Sujet: « Ta mère elle suce des schtroumpfs. » • Clayton Dim 26 Fév - 3:56
FEAT. KEVIN FLAMME
Clayton Franklin Zadig Ean-Wentworth
21 ans → Né à Boston un 28 novembre 1991 → Exerce en tant que photographe et journaliste au New-York Times célibataire → hétérosexuel → membre des populars.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Je suis né à Boston, superbe ville • Depuis tout petit j'ai une réelle fascination pour le voyage, que de mieux qu'aller découvrir de nouveau pays • J'ai perdu ma mère à l'âge de 10 ans, on m'a souvent dit que depuis ce jour j'étais devenu quelqu'un d'autre, qui sait peut-être • J'adore la gastronomie française & italienne, un régal • J'ai toujours été excellent dans mes études, ce qui m'a permis de choisir le métier que j'exerce • Je n'ai jamais été dans le besoin, un réel enfant pourri gâté • Je suis journaliste et photographe au New York Times • Durant mon enfance j'ai énormément été accompagné par la solitude, je crois qu'elle ne ma jamais lâchée • J'ai souvent entendu dire que j'étais le dernier des enculés • Je crois n'avoir aimé qu'une fois durant ma courte existence, elle était brune et possédait un regard qui restera à jamais gravé dans ma mémoire • J'ai beau être assez populaire je suis quelqu'un de très peu sociable, sauf quand il s'agit de conclure sous la couette, la j'assure comme un chef • Le cynisme est une seconde nature • J'habite en plein cœur de Manhattan, à mon age et ouais, on dit merci papa • Je crois être tombé sous la coupe d'une jolie blonde, d'ailleurs si je suis ici c'est surement à cause d'elle • Mieux vos pas s'attaquer aux personnes qui me sont chers, même s'il y en a peu • J'adore me balader nu chez moi • Je réfute la faiblesse, c'est une vieille ennemie • J'ai souvent cru comprendre qu'on préférerait me voir mort, peut-être est-ce pour bientôt • J'adore la vodka et le sky, un délice • Je pourrais traverser toutes les mers du globe sur un simple coup de tête • Mon plus grand secret est que je déteste la vie, ce qu'elle représente, après tous nous ne somme là que pour vivre.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Je pense que l'on pourrait me qualifier de véritable enfoiré, chose qui aux dernières nouvelles ne m'affecte aucunement, je trouve ça même particulièrement amusant. Après tous je n'ai jamais réellement fait attention aux jugements des gens, à ce qu'ils pouvaient penser, aux regards que l'on pouvait me lancer, sauf peut-être à ceux de ma famille et des jolies filles qu'il m'est été daigner de rencontrer bien sûr. Tout au long de ma vie je n'ai cessé d'écraser et de marcher sur les autres et je dois dire que j'en ai pris grand plaisir. Je crois n'avoir jamais ressenti de l’en-pâtit ou de la pitié pour quelqu'un, ce n'est pas des sentiments qui sont souvent apparu dans ma vie et je ne m'en porte pas mieux. D'après le psychiatre qui m'a suivis après la mort de ma mère, c'était monnaie courante et il n y avait pas lieu de s'inquiéter. Depuis j'ai souvent rêvé de lui faire la peau et de lui dire à combien il m'avait fait chier durant cinq ans, mais il détenait et détiens toujours une ou deux informations à mon sujet que je préférais ne pas voir étaler au grand jour. Il me semble que la seule personne qui arrive encore à me tenir un minimum éloigné de mon dégout pour les gens et pour la vie est mon père, un homme en or sur qui j'ai veillé après le décès de ma mère. Il reste ma perle rare et mieux vos en rester éloigné si l'on ne souhaite pas que je redevienne le terrible méchant loup que l'on a souvent décrit.
Well ... It's my story ...
chapitre un ; « Donner un sens à ma vie, ça aurait été comme jouer la 5e symphonie de Beethoven avec les ongles sur un tableau. »
Un ciel dépourvu de nuage, un soleil illuminant de sa clarté les ruelles sombres d'une ville meurtrie par le deuil. Je me souviens de cette journée comme si c'était hier, me repassant sans arrêt le film de cette catastrophe qui m'a enlevé la femme pour qui j'aurais tous donné. Ce jour tous les Américains le connaissent et souhaiterait pouvoir l'oublier, certains y arrivent, d'autre non, comme moi. Il me hante encore chaque jour passé sur cette terre, m'arrachant encore parfois quelques larmes, des larmes de souffrance et de chagrin, des larmes que je ne peux repousser. Je me souviens encore du jour ou cela s'est passé, le jour le plus sombre de ma courte vie, c'était un mardi, un jour qui avait commencé comme n'importe quel autre, mais qui avait terminé en tragédie, car quand notre professeur nous avais demandé la date nous avions répondu le 11 septembre et à peine quelques minutes plutôt j'avais embrassé ma mère pour la dernière fois. À l'époque nous habitions encore à New York dans un bel appartement de Brooklyn, c'était une ville que j'avais tout de suite aimé, mais que j'avais très vite appris à détester et ce surtout après l'effondrement de ces deux plus célèbres jumelles. Elle travaillait au 74ème étage de la tour sud et elle n'a pas réussi à sortir à temps. Je me revois encore sortir de l'école courant vers mon père en larme et s'effondrer dans ses bras, je n'avais que onze ans à l'époque et depuis c'est ce simple jour qui dicte mes pas.
