« Cherchez au fond de mon âme, vous tomberez plus bas que vous ne l’êtes déjà. » • Daniel
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Sujet: « Cherchez au fond de mon âme, vous tomberez plus bas que vous ne l’êtes déjà. » • Daniel Dim 19 Fév - 22:37
FEAT. JOSEPH MORGAN
Daniel Gerry William Levinson
27 ans → Né à Londres un 28 novembre 1985 → Exerce en tant qu'avocat aux barreaux New-Yorkais célibataire → hétérosexuel → membre des populars.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Je suis né à Londres, superbe ville • Depuis tout petit j'ai une réelle fascination pour le voyage, que de mieux qu'aller découvrir de nouveau pays • Je possède une petite soeur que je considère comme la prunelle de mes yeux • J'ai perdu mes parents à l'âge de 15 ans, on m'a souvent dit que depuis ce jour j'étais devenu quelqu'un d'autre, qui sait peut-être • J'adore la gastronomie française & italienne, un régal • J'ai toujours été excellent dans mes études, ce qui m'a permis de choisir le métier que j'exerce • Je n'ai jamais été dans le besoin, un réel enfant pourri gâté • Je suis avocat aux barreaux de New-York • Durant mon enfance j'ai énormément été accompagné par la solitude, je crois qu'elle ne ma jamais lâchée • J'ai souvent entendu dire que j'étais le dernier des enculés • Je me suis fiancé à une charmante jeune femme que j'ai laissé tombé • Je crois n'avoir aimé qu'une fois durant ma courte existence • J'ai beau être assez populaire je suis quelqu'un de très peu sociable, sauf quand il s'agit de conclure sous la couette, la j'assure comme un chef • J'adore regarder le visage déconfit des coupables qui comprennent qu'ils vont finir entre quatre douches • Le cynisme est une seconde nature • J'habite en plein coeur de Manhattan • Je crois être tombé sous la coupe d'une jolie blonde, d'ailleurs si je suis ici c'est surement à cause d'elle • Mieux vos pas s'attaquer aux personnes qu'ils me sont chers, même s'il y en a peu • J'adore me balader nu chez moi • Je réfute la faiblesse, c'est une vieille ennemie • J'ai souvent cru comprendre qu'on préférerait me voir mort, peut-être pour bientôt • J'adore le scotch et le whisky • Je pourrais traverser toutes les mers du globe sur un simple coup de tête • Mon plus grand secret est que je déteste la vie, ce qu'elle représente, après tous nous ne somme là que pour vivre • Je n'ai jamais touché à une clope de ma vie, surement un truc à faire avant de succomber
★Quel est le caractère de ton personnage? → Je pense que l'on pourrait me qualifier de véritable enfoiré, chose qui aux dernières nouvelles ne m'affecte aucunement, je trouve ça même particulièrement amusant. Après tous je n'ai jamais réellement fait attention aux jugements des gens, à ce qu'ils pouvaient penser, aux regards que l'on pouvait me lancer, sauf peut-être à ceux de ma famille et des jolies filles qu'il m'est été daigner de rencontrer bien sûr. Tout au long de ma vie je n'ai cessé d'écraser et de marcher sur les autres et je dois dire que j'en ai pris grand plaisir. Je crois n'avoir jamais ressenti de l'en pâtit ou de la pitié pour quelqu'un, ce n'est pas des sentiments qui sont souvent apparu dans ma vie et je ne m'en porte pas mieux. D'après le psychiatre qui m'a suivis après la mort de mes parents, c'était monnaie courante et il n y avait pas lieu de s'inquiéter. Depuis j'ai souvent rêvé de lui faire la peau et de lui dire à combien il m'avait fait chier durant cinq ans, mais il détenait une ou deux informations à mon sujet que je préférais ne pas voir étaler au grand jour. Il me semble que la seule personne qui arrive encore à me tenir un minimum éloigné de mon dégout pour les gens et pour la vie est ma sœur, une jeune fille en or sur qui j'ai veillé quasiment toute ma vie. Elle reste ma perle rare et mieux vos en rester éloigné si l'on ne souhaite pas que je redevienne le terrible méchant loup que l'on a souvent décrit.
