Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire.
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Sujet: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Dim 23 Oct - 19:08
FEAT. NATALIE PORTMAN
Zadig Micah River-Fields
23 ans → Née à New York le 10/07/1988 → Arts visuels (photographie) célibataire → hétérosexuelle, quoi que facilement entreprenante envers les filles quand elle boit trop → membre des Rebels.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Originaire de New York, Elle est fille unique, Arbore un tatouage derrière la nuque "Elisabeth" le prénom de sa maman et une plume en haut de sa colonne vertébrale, a fait de nombreux allers retours Usa - Europe quand elle était jeune suivant sa mère au boulot, n'est tombée qu'une seule fois amoureuse, Adore le chocolat, Ne fume que quand elle est énervée, Sa mère s'est suicidée suite à un trop plein de stress quand elle avait quinze ans, Est ballerine depuis qu'elle a quatre ans, Son père est un célèbre homme politique des États Unis, Elle a peur des chiens, Se promène partout avec son reflex, Est anorexique, La danse c'est toute sa vie, Allergique à la cacahuète, A un jour eu la bonne idée de se percer la lèvre inférieure, Il lui arrive de se shooter à la coke, Se mord la lèvres dés qu'elle ne contrôle plus la situation, Dit "MERDE" au moins 26 fois par jour, Se trouve toujours trop grosse, Ne se préoccupe pas vraiment de son apparence physique ; elle se maquille peu et enfile ce qui lui passe par la main, Est une dingue de la caféine, a toujours vécu dans un milieu très aisé et a du même subir la célébrité du fait des carrières de ses parents, A toujours été plus à l'aise avec les garçons qu'avec les filles, N'a pas voulu assister à l'enterrement de sa mère, Se ronge sans cesse les ongles, sèche souvent les cours, porte le nom de Zadig, car sa mère était folle de la marque "Zadig&Voltaire".
★Quel est le caractère de ton personnage? → Sensible : Sous sa carapace de grande fille dure, qui sait tout encaisser, se cache encore la petite fille fragile qui a perdu sa mère à quinze ans et qui n'a pu s'appuyer sur l'amour de son père, bien trop occupé à gérer ses campagnes. Alors même si on la pense indestructible, Zadig est une fille douce et sensible, qui se laisse de rare moments pour se lâcher et pleurer. Elle tente tout de même de faire cela en privé.
Rancunière : Zadig n'est pas une fille qui pardonne facilement. Quand on l'a blesse une fois, c'est la fois de trop. Ne pensez pas que vous regagnerez sa sympathie ou même sa confiance avec de simples excuses. Il faudra faire beaucoup plus. Sa rancune se tourne principalement sur sa mère décédée. La belle n'a jamais compris son geste et lui en veut toujours.
Indépendante : C'est une jeune femme qui ne compte que sur elle même. Elle a appris à ne pas s'appuyer sur les autres. On est trop souvent déçu par la suite. Zadig n'a jamais voulu d'aide de son père pour une quelconque lancée professionnelle. Elle n'a jamais usé des relations de sa mère dans le monde de la mode pour s'y faire une place. La belle a toujours cherché à se faire sa place seule et sans personne. Elle ne vit plus au manoir depuis qu'elle a dix neuf ans, s'est débrouillé seule pour atteindre sa quatrième année en arts visuels et n'a pas peur de partir à l'inconnue dans un pays étranger avec comme simples accompagnatrices, ses valises.
Bornée : Si Zadig dit non, c'est non. Et même si elle sait qu'elle a à cent pour cent faux, elle continuera à soutenir son opinion. C'est ainsi depuis toute petite. Quand elle n'est pas d'accord avec quelque chose, elle le dit et sait se faire bien entendre.
Appliquée : La New yorkaise s'applique au plus au point dans tout ce qu'elle peut entreprendre. Le meilleur exemple étant la danse. Elle a toujours mis du sien pour réussir dans ce domaine qu'elle privilégie. C'est ainsi que sa rigueur et son implication a payé car elle touche du doigt son rêve de devenir danseuse étoile.
Snob, Hautaine, Froide : Aux premiers abords, on ne la connait uniquement comme la pire des garces, prenant les gens de haut. Remballant les gens, Zadig est une fille sèche qui ne porte grand intérêt aux inconnus. Comportement qui s'estompe petit à petit après deux trois conversations.
Casse cou, fêtarde : Elle adore la fête et l'adrénaline que cette dernière peut lui procurer. L'alcool, la drogue, le sexe, tout y passe. La belle n'a pas froid aux yeux et tente toujours de nouvelles expériences à chaque soirée où elle est invitée.
