JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live »
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Sujet: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live » Lun 12 Déc - 0:02
FEAT. hayden christensen
Jagger Cameron Warren-Andrews
25 ans → Né à new-york le 16 décembre 1986 → barman dans un nightclub célibataire → hétérosexuel → membre des rebels.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Jagger possède un tatouage sur le bras droit. Ce dernier est en couleur, imageant une pierre tombale, ornée de quelques roses, avec une date et une phrase ; « life goes on » en hommage à sa petite sœur, tuée par les membres de son ancien gang, jugeant qu’une personne devait payée pour son départ. Le jeune homme est allergique au poil de chat, chose plutôt comique étant réputé pour être un grand caïd, il s’en moque d’ailleurs totalement. C’est un fumeur de cigarettes et drogues en tout genre, il est également fournisseur. Il est attirant malgré lui. Plutôt bien fringué il n’a pas la mine d’un mec de banlieue, loin de là. Souvent vêtu tel un intello ou un rockeur, il n’a vraiment pas l’allure de ce que les gens appellent une « racaille ». Rien de spécial à part ça, c’est un homme comme un autre, qui essaye de mener sa vie le plus simplement possible.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Derrière cette mine angélique se cache en réalité une véritable ordure. Un homme détestable, qui aime pourtant être détesté, chose curieuse de la part d’un être humain, une race qui n’aime guère être seule. Moi j’étais un solitaire, je ne fais confiance qu’à moi-même et en personne d’autres. Tu penses te faire des amis, mais souvent ses derniers n’hésitent pas à te balancer ou à t’abandonner pour sauver leurs peaux. J’en avais été victime. C’est sans doute la trahison qui a fait de moi ce que je suis, c’est également elle qui créa la plupart de mes cicatrices antérieures. Un homme réellement torturé gratuitement par la vie, voilà ce que je suis. Les balles, l’effet de la drogue, l’adrénaline, le danger, ce n’était rien à côté de la mort. J’ai vécu des choses horribles, simplement la perte d’un être cher c’est une douleur pire qu’affreuse. Une sensation de coupure intérieure, une déchirure violente, qui torture ton esprit, qui fait craquer chaque membre de ton corps. Je suis un homme qui déteste la vie, qui aimerait y mettre fin le plus vite possible. Je détruis mon être en fumant de la drogue et en flirtant avec le danger. Un leader, voilà ce que je suis. Je suis fait pour mener la danse, pas pour être un pantin dans la chorégraphie. Lâche, c’est un détail qui me qualifie également d’une manière remarquable. Lâche, mais ne reculant devant rien, plutôt contradictoire n’est-ce pas ? Je suis qualifié ainsi simplement parce que je préfère agir dans l’ombre plutôt que de faire face immédiatement. J’ai tout simplement raté ma vie en voulant réussir, toucher le ciel d’une manière illégale. J’ai été renié par ma mère, la seule femme de ma vie, tandis que ma vie devenait peu à peu un enfer sans fin. C’est toujours le cas, mais je cherche une manière de me repentir. De repartir à zéro. Simplement je n’ai pas les cartes en main pour changer de vie, il me faudrait se petit déclique qui changerait instantanément. C’est beau de rêver tout de même. Inutile de faire un roman sur ma vie pour comprendre que je suis un véritable connard de base. Simplement j’assume la personne que je suis. Je ne cherche pas à fuir le passé, je cherche à l’anéantir, à le combattre d’une manière, comme une autre, afin de faire taire les démons dans ma tête.
Well... It's my story...
