’il y a du bon et du moins bon… » Je marquai un temps d’arrêt, ne voulant pas vraiment raconter ma vie. Puis montrai du doigt le paquet de céréales, histoire de détourner son attention. « Je vois que t’as pas perdu tes vieilles habitudes de manger des céréales en plein après-midi ! » lâchais-je, rieur. Je voulais essayer de retrouver une once de complicité avec elle, mais j’avais du mal, je ne m’y prenais pas vraiment comme il fallait, grand maladroit que j’étais…
Le code règlement:
→ OKAY BY HBICDOUGLAS
Dernière édition par Antoine R. Desvignes le Dim 16 Oct - 14:16, édité 6 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ❝ dans ton crew t'es qu'une pute on t'appelle nicki minaj ❞ ✩ antoine Dim 16 Oct - 12:41
Bienvenue plus officiellement donc Si tu as des questions n'hésite surtout pas & bon courage pour ta fiche J'édite ton code qui est bon !
& raphaël comme second prénom & Pettyfer
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ❝ dans ton crew t'es qu'une pute on t'appelle nicki minaj ❞ ✩ antoine Dim 16 Oct - 12:53
Merci toi dobrev
et comme je t'ai dis, pas de promesse, mais disons plutôt un engagement
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ❝ dans ton crew t'es qu'une pute on t'appelle nicki minaj ❞ ✩ antoine Dim 16 Oct - 12:57
ton titre + ton pseudo complètement français + ton avatar + a.pettyfer = tues-moi quoi. bienvenue sur nycl en tout cas, et bonne chance pour ta fiche.
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Sujet: Re: ❝ dans ton crew t'es qu'une pute on t'appelle nicki minaj ❞ ✩ antoine Dim 16 Oct - 13:06
Bienvenue parmi nous & bonne continuation pour ta fiche =)
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Sujet: Re: ❝ dans ton crew t'es qu'une pute on t'appelle nicki minaj ❞ ✩ antoine Dim 16 Oct - 13:19
Ton avatar Bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ❝ dans ton crew t'es qu'une pute on t'appelle nicki minaj ❞ ✩ antoine Dim 16 Oct - 13:32
Aleksandra I. Petrova a écrit:
ton titre + ton pseudo complètement français + ton avatar + a.pettyfer = tues-moi quoi. bienvenue sur nycl en tout cas, et bonne chance pour ta fiche.
voilà pardons pour la blague de merde merci
Xenya R. Cooper a écrit:
Bienvenue parmi nous & bonne continuation pour ta fiche =)
Merci
Maya L. Fabregas a écrit:
Ton avatar Bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche
Je te retourne le compliment et merci
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Sujet: Re: ❝ dans ton crew t'es qu'une pute on t'appelle nicki minaj ❞ ✩ antoine Dim 16 Oct - 13:40
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: ❝ dans ton crew t'es qu'une pute on t'appelle nicki minaj ❞ ✩ antoine Dim 16 Oct - 13:45
Bienvenue Je vais te demander de mettre le nom de la célébrité choisit dans la case sous ton titre, s'il te plaît (:
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Sujet: Re: ❝ dans ton crew t'es qu'une pute on t'appelle nicki minaj ❞ ✩ antoine Dim 16 Oct - 13:46
pettyfer pettyfer pettyfer
bienvenue parmi nous.
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Sujet: Re: ❝ dans ton crew t'es qu'une pute on t'appelle nicki minaj ❞ ✩ antoine Dim 16 Oct - 13:54
Merci à toutes
Dylan, je croyais l'avoir mis désolé, maintenant c'est fait
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: ❝ dans ton crew t'es qu'une pute on t'appelle nicki minaj ❞ ✩ antoine Dim 16 Oct - 13:55
Ton avatar est sublime ! Bienvenue !
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Sujet: Re: ❝ dans ton crew t'es qu'une pute on t'appelle nicki minaj ❞ ✩ antoine Dim 16 Oct - 14:00
Bienvenue réserve moi un lien (:
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Sujet: Re: ❝ dans ton crew t'es qu'une pute on t'appelle nicki minaj ❞ ✩ antoine Dim 16 Oct - 14:17
Merci ! Pas de problèmes pour le lien
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Sujet: Re: ❝ dans ton crew t'es qu'une pute on t'appelle nicki minaj ❞ ✩ antoine Dim 16 Oct - 14:29
Validé !
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Sujet: Re: ❝ dans ton crew t'es qu'une pute on t'appelle nicki minaj ❞ ✩ antoine
❝ dans ton crew t'es qu'une pute on t'appelle nicki minaj ❞ ✩ antoine
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