Sujet: Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée] Sam 10 Déc - 18:53
FEAT. ROBERT PATTINSON
AARON ZOLA PHOENIX
22 ans → Né(e) à New York le 07/11/1989 → Photographie Veuf → hétérosexuel → membre des Artists.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Pour commencer, Zola a la sale habitude de tout le temps gigoter, pourtant, c'est un garçon calme et posé, mais il ne peut pas s'empêcher d'avoir un jambe qui tremble, des doigts qui tapent sur la table, ou encore de faire toute sorte de grimace avec sa bouche. Il se passe constemment la main dans les cheveux, par nervosité ou lorsqu'il réfléchit ou est gêné. Il n'a ni de tatouages, ni de percings, pourtant, ce n'est pas l'envie qui l'en manque. Il a toujours un appareil photo sur lui, ou quelque chose qui fasse appareil photo, il ne se balade jamais sans. Il porte souvent des Clarks, des converses ou des tennis basiques, avec des jeans slims (le plus souvent), et des pulls, des tee-shirt de groupes de musiques, ou des chemises à carreaux. Il a souvent quelques bracelets en cuir ou des bracelets brésiliens aux poignets et il ne porte jamais de collier ou de chaîne, il a horreur de ça.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Malgré sa nature mystérieuse et secrète, il est difficile de ne pas s'attacher à Zola. Il paraît être une personne fragile, pourtant ce n'est pas le cas, c'est plutôt le genre de personne qui encaisse, encore et encore sans broncher, et qui se relève toujours. Son passé a fait de lui une personne peu loquace, toujours dans ses pensées, névrosé, à se poser des tas de questions. C'est un garçon fidèle, doux, réfléchit. Ce n'est pas le genre de personne qui va vous faire rire aux éclats et vous garantir des heures entières de fous rires, mais celui qu'on regarda d'un oeil curieux en se demandant quand est-ce qu'il va briser sa carapace et se dérider. Il est tête en l'air et oublit souvent ce qu'il doit faire, il n'a pas du tout confiance en lui. Il est intelligent, et a une vision différente de voir le monde, une façon poétique. Il a toujours un appareil photo dans ses affaires pour pouvoir photographier ce qui attire son attention. Il est gentil, et jamais il ne fera preuve de méchanceté gratuite à votre égard, mais il est très susceptible, bien qu'il essait de se contenir lorsque quelque chose le dérange. Sous ses airs de petit oiseau blessé, il lui arrive de péter les plombs et de devenir violent et insensé. Il perd facilement la tête lorsque quelque chose ne va pas du tout. Il est aussi très jaloux et très possessif, et refuse qu'on vienne mettre son nez dans ses affaires. Il est très rancunier et ne supporte pas les hypocrites. Il est malin et sensible, et lorsqu'il veut quelque chose, il l'obtient. Il est aussi très courageux et très généreux. Zola est un garçon gentil mais il peut se révolter et devenir une toute autre personne.
Well... It's my story...
Introduction : Au fil des années, je me suis rendu compte que l'évènement le plus boulversant de toute ma vie a été le plus enrichissant. J'ai compris que je n'étais pas un garçon comme les autres, que j'étais bien différent des autres garçons de mon âge. J'ai compris que moi, je ne devais pas grandir en fonction d'un modèle, qu'il n'y avait aucun modèle a avoir, que tout le monde peut changer de comportement, de vision du monde. Mon père, avant d'être l'ordure qu'il est désormais, était un homme bien, enfin, d'après ce qu'a pu me dire mon frère. Il faisait le bien autour de lui, et lorsque ses parents sont décédés, il a changé. Tout le monde peut changer du jour au lendemain, certes ça ne l'excuse pas, mais j'ai appris à rester sur la défensive, quoi qu'il arrive.
Chapter one : Qu’est-ce qui te retient ? Pourquoi ne lui donnes-tu pas ce qu’il attend depuis longtemps. Il veut des larmes, il veut des pleurs. Qu’attends-tu ?
