Sujet: calliope a. kervernaal - le monde est à nous. Lun 24 Oct - 22:55
FEAT. EMILIE DE RAVIN
Calliope ‟Callie” Aislynn KERVERNAAL
20 ans → Née à Helsinki le 25/12/1990 → Etudiante en Droit célibataire → hétérosexuelle → membre des BEAUTY QUEENS.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Il y a un son qui caractérise plus particulièrement Calliope, son rire, communicatif et cristallin à la fois, aucune autre fille ne possède ce rire doux qui ne peut avoir d’autre conséquence que le sourire de son interlocuteur. Elle détestait ce dit rire lorsqu’elle était jeune, mais en grandissant elle en a fait sa marque de fabrique et aujourd’hui, ce petit pitre ne se prive plus d’un éclat de rire. Ce ne fut pourtant pas une partie de rigolade qu’a ressentit Calliope lorsqu’elle a laissé un tatoueur dessinait sur son aine. Un petit signe chinois, tout simple, un symbole d’amour éternel. Elle l’a fait comme pour incruster en elle l’amour qu’elle porte à sa fille bien qu’elle l’ait abandonné à la naissance. Ce tatouage elle en avait besoin pour extérioriser ce qu’elle pouvait enfouir au plus profond d’elle. Elle a certes laissé sa fille derrière elle, et pour des raisons que certains pourraient juger lâches, mais durant les trois années qu’elle a passé sans sa fille, ce fut à elle qu’elle a pensé chaque nuit avant de s’endormir. Lorsque l’on connait assez bien Calliope on sait aussi qu’elle passe sa main dans ses cheveux lorsqu’elle est nerveuse, et éclate de rire lorsque quelque chose de vraiment triste la touche. Un moyen de défense, ce rire nerveux qu’elle ne contrôle pas. Elle joue avec une de ses mèches de cheveux lorsqu’elle réfléchit, et a une marque de naissance dans le bas du dos, un petit signe distinctif puisque cette tâche d’un brun doux a la forme d’un cœur.
★Quel est le caractère de ton personnage? → S’il y avait un mot, un seul pour définir la jeune blonde, ce serait sans nul doute, ‘ambition’. C’est cette même ambition qui lui donne la force, chaque jour, de se lever, de combattre des sentiments de frustration ou de douleur intense juste pour se donner la chance de pouvoir obtenir l’avenir dont elle a toujours rêvé. Rater quelque chose ? Il n’en est pas question pour la jeune femme, lorsqu’elle veut, elle peut. C’est sa devise depuis sa tendre enfance. C’est sûrement avec cette force là qu’elle a atteint le niveau qu’elle a aujourd’hui. Calliope est très certainement l’une des plus excellentes étudiantes de l’université. Elle a toujours eut les meilleures notes et malade, triste, ou bien désespérée, elle ne lâche jamais ses études, ses révisions, persuadée que c’est la carrière qui fait une personne, elle rêve d’attendre son but, devenir l’avocate la plus prestigieuse des Etats-Unis. Et quand d’autres se contenteraient déjà d’obtenir le concours, elle ne veut pas s’arrêter là. Cette ambition la pousse souvent à être un peu trop exigeante avec elle-même, et volontairement elle n’emprunte pas les chemins où elle n’est pas sûre d’être la meilleure, d’arriver à ses fins. Pourtant, lorsqu’elle laisse ses études de côté, Calliope est une jeune femme agréable, elle a une culture impressionnante et un avis sur chaque sujet mais elle est ouverte au débat, et aime discuter durant de longues heures avec les gens, c’est d’ailleurs ce genre de relation qu’elle privilégie, parce que pour elle, faire la fête, du shopping en excès ou toute autre activité qui semble être privilégiée par les autres étudiantes, cela n’a pas vraiment d’intérêt. Mais en dehors d’une jeune femme intelligente, Calliope est aussi une personne douce, elle déteste voir les autres souffrir et aime aider les gens, voler à leur secours, alléger leurs peines. Peut être pour oublier la sienne, la perte de sa petite fille, même si ce fut un acte volontaire de sa part, la jeune femme n’arrive pas à vivre sans celle qu’elle a mis au monde. Mais lorsqu’elle pense à retourner retrouver son rôle de mère, elle se voit confronter à l’un de ses pires