Sujet: tell ny the bitch is back. Mer 15 Fév - 22:50
FEAT. RYAN FOLLESE.
Maëlys Aaron SPENCER
22 ans → Né(e) à NY le 06/08/1990 → Mannequin en couple → bisexuel → membre des playboys.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Je suis quelqu’un de très particulier. On m’a souvent dit que j’étais hors norme, ce que je prenais pour un compliment. J’ai des tatouages, beaucoup. J’ai quelques phrases sur le torse qui disent ceci : « Dream with my eyes open, sleep when I’m dead, Love who my heart chosen, conquer what lies ahead » Ces phrases sont encadrées par deux étoiles. ( picture. ) J’ai également une autre phrase, sur l’avant bras gauche qui dit : To thine own self be true. ( other picture. ) Ensuite, sur l’épaule droite j’ai un cœur, sous scellé, avec en fond un ciel, avec oiseaux, soleil et nuages, sur l’avant bras, j’ai des formes…spéciales. ( third picture ) Pour en venir au style vestimentaire, je dirais simplement que j’achète ce qui me plaît. Je mets des pantalons en cuir, je peux mettre des jeans basiques, des boots, des vestes en cuir etc… J’ai un style assez particulier et dévergondé. J’aime montrer que je ne suis pas comme tout le monde, si je puis le dire ainsi. J’ai aussi cette fâcheuse manie de remettre mes cheveux, sans cesse.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Je n’ai pas le caractère le plus idéaliste qu’il soit, je sais me montrer courtois… non, c’est faux, je ne sais pas être poli du moins pas très longtemps, je reprends trop vite mes bonnes vieilles habitudes et mon langage quelque peu irrité et vulgaire. Baiseur, bagarreur, prêt à faire n’importe quoi pour un grain de coke, je ne sais pas quels sont mes limites… je pense d’ailleurs que je n’en ai aucune. Je n’ai pas de limite, je suis simple d’esprit, je n’aime pas le luxe. J’aime bien avoir des difficultés pour pouvoir les surmonter, les dépasser, me surpasser moi-même. L’argent, ça aide beaucoup, certes, j’ai les moyens, mon père à une chaine d’Hôtel internationale. Soit. Cependant, l’amour d’un père est plus fort que l’argent. Avoir grandit sans un père, sans mère, car étant morte, elle ne pouvait pas m’aimer comme le prétendait les gens qui voulait me rassurer. Toutes les conséquences que cela ont porté sur mon caractère, c’est juste que je suis exécrable, je suis imbuvable, je me drogue pour oublier, je fume, je bois tous les samedis, je passe des soirées dans les pubs. Arrogant, manipulateur je n’aime pas me laisser marcher sur les pieds, cependant, j’ai quelques qualités aussi, oui, je suis intelligent car oui, la manipulation ne va pas sans l’intelligence. Je suis populaire, et riche, je suis toujours propre sur moi, et bien habillé, je suis assez bien foutu, je dois l’avouer. Oh, tout ce que je dis là, m’amène vers un nouveau de mes défauts. Je suis extrêmement prétentieux, j’aime bien me montrer, montrer ma richesse. Limousine, chauffeur, je joue dans la cour des grands, je ne joue pas aux petites proies. Quand j’arrive, on me respecte, j’aime diriger, j’aime draguer. Je ne respecte guère les femmes, je suis égoïste. Pourquoi est-ce que je suis comme ça ? Si j’ai un fond gentil ? Et bien, à vous de me le dire. J’étais tout ce qu’il y a de bon avant. Je dis bien avant, mais pour m’arracher des confessions, on va devoir être sacrément proches.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Shannon, 16 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → J'y étais déjà avant. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Négatif. ★Présence sur le forum → Tous les jours. ★Personnage inventé ou scénario ? → Personnage inventé.
