25 ans → Né(e) à Vladivostok le 03/02/1987 → Métiers ou Études célibataire → hétérosexuel → membre des populars.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Lorsqu'il était plus jeune, Andrea s'est fait tatouer un petit serpent dans le bas du dos. Pour lui, c'était une première façon de s'émanciper de l'autorité paternelle, mais aussi d'afficher sa ruse. Pour lui, le serpent est le symbole par excellence de l'animal discret mais vicieux, celui qui attaque de front, au moment où on s'y attend le moins. Il a une fine mais longue cicatrice au niveau de l'abdomen, qui témoigne de l'agression, puis de l'opération qui en a suivi. Il n'a jamais expliqué cette marque blanchâtre à quiconque ; aux Etats-Unis, son passé reste un mystère entier.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Pour tout le monde, Andrea est quelqu'un de froid, distant, et qui n'hésite devant rien pour parvenir à ses fins. L'exemple le plus flagrant est sans doute celui d'une conquête passée. Il avait vingt ans, et avait pour habitude d'obtenir tout ce qu'il voulait. Y compris la fiancée d'un autre mannequin. Il a brisé un ménage pour une nuit, et a construit sa réputation sur ce genre d'anecdotes. Aux yeux des inconnus, il est déterminé, arrogant, prêt à tout pour écraser ses adversaires. Pas pour rien qu'il a longtemps été baptisé ice man. Mais quand on le connaît plus en profondeur, on s'aperçoit qu'il est en fait quelqu'un de droit et d'honnête. Respectueux, il est très protecteur envers ses amis. La preuve vivante n'est autre que Serena, sa meilleure amie, à qui il tient comme la prunelle de ses yeux. Fidèle en amitié comme en amour, il partage sa vie avec Burberry depuis plus d'un an, mais reste néanmoins réfractaire à toute forme d'engagement. Cependant, il possède aussi quelques faiblesses, comme son passé. Il refuse d'en parler, à quiconque. Personne ne connaît l'Andrea Stanislav Proskynov d'avant, celui qui a été un mannequin célèbre et qui s'est retrouvé au trente-sixième dessous en une nuit. Il continue de cacher des éléments importants de sa vie, comme la mort de ses parents, même à des personnes qui lui sont très proches.
Well... It's my story...
« Mon fils ne s’appellera pas comme ton père ! »
Ma mère a toujours été quelqu’un qui affirmait ses opinions. C’était sans doute pour ça que, dès son plus jeune âge, elle avait décidé de s’orienter dans le journalisme. Persuasive, dynamique, elle n’avait eu aucun mal à se faire un nom dans le métier, ni même à gravir les échelons les uns après les autres. Son apogée dans le métier ? 1991, la fin du bloc soviétique, et le retour à la Russie.
En revanche, en ce qui concerne mon père… Disons que les choses sont plus compliquées. En bon diplomate qu’il est, il n’hésite pas à affronter sa femme, et à faire affirmer son point de vue. Habituellement, mon père a toujours une longueur d’avance ; que ce soit en politique ou dans sa vie privée, il dirige tout ça d’une main de maître.
Mais les choses ont été légèrement différentes quand ma mère a su qu’elle attendait un fils. Forcément, pour mon père, c’était une évidence : je porterai le prénom de mon grand père, à savoir Stanislav. C’était une tradition chez les Proskynov ; tout homme qui naît s’appellera Dmitri ou Stanislav. Enfin… C’était sans compter sur les hormones agressives de ma mère, et sa détermination à faire de moi l’exception, l’être unique. Plus exotique et moins conservatrice que mon père, elle savait déjà comment j’allais m’appeler : Andrea. Elle n’avait jamais lâché cette affaire, et mon père avait fini par céder, faible et impuissant face à sa propre femme. J’étais né quelques mois plus tard, un matin de Février.
