Sujet: How could you be so heartless... │ Amy Lun 6 Fév - 20:37
FEAT. Rachel McAdams
Amy Lizzy Parker
28 ans → Né(e) à Rome le 01/06/1983 → Avocate dans un cabinet privé célibataire → hétérosexuelle → membre des Workaholics.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → C'est l'heure de me décrire comme si je me peignais sur une toile. Le souci, c'est que je suis tout sauf artistique. Lorsque l'on m'aperçoit, en principe j'ai l'habitude de voir certains regards se tourner vers moi. Non pas que je suis une bombe platine à la poitrine sur dimensionnée, ou bien que j'ai quelque chose entre les dents. Non, c'est en général le contraste entre mes cheveux roux et ma peau clair qui peut heurté le regard. Tout le monde n'aime pas les rousses, et nous sommes rares. Ma couleur de cheveux est quelque chose qui me caractérise, qui me constitue intérieurement et également extérieurement. J'ai hérité de la jolie chevelure de ma mère, et de la couleur clair de mon père. Et lorsque j'annonce mon origine natale, en général on ne me croit pas. Heureusement que je me fou du regard des autres et encore moins de ce qu'ils pensent. J'ai un piercing au nombril, et un à la langue, que j'ai depuis très jeune. Je ne sais pas pourquoi je le garde, ma période ado révoltée est pourtant passé. Il me correspond bien je trouve... Un petit diamant sur la langue, ça ne fait pas de mal, même si symboliquement ça peut étonner ou choquer. Peut importe. Un tatouage à la nuque m'habille depuis plusieurs années, et sa signification reste cachée et privée. Je ne suis pas très grande, bien au contraire, et j'aime tricher en portant des talons très souvent. J'aime m'habiller décontracté et le lendemain être tout aussi bien classe... Mes yeux sont gris verts et souvent soulignés d'un fin trait noir.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Se décrire. Ceci n'est pas chose facile, surtout lorsque l'on sait tous que le meilleur juge, c'est l'autre. Je vais donc tenter d'être la plus objective possible, si tant est que je le puisse vraiment. Qui suis-je ? Cette question est sans doute la plus piégeante, et finalement la plus questionnante. Je pense que je suis une fille qui a grandis dans un milieu pourri gâté, puant le fric, et qui pour autant porte en elle des valeurs humaines. En effet, je suis loin d'être égocentrique, narcissique, du moins, je le suis peu. Il faut avouer les choses, je reste une petite précieuse, qui parfois regarde les gens de haut, sans même s'en rendre compte. Mais je ne suis pas fondamentalement mauvaise. On a tous du vice en nous, et certains l'utilisent dans un sens plutôt malsain. Moi, je m'utilise pour faire basculer l'avantage de mon côté, sans pour autant écraser les gens. Cependant, lorsque je suis en colère, particulièrement irritée, ce qui m'arrive très souvent, je deviens une vraie garce, aveuglée par la rancune. Et là, qui sait de quoi je suis capable. Heureusement, c'est rare. Dans la vie, je pense avoir donné bien plus de temps aux autres qu'à moi-même, et ceci a commencé très jeune. Maintenant, ça perdure, et alors que j'ai choisit d'abandonner un monde qui n'était pas tellement le mien, je me consacre à ma famille, sans artifice. Ma soeur, ma nièce, mon père. C'est ainsi que je me complais, en pensant aux autres. Je pense qu'un jour je devrais penser à moi, ça risque pas de me faire de mal Autrement, niveau caractériel pur, je suis assez têtue, du genre à ne pas vouloir changer d'avis lorsque je suis persuadée d'une chose. Curieuse, réfléchie, persévérante, assidue et travailleuse, je sais être désagréable et me montrer d'une très grande immaturité à certains moments.
Well... It's my story...