Bref revenons quelques années en arrière si vous le voulez bien, au jour et au lieu de ma naissance par exemple. J'ai vu le jour dans un petit hôpital en banlieue de Boston, je ne me souviens de rien ce qui me semble normal, mais on m'a appris par la suite que j'avais fait une grosse frayeur à mes parents. Et oui je n'ai pas pleuré. Sans blague, je vous jure que c'est vrai, même les fesser du médecin ni faisait rien, bon dit comme ça c'est plutôt louche, mais c'est la dure vérité. Bon par contre par la suite mes pauvres parents ne purent dormir que quelques heures par nuit, je vous jure faite des gosses. C'est donc dans la belle ville qui est Boston que j'ai passé ma petite enfance. D'ailleurs je me rappelle être tombé très amoureux de ma petite voisine, son prénom je l'ai totalement oublié, mais pas ses belles boucles d'or, un véritable coup de foudre, malheureusement pas respectif, car malgré mon jeune âge à l'époque, ma joue s'en souvient encore. Ah les filles. Depuis notre départ, alors que je n'étais encore pas plus haut que trois pommes, je n’y suis quasiment jamais retourné. J'ai appris à mes dépends que souvent la nostalgie fait plus mal qu'autre chose. C'est donc les yeux baigner de larmes que j'ai abandonnées cette ville derrière moi pour en retrouver une autre et pas n'importe laquelle, New York, la grosse pomme. Je ne pensais pas que j'arriverais un jour à détester cette ville, elle était tellement formidable, les gens y avaient tout le sourire, enfin c'est ce que je croyais quand j'étais gamin, mais la vie en a voulu autrement. Mes parents avaient réussi à dégoter un studio sur Linden Boulevard, ce n'était pas le luxe, mais ça me convenait. Je vois encore ma mère défaire ma valise et ranger mes vêtements dans la vieille commode sortit du grenier, un souvenir inoubliable, mais affreusement douloureux. C'est dingue combien elle pouvait me manquer, ce sentiment de vide perpétuelle et je ne regrette qu'une chose, ne pas lui avoir dit assez je t'aime. Ma vie jusqu'à ce jour n'avait pas été catastrophique, je ne connaissais pas encore la douleur de la perte d'un être chère, une douleur incommensurable qui vous assaille à chaque moment à penser à elle. Durant les années précédent ce drame nous avons vécu heureux, je possédais un chien du nom de Lucky que je considérais un peu comme un petit frère a qui j'apprenais toute sorte de tour, il n'y avait pas plus mignon et quand cela n'allait pas à l'école c'est à lui que j'allais tout raconter. Quand j'y repense aujourd'hui je trouve ça totalement débile, mais je me dis qu'après tous il était réellement le seul à m'écouter. Ma mère avait dégoté un job de responsable au World Trade Center et mon père se débrouillait tous les matins pour être à l'heure à l'université où il enseignait l'histoire, pire que les élèves quelques fois les profs. Et puis vint le jour fatidique, celui ou quand j'essaye d'en parler un nœud se créer dans ma gorge m'empêchant à la fois de parler et de respirer. Il est vrai qu'un jour je devrais réussir à me libérer de ce poids, de ce fardeau que je dois me trainer tous les jours, mais je me dis que si j'oublie ça, je l'oublierais également elle. Ce qui est totalement stupide je sais, mais c'est comme ça. Mon père à eu du mal à se reconstruire après cela, c'est pourquoi il a décidé de partir loin, là ou il a grandi et vécu un certain temps, à Toronto, au Canada.
