Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. ( P.Coelho)
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Empire State of Mind
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Sujet: Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. ( P.Coelho) Ven 27 Jan - 0:31
FEAT. Lee Hyori
Tally-Ann Lockwood
28 ans → Né(e) à Calgary ( Alberta, Canada ) le 17/11/1983 → Journaliste célibataire → homosexuelle → membre des Workaholic.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Je suis typée asiatique, je tiens cela de ma mère qui est à moitié coréenne et à moitié thaïlandaise, mon père est lui un canadien de pure souche. Pour une asiat, je suis assez grande car je mesure plus d’un mètre soixante six mais c’est une fausse idée, les asiatiques surtout maintenant sont parfois très grande. Mes cheveux sont très long et brun avec parfois des reflets auburn mais il m‘arrive de les teindre en noir pour certaines occasions . J’aime être bien habillée quand je dois sortir, mais quand je suis chez moi, je me balade souvent en tenue très légère pour ne pas dire nue. Je ne suis pas exhibitionniste loin de là mais j’aime me sentir à l’aise et puis je ne le fais que quand je suis sure de ne pas avoir de visite qui ne me le permettrait pas. J’aime jouer de la guitare acoustique mais je le fais pour le plaisir, il m’arrive parfois de jouer au mannequin pour des amis photographe mais là aussi c’est vraiment pour le fun. Je milite pour les droits des homosexuels hommes ou femmes, c’est une cause qui me tient à cœur car nous sommes souvent décriés, dénigrés ou incompris. Nous subissons des actes que je qualifierais de raciste car souvent des gays ou des lesbiennes se font agresser à cause de leur différences. Libertine, j'aime papillonner à droite à gauche avec de charmantes demoiselles. Je suis une grosse fumeuse, il m’arrive parfois de griller un paquet et demi par jour. Par contre ne me proposez pas deux verres d’alcool sinon je suis saoule.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Je suis une femme qui assume sont homosexualité, je ne me cache pas quand une femme me plait. Bon je ne vais pas aller le crier sur tout les toits non mais ce n’est pasv un sujet tabou. Je franche, quand j’ai une chose à dire que cela plaise ou non, je le dis. Cette qualité qui est aussi un défaut, cache une douceur assez vive, j’aime câliner et être câlinée. J’essaye toujours de dire ce que j’ai sur le cœur sans blesser les gens. C’est parfois mal vu dans mon boulot mais je suis ainsi et c’est pourquoi, j’essaye de ne pas traiter les sujets de guerre à l’étranger. Non moi ce que j’aime c’est le sport. A terme, je veux couvrir tout les matchs des Knicks ou tout autre évènement qui à lieu au Madisson Square Garden. J’ai un autre gros défaut en plus d’être bavarde, c’est d’être bordélique à souhait, jamais je n’ai ma chambre principalement en ordre, le reste de mon appartement cela peut aller sauf mon bureau et ma chambre ! Je suis assez rancunière aussi, sachez le car celui ou celle qui me fait du mal, c’est à vie car je n’oublie et pardonne pas.
Well... It's my story...
Je suis née le 17 novembre 1983 à Calgary en Alberta au Canada. Mes parents étaient des gens bien, pas des criminels ou je ne sais quoi. Mon père James un chef cuisiner qui avait son propre restaurant, voyait certes les choses en grand mais avait tellement travaillé pour ça … Ma mère une chirurgienne cardiaque, voulait elle que je suive sa passion pour la médecine. Bien que je voyais peu mes parents, j’ai toujours été heureuse, sans soucis d’argent ou de frigo vide. Mes géniteurs, s’arrangeaient toujours pour quand même fêter mes anniversaires avec moi ou venir me voir quand il y avait un spectacle à l’école primaire. Petite, j’étais déjà un peu différente, déjà car j’étais la seule asiatique de ma classe, mais aussi car je jouais énormément avec les garçons, je n’aimais pas jouer à la barbie ou si c’était le cas c’était pour la transformer en une sorte de Gi Joe au féminin qui se mariait avec Action Man pour former un couple de super agent secret plus fort que James Bond ou d’autres. On disait que j’était un peu casse cou, mais ça mes parents le savaient déjà, je jouais énormément au Hockey avec mes cousins mais ce que je préférais moi, c’était le basket, je m’étais même inscrite dans un club mais j’étais toujours la plus petite de mon équipe.