« inch'allah qui vivra verra »
Pauvre petite chose. C’est ce que j’inspirais à mon père quand il m’a vu dans le berceau minable d’un hôpital misérable de New-York. C’est sans doute pourquoi il est partit, je n’étais qu’une simple merde pour lui, ça n’a jamais vraiment changé au final. Il n’est jamais revenu et c’était aussi bien. J’ai hérité de deux noms, alors que je n’ai qu’un géniteur : ma mère. Lorsque j’étais seul, survivre était simple. Elle enchainait plusieurs boulots et moi j’étais là, comme un con dans ma petite chaise à lui sourire comme un con, mais elle se sentait heureuse après cette mimique de ma part. On vivait dans la souffrance à l’époque, mais on souriait avec aisance. Elle a même fait le trottoir pour que je puisse avoir des baskets, des vêtements propres. Rien que pour ça, je suis fier de ma mère. C’est quelqu’un que je ne pouvais que respecter à cause de ses actions du passé. Durant ses longues journées, j’étais parfois gardé par ses copains du moment, ou par la voisine. Généralement ce n’était que cette vieille femme du deuxième, qui mâchait comme une grosse truie et qui me répétait sans arrêt que j’étais mignon comme tout. Extérieurement je souriais, je ne pouvais faire que ça, intérieurement j’avais peur que ses dents tombent à chaque fois qu’elle ouvrait la bouche. Deux ans après ma naissance, ma mère tomba une nouvelle fois enceinte. Mais cette fois-ci, elle avait beaucoup plus de mal à joindre les deux bouts. Elle n’était plus là et le reste de mon enfance je l’ai passé chez la voisine, puis à mon domicile quand j’étais en âge d’être responsable et de m’occuper de ma sœur. J’allais à l’école et en rentrant je m’occupais de la petite. J’ai faits ça jusqu’à l’âge de mes dix ans, avant que cette dernière soit en mesure d’être responsable. Ma mère arrêta ses conneries, trouvant des travails plus simple et moins dangereux. J’étais un élève brillant en primaire, simplement il y avait un énorme fossé entre mes « camarades » de classe et ma petite personne. Souvent, quand la maîtresse demandait ce que faisait mon papa, je restais là, à m’étouffer dans mon silence, car je n’en savais rien, je n’avais jamais eu de père. Cette différence faisait rire la classe, moi j’étais blessé par ses moqueries, mais je ne préférais pas montrer mes faiblesses aux autres, alors je pleurais en silence dans le placard à balais qui me servait de chambre. Je souffrais, mais dans l’obscurité la plus totale. A l’école, j’étais le petit garçon que rien ne touchait, il fallait que je garde ce statut intact avant d’entrée au collège. Malheureusement pour moi, je n’ai pas réellement donné de ma personne en passant dans ce niveau d’enseignement supérieur. Je m’amusais à traîner dans le quartier, à faire des choses pas très catholique. J’étais gosse, à l’époque tu ne réalises pas à quel point tu es en train de déraper. C’est ce qu’y met arrivé. Je n’avais pas de limite, profitant des absences longues de ma mère pour rentrer tard le soir. J’ai commencé la cigarette à douze ans, j’entretenais déjà un probable futur cancer, mais je m’en foutais. Moi je prenais exemple sur les grands de la banlieue, faire mieux qu’eux, c’était ça l’idée. Mais au départ, je ne pensais pas que je pouvais faire vivre ma famille grâce à la rue, en faite je n’en savais rien. Malgré mon manque d’application en cours, j’ai réussis à décrocher mon examen, c’est en commençant le lycée que ma vie à prit un tournant à sens unique. Et si je pouvais revenir en arrière, j’éviterais d’emprunter un chemin aussi épineux et dangereux que celui que j’ai pris.