Ses pas résonnent sur le sol froid, sa respiration emplie la rue d’un bruit sourd et régulier, ses doigts, se refroidissants à chaque minute, deviennent rouges et au contact du tissu chaud de sa poche de pantalon, il ressent une vague chaleur lui parcourir la main et le faire frissonner. Il a froid, chaque respiration laisse échapper une nuée de buée et chaque claquement de dents le fait souffrir atrocement. Il n’en peut plus, il veut rentrer chez lui, et pourtant, il ne peut pas, il n’a plus de chez lui, il n’a plus rien, plus de famille, plus de personnes qui l’aiment, rien que son père qui le pousse avec son parapluie, qui l’emmène dieu sait où. Il veut sa chambre, son ours qu’il a caché sous son lit, dans une boîte, lorsqu’il avait douze ans, car soit disant était-ce la honte pour un garçon de son âge d’avoir une peluche. Mais une peluche qu’il récupérait chaque nuit pour lui tenir compagnie et qu’il rangeait chaque matin dans sa petite boîte à chaussure. Il veut une mère qui puisse la prendre dans ses bras et lui dire que son grand frère ne va pas tarder, qu’il va venir le sauver des pattes de son père. Car oui, Zola a peur de son père, depuis le premier jour. Il n’a jamais eu de « famille », d’ailleurs, qu’est-ce qu’une famille ? Des gens qui portent le même nom et qui disent s’aimer ? Des personnes qui ont le même sang ? Il a vu des choses du haut de ses dix ans qu’une personne ne serait même pas capable de voir en une vie. Des choses horribles qu’il aurait préféré ne jamais voir. En fait, son père a eu son frère alors qu’il était avec sa mère. Puis il l’a largué en abandonnant son frère et s’est marié avec une autre femme. Il est revenu voir sa mère, et lui a fait un enfant : lui. Et son père l’a abandonné. Pendant cinq ans, les deux garçons ont été heureux avec leur mère, bien qu’ils ne connaissent pas leur père. Et puis le jour des cinq ans de Zola, il est revenu, pour récupérer ses enfants, mais sa mère n’a pas voulu, alors il l’a tué. Comme ça, pour eux. Ce connard a eu ce qu’il cherchait : des gosses malheureux et emplis de haine. « Aaron ! Avance ! » Il ne s’appelait pas Aaron mais Zola, comme l’avait appelé sa mère. Il ne supportait plus son père, il voulait partir, vivre sa vie du haut de ses dix ans. Il n’en pouvait plus d’être enfermé entre les griffes de son père. Il voulait son frère, sa propre vie, et il voulait découvrir. Il s’était arrêté, il regardait son père avec de grands yeux, il n’attendait qu’une chose, qu’il lui dise de s’en aller, qu’il le chasse, qu’il ne veuille plus de lui. Il avait tout fait pour être libre, enfin. Cet homme avait détruit sa famille, son monde, son amour, et pourtant il lui avait donné la vie. C’était l’ironie du sort. Donner la vie à des êtres donnait-il le droit de tout détruire par la suite ? Avait-il rien qu’une seule seconde pensé au bien de ses enfants ? Non, il n’y avait pas songé, car la seule chose qui parcourait l’esprit de monsieur Black était la violence, la haine, la jalousie, et des choses aussi noires que son nom. « Tu n’es qu’un petit con. Tu crois peut-être être plus important que moi ? Parce que tu es intelligent et malin ? Mais tu n’es rien ! Rien qu’un petit connard de fils ingrat ! Ne viens plus me voir ! Je suis bien mieux sans toi ! » Zola se sentit sourire. Voilà ce qu’il attendait tant, voilà ce qui le rendrait heureux enfin. Son père parti. Zola souriait, à deux doigts de pleurer de joie. Enfin il était libre. Il attendit que son père soit loin pour courir se réfugier dans le premier bar qu’il