→ Un parc vide, un jardin vide, les bords du lac vide ? Non ! Des cheveux longs, des cheveux rouges, un jeune homme assis dans l’herbe prés du lac… Hyde n’avait pas cours ou il n’avait aucune envie d’aller en histoire de la magie pour 2 heures… Il s’était donc fait porter pale et pour le cours il trouverait bien quelqu’un… Après le cours de potion, l’excentrique était allé se changer… S’habiller autrement que cet uniforme. Cet uniforme qui le fait paraitre si… Si normal… Si terne… il tronqua donc l’uniforme contre un pantalon jaune, Dr Martens rouge, un gros pull rouge, une écharpe et un bonnet noir et jaune… Un choc pour tous ceux qu’il croisait dans les couloirs surtout les premières années… il était accoutré a sa façon et appuyer contre un arbre laissant aller ou bon lui semblait son esprit, ses coups de crayon… Ses yeux en forme d’amande se levaient parfois de la feuille pour se plonger dans la beauté d’un paysage qui lui faisait face… En ce jour d’automne où un léger brouillard tombait sur le lac, où les arbres étaient presque nus, on ne voyait que les silhouettes des montagnes se dessinaient au long. C’était ce qu’il avait dessiné en premier en arrivant ici... Un dessin simple mais qui suivant les personne dégageait des sentiments différents… Puis il crayonnait un dessin qu’il avait fait étant petit, que d’après la psychologue de l’époque celui révélait le vrai mal-être de l’enfant… Un récif au bord d’un quel était assis un jeune garçon guitare à la main, il jouait sur la plage d’autre enfant jouait… Maintenant il crayonnait autre dessin : une plage, des gens, de la musique et des rires… Un peu de bonheur et d'amusement dans ce monde brute ou tout les hommes se haïssait et sa faisait la guerre

Le froid mordant commençait peu à peu a gelé le petit métis bien qu’il soit couvert mais il ne voulait pas rentrer il était tellement bien ici, seul… Ses longs cheveux rouge voltigeaient au vents, il aurait peu encore resté des heures ainsi mais quelque choses changea tout la donne… Hyde venait d’éternuer, le métis avait horreur d’être malade… Il rangea son carnet dans son sac, attrapa sa guitare qu’il avait pris mais s’il n’en avait pas joué et partis en direction du château… Un dernier regard vers son endroit favoris et il poussa la porte… D’un seul coup la chaleur lui tomba dessus, non pas qu’il faisait très chaud mais quand même… Dans le château, un bruit assourdissant : des voix, des pas, des rire : le remue ménage des changements de classe avait lieu… Le métis pris alors conscience qu’il venait de passer deux heures dehors … Dehors ou le silence hivernal commençait déjà à s’installer doucement en ce mois d’octobre… Le petit savait qu’il lui restait encore une petite heure de cours mais a quoi bon y aller : il était malade, non ? Et puis il n’était pas en uniforme… Et puis… Et puis … Hyde trouvait toujours de bonne excuse… quoi que maintenant il était bel et bien malade. Il n’avait donc pas mentis, ou du moins il ne mentait plus… Le jeune excentrique se promis de passer voir Madame Pomfrey au risque de se faire incendier par celle-ci… il imaginait bien la scène : lui assis ou allonger sur un lit de l’infirmière avec l’infirmier a ses côté murmurant « sortir par ce temps… sortir pas ce temps…inconscient… Vous ne sortirez que j’en aurais décidé… tenez buvez ça »… Oui il imaginait très bien la scène, scène qui le fit sourire, le dragon de l’infirmerie – c’est ainsi qu’il la surnommait- le faisait sourire, il y était passé plus d’une fois… Pour le moment, il allait juste prendre un cachet moldu qui devrait surement faire l’affaire

Il se faufila en sens inverse de la vague étudiante qui allait en cours… Petit, et maigre il était souvent emporte par celle-ci, lutant presque pour tenir sa tête hors de l’eau… Pourtant il ne passait pas inaperçus et notamment auprès de ses camarade de sixième année qui le savait soit disant malade … Il arriva enfin à la salle commune des jaune et noir... Le petit laissa choir sur son lit son bonnet et ses gants mais garda son écharpe… Hyde se laissa tomber sur son lit, restant un petit moment allonger, écoutant les va et viens dans la salle commune des gens qui avait finis leur matinée… Après quelque minute, il se releva... Ou aller pour tuer le temps qui lui restait avant de manger ? Ou aller ? Que faire ? Hyde avait bien une petite idée : trouver quelqu’un à amuser ou à choquer… Etre lui-même !!! Trouver un compagnon de jeu...La tour, peut-être… Il attrapa à nouveau son sac et sa guitare et sa guitare parant à la conquête d’un nouveau jeu ou jouet…

Un nouveau regard dans les couloirs vides et silencieux cette fois-ci… Seul ses Dr Martens résonnaient dans le couloir, ceux qui n’avait pas cour préférais la chaleur de la salle commune plus que la froideur des couloirs. Dehors le brouillard s’était levé et un soleil réchauffait peu à peu Hogwart… Mais il n’y avait plus personne. Tout était vide, vide comme le manoir dans le quel y aller rentrer pendant les vacances, vide… Déçus de ne pas trouver de compagnon de jeu. Il continua son excursion dans le château ponctué de petite pose pour se moucher… N’abonnant pas, il continua de marcher dans les couloirs… Alors qu’il arrivait au quatrième étage, il parcourra le couloir quand une voix basse s’éleva d’un coin sombre de l’étage… La phrase qui avait entendus état d’une beauté… Cherchant des yeux qui l’avait dit personne… Un léger soupire s’échappa de ses lèvres, les murs parlent… A cette pensé Hyde sourire, c’était drôle pas au fond pourquoi pas, ça serais pas mal

Lorsque dans un recoin sombre du couloir il aperçut une touffe de cheveux qu’il connait bien, un artiste tout comme lui… quelqu’un qu’il appréciait réellement… Le métis le regarda un instant, les yeux fermé, la tête appuyée contre le mur. L’avait-il entendus arriver ou pas… Le jeune excentrique qui comme à son habitude ne pouvait pas se contenter de simple salutation… Il se glissa silencieusement devant le jeune homme, déposant ses mains de chaque côté de James au sol… Et lui murmura à l’oreille

-Alors on sèche les cours ??

Se doutant bien de la réaction de son ami il se recula légèrement pour cette fois-ci être nez à nez avec son amis et le fixa avec un grand sourire, des yeux pétillant de malice N’import qui serait passé par là, aurait peu dire des conclusions hâtive et fausse ou encore mal placer… La pile électrique sur patte changea encore de position pour s’assoir devant le jeune artiste …

-Dit c’est toi qui a parler ? Ou c’est peut-être les murs ?... Nan j’ai trouvé je suis Jeanne D’arc, j’entends des voix !!!

Son sourire victorieux était celui d'un enfant heureux d'avoir trouver une réponse, même si elle était fausse.

→Yankees Rock.