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CHAPITRE UN ♕ Une adolescence parfaite ?

Tout a commencé il y a quelques année, tout d’abord la rencontre des parents de Lorenzo, qui avaient tout deux une vingtaine d’année dans ce temps-là. Aujourd’hui, ils sont encore mariés. Lorenzo vient d’une très grande famille italienne avec qui il s’entend parfaitement bien. Notamment deux petit frères et une sœur un peu plus jeune que lui. Il la protège le mieux qu’il peut, même s’il ne sait pas tout à son sujet. Bref, Livià et Célio ce sont rencontré à Rome en Italie. Tout deux des italiens. Ils ne voyaient plus leur vie l’un loin de l’autre, ils ont donc finit par s’installer ensemble et même par se marier. La belle-vie est au rendez-vous. Ils ne pouvaient plus se séparer à présent c’était pour la vie. Lorenzo est venue au monde lorsque sa mère n’avait que vingt-cinq ans, âge normal pour une grossesse à vrai dire. « Tu veux l’appeler comment ? » « Je ne sais pas. » « Tu pourrais y mettre du tiens tout de même, c’est ton fils. » Pendant la grossesse de Livià, le jeune couple n’arrêtaient pas de se disputer pour rien. Surtout pour la recherche du prénom de cet enfant, ils n’étaient jamais d’accord. « Pourquoi pas Lorenzo ? » « Oh … oui. C’est joli. » Heureusement que la belle-sœur était là pour aider ses nouveau parents. Finalement, ayant tout les deux craquer pour ce prénom, ils décident de l’appeler ainsi. Et c’est quelques mois après que ce beau bébé montra le bout de son nez dans l’hôpital de Rome. Lorenzo eut alors la belle vie durant ses plus jeunes années toujours gâtée de tout le monde, chouchouter, aimer par sa famille. Que ce soit cousin, cousine, tonte, tante etc. C’était tout le temps la même chose. A ses deux ans, un nouveau bambin arrive dans la famille, un petit garçon. Une année après encore un autre. Et deux ans ensuite, une petite sœur. Et oui, dans ce temps-là, ils étaient chaud les Loris. C’est peut-être pour ça que le beau Lorenzo est un mauvais garçon avec les filles. Durant son adolescence, à peine quinze ans qu’il connaissait déjà le mot « sexe ». Cette fille n’était pourtant sans importance, juste un envie d’essayer avant de faire un approche envers une fille sur qui il avait l’œil depuis quelque mois. Il faut s’entraîner avant de jouer sur le terrain. C’est ce que son père lui disait tout le temps. Il en est extrêmement proche de son père. C’est pour ça qu’il suit tout ses conseils à la lettre, son père est certainement la personne qu’il respecte le plus dans se monde. Après tout, c’est normal. Lorenzo n’a jamais vu un rebelle jouer le malin devant son aîné. Lorenzo travaille très bien à l’école, malgré les apparences. Il a toujours était le petit garçon qu’on punissait parce qu’il bavarder, parce qu’il lançait des choses dans la classe enfin ce genre de truc. Ceci dit, il a toujours bien travailler, toujours eu des bonnes notes malgré ça. C’est surtout pour ça que les professeurs ne disaient rien, la plupart du temps en tout cas. Il savait que son avenir était le plus important. On peut faire le bordel tout en travaillant parfaitement bien. Alors, les années passaient et il changeait de personnalité. Un autre Lorenzo. Enfin … presque.

CHAPITRE DEUX ♕ Il est temps de grandir.