chapitre deux ; « Monsieur, quand le doigt montre le ciel, l’imbécile regarde le doigt. »
Voici donc ce que j'appelle couramment la seconde partie de ma vie, une vie dont je n'avais plus gout, une vie amer et dépourvu de bonheur. C'était comme si elle s'était effondrée en même temps que ces tours, une comparaison qui me plaisait bien. Mais heureusement pour moi il me restait mon père, un homme formidable qui a réussi à me redonner le sourire et ce même quelques secondes. Tout d'abord il a réussi à me trouver un sport dans lequel j'étais doué, le basket et je peux vous dire que ce n'était pas gagné. Intégrer un club et pouvoir à nouveau côtoyer des jeunes de mon âge m'a permis d'à nouveau m'extérioriser, malheureusement en même temps que je m'ouvrais à nouveau au monde, je voyais mon père sombré dans l'alcool. Il n'en paressait pas, mais l'absence de maman le tuait à petit feu et à l'âge que j'avais je ne pouvais pas faire grand-chose. Moi, non, mais je connaissais quelqu’un qui le pouvait, c’est pourquoi un jour j’ai fini par appeler ma grand-mère, une mamie exemplaire et prêt à tout pour venir en aide à ses proches. Toronto était une ville immense et il m’a fallu un certain nombre d’année avant de m’acclimater, mais j’ai fini par réussir.
Bien sûr elle me manquait terriblement et même l'amour de mes proches n'arrivait pas à étouffer mes pleurs, je pensais à elle quasiment sans arrêt et mes rêves avaient fait place à des cauchemars. Je n'avais plus gout en rien et au fur et à mesure des jours qui passaient ma vie s'assombrissait petit à petit. Je pensais que finalement depuis mon arrivée ici, la douleur s'estompait, mais enfaîte c'était le contraire, elle s'agrandissait et j'avais fait semblant de ne pas l'apercevoir. Les images de ces tours s'effondrant comme de simple domino envahissaient sans cesse mon esprit et le seul moment où j'arrivais enfin à les oublier c'est durant les matchs de basket, smatchant la balle aussi fort que possible, y déversant toute ma haine. Malheureusement au fil des mois je sentais monté la hargne, une hargne que je n'arrivais pas à contrôler et qui pouvais exploser n'importe où, n'importe quand et surtout contre n'importe qui. Mon père lui avait réussi à retrouver un semblant de bonheur, ce qui me réconfortait quelque peu, mais à présent c'était à mon tour de sombrer dans l'excès et heureusement qu'il était là sinon je me serais foutu en l'air tous seul. Je n'étais alors qu'un petit con en proie à une crise d'adolescence et le seul moyen que j'avais trouvé pour me sentir un minimum bien c'était de lancer une balle face à un panier. Je m'étais plongé à corps perdu dans le sport, intégrant la plus prestigieuse équipe de la ville, m'entraînant tous les jours et ce jusqu'à m'écrouler de fatigue. Ce n'était pas bon et je l'avais su pertinemment, mais c'était le seul moyen d'éviter de trop penser à elle. Quelques nuits il m'arrivait encore d'éclater en sanglot après avoir une énième fois rêvé d'elle. J'aurais tout donné pour la revoir, rien qu'une fois, la serrer dans mes bras, la sentir rien qu'une dernière fois au creux de mes bras. Je me disais sans cesse que c'était injuste et que cela n'aurait pas dû se passer ainsi, qu'elle aurait du pouvoir me voir grandir, pouvoir venir me voir jouer, mais c'était impossible, car elle avait rejoint un endroit que je ne connaissais pas. C'est donc mon père, seul, qui venait m'encourager le samedi soir et le moins qu'on puisse dire c'était qu'il y mettait de la voix. Il avait toujours été en quelque sorte mon héros, la personne pour laquelle j'avais une grande estime et c'était toujours le cas, car j'étais le seul à le voir tous les jours se battre contre un chagrin qui le rongeait, mais qu'il arrivait bien à cacher. Il croyait en moi et je croyais en lui, c'était tout ce qui comptait à cette période. Cela faisait quatre ans que nous habitions à Toronto et j'allais enfin pouvoir rentrer au lycée, chose que j'attendais avec impatience, malheureusement mon père en avait décidé autrement et c'est vers un autre déménagement que nous nous dirigions. Enfaîte il avait réussi à obtenir un poste de professeur à l'université de Seattle, une ville qui ne se trouvait pas très loin d'ici, mais ça voulait dire que je devrais dire au revoir à toutes les personnes à qui je m'étais attaché et je dois bien avouer que cela s'est accompagné d'une ou deux larmes.