« j'veux faire dix huit mois de prison, comme le grand frère »
Il est exactement quinze heures. Le réveil sonne, j’entends ma mère hurler mon prénom. La gueule dans le cul, j’ouvre les yeux. Je ne suis plus le jeune naïf que j’étais à mes années collèges. Ma vie n’est qu’un océan de mensonge. Je mens à ma mère, à ma sœur. J’ai arrêté le lycée, ma famille pense que je bosse dans un restaurant en tant que serveur, alors que ce n’est pas le cas. Si je me lève à une heure aussi tardive, c’est parce que cette nuit je suis rentré à la maison à huit heure du matin. Je mens en disant que j’ai finis tard et que j’ai dormis chez un pote. Alors qu’en réalité, je suis devenu quelqu’un de dangereux, vivant dans un univers de violence, baignant dans un bain d’illégalité. J’étais devenu un dealeur. Je vendais de la drogue pour faire vivre ma famille. J’avais de quoi assurer une retraite anticipé à ma mère. Je remplissais le frigo avec une simplicité hors du commun, mais il y avait des sacrifices. J’étais quelqu’un de bon, avec une réputation de tyran. Tuer n’était pas mon truc. Je laissais ça aux autres, moi j’étais plus dans la gestion d’argent, drogue. Le plus simple. Souvent je rentrais en douce chez moi, car j’étais couvert d’hématomes, de coupures. Il m’est arrivé de prendre une balle dans l’épaule et de ne pas rentrer chez moi pendant une semaine, trouvant comme excuse un voyage entre pote à la montage. Si je ne disais rien à ma mère, ni à ma sœur, c’est parce que je ne voulais pas qu’elles s’inquiètent pour moi, la seule chose importante, c’est qu’il y avait de la nourriture sur la table et des habits dans l’armoire. Le reste ne comptait pas. C’était maintenant à moi de marcher sur les traces de maman. De me saigner pour offrir une vie plus que parfaite au peu de famille que j’avais encore sur terre. Le gang, comme je l’appelais, était en réalité ni plus ni moins qu’une bande de pote d’enfance. Notre confiance l’un envers l’autre n’avait pas de faille, jusqu’au jour où un mec inconnu intégra la bande en prétendant qu’il avait une affaire en or à nous proposer. Dans le contrat, il fallait tuer. N’étant pas d’accord, jugeant que je n’étais pas digne de choisir si un être humain devait vivre ou mourir, je refusais. M’isolant de la bande, je décidais de ne pas participer. L’opération fut une réussite, simplement, l’homme ne semblait pas être claire, l’affaire non plus. Il était en réalité un flic infiltré et l’opération n’était qu’un vulgaire canular pour nous attirer dans le piège. Pendant un temps, j’étais à l’abri. Simplement, ceux que je traitais en amis cherchaient à m’enfoncer avec eux, mais je n’étais pas d’accord là-dessus. Protégeant ma famille de toute implication dans l’affaire, je payais un appartement somptueux à ma mère, avant de verser tout l’argent que j’avais gagné sur un compte à son nom. Je suis finalement tombé sous le poids des menottes à l’âge de dix-sept ans, pour trafic de stupéfiant, j’ai récolté exactement cinq ans de prison, une période durant laquelle j’ai pas mal réfléchis. Ma mère, apprenant la nouvelle, a pris la douloureuse décision de ne plus avoir de contact avec moi. Bousillant ainsi la réputation de ma famille, et l’avenir qui semblait si radieux de ma sœur. Mais le pire n’était pas encore venu frapper à la porte de ma cellule. Il était sans doute en chemin, mais je sentais que quelque chose allait encore venir m’emmerder, comme-ci la vie s’apprêtait à me chier une nouvelle fois dessus. Et dans un murmure je prononce ses paroles, destiné à ma sœur, mais également à ma mère, tandis que le gardien verrouille ma cellule: « Avec le temps va tout s’en va, mais pas l’amour que j’ai pour vous. ».