Dérangé, Rebelle : Ce n'est un secret pour personne. On la surnomme ainsi, on la qualifie ainsi. Elle agit de la sorte, elle est rebelle. Un trait de caractère qu'elle a développé après le décès de sa mère. Une façon pour elle d'oublier la douleur présente chaque jour.
Anti amour : C'est sa façon pour elle de ne pas souffrir plus qu'elle ne l'est déjà. L’amour c'est les émotions, les sentiments... Un synonyme de réel danger pour la jeune femme qui ne veut plus se risquer à une pareille addiction. Elle a la cocaïne, ce qui lui suffit désormais amplement.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Olivia, dites Livia ou Deuces. 20 ans depuis deux jours. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Pur hasard (a) ★Ce personnage est-il un double compte ? → nop ★Présence sur le forum → 5 jours sur 7 minimum ★Personnage inventé ou scénario ? → inventé
Mon exemple de RolePlay:
→ Luka Kennedy Woodstock ? Le bel apollon sportif, membre à la fois de l’équipe de football américain de UCLA et des célèbres Delta, la confrérie des males en chaleur ? Ginn le connaissait et même depuis un certain temps. A l’époque c’est son sourire ravageur et son charme d’acteur d’Hollywood qui l’a fait craquer lors d’une soirée sur Los Angeles. Alors que la belle profitait enfin de sa liberté après ses dernières années où elle avait dû rester clouée à Houston chez son fils de pute de père violent, elle s’était lancée dans un road trip plus que dangereux et seule par la même occasion. Meredith, sa sœur jumelle, n’avait pas désirait la suivre trop préoccupée à jouer le couple parfait avec son petit ami Jaiden. Bref ! Ginn n’avait pas relevé. Il fallait dire que très peu de chose faisait peur à la jeune texane. Elle avait déjà bravée la mort et les coups ; que pouvait-il y avoir de pire ? La brune piquante s’était ainsi amusée à faire le tour des plus grandes villes du monde et avait débarqué à Los Angeles où elle avait enchainé les relations d’un soir à chaque lieu où elle s’arrêtait. Luka avait été donc l’un d’eux. Sauf qu’avec lui, il y avait ce plus qu’avec tous ces autres. L’humour, la bonne humeur, le fait qu’elle se sente enfin bien avec un homme alors qu’elle les craignait le plus souvent. Cependant Ginn n’avait pas cherché à creuser plus. Elle n’était que de passage, elle ne cherchait pas de relation sérieuse : Luka restait donc une nuit torride de plus. Point à la ligne. De plus, sa rencontre avec Garett Fallen l’avait vite fait oublié tout cela… Garett ? Oui c’est "le" mec. Le seul qui a su percer le cœur et la carapace de fer de la belle Texane. Mais comme à son habitude il avait fallu qu’elle fuie. Ressentir des sentiments n’était plus acceptables pour elle. La souffrance avait déjà frappé à sa porte plusieurs fois et il était hors de question qu’une amourette la brise de nouveau.
Chaque image qu’elle faisait défiler sur son reflex lui rappelait tous ses souvenirs hauts en couleur. Ses rencontres avec des tas de gens extraordinaires, ses paysages à couper le souffle, ses soirées délurées, ses fous rires à s’en tordre le ventre jusqu’à suffoquer à terre… tant de moments qu’elle désirerait se rappeler toute sa vie, tant de souvenirs qui ont réussi à la porter à bout de bras pour ne pas qu’elle sombre dans la dépression. Des petits clichés qui faisaient rayonner sa journée ne serait-ce que quelques minutes alors qu’elle pensait sans cesse à Josh, son fils que Jaiden lui avait arraché des mains. Et il fallait avouer que Luka –oui revenons à lui après cet aparté plus que long- avait été une de ses meilleures connaissances. Deux jours à ses côtés où elle n’avait fait que rire, sortir des blagues, manger comme un ogre –sans prendre un gramme bien sûr-, baiser et encore rire. Néanmoins, maintenant qu’il s’était retrouvé par hasard à UCLA, après je ne sais combien d’années, il était difficile de le supporter. Chiant à tout point et immature, Luka devenait même un peu lourd. Surement que Ginn n’était plus la même et que sa patience n’était plus aussi importante qu’avant mais ça commençait réellement à lui taper sur le cerveau. Son acharnement sur la belle devenait gonflant et Ginn sentait la crise de nerf montait en elle un peu plus à chaque fois qu’elle le croisait, ne serait-ce que dix minutes. Ses troubles du comportement n’arrangeaient en rien et il était à chaque fois plus dur de se contenir, rester calme.