chapitre trois ; « Quand on s’accroche trop au passé, on se condamne à ne pas avoir d’avenir. »
Me voilà donc à nouveau dans une ville que je ne connais absolument pas et que j'aurais du mal à apprivoiser, surtout que je suis de retour aux États-Unis, un pays qui est quand même légèrement différent du Canada. Mais je dois bien avouer que c'est ici même à Seattle que j'ai vécu mes plus belles années. J'y ai rencontré des personnes toutes plus extraordinaires les unes que les autres et d'ailleurs certaines font encore partis de ma vie, même si je suis à présent loin d’eux ils occupent encore une grande place dans mon cœur. Bon c'est également ici que j'ai fait mes plus grosses conneries, mais je considère ça comme de l'histoire ancienne et j'ai réussi à les effacer de mon cv. J'y reviendrais plus tard. Quand je suis arrivé à Seattle je n'avais que quinze ans et c'est donc dans un des plus grands lycées de la ville que mon père a réussie à m'inscrire et je ne le regrette absolument pas, car il était réellement génial. Je fus tout de suite intégrer dans la classe et j'ai réussi à me faire pas mal d'amis ce qui n'était pas gagné au niveau de mon caractère, qui était toujours bien trempé. Malgré notre départ de Toronto, ma mère me manquait toujours autant et le troue qu'elle avait laissé dans mon cœur ne s'était pas du tout reboucher c'est pourquoi je pouvais réagir quelque peu excessivement envers certain de mes camarades, qui n'était pas du tout au courant de mon passé. À l'époque j'aimais bien garder mes secrets et ne rien dire à personne sur le mal être que je pouvais ressentir. C'est bien plus tard que je compris que c'était une grosse connerie. Malgré tout ça j’eus la chance d'intégrer l'équipe de basket du lycée et même d'obtenir le poste où j'étais le meilleur, meneur. C'est à ce moment-là que les choses ont commencé à déraper. La grosse tête vous connaissez ? Et bien je l'ai eu durant une année ou deux avant de redescendre brutalement sur terre.
J'étais bon au basket, pas mauvais en classe, du succès auprès des filles, plein de choses que je ne connaissais pas et puis cela me permettait de ne pas trop penser à un passé qui m'effrayait. En plus de tout ça mon père avait rencontré une femme, une prof tout comme lui, d'ailleurs bien plus tard elle est devenue ma belle-mère, mais ça m'a pris un peu de temps avant que je n'arrive à accepter son entrée dans la famille. C'était donc un véritable bordel à cette époque et j'ai fais certains mauvais choix, comme m'enfoncer une aiguille dans le bras pour être meilleur sur le terrain, ou encore couché pour la première fois avec la grande sœur d'un très bon pote à moi, m'enfin comment refuser de telle avance. C'est donc pourquoi j'ai décidé de tout plaquer du jour au lendemain et ce surtout après que mon entraineur m'est surpris, heureusement il a été sympa en me virant juste de l'équipe et après en avoir parlé à mon père, bon je ne vous raconte pas la suite vous devez vous en douter. C'est donc de la lumière à l'ombre que je suis passé, ce qui n'est pas plus mal parce qu'au moins on a le temps de se reposer, ce qui n'est pas toujours le cas lorsqu'on est toujours demandé à droite ou à gauche. J'ai également fait la démarche d'aller consister un psychologue pour lui raconter la détresse que je ressentais après la mort de ma mère, cela n'a pas été facile, mais j'ai fini par me sentir beaucoup mieux et je pus à nouveau entrevoir un semblant de bonheur. Pour mon père tout allait pour le mieux et j'étais heureux de le voir enfin à nouveau comblé et c'est pour ça que j'ai fait des efforts pour intégrer au mieux ma belle-mère qui au final était une femme très gentille, comme quoi. Mes dernières années de lycée ont donc été les meilleurs, j'ai réussi à me trouver une petite amie et un groupe de pote que j'ai encore l'occasion de voir, je n'aurais jamais pensé que ma vie tournerait ainsi, mais pour une fois depuis des années j'étais content, heureux de vivre et c'était le principal à mes yeux, car tout allait pour le mieux. C'est également à cette époque que j'ai pris un avion pour New York, j'avais le besoin de me recueillir et de voir comment était ce qu'on appelait ground zéro et je dois dire que cela me fit plus de bien qu'autre chose. En revenant j'eus la surprise d'apprendre que j'avais obtenu une mention à mon diplôme, chose qui n'était jamais arrivée, d'ailleurs je l'avais dédié à ma mère qui j'étais sur aurais été fier de moi. Après ça je suis allé visiter plusieurs universités du pays, mais l'une m'a attiré plus que les autres, Fordham.