Mon adolescence se passa tranquillement, j’avais arrêté le basket en club car cela ne plaisait plus de jouer, non moi je voulais commenter, être en face des Larry Bird, Shaquille O’Neal ou de sa majesté Michael air Jordan pour avoir leurs impressions d’après match. Je voulais interviewer Phil Jackson après un titre NBA ou commenter les All Star Game. Mes professeurs me voyaient mal dans ce domaine, car mon orthographe n’était pas terrible. Je suis mise alors à travailler encore plus dur, je lisais beaucoup et écrivais souvent, j’avais cette passion en moi. Je voulais accomplir mon rêve. Je ne connus jamais de garçons, jamais un petit copain rien. Je ne savais pas encore que j’étais lesbienne à 17 ans mais je m’en rendais bien compte. Sexuellement parlant, j’étais différente des autres, je n‘étais pas amoureuse des célèbres star de ma ville ou des jeunes qui s‘entrainaient au fameux donjon. Je terminais mon cycle scolaire avant de rentrer à l’université. J’avais de la chance, je pouvais aller à Columbia à New York, la célèbre université acceptait mon dossier et avec l’aide de mes parents, qui avaient fait un énorme sacrifice financier, je me retrouvais dans la ville de la grande pomme. Les premiers mois furent très difficiles j’étais loin de ma famille, de mes amis la vie en citée universitaire était une nouvelle vie pour moi, mais petit à petit je trouvais mes repères et mon moral remontait.
Lors d’une soirée, je rencontrais une jeune femme belle, blonde grande tout mon contraire en gros, face à elle je me sentais petite et j‘avais les cheveux bruns. Nous avions discuté, elle aussi était en étude de journalisme et sans nous en rendre compte, nous avions discuté toute la soirée, Elle me proposait un dernier verre chez elle, et comme ce qui devait arriver arriva nous nous sommes embrassées, j’avais vingt ans et je recevais mon premier baiser lesbien, mon premier baiser tout court même. Nous nous sommes revues plusieurs fois avant de franchir une autre étape, lors de notre première fois, elle fut très douce et très câline, me guidait dans chaque étape de notre première nuit d’amour. Ce fut l’extase et jamais je n’ai regretté de l’avoir fait avec elle. Malheureusement, elle quittait l’université et moi par la même occasion à la fin du premier semestre, New York ne lui plaisait guère et ses études non plus, ce fut là mon premier chagrin d’amour mais aussi le seul, car je crois que depuis cette histoire je n’ai plus jamais aimé comme j’étais amoureuse d’elle. Vers le mois de Février deux années après ça, un jeune homme fût massacré par une bande de skinhead … Son crime ? Être gay ! Ces criminels ne furent accusés que de coups ayant amené la mort, ils riaient durant leur audience ! Ma vocation naquit de cette affaire, le pauvre jeune à peine âgé de dix huit ans avait eu les deux jambes fracturées avant d’être battu à mort par cinq hommes tous sous l’emprise de l’alcool et se vantant d‘avoir cassé du pd selon leur propres termes. J’étais révoltée et aussi bien je paru un article dans le journal de l’université, le doyen n’apprécia pas mon geste qui se voulait fort, j’eus le droit à des menaces d’exclusion si je recommençais un tel torchon comme il avait nommé mon travail. Je m’en moquais sérieusement, je continuais mes actions mais cette fois moins durement, je rejoignais un groupe de défense pour nos droits, j’assumais ma sexualité, aussi bien que quand je l’annonçais à mes parents, je n’avais pas peur de leurs réactions car c’était ma vie à moi et non la leur. Je leurs demandais s’ils préféraient me voir heureuse avec une femme ou malheureuse avec un homme que je tromperai quoiqu’il arrive. Ils me donnèrent raison mais demandèrent quelques temps d’adaptation, si je devais ramener quelqu’un un jour chez eux, il me demandaient de ne pas le faire avant la fête nationale ou Noël soit les longues périodes de vacances, j’acceptais car de toute façon à ce moment là j’étais célibataire.