Se cognant malencontreusement contre lui, alors qu’elle ne se doutait même pas qu’il est fait exprès de se planter sur son chemin, Ginn tenta de ne pas réagir. L’indifférence était la meilleure des attaques contre un adversaire de la taille de Luka Woodstock. La belle éteignit en vitesse son appareil photo qui était resté sur une image qui les projetait justement tous les deux. « Tiens tiens ! Woodstock. » Fronçant un sourcil, elle le toisa faire son petit numéro de delta qui donnait l’air du mec sûr de lui à souhait. Sa franchise sortit spontanément, sans vraiment qu’elle ne réfléchisse à ses paroles. « Il suffit que je pense à toi pour que t’apparaisses ! Coïncidence … » En y réfléchissant, cela paraissait un peu osé, mais c’était du Mckalister tout craché. Plus franche qu’elle tu meurs ! La texane ne se gênait jamais de dire ce qu’elle pensait tout haut, que ce soit blessant, trop entreprenant, ou carrément gênant. Peu importe, tant que ça sortait !
Alors qu’elle était prête à enchainer pour le remballer et filer aussi vite qu’elle n’était venue, elle zieuta Luka, victorieux et triomphant reflétant un lion qui venait d’avaler la dernière bouchée de son diner, satisfait. « Je savais que je te rendais folle, mais au point que tu penses à moi continuellement, j'étais loin de m'en douter. T'as un papier et un stylo sur toi ? J'te fais un autographe si tu veux ! » Il était donc temps de le refaire descendre un peu sur terre… « Bref ! J’ai pas le temps de jacasser de la pluie et du beau temps avec toi aujourd’hui. Peut être demain… ou peut être pas » Et comme à son habitude, Luka s’était montré lourd. Son égo démesuré venait surement de s’en prendre un coup et même si Ginn savait que là, elle venait tout juste de déclarer la guerre au beau brun, elle avait au moins marqué un point. La difficulté de lui échapper commença à l’énerver et la jeune femme s’empourpra quelque peu. « À quoi tu joues ! Laisse-moi passer. » « Non, trop facile. Je veux quelque chose en échange de mon immense bonté à te laisser passer sans faire du reste de ta journée un véritable enfer. » Il rêvait là ou quoi ? Ginn reprit le dessus sur ses nerfs qui pouvaient se montrer plus qu’impressionnant quand on voyait la carrure de la minuscule demoiselle. Tant de colère pouvait vraiment sortir de ce petit bout de femme ? Of course !! Sachant pertinemment que c’était ce que recherchait Luka –à savoir la mettre en rogne- elle se retenu et esquissa un sourire mesquin. « Mais c’est qu’il a le droit à un su-sucre le petit Lou-lou ! Hein ! Tu veux un su-sucre ? » Ginn arrêta cette mascarade assez vite quand elle aperçut la froideur dans les yeux de son interlocuteur. Avait-elle vraiment réussi à le vexer au point qu’il la laisse tranquille pour de bon – ou du moins pour la journée- ? Ce jeu puéril dont elle venait d’intégrer involontairement, s’interrompit après la fin des applaudissements, stoppait de force par les puissantes mains de Luka qui n’avait pu aucune lueur d’humour dans le visage. La brunette récupéra enfin son sérieux le fixant sans prendre la peine de ciller. « Bon allez c’est bon ! Maintenant, laisse-moi passer. » Prête à le dévier enfin sur la droite, se doutant pertinemment que Luka n’allait pas recommencer à lui barrer la route, Ginn fut prise d’un choc quand le jeune sportif s’avança un peu plus vers elle pour l’attraper et la coincer contre la rangée de casier non loin d’eux. Bloquée à la taille, la texane ne broncha pas sous l’imposant physique du Woodstock. Elle savait qu’il y avait des limites, et pousser à bout un homme d’une telle force n’était pas dans son intention. On ne savait jamais la réaction qu’il pouvait avoir. « Ne joue pas à la plus maligne avec moi McKalister ! On ne se paye pas ma tête sans en payer les conséquences. » Ginn soutenu le regard dur de Woodstock et laissa échapper juste de quoi le faire relâcher prise « Enlève tes sales pattes de moi Woodstock ou tu vas le regretter ! Je ne blagues même pas avec ça ». Un hématome qu’elle avait éclopé de sa jeunesse se réveilla brutalement alors que le jeune homme la lâcha. Ginn frotta rapidement au-dessus de sa tunique à l’endroit où la poigne de Luka avait enlacé le bleu alors que ce dernier profitait de ce moment d’inattention pour dérober son appareil photo, qu’elle tenait toujours dans l’une de ses mains. Elle n’eut la force de lutter. « Si tu veux récupérer ton truc, met toi à genoux devant moi et implore mon pardon. Et vite ! » S’en était trop pour Ginn ! Il n’avait vraiment rien d’autre à faire que de l’énerver toujours un peu plus. Testait-il ses nerfs ? Parce que s’il la cherchait, il allait réellement la trouver !