« j'ai couru comme un esclave pour marcher comme un roi »
Quatre ans plus tard. La cellule grince, le gardien apparaît tel dieu dans l’obscurité, me regardant avec mépris, alors que je suis étendu sur le sol du cachot qui me servait de chambre d’hôtel. « Jagger, tu es libre, casse toi, t’es pas le seul à être une merde ici ». Souriant avec une certaine jouissance, je lui tapais sur l’épaule, d’une main méprisante et arrogante. La prison avait fait de moi un démon. Je n’avais plus de famille, plus d’ami, j’étais seul. Livré à moi-même. Ma vie n’était qu’une vulgaire merde sans fin. Je pensais dormir dehors à ma sortie de prison, mais il faut croire que ma sœur n’avait pas fait une croix sur moi, contrairement à ma mère. Je respectais sa décision malgré tout, mais je me sentais coupable. Aujourd’hui je cherchais à être pardonné, même si au fond je restais qu’un vulgaire voyou. Solitaire et Méprisant, voilà l’homme que j’étais devenu, un nouveau masque lourd à porter devant ma sœur. La lumière du jour agressait mes yeux, qui étaient habitués à l’obscurité de ma cellule. Je grimaçais, avant d’apercevoir une petite brune se poster devant moi, pendant que je fumais une cigarette, savourant ma liberté aussi dignement que je le pouvais. « Jagger, tu changeras jamais, pauvre con. » Voilà c’est qu’elle avait dit. Inspirant dans la chose toxique, recrachant une fumée épaisse et menaçante, je répondais à cette provocation, par une autre, tel un gamin de primaire : « Moi aussi je t’aime petite sœur ». Elle murmurait quelques grossièretés, avant de m’accompagner jusqu’au taxi. Le silence régnait dans l’engin métallique. Je n’osais même pas la regarder. J’avais honte, j’étais devenu lâche et déballer une liste sans fin d’excuse bidon n’était pas une bonne chose à faire. Elle me rendait le reste de mon argent gagné comme un voyou, avant de disparaitre. Le retour en banlieue était difficile et la première chose que j’ai faits en débarquant dans cette zone puant la violence, c’est d’acheter de la drogue, un paquet de clope, afin de rouler un beau joins. Une épave, pire que ça même. Je n’avais aucun but dans la vie, sauf peut-être celui de travailler dans un domaine intéressant, comme le monde de la nuit, oui c’était une idée plausible, mais pour le moment, je préférais penser à autre chose. En pénétrant dans l’ancien appartement de ma mère, je m’aperçois que rien n’à changer, juste ma misérable personne à fait l’objet d’un changement. U.C
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → b. , dix huit years old. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → par le petit jésus . ★Ce personnage est-il un double compte ? → nah. ★Présence sur le forum → 5/7. ★Personnage inventé ou scénario ? → inventé/scénario.
Mon exemple de RolePlay:
→ Comme une odeur de fumée.. non une odeur d'essence .. je ne sais pas. Mon corps hurle de douleur, mes yeux s'ouvrent légèrement, un peu plus durant les secondes qui suivirent. Je reprenais mes esprits.. chose difficile avec une migraine qui n'en finissait pas. J'appuie ma main sur une surface dur, avant de lever légèrement la tête. Je comprenais peu à peu la situation, un volant devant moi, un arbre encastré dans la voiture et mon corps appelant à l'aide. Je venais de provoquer un accident. La respiration lente, j'essayais de sortir désespérément de la voiture. Avant d'avoir un flashback de ce qui c'était passé bien avant … une sorte de lumière blanche .. non ce n'est peut-être pas le paradis.. je n'en sais rien .. tout ce que je sais, c'est que je ne suis pas arrivé là a cause de l'alcool, mais à cause d'un conducteur de poids lourd qui en avait très certainement abusé. Je m'évanouis en voyant toute ma vie défilée devant mes yeux, des choses que j'avais oublié le temps d'une période indéfinie ou des choses blessantes, la vie quoi.