chapitre quatre ; « Tu ne peux pas forcer les gens à t’aimer, mais tu peux les forcer à te craindre. »
Maintenant me voilà employé dans l'un des plus prestigieux journaux du pays et je dois dire que c'est un truc de folie. C'est vrai qu'il y a trois ans il a été dur de quitter Seattle ainsi que mes proches, mais je vis des expériences exceptionnel que se la soit humainement ou au niveau du boulot. À par ça moi ça va beaucoup mieux, j'ai réussi à reprendre le dessus, d'ailleurs y a même pas quelques mois j'étais à Ground Zéro pour les commémorations, c'est quelques-fois encore difficile, mais il faut avancer en même temps que la vie et arrêter de regarder derrière. Le cadre de vie ici est agréable et je m'y plais vraiment en espérant que ça continue ainsi.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Alex & 18 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Ce n'est pas la première fois que je m'inscris (a) ★Ce personnage est-il un double compte ? → Du tous ★Présence sur le forum → Ca reste à voir ★Personnage inventé ou scénario ? → Totalement inventé
Mon exemple de RolePlay:
→ S'il n'en avait tenu qu'à moi, je serais rentré de force dans cette maison après avoir fracturé la porte de derrière. Malheureusement je n'avais jamais fait carrière en tant que cambrioleur et je n'étais pas ce qu'on pouvait appeler un as des serrures. Il m'arrivait déjà d'avoir du mal à ouvrir ma propre porte de chambre sans mettre ou deux coups d'épaules, alors celle d'une autre ce n'était même pas la peine d'essayer. En plus de ça il s'agissait de celle de Reagan, faudrait vraiment vouloir y laisser la vie pour tenter une telle chose, quoique je suis sûr qu'elle serait remplacé dans les plus bref délais. Après tout quand la jolie blonde demande quelque chose on ne discute pas, on exécute. C'est donc au contact du vent frais que je devais attendre qu'elle vienne m'ouvrir sa jolie porte en bois massif, c'est que quand on est riche on ne se prive de rien. Je ne savais pas trop si j'avais pris la bonne décision en venant ici de si beau matin, surtout quand j'apercevais sa jolie frimousse mécontente perchée sur son balcon. C'était bien la première fois qu'elle me tirait une tête pareille, ce qui renforça mon idée de pénétrer dans sa charmante demeure, mais la véritable question était, allait-elle vouloir m'ouvrir. Mon avis était que oui, mais je pouvais me tromper, après tous même si c'était une amie particulièrement proche, je ne connaissais pas encore tous d'elle. Ce côté sombre de sa personnalité en faisait partie. Pour moi Reagan rimait toujours avec jovialité et rigolade, mais aujourd'hui ce n'était plus ça. Déjà avant même d'arriver sur le palier de la maison j'étais persuadé qu'il s'était passé quelque chose, quoi, je n'en avais pas la moindre idée, mais il était sûr que cela l'avait grandement affecté. Me concernant j'avais l'impression que cela avait été tout le contraire, j'avais vécu ces dernières semaines des choses d'une rare intensité et tout allait bien dans le meilleur des mondes pour moi. C'est donc avec ma grande jovialité que je débarque ici, face à une jolie blonde au visage éperdument triste. Avec ma grande bonté je ne pouvais rester la les mains dans les poches à la regarder s'enfermer dans sa jolie tour, je devais faire quelque chose et mon domaine de prédilection n'était autre que la connerie. J'étais également bon dans d'autre domaine, mais celui-ci surpassait tous les autres et au moins j'étais sur de réussir à décrocher un sourire, enfin c'est ce que j'espérais, car sinon j'étais vraiment mal barré. Habituellement j'étais accompagné par ma belle acolyte aux cheveux d'or, mais aujourd'hui j'allais devoir me produire en solo. Ce n'était pas que cela me dérangeait, mais j'allais devoir innover, sans quoi je serais foutu à grand coup de pied dans le cul, enfin c'est une façon de parler. La tête toujours penché vers l'arrière pour apercevoir le balcon sur lequel c'était perché la princesse je devais faire un effort exceptionnelle pour que mes yeux ne finissent pas aveugler par un soleil d'une rare intensité. On avait beau encore être en automne, le beau temps n'était pas décidé à quitter la baie de San Francisco, tous comme moi je n'étais pas prêt de quitter ce charmant perron qui m'offrait une vue magnifique sur la grille ou une dizaine de paparazzi essayait de mitrailler la célèbre chanteuse en charmante tenu. D'ailleurs je me demandais bien où elle avait pu aller piocher tous ça, surement dans les nombreuses penderies que la maison disposait, quand je pensais à moi qui devais partager la mienne avec un colocataire qui ne savait rien faire d'autre qu'étudier. Ce n'est pas que les alphas étaient chiants, mais sérieusement faudrait qu'ils apprennent à faire autre chose de leurs dix doigts que d'ouvrir un livre. « Terrible genre fantastique ou horrible ? Non. Ne dis rien, je préfère garder le mystère. » Et un point pour blondie. Au moins je pouvais être fier de moi, j'avais réussi à la faire réagir, bien qu'elle me regardait encore et toujours de haut. Je me demandais bien quand elle allait enfin se décider à descendre pour m'accueillir de la meilleure des façons, enfin d'une manière autre que celle-là en tout cas. Si je ne la connaissais pas je me serais dit qu'elle était vraiment très chieuse, mais heureusement pour moi je savais qui elle était