FEAT. Amber Heard

Olivia Rachael Carlton

23 ans → Né(e) à Chicago le 17/05/1988 → Étudie en littérature
célibataire → hétérosexuelle → membre des populars.

And who am i ?

★Quels sont tes caractéristiques?
→ Comment me décrire? Comment vous exprimer l'intensité de mon regard de glace si vous ne l'avez pas encore croisé? Mes yeux, que j'ai appris a ne pas laisser parler, mais qui savent pourtant si bien se réchauffer et s'exprimer. Mes yeux qui savent pourtant, dans certaines circonstances dirent beaucoup plus de chose. que ne serait capable de formuler ma voix. Cette bouche pleine et subtile a la fois, qui semble appeler les baisers et qui parait si parfaite pour les donner. Pourtant, je n'ai jamais eu la chance d'embrasser un homme, a part une bise sur les joues de mes parents comme chaque enfant donne a ses parents, mais rien d'un baiser aussi intense que l'on voit dans les plus romantiques films d'amour.
L'ovale de mon visage ne peut que mettre en valeur ma longue chevelure blonde. Mes cheveux qui tombent en cascade le long de mon dos en des boucles souples et naturelles. Un vent léger vient chasser une mèches du creux de ma nuque, caressant mes épaules a l'apparence si frêles et faisant légèrement frissonner ma peau. Ma main remontant lentement pour faire passer cette mèche derriere mon oreille. Mon regard ne se détournant pas pour autant de mon interlocuteur. C'est une main aux doigts longs, fins et soignés qui replace l'objet du délit.
En descendant les yeux le longs de mon corps, vers le décolleté de ma tenue, mes seins ronds et fermes apparaissent alors au regard de mon interlocuteur. Les prunelles de l'homme descendent lentement vers le long de mes jambes. Commençant doucement par mes chevilles, remontant un peu plus haut sur mes mollets et poursuivant son exploration au dessus des genoux, pour poser le regard sur mes cuisses, fines, musclées et puissantes. L'interlocuteur a la meme opinion que vous qui lisez ses lignes : mes longues jambes sont faites pour aimer et être aimer. Pour enserrer les hanches de mon amant, tandis que mes longues mains se chargeront de couvrir de caresses le corps somptueux de mon apollon.
Et que dire de ma fragrance, pas besoin de parfum avec moi. Ce genre d'artifices, je le réserve uniquement pour les grands évènements. Au fil du temps, j'ai prit conscience que l'odeur brute de la peau est bien plus envoutante que l'ensemble de ses parfums chimiques qui rendent les femmes si superficielles. Pas besoin non plus d' un maquillage trop présent, juste une touche calculée de couleur pour rehausser mon teint, la couleur de mes yeux ou mettre en valeur ma bouche.

★Quel est le caractère de ton personnage?
→ Il n'est pas simple de décrire la jeune fille car elle est très changeante. Mais vous serez d'accord pour dire que c'est une fille mystérieuse. Elle ne laisse voir ses sentiments et ne les partage pas à grand monde. Elle ne fait confiance qu'à ses amis les plus proches et ils sont très rares. Il lui arrive cependant de craquer plusieurs fois, de laisser sortir ses émotions, ou même de pleurer sans aucune raison. Elle peut se montrer très sensible à certains moments. Et puis il y a l'autre Olivia qui ne demande qu'à s'amuser, qu'à faire la fête et à rencontrer du monde, bien que celle ci soit moins présente, elle reste amusante, pleine de vie, drôle et amicale. A vous de savoir faire avec et d'être courageux pour supporter ses sauts d'humeurs. Mais n'oublions pas que Olivia est une amie formidable, toujours présente dans les bons comme dans les mauvais moments. Elle sera vous épauler si quelque chose va mal. Elle vous suivra dans vos plus fous désirs, même si elle doit se retrouver au poste le lendemain... Ainsi, ce n'est donc pas bien étonnant de voir un large sourire marqué le visage pale de la jeune fille, néanmoins, ne vous fiez pas aux apparences, elle peut se montrer très caractérielle si ça la chante car elle est quelqu'un qui se laisse difficilement marcher sur les pieds. Parfois quelque peu vexante, elle peut se montrer comme une vrai peste avec ceux qu'elle a du mal à affectionner dirons nous ! Olivia est une fille pas comme les autres c'est vrai,mais il n'empêche que c'est bien ce que l'on aime chez elle,mise à part ses quelques défauts mais tout le monde en a,personne n'est parfait,hein?! Olivia est quelqu'un qui n'est pas du tout timide et ca se voit,elle est même assez fofolle pour le montrer et même si il s'agit d'un nouveau timide à qui elle parle elle le fera sans doute passer sa timidité en le faisant parler car déjà elle n'est jamais seule et elle ne reste jamais seule car si elle voit quelqu'un et qu'importe qui,elle s'approchera et commencera à parler avec cette personne mais il faut que lui aussi sache parler car il faut dire qu'aussi la blondinette ne s'affirme pas assez ce qui fait d'elle son premier plus gros défaut d'entre tous. La miss, au fil du temps, est devenu aussi très sûre d'elle, (sans toutefois sembler hautaine) elle sait ce qu'elle fait ce qu'elle doit faire ce qu'elle dit et tous ce genres de choses,elle est vraiment très sûre d'elle en ne doutant d'absolument rien en elle,même si parfois il faut le dire elle est très gaffeuse de première catégorie chaque pas ou chaque chose qu'elle fera ou dira sera une gaffe de sa part ce qui est un autre défaut pour elle. Elle est aussi très rancunière,si vous faites ou dites quelque chose qui ne lui plaît pas ou autres elle vous en voudra pour toujours et ne vous pardonnera sans doute jamais.Elle se fiche aussi que quelqu'un soit riche ou pas à vraie dire elle s'en fiche complètement ce qui est bien chez elle .Et il faut dire aussi qu'elle n'a pas sa langue dans sa poche même si elle sait garder un secret !Elle est le genre de fille qui n'a pas peur du noir et qui n'a pas froid aux yeux mais ca dépend les situations bien sûr.