trouvait. Après avoir longuement négocié avec le barman, il atteignit le téléphone et composa le numéro de son grand frère. Celui-ci mit deux heures à rejoindre son petit frère. « Il t’a touché ? » Demande-t-il en descendant de la voiture. Il l’examine rapidement et ouvre le coffre où il balance le sac de Zola. Celui-ci secoue la tête et s’installe sur le siège passagé. Thomas, son frère, s’installe au volante et met le contact. Ils commencent à rouler en silence. Son frère attrape son paquet de cigarette sur le tableau de bord et en allume une, puis entre ses lèvre demande : « Qu’as-tu fait pour qu’il te foute dehors ? ». Zola rit, toutefois en claquant des dents. Il s’avance et pousse le chauffage à fond, puis se recroqueville sur lui-même dans le fond de son siège. Il regarde son frère avec de grands yeux émerveillés et dit : « Rien. ». A son tour, Thomas rit et ébouriffe les cheveux de son frère avant de lancer : « J’en étais sûr ! ». Ils roulent pendant deux bonnes heures et retournent à Lewis, la ville où Zola et Thomas ont grandi, où leur mère est morte. Il ne veut pas retourner là-bas, trop de mauvais souvenirs y traînent. Mais il n’a pas le choix, son frère y vit, il y est « heureux », si on peut considérer qu’un jour les deux frères pourront être heureux après l’horreur qu’ils ont vécu. Zola regarde son frère, les yeux perdus dans le vide. Il se demande comment il fait, lui qui a vécu douze ans avec leur mère, lui qui a été heureux avec elle, qui la connaît comme jamais Zola ne pourra la connaître. Il allume la radio, et ensembles, ils écoutent Jeff Buckley, Forget Her. Zola se tourne, donnant dos à son grand frère, et ferme les yeux, roulé en boule. Il oublie la ceinture de sécurité qui l’étrangle, l’odeur de cigarette qui emplit la voiture, et tout le reste. Il ne pense qu’à une chose, sa vie future. Il espère, il prit, de tout cœur, qu’elle sera belle, qu’il sera heureux, que son frère saura assurer son rôle. Les larmes lui viennent, il est heureux, oui, pour une fois, il est heureux.
Chapter two : A vouloir trop gagner, j'ai perdu bien plus que je n'ai obtenu...
« Je pense qu'on ne devrait pas faire ça, on sait pas piloter ça, et imagines que le mec du garage ramène ses fesses, on fait comment ? ». Zola se retourne et lance un regard noirà son ami. Quelle idée de faire marche arrière, désormais qu'ils y sont, pourquoi reculer ? Zola n'aime pas faire les choses à moitié, il n'aime pas abandonner. Il se retourne en soupirant et met ses gants. Puis il se redresse, regarde son ami et dit : « Ecoutes... Si toi tu ne veux pas venir, fais comme tu veux, mais moi, je compte bien gagner cette course quoi qu'il en soit ! ». Il fixa pendant quelques instants son ami, et voyant que celui-ci ne bougeait pas, il entra dans la voiture de course et démarra. Peut-être n'avait-il jamais piloté ce genre de voitures, mais il avait son permis, et savait comment ça marchait. Il roula prudemment jusqu'au point de rendez-vous, un sourire sur les lèvres, fier de lui. Enfin il allait pouvoir montrer qu'il n'était pas une mauviette, avoir cette fille, être respecté par les autres. Zola n'était pas un perdant, ça non, sans aucun doute, il gagnait toujours. Il avait gagné la bataille contre son père, il avait gagné le prix du meilleur cliché au collège, il ne cessait d'écraser son frère aux échecs, alors une fois de plus, il allait gagner, il en était persuadé. Arrivé au point de rendez-vous, il descendit de la voiture et salua tout le monde. . Au loin, il aperçut Autumn, la fille qu'il aimait tant