Well ... It's my story ...
chapitre un ; « Donner un sens à ma vie, ça aurait été comme jouer la 5e symphonie de Beethoven avec les ongles sur un tableau. »
Une falaise surplombant l'océan, un regard se perdant dans son immensité, le mien, se noyant au fur et à mesure dans les larmes qui roulaient le long de mes joues. Je ne savais absolument plus du tous où j'étais rendu et je n'avais pas la moindre idée ce qui pouvait encore me retenir de sauter et d'aller me briser sur les rochers en contre bas. Peut-être un peu de courage ou alors une personne. Une personne à laquelle je ne pouvais cesser de penser, de rêver, d'imaginer. Malheureusement aux dernières nouvelles ma vie n'avait été qu'une suite d'emmerdes et cela n'allait pas en s'arrangeant, alors me voilà face au gouffre prêt à m'engloutir. J'étais né non loin d'ici, dans une ville connue de tous et qui portait le doux nom de Londres. J'aurais adoré pouvoir y retourner, effleurer la tombe de mes parents et sentir leur présence réconfortante, mais c'était impossible, je n'arrivais plus à mettre un pied dans cette ville que j'avais tant chérie et qui était à présent l'un de mes pires cauchemar. Je ne saurais dire pourquoi, c'était juste ainsi et je ne pouvais que m'y résoudre. À présent ma vie se trouvait ailleurs, de l'autre côté du globe, à New York. Déjà depuis tout petit j'avais l'habitude d'y séjourner quelques jours et j'avais eu l'occasion d'y faire des rencontres merveilleuses, une en particulier. Mais un bonheur n'arrivant jamais seul c'est également cette ville qui a engloutit mes parents, victime d'un terrible accident de voiture. Depuis ce jour j'ai appris à craindre et à haïr la vie, cette chose à laquelle on s'attache, mais qui fini toujours par nous tourner le dos. J'ai souvent entendu dire que depuis ce jour mon regard à changer, qu'il était tout autre, qu'il n y avait plus rien de bon en moi et j'avais la désagréable sensation de me retrouver dans une de ces vieilles sitcom américaine. Comment pouvais t'on me juger alors que je venais de perdre ce à quoi je tenais le plus sur cette terre. C'est à dater de ce jour que j'ai pris la décision d'arrêter de fuir et de regarder derrière moi. À présent j'étais un orphelin qui vivrait à jamais sans repère et qui devait ce forger un caractère qui déplairait surement à d'innombrables personnes et bien sûr ça n'a pas manqué. Je ne jetais plus que des regards de dégout et de haine aux personnes qui m'entouraient, sauf peut-être à ma sœur que je m'étais juré de protéger jusqu'à ce que la mort me gagne, chose que j'avais cru inévitable à d'innombrable reprise. À l'école j'étais devenu le gamin détester et craint de tous, je ne sais pas si c'était la bonne chose à faire, mais je n'avais d'autre choix, je ne pouvais plus me cacher derrière les jupes de ma mère, je devais faire face et ce même si la peur me tiraillait le ventre. Chaque jour était un nouvel enfer, une nouvelle chose à découvrir et à arpenter, je n'avais aucune idée de ce que j'allais devoir affronter.
chapitre deux ; « Monsieur, quand le doigt montre le ciel, l’imbécile regarde le doigt. »
Vagabondant aux creux des courants, je ne savais pas trop ce que j'étais venu faire en haut de cette corniche. J'avais comme une sensation de déjà vue et j'étais quasiment sur d'être déjà venu admirer ce paysage, mais je n'avais aucune certitude. Mes parents et moi n'avions passé que de rare moment ensemble lors de mon enfance et je dois bien avouer que j'aurais adoré pouvoir encore sentir la main de ma mère dans la mienne, chose impossible. La solitude était donc une vieille amie et elle et moi avions appris à parfaitement se connaitre, mais il est vrai qu'elle me procurait toujours autant de peine. La seule différence était que maintenant celle-ci était profondément enterrée, laissant donc place à un être froid, calculateur et foncièrement méchant à ses heures perdues. Je sais pertinemment qui je suis et comment j'agis, mais je suis bien ainsi alors je ne vois pas pourquoi je changerais maintenant. Cela faisait un petit moment que je n'avais pas refoulé le sol anglais et je dois bien avouer que j'avais oublié au combien les paysages était magnifique, magique. Mais des événements m'avait contraint à le quitter, des choses qui s'était passer il y a maintenant dix ans et dont je n'étais pas particulièrement fière, mais pour lesquels je n'avais aucun regret. Après la mort de mes parents moi-même et ma sœur somme retournée en Angleterre pour vivre avec nos grands parents, des gens que nous ne connaissions que très peu et que nous n'avions rencontré que durant certaines vacances. Si je me souviens bien je crois que mon père avait une altercation avec eux et avait fini par ne les voir que par pur politesse. C'était des gens charmants, mais avec un terrible caractère. C'est lors de mon dix neuvième anniversaire qu'une volante engueulade éclata et que je lâchai mot pour mot « Vous n'êtes absolument rien pour moi, rien ! » Une phrase dur, mais cela avait été ainsi. À dater de ce jour je quittai le Royaume-Uni pour me rendre en France, un pays à la fois sublime et voluptueux, connu pour sa gastronomie et ses jolies filles. Je n'ai jamais revu mes grands-parents, d'ailleurs je ne sais pas s'ils sont toujours vivants, mais étant donné que ma sœur ne m'a rien dit cela doit être toujours le cas. Le souffle court, je sentais les embruns et le vent me fouetter le visage, une sensation bien d'ici que l'on avait très peu l'occasion de ressentir ailleurs. Je ne savais toujours pas ce que je faisais ici, ni pourquoi. J'avais juste pris le volant et conduit sans appuyer une fois sur la pédale de frein, quelque chose m'avait conduit jusqu'ici, peut-être mon cœur, même si celui-ci avait cessé de battre il y a de ça treize ans.
