25 ans → Née en Floride le 13/04/1986 → Assistante d'un grand rédacteur en chef célibataire → hétérosexuelle → membre des Ordinaries.
And who i am ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Mes caractéristiques ? C'est dure de dire. Je n'en ai pas vraiment. Enfin, si ce n'est un tatouage en bas du dos que j'ai été obligée de faire suite à un Paris que j'avais perdu. Si en fait j'en ai une de caractéristique. C'est bizarre, et peu commun, mais je suis allergique à l'ananas. C'est bête parce que j'adore ça, mais quand j'étais petite, j'ai fait une réaction allergique. Mon visage a gonflé comme pour quelqu'un qui est allergique aux fruits de mer, et est resté comme ça pendant trois jours. Depuis, j'évite les pizzas type hawaïennes, et les morceaux d'ananas avec de la chantilly, bien que ça me manque énormément ! Physiquement, je n'ai rien de spéciale. Je ne suis pas très grande, c'est vrai, mais on me dit que c'est de famille. Entre nous, je pense que c'est juste un moyen pour éviter que je complexe au sujet de ma taille. Je suis très mince, mais pas musclée. Pourtant je m'entretiens ! Et aussi, je porte des lunettes. Je déteste ça, et j'essaye de les mettre le moins possible, mais dans mon métier, c'est dure de les éviter !
★Quel est le caractère de ton personnage? → Ah mon caractère ! La chose la plus complexe de ma personnalité ! Non, j'ai un caractère simple, mais c'est vrai que pour certaines personnes. Enfin bref. Le premier point de ma personnalité est que je suis une jeune femme excentrique. Je ne tiens pas en place, j'ai toujours besoin de bouger, et de faire les quatre cents coups. En fait, je suis une grande gamine. Et peut être que c'est ce côté "prête à tout" qui me permet en partie de conquérir de nombreux hommes, je n'en sais rien. Mais malgré ce côté un peu pile énergétique, je reste une jeune femme travailleuse. Avec le poste haut placé que j'ai il le faut bien ! Mais disons que je profite amplement des heures durant lesquelles je ne travaille pas ! Avant je n'étais pas comme ça. J'ai souvent été une jeune fille timide, effacée. Être le plus jeune d'une famille, ce n'est pas toujours facile. Mais je pense que ça m'a aidé à forger le caractère que je développe encore aujourd'hui.
Well... It's my story...
On ne choisit pas ses parents, on ne choisit pas sa famille. C'est bien dommage, car si c'était possible, ma vie aurait été bien différente. Je suis l'avant dernière enfant d'une grande famille, celle des Cohen. En fait, puisque j'étais une petite fille simple, je n'étais qu'une sorte d'option. J'étais là que quand on en avait envie, enfin, on ne me voyait que quand on n'en avait envie. Bien sûr, quand je dis "on", je parle évidement de mes parents. Ils n'avaient d'yeux que pour mon frère, Devon, et son intelligence, pour ma sœur, Sophie, et sa beauté inégalable, et aussi pour mon autre sœur, Aurore, et son âme soit disant torturée. Du coup, moi, en enfant n'ayant rien de particulier, je ne méritais apparemment aucune attention particulière. En réalité, je me contentais de ma simplicité, et quand je voyais les problèmes qu'avaient mes différents frères et sœurs, je n'en étais pas moins heureuse, de cette simplicité.
Enfin, assez parlé de ma famille. Ce n'est pas quelque chose dont je me vente. On me dit souvent « Mais tu es une Cohen ! Ta vie doit être fabuleuse ! » Arf ! Si ils savaient. Donc, comme je le disais, j'ai eu une enfance des plus banales. Se lever, prendre un petit déjeuner, aller à l'école, manger, retourner à l'école, faire ses devoirs, manger, dormir. Et ceci se répétait chaque jour de ma misérable vie d'enfant. Mais en réalité, c'est en parti grâce à cette simplicité que j'ai finalement réussi à m'affirmer dans cette famille peu banale. En effet, ma sœur Aurore, avait des soucis de santé. Mes parents s'en occupaient, évidemment, mais mes aînés craignaient plusieurs choses, alors je fus la seule à être à ses côtés. J'étais encore jeune à cette époque, et le fait que je m'affirme en prenant soin d'elle comme je le pouvais, je pense que ça a fait quelque chose à mes parents, qu'ils ont remarqué que je n'étais pas celle qu'ils pensaient. Tout comme Sarah et Devon d'ailleurs. Alors, petit à petit, j'ai su m'affirmer au sein de cette énorme famille.