Mon exemple de RolePlay:
→ Rester zen. Il fallait absolument que je garde mon sang froid sinon j’allais tout détruire. Lui pour commencer, moi pour terminer. J’avais déjà commencé mon processus d’autodestruction depuis ma naissance, mais l’attentat que j’avais commis dans le cœur de Carter était assez récent. À vrai dire, notre vraie relation amoureuse durait depuis quelques mois seulement, cependant, nous étions déjà en guerre perpétuelle depuis le début et même avant que l’on décide d’officialiser notre mort future, ensemble. Peut-être que notre couple avait été la pire décision que j’avais prise tout au long de mon existence. Depuis le début, je savais très bien que ça ne nous mènerait à rien, hormis du malheur. J’avais prévenu Carter, je lui avais dit que je n’étais pas fait pour la vie en couple, que j’étais prédestiné à mourir seul – ou avec des chats. Je le lui avais toujours dit, et lui, il avait joué de son regard mielleux, il m’avait dit que ça ne l’importait que très peu ce que je disais, et j’avais cédé, j’avais encore fait mon faible face à lui. Putain de crevasse au fond de mon cœur. Je sentais ma poitrine me brûler quand j’entendais le prénom Carter, je sentais la fissure présente dans mon cœur, s’entrouvrir un peu plus dès que je le voyais, je sentais la guerre dans mon corps quand sa peau touchait la mienne ou que son parfum arrivait jusqu’à mes narines. Je voulais mourir. Périr d’amour, c’est plutôt une belle mort… du moins, je préférais mourir d’amour plutôt que de mourir seul. Mourir pour Carter semblait être le meilleur moyen de partir de ce monde pourri. Cependant, c’est Carter qui avait décidé d’en finir ce jour-ci. Je ne voulais pas le voir sauter. De plus, je ne voulais pas qu’il meurt de cette façon, me laissant seul avec les remords qui allaient venir et qui étaient déjà presque tous présents. Je ne voulais pas qu’il parte alors que je n’avais pas eu le temps de renouer les liens, je voulais encore passer une nuit avec lui, le sentir lié à moi comme auparavant, le sentir mien. Putain, je ne voulais pas le perdre bordel de merde.
Je sentais la colère en moi. Je sentais cette magnifique tempête destructrice grandir dans mon corps. Tout exploser ? Non. Tout retenir pour encore pour me soulager le soir venu. Après tout, Carter voulait se donner la mort, si je l’empêchais de commettre ceci maintenant, il pourrait très bien le faire le soir même, chez lui. Non, il n’avait pas le droit. Nous devions partir chacun de notre côté. Nous étions nés destinés l’un à l’autre, nous étions nés comme ceci, mais nous devions réussir à échapper au destin. Ce dernier avait mal été écrit. Deux âmes en pleine autodestruction ne pouvaient pas être liées l’une à l’autre, c’était du suicide. J’étais persuadé que si j’avais présenté notre histoire à un réalisateur hollywoodien, il m’aurait dit que c’était impossible, que c’était impossible qu’une telle relation existe. C’était beaucoup trop complexe pour être vrai, et pourtant… Il y avait tellement de sentiments. Tellement de ressentis différents et pourtant, c’était l’amour qui dominait dans mon cœur, dans le sien aussi, je le savais. Lui était trop tendre avec les gens, moi j’étais beaucoup trop dur et cru. Ma façon de parler pouvait blesser parfois, et je ne m’en rendais même pas. C’était involontaire, parfois. Ma cruauté, Carter me l’avait toujours reprochée et moi, j’avais décidé de changer pour lui. Pensant que tous les efforts commis allaient changer quelque chose, lui et moi étions heureux, avant que je ne rende compte de la folie dans laquelle j’étais tombé. Comment avais-je pu changer, par amour ? Ce n’était plus moi. J’avais besoin de me retrouver. Quoi de mieux pour un coureur de jupons que de trouver quelqu’un avec qui passer la nuit ? Peut-être ne pas le faire… j’avais perdu Carter. Putain.