défauts. Calliope a ce besoin d’être le centre de l’attention, elle veut tout, pour elle. Elle est ce genre de personne exclusif qui a du mal à aimer deux êtres en même temps, et qui de ce fait ne peut pas imaginer partager l’amour qu’on peut lui porter avec quelqu’un d’autre. Une mauvaise habitude d’enfant unique très certainement. Et même si la jeune femme rencontre cette difficulté dans sa vie sentimentale, elle n’en parle pourtant jamais, très discrète elle n’aime pas se confier. Au contraire elle laisse de côtés ses préoccupations personnelles pour son humour à toute épreuve. L’humour qu’elle manie de façon exceptionnelle et qui lui vaut d’être entourée malgré tout. Calliope a donc de ce fait, beaucoup d’amis, pourtant elle préfère oublier l’amour pour le moment. Sentimentale, elle ne pense pas pouvoir s’envoyer en l’air avec quelqu’un qu’elle n’aime pas, et lorsqu’il s’agit de s’attacher à un homme, elle s’y refuse catégoriquement, peut être pour éviter de souffrir une nouvelle fois comme avec son dernier petit ami, et père de sa fille, peut être parce qu’elle ne veut pas laisser un autre prendre la place de ce dernier. Une chose est certaine, Calliope est une boule d’énergie qui cache pourtant un sacré manque d’amour…
Well... It's my story...
Il y a encore trois ans, j’avais tout. Sans exception. Tout pour être heureuse, tout pour un bonheur sans mesure. J’avais l’homme le plus merveilleux du monde à mes côtés, qui me vouait un amour sans limites. J’avais des parents qui s’aimaient malgré les difficultés de la vie. Deux avocats qui excellaient dans leur domaine, et qui étaient toujours présent l’un pour l’autre malgré les difficultés de la vie. Je vivais dans un appartement mignon, où son odeur régnait en maître, mélangée à la mienne. Je gérais ma vie personnelle et mes études d’une main de maître. Je me levais le matin, sourire aux lèvres, je redécouvrais son visage, ses magnifiques yeux azur, ses cheveux en bataille, et lorsqu’il s’éveillait, son sourire rendait ma journée magique. Ses baisers dans le creux de mon cou sont une sensation que jamais je ne pourrais enfermer dans un coin de ma mémoire espérant ne plus m’en souvenir. Et pourtant, aujourd’hui, je dois faire sans, je dois me lever chaque matin, avec cette boule d’angoisse dans le ventre, cette douleur qui s’empare de chaque membre, ce manque de son corps blotti contre le mien. Léandro, Aurore. Ces deux prénoms qui m’accompagnent dans chaque geste du quotidien, ils résonnent dans mon esprit. Et à chaque minute je l’imagine, être le père parfait pour cette petite fille qui est aussi la mienne, mais dont je n’ai gardé qu’une seule image, l’image de la seule fois où je l’ai vu, à la maternité, éreintée d’un accouchement douloureux qui ne s’était pas terminé comme je l’aurai pensé ou voulut. J’étais persuadée qu’une fois qu’on me montrerait ma fille, je ne pourrais faire autrement que de l’aimer, de l’adorer, mais je m’étais trompé. Cette grossesse que j’avais vécue comme une intrusion dans ma vie, dans notre amour, ne s’était terminée que sur un échec personnel, lorsqu’Aurore avait été déposée sur mon ventre, rien ne s’était passé. L’amour n’avait pas pris la place de la peur effroyable qui m’envahissait à mesure que mon ventre grossissait. Aimer les deux me semblait impossible sans en délaisser un, et de ce fait en faire souffrir un. Ma chair, mon sang, ne m’apparaissait que comme la triste réalité que j’allais devoir faire un choix. Elle, ou Léandro. Abandonner un être sans défense pour l’homme que j’aime me semblait pourtant inhumain, alors j’avais décidé de ne pas choisir, de ne pas affronter, j’avais fuis, loin, sans me retourner. J’étais partie pour oublier que je venais de commettre la plus grosse erreur de ma vie, et même si les premiers jours je vivais cela comme le soulagement de ne pas devoir partager mon amour, j’ai finis par souffrir de cette décision, mais il y a des choix où l’on ne peut malheureusement pas repartir en arrière.