Je terminais mes études mais restais vivre dans Manhattan, j’étais maintenant chez moi là bas, je commençais à travailler comme simple pigiste à l’AM New York avant de gravir les échelons, maintenant, je couvre la partie des affaires judiciaire pour le New York Daily News mais même si cela me plait, je n’ai jamais rangé mon objectif de carrière, à savoir travailler pour le New York Post et couvrir les matchs de NBA pour eux.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Aibaka / 29 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → j'y ai déjà joué ★Ce personnage est-il un double compte ? → non ce compte est unique ★Présence sur le forum → 4/7 ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé
Mon exemple de RolePlay:
→ Sentiments partagé, amour égaré lors de cette nuit bercée par la voie lactée. Nous avions passé avec Yun Ah une délicieuse soirée en tête à tête qui s’était terminée comme à notre habitude tendrement enlacé au lit. Nous nous étions endormis collé serré, l’un à l’autre. Avec elle tout allait bien dans le meilleur des mondes, dans ses bras j’étais au paradis et d’ailleurs s’il lui ressemblait, je signais de suite pour y aller, non pas que je voulais mourir mais je me sentais bien avec elle. Au point de tomber amoureux ? Peut être pas mais je le croyais fortement, chaque fois que je la voyais, j’étais heureux, j’étais bien. Je savais ce que c’était l’amour et même si je ne voulais pas l’avouer, je sentais qu’avec Yun Ah il y avait plus que de l’attirance physique, si douce si tendre, je me voyais bien passer ma vie avec elle. Mais elle était si secrète, je la comprenais peu, très peu même, je savais qu’elle passait du temps à retrouver son frère mais pourquoi rejeter l’aide que je lui avait proposé ? Cela me tuait car j’avais de l’argent et donc avec un peu de chance, un bon détective le retrouverait plus facilement… Que vous voulez vous les femmes sont têtues et j’allais pas lui faire la guerre si elle refusait mon offre,, pourtant j’avoue qu’à chaque refus je devenais triste. Car après tout je voulais la rendre heureuse et rien que cela.
Je voulais lui donner ma joie de vivre alors que moi aussi j’avais morflé, abandonné très jeune par mon père qui partait au Brésil, ma mère se tuait à la tâche pour nous nourrir ma sœur et moi en plus de payer les factures. J’avais perdu ma génitrice d’une sale maladie alors que j’étais en formation pour devenir idole. La vie valait la peine d’être vécue et si tout le monde avait cette petite phrase en tête cela irait souvent mieux, nettement mieux … Je voulais qu’elle m’explique pourquoi, pourquoi elle agissait ainsi avec moi. Je n’étais pas son ennemi et je devenais bien plus qu’un ami pour elle enfin je le croyais, je l‘espérais. J’étais assez volage mais un truc au fond de moi voulait que je devienne sérieux avec elle.