Well... It's my story...

Je suis né le 17 mai 1988 dans un quartier tranquille de Chigago. Ma mère biologique, une russe qui a quitter son pays pour accoucher d'un enfant batard. Elle m'a donner en adoption a ma naissance, surement qu'elle ne se sentait pas apte a s'occuper d'un bébé et qu'elle est reparti en Russie. Alors, on me trouva une famille, différente, pas tres riche, mais qui désirait un enfant plus que tout. Seulement, mes parents n'avaient pas la possibilité de s'offrir une villa à la hauteur de leur espérance: ils étaient bien obligés de faire avec les moyens du bord. La pauvreté aurait pu me jouer un vilain tour mais dans mon malheur, j'ai eu de la chance: une étoile veillait alors sur moi. Loin du luxe, mon père et ma mère ont trouvé un argument bien plus convaincant que l'argent pour me prouver leur amour: ils se sont contentés de me couvrir de tendresse. Après tout, ne dit-on pas que le bonheur n'a pas de prix?

Ayant rarement l'opportunité de sourire à la vie, mes parents me voient comme le petit rayon de soleil qui illumine leur quotidien. Je leur permets de croire en un avenir plus radieux loin des galères qu'ils ont toujours connus: serait-ce un heureux présage? Toujours est-il que je suis choyé comme une princesse: difficile d'imaginer tous les drames que j'aurais pu connaitre autrement. Pourtant, les années passent et alors que je prononce mes premiers mots, je vois également le monde extérieur sous un nouvel angle. Le gong a retenti, je suis désormais en âge de rejoindre l'école. En règle générale, c'est un moment particulier à vivre aussi bien pour les parents que pour les enfants mais dans mon cas personnel, cette journée va surtout ressembler à celle de tous les dangers. Brusquement, je sors de ce cocon que mon père et ma mère m'avaient confectionné soigneusement, je quitte cet appartement qui était jusqu'à présent mon seul et unique refuge. La prudence devrait me rendre anxieuse mais c'est ma curiosité qui prend le dessus et je n'ai alors qu'une seule hâte: c'est de ne plus être coincé entre quatre murs. Entre joie et peur, mes parents ont rapidement tranché dans le vif...

L'école me permet de ne pas perdre pied: je me retrouve dans un autre univers en étant entouré par mes camarades de jeux. Mon enfance rime alors avec insouciance. Petit à petit, je deviens distante avec mes parents, je ne suis pas encore assez mature pour appréhender au mieux les situations auxquelles je serai confronté mais je suis consciente que mes parents me mentent: je ne suis pas né de la dernière pluie. Je me renferme tout doucement sur moi-même et mon caractère prend de l'ampleur: je m'affirme sous un autre jour. Je prends un malin plaisir à défier l'autorité parentale laissant de côté cette sagesse qui me rendait si mignonne. Que m'arrive t-il? Ce que je ne sais pas encore, c'est qu'à force de jouer avec le feu, on finit par se brûler.