depuis qu'il l'avait rencontré, il y a un an de cela. Elle s'approcha de lui et lui déposa un léger baisé à la comissure de ses lèvres, puis elle lui souffla à l'oreille : « Si tu gagnes, je te promets des moments de pure folie à mes côtés... ». Il sourit et se prépare. Il ne fait pas attention aux regards provocateurs que lui lance ses rivaux. Il s'en fiche, tout ce qu'il souhaite, c'est rouler, puis gagner. Il attend, les mains sur le volant, le pied sur la pédale d'accélération. Le décompe est lancé. Il entend "C'est parti !". Il démarre tel une fusée, et se positionne en tête. Il sent son corps être parcouru de frissons, c'est l'excitation du moment, l'adrénaline qui s'empare de lui. Il prend le virage, en faisant attention puis reste concentré sur la route. Arrivé au bout du circuit, il éxécute un dérapage et accélère de nouveau. Les autres sont derrières lui, seul. Il sourit, il va gagner, et de loin. Il s'approche de la ligne d'arrivée, et voit, pas loin, Autumn, qui l'applaudit, un grand sourire aux lèvres. Il sourit, et là, tout dérape. Il tente de freiner, mais la voiture continue de rouler. Il s'affole, il voit les gens courir dans tous les sens pour éviter la voiture qui se dirige sur eux. Il essait tout ce qu'il peut pour arrêter la voiture, mais rien n'y fait. « A l'aide ! Je vous en prie ! Je vais mourir ! ». Hurle-t-il sans espoir. Peu à peu, il se rapproche d'un mur...Et c'est le crash. Il tente de s'accrocher, mais rien n'y fait, petit à petit, Zola sombre...
***
« Je crois bien qu'il se réveille... Regarde ses yeux Thomas ! Zola ? Zola ! C'est moi, c'est Autumn... Oh Zola, on a cru t'avoir perdu... Comment te sens-tu ? ». Il ouvre les yeux. Elle est là, devant lui, à son chevet. Il sourit, et se met à rire. Il l'a donc eut, oui, Zola Phoenix a gagné une fois de plus ! Il part dans un fou rire, sur les regards inquiets et surpris de son grand frère et de Autumn. Elle se baisse vers lui et l'embrasse tendrement. Il sent son coeur faire un bond dans sa poitrine, mais il tente de l'oublier, et de profiter de ce moment. Il sourit, comme pour montrer que ça va, et tente de se remettre les idées en place. Il essait de bouger la jambe, mais n'y parvient pas, à la place, il hurle de douleur. « Ah ma jambe ! Ca fait mal ! » Son frère s'assoit au bout du lit et le regarde dans les yeux, une mine grave sur le visage. Jusqu'ici, la seule chose que s'était dit Zola, c'est qu'il avait gagné, mais il ne s'était pas encore dit que certes, il n'était pas mort, mais sûrement en mauvais état. « Tu dois arrêter tes conneries Emile ! Tu aurais pu te tuer tu sais ? Avec tes bêtises, tu vas devoir rester trois mois à l'hôpital, cloué dans ce lit, et après il y aura six mois de rééducation ! Que crois-tu ? Que nous roulons sur l'or ? Où vais-je avoir assez d'argent pour te payer un fauteuil roulant ! ». Il regardait son frère avec de gros yeux, était-ce aussi grave qu'il le laissait entendre ? Zola se mit à pleurer. A quinze ans, il était handicapé et tout ça pour quoi ? Pour la popularité, le respect, pour qu'Autumn l'aime... Elle le prit dans ses bras, et le berça. Son frère s'était montré dûr avec lui, mais il savait très bien que ce n'était pas par méchanceté, il avait eut peur, et c'était encore le cas... Thomas expliqua à son frère qu'il avait un bras cassé et une jambe paralysé mais que les médecins n'étaient pas encore parvenu à trouver le problème. Essayant d'encaisser le coup, il entama une discussion avec son frère et Autumn, mais il s'endormit en court de route, épuisé.