Je ne sais pas s'il faisait beau le jour où je suis née. Pleuvait-il ? Est-ce que les rayons de soleil illuminait-ils la peau de ma magnifique mère ? Probablement. Ce que je sais, c'est qu'il y avait une tonne de photographe qui attendait derrière la porte de capturer le cliché qui lancerait enfin leur minable carrière. Et ce que je sais aussi, c'était que l'amour de mes parents était à cette époque à son paroxysme , et que quelques années plus tard, il allait entièrement s'estomper. Avant d'en arriver là, je peux vous parler de mon enfance, celle que toutes les petites filles auraient souhaité avoir. J'étais jeune, et je ne me rendais absolument pas compte de la chance que j'avais. Tout puait le fric et les faux semblants à plein nez, mais moi je ne voyais rien, je profitais de ce bonheur éphémère. Papa était connu, maman aussi, et donc, moi aussi. Je n'ai pas grandis en me mêlant aux autres, et c'est en ça que réside finalement la tristesse de mon enfance. Car matériellement, je n'ai pas eu à me plaindre, tout ce que je souhaitais m'était servi sur un plateau doré, un p*tain de plateau à la con. J'ai eu droit à ce plateau toute mon enfance, et le brûler était ma seule envie. Pour revenir à ce que je disais, j'avais tout. Tout, sauf la normalité que tout enfant aspire. Rencontrer des petits gamins de son âge, différents. Et non pas aller à la crèche privée des bébés stars. Et pourtant ... Alors, quand on m'a dit que j'allais avoir une petite soeur pour jouer avec moi, ce fut sûrement le premier plus beau moment de ma vie. Et quand Liberty arriva, je ne pouvait pas la laisser plus de quelques secondes, si j'avais pu l'etouffer d'amour, je l'aurais fait. Ma mère peut présente, mon père toujours occupée, je me sentais bien seule, et les années ont passées. La vie a continué, j'ai grandis dans ce même univers, et ma soeur aussi. J'avais de la peine pour elle, car je commençais à véritablement comprendre que nous étions élevé d'une façon très marginale, et que tout ceci ne me réussirait pas plus tard. Les autres enfants me regardaient mal, et pourtant, je ne leur avait rien fait. C'est alors que j'ai compris que dans la vie, il y a les In, et les Out, et qu'en plus de ça, c'est la guerre.
Et la vie a suivit son cours. Maman et Papa ont enfin compris que rien ne valait mieux que la franchise et la vérité. Ils ne s'aimaient plus depuis très longtemps, et tout le monde le savait sauf eux. C'était d'un pathétique. Trop forcer, trop forcer, trop forcer, pour au final, se détester. Quand Papa a quitté Rome pour les Etats-Unis, j'avais 12 ans. Et ben evidemment, je l'ai suivi. Heureusement. Comment aurais-je pu vivre un jour de plus avec ma mère, qui ne pensait à rien d'autre qu'elle-même et ses stupides shooting photos. Elle aurait du se marier avec un de ces satanés photographes qui lui aurait rappelé à chaque seconde à quel point elle était belle, omettant le fait qu'elle était aussi très conne. Enfin ... Ma pauvre soeur a du s'y accommoder, et j'avais presque de la peine pour elle. Mais à 12 ans, que voulez-vous qu'on dise. J'ai alors été durement séparé de ma poupée , de ma petite soeur. Cette séparation dut très douloureuse, mais le temps fait bien les choses, et ce remède est sans doute le plus efficace. Les Etats-Unis et ce rêve Américain. Le pays des excès et des grandeurs. Comment je pouvais comprendre cette culture, moi qui venait de ma pauvre Italie. Et pourtant, j'ai su m'adapter assez rapidement, comprenant que je n'avais pas tellement le choix. Le lycée est vite arrivé, et j'ai du grandir rapidement, essayant de laisser cette cuillère d'argent à la maison, tentant d'être, pour la première fois de ma vie quelqu'un de typique, de normal. Bien sûr, ce fut dur, on ne balance pas à la poubelle nos habitudes, notre façon de parler, de nous asseoir, de nous habiller. Et finalement, j'ai compris que ce n'était pas à moi de changer, mais aux autres de faire des efforts, si tant est que j'en fasse moi aussi. Alors, j'ai appris à appréhender la différence, et j'ai compris que cette richesse serait la mienne. J'aurais pu faire tout ce que je voulais. J'avais mon destin tracé, joliment tracé. Mais au lieu de ça, j'ai préféré continuer les études et me donner les meilleures chances possibles. Je voulais réussir par moi-même, sans aucunes aides extérieures. J'ai alors choisis la voie qui me semblait être le plus en accord avec ce que je voulais faire : avocate. Alors, j'ai posé mon dossier à la fac de droit UCLA, et j'ai fait mon petit bout de chemin. Avec les hommes, tout se passait bien. Il faut dire que j'avais hérité du charme atypique de ma mère, et cette rousseur ne laissait personne indifférent. Mon fort caractère m'a joué des tours, et je sais que je suis passé à côté de très belles histoires, ne serait-ce que par fierté. Mais c'est ainsi, j'ai donné des priorités à ma vie, et celles-ci ne concernent pas les hommes. Je m'amuse avec eux, c'est sur, mais rien de très sérieux n'est à noter.
Ma soeur Liberty a elle fait son petit bonhomme de chemin aux côtés de notre mère, et apparemment, de ce que j'ai pu me rendre compte en la voyant, ça ne la réussissais pas. Ma soeur, ma petite poupée que je protégeais en lui bouchant les oreilles lors des insultes incessantes des parents. Et bien, elle était devenu grande, et prétentieuse. Narcissique. Affreusement méchante. Je n'étais pas une sainte, mais à côté d'elle, j'étais un ange. Et lorsqu'elle a décidé de venir nous rejoindre à LA, pour ses études, j'ai cru que notre relation allait finir par se dégradé de plus en plus. Et malheureusement, c'est exactement ce qui se passa. ais comme je suis une acharnée, je ne baisse pas les bras aussi facilement. Peut importe que ma petite soeur ait des problème d'alcool, de drogue. Peut importe si elle fréquente des petits connards inutiles. Je ne l'abandonnerais pas. C'est ainsi que je me suis permise de la ménager, de parfois lui foutre une ou deux gifles, qu'elle comprennent alors que sa vie ne mène à rien. Et lorsqu'elle compris enfin certaines choses, on apprenait sa grossesse. Coup dur.. Tomber enceinte à cet âge-là, c'est pas vraiment la vie que je lui souhaitais. J'avais tout fait pour qu'elle quitte ce David, un homme qui se servait d'elle, qui la frappait et qui était probablement le père de la petite. Je suis alors restée avec elle, alors que j'avais mon diplôme, et que j'aurais pu m'envoler. Je me suis juré de continuer à veiller sur elle, elle en avait bien besoin. Et nous en avions bien besoin. Ma soeur, mon père et moi avons ensuite pris la décision de quitter tout cet univers nocif pour aller voir ailleurs, et quelle autre ville aurais-je pu choisir à part New York ? La ville du renouveau, des deuxième chances. Notre cousine y habitait alors nous nous sentions moins seules. Ma soeur a enfin son appartement, la petite est née. Des histoires de coeurs et de grands secrets ... bref, nous avons finalement réussi à nous en sortir, alors que rien était gagné. Je travaille dans un cabinet privé, et au lieu de vivre dans un appartement luxueux, comme mon père, j'ai choisis quelque chose de plus petit. Quelque chose qui me correspond vraiment. Bon, ça reste du luxe en boite, mais j'ai tenté de changer, sans vraiment y réussir complètement. Au moins ici, je n'ai pas de put*in de plateau dorée, ni de gouvernante pour m'essuyer la bouche... Alleluia ...
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Je m'appelle Nora, on m'appelle Nono mon surnom credit est Sianna, et j'ai 21 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Obsession . ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nope. ★Présence sur le forum → 5/7. ★Personnage inventé ou scénario ? → Scénario.
Mon exemple de RolePlay:
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Where did our Love go ?
Une larme. Deux larmes. Un flot de larmes. Qui a dit qu'un homme ne pleure pas ? Au contraire, les hommes qui pleurent sont ceux qui savent pourquoi ils pleurent, et donc qui savent ce qu'ils veulent dans la vie. Et donc, ... ce sont eux, les vrais hommes. Je pleurais d'amour pour elle, mes larmes salées tombaient dans ma tasse de café et se mélangeaient au sucre mielleux de la douce caféine. J'avais toujours du mal à la regarder, moi qui était loin d'être fuyant habituellement. Là, c'était hors de ma portée. Je fixais la table, triste réconfort qui abritait les gouttes de ma douleur, une main essuyant mes paupières , mes joues, et mon autre bras accoudé contre le bois. Je devrais sûrement partir, ne plus jamais me retourner, ne plus jamais refaire surface dans sa vie. L'oublier, faire comme si elle n'avait jamais été mienne. Mais je me refusais à vivre sans elle. Elle était une part de mon être, un bout de ma personnalité, et si seulement elle partait et me laissait seule, je savais d'avance ce qui adviendrait. Je finirais comme ce type dans Fight Club , rongé par la démence, devenant fou, m'inventant une autre personnalité, m'inventant un être humain, sauf que ça ne serait pas un type, mais ce serait ma femme. Et puis, je crèverais seul dans mon salon, des dizaines de bières autout de moi. Je savais que ma vie se terminerait ainsi si elle n'était plus à mes côtés. Aussi, je ne pouvais pas imaginer mon existence sans Frankie, notre fille. Oui, notre fille ... J'ai tout bravé pour Katrina, et je ne regrette rien, non. Mais je regrette la façon dont elle me le renvoie, prétextant quoi ? Qu'elle ne m'aimes plus ? Put*in, on n'arrête pas d'aimer les gens comme ça, en claquant des doigts ! Mes yeux se fermaient volontairement, comme pour me protéger de la suite, pour adoucir un peu la portée des choses, si tant est que ce soit possible. « Tu crois que j'oublie ces années où tu m'as rendu heureuse ? Ou j'étais réellement sure de t'aimer et ceux pour le meilleur et pour le pire. Je ne ressens que de la peine quand je te vois boire, tu vaux mieux que ça Noah. Tu ne comprends pas que c'est de te voir finir comme ça qui me fait prendre mes distances. Tu te rappelles quand tu t'es attaqué à mon chef à New-York ? Je sais que tu m'aimes, mais moi j'ai besoin de retrouver l'homme dont je suis tombée amoureuse il y a des années de cela. Tu es le père idéal pour notre fille, j'en suis consciente, mais j'ai besoin de te retrouver... De t'aimer comme les premiers jours. Je ne sais plus ce que je ressens Noah... » Comment aurais-je pu me calmer ? Comment aurais-je pu sourire, comment aurais-je pu seulement espérer continuer de vivre. Elle m'achevait, c'était ce qu'elle avait voulu, elle m'avait épousé par obligation, parce qu'elle avait peur de se retrouver seule à élever Frankie, elle ne m'avait donc jamais aimé. Je commençais déjà à m'inventer une autre vie, à lui inventer une fausse vie à elle aussi, alors qu'au fond, je savais bien que cet amour entre nous avait été sincère et passionné. ÉTAIT sincère et passionné. EST sincère et passionné. Son « Je suis perdue » n'était qu'une suite logique, une goutte qui ne faisait pas déborder le vase car ce dernier était renversé et pratiquement brisé... Me prenant la tête dans mes mains, j'étouffais quelques sanglots, sans même m'en apercevoir, certaines têtes se tournaient vers nous. Inconsciemment ensuite, mon poing vint caresser la table. Une fissure y serait presque apparut si je ne m'étais pas stoppé net, en voyant la réaction de recul de ma femme. « Pardon. Pardon. J'arrêtes. [...] Je suis toujours celui que tu as épousé. Regarde, Regarde. » Je relevais les manches de mon tee-shirt afin qu'elle visualise mes nombreux tatouages. « C'est moi, put*in c'est moi. Comment oses-tu dire que j'ai changé ? Comme si j'avais été mal avec toi, un mari mauvais, le pire des maris. Comment tu veux que je le prenne moi hein ? Tu crois que je suis heureux d'entendre ça ? Heureux de te voir partir ? Comme une voleuse, comme si j'avais rien fait d'autres à part te faire du mal ? Tu crois que j'accepte même que tu partes, que tu me quittes ? Tu crois que ... Sérieusement ? » J'écarquillais les yeux avec intensité, montrant réellement la surprise et l'étonnement qui m'envahissait à cet instant. Je montrais ma propre personne d'un doigt, insistant mes paroles, les appuyant toujours un peu plus. « Tu es perdue ? T'es perdue ? Et moi, qu'est-ce que je devrais dire ? Dans la vie, on naît, on s'éduque, on rencontre une femme, on la courtise, on l'aime, on l'aide, on l'aime encore plus, on l'épouse, on construit un foyer, on grandis, on évolue avec elle, on meurt avec elle. Où c'est que tu vois le divorce ? Hein ? J'ai dis le mot divorce dans mon énoncé? Y'a que dans ton esprit qu'il existe ce mot. Je t'ai pas donné cette PUTAIN DE BAGUE pour que 7 ans après tu me laisse comme un ... [...] Merd*, désolé, c'est juste trop dur pour moi ... » J'avais même pas remarqué que mon corps s'était rapproché de la table, et donc d'elle, je me recula donc d'un mouvement las. Elle avait l'habitude de mes coups de colère, j'étais ainsi constitué. Jamais j'avais levé la main sur elle, mais j'avoue ne pas avoir toujours été le plus grand diplomate. Je sentais que c'était finit, et pourtant je ne voudrais jamais la quitter. Je pense que je l'aimais plus que ma propre vie. Alors, si elle partait, il me resterait quoi ? Oh... Sûrement mon enveloppe charnelle.