Dans un petit hôpital de la ville de Berlin, je venais de pousser mon premier cri, une image à prendre d'urgence en photo afin de l'immortaliser. Le seul moment où je côtoyais mon frère jumeau sans le descendre plus bas que terre. Nous sommes tellement différents lui et moi. Je suis la nuit, il est le jour. Le genre de petit garçon que chaque filles aiment avoir, pour parler de la vie, des malheurs. L'homme idéale qui serait capable d'écouter une nana pendant une heure quoi. Bien qu'à l'époque je n'étais pas si loin de ça, quand t'es petit, c'est différent. J'ai grandis dans une famille plus ou moins normal. Mon père était un diplomate, le genre de mec qui parle trop. Alors que ma mère était une femme au foyer, elle s'occupait de tout ce qui était classer dans « la vie de famille ». Quelque chose de bien lassant, généralement j'étais tellement agacé par cela que lorsqu'on me demandait une chose, je faisais le contraire. Je ne cherchais en aucun cas à être un rebelle, mais plus à avoir un caractère fort. Je suis plus le genre de garçon mystérieux, qui n'aime pas vraiment se mêler à la foule ou encore être le centre de l'attention. Avant d'être cet homme froid que je suis maintenant, j'étais plutôt sensible, le genre de petit enfant qui avait plein de chose à dire, mais que personne ne voulait écouter. Alors j'ai finis par me renfermer sur moi-même sans pour autant être méchant, je venais simplement de comprendre à l'époque que je ne pouvais faire confiance qu'à moi. En grandissant, j'ai finis par être silencieux. Par oublier ce qu'était la gentillesse, une sorte d'armure de méchanceté pour cacher qu'au final je reste quelqu'un qui souffre terriblement de son manque d'écoute. Je restais quelqu'un de très doué et cultivé, intéressé grandement par l'art, mais je préfère ne rien laisser paraître afin de ne pas attirer l'attention pour continuer à vivre tranquillement. C'est à ce moment là qu'elle est entrée dans ma vie. Elle représentait l'enfer et moi, même si je faisais semblant de ne pas être attiré par elle, je ne pouvais que me plier à ses règles lorsqu'elle s'amusait à me faire sortir de ma coquille. J'étais foncièrement méchant, elle le savait et ça l'amusait terriblement. Après environ un an de jeu, je me suis finalement lié avec cette demoiselle. Amoureux ? Non ce mot n'était pas assez fort. J'étais dépendant, amoureux, envouté, c'était elle et personne d'autres. Cette jeune demoiselle s'appelait Ernestine. Elle avait tout pour plaire. Gentille, affectueuse, attentionnée, douce … absolument tout. Grâce à cette fille, j'ai réussis à sortir de ma coquille et à devenir .. normal. Gentil, Souriant, Marrant, il n'y avait plus de limite à mon bonheur. Ma mère quitta mon père, mais ça ne me faisait ni chaud ni froid. Je m'y attendais, de toute manière j'avais constamment l'impression qu'ils ne s'aimaient pas. Je devais suivre ma mère, même si sa manière d'être ne me plaisait pas tellement que ça, c'était toujours mieux que mon père. J'avais déjà tout prévu avec Ernestine, puisque j'étais déménager en France, il était donc prévu qu'elle emménage avec moi à la suite du divorce.
Je me réveille dans ce lit d'hôpital, avec une perfusion et des tuyaux partout. Ma mère est là. Le médecin aussi mais pour moi il manquait quelqu'un. Je venais justement de penser à ma vie d'avant, et pour la première fois de ma vie, j'étais heureux. Tout le monde me regardait avec inquiétude et la première phrase que je disais était celle-ci : « … Où est Ernestine ? ». Et là le médecin baissa les yeux avant de faire quelques mètres vers moi et de me regarder avec une grande sincérité en m'expliquant clairement l'histoire : « Mr Klein … vous étiez en voiture avec votre petite copine .. et lorsque que ce chauffeur vous à percutez, vous avez survécu, mais … elle vient de mourir à l'instant .. je suis désolé.. » Et là je me suis sentis anéanti. Ma mère approcha sa main pour créer un contact avec mon bras et je retirais ce dernier violemment avant d'hurler aux gens de sortir. J'ai pleurer toutes les larmes de mon corps, je me suis demandé pourquoi elle … j'aurais préféré mourir pour qu'elle puisse vivre, mais non. Ce n'était pas possible. Je ne voulais pas admettre qu'elle était morte, mais bien que ça me faisait souffrir, j'étais bien trop lâche pour mettre fin à mes jours. Je ne croyais plus en Roméo, ni même en Juliette. Le problème c'est qu'après cet incident, j'ai profiter de mon départ en France pour devenir quelqu'un d'autre. J'ai commencé à boire de l'alcool, coucher avec des femmes, sortir en boite. Je joue avec les demoiselles pour me sentir vivant et c'est bien ça le problème, une carapace de tristesse mélangée à celui que j'étais avant.
