Sujet: ✎ Une dernière cigarette avant la fin du monde ✎ Dim 22 Jan - 13:55
FEAT. Kevin Flamme
Silver Isis Harringhton
24 ans → Né à New-York le 28/07/1987 → Mannequin (mais il se dit parfois qu'il faudrait qu'il trouve un vrai boulot. En général il replonge la tête sous la couette après cette pensée pleine de bon sens mais sans résonance et n'en sortira que vers 11h) célibataire → hétérosexuel(le) → membre des Playboys.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Physiquement parlant, Silver est un jeune éphèbe sûr de lui et brillant. Grand, brun, athlétique, son visage d'ange en désarme plus d'un (ou une) et il affecte de multiples faciès, à l’image de la multitude de comportements et de facettes de sa personnalité : l'innocence feinte ou le cynisme exacerbé, l’ironie profonde ou la sincérité simulée. Malgré tout, ses lèvres semblent avoir pris le pli de l’ironie à tout jamais, et Silver a bien du mal à le gommer quand il est dans une discussion sérieuse, ce qui n’arrive pas souvent étant donné qu’il a horreur de l’être. Hétérosexuel affirmé, homme à femmes, il se vêt avec soin ce qui fait parfois dire aux gens qu’il est gay. Ce n’est en réalité qu’une habitude prise au tout début de son job de mannequin et qui fait désormais partie de sa vie sans qu’il cherche à la gommer.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Hyperactif depuis tout gamin, Silver est un garçon aux multiples paradoxes. Ainsi, il fait très attention aux autres, mais il se contre-fiche de sa propre santé. Fumeur invétéré, buveur incommensurable, il a horreur qu'on le materne et est un garçon immature quand il doit s'occuper de lui-même. Cynique mais attachant, il est communicatif et ne se départit jamais de son sourire et de son humour que les gens ont parfois du mal à comprendre. Autre paradoxe : il déteste être surexposé mais il est mannequin de temps à autres pour éviter de bosser vraiment, une facette que les gens ont du mal à comprendre. Passionné de fêtes et de soirées, Silver est un jeune homme qui a toujours été habitué à être entouré de ses amis à défauts de l'être par ses parents. Le seul problème, c'est qu'il ne croit pas en l'amour, et a tendance à tourner les histoires d'amour de ses amis en dérision pour ne pas avoir à se rendre véritablement compte qu'il est seul. En bref, Silver est le copain dont toutes les filles rêvent : drôle, beau, sociable. Mais son cynisme et son humour noir forment une carapace que personne ne réussit vraiment à franchir. Ironique en toutes circonstances, il est du genre à ne pas se formaliser s'il se retrouve dans le lit d'une fille qu'il ne connait pas et est du genre à partir avant de lui avoir donné son prénom. Salaud vous dites ? (a)
Well... It's my story...
« Silver, chéri, bouge-toi, fais quelque chose pour une fois ! » Je levai les yeux de ma console et contemplai d’un œil absent ma mère qui soulevait un carton, agacée par mon inaction. « J’ai pas envie. », répondis-je simplement en me replongeant dans le jeu. Ma mère reposa le carton et vint m’arracher la console des mains. « Hé bien il serait bon que tu te forces un peu. Aide-nous bon sang, on irait deux fois plus vite ! », répliqua-t-elle, furieuse. « Justement. Je ne veux pas aller deux fois plus vite, pour la bonne raison que je n’ai pas envie de partir d’ici. », répondis-je, imperturbable, en la fixant de mes yeux noirs. Le téléphone sonna et ma mère alla répondre en étouffant un juron. Pourquoi devais-je partir, alors que j’étais parfaitement heureux à New-York ? Tout ça pour aller vivre dans un trou paumé de l’Ohio où le nombre de vaches et de champs dépassait celui des habitants ! Qu’est-ce qui avait bien pu décider ma mère à suivre ce taré de Richard, monsieur le cadre supérieur qui s’était mis en tête de reprendre une ferme en ruines du jour au lendemain ?! Bon sang, et dire que ma mère avait tenté de me convaincre en disant que ça serait « amusant » ! Ils ne comprenaient pas qu’ils m’arrachaient ma vie en partant d’ici. Ils ne comprendraient jamais. Pendant que ma mère engueulait quelqu’un au bout du fil, je m’esquivai silencieusement, et me faufilai sans bruit en quittant l’appartement. Je dédaignai l’ascenseur et me ruai dans les escaliers, me contrefichant bien d’avoir six étages à dévaler et à remonter. C’était trop important, il fallait que je la vois. Je ne pouvais pas partir sans m’excuser. Je me mis à courir, courir jusqu’à épuisement, pour atteindre, trois rues plus loin, le parc où je la retrouvais chaque jour. Mais il n’y avait personne sur les balançoires.