Ginn fronça les sourcils et aucune lueur de bonne humeur ne resplendissait encore sur son visage. Toute gaieté avait enfin disparu pour ne laisser transparaitre que de la haine et de la fureur. Elle sentit montait en elle cette colère infinie qui se manifestait à chaque qu’on la forçait de montrer toute sa rage. Reilly se réveillait. Elle le sentait. Ses troubles du comportement l’envahissaient à présent, chaque secondes un peu plus. La belle ne contrôlait pas encore sa bipolarité, elle ne voulait même pas l’admettre. Elle faisait désormais peur, comme si un monstre l’habitait. Ginn –ou plutôt Reilly à présent- se figea marmonnant de manière autoritaire. « Donnes moi ça tout de suite ! » Sa phrase raisonna dans tout l’antre du Douglas Hall, attirant même de nombreux regards sur les deux jeunes gens. Elle ne rigolait plus, elle ne jouait plus. Glaciale, on ne la reconnaissait même plus. « Et je ne vais pas le répéter » Elle tendit sa main, prête à lui sauter dessus si il ne s’exécutait pas !
Elle ferma les yeux. Tentant de se souvenir de la voix de Meredith, seul souvenir qui prenait le dessus sur ses crises passagères. C’était un exercice que lui avait enseigné le docteur Hudson, son psychologue qui tentait de la guérir de ses rechutes qui commençait à prendre une place conséquente dans son quotidien. « Penser à elle quand vous sentez la rage vous envahir. Fermez les yeux et faites le vide autour de vous. Ne pensez qu’à elle, visualisez son visage, remémorez-vous sa voix… ». Ginn rouvrit les yeux et se sentit de nouveau elle. Rare qu’elle réussissait à combattre sa maladie aussi facilement. Face à Luka, surprit de ce qui venait de se passer elle lui lança une dernière phrase épuisée. « S’il te plait ! Donnes le moi ». Elle se laissa tomber à terre contre les casiers, tentant de récupérer une respiration qui n’était pas celle d’une sportive qui venait de courir un marathon. Elle tremblait comme une feuille mais se releva rapidement. Il était hors de question qu’on la voit dans un tel état ! Qu’allait penser Woodstock alors qui venait de voir apparaitre là, une des plus grandes failles de la jeune femme. Ginn resta immobile devant lui, épuisée de l’effort qu’elle du entreprendre pour lutter contre son double plus que sadique et diabolique. Cependant elle ne bougea pas attendant que son précieux objet lui revienne. S’attendant à de nombreuses interrogations de la part de Luka, elle prépara dans sa tête, quelques réponses toute prête qu’elle pourrait lui lancer afin d’expliquer ce qui venait de se passer. Une simple montée d’adrénaline, c’est ce qu’elle prétextait souvent.
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Dernière édition par Zadig M. River-Fields le Sam 29 Oct - 1:41, édité 22 fois
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Dim 23 Oct - 19:08
Well... It's my story...
Death is even more icy than the wind.
Je m'en souviens comme si c’était hier. C’était un jour de Novembre, les plus froids que nous n'avons jamais eu en neuf ans. Les enfants allaient à l'école, recouverts de leurs plus beaux manteaux, emmitouflés dans des écharpes que leur avaient confectionnées leurs mères, si ce n'est leurs grandes mères. Toutes les feuilles tombées de leurs arbres, recouvraient le bitume pour ne représenter qu'un gigantesque tapis rouge orangé. La cloche retentissait dans mes oreilles, me donnant cet infini sourire de savoir que j'allais pouvoir sauter dans les bras de ma mère, une fois rentré à la maison. Surement dans le tri des clichés du grand défilé de Sonia Rykiel, dont nous avions assisté dimanche dernier. La marche ne fut pas longue, le temps simplement de traverser les buissons verdâtres qui longeaient la quatre vingt seizième rue et de tourner à l'angle pour voir apparaitre de loin, l'immense manoir qui me faisait office de maison. Maddlyn me recevait comme à son habitude, à l'entrée, afin de récupérer mon manteau et mon sac de classe afin de les ranger au troisième étage, dans ma chambre. « Merci Maddlyn ! » « Tout le plaisir est pour moi, mademoiselle Zadig. Vous devriez vous rendre dans le bureau de votre mère. Elle ne l'a pas quitté depuis ce matin, je n'ai pas osé la déranger. Je suis sure qu'elle sera ravie de vous voir, après tant d'heures de travail ! ». Je m’apprêtai à courir, prenant les marches d'escaliers deux à deux. Je ne pris la peine de faire un saut par la cuisine pour grignoter quoi que ce soit. Tout ce que je désirais, c’était d'enfin pouvoir juger des photographies de ma célèbre mère. Mon père n’était pas là ; ce n’était qu'une question d'habitude, surement en déplacement dans l’État de Washington pour un meeting sur l’écologie afin de gagner encore plus de voix qu'il n'en a. Posté devant la grande porte boisée, prise d'un grand émoi de politesse, je laissai claquer ma main trois fois, ce que je ne faisais pourtant jamais. Étant sa fille, ma mère m'avait toujours dit de rentrer sans frapper. Aucune réponse. Peut être était elle au téléphone ? Toc, toc, toc. Toujours rien. Aucune voix ne filtrait, pas un son. A bas la politesse, m’étais je dis alors. Je tournai la poignée ronde ancienne. Avançant de quelques pas, enfin je pus y apercevoir ma mère, allongée à terre, un verre d'eau renversé à ses côtés, des dizaines de pilules étalaient un peu partout. Je ne pus bouger, comme paralysée, me laissant tomber, me raccrochant au grand bureau que j'aimais tant escalader plus jeune. Un cri perçant et aigu. C'est la seule chose que j'ai réussi à sortir de ma bouche, laissant à la fois mes larmes me submergeaient. Mon corps faisait des soubresauts comme une épileptique en crise. Je venais de comprendre que je venais de perdre ma mère. J'avais quinze ans. « Zadig Micah Elisabeth River-Fields ! ». Cela devait faire le cinquième avertissement de mon cher père pour tenter de me faire descendre. En vain ! Encore vêtue de mon pyjama bleu clair sentant l'orchidée, je jetai un œil furtif par ma fenêtre pour le voir s'impatientait devant une grande limousine. Je pris peine à regarder cette robe en coton qui s'additionnait à un long châle, tout deux noirs comme du charbon. La nuit n'avait pas été l'une des plus agréable, tout comme les précédentes, depuis quatre jours qu'elle m'avait quitté. Le moteur grincheux du corbillard m'avait d'ailleurs violemment réveillé à l'aurore. La fatigue, la tristesse, la colère, commençaient à doucement s'accumuler. « ZADIG ! Je vais venir te chercher si tu ne descends pas de suite !! » Je savais bien qu'il fallait que j'entame cette étape pour pouvoir recommencer à vivre -plutôt tenter d'essayer- mais je ne le voulais pas. Du moins pas encore. Je ne me sentais pas prête. Quelle jeune adolescente d'à peine quinze ans pouvait être prête à faire le deuil de la mort d'un de ses parents ? Je pouvais entendre du troisième étage, l'arrivée massive de la presse, venant autour de la maison comme des vautours à la recherche d'un cadavre bien saillant à se mettre sous la dent. Les escaliers grinçaient à présent sous le poids du corps de mon père qui se faisait désormais impatient. Ouvrant la porte avec fracas, je me tenais devant lui prenant mon courage à deux mains pour l'affronter. Je ne voulais pas aller à la rencontre de cette poignée d'inconnus pleurant sur le pauvre sort de ma mère alors qu'ils ne la connaissaient à peine. Je ne voulais pas mettre ces fichus vêtements noirs, je ne voulais pas affronter la presse et le regard du monde. Je ne voulais pas enterrer ma mère, simplement. « Tu nous fait honte encore une fois. Nous passons pour une famille désunie auprès des médias, j’espère que tu es contente ...» « Je me fiche de l'image que les États Unis porteront sur nous, je me fiche des médias, je me fiche de ce que tu penses. Je ne veux pas y aller. Je ne veux pas aller à ce fichu enterrement. Pour l'unique et simple bonne raison que je ne suis pas prête. » Je lui en voulait. Je n'avais qu'une envie : crier au ciel. Elle m'avait laissé seule dans ce monde de requin, m'avait abandonné au moment où j'avais le plus besoin d'elle. Je faisais donc de même en cette matinée frappé par le vent glacial. Je l'abandonnais le jour où elle avait le plus besoin de moi. C’était ma première rébellion et j'en étais particulièrement fière, même si au jour d'aujourd'hui je regrette ce geste amèrement.
today, you're crying. Tomorrow, you start again your life. Zadig Way !