Elle se blottissait un peu plus fort dans mes bras et mon étreinte devenait plus de plus en plus protectrice, je sentais son shampoing à la camomille, j’entendais sa respiration devenir de plus en plus forte, l’énervais-je ? Ou l’excitais je ? Je préférais nettement la seconde solution, mais je me mis à lui poser de nouvelles questions, en terminant par lui dire qu’elle pouvait tout me dire absolument tout … Mais elle ne dit rien du tout au contraire, elle dessinait mes lèvres de son index, ce geste était des plus tendre et la sensation que cela me procurait était très indescriptible, je ressentait des fourmis à ce niveau, cela me plaisait, oui je prenais du plaisir à ce qu’elle dessine mes lèvres, je l’avoue, nos regards se croisaient sans cesses et nous n’avions pas ou plus peur de monter nos sentiments. Dire que si je suivais la théorie de mon directeur j’aurais du la détester car elle était de l’école d’en face. Entre nous je préférais qu’elle ne soit pas dans mon université sinon je savais que je serais pas souvent dans la salle des profs mais entrain de me faire un tête à tête spécial et pas très habillé avec elle. Je la savais bonne chanteuse et même si cela me démangeait, jamais je ne lui demanderais ses notes en chant, je lui demandais tout au plus si Dong Wook n’était pas trop sévère avec elle. Il était mon ami, je le savais juste mais je connaissais aussi le compétiteur en lui. C’était un bosseur tout comme Yun Ah d’ailleurs. Elle me regardait quand je corrigeais les écrits, encore plus quand j’étais agacé par certaines bêtises que je lisais parfois sur des copies. Je me souviendrai toujours de son fou rire quand j’avais posé des questions sur Michael Jackson et d’autres artiste américains et que j’avais lu Scorpion en guise de réponse a qui a chanté Born in the Usa, j’étais désespéré ce jour là en lisant une telle insanité, non pas que scorpion soit un mauvais groupe au contraire, leur Still loving you’ et surtout sand me an angel était des plus touchante et romantique avec wind off change, mais l’auteur et chanteur de cette musique nettement plus forte était le boss Bruce Springsteen, Je sais pas si c’est ma tête qui l’avait fait autant rire ou si c’était la réponse que je lui avait lue a haute voix, mais cela m’avait émerveillé, moi aussi j’avais mon ange et c’était Yun Ah. Je la dévorais du regard dès que je le pouvais, ses courbes féminines étaient parfaite, mais ce qui me plaisait par-dessus tout chez elle c’était ses lèvres, si belle, si douce si tendre à chaque fois que je l’embrassais ou simplement que je les effleurais, j’étais un homme heureux. C’est con oui car les hommes préfèrent parler de la poitrine ou des fesses quand on leur demande quelle est la partie qu’ils regardent en premier chez une femme. Moi c’était les lèvres. Elle se repositionna avec son visage au creux de ma nuque, je sentais de nouveau son souffle si chaud sur ma peau après qu’elle soupirait de nouveau légèrement. « J’en ai oui… Ne t’inquiète pas, je t’ai dis, ce n’est pas grave. C’est normal. J’en ai toujours eu. » bon le sujet devait être clos car elle avait de plus vouloir en parler, j’allais la laisser tranquille mais au fond de moi-même je ne savais pas pourquoi, je ne la croyais pas … Elle se connaissait mieux que moi après tout.
« Tu me rassures … Maintenant que je sais que tu as des cachets je ne m’inquiéterai plus. On va clore ce sujet j’ai pas envie que l’on se dispute et je vois que cela t’énerve. »
Je venais de souffler ma réponse d’une traite, je voulais me convaincre moi-même, une pars de moi-même la croyait mais une autre me disait qu’elle me mentait, je préférais écouter la première ce soir, elle devait encore être triste qu’elle n’avait pas encore retrouvé son frère un peu de calme niveau émotion lui ferait du bien, elle avait sans doute besoin de tendresse et j’étais là pour cela sauf que je me permis de lui reposer une question, importante pour moi mais pas pour elle visiblement car j’eu un silence en guise de réponse. Nous restions enlacé mes mains posée sur elle alors que je m’énervais, je finis par lui dire en partie ce que j’avais sur le cœur, je finissais ma phrase et mon discourt en lui avouant que je voulais son bonheur et rien d’autre. Nouveau silence de sa part, cette fois j’étais parti pour m’énerver pour de bon, mais