Personne non plus sur les bancs. Elle était partie. Je m’affalai sur l’un d’eux, impuissant. Athéna devait être là… Elle aurait dû venir, pour qu’enfin je lui explique tout. Que je lui explique que je ne voulais pas déménager et que je ne voulais pas la laisser dans cette situation. Tout-à-coup, une voix raisonna derrière moi, teintée de sarcasmes. « Tu es là ? Je pensais que tu serais parti. » Je me retournai vivement pour découvrir Athéna, belle, blonde, les bras croisés. Elle avait été ma meilleure amie pendant si longtemps, jusqu’à cette nuit où elle et moi avions gâché la plus belle des amitiés au profit d’une histoire d’amour qui ne devait durer que quelques malheureuses semaines. « Athéna ! Je dois te dire… Je reste, d’accord ? Je vais t’aider, je vais trouver un job… », débitai-je d’une seule traite en me levant vivement. Elle écarta mes suppositions d’un geste de la main. « Ce… ce problème n’existe plus. Tout est rentré dans l’ordre. Et de toute façon, comment peux-tu me dire que tu vas rester, arrêter tes études ? Tu me fais pitié Silver, à t’enliser dans tes mensonges sans jamais reconnaître que tu m’as menti. Mais que crois-tu ? Tu n’es pas le seul à mentir. Il n’était pas de toi, vu ? ». Sa voix raisonna, sarcastique. Mes oreilles bourdonnaient et ses dernières paroles se répercutèrent en échos dans mon crâne. « pas de toi…pas de toi…pas de toi… » Je n’aurais jamais cru qu’elle aurait pu me faire plus mal encore. « A présent, tu vas sagement partir avec ta maman où tu veux, et nos vies n’auront plus en commun que les kilomètres qui les séparent. Adieu Silver ». Elle se détourna et quitta le parc sans se retourner. Mon cœur était en lambeaux, j’avais du mal à respirer. Des points noirs s’immisçaient dans mon regard et je ne voyais plus que flou. J’avais mal, tellement mal… Tel un zombie, je franchis à mon tour les grilles du parc, de longues minutes, peut-être même des heures après elle. J’errais sur le trottoir, perdu, fou de douleur. Je traversai la route sans un regard autour de moi. Je ne vis pas la berline noire foncer sur moi. Je ne compris pas non plus pourquoi un bruit sourd explosa autour de moi et qu’une douleur lancinante me perfora le corps, avant que l’obscurité ne referme ses bras sur moi.
✎ ✎ ✎
Que dire de ma vie ? Pas grand-chose. Elle n'est pas intéressante. Disons simplement que je suis né il y a un peu plus de vingt ans dans la belle, la somptueuse, la fiancée de l'Amérique, la Grosse Pomme. Je suis un citadin, j’aime la ville, les buildings, l’air qu’on y respire. J’ai horreur de la campagne. J’ai toujours été comme ça. C’est fou de compter toutes les choses auxquelles on pense, quand on a rien d’autre à faire. Genre le coma. Oui, je suis tombé dans le coma après ce stupide accident. A seulement dix-sept ans (à l’époque), les gens sont d’accord pour dire que c’est moche. J’étais bien d’accord avec eux. Et vous savez quoi ? Athéna n’est pas venue. L’un dans l’autre, je n’étais pas vraiment étonné. Etonné ? Non. Blessé, malheureux, amer, déçu, ça je l’étais. Pendant trois longues semaines, je n’eu rien d’autre à faire que d’écouter les gens parler sur moi. Ma mère, mon connard de beau-père, ma belle-mère, quelques potes. Mon père non plus n’est pas venu. En même, je n’avais pas envie de le voir, que ce soit au sens propre ou figuré du terme, étant donné que je ne pouvais pas bouger d’un millimètre. Vous imaginez un peu la torture, pour un hyperactif comme moi ? J’avais l’impression de mourir toutes les dix minutes, d’ennui et d’inaction. J’avais l’impression de me fondre dans le lit. Laissez-moi vous dire une bonne chose : le type qui a dit que quand on frôlait la mort, on voyait sa vie défiler devant ses yeux, il n’a jamais eu le cœur brisé, il n’a jamais été malheureux au point de ne pas se rendre compte qu’une voiture lui roulait dessus, lui broyant les côtes, l’épaule et la jambe droites et la moitié de la tête au passage.