Chapter three : Je n’ai pas le droit d’être aimé. Ne suis-je pas le fils d’un monstre ? Ne suis-je pas comme lui ? Alors pourquoi m’aimes-tu mon amour ? Et moi, pourquoi ais-je tant de sentiments à ton égard ?
« N’ai pas peur mon amour, tout se passera bien ». Zola tourne ses yeux vers Autumn. Les voilà partis pour Las Vegas, prêt à se marier pour leurs dix-huit ans. Il lui sourit, et regarde le sol. Dans sa poche une alliance, au doigt de Autumn, une bague de fiançailles. Zola sourit, il est pressé, et pourtant, il a comme une envie de repartir chez lui, de retourner chez son frère, retrouver sa vie du « petit » frère qui se fait chouchouter par le plus grand. Zola n’est pas quelqu’un de responsable, comment pourra-t-il nourrir sa future femme, comment pourra-t-il vivre après ça ? Mais il s’en fiche tellement, il ne pense qu’à une chose : elle. Enfin, après cinq ans d’attente, ils pourront enfin être unis. Comme un conte de fée parmi tant d’autre. Il la regarde. Elle est tellement belle avec ses cheveux roux-bruns bouclés qui lui tombent sur les épaules, ses grands yeux verts en amande bordés de longs cils bruns, son nez droit et fins, sa bouche pulpeuse et ce beau sourire d’un blanc éclatant. Il sourit en regardant les deux faussettes sur chacune de ses joues, ces faussettes qu’il cherche tant à faire sortir. Il se penche vers elle et lui embrasse la commissure des lèvres. « Tu te souviens ? ‘Si tu gagnes, je te promets des moments de pure folie à mes côtés...’ ». Elle rit et il sourit, puis, de son pouce, il caresse le grain de beauté qu’elle a au coin de l’œil. Elle se love dans ses bras, la tête contre son torse, tandis que lui caresse ses cheveux lentement. Il ferme les yeux et hume son odeur. « Je t’aime… » Souffle-t-elle. Il lève les yeux vers le ciel et fixe le croissant lumineux, qui ce soir, paraît tellement imposant à côté d’eux, petits fous prêts à se marier en cachette. Ils ont peur de ce qui peut se passer après, mais ils essaient de penser au présent, de profiter. Autumn se détache de Zola et le regarde. A son tour, il murmure : « Moi aussi je t’aime… ». Ils attendent encore quelques minutes, puis ils regardent un couple ressortir de la petite chapelle. Zola se met à paniquer. Autumn lui attrape les doigts et les serre, puis ils avancent…
« Non ! S’il vous plaît ! Faites quelque chose ! » Zola, à moitié allongé sur sa femme, pleurait, gémissait. Les médecins autour d’eux, tentaient de réanimer Autumn, allongée sur le sol froid de Los Angeles. Les médecins poussèrent Zola sur le côté, tandis que celui-ci se débattait afin de retourner auprès de sa femme. « Autumn ! Autumn ! Ne me laisse pas ! ». Cette scène, il l’avait déjà vécu, il y avait treize ans de ça. Il revoyait son père, tenant dans ses mains un revolver comme ceux qui se trouvait dans son coffre de jouet, sauf que celui-là produisait un bruit pas possible lorsqu’on appuyait sur la gâchette. Il vit sa mère crier puis s’effondrer au sol. Peu à peu, du entourait le corps de la jeune femme. Elle poussait des gémissements de douleurs, et tentait de se relever. Mais elle n’y parvint pas, et quelques minutes plus tard, elle ne respirait plus. Sous ses yeux, sa femme mourrait, cette femme qu’il aimait tant, pour qui il pourrait faire tout ce qu’il est en son pouvoir. Il se jeta sur elle et attrapa ses mains « Autumn mon amour, reviens ! » Mais elle ne reviendrait pas, les médecins le savaient déjà. « Monsieur Phoenix, je suis réellement désolé…» Il se leva et commença à hurler, en colère. Il se met à insulter tout ceux qu’ils voyaient, en leur disant qu’ils étaient des incapables, que deux fois de suite, ils n’avaient pas su sauver deux femmes importantes, de grandes femmes. Pourquoi devait-il perdre toutes les personnes qui pouvaient le rendre heureux ? Pourquoi fallait-il que ces choses lui arrivent ? Etait-ce sa faute si Autumn s’était prise cette balle perdue ? Aurait-il dû se la prendre à la place de sa femme ? Ca il en était convaincu. Et pourtant, ça ne pouvait rien changer, ni le passé, ni le présent. Autumn Phoenix était morte, et lui, Zola Phoenix, était désormais seul…
Chapter four : Lorsque le malheur nous tombe dessus, il n’y a qu’un moyen de s’en sortir, c’est de se relever, toujours et encore et d’avancer.