chapitre trois ; « Quand on s’accroche trop au passé, on se condamne à ne pas avoir d’avenir. »
J'avais vagabondé, errer comme une âme en peine et je n'avais jamais réussi à apporter de réponse à mes questions. Finalement j'avais la désagréable sensation de n'être qu'un être solitaire condamné à poursuivre une vie triste et sans joie, remplie de haine. Cela pouvait sembler horrible, mais bizarrement cela me faisait ni chaud ni froid, comme si j'avais accepté cette terrible évidence. Malgré cela j'avais quand même rencontré au cours de mon existence des personnes sur qui j'avais pu compter, mais qui dans la plupart des cas avait quand même fini par me poignarder dans le dos. Il était quand même terrible de se dire que la seule personne sur laquelle on avait un minimum confiance était soit même, mais c'était ce que j'avais ressentit durant des années et encore aujourd'hui. J'avais pensé que mon périple en France m'aurait permis d'en apprendre un peu plus sur moi-même, de faire de nouvelle rencontre et de découvrir de nouveau horizon, mais ça c'était uniquement ce qu'il y avait marqué sur la brochure. L'être que j'étais ne plaisait pas à tout le monde, particulièrement à la gente masculine et je n'ose même pas compter le nombre de fois où j'ai dû cogner sur l'un d'entre eux pour pouvoir survivre et perdurer en paix. Heureusement pour moi j’eus la chance de me faire quelques connaissances qui m'aidèrent à prospérer au sein de la capitale francophone. Comme beaucoup aurait pu le deviner je n'ai pas passé des années de rêve à Paris, j'y ai juste étudié et appris de nombreuses choses, mais surtout le faite que plus jamais je n'accorderais ma confiance à quelqu'un, enfin ça c'est ce que je pensais à l'époque. Une fois mon diplôme en poche je n'avais d'autre choix que de retourner au point de départ, d'à nouveau arpenter le quai qui m'avait vu partir il y a de cela quatre ans. Je n'avais pas remis les pieds en Angleterre depuis ce jour là et cela en avait été mieux ainsi. Mais le pays me manquait et j'avais besoin de revenir aux sources, redécouvrir les ruelles de Londres, je crois que c'est la dernière fois que je les ai foulé. J'avais pris la décision de ne rester que quelques semaines, juste histoire de me préparer à un nouveau périple, un nouveau voyage qui allait me mener de l'autre côté de l'océan, mais c'était sans compter sur l'intervention du destin. Je n'aimais pas repenser à cette période de ma vie, je ne l'aimais pas particulièrement, peut-être était-ce parce que j'avais été heureux ou que j'avais dû faire les choix les plus cornéliens de mon existence, je n'en sais toujours rien.
chapitre quatre ; « Tu ne peux pas forcer les gens à t’aimer, mais tu peux les forcer à te craindre. »
Il y a des nuits où il m'arrive encore de rêver d'elle, sentant à nouveau son corps effleurer le mien, pouvoir sentir l'arôme de son parfum et caresser ses lèvres. Elle est pour moi une drogue, une drogue dont je suis en manque et dont j'ai besoin, mais la vie en a voulu autrement. Quand je repense à elle je ne vois que douleur et souffrance alors que cela devrait être le contraire, mais c'est ce qu'elle a fini par m'apporter. Je l'ai rencontré quelques jours avant la mort de mes parents et elle n'était alors qu'une simple gamine se couvrant derrière son père par crainte d'être effrayé. Je me souviens encore des premières images qui me sont apparu lorsque je l'ai vu, mais je me trompais totalement. Finalement on a fini par sympathisé et à devenir ami, même si je ne savais pas trop en quoi consistait la tâche. Elle était l'une des premières personnes pour laquelle j'avais de réelle bonne intention, je ne lui souhaitais que du bonheur, mais avec le temps viens les ruptures et les séparations, c'est ce qui nous arriva également. À l'époque j'avais dû revenir à Londres pour finir la vie que j'y avais entamé et elle continuait la sienne de l'autre côté du globe. Les hivers passaient et les cartes se perdaient, le temps décidant de les avalés. La vie défilait à une vitesse folle et je me surprenais encore de voir au combien les choses n'avaient finalement que très peu d'importance, que l'on pouvait faire des choses et ne jamais les regretter. Lors de mon retour dans la capitale britannique j'avais au départ pensé ni faire qu'un court séjour, ne pas y rester bien longtemps, mais c'était sans compter sur l'intervention d'une jeune femme qui se prénommait Zoey, la femme que j'allais finir par épouser et trahir, lui laissant un terrible fardeau, celui de m'avoir rencontré. Je l'aimais, enfin je crois, je l'espère. Elle avait été une étoile scintillant dans un horizon sombre et ponctué de tristesse et je me demande encore en quoi je me suis permis de tant la faire souffrir. Si mes souvenirs ne me jouent pas des tours nous nous sommes rencontré aux coins d'un carrefour, je me rendais chez un ami lorsque je l'ai aperçu, elle portait une robe à poids et s'apprêtait à disparaitre de mon horizon, mais je me lançai à sa poursuite et depuis ce jour je n'ai cessé de courir derrière elle, c'était bien la première fois qu'une telle chose arrivait. Elle avait été la première personne depuis des années à réussir à abaisser mes remparts et à me découvrir telle que j'étais, une chose rare. Emporter dans cet élan je lui demandai donc de m'épouser, de devenir ma femme, mais c'est à partir de ce moment que cela commença lentement à se gâter.