Le seul avantage, c’est que le déménagement fut retardé. L’inconvénient ? Il était toujours programmé. Même si je mourrai, là, dans ce lit d’hôpital, il aurait eu lieu. Je mis trois longues semaines à me réveiller. Au début, je ne supportais pas de rester aussi immobile, prisonnier à l’intérieur de mon corps. Et puis j’ai eu le temps de penser à ce qu’était ma vie. Pas grand-chose, en fait. La seule chose qu’il fallait que j’oublis, c’était Athéna, et ce qu’elle m’avait infligé ce jour-là. Mais c’était terriblement dur.
Un matin où ma mère était venue me voir, le médecin l’attira dans un coin de la chambre. Aussitôt, je me focalisais sur la conversation et faire abstraction des bruits alentours (chariots dans les couloirs, bruits des machines qui me maintenaient en vie). « Madame Harringhton, il semble nécessaire de vous prévenir au sujet de la santé de votre fils… Cela fait désormais trois semaines qu’il a sombré dans le coma, et si nous n’avions pas les machines nécessaires, le petit nous aurait quitté depuis déjà longtemps. » « Je ne comprends pas », murmura ma mère d’une voix faible et tendue. Le médecin se racla la gorge. « Eh bien, mes confrères et moi pensons que son cas semble sans issu. Silver a sombré dans un coma irréversible, et il ne se réveillera pas. Malgré tout nous pouvons toujours le laisser branché aux différentes machines qui le maintiennent en vie, mais ce ne sera que du superficiel. Vous pouvez néanmoins faire le choix de le débrancher, et de le laisser partir pour de bon. Je suis navré, mais nous ne pouvons plus rien faire pour lui. », acheva le médecin, sa voix ne devenant plus qu’un faible écho. Alors c’était comme ça. J’allais mourir de cette façon. Le silence qui suivit la terrible déclaration du médecin me hérissa profondément. Que s’imaginait cette imbécile ?! Qu’il allait pouvoir me tuer comme ça ?!
Je n’ai jamais compris ce qu’il s’est passé. Je me souviens juste que j’étais terriblement en colère. Je me souviens que je me suis plongé au plus profond de moi-même. Tellement loin, qu’une décharge me secoua des pieds à la tête. Et j’ai ouvert les yeux.
✎ ✎ ✎
« Silver ? Silver, mon trésor, tu veux bien aller t’asseoir dans la voiture, le temps qu’on embarque les cartons ? », appela ma mère. Je détournai la tête de la fenêtre, et appuyai ma tête contre l’embrasure de la fenêtre. Je repliai lentement mes longues jambes contre ma poitrine en acquiesçant faiblement. Deux ans s’étaient écoulés depuis l’accident. Après ma sortie de l’hôpital, ma mère et moi emménageâmes dans la foutue ferme de mon beau-père. Mais je n’ai rien dis. Je n’ai pas protesté. Je n’ai pas dis non. Je me suis laissé balloter par les évènements, faible et impassible, refusant de regarder la vérité en face. Je m’interdisais tout au temps de me tourner vers l’avenir. Plutôt mourir une deuxième fois que d’envisager une vie dans ce coin pourri.
Je voulais revenir à New-York, retrouver ma vie. Mais puisque j’étais condamné à vivre ici, je me laisserai mourir. Ainsi donc, pendant deux années, je n’ai rien fait. J’allais en cours mais n’étais qu’une ombre pâle et pas tout-à-fait opaque au fond de la classe. Je ne levais même pas la main pour signifier ma présence. Je ne mangeais pas, ne dormais pas, ne bougeais pas. J’avais cessé de m’intéresser au monde extérieur tant et si bien qu’il aurait pu y a voir une seconde guerre des euromissiles sans que j’en sache rien. J’étais seul et isolé, c’est en tout cas le profil que les gens avaient de moi. Mais mon avis personnel était bien plus triste : j’étais mort. Simplement.