Le code règlement:
→ Yankees rock ♥
Dernière édition par Amy L Parker le Jeu 23 Fév - 19:44, édité 9 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: How could you be so heartless... │ Amy Lun 6 Fév - 20:41
Bienvenue parmi nous cousine de mon dc Je vais te demander de mettre ton pseudo sous la forme Prénom P. Nom s'il te plait, ainsi que d'enlever les majuscules qui ne sont nécessaire qu'au début du prénom, de l'initial du deuxième prénom & du nom de famille.
N'hésite pas si tu as besoin
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: How could you be so heartless... │ Amy Lun 6 Fév - 20:44
Et voilà ma jolie ♥ J'avais fait un bête copié collé =)
Merci pour l'accueil !!!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: How could you be so heartless... │ Amy Lun 6 Fév - 21:02
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: How could you be so heartless... │ Amy Lun 6 Fév - 21:35
Bienvenue ici et bonne chance pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: How could you be so heartless... │ Amy Lun 6 Fév - 21:36
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: How could you be so heartless... │ Amy Lun 6 Fév - 22:07
Bienvenue ici si tu as des questions n'hésite surtout pas & bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: How could you be so heartless... │ Amy Lun 6 Fév - 22:17
Merci ♥♥
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: How could you be so heartless... │ Amy Mar 7 Fév - 1:18
Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: How could you be so heartless... │ Amy Mar 7 Fév - 1:56
Bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: How could you be so heartless... │ Amy Mar 7 Fév - 2:01
Rachel
Bienvenue & Bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: How could you be so heartless... │ Amy Mar 7 Fév - 15:48
Bienvenue & Bonne chance pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: How could you be so heartless... │ Amy Mar 7 Fév - 17:12
WELCOOOME !! Bon choix d'avatar
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: How could you be so heartless... │ Amy Mar 7 Fév - 18:29
bienvenue sur nycl.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: How could you be so heartless... │ Amy Mar 7 Fév - 18:36
Rachel Bienvenue à toi !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: How could you be so heartless... │ Amy Mar 7 Fév - 20:32
Ma grande soeur
Encore merci de tenter mon scénario, n'hésite pas à la moindre question. Bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: How could you be so heartless... │ Amy Mar 7 Fév - 20:37
Mon ex belle-soeur
Bienvenue
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Sujet: Re: How could you be so heartless... │ Amy Mar 7 Fév - 23:06
bienvenue sur nycl
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: How could you be so heartless... │ Amy Mer 8 Fév - 19:35
Ow, merci à vous !!! Désolé, j'étais écroulé sous la pile de travail , de synthèse et d'évaluation , mais je m'en suis ressortie ! Pour l'instant ahaha Vous êtes des amours ♥ Merci à toi soeurette pour le scenario, il est trop génial ♥ Et toi beau frère, enfin ex beau-frère, j't'aime pas ! Nah ...
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: How could you be so heartless... │ Amy Mer 8 Fév - 19:57
Mon ex belle-soeur
Bienvenue sur le forum
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: How could you be so heartless... │ Amy Jeu 9 Fév - 0:33
Non mais ma soeur s'est tapé tous les bogoss ou quoi ? :10: Partage !! ^^
Merci
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: How could you be so heartless... │ Amy Ven 10 Fév - 13:49
Je sais, je sais
Et de rien pour le scénario, j'aime quand les gens sont inspirés J'arette de flooder et te souhaite bonne chance
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: How could you be so heartless... │ Amy Mer 15 Fév - 1:32
Ahaha ma sista, fais pas trop la belle, j'arrive moi ! ♥
Je voulais demander quelque chose aux admins, à savoir un petit délai, au cas où je tarde à avancer ma fiche, dans le sens où je travaille pas mal en ce moment, beaucoup d'écrits à rendre, je finis très tard le soir , enfin bon ! Je ferais le maximum, n'en doutez pas, mais j'agis en prévention ... Sa serait dommage de perdre ce rôle pour quelques jours de battement ^^ ♥
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: How could you be so heartless... │ Amy Mer 15 Fév - 17:00
Haaaaaaan' ! Amy, j'ai eu une idée de lien trop bizarre, mais super tentant ! Je t'envoie un MP tout de suite
PS : Je suis sous Linaya, mais c'est Lorenzo, l'ex mari de Liberty, qui te parle
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: How could you be so heartless... │ Amy Jeu 16 Fév - 0:39