chapitre cinq ; « Si t’as besoin de marquer ton territoire à ce point la, pourquoi tu lui pisses pas carrément dessus ? »
Le ciel était d'un gris rare et il n'allait sans doute pas tarder à pleuvoir. La mer était toujours autant agitée et les lames venaient s'écraser contre les rochers sur lesquelles j'avais hésité à me précipiter en contre bas. La vie dans ses rares moments de bonté m'avait accordé des moments particulièrement intense et riche en émotion, mais elle m'avait également donné l'occasion de découvrir les joies de la souffrance. Cela remontait à l'époque où je vivais encore à Londres en compagnie de ma future femme, je possédais une vie superbe, mais il a fallu que je le gâche, la raison en valait peut-être la peine, je n'en sais toujours rien. Un hasard avait fait basculer mon existence, ne me laissant pas la moindre chance. Je peux encore l'apercevoir me croiser dans cette rue bien trop connu de la capitale anglaise, elle avait changé, elle était devenue une magnifique jeune femme et je ne pus empêcher mon cœur de chavirer au premier regard. Depuis mon enfance je n'avais toujours pensé qu'à moi, délaissant les autres pour ne me consacrer qu'un sensible intérêt, ne pensant pas aux conséquences de mes actes, mais cela avait nettement changé depuis ma rencontre avec Zoey. Entre temps, c'est lors d'une de mes virées nocturnes que je fis une rencontre surprenante. En effet c'est au détour d'un comptoir que je croisai le chemin d'un jeune homme qui avait réussi à se mettre dans de belles emmerdes. Heureusement pour lui j'avais passé une journée de merde et j'étais de mauvais poiles alors j'avais une réel envie de me défouler et de taper sur deux ou trois personnes. J'appris un peu plus tard dans la soirée qu'il s'appelait Tino et que l'alcool et lui ça faisait deux. Bizarrement je me pris d'affection pour lui, moi qui n'avais jamais vraiment aimé la compagnie des autres lui j'arrivais à le tolérer, j'appréciais même cela, comme quoi la vie quelques-fois vous apporte des choses inattendues. Je réussissais à trouver un équilibre. Malheureusement la belle Amethyst décidait de faire un come-back inattendu ravageant tous sur son passage. Notre complicité était toujours au beau fixe et bientôt cela se clôtura par une partie de jambe en l'air dans un hôtel de la ville. Bien sûr cela ne dura qu'un temps avant que la jeune femme n'éprouve des remords envers ma compagne, celle qui partageais ma vie et que je faisais surement souffrir et le pire dans tout ça c'était que je m'en fichais. C'est à ce moment là que je compris que j'étais réellement le roi des enculés et je m'en foutais royalement, tout ce que je voulais c'était passé ma nuit dans ses bras. C'est lorsque je fus pris d'un profond remord que je finis par tout avouer à ma fiancée, bien sûr je récoltai une jolie gifle et un juron bien placé. Les fiançailles avortées je pouvais vivre une nouvelle aventure en compagnie de la charmante demoiselle qui faisait bondir mon cœur, mais elle avait déjà disparu, retourné d'où elle venait, à New-York. Je n'avais donc plus qu'une chose à faire moi-même décoller pour le nouveau continent, décidant de tout abandonner derrière moi.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Alex & 18 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Ce n'est pas la première fois que je m'inscris (a) ★Ce personnage est-il un double compte ? → Du tous ★Présence sur le forum → Ca reste à voir ★Personnage inventé ou scénario ? → Scénario d'une jolie blonde
Mon exemple de RolePlay:
→ S'il n'en avait tenu qu'à moi, je serais rentré de force dans cette maison après avoir fracturé la porte de derrière. Malheureusement je n'avais jamais fait carrière en tant que cambrioleur et je n'étais pas ce qu'on pouvait appeler un as des serrures. Il m'arrivait déjà d'avoir du mal à ouvrir ma propre porte de chambre sans mettre ou deux coups d'épaules, alors celle d'une autre ce n'était même pas la peine d'essayer. En plus de ça il s'agissait de celle de Reagan, faudrait vraiment vouloir y laisser la vie pour tenter une telle chose, quoique je suis sûr qu'elle serait remplacé dans les plus bref délais. Après tout quand la jolie blonde demande quelque chose on ne discute pas, on exécute. C'est donc au contact du vent frais que je devais attendre qu'elle vienne m'ouvrir sa jolie porte en bois massif, c'est que quand on est riche on ne se prive de rien. Je ne savais pas trop si j'avais pris la bonne décision en venant ici de si beau matin, surtout quand j'apercevais sa jolie frimousse mécontente perchée sur son balcon. C'était bien la première fois qu'elle me tirait une tête pareille, ce qui renforça mon idée de pénétrer dans sa charmante demeure, mais la véritable question était, allait-elle vouloir m'ouvrir. Mon avis était que oui, mais je pouvais me tromper, après tous même si c'était une amie particulièrement proche, je