Alors c’était ça qu’il voulait. C’était sauter et se ridiculiser en bas d’un immeuble. Il ne pouvait pas faire ça, c’était complètement débile. S’il voulait se donner la mort pour se sentir, je devais le tuer. Je devais lui donner ce qu’il voulait. Je savais mieux que quiconque ce qui faisait rêver Carter. Ce qui l’emmenait au paradis c’était le nous que nous avions réussi à former. Il n’était heureux que depuis que j’avais réussi à avouer mes sentiments. Il avait été bien à partir de ce moment-là. Cependant, il n’avait pas compris qu’en faisant ça, je m’étais sacrifié pour lui. J’avais besoin de me savoir libre, un tant soit peu. Il n’avait pas de cœur. Il était égoïste et m’avait privé de ma vie. Ma liberté était ce qui importait le plus pour moi dans une relation. J’aimais me perdre intérieurement en me disant que je l’aimais, mais j’appréciais également me retrouver en sortant, seul, sans contrainte… Carter se recula alors doucement du balcon duquel il voulait se donner la mort, puis me lança une bribe de phrase que je n’entendis presque pas, tant la douce voix du jeune homme fût contrôlée et sortit comme une légère brise de sa bouche. « T'avais raison, je n’ai pas le courage de faire ça. » Sa voix résonnait en moi comme un vent mélodieux, une note de musique qu’on veut entendre encore et encore. Comme un chant de sirène hypnotique. J’étais envoûté.
Carter passa lentement devant moi, proche de moi. S’il avait pu passer à travers moi, il l’aurait sans doute fait. Sa démarche lente et parfumée hantait mes yeux. Je ne croyais pas ce que je voyais. J’avais de le voir complètement mort, déjà parmi ceux qu’il rêve de rejoindre. Je me demandais pourquoi il s’était résigné aussi, puis je me dis simplement que se donner la mort n’était pas une chose facile à faire. Puis après tout, il avait lui-même dit qu’il n’avait pas eu le courage. Moins inquiet, je sentis sa main effleurer la main. Je voulu serrer ses doigts au creux de ma main, mais je n’avais pas le droit. Ce que je voulais, je l’avais enfin. Lui, moi, et plus de nous. J’avais enfin coupé le cordon, nous allions pouvoir renouer plus tard. Nous devions chacun prendre une route différente. Je le regardais débarrasser ses affaires. J’avais envie de lui hurler que je l’aimais, j’avais envie de lui courir après et de l’empêcher de partir. C’était impossible. J’étais devenu muet, je ne sais pourquoi. J’étais devenu statique, je ne pouvais plus bouger. Je ne me plaignais pas de cette situation, j’étais même plutôt soulagé. Ça allait nous aider plus qu’autre chose. Du fait que je l’avais laissé partir, je savais qu’il allait devoir revenir vers moi. J’étais déjà revenu vers lui, j’avais tenté de lui expliquer les choses, certes plutôt brutalement, mais je n’avais pas eu le choix. Il ne comprenait rien à rien.
Dans un silence monstrueux, je me mis contre un mur pour laisser glisser mon dos jusqu’à avoir le cul par terre. J’avais une boule au ventre, je sentais ma gorge se nouer. J’avais envie de chialer comme une pauvre merde. J’allumais une cigarette. Réflex nerveux, Carter me l’avait toujours reproché. J’allais récupérer mes affaires quand j’entendis un brouhaha pas possible. Je n’avais pas besoin de sortir, je savais ce qui s’était passé. Je savais que c’était Carter. Il avait tenté. Il avait osé tenter. J’avais peur de ce que j’allais trouver. Je ne voulais pas voir comment il avait fini, si toutefois il s’était vraiment donné la mort. « Bonjour, Maëlys Spencer. Une tentative de suicide à la Gap Incorporation, ne faites pas ébruiter ceci, soyez discrets et dépêchez-vous. » « Mais… » Je raccrochai alors. J’ouvris la porte et vis les affaires de Carter près des escaliers. Les larmes coulèrent et je ne m’en rendis pas compte. Je m’approchais alors, petit à petit, n’osant pas aller trop vite pour ne pas être effrayé. Je ne voulais pas voir son corps sans vie. Je vis alors Carter, étendu sur le sol, sans signe de vie. Je courus, dévalant les escaliers 5 par 5. « PUTAIN CARTER. ILS VONT ARRIVER, BATS TOI JE T’EN SUPPLIS. » C’est à ce moment-ci que je me rendis compte que je pouvais le perdre à tout moment. Il pouvait mourir et il n’aurait pas péri en sachant tout mon amour. Il n’avait pas le droit, c’était interdit.