La danse ne me suffisait plus, j'avais besoin de plus que cela, plus pour ne serait ce que tenter de combler ce vide omniprésent. Le psychiatre tentait par d’innombrables techniques d'y parvenir, mais sans succès. Avouez que me faire parler une heure en me montrant des photos de moi enfant avec ma mère étaient un peu ... Bref. Mon père avait tenté de dissimuler ce rendez vous hebdomadaire aux médias en le camouflant en un cours de soutien de mathématiques. Brillant. Il était d'un gonflant quand il le voulait, avec son obsession. Toujours parfaire son image et la mienne aux yeux de la presse. Qu'est ce qu'on s'en foutait franchement ? « La conseillère psychologue de votre lycée m'a fait part de votre état. Montrez-moi vos mains s'il vous plait Zadig. » Ah oui les mains. Un simple loisir depuis quelques mois. Rien de grave selon mon point de vue. Pas selon les médecins. « L'auto mutilation est quelque chose de tres grave Zadig, vous pourriez y rester ! et que vois je là ... » Eh mince, nous y voilà. « Mon dieu vos doigts !! » « Franchement Monsieur Dawson, ce n'est vraiment pas grand chose... » Je rangeais derechef mes mains dans mes poches, pensant aux nombre de fois où j'ai pu enfoncer mes doigts au fond de ma gorge. Pour me soulager, pour oublier, pour mieux danser. Toujours mieux danser. Mon corps en avait pris l'habitude depuis un an et demi que cela durait, se ritualisant à deux fois par jour, voir trois quand l'envie m'y prennait. Rien d'anormal. Toutes les filles du ballet le font. M’étirant inlassablement devant les imposantes glaces de la salle, je tenais la barre solidement pour ne pas chuter. Ma jambe formait une droite parfaite pour par la suite dessinait un arrondi magistral. La majorité des filles de la compagnie m'admirait, les autres me jalousaient. Que voulez vous ? on ne pouvait plaire à tout le monde. Je remontai mon collant opaque qui cachait les nombreux hématomes que j'avais pu accumuler. Les incessantes chutes après avoir raté le saut de biche, si j'ai bonne mémoire. Mes poignets étaient bandés pour ne laisser transparaitre aucunes coupures ni cette couleur écœurante qui se formait doucement autour, après réaction de mes veines charcutées. Je l'avais bien mérité ; psy un et moi toujours zéro. Mon index et mon majeur droit se faisait eux aussi discret sous une couche de pansements. Là maintenant, je ne rêvais que de les déchirer pour les utiliser, de suite dans les toilettes du fond. Oublions cela. « Commençons les filles ! Et un, deux, trois ...» Sursautant de surprise, je me mis derechef en position, de profil à la barre. Tous mes muscles se contractaient, ne me laissant apprécier qu'une immense douleur le long du corps. Mes os craquèrent un peu chacun leur tour, à chaque figure que je tentais de projeter. Le niveau s'intensifiait à chaque séance. Devenir danseuse étoile n’était pas donné à tout le monde me diriez vous. Ne dis t-on pas qu'il faut souffrir pour être belle ? La remaniant à ma manière, en "Il faut souffrir pour réussir". Pas de semblant. Je vous promets que la souffrance est bel et bien là. Ne serais ce pas cette souffrance qui a eu bon de ma chère mère ? À méditer. Monter à moto sans casque avec un inconnu qui roule à cent soixante au lieu de cent dix kilomètres heures. Check. Tenter le cannabis, l’héroïne, l'ecstasy pour finalement préférer la coke ? Check too. Insulter son père devant les médias pour lui bousiller ses chances de devenir gouverneur. Check again. Coucher avec deux hommes en même temps, voler les fringues du prof de sport car il m'avait humilié avec un malheureux F alors que tout le monde à eu au minimum B, m'introduire dans les bâtiments de la fac un soir pour y faire une soirée -la meilleure soirée de l'année d'ailleurs- ... Dois je continuer ? « Zadig. Mais oui Zadig River-Fields, la fille du sénateur. Oui, la petite brune maigrichonne, trop canon; C'est une dangereuse, mieux vaut être dans son camps que contre. Conseil d'ami ! » Ce qui se disait sur le campus. L'indomptable danseuse, le vilain petit canard, l'anorexique timbrée. La rebelle. Tant de surnom dont je devais faire face au quotidien. Ce n'était pas faux, à vrai dire. « On dit que depuis qu'elle a perdu sa mère, elle a littéralement pété un plomb et s'amuse à dépasser toujours un peu plus ses limites. Il parait même qu'elle a déjà fini avec une fille un soir après avoir trop bu. Je me l'a taperais bien cette petite dévergondée.» Ce qu'à sorti O'conneil, capitaine de l'équipe de football américain, à son meilleur pote Darren. Cela avant qu'on termine dans les douches du complexe. Avant que je le prenne en photo nu pour tout publier sur internet. Avant qu'il quitte l'université, après avoir subit l'humiliation de sa vie. Check !
When love shows up, even rebellion peg out. end point
On n’y était enfin. Me tenant immobile au milieu de la scène, je terminais mon glissé subtilement, synonyme de la fin de la représentation. Les lumières se rivèrent sur ma silhouette étirée et la foule se mit à applaudir comme jamais je n’avais pu l’entendre ravie de mon travail. Le rideau se ferma et toutes les filles me dévisagèrent de stupéfaction. « MON DIEU ZADIG ! TU AS ETE PARFAITE. » Je ne pouvais bouger, surprise moi-même de ma réalisation et ne leur rendit qu’un faible sourire forcé. J’attendais patiemment que le rideau se déploie une seconde fois pour saluer la foule en délire. Mes yeux s’écarquillèrent quand je le vis. Qui ? Je ne le savais pas. Apparaissant au premier rang comme par magie. Il applaudissait au plus fort, un sourire en coin, le regard pétillant, ne me lâchant pas du regard. Moins non plus d’ailleurs. Hypnotisé par son charisme, je perdis pied, oubliant ce pourquoi tout le monde était là. Mon cœur bondissait dans ma cage thoracique, s'arrachant à vouloir en sortir. Ma respiration se faisait rêche, comme après trois heures de danse acharnée. Je tremblais comme après un trop plein de stress -sensation que je ne connaissais que durant un ballet-. Les secondes s’étaient arrêtées. Je ne voyais plus que lui. C’était lui et moi, contre le monde entier. Je le sentais dans mes tripes. Plus que la danse, plus que la colère que j’avais pu éprouver depuis le décès de ma mère. C’était plus que cela. Bien plus intense. L’amour . Je me sentais impuissante et je détestais cela. Même la rébellion ne pouvait le repousser. C'était ainsi. « Arrêtes de tirer toute la couverture... » Blottis dans ses bras un sourire aux lèvres, je me comportais comme une vraie gamine. Son visage collait au mien, je caressais chaque trait pour m’arrêter sur sa bouche. Il me contemplait comme une œuvre d'art à chaque mouvement que je m’exécuter à faire. Une forte tendance à me faire rougir. « Puis, arrêtes de me regarder ainsi... » « J'y peux rien. tu m'envoutes » « Oh la la les phrase à deux cents » Les rires aux éclats virevoltèrent dans la chambre d’hôtel que nous occupions depuis maintenant cinq jours. Cinq jours où notre quotidien n'était rythmé que de baisers volés, de caresses fines et de sensualité. Cinq jours les plus merveilleux de mon existence avec un homme dont j'ignorais le nom, le prénom, l'âge. Sa complète identité m'était totalement inconnue. Parallèlement où moi de même, je n'avais laissé planer que le doute en ne révélant rien à mon sujet. Son regard suivait les mouvements de mon corps, quand je me levai enfin. Posté devant la fenêtre je contemplais la tour Eiffel parisienne. « Ah comme j'aime Paris. J'aime l'Europe ! » « Nous n'avons qu'à y rester ? » Il en mourrait d'envie. Je le sentais dans ma chair, comme si c'était moi qui m'exclamais. Mais sa voix détonait gravement sachant pertinemment que nos vies respectives nous attendaient non loin de là. « Allez. Donne-moi ton nom. Ça se trouve ce ne sera même pas suffisant pour te retrouver sur ce gigantesque globe. » « T'avais promis. On ne se dit rien ! Et je peux te dire que ce serait largement suffisant. » Zadig River-Fields, fille du sénateur River-Fields en Amérique. Bien sur que c'était suffisant. La presse avait assez montré mon minois pour qu'en quinze seconde chrono il puisse me retrouver. « Allez habillons nous, j'ai envie de prendre l'air » Retournant pres du lit, je m'asseya à ses cotés glissant ma main dans la sienne. « Je t'aime. » « Moi aussi » Je me mettais au pied du mur en lui révélant mes sentiments, mais bizarrement je me sentais extrêmement bien.