Voilà trois ans qu’elle l’a quitté. Après le décès d’Autumn, Zola est retourné à New York, il y ai resté quelques mois, puis il a décidé de parcourir un peu l’Amérique pendant un an afin de photographier tout ce qu’il voyait. Il a tenté d’oublier Autumn, mais il a eu du mal, comme il le disait si bien « il est difficile d’oublier une personne qui vous a apporté tant de bonheur dans ce monde sombre et pathétique ». Pendant un an, il a roulé, il a vécu comme un gitan, il n’a pas donné de nouvelles à son frère, il est juste… parti… Pour faire le point, pour oublier… Son frère a très bien compris ce besoin de s’évader, il n’a rien dit, il a juste attendu. Lorsque Zola a décidé de revenir à New York, il a retrouvé une femme au bras de son grand-frère, une femme qui lui a paru mauvaise pour son grand frère. Mais Zola n’a rien dit, il s’est contenté de regarder. Son frère, lui, n’avait rien dit lorsque Zola avait eu son coup de folie et était parti à Las Vegas se marier, il lui devait le silence. Peu à peu, Zola a repris un nouveau départ, et tente chaque jour d’oublier son passé…
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Lou(ise) ou Scream, 15 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → J'y étais il y a longtemps ^^ ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nope. ★Présence sur le forum → Souvent là.. ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé.
Mon exemple de RolePlay:
→
June N.Hopkins & Paco O. Guevarra
What Do You Want From Me ?
" L'amour naît-il de ce qu'il y a là quelque chose d'impossible ? L'amour est-il ce qu'on n'embrasse jamais que du regard ?" Camille Laurens
« Paco, cálmate, escúchame ! Paco, cállate ! ». Se calmer n'était pas aussi simple que ça, cette fille m'avais blessé, comme Mike m'avait blessé. Lorsque June et moi sommes sortis ensembles, je faisais tout ce qu'elle voulait. J’ai perdu ma dignité, je faisais ces quatre volontés, et puis elle m’a laissé comme une merde, j’étais périmé, dépassé, je n’étais plus bon à rien. J’ai toujours eu ce défaut de tout donner, et de faire cette erreur d’aimer. Finalement, peut-être que Pedro, mon frère, avait de bonnes raisons d’être aussi haineux, aussi violent, j’aurais peut-être du être comme lui, n’aimer personne, pas même moi. C’était peut-être ça la solution pour ne pas souffrir autant… ? « Je-je suis désolée. » Elle était désolée ? Oh la bonne blague. Pourquoi serait-elle désolée ? Après tout, elle n’a fait que jouer avec moi, comme avec tous les autres. Comme toutes les femmes font désormais, et comme tous les hommes font aussi… Suis-je aussi différent des autres ? Pourquoi suis-je incapable de « jouer » moi aussi ? Pourquoi dois-je aimer pour souffrir ensuite ? Qu’ai-je fait dans ma vie pour mériter ça ? Est-ce parce que j’ai passé mon enfance à ne penser qu’à moi ? Qu’à mes rêves ? Qu’à mon futur ? Ou peut-être est-ce parce que je n’ai pas été là pour empêcher mes parents de mourir et mon frère de péter les plombs, peut-être grâce à moi Théa aurait pu ne pas perdre la tête. J’étais peut-être le membre de ma famille le plus normal, mais sûrement pas dans la vraie vie. Ici, j’étais décalée, toujours dans mon monde, je pensais encore qu’un jour un miracle me tomberait dessus, que je serais heureux, entouré, en paix. Mais comme disait mon frère « Cesses de rêver Paco ! Tu vis dans un monde qui ne sera jamais la réalité ! Tu crois peut-être vivre dans le monde de « Cendrillon » mais tu te trompes, les oiseaux qui chantent et les comptes de fées ça n’existe pas, alors réveilles toi et bouges toi le cul ! ». J’ai tellement entendu ce discours, que désormais, je suis capable de vous le dire entier. Et malgré les longs discours de mon imbécile de frère, j’étais resté le même, et j’avais cru que d’abord Mike, puis June, seraient peut-être « la femme de ma vie », ma roue de secours. Or, je m’étais trompé, comme à chaque fois. June pouvait essayer de s’excuser, ça ne changerait rien, pire encore, ça ne servirait à rien. Je ne répondais rien, je me contentais de la regarder.