ne connaissais pas encore tous d'elle. Ce côté sombre de sa personnalité en faisait partie. Pour moi Reagan rimait toujours avec jovialité et rigolade, mais aujourd'hui ce n'était plus ça. Déjà avant même d'arriver sur le palier de la maison j'étais persuadé qu'il s'était passé quelque chose, quoi, je n'en avais pas la moindre idée, mais il était sûr que cela l'avait grandement affecté. Me concernant j'avais l'impression que cela avait été tout le contraire, j'avais vécu ces dernières semaines des choses d'une rare intensité et tout allait bien dans le meilleur des mondes pour moi. C'est donc avec ma grande jovialité que je débarque ici, face à une jolie blonde au visage éperdument triste. Avec ma grande bonté je ne pouvais rester la les mains dans les poches à la regarder s'enfermer dans sa jolie tour, je devais faire quelque chose et mon domaine de prédilection n'était autre que la connerie. J'étais également bon dans d'autre domaine, mais celui-ci surpassait tous les autres et au moins j'étais sur de réussir à décrocher un sourire, enfin c'est ce que j'espérais, car sinon j'étais vraiment mal barré. Habituellement j'étais accompagné par ma belle acolyte aux cheveux d'or, mais aujourd'hui j'allais devoir me produire en solo. Ce n'était pas que cela me dérangeait, mais j'allais devoir innover, sans quoi je serais foutu à grand coup de pied dans le cul, enfin c'est une façon de parler. La tête toujours penché vers l'arrière pour apercevoir le balcon sur lequel c'était perché la princesse je devais faire un effort exceptionnelle pour que mes yeux ne finissent pas aveugler par un soleil d'une rare intensité. On avait beau encore être en automne, le beau temps n'était pas décidé à quitter la baie de San Francisco, tous comme moi je n'étais pas prêt de quitter ce charmant perron qui m'offrait une vue magnifique sur la grille ou une dizaine de paparazzi essayait de mitrailler la célèbre chanteuse en charmante tenu. D'ailleurs je me demandais bien où elle avait pu aller piocher tous ça, surement dans les nombreuses penderies que la maison disposait, quand je pensais à moi qui devais partager la mienne avec un colocataire qui ne savait rien faire d'autre qu'étudier. Ce n'est pas que les alphas étaient chiants, mais sérieusement faudrait qu'ils apprennent à faire autre chose de leurs dix doigts que d'ouvrir un livre. « Terrible genre fantastique ou horrible ? Non. Ne dis rien, je préfère garder le mystère. » Et un point pour blondie. Au moins je pouvais être fier de moi, j'avais réussi à la faire réagir, bien qu'elle me regardait encore et toujours de haut. Je me demandais bien quand elle allait enfin se décider à descendre pour m'accueillir de la meilleure des façons, enfin d'une manière autre que celle-là en tout cas. Si je ne la connaissais pas je me serais dit qu'elle était vraiment très chieuse, mais heureusement pour moi je savais qui elle était et arrivais à anticiper une ou deux de ses réactions. « Alors laissons planer ce mystère que tu aimes tant. » Après tous c'est-elle qui le voulait et puis elle savait pertinemment qu'entre nous il n'y aurait qu'une très belle amitié. Il est vrai que si on m'avait dit il y a un an qu'un jour je serais copain comme caméléon avec la célèbre Reagan, j'aurais trouvé la plaisanterie très amusante. Comme quoi la vie vous réserve quelques fois d'heureuse surprise. D'ailleurs dernièrement j'avais eu le droit à une pluie de cadeau, je ne savais pas si c'était l'arrivée de Noël qui faisait ça, mais j'avais eu une chance de veinard. J'aurais peut-être dû également joué au loto, je serais devenu milliardaire et aurait vécu un conte de fée jusqu'à la fin de mes jours. Heureusement pour combler cela je pourrais toujours regarder les grands classiques de Disney en compagnie d'une chanteuse aux cheveux couleur pétale d'or. En y repensant cela faisait bien longtemps qu'on ne c'était plus fait une journée de glandage interminable posé devant son écran géant. C'était qu'on avait quand même bien déconné la dernière fois qu'on c'était fait un truc pareil. « C'est con, moi je fais que dans le chocolat. J'aurais préféré que tu dises que tu m'adores tu sais ! » Celle-là elle me surprendra toujours. Tantôt une véritable femme d'affaire prête à tous pour obtenir ce qu'elle veut, tantôt une grande enfant faisant chier son monde. C'était ce que j'appréciais chez elle, chaque parcelle de sa personnalité, peut-être parce que j'arrivais à m'y retrouver et que cela me faisait plaisir de délirer avec une personne qui me comprenait. Je n'en savais rien, sauf que je tenais beaucoup à elle et que ça me faisait chier de la voir comme ça. « Ah oui en effet comme tu l'as dit c'est con. Ouais je me doute, mais tu sais combien j'ai du mal à mentir aux gens. » Un partout non ? Heureusement qu'elle savait que je déconnais sinon j'aurais aucune chance de mettre un pied dans cette baraque.