S’il ne s’était pas passé toutes ces choses, j’aurais sûrement fais des pieds et des mains pour séparer ma mère de mon beau-père et retourner à New-York. Mais je n’espérais plus rien. J’avais cessé de croire en quoi que ce soit. Pathétique, oui je l’avoue. Aussi, quand ma mère m’a annoncé un matin qu’on faisait nos valises, j’ai mis plusieurs heures avant de comprendre et de me souvenir des derniers évènements en date. J’étais devenu si sourd à l’existence des gens autour de moi que je n’avais même pas remarqué que Richard avait disparu depuis plusieurs jours, le temps que ma mère fasse ses (nos) valises.
Je ne réalisais toujours pas. Ainsi, je rentrais à New-York.
New-York.
New-York…
Pour la première fois depuis deux ans, j’ai souris. Et à cet instant, j’ai repris goût à la vie.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Camille, 16 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Par partenariat. D'où ? Je ne sais pas exactement... ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nop. ★Présence sur le forum → 6j/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → PI.
Mon exemple de RolePlay:
→ Lucrèce sourit malicieusement au cocher. Posant sa main sur la sienne, la jeune femme monta les trois marches du marchepied et prit place dans le somptueux carrosse que sa tante lui avait offert pour sa première apparition à Versailles. " L'apparence, Lys. Tout est dans l'apparence ! " avait-elle répété, inlassablement, telle une litanie. Les mots de la vieille dame au charme flétri résonnaient dans sa tête. Les chassant d'un grâcieux mouvement de la main, elle fit courir son regard sur les motifs brodés dans les rideaux et dans ses armoiries, sur le dossier lui faisant face. Un blason doté d'une biche et d'une épée. La blason des comtes de Gailly... Lucrèce exécrait sa famille et pourtant, ici, elle était leur ambassadrice. Pour son plus grand malheur...
Droite comme un I, la jeune femme supportait avec bravoure les cahos d'une route défoncée et pour laquelle sa Majesté n'avait pas cru bon d'investir. Croyant qu'un énième heurt la projèterai par la minuscule fenêtre, elle s'agrippa à la banquette recouverte de velours sombre. Lys n'aimait pas le sombre. Elle aimait l'éclat, l'exubérance, la chatoyance. Rien à voir avec son austère tante, vêtue de noir et en deuil depuis près d'une décennie. Combien de fois Lys s'était-elle vu reprocher son exubérance ? Combien de fois n'avait-elle pas entendu les menaces de la renvoyer au couvent où elle avait grandi ? Cela n'avait rien changé. Et pour cette grande journée, la demoiselle avait sorti le grand jeu. Dehors, le temps ne permettait pas les robes légères et presques transparentes, faisant rougir les damoiseaux et s'évanouir les dames de pudeur. Lucrèce n'avait cure des codes vestimentaires. Après tout, si la cour de France ne l'aimait pas telle qu'elle était, les cours d'Angleterre ou d'Autriche l'accepteraient sans aucun doute.
Lys lança un rapide coup d'oeil au miroir astucieusement placé en face d'elle. Ses yeux bleu turquoise entourés de longs cils bruns pétillaient de vie et de désir. Elle était de ceux qui croquaient la vie à pleine dent, sans reculer. Sa domestique avait étalé sur ses lèvres du rouge carmin, faisant ressortir sa bouche pulpeuse. Ses longs cheveux bruns avaient été bouclés et tombaient sur ses épaules en lourdes boucles, telle une cascade. Une pèlerine en fourrure blanche recouvrait ses épaules jusqu'au bas de son dos, laissant entrevoir une cambrure des plus appétissantes. Son corps était ceintré dans une robe bleue pâle aux manches recouvertes de dentelle bleu nuit. Une ceinture des même coloris encerclait sa fine taille. A ses pieds, étaient chaussés de ravissants souliers à boucle d'or et comportant le talon rouge de l'aristocratie française. Lys sourit à son reflet. Loin d'être narcissique, elle appréciait être belle et regardée. Serait-elle du goût des courtisants de la cour de France ? Au goût du roi ? Elle avait appris qu'il n'avait que 10 ans... Bien trop jeune, pour faire partie de ses amants.