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« Continue mon fils. Encore, ne t’arrête pas. »
Sept ans, leçon de piano avec l’un des musiciens les plus talentueux du monde. Je suis assis là depuis deux heures ; deux heures pendant lesquelles je travaille, sans relâche, mes gammes. Mon père, qui vient juste de rentrer, passe en coup de vent. Il m’écoute, cinq petites minutes, et m’encourage à persévérer. J’aurais aimé lui dire que j’en avais marre ; que c’était trop long, et que j’aurais préféré aller retrouver mes copains à la patinoire. Mais comme tous les soirs, je l’ai regardé passer, je lui ai adressé mon plus beau sourire, et je me suis de nouveau concentré sur mes notes. Mon père est fier de moi, c’est le principal.
S’il y a bien quelque chose que ma mère n’a pas pu m’éviter, c’était toute cette éducation bourgeoise, caractéristique des Proskynov. Jouer d’un instrument de musique, pratiquer un sport, devenir minimum bilingue… Ce sont tous les impératifs imposés par mon père et ce, dès mon plus jeune âge. C’était lourd, c’était difficile à porter pour un gamin, mais je l’ai fait. Je n’en veux pas à mon père, je sais qu’il pense avoir fait ce qui était le mieux pour moi. Peut-être qu’il n’a pas tout à fait tort.
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« Le but, c’est d’apprendre à connaître des gens. Te faire des relations, des alliés. Plus tard, quand tu reprendras le flambeau, tu pourras compter sur eux Andrea. »
Alors que mon père se détourne et s’avance pour saluer l’un de ses pseudo-amis, je scrute la foule. Il y a beaucoup de monde ; des hommes, des femmes, et des adolescents. Ce qui est étrange, c’est de voir comme les groupes qui se forment sont homogènes : les hommes parlent entre eux, les femmes se rejoignent autour de la table, et les adolescents, timides, osent à peine faire un pas vers les autres. Ici, dans ce monde, seul les apparences dominent. Il faut se faire un nom dès son plus jeune âge.
Je sursaute en sentant une main se poser sur mon épaule. Mais, rapidement, le parfum rassurant de ma mère vient chatouiller mes narines. Tout va bien, je suis en terre connue, je sais que je ne risque rien, qu’elle ne me veut rien de mal.
« Allez Andrea, tu dois le faire. Je sais que c’est étrange la première fois, mais j’ai rencontré ton père comme ça. » Dit-elle en se mettant face à moi. « Et puis tu en auras besoin pour plus tard, tu sais ? Ils pourront toujours te rendre service. Ils sont comme nous, tu n’as rien à craindre mon chéri. »
Ma mère tente de me rassurer par le biais d’un sourire, mais elle sait. Elle sait que je n’aime pas être là, que je déteste l’idée d’être forcé à aller vers les autres, que je trouve ces soirées mondaines d’un ennui infini. J’ai soupiré en la voyant s’éloigner. Je n’avais qu’une hâte : que cette soirée se finisse. Malheureusement pour moi, elle venait seulement de commencer. J’ai douze ans, et je participe pour la première fois à ce qu’on appelle, chez les aristocrates distingués, un « rallye ».
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« Jamais, jamais, jamais ! » Hurlais-je. « Je ne veux pas être un menteur de politicien, et je ne veux pas faire d’étude d’économie pour reprendre ta putain de société ! »
Andrea, où la douceur incarnée. Derrière mon père, qui me fait face, j’aperçois ma mère, qui sanglote doucement. Ce n’est qu’une dispute parmi tant d’autres ; au fur et à mesure, elles ont fini par rythmer notre quotidien. La raison de tout ça ? Mon père, évidemment, qui cherche à tout prix à me convaincre de faire des études de commerce ou de politique, afin que je puisse, selon ses propres termes « reprendre le flambeau ».
J’ai beau crier, hurler, je sais que je perds ma voix inutilement. Mon père ne changera jamais d’avis, et je sais que je vais devoir renoncer à mes études d’histoire de l’art. Mon rêve s’écroule peu à peu, et je ne peux rien faire pour éviter ça. A dix-sept ans, j’ai déjà l’amère sensation que je suis condamné à vivre une vie que je n’ai pas choisie. Alors, sur un coup de tête, j’ai décidé de reprendre en main la seule chose que j’étais capable de contrôler.