je l’embrassais pour me calmer en retournant dans la chambre, je fis même encore craquer ce foutu parquet et cette fois j’étais de rire, je souriais, une simple latte de parquet m’avait rire, elle me sourit, et se mordillait la lèvre, je venais de la déposer le plus délicatement du monde sur le lit, mes mains avaient glissés sur son corps et je m’apprêtais à venir l’embrasser et la chauffer en laissant de nouveau courir mes doigts sur ses formes, c’est-ce moment là qu’elle choisissait pour me stopper en posant sa main sur mon torse et me murmura « Je n’ai jamais été lâche. Je me suis toujours battue pour ma famille. Quand mon père s’est suicidé, j’avais huit ans. Avec Min Soo, nous devions aider notre mère. Je vivais dans un monde fait de luxe et d’apparat. Et regarde où je suis aujourd’hui. Nous avons descendu l’échelle sociale. Parce que nous avons tout perdu à la mort de notre père. » Je lui souris non pas que j’étais heureux de ce que je venais d’apprendre car au contraire cela me rendait triste moi aussi, mais elle venait de ce confier à moi instinctivement. Je la regardais amoureusement et faisant glisser sa main sur mon torse après lui avoir délicatement attrapé le poignet, je souriais, j’avais envie d’elle mais avant cela je devais lui répondre, j’espérais juste que mes mots ne soient pas trop cinglants :
« Je comprend et je n’ai jamais pensé que tu étais une lâche bien au contraire, je suis désolé pour ton père et ton rang social, mais l’amour que vous vous portez toi et ta famille, n’a pas de rang social, cet amour est simplement magique beau et doux ! Nous aussi avec ma sœur nous croyions avoir tout perdu quand notre père nous abandonné, mais notre mère à donné sa vie pour nous … l’absence d’un père est difficile à vivre, je sais ce que tu as vécu jolie demoiselle. Yun Ah, si tu veux récupérer le luxe que tu as perdu, il y a une solution et tu l’as en toi, ta voix est ta solution, tu as un talent monstre et ne me dis pas le contraire, ton prof de chant est mon meilleur ami. Bats toi ma belle et un jour appartement villa yacht seront à toi. »
Hoonie ou comment motiver les gens en une leçon, je la savais capable de le faire, mais j’appréciais ce qui vint par la suite car elle m’attrapa doucement la nuque, nos corps se rapprochèrent encore plus et elle vint déposer son front contre le mien, je pouvais l’embrasser quand je voulais, mais je me tus et l’écoutais parler « Je… ne veux pas te mêler à tout ça. Parce que je ne veux pas que tu souffres. La seule chose que je peux te dire, c’est que je suis malade. Mais que je ne sais pas si cette maladie va… Bref. Je préfère me battre seule. Je ne veux pas t’impliquer là-dedans. Hoonie, s’il te plait… Comprends juste ma volonté de vouloir te protéger. » Je rêvais ou elle venait de ce confier encore à moi et me protéger de quoi, mon cœur se serra, elle ne voulait pas m’impliquer pour vouloir me protéger mais de quoi bordel … Elle ne voulait pas ce battre seule ? Alors là elle se foutait le doigt dans l’œil et profond car j’avais pas pour habitude d’abandonner les gens que j’aime et elle oui j’en tombais amoureux simplement. Je la regardais dans les yeux qu’elle avait fermé et je vins poser mes mains sur son visage, gardant nos fronts collés je m’apprêtais à lui répondre en pensant chacun de mes mots car l’envie de l’embrasser était plus forte que tout :
« Je crois que … que c’est trop tard je suis impliqué là dedans, tu sais Yun ah tant que tu ne diras pas que tu veux plus me voir, je ne souffrirai pas ! Peut importe la maladie dont tu souffres ! Merci de me l’avouer que tu es malade, mais entre nous cela ne changera rien, en tout cas pour moi. Je te laisserai te battre seule mais jamais tu ne le seras car je serai toujours là pour toi en retrait mais présent, s’il te plait accepte cela je te promets de te laisser ce combat mais accepte mon épaule si des fois cela va moins bien comme ce soir. Je veux juste que cela se passe comme ce soir quand cela va pas, je veux te réconforter. Je comprend t volonté en tout cas. Yun Ah je … »