et arrivais à anticiper une ou deux de ses réactions. « Alors laissons planer ce mystère que tu aimes tant. » Après tous c'est-elle qui le voulait et puis elle savait pertinemment qu'entre nous il n'y aurait qu'une très belle amitié. Il est vrai que si on m'avait dit il y a un an qu'un jour je serais copain comme caméléon avec la célèbre Reagan, j'aurais trouvé la plaisanterie très amusante. Comme quoi la vie vous réserve quelques fois d'heureuse surprise. D'ailleurs dernièrement j'avais eu le droit à une pluie de cadeau, je ne savais pas si c'était l'arrivée de Noël qui faisait ça, mais j'avais eu une chance de veinard. J'aurais peut-être dû également joué au loto, je serais devenu milliardaire et aurait vécu un conte de fée jusqu'à la fin de mes jours. Heureusement pour combler cela je pourrais toujours regarder les grands classiques de Disney en compagnie d'une chanteuse aux cheveux couleur pétale d'or. En y repensant cela faisait bien longtemps qu'on ne c'était plus fait une journée de glandage interminable posé devant son écran géant. C'était qu'on avait quand même bien déconné la dernière fois qu'on c'était fait un truc pareil. « C'est con, moi je fais que dans le chocolat. J'aurais préféré que tu dises que tu m'adores tu sais ! » Celle-là elle me surprendra toujours. Tantôt une véritable femme d'affaire prête à tous pour obtenir ce qu'elle veut, tantôt une grande enfant faisant chier son monde. C'était ce que j'appréciais chez elle, chaque parcelle de sa personnalité, peut-être parce que j'arrivais à m'y retrouver et que cela me faisait plaisir de délirer avec une personne qui me comprenait. Je n'en savais rien, sauf que je tenais beaucoup à elle et que ça me faisait chier de la voir comme ça. « Ah oui en effet comme tu l'as dit c'est con. Ouais je me doute, mais tu sais combien j'ai du mal à mentir aux gens. » Un partout non ? Heureusement qu'elle savait que je déconnais sinon j'aurais aucune chance de mettre un pied dans cette baraque.
Finalement la fée clochette fraichement rhabillé eu la gentillesse de me laisser franchir le pas de son intérieure magnifiquement décoré. Ce n'était pas la première fois que je venais ici, mais j'avais l'impression qu'à chacune de mes visites quelque chose avait changé ou bouger de place. C'était sans doute un effet d'optique au vu de la grandeur de la demeure, mais ça pouvait paraitre quelque peu effrayant. Je me demandais bien comment il pouvait ne vivre qu'à deux ici, quelques fois ils devaient leur arrivée de ne jamais se croiser pendant des jours au vu de la surface carré, de mon point de vue c'était quelque chose de dingue, du leur je n'en avais pas la moindre idée. La dernière fois que j'avais vu un tel espace je me trouvais encore sur un terrain de base-ball prêt à lancer la balle entouré de gradins remplie d'innombrables personnes, espérant que cela soit une balle courbe. Ce temps me manquait et je rêverais de pouvoir à nouveau mettre les pieds sur cette terre qui m'avait valu tant de gloire. Malheureusement elle m'avait également fait tomber dans les baffons du dopage et je ne voulais plus revivre une telle chose. Peut-être un jour refoulerais-je un terrain, mais ce ne sera pas pour tous de suite. La tristesse que j'avais eu en le quittant je m'en souvenais encore et je pouvais voir un peu près la même dans le regard de Reagan, elle n'était autre qu'une jolie jeune femme au cœur en berne, ne souhaitant plus vouloir se battre pour quelque chose déjà perdu, qu'elle ne reverra plus. Je n'avais toujours pas la moindre idée de ce qui avait pu se passer dans sa vie pour qu'elle réagisse ainsi, mais une chose était sûr, elle en avait été gravement affectée, suffisait voir l'état de la maison, on aurait pu croire qu'une tornade était passé par ici. On ne pouvait pas se tromper on se trouvait bien dans une demeure de rockstar. Passant de pièce en pièce, essayant de suivre la maitresse de maison qui prenait un malin plaisir à jouer à cache-cache, je finis par la suivre dans la cuisine. J'étais venu ici pour savoir ce qui avait bien pu lui arriver, mais plus je réfléchissais à cette idée, plus je me disais que j'avais été con de croire qu'elle me dirait absolument tous, après tous Reagan n'était pas une adepte de confession intime, elle se qu'elle préférait c'était déversé son chagrin sur une feuille de papier et en faire une superbe musique. Si j'avais voulu tous savoir il m'aurait suffit d'acheter son prochain album. Mais étant son ami et non un fan de la dernière heure, j'avais accouru sans me prendre les pieds dans le tapis, pour savoir ce qu'elle avait. J'allais être servi. À peine avais-je porté la tasse à ma bouche qu'un son assourdissant résonna dans toute la maison, me faisant recracher la moitié de ma goulée, je vous jure les voisins doivent péter un plomb avec une énergumène pareil défois. M'enfin je ne pus lui en vouloir étant donné que le son en question n'était autre qu'une célèbre musique d'Elvis Presley, on dirait bien que pour les réponses à mes questions ce n'était pas pour tous de suite et finalement c'était pas plus mal, faire les cons c'est toujours plus amusant, surtout qu'en tant que psychologue je ne vaux pas un caramel. « Oh aller, ne me dis pas que tu préfères parler à cœur ouvert plutôt que de t'éclater un moment. » Elle souriait, c'était la première fois qu'elle le faisait depuis mon