Finalement la fée clochette fraichement rhabillé eu la gentillesse de me laisser franchir le pas de son intérieure magnifiquement décoré. Ce n'était pas la première fois que je venais ici, mais j'avais l'impression qu'à chacune de mes visites quelque chose avait changé ou bouger de place. C'était sans doute un effet d'optique au vu de la grandeur de la demeure, mais ça pouvait paraitre quelque peu effrayant. Je me demandais bien comment il pouvait ne vivre qu'à deux ici, quelques fois ils devaient leur arrivée de ne jamais se croiser pendant des jours au vu de la surface carré, de mon point de vue c'était quelque chose de dingue, du leur je n'en avais pas la moindre idée. La dernière fois que j'avais vu un tel espace je me trouvais encore sur un terrain de base-ball prêt à lancer la balle entouré de gradins remplie d'innombrables personnes, espérant que cela soit une balle courbe. Ce temps me manquait et je rêverais de pouvoir à nouveau mettre les pieds sur cette terre qui m'avait valu tant de gloire. Malheureusement elle m'avait également fait tomber dans les baffons du dopage et je ne voulais plus revivre une telle chose. Peut-être un jour refoulerais-je un terrain, mais ce ne sera pas pour tous de suite. La tristesse que j'avais eu en le quittant je m'en souvenais encore et je pouvais voir un peu près la même dans le regard de Reagan, elle n'était autre qu'une jolie jeune femme au cœur en berne, ne souhaitant plus vouloir se battre pour quelque chose déjà perdu, qu'elle ne reverra plus. Je n'avais toujours pas la moindre idée de ce qui avait pu se passer dans sa vie pour qu'elle réagisse ainsi, mais une chose était sûr, elle en avait été gravement affectée, suffisait voir l'état de la maison, on aurait pu croire qu'une tornade était passé par ici. On ne pouvait pas se tromper on se trouvait bien dans une demeure de rockstar. Passant de pièce en pièce, essayant de suivre la maitresse de maison qui prenait un malin plaisir à jouer à cache-cache, je finis par la suivre dans la cuisine. J'étais venu ici pour savoir ce qui avait bien pu lui arriver, mais plus je réfléchissais à cette idée, plus je me disais que j'avais été con de croire qu'elle me dirait absolument tous, après tous Reagan n'était pas une adepte de confession intime, elle se qu'elle préférait c'était déversé son chagrin sur une feuille de papier et en faire une superbe musique. Si j'avais voulu tous savoir il m'aurait suffit d'acheter son prochain album. Mais étant son ami et non un fan de la dernière heure, j'avais accouru sans me prendre les pieds dans le tapis, pour savoir ce qu'elle avait. J'allais être servi. À peine avais-je porté la tasse à ma bouche qu'un son assourdissant résonna dans toute la maison, me faisant recracher la moitié de ma goulée, je vous jure les voisins doivent péter un plomb avec une énergumène pareil défois. M'enfin je ne pus lui en vouloir étant donné que le son en question n'était autre qu'une célèbre musique d'Elvis Presley, on dirait bien que pour les réponses à mes questions ce n'était pas pour tous de suite et finalement c'était pas plus mal, faire les cons c'est toujours plus amusant, surtout qu'en tant que psychologue je ne vaux pas un caramel. « Oh aller, ne me dis pas que tu préfères parler à cœur ouvert plutôt que de t'éclater un moment. » Elle souriait, c'était la première fois qu'elle le faisait depuis mon arrivée, c'était un petit pas pour moi, mais un gigantesque pour elle. On dirait bien que c'était partit pour une folle mâtiné de connerie en compagnie de la jolie princesse habitant ces lieux. « Tu me connais trop bien, c'est injuste t'avais déjà gagné la partie avant de la commencer ! » Une moue forcée, si ça avait été un gamin de dix ans qui l'aurait prononcé ça aurait été pareil. Cela faisait plaisir de la voir s'éclater, dansant et chahutant jusqu'au living room, moi j'étais toujours scotché à mon tabouret, la regardant la bouche tirailler entre le cul de poule et le sourire, c'est moi où j'avais l'air d'un total abrutis ? Au pire ça ne changeait pas de d'habitude. « PUSSY ! » Bon et bien je crois qu'il en était foutu et qu'il était temps de mettre sa fierté de côté et de suivre le délire de la jolie blonde. « Entre nous deux je suis sur d'être le moins pussy ma chère. » Attrapant sa main je me levais et la fit tournée sur elle-même, histoire qu'elle nous montre ses talents