Le code règlement:
→ Yankees Rock.
Dernière édition par Maëlys A. Spencer le Sam 18 Fév - 19:06, édité 7 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: tell ny the bitch is back. Mer 15 Fév - 22:50
Well... It's my story...
Il était une fois...
Conçu dans une voiture, à l’arrière précisément, j’ai passé une enfance assez heureuse. Père très souvent absent, mère qui passait son temps à faire les magasins plutôt que de s’occuper de moi. Je considère plutôt ma nourrice comme ma mère. Initié très vite au sortie en public, à voyagé à travers le monde. Une maison à peu près partout dans le monde, j’ai toujours été où je le voulais, il me suffisait juste de demander à ma mère, et bien évidemment, ma nourrice chérie m’emmenait. Mon père n’était jamais à la maison, il me manquait horriblement, mais j’ai toujours apprit à vivre sans lui, à grandir sans l’amour de ce père dont je n’avais même pas conscience qu’il était le mien. Richissime, j’ai toujours eu ce que je voulais, depuis tout petit. J’ai toujours été très mal à l’aise quand j’allais à l’école, car j’y étais constamment conduit en limousine. Mon père à toujours déployé les grands moyens, il a toujours donné le maximum d’argent à mon sujet, en croyant que les plus grandes écoles, les plus beaux jouets, les plus belles fringues pourraient remplacer l’amour que je désirais de sa part. Il n’a jamais comprit et ne comprendra plus jamais. Un jour, alors que j’étais en plein contrôle de mathématiques, j’étais alors en classe de troisième dans un collège qui en l’occurrence était parisien et se trouvait près de mon lieu de résidence, pour ne pas que je me perde – je changeais de collège tous les trimestres, et si vraiment j’avais le mal du pays, mes parents voulaient bien que nous prenions le billet retour pour New-York – on vient alors me chercher en pleine interrogation écrite. Deux hommes habillés de noirs, me prirent un bras chacun et l’un des leurs, qui se trouvaient avec eux, parlait avec ma prof de maths qui semblaient choquée par ce que l’homme lui disait. Vous n’avez pas encore deviné ? Ok, je lâche le morceau. Ma mère était morte. Tout cela, n’avait pas eu de graves séquelles, mise à part ma tristesse, certes, et celle de mon père car bien sur, nous l’aimions tous les deux, malgré ses absences. Apprendre à vivre sans elle, ça allait être tout nouveau.
Apprendre à vivre sans elle, c’était une putain d’épreuve. Je ne savais pas comment j’allais faire, bien qu’elle ne fût que très rarement là, avec moi à la maison, elle me manquait. La, j’apprenais à grandir, à me développer sans l’amour maternelle, sans la confiance d’une mère, sans la fierté d’une maman qui vous regarde partir à l’école, le cartable sur le dos. Grandissant seul, avec un père toujours absent, je ne savais pas comment faire, comment gérer ce manque d’amour parental qui m’envahissait. Comment réagir face à la détresse qui se manifestait ? Je n’en avais aucune idée. Après l’accident de ma mère, je n’avais pas voulu voir de quelle façon elle avait fini, je ne voulais pas voir dans l’état qu’elle était, malgré l’effort que mon père me demandait de faire. Le chantage affectif, il n’y a qu’à ça qu’il marchait ce