Le carrosse s'arrête et la porte s'ouvrit, une main se présentant. Lys posa la sienne dessus et descendit avec grâce les quelques marches. Elle s'immobilisa devant l'éclatante splendeur du palais royal, illuminé par le soleil. Les portails dorés brillaient de mille feux sous les rayons de l'astre d'or et le palais de Versaille semblait tout droit sorti d'un rêve. Lys cligna des yeux, sourit, et s'avança d'une démarche assurée mais grâcieuse et fluide, vers la première cour. Pour la première fois de sa vie, elle allait entrer dans l'enceinte du plus beau des palais. Une sensation étrange la prit soudain, la faisant frissonner. Versailles... Allait-il y retrouver l'homme qui avait brisé son coeur ? Ne préférant pas y penser, la demoiselle répondit aux sourires que lui adressèrent deux damoiseaux et continua son chemin. Elle vit alors un groupe de cavaliers sur le côté droit. Un jeune homme les menait, vêtu d'étrange façon. Elle sourit intérieurement, se disant qu'elle n'était pas vraiment mieux. Il tourna la tête vers elle. Lys fit la révérence, lui adressant un sourire charmeur, dont elle seule avait le secret. Qui était-il ? Elle le découvrirait bien assez tôt...
Le code règlement:
→ Ok by Bambi
Dernière édition par Silver I. Harringhton le Ven 3 Fév - 23:16, édité 4 fois
Cheyenne L. Pearson
Empire State of Mind
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▌INSCRIT LE : 14/01/2012
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▌CÉLÉBRITÉ : Freida Pinto.
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Sujet: Re: ✎ Une dernière cigarette avant la fin du monde ✎ Dim 22 Jan - 14:09
Bienvenue
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Sujet: Re: ✎ Une dernière cigarette avant la fin du monde ✎ Dim 22 Jan - 14:33
Bienvenue
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Sujet: Re: ✎ Une dernière cigarette avant la fin du monde ✎ Dim 22 Jan - 14:57
Kévin Flamme, l'homme de ma vie Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: ✎ Une dernière cigarette avant la fin du monde ✎ Dim 22 Jan - 15:28
Bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche N'hésites pas si tu as la moindre question
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Sujet: Re: ✎ Une dernière cigarette avant la fin du monde ✎ Dim 22 Jan - 15:53
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: ✎ Une dernière cigarette avant la fin du monde ✎ Dim 22 Jan - 16:08
Bienvenue ici si tu as des questions n'hésite surtout pas FLAMME
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Sujet: Re: ✎ Une dernière cigarette avant la fin du monde ✎ Dim 22 Jan - 16:25
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: ✎ Une dernière cigarette avant la fin du monde ✎ Dim 22 Jan - 20:10
bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: ✎ Une dernière cigarette avant la fin du monde ✎ Dim 22 Jan - 21:11
bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: ✎ Une dernière cigarette avant la fin du monde ✎ Dim 22 Jan - 21:36
Bienvenue
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Sujet: Re: ✎ Une dernière cigarette avant la fin du monde ✎ Dim 22 Jan - 21:55
Bienvenue beaugoss bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: ✎ Une dernière cigarette avant la fin du monde ✎ Dim 22 Jan - 22:58
Bienvenue
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Sujet: Re: ✎ Une dernière cigarette avant la fin du monde ✎ Sam 4 Fév - 12:50
Ton histoire est vraiment bien écrite, j'aime & je pense qu'on pourrait avoir un beau lien avec Savy (a) Je t’expliquerai
Validé !
Un système d'intégration est mis en place sur le forum sous forme de flood d'intégration, mélangeant anciens et nouveaux membres, n'hésite pas à t'y inscrire ! N'oublie pas de compléter ta fiche personnage, ton profil et de faire toutes les demandes nécessaire. Si tu as la moindre question ou problème, tu peux bien sur contacter un membre du staff par MP. Et puis tu peux bien sur voter toutes les deux heures pour aider le forum en cliquant sur le muffin (a)
Have Fun !
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Sujet: Re: ✎ Une dernière cigarette avant la fin du monde ✎ Sam 4 Fév - 14:01
Own merci Savy
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Sujet: Re: ✎ Une dernière cigarette avant la fin du monde ✎
✎ Une dernière cigarette avant la fin du monde ✎
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