Arrivé à l'adolescence, ma vie n'a finalement pas trop changé. Je suis toujours un peu distante de ma famille et je poursuis mes études bien que les cours commencent à me lasser. J'ai gardé mon âme de solitaire même si j'ai quelques amis dans mon entourage. Ma grande passion, c'est la littérature: il faut dire qu'à force de trouver le temps long dans mon appartement, il a bien fallu que je me trouve une occupation. Le printemps dévoile alors ses plus belles couleurs. La fin de l'année approche et je me laisse tenter par une petite fête qu'organise un ami proche. L'alcool coule à flot et l'ambiance est démentielle: difficile de ne pas faire certains excès dans ces conditions. La soirée se déroule sous les meilleurs auspices: on danse, on chante, on délire et chacun en profite pour oublier ses propres soucis. Autant dire qu'au petit matin, il est difficile de mettre un pied devant l'autre. Cependant, ayant gardé un brin de lucidité, je demande à un proche de me raccompagner: je sais qu'il est venu en voiture et je lui accorde assez de confiance pour être sûr qu'il n'a donc pas abusé de l'alcool. Après m'avoir déposé juste devant mon immeuble, je lui donne l'ordre de repartir: malgré mon état, je me sens capable d'aller seul jusqu'à mon appartement et je préfère lui éviter quelques problèmes que les voyous qui trainaient dans les couloirs de mon immeuble. Tout semble alors se dérouler comme sur des roulettes. Peut-être était-ce trop beau pour être vrai...

Alors que je m'apprête à monter dans l’ascenseur, je suis interpellé par deux voyous qui ont pris l'habitude de traîner dans le hall d'entrée. Je les connais parfaitement puisque tous les matins je les croise en évitant cependant de fixer leur regard. Sans gêne, ils n'hésitent pas à insulter les locataires qui ne leur donnent pas ce qu'ils veulent: à plusieurs reprises, ma mère a subi le même sort. Ils ne respectent rien et savent qu'ils sont les seuls à faire la loi dans le quartier. Votre seul choix est de ne pas prêter attention à ce qu'ils disent: du moment que vous ne les défiez pas, vous éviterez leurs représailles. Comme toujours, je ne prononce pas un seul mot tandis qu'ils semblent se moquer de l'état dans lequel je suis. Je sais parfaitement que je dois me taire et contenir ma colère mais blessé par une remarque dirigée contre ma mère, je commets alors l'erreur fatale. L'alcool aidant, je frappe l'un des deux voyous avant de filer à l'anglaise. J'arrive à mon appartement tout en vérifiant si je n'ai pas été suivi puis je referme la porte derrière moi en prenant soin d'être la plus discrète possible. Poussant un long soupir, je réalise déjà que ce coup de sang va me valoir cher. Pourtant, je ne sais pas encore à quel point je vais regretter ce geste malheureux par la suite...

Durant les jours qui suivent, c'est la peur au ventre que je sors de l'appartement. Chaque fois que je pose ma main sur la poignée de la porte, je sens que mon coeur est sur le point d'exploser. Ma plus grande crainte est de mettre la vie des mes parents en danger: en voulant joueur a la plus maligne, je suis consciente d'avoir mis le feu aux poudres. Désormais, je suis prise dans un engrenage et rien de ce que je pourrais faire ne serait en mesure de changer cette situation. Cependant, je ne suis pas au bout de mes surprises...

Alors que mon esprit invente des scénarios invraisemblables qui me filent la chair de poule, je constate que la réalité est bien plus paisible que je ne me l'étais imaginée. Interloqué pour ne pas dire médusé, je traverse ma rue comme si de rien n'était: non seulement les bandes m'ignorent mais personne ne semble vouloir se frotter à moi. Les semaines passent et je suis bien obligé de me rendre à l'évidence: mon inquiétude avait sans doute pris une ampleur disproportionnée dans la mesure où ce n'est pas un simple coup de poing qui pouvait déclencher une guérilla urbaine. Ainsi, c'est le coeur un peu plus léger que je reprends petit à petit le cours de mon existence. Je réussis mon année scolaire avec brio ce qui me permet alors de profiter pleinement des vacances d'été. Je m'amuse tellement que je finis par totalement oublier cette histoire qui m'avait pourtant tellement bouleversée. J'oublie sans doute un peu vite que la vengeance est un plat qui se mange froid...