connard. Après l’accident de ma mère, j’ai commencé à dealer, à acheter de la beuh pour ma consommation personnelle, puis ensuite, j’ai commencé à la fumer avec des potes, pour enfin finir par leur vendre ce qu’ils voulaient. Je me faisais de plus en plus d’argent et eux devenaient de plus en plus accrocs à ce que je leur vendais. Cette drogue qu’ils achetaient, c’était de la vraie merde, moi je ne la fumais même pas, je n’avais jamais osé, cependant eux, ils y allaient tête baissée pour noyer leurs soucis qui devenaient sois disant mirages, grâce à cette belle merde. Depuis sa mort, je faisais n’importe quoi, je devenais une vraie loque, un dealer, j’ai violé une fille alors que je n’étais pas encore majeur, elle non plus, par bonheur, du moins, non pas par bonheur, mais si j’avais été majeur, j’aurais été passible d’être emprisonné. Ce viol m’a couté ma conscience et mon amour propre, que je fais mine d’entretenir, bien qu’il soit déjà mort depuis. J’ai commis un vol à main armé qui a été un véritable échec. Je suis arrivé dans le bureau de mon père armé et masqué, le fait est que j’avais oublié d’enlever mes chaussures, cousues à ma demande, j’étais donc le seul à les avoir, et ayant assuré la promotion quelque peu mondiale de cette paire de chaussures unique, mon père les avaient vues, et donc m’avait reconnu et avait rit de moi. Je me rendais souvent chez un psychologue, bien sur financé par mon très cher père. Les séances se ressemblaient toutes. Toujours la même chose, les mêmes questions, les mêmes larmes qui bordaient mes yeux, et les mêmes silences qui empêchaient ma voix de sortir. J’étais si fatigué, si désemparé. Démarche assurée et rebelle, dans la rue, quelques mois c’était passé après le décès de ma mère. Les obsèques avaient été grandioses, bien qu’étant tristes, beaucoup de monde était venu pour rendre un dernier hommage à ma maman. Je me rendais une fois par semaine au cimetière. J’étais pour ainsi dire, très lié à ma mère, nous nous aimions énormément. Qui a dit qu’on pouvait aimer une fille plus qu’on aime sa mère ? J’aimerais bien connaitre cette personne, car moi, je n’ai jamais aimé autant que j’ai aimé ma mère, et ce dans tous les cas d’amour que j’ai connu. Je n’en connaitrais d’ailleurs plus jamais, je l’espère. L’amour ne se contrôle pas, il ne se cherche pas, il vous tombe dessus, et il ne vous quitte plus. Dans la rue, à l’âge de mes seize voir dix-sept ans, je commençais à prendre de l’assurance, à changer de style, du petit garçon très chic, j’étais passé au jeune rebelle, la clope au bec, la veste en cuir et les ray-ban sur les yeux, les journalistes de presse pour jeunes s’arrachaient mes apparitions qui finissaient pour la plupart du temps en scandale. Sortie de première partie, arrivée en boite, sortie de boite complètement défoncé et bourré, les journalistes de presse adoraient ça, et moi, j’adorais l’idée que mon père tombait sur ses magasines et j’aimais aussi le fait que son image à lui en prenait un coup. J’étais milliardaire, je n’avais plus besoin de travailler, pourquoi je devrais encore aller à l’école ? Un nouveau conflit avec papa, j’adore, c’est vraiment un de mes passe temps favoris.