arrivée, c'était un petit pas pour moi, mais un gigantesque pour elle. On dirait bien que c'était partit pour une folle mâtiné de connerie en compagnie de la jolie princesse habitant ces lieux. « Tu me connais trop bien, c'est injuste t'avais déjà gagné la partie avant de la commencer ! » Une moue forcée, si ça avait été un gamin de dix ans qui l'aurait prononcé ça aurait été pareil. Cela faisait plaisir de la voir s'éclater, dansant et chahutant jusqu'au living room, moi j'étais toujours scotché à mon tabouret, la regardant la bouche tirailler entre le cul de poule et le sourire, c'est moi où j'avais l'air d'un total abrutis ? Au pire ça ne changeait pas de d'habitude. « PUSSY ! » Bon et bien je crois qu'il en était foutu et qu'il était temps de mettre sa fierté de côté et de suivre le délire de la jolie blonde. « Entre nous deux je suis sur d'être le moins pussy ma chère. » Attrapant sa main je me levais et la fit tournée sur elle-même, histoire qu'elle nous montre ses talents de danseuse, ils étaient très bien caché. Pour la discutions s'en était terminé, pour les conneries aussi drôles les unes que les autres ça venait de commencer. « J'ai pas envie d'en parler, navrée ! » Ah bon ? Si elle ne me lavait pas dit je crois bien que je n'aurais pas réussi à le deviner. « Je crois que j'avais compris, mais maintenant il va falloir que tu me montres ce que tu as dans le ventre jolie blonde. » Mais j'étais aussi un piètre danseur et je pense que c'est ce qu'il y a de plus drôle dans tout ça. Suivant les dignes pas d'Elvis j'essayai d'être son égal, résultat j'étais juste entrain de m'afficher, mais c'était plutôt tordant. « Sois juste mon pote, comme d'habitude, fais comme si de rien n'était, c'est tout ce que je te demande. » Je pense aussi que finalement c'était ce qu'il y a de mieux à faire, ça serait tellement plus simple pour nous deux. Et puis ce n'était pas trop mon truc de vouloir tirer les vers du nez lorsqu'une personne souhaite juste s'amuser. Après tous la seule promesse que je m'étais faite aujourd'hui c'était de lui soutirer un sourire, c'était chose faite, maintenant il me fallait un rire. « Alors que tes désirs soit des ordres Raiponce, tu sais très bien que je serais toujours la pour te soutenir dans ta connerie. » J'avais toujours été la pour ça, ce n'est pas maintenant que cela allait s'arrêter. En plus qui pourrait lui dire non ? Certainement pas moi, surtout lorsqu'elle me regardait comme ça, c'était juste quelque chose d'infaisable. « J'suis pas tarée, ma mère m'a fait faire des tests. » Tant mieux, car à la voir comme ça on aurait été en droit de se poser la question, enfin moi en tout cas je me l'étais posé et au final la réponse avait été négative, car j'étais exactement pareil et je ne l'étais pas, enfin j'espère. « Moi la mienne à préférer éviter, je crois qu'elle avait peur de connaitre la réponse. » Tenant toujours Reagan, j'allai déposer une main sur sa hanche et l'entrainai dans une valse tous de ce qu'il y a de plus rock'n'roll. Ça faisait du bien de se lâcher, de tous claquer et de faire absolument ce qu'on veut. Le son toujours à fond la musique ralentit en même temps que mes pas et laissa place à une autre très célèbre chanson du king. "Love me tender, love me sweet, never let me go." Surement l'une de mes musiques préférer. M'arrêtant donc au milieu de la pièce je lâchai ma cavalière et lui tendit ma main. « M'accorderais-tu cette danse ? »
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Dernière édition par Clayton F. Ean-Wentworth le Dim 26 Fév - 5:05, édité 9 fois
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Sujet: Re: « Ta mère elle suce des schtroumpfs. » • Clayton Dim 26 Fév - 4:02
Re-bienvenue Je suis contente que tu sois restée Bon courage pour ta fiche
P.S. Je valide le code du règlement qui est bon
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Sujet: Re: « Ta mère elle suce des schtroumpfs. » • Clayton Dim 26 Fév - 4:44
Je vais finir par arrêter de te souhaiter la bienvenue
Bon courage pour cette nouvelle fiche
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Sujet: Re: « Ta mère elle suce des schtroumpfs. » • Clayton Dim 26 Fév - 5:10
Amethyst-Elyn S. Burberry a écrit:
Re-bienvenue Je suis contente que tu sois restée Bon courage pour ta fiche
P.S. Je valide le code du règlement qui est bon
Merci
Jude L. Hemingway a écrit:
Je vais finir par arrêter de te souhaiter la bienvenue
Bon courage pour cette nouvelle fiche
En espérant que cela soit la dernière & regarde j'ai écouté ton conseil, je recycle Merci
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Sujet: Re: « Ta mère elle suce des schtroumpfs. » • Clayton Dim 26 Fév - 12:11
Hey, Re-Bienvenue et je te souhaite une bonne chance pour celui-ci En plus Kevin :brigitte: Et ton titre est kiffant
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Sujet: Re: « Ta mère elle suce des schtroumpfs. » • Clayton Dim 26 Fév - 12:26
TITRE + K.FLAMME + PSEUDO = Re-bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: « Ta mère elle suce des schtroumpfs. » • Clayton Dim 26 Fév - 13:33
re-bienvenue
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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Sujet: Re: « Ta mère elle suce des schtroumpfs. » • Clayton Dim 26 Fév - 13:59
hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ça suffira.