Un soir, je décide de rendre une petite visite à mes parents. Cela fait un petit moment que je ne les ai plus revus: je découche chez des amis qui m'offrent leur hospitalité. Tout en arrivant dans mon quartier, je vogue au gré de mes pensées et je me rends compte que je vis sans doute la plus belle période de ma courte existence: il n'en faut pas plus pour me faire sourire. Mais alors que je suis perché sur mon petit nuage, quelques sirènes de police me font vite redescendre sur terre. D'abord incrédule, je tressallis en comprenant qu'elles proviennent de ma rue: dans une zone aussi sensible, les flics ne se déplacent que si un crime vient d'être commis. Etrangement, je suis tout de suite envahi par un mauvais pressentiment mais je prie de toutes mes forces pour que mon intuition fasse fausse route. Puis le couperet tombe et je constate avec effroi que la police se trouve juste devant mon immeuble. Je suis à deux doigts de fondre en larmes mais je dois en avoir le coeur net: je prends mon courage à deux mains et je pique un sprint pour monter les escaliers en quatrième vitesse. En une fraction de seconde, je bascule alors dans l'horreur: à l'instant même où j'arrive devant mon appartement, j'aperçois une civière sur laquelle un mort semble être allongé. La douleur est trop forte et je m'agenouille par terre: je suis totalement perdu et anéanti.

La confusion règne si bien que durant de nombreuses minutes, personne ne remarque ma présence. Vu l'état dans lequel je me retrouve, cela m'arrange plus ou moins: j'aimerais creuser un trou et que quelqu'un m'y enterre à tout jamais. Finalement, un jeune homme m'aperçoit et il tente de me questionner: je reste sans voix. Je sens que tout le monde s'agite autour de moi mais je demeure inerte comme si mon corps avait soudainement été privé de son âme. On finit par me relever et je me laisse guider pour éviter la chute: je suis vidé de toutes mes forces. Mon état suscite quelques inquiétudes et je suis donc conduit à l'hôpital le plus proche où je passe toute une batterie d'examens: " simple choc émotionnel " concluront les médecins...

Dès le lendemain, je suis pris en charge par la police locale. Vu la gentillesse dont on fait preuve à mon égard, je sais qu'ils sont parvenus à m'identifier et j'attends patiemment qu'on me dévoile enfin la vérité. Un commissaire m'expose alors les faits et je l'écoute attentivement tout en ayant la gorge serrée et le coeur meurtri: mes parents ont été retrouvés morts dans l'appartement après que des voisins aient alerté la police. Selon les premiers éléments de l'enquête, il s'agirait d'un cambriolage qui aurait mal tourné. Si j'en avais le courage, cette réflexion me pousserait à devenir ironique mais mon moral est au plus bas et je préfère garder le silence. Après avoir rempli quelques formalités, je quitte l'établissement en refusant catégoriquement le soutien que la police souhaitait m'accorder. Avec mon expérience, je sais pertinemment que ce dossier va être classé: savoir la vérité qui se cache derrière cette affaire est le cadet de leur soucis. De toute manière, qui pourrait se soucier de la mort de deux illustres inconnus?

Démoli mentalement, je sombre aussitôt dans la drogue: c'est alors le seul remède que j'ai trouvé pour combattre ma peine. Ma vie devient plus pathétique que jamais: errant dans les rues de Chigago, je me contente de faire la tournée des bars ce qui renforce implicitement ma solitude. Mais très vite, la situation s'envenime: mon coeur est submergé par les émotions négatives. J'éprouve le besoin de soulager mon chagrin mais également d'expulser cette haine et cette colère qui me mettent dans des états secondaires. Je ne cherche plus à respecter un certain code d'honneur car je sais désormais qu'à ce rythme, je vais droit dans le mur: c'est inévitable. Je suis devenu méconnaissable à tel point que j'ai fini par m'intégrer à une bande: aussi incroyable que cela puisse paraître, j'ai cotoyé ces même individus que je méprisais au plus haut point il y a encore quelques mois. Je me drogue et je bascule dans le sexe et la violence: rien ne semble pouvoir arrêter ma chute vertigineuse vers les flammes de l'enfer. Qui tendrait sa main pour sauver une fille perdue, détruite au mortier?