de danseuse, ils étaient très bien caché. Pour la discutions s'en était terminé, pour les conneries aussi drôles les unes que les autres ça venait de commencer. « J'ai pas envie d'en parler, navrée ! » Ah bon ? Si elle ne me lavait pas dit je crois bien que je n'aurais pas réussi à le deviner. « Je crois que j'avais compris, mais maintenant il va falloir que tu me montres ce que tu as dans le ventre jolie blonde. » Mais j'étais aussi un piètre danseur et je pense que c'est ce qu'il y a de plus drôle dans tout ça. Suivant les dignes pas d'Elvis j'essayai d'être son égal, résultat j'étais juste entrain de m'afficher, mais c'était plutôt tordant. « Sois juste mon pote, comme d'habitude, fais comme si de rien n'était, c'est tout ce que je te demande. » Je pense aussi que finalement c'était ce qu'il y a de mieux à faire, ça serait tellement plus simple pour nous deux. Et puis ce n'était pas trop mon truc de vouloir tirer les vers du nez lorsqu'une personne souhaite juste s'amuser. Après tous la seule promesse que je m'étais faite aujourd'hui c'était de lui soutirer un sourire, c'était chose faite, maintenant il me fallait un rire. « Alors que tes désirs soit des ordres Raiponce, tu sais très bien que je serais toujours la pour te soutenir dans ta connerie. » J'avais toujours été la pour ça, ce n'est pas maintenant que cela allait s'arrêter. En plus qui pourrait lui dire non ? Certainement pas moi, surtout lorsqu'elle me regardait comme ça, c'était juste quelque chose d'infaisable. « J'suis pas tarée, ma mère m'a fait faire des tests. » Tant mieux, car à la voir comme ça on aurait été en droit de se poser la question, enfin moi en tout cas je me l'étais posé et au final la réponse avait été négative, car j'étais exactement pareil et je ne l'étais pas, enfin j'espère. « Moi la mienne à préférer éviter, je crois qu'elle avait peur de connaitre la réponse. » Tenant toujours Reagan, j'allai déposer une main sur sa hanche et l'entrainai dans une valse tous de ce qu'il y a de plus rock'n'roll. Ça faisait du bien de se lâcher, de tous claquer et de faire absolument ce qu'on veut. Le son toujours à fond la musique ralentit en même temps que mes pas et laissa place à une autre très célèbre chanson du king. "Love me tender, love me sweet, never let me go." Surement l'une de mes musiques préférer. M'arrêtant donc au milieu de la pièce je lâchai ma cavalière et lui tendit ma main. « M'accorderais-tu cette danse ? »
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Dernière édition par Daniel G. Levinson le Mer 22 Fév - 3:19, édité 3 fois
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Sujet: Re: « Cherchez au fond de mon âme, vous tomberez plus bas que vous ne l’êtes déjà. » • Daniel Dim 19 Fév - 22:39
Il est beau lui
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Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
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Sujet: Re: « Cherchez au fond de mon âme, vous tomberez plus bas que vous ne l’êtes déjà. » • Daniel Dim 19 Fév - 22:45
Bienvenue !
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Sujet: Re: « Cherchez au fond de mon âme, vous tomberez plus bas que vous ne l’êtes déjà. » • Daniel Dim 19 Fév - 23:00
Bienvenue parmi nous N'hésite pas si tu as besoin
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Sujet: Re: « Cherchez au fond de mon âme, vous tomberez plus bas que vous ne l’êtes déjà. » • Daniel Dim 19 Fév - 23:01
Bienvenue
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Sujet: Re: « Cherchez au fond de mon âme, vous tomberez plus bas que vous ne l’êtes déjà. » • Daniel Dim 19 Fév - 23:08
TOI en MORGAN j'ai reconnu le texte de la signa (a)
Bienvenue ici si tu as des questions n'hésite surtout pas & bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: « Cherchez au fond de mon âme, vous tomberez plus bas que vous ne l’êtes déjà. » • Daniel Dim 19 Fév - 23:10
Merci à vous tous Je te reconnais bien la, y a pas meilleure enquêtrice
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Sujet: Re: « Cherchez au fond de mon âme, vous tomberez plus bas que vous ne l’êtes déjà. » • Daniel Dim 19 Fév - 23:40
Bienvenue
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Sujet: Re: « Cherchez au fond de mon âme, vous tomberez plus bas que vous ne l’êtes déjà. » • Daniel Dim 19 Fév - 23:59
rebienvenue parmi nous, donc.