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Sujet: Re: « Ta mère elle suce des schtroumpfs. » • Clayton Dim 26 Fév - 14:28
clayton f. ean-wentworth a écrit:
Jude L. Hemingway a écrit:
Je vais finir par arrêter de te souhaiter la bienvenue
Bon courage pour cette nouvelle fiche
En espérant que cela soit la dernière & regarde j'ai écouté ton conseil, je recycle Merci
C'était le conseil de Jilly, le mien était de faire une fiche de 20 lignes Tu recycle la fiche de qui?
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Sujet: Re: « Ta mère elle suce des schtroumpfs. » • Clayton Dim 26 Fév - 14:30
blondie en sip rebienvenue ici mentalist
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Sujet: Re: « Ta mère elle suce des schtroumpfs. » • Clayton Dim 26 Fév - 14:40
alex genre BA ? bienvenue
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Sujet: Re: « Ta mère elle suce des schtroumpfs. » • Clayton Dim 26 Fév - 14:44
Kévin Flamme Bienvenue
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Sujet: Re: « Ta mère elle suce des schtroumpfs. » • Clayton Dim 26 Fév - 15:15
Bienvenue sur le forum
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Sujet: Re: « Ta mère elle suce des schtroumpfs. » • Clayton Dim 26 Fév - 16:19
Daniel Levinson a écrit:
Hey, Re-Bienvenue et je te souhaite une bonne chance pour celui-ci En plus Kevin :brigitte: Et ton titre est kiffant
Merci
Miabella G. Delioncourt a écrit:
TITRE + K.FLAMME + PSEUDO = Re-bienvenue parmi nous
J'aime faire cet effet Merci
Dylan L. Cooper a écrit:
re-bienvenue
Merci (a)
Mackenzie J. Howard a écrit:
hiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii ça suffira.
Ma No' Merci
Jude L. Hemingway a écrit:
clayton f. ean-wentworth a écrit:
Jude L. Hemingway a écrit:
Je vais finir par arrêter de te souhaiter la bienvenue
Bon courage pour cette nouvelle fiche
En espérant que cela soit la dernière & regarde j'ai écouté ton conseil, je recycle Merci
C'était le conseil de Jilly, le mien était de faire une fiche de 20 lignes Tu recycle la fiche de qui?
Ah ouais c'est vrai, je commence déjà à confondre à mon age D'un personnage qui date un peu
Serena L. Douglas a écrit:
blondie en sip rebienvenue ici mentalist
Et ouais Merci enquêtrice
Silas-Safir Kennedy a écrit:
alex genre BA ? bienvenue
Ouais genre BA t'as atterri ici toi aussi Merci
Johnathan S. Norton a écrit:
Kévin Flamme Bienvenue
Merci
Lorenzo C. Loris a écrit:
Bienvenue sur le forum
Merci
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Sujet: Re: « Ta mère elle suce des schtroumpfs. » • Clayton Dim 26 Fév - 17:04
re-bienvenue alors
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Sujet: Re: « Ta mère elle suce des schtroumpfs. » • Clayton Dim 26 Fév - 19:42
Excellent choix d'avatar & re-bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: « Ta mère elle suce des schtroumpfs. » • Clayton Dim 26 Fév - 19:59
Validé !
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Sujet: Re: « Ta mère elle suce des schtroumpfs. » • Clayton
« Ta mère elle suce des schtroumpfs. » • Clayton
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