A plusieurs reprises, quelques proches ont tenté leur chance sans le moindre succès. Je les ai perdus les uns après les autres sans éprouver le moindre remord. Je ne me doutais pas que dans mon propre entourage, un ami serait assez stupide pour mettre sa vie en danger dans le simple but de me sauver. Pourtant, celui-ci n'a jamais lâché l'affaire et il a fini par remporter la mise: il m'a sorti la tête de l'eau avant que je ne quitte le commun des mortels. Je n'ai jamais su la quantité d'efforts qu'il avait deployé mais je réalise aujourd'hui que je lui dois la vie. Par ailleurs, c'est au travers de cette aventure que j'ai compris qu'une amitié forte et sincère n'avait aucune limite...

Invité à rejoindre un centre de désintoxication, il me faut alors quelques mois pour entrevoir le bout du tunnel. Je sais que le chemin sera long et parsemé d'embûches mais j'ai retrouvé l'envie de lutter pour aller de l'avant. J'en profite pour faire un point sur ma vie et j'analyse mes erreurs pour en tirer de précieuses leçons. La mort de mes parents est toujours complexe à accepter mais je veux que cette épreuve me serve désormais de tremplin pour l'avenir: je ne peux plus me permettre de jouer la carte de l'auto-destruction. J'en déduis que la seule façon de m'en sortir est donc de prendre un nouveau départ dans mon existence pour faire table rase du passé. Après être sorti de l'établissement, je confie mes projets à mon ami de coeur et avec son accord, je décide de quitter Chigago à tout jamais...

C'est ainsi que je débarque à New-York des projets plein la tête. Je me dois de trouver une certaine stabilité mais j'ai le moral gonflé à bloc et je me sens prête à relever de nombreux défis. Sans attendre une seconde, je m'active pour reprendre mes études: la littérature me tend les bras et c'est une occasion en or que je ne risque pas de laisser passer. Les débuts sont difficiles mais je me suis forgé un caractère en acier trempé: plus rien ne paraît en mesure de me résister.

my little secret

★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Nadi' , 18 ans
★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → un membre
★Ce personnage est-il un double compte ? → non
★Présence sur le forum → tous les jours je pense
★Personnage inventé ou scénario ? → inventé

Mon exemple de RolePlay:

Le code règlement:

Comme parler avec une admin j'aimerais prendre Amber Heard en vava, et comme celle qui l'a ne vient plus j'attendrai lorsque son compte sera supprimer pour la prendre, si c'est possible ^^

Bienvenue & bonne chance pour ta fiche

N'hésites pas si tu as besoin d'aide pour te trouver un avatar

Il faudra par contre changer de pseudo, nous avons déjà une Dylan et on évite les doublons sur le forum (a)

ah d'accord pas de probleme j'avais deux choix de nom ^^

Bienvenue !

Bienvenue parmi nous
Si tu as besoin n'hésite pas

edit ; il y a un problème de codes dans ta fiche, il me semble.

Bienvenue parmi nous

merci

j'aimerais savoir s'il existe un bottin pour les prénoms et noms deja utiliser car comme on me demande de changer Dylane, j'ai pas envie de changer 40 fois le prénom car deja pris ^^

Salut

Pour répondre à ta question, il y a le bottin des avatars qui se trouve ICI

oui ca je sais mais je pensais qu'il y en avait un pour les prénoms et noms comme vous dites de ne pas prendre le meme prénoms que d'autres membres... pas grave, je chercherai
merci

De rien

Mais si je puis me permettre, les noms des personnages sont écrits juste à côté des noms des célébrités

oui c'est bon j'ai chercher ^^ je vais le changer bientot

bienvenue à ny

Bienvenue :mimi:

Bienvenue ici
si tu as des questions n'hésite surtout pas & bon courage pour ta fiche

bonne année à toi

bienvenue sur le forum

Bienvenue ici

bienvenue sur le forum.

Bienvenue parmi nous =D

Ton titre

bienvenue parmi nous

Dylane B. Carlton a écrit:

oui ca je sais mais je pensais qu'il y en avait un pour les prénoms et noms comme vous dites de ne pas prendre le meme prénoms que d'autres membres... pas grave, je chercherai
merci

Sinon au pire tu faisais CTRL+F et tu pouvais rechercher si le prénom était déjà inscrit sur la page par exemple
Bienvenue parmi nous et n'hésites pas si tu as besoin d'aides pour un avatar

Bienvenue & Bonne chance pour ta fiche

merciii

Merci, voila je crois que tout est complet ^^