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Sujet: Re: « Cherchez au fond de mon âme, vous tomberez plus bas que vous ne l’êtes déjà. » • Daniel Lun 20 Fév - 0:02
Rebienvenue
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Sujet: Re: « Cherchez au fond de mon âme, vous tomberez plus bas que vous ne l’êtes déjà. » • Daniel Lun 20 Fév - 0:15
Re-bienvenue En espérant que tu tiennes cette fois
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Sujet: Re: « Cherchez au fond de mon âme, vous tomberez plus bas que vous ne l’êtes déjà. » • Daniel Lun 20 Fév - 5:29
MON Daniel Wow! Mon scénario est populaire! J'aime Merci de l'avoir pris!!!
Alors, bienvenue parmi nous Je valide le code du règlement qui est bon
Alors, j'ai lu ta fiche. Dans l'ensemble, elle me semble bien Cependant, j'avais jamais pensé que mon Daniel aurait pu être si dépressif :S C'est pas bien grave Cependant, je n'ai vu nul part le lien avec Tino :S Il faudrait le rajouter s'il te plait
Lorsque ce sera fait, merci de reposter dans la section prévue à cet effet
Mais je suis curieuse Tu étais qui avant?
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Sujet: Re: « Cherchez au fond de mon âme, vous tomberez plus bas que vous ne l’êtes déjà. » • Daniel Lun 20 Fév - 15:46
Bienvenue, beau jeune homme
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Sujet: Re: « Cherchez au fond de mon âme, vous tomberez plus bas que vous ne l’êtes déjà. » • Daniel Mar 21 Fév - 0:00
Bienvenue, je ne connais pas ton avatar mais
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Sujet: Re: « Cherchez au fond de mon âme, vous tomberez plus bas que vous ne l’êtes déjà. » • Daniel Mer 22 Fév - 0:57
Bienvenue le "meilleur ami"
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Sujet: Re: « Cherchez au fond de mon âme, vous tomberez plus bas que vous ne l’êtes déjà. » • Daniel Mer 22 Fév - 2:43
Merci à vous tous
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Sujet: Re: « Cherchez au fond de mon âme, vous tomberez plus bas que vous ne l’êtes déjà. » • Daniel Mer 22 Fév - 2:50
Ta fiche me convient donc
Cependant, comme il y a quelqu'un d'autre qui tente pour Daniel, ce dernier a maintenant trois jours pour terminer sa fiche. Après, ça se jouera à la meilleure d'entre elle. Mais s'il ne la termine pas, l'avatar te reviendra de droit
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Sujet: Re: « Cherchez au fond de mon âme, vous tomberez plus bas que vous ne l’êtes déjà. » • Daniel Mer 22 Fév - 23:10
bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: « Cherchez au fond de mon âme, vous tomberez plus bas que vous ne l’êtes déjà. » • Daniel Jeu 23 Fév - 7:58
Tout d’abord, encore bienvenue parmi nous
J’ai lu les deux fiches très attentivement et le choix s’avérait assez difficile. Elles étaient toutes les deux très bonnes, ce qui n'arrangeait pas les choses du tout. Malheureusement, je ne peux faire qu’un choix (dommage, deux Daniel à mes côtés auraient été bien ). Et il s’est porté sur l’autre Daniel. Je suis vraiment désolée. Notons que je n'ai pas du tout aimer choisir
Mais, si tu as besoin d’aide pour choisir un autre scénario ou un personnage inventé, n’hésites pas à me le demander. Ça me fera plaisir de le faire Et si tu veux, je fais de la pub pour mon autre scénario; Kyle C. Charleston.
Encore désolé du désagrément Et au plaisir de rp avec toi dans le futur
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Sujet: Re: « Cherchez au fond de mon âme, vous tomberez plus bas que vous ne l’êtes déjà. » • Daniel Jeu 23 Fév - 14:27
J. MORGAN , bienvenue.
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Sujet: Re: « Cherchez au fond de mon âme, vous tomberez plus bas que vous ne l’êtes déjà. » • Daniel Jeu 23 Fév - 14:53
PRENDS NATHANIEL OU DANIEL OU KEVIN FLAMME bref t'as pas le droit de m'abandonner