Les vacances étaient terminées. Goodbye Europe. Goodbye grandioses soirées, lieux somptueux, inconnu que j'aimais et que je côtoyais pourtant depuis seulement sept jours. Affalée à terre, repliant toutes mes fringues pour les ranger grossièrement dans ma valise, je soufflais déjà de nostalgie. Ma vie ennuyeuse et sans grand intérêt allait reprendre après mon atterrissage, quand je verrais de mon hublot la limousine de mon paternel entourée de paparazzi. Mon inconnu me regardait passionnément du lit en baldaquin qui était devenu notre nid douillet. Je n'avais pas encore envie de pleurer, étrangement. « Donne moi un indice. Je pourrais te retrouver. Comme ça pas besoin d'au revoir triste. Fin de l'histoire » « J'ai dis non ! » Ma voix se cassa presque. Il n'était pas question de happy end depuis le début. C'était notre pacte. Tous les happy ends terminent en un massacre. Je n'avais pas besoin de ça. Je me relevai sentant mes palpitations de cœur s'intensifiait à chaque minute écoulée. Regardant ma montre, je compris qu'il était temps. « Allez il faut que j'y aille, ou bien je risque de rater mon avion. » « j'aimerais tellement que tu le rates » un sourire sadique se dessinai sur son visage. Nous rirent en cœur une dernière fois pendant que je glissais mes bras autour de son cou, ma tête contre sa poitrine, le relâchant enfin avant de craquer. « Au revoir » Nos bouches se scellèrent et je me sépara de lui pour de bon, attrapant sur ma volée ma valise et mon sac. Arrivé dans l'entre de l'hôtel, je vis une limousine m'attendre, un homme appuyait contre, se redressant dans l'immédiat quand il me reconnu. Le laissant prendre le soin de caler mes bagages dans le coffre, je m’élançai sur la banquette arrière. « A l'aéroport s'il vous plait. Ah et fermez la vitre, j'aimerais être un peu seule. » Retour à New York, a la vie de rebelle, à la routine suffocante. Saccadée se faisait ma respiration. Tête contre les sièges en cuir, je laissai enfin toutes émotions sortirent. Les larmes m'inondaient mais je continuais. Des crampes de douleur s'ajoutèrent pour ne me laisser plus le choix que de gémir sur la douleur qui perdurait. Une douleur encore plus immense que la perte de maman. et là j'avais vingt et un ans
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Dernière édition par Zadig M. River-Fields le Ven 28 Oct - 4:33, édité 54 fois
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Dim 23 Oct - 19:12
Bienvenue
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Dim 23 Oct - 19:36
Bienvenue ici si tu as des questions n'hésite surtout pas & bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Dim 23 Oct - 20:07
Natalie J'ai ta photo en grand dans ma chambre
Bienvenue ici
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Dim 23 Oct - 20:09
Merciii beaucoup je n’hésiterais pas Serena, promis !
Tyron oh ouii contemples moi !! *sors*
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Dim 23 Oct - 23:02
Bon courage pour ta fiche (:
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Dim 23 Oct - 23:28
Bienvenue parmi nous Une autre personne a commencé sa fiche avec Natalie Portman, l'avatar reviendra donc à la meilleure des deux fiches =)
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Lun 24 Oct - 0:40
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Lun 24 Oct - 0:42
merci à vous les filles (a)
pas de soucis Maya mais quand tu dis meilleure, quelles sont vos critères pour départager ?
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Lun 24 Oct - 0:43
la qualité au niveau du fond de la fiche
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Lun 24 Oct - 0:44
parfait merci pour ta rapidité ^^
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Lun 24 Oct - 5:22
Bienvenue
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Lun 24 Oct - 11:15
Ouhla mais ya une invasion de Portman ! J'aime ça
Bienvenue
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Lun 24 Oct - 11:17
Ton personnage a l'air sensationnel. J'ai hâte de voir la suite de ta fiche parce que j'ai adoré le début. Bienvenue parmi nous.
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Lun 24 Oct - 11:27
Bienvenue sur nycl.
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Lun 24 Oct - 12:15
Bienvenue parmi nous j'aime beaucoup le début de ton histoire
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Lun 24 Oct - 12:37
Bienvenue
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Lun 24 Oct - 14:45
Bienvenue,
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Lun 24 Oct - 21:37
Bienvenue AVATAR MAGNIFIQUE :brigitte:
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Mar 25 Oct - 0:43
Quel accueil ! Merciii à tous :brigitte:
Han Tom et Maisy j'espere que la suite vous plaira alors
Felicity le tien est pas mal non plus éhé
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Mar 25 Oct - 16:44
Une autre personne tentant pour le rôle, ayant finit sa fiche, tu a trois jours pour terminer la tienne ou l'avatar lui reviendra d'office. Dans le cas contraire cela se ferra à la meilleure des deux fiches.
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Mar 25 Oct - 23:32
pas de soucis elle sera terminée d'ici là (a)
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Dim 30 Oct - 19:48
Bienvenue parmis nous
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire. Dim 30 Oct - 22:02
Validée !
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Sujet: Re: Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire.
Z. M. R-F ♕ C'est encore peu de vaincre il faut savoir séduire.
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