« Puisqu’il en est ainsi, je veux aller faire mes études à Moscou. »
Ma mère hoquète, alors que ses yeux s’écarquillent sous le coup de la surprise. Je suis son fils unique, et je sais qu’elle tient à moi. Mais là, ça ne suffit pas. En revanche, mon père reste silencieux, et semble peser le pour et le contre. Au fond de moi, je sais déjà qu’il va accepter. Les écoles à Moscou sont bien meilleures que celles de Vladivostok, et mon père sait que dans la capitale, je vais pouvoir étendre mon cercle d’ « amis ».
« Très bien, c’est d’accord. »
J’ai hoché la tête, alors qu’un petit sourire victorieux s’étirait sur mes lèvres. Je n’avais pas tout gagné, mais je n’avais pas tout perdu non plus.
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Moscou, où le tendre souvenir des jours heureux. Comme prévu, je suis arrivé pour faire mes études de politique. Si au début, j’ai appliqué les règles à la lettre, je me suis vite trouvé un autre centre d’occupation : le mannequinat. Que pouvait-il y avoir de mieux pour faire sortir mon père de ses gonds ? Il allait détester l’idée, me détester, et vouloir me faire rentrer de toute urgence à Vladivostok. Sauf que ce qui fut le début de l’Enfer pour lui se révéla être le début de la célébrité pour moi. En parallèle de mes études en politique, j’enchaînais les photoshoots, sortais avec les mannequins les plus prisés, faisais la fête à outrance. Et puis il y a fallu faire un choix, et j’ai démissionné : les études, c’était terminé. Je préférais me concentrer sur cette carrière prometteuse, que j’avais engagé si brillement. Les crises de mon père n’ont rien changé, et j’ai pris mon indépendance. J’étais le nouveau visage de la Russie, le gendre apparemment parfait, et cette notoriété faisait de moi une personne sur laquelle il fallait désormais compter.
Mais j’allais rapidement déchanté.
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« Monsieur Proskynov ? Oui, bonsoir Monsieur le diplomate, ici le Docteur Chalamov, médecin urgentiste de l’hôpital de Moscou. Je me permets de vous appeler parce que votre fils vient de sortir du bloc opératoire, et il est dans un état critique. Pour être tout à fait honnête, nous nous ne savons pas s’il va passer la nuit. »
04h27, Place Rouge. Nous sommes le 6 Décembre 2007, et le temps s’est arrêté. Andrea ne se souvient quasiment pas de ce qu'il s'est passé. Qui sont ses agresseurs, pourquoi lui ont-ils fait ça, il n'en a aucun souvenir. La jalousie ? L'argent ? La volonté de nuire à ses parents ? Il n'en a aucune idée. La seule chose dont il se rappelle, c'est d'avoir eu la sensation d'être pincé, puis d'être tombé à genoux sur la neige. Il a d'abord eu froid, puis chaud, puis plus aucune sensation. Il s'est réveillé une semaine plus tard, à l'hôpital, ses deux parents à son chevet, et entre dans une période de silence qui va durer plus de six mois. Six mois pendant lesquels il est envoyé en « clinique spécialisée » (mot que ses parents ont ensuite utilisé pour parler de son séjour en hôpital psychiatrique), et au cours desquels il va fréquenter les psychologues et les psychiatres les plus renommés. A sa sortie, sa première annonce publique annonce la fin de sa carrière. Il a 21 ans, et a bien conscience d'avoir échappé au pire.
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17 Novembre 2008. Si je n’ai presque aucun souvenir du premier drame de ma vie, celui là, en revanche, reste très clair dans mon esprit. J’avais repris mes études en politique, cette fois-ci à Saint-Pétersbourg. Mes parents étaient venus me rejoindre, conscient que j’allais avoir besoin de soutien. J’étais redevenu quelqu’un de normal, ou presque. Mais la réalité m’a rattrapé lorsque j’ai reçu un coup de fil du centre hospitalier de Saint-Pétersbourg. Si j’avais échappé au pire, mes parents, eux, n’avaient pas eu cette chance. Fils unique, sans autre famille, j’ai dû affronter cette nouvelle épreuve seul. Et, comme un déclic, j’ai compris que je ne pouvais pas rester ici. Comment aurais-je pu continuer à faire comme si de rien était ? On m’abordait dans la rue, mon père avait des relations très étroite avec un gouvernement un peu trop strict, je n’avais plus aucune famille, et ma vie était un champ de ruines. J’ai gardé mes deux appartements, conservé les dossiers confidentiels dans un lieu sur, et j’ai pris le premier billet d’avion pour New-York, là où j’espérais trouver une vie meilleure.
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Fin Décembre 2011. Je suis désormais définitivement installé aux Etats-Unis. J’ai rencontré de nouvelles personnes, qui ont fait évolué, parfois même changé les choses. J’apprends à faire confiance, mais j’ai bien conscience d’être hypocrite envers les autres. Ils ne savent rien de moi, de mon passé, des blessures qui m’ont construit. Je ne parle jamais de mon passé ; c’est comme si je n’avais pas existé avant de fouler le sol américain.
Installé dans l’Upper East Side, j’ai repris mes études. Je suis en quatrième année en Histoire de l’Art, et ça me réussit plutôt bien. J'ai recommencé à faire du mannequinat ; je me suis servi de ma notoriété passée pour me remettre sur les rails. Contrairement à la première, je ne fais pas ça pour agacer quelqu'un d'autre, ce qui rend le métier beaucoup plus plaisant. Je ne suis jamais retourné en Russie ; je n’exclus pas de le faire, mais je sais que je ne suis pas prêt. J’attends que le bon moment se présente. Ma vie sentimentale est chaotique, et j'oscille entre disputes et réconciliations avec ma petite amie. Mais plus le temps passe, et plus j'ai l'impression que nous fonçons droit dans le mur. Advienne que pourra.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → N. ; 19 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → y'a tellement longtemps que je suis là, j'ai fini par zapper ★Ce personnage est-il un double compte ? → nope. ★Présence sur le forum → tous les jours normalement ★Personnage inventé ou scénario ? → inventé.
Mon exemple de RolePlay:
→ Le fait que Burberry ne réagisse pas à mes dernières paroles me fit sourire. Elle continuait de ranger ses affaires, comme si de rien était. Pourtant, j’avais mis les deux pieds dans le plat, en lui sortant la panoplie du mec parfaitement misogyne ; mais ça n’avait réveillé en elle aucun trait de caractère de féministe en puissance. Néanmoins, je savais que cette petite remarque n’était pas tombée dans l’oreille d’une sourde ; tôt ou tard, pile au moment où je m’y attendrais le moins, j’allais me prendre une petite réflexion bien aimable, dont Burberry avait le secret. L’amour vache ? Oui, c’était exactement ça. Alors, dans le but de bien enfoncer le clou, j’en ai rajouté une couche. Au fond, je savais qu’elle prenait ses remarques avec dérision ; de toute façon, je reconnaissais volontiers que j’étais sans doute, dans son entourage, la personne la plus mal placée pour lui faire ce genre de commentaires.
« Evidemment que je l’ai vu. Franchement Burberry, s’il y a bien quelqu’un qui allait s’apercevoir de ton changement de taille, c’est moi. » Dis-je en levant les yeux au ciel, amusé. « Ma pauvre chérie, et c’est toi qui te plains ? Alors imagine la situation désespérée et désespérante dans laquelle je me trouve ! » M’exclamais-je, faussement dramatique. « J’en suis le premier frustré, crois-moi. C’est donc pour ça que je t’ordonne de te jeter sur la nourriture. » Ajoutais-je pour achever de la persuader.
J’ai fait semblant d’être offusqué alors qu’elle me disait clairement qu’elle m’étoufferait la prochaine fois que j’insinuerai qu’elle n’était pas parfaite. Pendant de courtes secondes, j’ai hésité à mettre en œuvre tout mon savoir afin de lui faire quelques courbettes dont j’avais le secret, mais je me suis retenu. Il manquerait plus qu’elle choppe le melon, tiens ! Il y avait assez de moi dans notre couple qui avait un égo surdimensionné, et je n’avais aucunement besoin d’avoir de la concurrence. Oui, moi aussi, j’étais loin d’être parfait.
« Ah ben merci, j’apprécie ! » M’exclamais-je, faussement indigné, par son projet d’assassinat. « Finalement, je ne sais pas si c’était une bonne idée de tout te laisser planifier dans mon dos… Je crains le pire. » Annonçais-je en soupirant. « En tout cas, juste au cas où, je te conseille d’attendre un peu avant de me passer par-dessus bord, mon testament n’est pas fait. » Ajoutais-je en lui faisant un clin d’œil complice. « Après tant de complots machiavéliques, il serait dommage que tu ne touches pas la cerise sur le gâteau, tu ne crois pas ? Enfin moi je vois ça comme ça, mais c’est comme tu le sens. » Déclarais-je en haussant les épaules.
Oui, j’étais bel et bien en train de parler de légers détails administratifs qui se devaient d’être réglés, de préférence en l’honneur de la principale intéressée, avant qu’elle ne mette ses menaces à exécution. Amusé par cette situation peu commune, je n’ai pu m’empêcher de sourire. Je devais bien reconnaître que ces moments de complicité, aussi glauques soient-ils, m’avaient manqué au cours des dernières semaines. Entre les mois passés à ne plus se parler, puis à se livrer à une mini-guerre, et pour finir, l’attentat dans le métro et l’opération de Liam, notre quotidien avait été plus que chargé. Nous n’avions pas réellement eu le temps de nous retrouver. Ces vacances étaient donc l’occasion idéale de rattraper le temps perdu, et de penser à des choses plus légères, moins dramatiques. Par exemple… La tournure que notre soirée allait prendre. Si au début, Burberry avait vaguement envisagé un restaurant, force est de constater que ses plans avaient dévié vers une activité plus… Sportive, mais au moins aussi alléchante que celle initialement prévue.
« Je ne bouge pas d’un centimètre, je suis trop bien ici. » Dis-je en souriant, alors que mes mains se faufilaient rapidement sous son tee-shirt.
Ça, c’est ce qui s’appelle commencer parfaitement des vacances.
- - - - - - - Les vacances n’auraient pas pu mieux commencer. C’est avec cet agréable sentiment que j’ai commencé à émerger, aux alentours de huit heures du matin. Plus de cinq heures de sommeil d’affilé, c’était un véritable record, pour un insomniaque dans mon genre. La nuit avait été courte, mais étrangement, j’étais plus en forme que jamais. D’attaque à commencer les visites, à apprendre de nouvelles choses, à découvrir de nouveaux lieux, et à… Attendre que Burberry se réveille, songeais-je en m’apercevant qu’elle dormait toujours profondément. Peu importe, j’attendrai. J’étais loin de mon quotidien rythmé, loin d’être pressé : j’étais en vacances, et j’avais décidé de prendre tout mon temps.
Elle sortit des bras de Morphée deux heures plus tard, alors que je pianotais sur mon Blackberry pour me tenir au courant des dernières nouvelles. Je pouvais constater que certaines habitudes avaient la vie dure, même pendant les vacances. En voyant Burberry se réveiller, j’ai reposé mon portable sur la table de chevet, l’observant du coin de l’œil en train d’émerger.
« Hey. » Répondis-je en souriant. « Bien dormi ? » Demandais-je.
Je n’ai pu m’empêcher de ricaner lorsque le ventre de Burberry se manifesta à l’instant où j’allais l’embrasser. Capricieux et visiblement désireux de se faire entendre, il chassa ce qui aurait pu passer pour un moment de pure tendresse, pour nous plonger dans une réalité très terre-à-terre, voire même triviale. J’ai hoché la tête, amusé par la situation.
« Ça marche. » Dis-je en me redressant.
Le code règlement:
→ yankees rocks.
Dernière édition par Andrea S. Proskynov le Mer 7 Mar - 20:34, édité 7 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ANDREA ▬ Jeu 15 Déc - 16:18
je passerai avec la brune t'inquiètes
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ANDREA ▬ Jeu 15 Déc - 16:39
Courage pour cette nouvelle fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ANDREA ▬ Jeu 15 Déc - 16:41
Artemis-Odessa H.R Reese a écrit:
je passerai avec la brune t'inquiètes
J'm'en fais pas pour ça
Merci
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ANDREA ▬ Jeu 15 Déc - 16:50
Courage pour ta nouvelle fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: ANDREA ▬ Jeu 15 Déc - 17:33
bon courage
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.