Elle fit un pas vers moi et ajouta : « Depuis quand tu t’engueules toi-même ? » Je la regardais d’un drôle d’air. Essayait-elle de faire de l’humour ? Elle leva la main pour jouer avec mes boutons de chemises, mais sa main ne toucha jamais mon torse. Je me reculais et je tournais sur moi-même en réfléchissant. « Sûrement depuis que je me suis rendu compte que je n’étais qu’un abruti fini car je me laissais à chaque fois avoir par des filles qui ne pensaient qu’à s’amuser… ». je lui lançais un regard noir et m’appuyais contre un mur, face à elle. « Je ne l’ai dit à personne mais cette histoire de vampire m’effraie un peu. Ce n’est pas quelque chose que je montre, je suis quand même une Grymm. Cependant, j’ai peur de ce qui pourrait m’arriver, de ce qui pourrait nous arriver. » J’arquais un sourcil, où voulait-elle en venir ? Pourquoi me raconte-t-elle ça ? Pourquoi me raconte-t-elle sa vie ? J’étais prêt à faire une remarque désagréable lorsqu’elle ajouta : « Qu’est-ce que je ferais le jour où j’apprendrais que Baby, Savannah, Azazaël ou toi, surtout toi, avez disparus. Pire, que vous êtes morts. » Je fis de gros yeux. Que lui arrivait-il ? Etait-elle en train de perdre pieds ? Je n’eus même pas le temps de lui répondre qu’elle s’approcha de moi et me hurla au visage : « Hein, dis-moi Paco, ce que je ferais le jour où tu ne seras plus de ce monde ?! » Elle commença à me frapper, à s’énerver. Jamais encore je n’avais vu June dans cet état. D’abord, je fus très surpris et ne sus quoi dire. Je me contentais de la regarder s’énerver, passer ses nerfs sur mon torse, qui lui, ne lui avait rien fait. Peut-être était-elle comme moi, peut-être avait-elle besoin de tout lâcher une fois pour toute pour aller moi ? Soudain, ma colère s’évapora face à celle de June. J’attrapais au vol les poings de June et les tenais de chaque côté de sa tête, en la regardant dans les yeux. Elle dit alors : « C’est comme ça que tu veux qu’on se quitte ?! Indifférents l’un envers l’autre, toi, fuyant dès que tu m’aperçois ! No quiero esto, entiendes Paco ? » Qu’elle parle espagnol me toucha, mais je ne me laissais pas déstabiliser.