Et oui, jusqu’à ses dix-huit ans, Lorenzo a eu la vie tranquille. Pas d’embrouille avec la police, aucun soucis de ce côté-là. Ou alors, il s’y prend très bien pour ne pas se faire découvrir. Tout le monde fait des erreurs dans la vie, c’est certain, mais jusqu’ici il n’a jamais fait un faux pas. Les choses changent au fur et à mesure du temps. Tout d’abord, il finit par quitter Rome pour se rendre à New-York dans le but d’étudier dans le sport. Il n’obtient pas son diplôme car évidemment monsieur n’en fait qu’à sa tête. Il n’allait plus en cours, il ne venait que pour les examens (autant savoir qu’il les as quasiment tous ratés), il repartait souvent pour Rome. Tout un tas de petite chose comme ça. Mais, il y a un tas de chose que vous ne savez pas encore. A New-York dans cet école, il y a fait la rencontre de Liberty Nora Parker. Cette jolie blonde, attachante, jolie et tout ce que vous voulez. C’est à partir de là que sa vie prend le large. Avec elle, c’est l’amour fou à un tel point que leur couple ne pouvait pas continuer. Au départ, ils n’étaient que de simple amies avec qui les journées devenaient de plus en plus fantastique, si vous voyez ce que je veux dire. Elle a finit par être … comment dire, un sorte de « plan cul ». Seulement, au fil du temps Lorenzo s’est attacher à cette perle, il en est tombé amoureux. « Je veux être avec toi et pour longtemps. Liberty, je t’aime. » lui avait-il dit. C’était certain, personne ne pouvait l’aimer plus que lui. « Lorenzo, je … je suis maman. » Oui, Lorenzo vient tout juste de découvrir qu’elle avait une petite fille de quatre ans. Alors du coup, il a quand même culpabilisé jusqu’à ce qu’elle lui raconte son histoire. Le père est partie comme un lâche, c’était un drogué … Lorenzo a accepter la petite fille, il ne pouvait pas la renier, elle est si craquante ! Leur couple était tout beau tout rose, ça faisait tellement longtemps qu’ils étaient ensemble. Mais que voulez-vous, parfois on fait quelque faux pas. Lorenzo quitte New-York pour rejoindre Rome et malheureusement sous l’emprise de l’alcool (même si ce n’est pas une raison) il a coucher avec une autre fille. Il n’avait pas donner de nouvelle à sa femme, pas un appel ou quoi que ce soit. Il n’est jamais revenue. « Tu devrais retourner à New-York, ta femme t’attend. » « Je sais, je ne sais pas quoi faire. Elle ne voudra plus de moi. » Il n’a pas arrêter de se lamenter sur son sort, il s’en voulait terriblement de ce qu’il avait fait. Partir sans même lui dire pourquoi, ne jamais l’appeler et en plus de ça, la tromper. Chose horrible, Lorenzo avait peur de ce qu’il était en train de devenir. Finalement il est revenu, Liberty avait quelqu’un d’autre. Malgré tout, il a quand même fait le nécessaire pour la récupérer et elle ne lui as jamais pardonné le fait qu’il l’avait trompé (car oui, Lorenzo est franche et il lui as avoué sa bêtise). Et donc, au bout d’un certain temps, quand le couple s’entendaient un peu mieux, Lorenzo c’est lancé pour lui demander sa main et Liberty à dit oui. Elena est la fille la plus heureuse, elle l’appelle-même papa. Ceci dit, c’est une chose que Lorenzo a du mal à accepter, car il a bon cœur. Il n’aimerait pas que son enfant (qu’il aurait abandonner) appelle son beau-père « papa ». Je trouve que ça ne se fait pas. Lorenzo lui a même fait comprendre et elle n’a pas bronché la petite. Liberty tombe enceinte, après ça, par accident. Elle l’avoue à Lorenzo et ce dernier est le plus heureux du monde. Seulement, c’est à partir de cette grossesse que tout bascula. Lorenzo apprend qu’elle a été accouché par son ex-fiancé. Il tape une crise de jalousie et leur couple est finit. Mathéo né dans les bras d’un homme qu’il n’aime pas vraiment, voir même pas du tout. Liberty et Lorenzo, une histoire qui se termina rapidement. Il y en a un qui doit vraiment être content.

Lorenzo a quitter New-York pour rejoindre son pays, l’Italie. Là-bas, il y fait pleins de rencontre tout en gardant contact avec son ex-femme. La mère de Mathéo. Il voit ses enfants très rarement, suite à la garde que Liberty a eut. Tout les quinze jours en comptant les jours de fêtes et les vacances. Liberty n’avait pas accepter que Lorenzo soit loin d’elle, dans le simple fait qu’elle ne pourrait pas voir ses enfants comme elle le voudrait. Bref, entre temps, Lorenzo a passé une formation pour devenir policier. Sa vie pourrait redevenir parfaitement seine. Il est accepté et entre dans la police ! Aujourd’hui, Lorenzo à la garde de ses enfants pour les jour de fêtes. Et il va annoncer à son ex-femme qu’il revient vivre ici, à New-York. Et peut-être même pour essayer de la reconquérir, car après tout, il l’a toujours aimé. En restant en contact avec certaine personne, il a même pu trouver un travail en tant que policier ici-même. Pour l’appartement, c’est autre chose.

Plus un.
Double compte de Linaya avec la permission de Maya

Re merci

Meeerci Dylan

Merci à tous

Merci à tous

bienvenue à ny

Merci à touuuuuuus

Daviiiiiiiiiiiiiiiiiiiide t'es revenu en force avec David

Oui, en effet. C'est ce que je vois (a). Merci Liberty. C'est partie, je commence mon histoire