Mais malheureusement, quelques années plus tard, vint le jour où l'ont m'apprit le décès de Aurore. Wow. "Et ils ne furent plus que trois" comme le disait Agatha Christie. Je n'en revenais pas. C'était il y a environ neuf mois, mais je pensais que tout le réconfort que j'avais pu lui apporter l'aurait rendu en quelques sortes immortelle. Elle était en Afrique, et je ne l'avais pas vu depuis si longtemps, que je ne me souvenais même pas de ce que furent ses derniers mots envers moi. Bien sûr, je partis avec mes parents, tout d'abord pour identifier le corps, et étant donné que c'était elle, pour la voir, une dernière fois. Mais également pour soutenir mes parents, car Sarah et Devon n'arrivaient pas à croire ce qui venait de se produire, et je me devais d'être là pour eux. J'assistais au fur et à mesure à la descente aux enfers de la famille Cohen.
Tout le monde comptait sur moi, et pensait que quoi qu'il arrive, je serai là. En réalité, à cause de cette bonté envers les membres de ma famille, je n'ai jamais eu de vie privée. Pas de petit ami, ni vraiment de meilleure amie, mais ça, personne n'en tenait compte. Et c'est à l'âge de seize ans que, après d'autres évènements, mon frère et ma sœur, qui sont pourtant mes aînés, ont en quelques sortes reposé sur moi leurs espoirs de regagner leur popularité mutuelle. Ils tenaient une chronique à la télévision, mais tout s'était effondré du jour au lendemain, et d'après eux, j'étais la seule à pouvoir relancer cette machine. Alors, bien que je ne pouvais pas les laisser dans la merde dans laquelle ils s'étaient mis, contrairement à mes autres "sauvetages" je ne passais pas mes journées à leurs pieds. Non, j'étais majeure, et j'avais également décidé de profiter de ma jeunesse. J'avais réussi à rencontrer enfin des gens, et passais mes soirées entre boîte de nui et bar. Évidemment, j'enchaînais les conquêtes d'un soir, mais apparemment, ça aussi c'était de famille.
Enfin... Deux ans plus tard, après avoir enfin réussi à relancer la popularité de Devon et de Sarah, je pris enfin la décision de me consacrer du temps à moi. J'avais passé mes deux dernières années cloitrée à la maison, ne voulant pas me lancer dans des études qui, je le savais d'avance, ne me servirait à rien. Alors, curieuse de tout et sur une sorte de coup de tête, je plaquais parents, frère et sœur, pour partir faire un voyage à pieds dans l'ensemble des États-Unis. Un peu à la Into The Wild en fait. C'était d'ailleurs en voyant ce film que l'idée m'avait pris la tête. J'étais aller presque en ligne droite jusqu'à Vegas, et était revenue en Floride. Pendant ce long et périlleux voyage, j'avais eu la chance de tomber sur des gens adorables, accueillants, enfin, comme des gens qui se souciaient vraiment de votre personne, et qui seraient vraiment près à vous venir en aide. Ces personnes-là étaient vraiment l'opposé de mes parents à moi, et je pense que c'est ce que cette expérience m'a apporté, en plus de voir des centaines de paysages différents.
Et me revoilà en Floride ! Nous sommes en deux-mille-dix, et j'ai enfin retrouver mon petit chez moi, après deux ans de voyage. Et le cours de la vie a été très dur à reprendre. Je naviguais, de petit boulot en petit boulot, et la tentative de reconnexion avec Devon et Sarah, en réalité, je ne l'avais pas vraiment tenté. Juste envoyer un mail "Hey ! Je suis de retour !" et c'était tout. Heureusement, j'ai su trouvé des personnes qui m'ont épaulé, et depuis, je suis assistante d'un chef de rédaction d'un des plus grands magazines de mode de tous les Etats-Unis. Une nouvelle vie s'offre à moi, et je n'ai pas l'intention de la laisser passer...
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → > Noémie ; 16 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Le bouche à oreille ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → 6/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → Scénario
Mon exemple de RolePlay:
→
La tension se faisait de plus en plus sentir. Sylvain c'était enfin calmer, ce qui eut le don de faire cesser les larmes d'Amandine. Elle n'osait pas sourire, mais voir le visage plus serein de cet homme qu'elle avait tant aimer, cela la soulageait. Elle ne se reconnaissait pas. Elle ne savait pas ce qu'il lui arrivait, et elle avait peur de retomber très amoureuse de lui, comme elle l'avait été déjà seize ans auparavant. Mais elle voulait éviter d'y penser, ce disant que si elle y pensait trop, il y aurait plus de chance que ça arrive. Mais malgré son calme, il continuait de maintenir que Marie n'était pas la fille d'Amandine. Et celle-ci ne préférait rien dire, de peur d'énerver Sylvain. Elle se contenta de détourner son regard, en se disant qu'au fond, il n'avait pas tord sur toute la ligne. Mais ce n'était pas parce qu'elle n'avait pas été là qu'Amandine n'était pas la mère de Marie, car rien ne pouvait briser les liens du sang. Mais Amandine continua de garder le silence. Sylvain tourna alors la tête. La styliste releva la sienne, et regarda le visage de son ancien amant, ce visage qu'elle avait tant aimé caresser, et embrasser. Mais elle ne voulait pas céder à cette tentation.
Sylvain retourna son doux visage sur celui d'Amandine, en l'invitant à entrer. Si après la claque qu'il lui avait mis, et la trace rouge qu'il avait laisser, elle s'attendait à tout, sauf à ce qu'il l'invite à boire un verre, dans son appartement. Et la jolie blonde se voyait mal refuser cette proposition. Alors elle entra dans cet appartement, en souriant à son propriétaire pour la première fois de la journée. Elle remarqua que son appartement était vraiment magnifique. Il était parfaitement bien rangé, bien loin du désordre de l'appartement de la styliste. « C'est... C'est très joli chez toi. » Puis, elle s'assit sur le canapé, où Sylvain l'avait inviter à s'asseoir. Il lui apporta un verre et lui servit de jus d'orange, avant de la rejoindre sur le canapé, en disant qu'il n'avait que ça. « C'est très bien ! Ne t'en fais pas ! » Il lui dit de faire comme chez elle, mais elle n'osait pas vraiment. Elle semblait presque gentille, ce qui n'était pas dans son habitude. Qu'est-ce qui lui arrivait ?
Amandine était hésitante, elle ne savait pas quoi dire à Sylvain, et s'en retrouver presque gênée. Celui-ci lui demanda alors si elle aimait toujours autant le jus d'orange. « Je ne suis plus une enfant, mais oui, j'adore ça. Contente que tu t'en souviennes... » Elle aimait le jus d'orange, c'est vrai, mais elle préférait tout de même un bon verre de vodka à la menthe. Mais elle se voyait mal demander cela à Sylvain. Elle prit le verre, et bu une légère gorgée du breuvage orange, avant de le reposer et de ce faire assommer par la question qui tue de Sylvain : pourquoi était-elle parti. C'était une question à laquelle la réponse était on ne peut plus compliquée. Amandine prit alors une grande inspiration, et se retourna vers Sylvain en le regardant dans les yeux, avant d'entamer son discours. « Bon. Il fallait bien qu'on y vienne un jour, donc s'il te plaît écoute, parce que je ne penses pas que j'aurais le cran de te le répéter plusieurs. Quand j'ai su que j'étais tombée enceinte, je voulais avorter sans même te le dire. Oui, c'est vrai. Sauf que voilà... J'étais tombée amoureuse de toi, contre toute attente, parce que ce n'était vraiment pas ce que je voulais crois moi ! Et c'est cette force de l'amour ou de je ne sais pas trop quoi, qui m'a donné la force de te le dire, et si Marie est là aujourd'hui, c'est surtout parce que tu m'as donné la force de la mettre au monde. »
Elle s'arrêta quelques instants, en ce rendant compte que ça n'avait aucun rapport avec ce qu'il venait de lui demander, mais repris son discours presque aussitôt. « Et une fois qu'elle est venue au monde, j'étais heureuse comme je ne l'avais jamais été. Parce que j'étais maman, et par dessus tout, j'étais folle amoureuse du père de mon enfant. Et contre toute attente, c'est ça qui m'a poussé à partir. J'étais jeune et je ne comprenais rien à ce qu'il m'arrivait. J'étais prête à tuer pour toi. Mais je ne sais pas... Cette personne soudain devenue romantique, amoureuse, ce n'était pas moi. Je ne voulais pas abandonner Marie, parce que tout comme je t'aimais toi, je l'aimais elle de tout mon être. Mais je ne voulais pas te l'enlever, et je me voyais très mal m'occuper d'elle toute seule. Alors je suis partie. » De nouveau, elle marqua une pause. « Je sais que de toute façon tu ne me croiras pas, et même si je te disais que j'avais encore des sentiments pour toi tu ne me croirais pas, mais je peux te jurer sur la vie de qui tu veux que ce que je viens de te dire c'est vrai. » Voilà. Au moins, c'était dit. Mais Amandine se rendit rapidement compte qu'elle venait de lui dire qu'elle l'aimait encore, sans vraiment savoir si c'était le cas ou non. Mais comme elle le savait très bien par expérience, elle ne pouvait pas revenir en arrière. Elle prit alors son verre de nouveau, et bu une longue gorgée, attendant la réponse de Sylvain, si réponse il devait y avoir...
Le code règlement:
→ OK by Bambi
Dernière édition par Faith P. Cohen le Jeu 27 Oct - 10:35, édité 9 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: FPC • Find me an answer Sam 22 Oct - 0:46
Bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: FPC • Find me an answer Sam 22 Oct - 0:47