je ne préféra pas continuer ma phrase et je l’embrassais à pleine bouche laissant une de mes mains glisser doucement sur sa nuque pour rendre se baiser plus passionné, plus profond, je me couchais sur le dos l’entrainant avec moi afin qu’elle se retrouve allongée sur mon torse, une de mes mains retrouva le chemin qu’elle avait parcouru quand la belle jeune femme avait entouré de ses jambes ma taille. Je m’en voulais un peu de faire cela mais j’avais envie d’elle et je voulais pas lui avouer que je tombais certainement amoureux d’elle, non pas ce soir …
Le code règlement:
→ ok by Bambi
Dernière édition par Tally-Ann Lockwood le Sam 28 Jan - 3:44, édité 4 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. ( P.Coelho) Ven 27 Jan - 0:43
Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. ( P.Coelho) Ven 27 Jan - 1:03
merci ^^
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. ( P.Coelho) Ven 27 Jan - 1:26
Bienvenue parmi nous, plus officiellement Si tu as besoin, n'hésite pas
Sujet: Re: Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. ( P.Coelho) Ven 27 Jan - 1:37
Bienvenue sur NYCL, j'ai hate de voir ce que tu vas faire de ton perso, enfin bon bon courage pour ta fiche & J'accepterais un lien avec plaisir
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. ( P.Coelho) Ven 27 Jan - 1:49
Merci Dylan et Owen
promis Dylan
Génial Owen dès que je suis serai validé je viendrai dans ta fiche promis
Dernière édition par Tally-Ann Lockwood le Ven 27 Jan - 2:06, édité 1 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. ( P.Coelho) Ven 27 Jan - 1:56
Bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche N'hésites pas si tu as la moindre question
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. ( P.Coelho) Ven 27 Jan - 2:08
Merci Jude Promis je n'hésiterai pas
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. ( P.Coelho) Ven 27 Jan - 13:20
BIENVENUUUUE !!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. ( P.Coelho) Ven 27 Jan - 14:02
Bienvenue ici si tu as des questions n'hésite surtout pas & bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. ( P.Coelho) Ven 27 Jan - 17:12
finalement, ça aura été hyori, très bon choix
bienvenue et bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. ( P.Coelho) Ven 27 Jan - 19:34
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. ( P.Coelho) Ven 27 Jan - 20:25
Bienvenue mon bébé \0/
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. ( P.Coelho) Ven 27 Jan - 20:30
Nathan ♥ Bienvenue ici ;D Très bon choix d'avatar Réserves moi un lien ^^
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. ( P.Coelho) Ven 27 Jan - 20:46
Welcome!
Lee Hyori
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. ( P.Coelho) Ven 27 Jan - 21:15
Bienvenue,
Cheyenne L. Pearson
Empire State of Mind
if you're going through hell, KEEP GOING.
▌INSCRIT LE : 14/01/2012
▌MESSAGES : 5706
▌AGE DU PERSO : 25
▌ADRESSE : 2515 Lexigton Avenue #402; Manhattan.
▌CÉLÉBRITÉ : Freida Pinto.
▌SMALL IDENTITY PHOTO :
Sujet: Re: Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. ( P.Coelho) Ven 27 Jan - 23:00
Elle est so cute *-* Bienvenue !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. ( P.Coelho) Sam 28 Jan - 0:46
Helyn et Juliett : merci les filles
Raiden et Jon : merci a vous messieurs
Jayce : Merci Namouuuuuuuuuur
Emiiiiiiiiiiii <3 merci miss et pas de soucis pour le lien
Fumiko : OMG Ai Otsuka c'est si rare de la voir jouée merci à toi ^^
Merci Solweig
Cheyenne : Freida est superbe et trop cute aussi merci miss
Edit 1h45 fini :10:
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. ( P.Coelho) Sam 28 Jan - 22:34
Hyori bienvenue.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. ( P.Coelho) Sam 28 Jan - 22:38
Michaaaaaaa Merciiiiiiiiiii
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. ( P.Coelho) Dim 29 Jan - 16:49
Validée !
Un système d'intégration est mis en place sur le forum sous forme de flood d'intégration, mélangeant anciens et nouveaux membres, n'hésite pas à t'y inscrire ! N'oublie pas de compléter ta fiche personnage, ton profil et de faire toutes les demandes nécessaire. Si tu as la moindre question ou problème, tu peux bien sur contacter un membre du staff par MP. Et puis tu peux bien sur voter toutes les deux heures pour aider le forum en cliquant sur le muffin (a)
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Sujet: Re: Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. ( P.Coelho)
Le bonheur est quelque chose qui se multiplie quand il se divise. ( P.Coelho)
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