Aujourd’hui, que me reste t-il si ce n’est l’excellence. Je suis la meilleure étudiante en droit. Et ce qui aurait dut m’apporter une satisfaction immense ne suffisait plus à mon bonheur. Il me manque aujourd’hui celui pour qui mon cœur jusqu’ici n’a jamais cessé de battre, il me manque cette petite fille à la peau si claire que je rêve finalement de voir grandir. Il me manque ce cocon d’amour que j’avais réussit à construire avec lui, et lui seul. Impossible de tourner la page, impossible d’avancer sans cette partie de moi. Je ne suis finalement plus rien sans eux, sans elle, cette petite fille qui a marqué mon esprit de son regard azur, si semblable à celui de son papa. Son papa, mon âme sœur. J’inspire profondément, il m’est impossible de ne pas y penser quand je me retrouve ici, dans un hôpital aux murs d’une blancheur effrayante. Tout a commencé ici, mon calvaire est né dans une chambre semblable à celle dans laquelle je me trouve à cet instant même. Je sursaute lorsque la porte s’entrouvre pour laisser place à un médecin d’une trentaine d’année, aux cheveux châtains. Ses traits sont si proches de ceux de Léandro que mon cœur fait des bonds, bien qu’il sache que ce n’est pas lui. Il s’approche de moi, doucement, et s’empare du stylo qu’il a dans la poche pour me le tendre ainsi qu’une fiche de sortie. « Nous avons tout vérifié, ce n’est rien de grave Mademoiselle, cette voiture ne vous a pas fait de mal, seulement heurté doucement, heureusement. Nous avons appelé votre mère, celle-ci vient vous chercher dans quelques minutes, il ne nous faut plus qu’une petite signature en bas pour que vous puissiez vous en aller… » Mes yeux se ferment, puis se ré-ouvrent, je soupire. Ma mère arrive. Quelle joie. Depuis qu’elle a quitté mon père, quelques mois plus tôt elle a quitté mon pays natal pour se rapprocher de moi et ne me quitte pas d’une semelle pour que je mange, pour que je prenne soin de ma peau, pour que j’excelle dans mes études, elle est toujours derrière moi, et a décidé de m’accorder toute son attention, plutôt que de la déverser à mon père qui fait tout ce qu’il peut pour attirer de nouveau son attention. Je rêverais de rester là plutôt que de partir avec elle et entendre son inquiétude vis-à-vis de ce léger incident, mais je sais que les talons que j’entends dans le couloir, sont les siens. Je m’empare du stylo et griffonne une petite signature avant de me relever d’un bond et de ramasser mes affaires pour la rejoindre. Plus tôt nous serons partis d’ici, plutôt je serai chez moi, seule. Je salue poliment le médecin et glisse entre le battant de la porte pour fuir cet endroit. Mes yeux cherchent alors la provenance de ce bruit de talons, et je l’apperçois, un sourire inquiet sur les lèvres, une allure sérieuse et séduisante même pour son âge avancé… Ses lèvres bougent et je devine qu’elle s’adresse à moi mais mon attention est captée par une autre silhouette. Comme une image divine, je le vois, marchant, un sourire aux lèvres, accompagnée d’une jeune femme, vêtue de sa tenue de travail blanche… Je crois rêver lorsque le son de son rire chatouille mes oreilles. C’est… Lui. Je ravale ma salive sans le quitter du regard. Le rythme de mon cœur s’accélère sans que je n’y puisse rien alors qu’il s’éloigne dans un couloir perpendiculaire à celui dans lequel je me trouve, je ne peux m’empêcher d’être envahie d’une vague de souvenir douloureux mais si heureux à la fois… Ses bras s’ouvrent, et je me sens envahie d’une chaleur intense… Ce souvenir ne dure que quelques secondes avant que je me rende compte que c’est ma mère qui me tient entre ses bras et non lui. « Ma chérie, j’ai eut tellement peur… » Je ne dis mot, je suis sûre que c’était lui, et le fait de l’avoir juste aperçu a réveillé en moi quelque chose. Il a tout bouleversé… Il a fait naître une certitude dans mon être, c’est lui et je le veux.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Marine, dix neuf ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Partenaires en partenaires. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → Quatre jour sur sept. ★Personnage inventé ou scénario ? → Scénario
Mon exemple de RolePlay:
→ Une chose est certaine, c’est un sentiment étrange qui me submerge lorsque sa silhouette se dessine enfin dans la pénombre. Quelques minutes à peine après qu’il est répondu qu’il arrivait, il s’avance vers moi, et le froid paralyse si bien tous mes membres que je reste assise sur la murette, fixant sa démarche gracieuse et virile à la fois. Cet homme a tout, une belle gueule, une assurance à toute épreuve mais surtout un charme qui a la fâcheuse tendance de trop bien agir sur moi. Rapidement son corps se déplace en ma direction et en quelques secondes à peine, il se penche vers moi et son parfum enivre alors mes narines. C’est étrange en réalité l’effet que cet eau de toilette provoque en moi, j’en deviens folle rien qu’en sentant cette odeur qui le caractérise si bien, mais s’il arrive qu’un autre homme le porte, alors l’effet s’estompe immédiatement. Ce parfum ne convient qu’à Nathan, n’est qu’à Nathan, dans mon esprit, c’est ainsi et non autrement. Son haleine mentholée se confond avec l’air glacial qui frôle mon visage, et j’ai tout simplement envie de déposer mes lèvres sur les siennes, de mélanger nos salives, de lui sauter au coup, de l’embrasser furtivement puis passionnément afin de faire naître le désir qu’il peut avoir pour moi, et qui je le sais n’est pas longtemps caché derrière une apparence froide. Mais malgré que l’image de nos deux corps fusionnant emplie mon esprit, il m’est incapable de bouger. Comme si je n’étais plus vraiment maître de mon corps, l’effet de l’alcool sans nul doute. Un petit sourire presque innocent se dessine sur mes lèvres lorsqu’ils laissent s’échapper des siennes quelques mots. Je le fixe intensément, son regard bleu pourrait facilement me déstabiliser si l’alcool ne me rendait pas encore plus forte qu’à mon habitude. « Une chance surtout que tu m’adores au point de te déplacer à cinq heures du matin pour m’éviter une fin triste. » Je ne lutte pas lorsque son bras s’empare de mon poignet pour m’aider à m’engouffrer jusque dans sa voiture. J’y suis souvent monté, nous avons d’ailleurs à plusieurs reprises sauté le pas dans celle-ci, bien trop pressés pour arriver à son domicile. Je serai totalement incapable d’en décrire le modèle, ce n’est pas le genre de chose qui m’intéresse particulièrement mais je sais pertinemment que son parfum y règne en maître et que dans la boîte à gants, des préservatifs séjournent. Je ne suis certainement pas la seule fille qu’il transporte dans son véhicule, qu’il caresse ou embrasse à l’intérieur pourtant cette idée me met hors de moi, sans vraiment comprendre pourquoi, et je chasse rapidement cela de mon esprit, afin de simplement profiter de ce moment. Il met le contact et la voiture roule rapidement jusqu’à chez lui. Je le fixe pendant qu’il conduit avec une réelle satisfaction. Il est venu. Il est là, tout près de moi, et je sens le désir qui naît en moi et augmente à chaque fois que ses sourcils se froncent, que sa respiration se fait entendre. La température de mon corps augmente de nouveau, grâce au chauffage qu’il vient d’activer mais pas seulement, sa présence, cette flamme qu’il anime. Je n’ai à présent qu’une envie, dévorer ses lèvres pulpeuses. Mais je me retiens, on m’a toujours dit que faire attendre le plaisir l’intensifiait. Et même si je n’ai nullement besoin de l’intensifier tant c’est toujours bon avec Nathan, je prends tout de même mon pied à repousser mes limites. Je glisse ma main dans sa nuque mais il ne se déstabilise pas, prenant soin de me préciser le lieu de notre destination. « Oui, monsieur. » Je souris, mais ne le quitte nullement du regard, jusqu’à chez lui…
Son corps se dévoile dans des vêtements un peu plu saillants lorsqu’il ôte son manteau, et mes yeux se focalisent alors sur son torse particulièrement musclé. Ce n’est qu’un appel au désir, c’est certain, je n’ai qu’une envie, lui sauter dessus, sans hésiter, dévorer de mes lèvres chaque centimètre de sa peau brûlante, faire vibrer son être jusqu’à l’extase. M’envoyer en l’air, là, maintenant, dans l’entrée, contre le mur, sur le meuble en bois, ou bien dans n’importe quel endroit de cette maison. Mais ce sont des mots plus que des gestes qui émanent de sa personne, de nouveau. Je souris doucement, retire moi aussi la veste que je porte et la pose délicatement sur un coin d’un des nombreux meubles. Vêtue d’une petite robe noire, moulante à souhait, et courte au possible, je repousse ma longue chevelure brune en arrière et passe mes bras autour de son cou. Je plonge mon regard dans le sien quelques secondes, et le fixe un instant avant de répondre d’une voix légère, douce, et pleine de sensualité. « Nathan, si je n’étais pas complexe, si je n’étais pas en train de te fuir, réponds moi sincèrement, tu serais venu me chercher ? Tu aurais accepté de me revoir après une nuit torride ? Ou bien tu serai passé à la prochaine ? » Je l’interroge du regard, colle mon être entier contre le sien, ma poitrine se blottit contre son torse, tandis que la chaleur de nos corps s’entrechoquent. J’approche mes lèvres de son visage, doucement, sans le quitter des yeux, puis dépose furtivement celles-ci sur un coin de sa joue, avant de me détacher de lui, brusquement. Je m’engouffre dans le salon, sans même demander la permission et allume une bougie posée sur la table avant d’éteindre totalement la lumière sous son regard sûrement surpris. « Je trouve cela beaucoup plus sensuel de faire l’amour à la lueur d’une bougie… Pas toi ? » Dis je en me retournant vers lui. Je fais marche arrière et atteint de nouveau sa hauteur, avant de m’emparer du bat de son pull pour le remonter sur son torse. « Tu sais Nathan, si je pars et que je reviens tout le temps, c’est parce que je ne peux pas faire autrement. C’est con, mais, j’ai besoin de toi. » Une alarme de prévention aurait du retentir dans mon esprit, mais les mots sortent tout seul, l’alcool ne me permet plus de lutter forcément. Ma main glisse sous son haut, mes doigts propagent une onde de fraîcheur sur son torse brûlant. J’avale ma salive tout en me rapprochant de lui petit à petit, jusqu’à ce que nos corps se frôlent, jusqu’à ce que ma peau frissonne au contact de la sienne. « Embrasse moi Nathan, tu en meurs d’envie… »
Le code règlement:
→ Yankees Rock
Dernière édition par Calliope A. Kervernaal le Mar 25 Oct - 15:22, édité 10 fois
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Sujet: Re: calliope a. kervernaal - le monde est à nous. Lun 24 Oct - 22:57
Bienvenue parmi nous.
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Sujet: Re: calliope a. kervernaal - le monde est à nous. Lun 24 Oct - 22:58
Bienvenue
Mackenzie J. Howard
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Sujet: Re: calliope a. kervernaal - le monde est à nous. Lun 24 Oct - 23:32
Bienvenue parmi nous, bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: calliope a. kervernaal - le monde est à nous. Mar 25 Oct - 5:53
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: calliope a. kervernaal - le monde est à nous. Mar 25 Oct - 6:05
Bienvenue ici si tu as des questions n'hésite surtout pas & bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: calliope a. kervernaal - le monde est à nous. Mar 25 Oct - 10:41
Bienvenue Emilie de ravin :brigitte:
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Sujet: Re: calliope a. kervernaal - le monde est à nous. Mar 25 Oct - 10:58
Welcome !
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Sujet: Re: calliope a. kervernaal - le monde est à nous. Mar 25 Oct - 13:27
Bienvenu sur NYCL
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Sujet: Re: calliope a. kervernaal - le monde est à nous. Mar 25 Oct - 14:47
merci beaucoup pour votre accueil, ça fait vraiment très plaisir ! justement, j'ai une petite question * va se faire taper * ... johnathan, veux tu m'épouser ? - ashtooooooooon quoi ! -
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Sujet: Re: calliope a. kervernaal - le monde est à nous. Mar 25 Oct - 15:40
Naaaaan c'moi que tu vas épouser J'ADOREUUUUUUH TA FICHE!!!!!! Tu as une plume incroyable, fluide, extrêmement agréable à lire! Il me tarde de RP avec toi ça va juste être MONSTRUEUX!!!!!!!
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Sujet: Re: calliope a. kervernaal - le monde est à nous. Mar 25 Oct - 15:43
haaaaaaaaaaan je suis vraiment contente que ça te plaise, j'avais peur du contraire ! je suis rassurée et d'autant plus pressée d'être validée pour faire avancer cette histoire et faire des rps qui tuent tout avec toi ! vite vite vite ! je t'envois un mp déjà pour discuter un peu de choses sérieuses héhé !
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Sujet: Re: calliope a. kervernaal - le monde est à nous. Mar 25 Oct - 15:51
Sans problème pour discuter de la trame Je sens que je vais être addict à ce RP En tout cas je te félicite, tu as totalement cerné le perso c'est vraiment renversant
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Sujet: Re: calliope a. kervernaal - le monde est à nous. Mar 25 Oct - 15:54
j'en suis heureuse, c'est ce que je voulais vraiment, parce que c'est pas simple souvent de bien comprendre ce que l'autre veut en créant un scénario, et n'hésites pas à me dire si dans mon jeu, je dévie un petit peu de ce qu'elle est.
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Sujet: Re: calliope a. kervernaal - le monde est à nous. Mar 25 Oct - 15:55
T'inquiètes pas, dans le pire des cas je te le dirais, mais d'une j'en doute franchement, parce que tu colles déjà impec à l'idée que je me fais de Callie, et de deux je suis pour laisser une certaine part de liberté au joueur qui prend un scénario, donc ne t'inquiètes pas
J'arrête de flooder sur ta fiche, on continue par MP, et j'ai troooop hâte que tu sois validée!!!
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Sujet: Re: calliope a. kervernaal - le monde est à nous. Mar 25 Oct - 16:38
Après une erreur de ma part, vous êtes deux pour le rôle donc je suis vraiment désolée de la fausse joie, mais il va falloir attendre trois jours pour que le rôle te revienne. Vraiment désolée
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Sujet: Re: calliope a. kervernaal - le monde est à nous. Mar 25 Oct - 16:43
oh...
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Sujet: Re: calliope a. kervernaal - le monde est à nous. Mar 25 Oct - 16:44
Ah vi effectivement je n'avais pas vu non plus :/ Courage Callie
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Sujet: Re: calliope a. kervernaal - le monde est à nous. Mar 25 Oct - 16:59
merci leandro, j'espère avoir le rôle pour pouvoir rp avec toi le plus vite comme on avait prévu ! je croise les doigts
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Sujet: Re: calliope a. kervernaal - le monde est à nous. Mar 25 Oct - 18:22
Bienvenue à toi
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Sujet: Re: calliope a. kervernaal - le monde est à nous. Mer 26 Oct - 12:52
Bienvenue,
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Sujet: Re: calliope a. kervernaal - le monde est à nous. Jeu 27 Oct - 0:57
Emilie très bon choix de scenarii & Welcome here futur ennemi
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Sujet: Re: calliope a. kervernaal - le monde est à nous. Jeu 27 Oct - 10:02
merci beaucoup à vous trois ! et victoria, je serai une ennemie à la hauteur ne t'en fais pas pour cela, tu ne vas plus jamais t'ennuyer avec moi dans les parages, c'est la guerre (a)
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Sujet: Re: calliope a. kervernaal - le monde est à nous. Jeu 27 Oct - 13:26
emilie bienvenue parmis nous
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Sujet: Re: calliope a. kervernaal - le monde est à nous.