Le code règlement:
→ Ok by Bambi
Dernière édition par Jagger C. Warren-Andrews le Lun 12 Déc - 10:39, édité 22 fois
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Sujet: Re: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live » Lun 12 Déc - 0:13
Bienvenue ici plus officiellement donc Si tu as des questions n'hésite surtout pas & bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live » Lun 12 Déc - 0:19
Merci ma belle
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Sujet: Re: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live » Lun 12 Déc - 0:21
Bienvenue
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Sujet: Re: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live » Lun 12 Déc - 0:22
Merci toi :brigitte:
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Sujet: Re: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live » Lun 12 Déc - 0:28
Bienvenue
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Sujet: Re: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live » Lun 12 Déc - 0:29
Merci
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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Sujet: Re: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live » Lun 12 Déc - 0:42
Bienvenue !
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Sujet: Re: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live » Lun 12 Déc - 0:44
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live » Lun 12 Déc - 0:46
thank's les nanas
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Sujet: Re: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live » Lun 12 Déc - 1:10
bienvenue
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Sujet: Re: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live » Lun 12 Déc - 1:13
Nathéo E. Levy-Summers a écrit:
bienvenue
Merci
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Sujet: Re: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live » Lun 12 Déc - 2:11
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live » Lun 12 Déc - 2:18
merci bien mam'zelle
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Sujet: Re: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live » Lun 12 Déc - 9:18
Alors H.Christensen a 30 ans IRL, et le règlement stipule bien que nous autorisons 5ans seulement de différence entre âge du perso' et âge de la célébrité donc faudra modifier ça. Ensuite vu qu'il "s'agit" quand même d'un scénario je demanderais à ce que tu inclus le lien juliett/jagger dedans vu qu'il se déroule sur plusieurs années et qu'il est important et pour Jagger & pour Juliett.
Bon courage pour les changements
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Sujet: Re: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live » Lun 12 Déc - 10:53
Pour ce qui est de l'âge, je viens de changer. Après si j'ai pas évoqué le lien dans l'histoire de Jagger, c'est parce que dans ma tête, je devais jouer sa sortie de prison et ainsi le lien avec Juliett. Hors ce n'est pas possible, j'ai complètement zappé. Pardonne-moi ( profites-en je m'agenouille ) . Je vais modifier le troisième paragraphe en y ajoutant blondie .
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Sujet: Re: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live » Lun 12 Déc - 20:33
Bienvenue ici
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Sujet: Re: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live » Lun 12 Déc - 20:43
oh hayden. bienvenue
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Sujet: Re: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live » Lun 12 Déc - 22:06
Christensou Bienvenue
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Sujet: Re: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live » Mar 13 Déc - 20:54
bienvenue à ny'
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Sujet: Re: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live » Mar 13 Déc - 22:26
Jagger C. Warren-Andrews a écrit:
Pour ce qui est de l'âge, je viens de changer. Après si j'ai pas évoqué le lien dans l'histoire de Jagger, c'est parce que dans ma tête, je devais jouer sa sortie de prison et ainsi le lien avec Juliett. Hors ce n'est pas possible, j'ai complètement zappé. Pardonne-moi ( profites-en je m'agenouille ) . Je vais modifier le troisième paragraphe en y ajoutant blondie .
Parfait tu me feras signe quand ça sera ajouté
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Sujet: Re: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live » Mer 14 Déc - 17:29
Bienvenue sur le forum
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Sujet: Re: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live » Mer 14 Déc - 20:07
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Sujet: Re: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live » Dim 1 Jan - 19:48
En vue de la date à laquelle tu as posté ta fiche, tu as donc une semaine pour la terminer (ou faire les changements demandés) avant que ton compte ne soit supprimé.
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Sujet: Re: JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live »
JAGGER ♛ « every time I bleed, there lies the reason to live »
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