« C’est toi qui a choisi d’en finir ! C’est toi qui m’a utilisé puis m’a jeté ! Tu t’attendais à quoi ? A ce que je revienne me traîner à tes pieds June ?! J’ai été bien trop gentil avec toi, et toi tu as été une vraie garce ! Si tu veux un petit chien, va voir ailleurs ! Mais moi j’en ai assez de servir de souffre douleur ! Je t’ai trop donné ! Et je n’aurais pas dû ! Alors maintenant ne viens pas me faire culpabiliser avec ces histoires de vampires qui MOI AUSSI me terrifie ! Crois-tu que parce que je suis un mec je n’ai ni de peurs ni de sentiments ?! Et bien figures toi que je suis bien plus sensible que la moyenne ! Moi aussi j’ai eu peur de perdre des gens, qui au passage, j’ai perdu ! Et il n’y a pas de bonne ou de mauvaise manière de se quitter ! »
Le code règlement:
→ Ok by Bambi.
Dernière édition par Emile Z. Phoenix le Dim 11 Déc - 21:24, édité 5 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée] Sam 10 Déc - 18:58
un autre veuf bienvenue sur nycl
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée] Sam 10 Déc - 18:59
Bienvenue Je te demanderais de mettre ton pseudo sous la forme Prénom P. Nom, ainsi que d'ajouter le nom de la célébrité choisit dans la case sous ton titre, merci (:
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée] Sam 10 Déc - 19:01
Bienvenue sur NYCL N'hésites pas si tu as la moindre question (a)
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée] Sam 10 Déc - 19:01
Merci vous trois Et d'accord, je fais ça.
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée] Sam 10 Déc - 19:05
zola + rpattz = bienvenue parmis nous magnifique créature
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée] Sam 10 Déc - 19:19
Merci ma belle !
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée] Sam 10 Déc - 19:48
Bienvenue !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée] Sam 10 Déc - 19:49
Bienvenue réserve moi un joli lien
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée] Sam 10 Déc - 20:05
Merci vous deux ! Et avec plaisir Lou
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée] Sam 10 Déc - 21:57
Bienvenue ici si tu as des questions n'hésite surtout pas & bon courage pour ta fiche
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée] Sam 10 Déc - 22:06
Emile, j'adore ce prénom. bienvenue et robert
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée] Sam 10 Déc - 22:23
Merci toutes les deux !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée] Dim 11 Déc - 0:58
Bienvenue parmis nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée] Dim 11 Déc - 1:13
Je vais t'ennuyer, mais il faudrait que tu changes ton premier ou ton second prénom, parce que Emile Zola ça le fait moyen, sachant qu'on accepte pas de pseudo "connus" (a)
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée] Dim 11 Déc - 1:26
Bienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée] Dim 11 Déc - 16:21
Bienvenue ici
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée] Dim 11 Déc - 21:19
Merci à tous ! x) Ah oui mince, le pire, c'est qu'à la base j'ai même pas fait expres, j'ai pris des prénoms que j'aimais bien x) Je fais ça tout de suite !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée] Dim 11 Déc - 22:01
Très belle histoire & Bienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée] Dim 11 Déc - 22:15
Sujet: Re: Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée] Lun 12 Déc - 16:42
Bonjour et Bienvenue parmi nous Il aurait fallu poster dans les fiches terminées de nouveau, mais puisque je suis un ange (a) et puisque les modifications voulues ont été effectuées, je te pré-valide Un admin passera te mettre dans ton groupe. Bon jeu
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée] Lun 12 Déc - 18:42
Validé !
Un système d'intégration est mis en place sur le forum sous forme de flood d'intégration, mélangeant anciens et nouveaux membres, n'hésite pas à t'y inscrire ! N'oublie pas de compléter ta fiche personnage, ton profil et de faire toutes les demandes nécessaire. Si tu as la moindre question ou problème, tu peux bien sur contacter un membre du staff par MP. Et puis tu peux bien sur voter toutes les deux heures pour aider le forum en cliquant sur la petite poire (a)
Have Fun !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée] Lun 12 Déc - 19:54
Merci !
Contenu sponsorisé
Empire State of Mind
Sujet: Re: Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée]
Zola ◘ I don't need her... I think... [terminée]
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum