FEAT. MICHAEL GRAZIADEI

Peter Ethan SADDLER

24 ans → Né à Oklahoma city le 23/04/1987 → chauffeur-livreur
célibataire → hétérosexuel → membre des Rebels.

And who am i ?

★Quels sont tes caractéristiques?
→ Les caractéristiques de ce mec là … Rien de spécial. Il a longtemps voulu se faire tatouer l’une ou l’autre connerie, mais à défaut de pouvoir se contenir pour mettre de la thune de coté … ce n’est toujours pas fait ! Néanmoins son corps portent tout de même des traces ; nombres cicatrices dû a son penchant pour la bagarre après quelques verres. Quelques brulures de clopes sur l’avant bras gauche, d’autres traces de couteaux sur le torse … rien de terriblement affreux. Coté sapes, notre hommes fait assez simple, c’est le cadet de ses soucis à vrai dire ; jeans, chemise, cuir c’est un bon plan.

★Quel est le caractère de ton personnage?
→ La plupart du temps, quand quelqu’un essaie d’expliquer les actes complètement saugrenu de ce sac de nœuds, la discussion se termine par une phrase toute simple « C’est Pete’. » tant sa façon d’agir semble incompréhensible et ces sautes d’humeurs légendaires. En effet, un rien le fait changer , il peut tout à fait être follement sympathique un moment pour devenir un vieux con aigri la minute suivante. Autant dire que si on espère quelque chose de lui, il faut le prendre avec des pincettes et être prêt à l’une ou l’autre concession, car comme si son coté lunatique ne suffisait pas, c’est un sale profiteur ! Peter se fera une joie de vous dépouiller. On ne cherche plus vraiment à comprendre cet individu, il semblerait que ce soit peine perdu ; non pas spécialement parce que c’est un mec mystérieux et tout ça … mais c’est surtout que cet enfoiré vit en permanence dans son monde, il est complètement à coté de la plaque. Et bien sûr dans son petit cloaque imaginaire, il peut faire et contrôle tout ce qui s’y passe, enfin du moins il le croit. Cependant, Peter n’a jamais eut l’étoffe d’un vainqueur, il parle beaucoup certes mais dans le vide et ne fait pas grand-chose ; il espère mais ne se donne pas les moyens c’est un espèce d’ambitieux raté, tout ce qu’il fait foire soit il ne va pas jusqu’au bout. Mauvais perdant, il n’assumera pas son échec ; et puis c’est de la faute des autres, il ne se sent absolument pas responsable, d’ailleurs il n’imaginera même pas une seconde que les choses ne se déroulent pas comme il les avait pensé. Si bien que lorsque une affaire tourne mal – c'est-à-dire, autrement que comme il l’avait prévu – il perd totalement pied et fait un peu n’importe quoi. Le dit ‘n’importe quoi’ regroupe un tas de chose ; se casser faire un tour en moto, boire a n’en plus finir, passer sa colère sur quelqu’un etc. De nature impulsive, Jude ne réussit pas à se contrôler, se maintenir et il lui arrive souvent d’en arriver aux mains, même pour des broutilles.

En bon égoïste fini, il se soucie en premier de comment est-ce que les choses peuvent arranger son quotidien avant de penser aux autres. Pete’ n’a pas conscience de ce qui se ‘ fait ‘ et inversement ce qui ne se fait pas en terme de ... relation. Ecoutez-le parler rien qu’une fois, il donne l’impression de n’en avoir rien à foutre des autres et de pouvoir totalement s’en passer, mais en réalité c’est tout autre chose. Ce mec là ne semble pas être d’accord avec lui-même quant à l’importance qu’il accorde aux gens, en effet il se cache derrière un large masque nihiliste, du genre à envoyer le monde se faire foutre une fois qu’il a obtenu ce qu’il voulait. Mais d’un autre coté … Peter est un grand possessif, ou avec plus de justesse un possessif maladif ; dès qu’on entre dans sa vie, il ne supportera pas que l’autre ne lui accorde pas la même importance que lui le fait, ni la demi-mesure ! C’est en quelque sorte un adepte du viscéral en tout genre, y compris dans les relations, pour lui elles n’en valent pas la peine tant qu’elles ne vous bouffent pas les tripes, celles qui vous retourne l’estomac. Il cherche avidement à ressentir ce genre de sensation, à n’importe quel prix et sacrifice… et souvent des gaffes. Au vu de son manque considérable de savoir-vivre, Peter est capable d’accumuler les relations sans prendre garde à ne blesser personne, si bien qu’il n’est pas rare que tout ce joyeux bordel sentimental vol en éclat. Mais problème, même en étant foutrement conscient du mal qu’il a fait, cette raclure ne peut se résigner à laisser quelqu’un lui filer entre les doigts ; il a rapidement tendance à aller jusqu’à l’harcèlement – en tout genre. On ne sort pas de sa vie tant que lui ne l’a pas décidé… N’oublions pas qu’il se pense maître de sa petite bulle. Malgré ce comportement de bon gros salopard, notre Pete’ a quand même quelques élans d’affection et de sympathie, il a sa propre définition de la fidélité qui est peut être plus difficile à cerner.

Mais cette affection a parfois plus à voir avec le jeu, la lubie ; vous êtes son caprice , il s’amuse avec, ne veux pas le prêter et s’en sépare rarement … Mais ne sait pas en prendre soin. En bon enfant pourri, cette raclure veut tout, il le veut toute de suite et fera tout ce qui est possible et imaginable pour l’avoir ! Pete’ ne conçoit même pas le refus, pour lui c’est juste une … hésitation, mais dans son univers, le refus n’existe pas. Cela va de soit tout le monde fait ce dont monsieur a envie ? En tout cas pour lui, oui, il suffit de se donner un peu de mal ... Il ne manque jamais de ressource pour mettre le grappin sur quelqu’un ; du ballais le vieux sac à merde tout aussi sympathique d’une poignée de porte ! Il reste plus ou moins conscient qu’il n’est pas le genre de type qu’on a envie de fréquenter, c’est pourquoi il ment tout aussi bien qu’il respire. De toute façon, sa vie est un fabuleux théâtre foireux alors il se permet de jouer la comédie assez souvent, en mêlant mensonge a de l’hypocrisie a toutes les sauces ! De ce fait … Difficile de savoir ou se place le ‘vrai’ Peter, tant est épaisse la couche de faux autour de lui, tenté est-il qu’il y ait quelqu’un là-dessous, sous tout ce merdier.

Well... It's my story...

En voyant cette espèce de loque caractérielle, on peut se demander qu’est ce que ce pauvre homme a subit lors de son enfance ; c’est être bien trop laxiste de croire que tout les salops ont une excuse cachée dans les méandres du temps passé dans les jupes de leurs mères. Et oui certaines sont justes des personnes foutrement mauvaises et désagréables sans raisons apparentes …. C’est aussi ça la diversité mes petits. La vie de ce petit connard là est somme toute assez banale, et l’a toujours plus ou moins été ; c’est le premier enfant né d’une gentil famille de beaux américains consommateurs de milkshake et autres produits locaux. La naissance d’un enfant si elle désirée est un événement heureux et quand il s’agit du premier du couple, ce marmot baveux est une merveille à une certaine mesure. Sauf que les parents du petit Peter n’ont pas sû se maitriser et ce petit morpion était pour eux un petit prince, la perfection à l’état pur et j’en passe. Pour cause, ce ne fut pas une mince affaire pour eux de procréer, ayant des problèmes de fertilité… Mais Oh, Jesus, Marie, ou bout de quelques années d’acharnement, l’impossible devint possible et la Madame Saddler était enceinte jusqu’au cou ! Forcément, en sachant que certaines sont enceintes rien qu’en touchant la poignée de porte des toilettes des garçons, et que cette pauvre femme a dû se plier en quatre rien que pour avoir un rejeton … Ce qui explique pourquoi ce bouseux pourri gâté était la 7eme merveille de ce bas monde pour sa famille, et surtout sa mère. On ne lui refusait rien, et si c’était le cas Pete’ savait bien qu’un peu de cinéma suffisait pour avoir ce qu’il désirait. Tout jeune, il se savait maître de son petit univers et aimer le faire tourner comme bon lui semblant, sa mère lui léchant les basques à longueur de journée tout était possible en quelque sorte ! Son père était bien moins laxiste, mais aussi très souvent absent à cause de son travail. Bref, une enfance princière.

Une fois adolescent, on peut se dire que l’âge aidant, Peter allait devenir un peu moins capricieux ; loin de là. On s’habitue aux privilèges, et il n’allait surement pas se calmer en si bon chemin ! Parce qu’en plus de ça, le salopio ne se rendait même pas compte de la générosité que son entourage avait pour lui, on l’excusait pas mal. En effet, on réussissait toujours à trouver des excuses à son comportement intolérable ; Vous savez ce pauvre enfant a grandit pratiquement sans son père, ça laisse des traces et blahblahblah. La vérité c’est que cet enfoiré en puissance c’est toujours sentit au dessus des autres et leur à bien fait remarquer ; il a toujours aimé contrôler sa bande d’amis en cours, faire son petit chef. La scolarité de Pete’ n’est pas spécial ; il n’a jamais eut envie de ramasser les poubelles des autres mais bel et bien de les diriger. Enfant, le brun a toujours été dans son petit univers et c’est assez courant pour les gamins, mais une fois adolescent ça ne c’est pas arrangé ; Peter est toujours à coté de la plaque et a l’impression que tout gravite autour de lui, sagement. Couper la parole, tout rapporter à soi, prendre ses désirs pour des ordres… Autant de comportement égoïste que le chiant fait sans s’en rendre compte, preuve qu’il n’en a strictement rien à cirer des autres, que ce soit sa famille, ses amis ou collègues. Assez paradoxalement, lorsque Pete’ commencera à fréquenter les filles, il ne pourra pas supporter quelles puissent s’en foutre de lui ; c’est tout ou rien avec le brun, mais pas de juste milieu possible. Le meilleur dans l’histoire – ou le pire selon votre point de vu- c’est que ce petit mec n’a jamais pû s’empêcher d’aller voir à droite et à gauche ; il parait que l’herbe est plus verte ailleurs ! Mais pour autant, il ne voulait pas se séparer de l’une ou l’autre personne qu’il aimait bien avoir sous le coude ; c’est à cette époque qu’il commença à mentir, inventer des histoires pourvu que tout tienne en place. Rapidement et à la même période, à défaut d’être la merveille de quelqu’un – Mme Saddler en ayant assez d’avoir une raclure égoïste comme fils – Peter eut le besoin de ressentir un tas de sensation, parce que tout ce qui vient des tripes, le viscéral … ça lui pait. C’est sans surprise qu’il se met à tester, fumer, sniffer, bouffer un tas de trucs. Pete’ était déjà à coté de ses pompes avant, mais à cause de cette consommation, c’est encore pire ! Un peu plus et il se prendrait pour le maître du monde. Mais c’est ici que commence la dégringolade.

Peter veut un tas de choses certes, mais c’est un ambitieux raté ; il ne se donne jamais à fond dans ce qu’il fait. Il se laisse facilement distraire et passe à autre chose ; de ce fait … il a fait des études, mais n’est jamais allé jusqu’au bout. Toujours avoir ce que l’on veut sur un plateau d’argent … ça fait pousser un baobab dans la main en général. Le petit monde douillé de Peter s’effondra à ses vingt ans ; son père déjà excédé par l’attentisme de son fils eut vent de tout ce que celui-ci consommait. M. Saddler ne chercha pas à comprendre le pourquoi tu comment, il savait bien qu’il avait un enfant ingrat et il se contenta de le virer de chez lui en vitesse. Baluchon en main et avec une poignée de dollars, Pete’ décida encaissa le coup et décida de partir pour New-york sans vraiment savoir pourquoi ; changer d’air, se faire des new-yorkaises et autre joyeusetés ! Ce fut le début d’une longue route faites en stop, en bus à dormir dans des motels pourris au bord de l’autoroute ! Un coup dur pour quelqu’un d’habituer au confort. C’est sans doute à cause de ce voyage qu’il déteste au plus au point les transports en commun. N’ayant pas de but précis, ni rien d’urgent il traina un peu lors de son voyage… Quelques nuits ici, ou là, dans cette grandes villes ou celle là. Une fois arrivé à destination, Peter eut du mal au début à s’en sortir ; lui qui vomissait les tâches ingrates se retrouva à retourner des cheeseburger, à garer des voitures et tant d’autres métiers fatiguants. En effet, notre raclure était au pied du mur, personne pour lui filer un coup de main… C’était nouveau pour lui, en bon enfant pourri gâté. La première année a été un véritable cauchemar pour lui, il prit conscience du salop qu’il était, et que des fois, ça n’était pas pratique. Pour plus d’aisance dans la vie quotidienne et obtenir plus facilement ce qu’il désirait, Pete’ développa une espèce de deuxième personnalité, complètement factice mais plus apprécié en général ; de l’hypocrisie à l’état pur. Si bien que des fois les deux masques se mêlent et impossible de savoir où est la vraie personnalité de Peter, lui-même doit s’y perdre des fois.

Entre temps, notre nouveau new-yorkais c’est acclimaté à cette ville ; il c’est démerdé pour quitter les fast-foods en trouvant un boulot de chauffeur-livreur. C’est sûr que ce n’est pas encore la gloire, mais c’est toujours mieux qu’avant ; au moins il a la paix. Maintenant sa vie est partagé entre sa voiture ou il passe le plus clair de son temps à livrer diverses choses et les folles soirées new-yorkaises à taper dans la C... Un pauvre type en somme.

my little secret

★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Ry 19 y.o
★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Top site
★Ce personnage est-il un double compte ? → Non
★Présence sur le forum → 3/7
★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé

Mon exemple de RolePlay:

Le code règlement:

Bienvenue ici Jude
Si tu as des questions n'hésite surtout pas & bon courage pour ta fiche
Par contre on évite les doublons de pseudos et vu qu'il y a déjà un Jude il faudra changer de prénom désolée :$.

Bonne année à toi

Bienvenue parmi nous
Si tu as besoin n'hésite pas

& bonne année 2012

Merci : ) à vous aussi bonne année 2012 : D ! J'ai changé le prénom, c'est bon comme ça ? ( et désolé pour le cafouillis avec l'image sur la présentation, je n'arrive pas à en trouver une à la bonne taille lol. )

C'est nickel

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Danny Romallotti Je t'aime

J'ai toujours eut envie de le jouer mais je change d'avatar tous les jours, il manque de photo pour ça 3615 mylife Je compte sur toi pour me réserver un petit lien