Les conflits avec mon père alimentaient ma vie, ils alimentaient tout ce qui servait à mon orgueil, à mon amour propre, à la confiance que je me porte. Ça parait assez loufoque ce que je dis, certes, mais, c’est bel et bien la vérité. Soit. Tout cela n’a pas duré longtemps, dès que j’eus mes dix-huit ans, je suis partit pour faire un tour dans le monde entier, pendant tout un été, puis, jusqu’à l’hiver. En revenant à New-York, je revis bien évidemment mes amis, mes meilleurs amis, ceux que je n’avais pas perdu de contact. J’aurais aimé que certains d’entre eux puissent me suivre, venir avec moi faire ce tour du monde, et non le vivre en solitaire. Tout ceci m’a bien sur permit de me retrouver avec moi-même, de faire le point sur qui j’étais et de pouvoir faire un break avec toute ma vie new-yorkaise. Mon père me versait de l’argent tous les mois, il faisait beaucoup de choses pour moi, pour que j’arrête bien sur mes scandales, et que j’arrête d’être disponible pour la presse, que j’arrête d’être une proie facile pour les photographes de presse. Moi, j’aimais bien. Mon style vestimentaire avait beaucoup changé aussi, et mon père n’approuvait pas du tout ce que je devenais. Moi vingt-deux ans, lui bientôt cinquante, il était toujours resté dans son époque costard cravate et rien d’autre. J’aurais aimé partager des choses avec lui, sincèrement, mais il ne me tendait jamais une perche, il ne faisait rien pour que l’on puisse apprendre à se connaître, apprendre à s’aimer. Souvent, je traîne le soir dans les bars, je me laisse allez, je bois, je fume, je me prends des cuites complètement horribles, à ne plus pouvoir bouger, à vomir partout. J’ai connu quelques histoires de flirt, de cœurs, cependant, j’ai connu une histoire d’amour, celle qui me fera détester les femmes plus que tout, celle qui me rendra le plus égoïste des hommes, celle qui fera de moi peut-être un enculé de première, mais ma foi, j’assume. En bref, je suis sorti avec une fille au lycée, elle était d’une beauté rare, une gentillesse extrême, et j’en ai d’ailleurs encore l’eau à la bouche en y pensant. Le sexe était présent dans notre relation, qui fut de courte durée, un mois tout au plus. Pourtant, j’appris, ce qui fut la cause de notre rupture, que tout n’était qu’un pari pour elle, puis elle disparu. Depuis, je ris des femmes, je m’amuse d’elles, mais y’en a-t-il seulement une qui pourrait me redonner confiance en elles, humains du sexe opposé ?
Dernière édition par Maëlys A. Spencer le Mer 15 Fév - 23:36, édité 1 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: tell ny the bitch is back. Mer 15 Fév - 22:53
MAËLYS' BACK Rebienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: tell ny the bitch is back. Mer 15 Fév - 22:53
Bienvenue ici si tu as des questions n'hésite surtout pas & bon courage pour ta fiche
tu étais qui avant ? (a)
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: tell ny the bitch is back. Mer 15 Fév - 22:54
re-bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: tell ny the bitch is back. Mer 15 Fév - 23:03
(re) - bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: tell ny the bitch is back. Mer 15 Fév - 23:06
Rebienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: tell ny the bitch is back. Mer 15 Fév - 23:12
rebienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: tell ny the bitch is back. Mer 15 Fév - 23:24
ohhhhhhw, thank's all! j'étais déjà maëlys avant, mais avec robert sheehan.
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: tell ny the bitch is back. Jeu 16 Fév - 0:09
Il me semblait aussi que ça me disait quelque chose
Re-bienvenue parmi nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: tell ny the bitch is back. Jeu 16 Fév - 0:10
thank's.
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: tell ny the bitch is back. Jeu 16 Fév - 0:56
merci de ne pas poster hors de ta fiche, tant que tu n'est pas validé (:
Sujet: Re: tell ny the bitch is back. Jeu 16 Fév - 15:40
Re-bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: tell ny the bitch is back. Jeu 16 Fév - 18:30
merci à tous. may ne peut pas vivre sans carty, il est donc indispensable.
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: tell ny the bitch is back. Jeu 16 Fév - 20:55
Bienvenue,
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: tell ny the bitch is back. Jeu 16 Fév - 20:59
thank's. *-*
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: tell ny the bitch is back. Sam 18 Fév - 23:59
Validé !
Un système d'intégration est mis en place sur le forum sous forme de flood d'intégration, mélangeant anciens et nouveaux membres, n'hésite pas à t'y inscrire ! N'oublie pas de compléter ta fiche personnage, ton profil et de faire toutes les demandes nécessaire. Si tu as la moindre question ou problème, tu peux bien sur contacter un membre du staff par MP. Et puis tu peux bien sur voter toutes les deux heures pour aider le forum en cliquant sur le muffin (a)
Have Fun !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: tell ny the bitch is back. Dim 19 Fév - 0:05
merci beaucoup. ))
Contenu sponsorisé
Empire State of Mind
Sujet: Re: tell ny the bitch is back.
tell ny the bitch is back.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum