Sujet: no particular place to go ► feat. james franco Lun 5 Mar - 16:37
FEAT. JAMES FRANCO
Aaron Chuck Marston
30 ans → Né à New York le 13/10/1981 → Professeur de théâtre célibataire → bisexuel → membre des workaholics.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Nous commencerons par le physique de Aaron en lui-même. Tout d'abord, cet homme à la peau blanche de nature mesure un mètre quatre vingt et pèse soixante dix kilos. Oui, il est très mince, mais après avoir été accroc à la drogue, son organisme se remet peu à peu des mutilations. Il n'a pas un corps très attrayant aux premiers abords, mais a malgré tout de quoi l'entretenir, il suffit de le suivre au quotidien pour remarquer qu'il est auteur ou suiveur d'une à deux bagarres toutes les vingt quatre heures, ce qui accentue la force de ses bras, de ses jambes... Il n'est pas aussi bien bâti que les sportifs de l'université, mais ne se préoccupe pas de ce détail futile. Depuis à peine trois ans, Aaron a beaucoup changé physiquement, et cela se remarque en particulier pour ses proches : il se coiffe, fait des efforts en matière de présentation, se rase... Ses yeux, d'un marron profond, s'éclaircissent au soleil pour laisser place à une teinte noisette, presque orangée. Parlons maintenant de sa pilosité, point important chez un homme, mine de rien. Aaron ne peut pas se plaindre d'avoir des poussées subites n'importe où. Pour vous préciser un peu plus, vous ne trouverez aucun poil sur son torse, dans son dos, sur ses épaules... Oui, les abus n'ont jamais prit place chez lui, et ce n'est pas lui qui va s'en plaindre, étant dégoûté par la pilosité parfois excessive chez certains mâles. Au niveau des vêtements, Aaron joue beaucoup sur une mode disparue depuis longtemps, mais se plaît à se retrouver dans des fringues encore adorées il y a 50 ans. Peu importe ce que l'on pense, il se plaît ainsi. Souvent élégant, Aaron fait maintenant attention à son allure. Il existe pourtant certaines fantaisies chez lui, ces dessins que l'on appelle tatouages. A commencer par celui sur ses omoplates, représentant de simples ailes d'aigle. Et enfin, celui sur l'intérieur de son poignet droit, représentant une croix catholique, lui rappelant alors ce qu'il avait été avant tout ça. Vous l'aurez donc compris, le physique de Aaron ne vous marquera pas spécialement.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Aaron est un être particulièrement difficile à cerner, du moins, depuis quelques années. Laissez moi d'abord vous parler de ce qu'était ce jeune homme avant de sombrer dans les méandres de la drogue. Tout d'abord, un garçon ouvert, souriant, toujours prêt à aider son prochain. La solidarité avait été son mot d'ordre, si bien qu'il faisait passer le bien être des autres avant le sien, il ne voyait pas l'intérêt d'être égoïste s'il pouvait se nourrir du bonheur de son entourage. Sa famille, et ses plus proches amis étaient comptaient plus que sa propre vie, si bien qu'il avait été compréhensif envers tous. Ouvert d'esprit et indulgent, Aaron ne jugeait jamais quiconque par son apparence ou par des quelconques rumeurs. Il aimait se faire des amis, et sa facilité à communiquer y jouait pour quelque chose. Il lui suffisait d'un sourire, de quelques paroles rassurantes, et voilà qu'une conversation s'engageait, sans aucun souci. Il élargissait son cercle social à mesure du temps, mais cela ne l'empêchait pas de négliger ses amis, bien au contraire : il faisait toujours tout son possible pour garder des liens soudés avec tous, passer du temps en leur compagnie, et surtout, les écouter lorsqu'ils en avaient besoin. Aaron n'aimait pas parler de ses propres problèmes, et se voyait plus utile à conseiller les autres, à les consoler lorsque c'était nécessaire. On l'avait souvent remercié pour ça, mais il était resté modeste, en toutes circonstances. Tant que ses proches étaient heureux, il l'était.
Seulement voilà, les temps ont changé, et la personnalité de Aaron aussi. Depuis que la drogue fait partie de son quotidien, Aaron préfère opter pour la violence et l'arrogance. Il n'a plus d'amis, ou tout du moins, ils sont très peu. Il se réfugie dans la solitude et la prétention, il se pense supérieur à beaucoup, et n'hésitera pas à jouer d'une certaine vanité pour le prouver. Son égoïsme le perdra sûrement, à partir de maintenant, il pense à lui, et les autres peuvent aller se faire voir, en toutes circonstances ! Il est de plus en plus violent, paranoïaque, et est persuadé que le monde lui veut du mal, si bien qu'il se met à user de la force physique pour régler ses problèmes. Il est brutal, vulgaire, méchant, froid... tous les défauts lui collent à la peau, mais il se fiche pas mal de la vision qu'il donne au monde extérieur. A partir de maintenant, c'est chacun pour sa gueule, et la sienne passera avant toutes choses sur cette planète. Certes, depuis sa rédemption en matière de drogues, Aaron a le mérite d'être moins "violent" avec quiconque et de s'investir corps et âme dans son travail, ce qui lui fait fréquenter des gens tous les jours. Mais il se permet cependant de rester ce garçon agressif et franc au point de blesser, tant pis pour les conséquences.
Well... It's my story...
Aaron Chuck Marston est né il y a vingt trois années de cela à New York. De Rachel et Robert Marston, cette petite famille est tout ce qu'il y a de plus banal. Aaron est fils unique, ses parents n'ont jamais cherché à avoir un autre enfant, ils n'en voyaient pas l'intérêt, et n'avaient pas la force morale d'en élever un autre. Ils vivaient dans un appartement dans Brooklyn, les revenus des deux adultes n'étaient pas négligeables, même si Robert avait, avant tout, un emploi banal, plutôt modeste. Mais plus il risquait sa vie, plus les promotions s'enchaînaient, si bien qu'il devint un agent de police réputé. Rachel, quant à elle, passait beaucoup de son temps sur son lieux de travail, mais bien assez avec son fils pour que celui-ci ne se sente pas délaissé. L'enfance de Aaron se révèle être assez banale, il n'y aurait pas grand-chose à en redire. Il a grandit, animé par certaines passions, à commencer par la musique. Fan de vieux groupes de rock, éduqué par son père à ce niveau, Aaron était persuadé que plus tard, il deviendrait un musicien reconnu. A l'âge de huit ans, il commence à apprendre la guitare, puis le piano. Il commencera la batterie à l'âge de quinze ans. Puis, il y avait le dessin. L'enfant passait le plus clair de son temps avec une feuille de papier et des crayons. Il aimait représenter son environnement à sa manière, s'imaginer un univers parfait, toutes ces petites choses qui lui permettaient de s'évader un peu et de ne penser à rien. Oui, parce qu'en grandissant, Aaron vivait dans la hantise de ne plus jamais revoir son père, de le savoir mort, tué par on ne sait quel monstre dans les rues sombres de New York. Seulement, cette idée ne le posséda que jusqu'à son arrivée dans l'adolescence.
Aaron ne supportait plus l'absence de son paternel, il avait l'impression de n'être qu'un fantôme à ses yeux, et qu'il ne pourrait jamais partager de merveilleux moments en sa compagnie. Son moral baissait de plus en plus, et ceci se faisait ressentir dans ses résultats scolaires et ses relations avec ses amis. Il se refusait de croire qu'il grandirait sans père, et pourtant, c'est bien ce qui se passait. Mais l'adolescent n'avait pas dit son dernier mot, et voulait se faire remarquer, quel que soit le moyen utilisé. Vers ses quatorze ans, il se laissa emporter dans la délinquance juvénile, et fut l'auteur de plusieurs vices : agressions, consommations d'alcool, vols à l'étalage, dégradations de biens publics... son casier judiciaire gonflait à vue d'oeil, et pourtant, son père faisait toujours en sorte d'étouffer ces affaires, histoire de rester dans l'idée que son fils était l'enfant idéal, sans problème. Même avec ça, Aaron ne parvenait pas à attirer l'attention de son paternel, et à l'anniversaire de seize ans, il se décida à lui balancer ses quatre vérités à la figure. La soirée se termina mal, lorsque Robert osa lever la main sur son fils, pour la première, et la dernière fois de sa vie. Depuis ce jour, la relation entre Aaron et son père est au plus bas.
A dix huit ans, il décide de faire le tour des Etats-Unis, seul, avec comme seule compagnie sa voiture, et sa guitare sur la banquette arrière. Il commençait à se droguer, addict à l'héroïne et à la marijuana, Aaron était un véritable junky à un âge précoce, si bien que sa santé est dans un état catastrophique. Dans son voyage à travers le pays, il rencontre une fille, Callypso, une prostituée. Il l'a mit enceinte, sans aucun remord, et l'abandonna deux mois plus tard, pour continuer son voyage. A ses dix neuf ans, il décide de rentrer à New York, sa mère lui manquait. Elle promet alors de le choyer, de l'aider à s'en sortir, et les promesses en l'air de Aaron lui permettent de tenir le coup. Elle l'aide financièrement, si bien qu'il lui pompe une majorité de son argent mensuel. Il avait beau être un escroc, délinquant, accroc à la drogue, il était voué à un avenir brillant, c'est ce que Rachel ne cessait de se répéter. Grâce à des relations, anciennes amies et j'en passe, elle lui obtient une place à l'université de Cambridge, en littérature anglaise. Aaron accepte, et quitte sa mère pour aller suivre ces dites études, sans grandes convictions cependant. Une année passe, et Callypso refait surface. Comment l'a-t-elle retrouvé ? Bonne question, mais une chose est sûre, son passage fut inoubliable : en effet, elle lui avait laissé leur fille, ce bébé d'à peine quelques mois. Elle ne pouvait pas le garder disait-elle... Aaron du se résoudre à garder cet enfant, avec l'aide de sa mère qui faisait le voyage jusqu'à Cambridge pour l'aider. Cela ne l'empêche pas de continuer à se droguer... Cette petite, sa fille, il n'aurait jamais songé devoir s'en occuper un jour. Il ne s'y connaissait absolument pas en enfant, et devait compter sur la bonté de Rachel pour apprendre. Patiente, elle lui a fait comprendre la façon dont il fallait s'y prendre, et surtout, qu'il devait aimer cet enfant, le fruit de ses entrailles. Aaron comprit alors de l'importance des évènements, qu'il ne pouvait pas prendre ça à la légère. Cette enfant est donc aujourd'hui la chose la plus importante de sa vie, malgré tout. Elle est la seule, hormis sa propre personne, dont il se préoccupe. Financièrement, il est toujours aidé par sa mère, mais il ne lui demande plus rien en ce qui concerne l'éducation de sa fille, même si Rachel ne peut s'en empêcher par moment... Aaron, pris au dépourvu, ne regrette pourtant pas de devoir prendre soin de sa fille, qu'il a prénommé Yseult.
Les années universitaires sont longues et difficiles pour Aaron, qui ne peut combiner études, drogues, et sa fille. Il manque plusieurs fois de s'en faire retirer la garde, mais son père est toujours là pour étouffer la situation. Après un an, ils décident, lui et sa femme, de garder Yseult le temps qu'Aaron sorte de cette mauvaise passe. Ce dernier s'entête, mais après un mois, décide d'aller en cure, pour son enfant. Le traitement, long et psychologiquement ardu, l'aide cependant à refaire surface, et il se décide ensuite à revenir à New York pour retrouver sa fille. A 23 ans, il se retrouve un appartement, et reprend les études, ardemment, afin de devenir professeur de théâtre, une chose qui lui plaisait beaucoup. Tout paraît devenir plus beau pour Aaron, qui se sent mieux dans sa peau, et se plaît à devenir quelqu'un de "normal". Il reste cependant une personne solitaire. Après de longues années d'acharnement, il décroche enfin la possibilité de devenir professeur de théâtre à l'essai dans une école de New York. Aujourd'hui, âgé, de 30, voilà une année qu'Aaron enseigne, et espère continuer sur cette voie, tout en prenant soin de son enfant, aujourd'hui âgée de 10 ans.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → CRANE ASYLUM, 20 ans. ★Comment es-tu arrivé ici ? → Par pubs diverses. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → Trois fois par semaine environ. ★Personnage inventé ou scénario ? → Personnage inventé.
Mon exemple de RolePlay:
→ « Je vous le répète encore une fois. A partir d'aujourd'hui, vous ne vous appelez plus Luke Jackson Stones, mais Peter Hector Jagger. Lorsque vous poserez les pieds à New York, vous nierez toutes ressemblances avec Luke, vous n'êtes plus cet individu, et plus personne ne doit vous appeler de cette façon. De ce fait, vous n'entrerez en contact avec aucun de vos anciennes connaissances, vous les ignorerez, comme si c'était la première fois que vous les voyez. » « Je ne peux pas faire ça... » « Pourtant vous devez le faire. » « Je veux parler à Everleigh. Il faut que j'aille la voir, lui dire que je vais bien, je dois lui p... » « Je vous l'interdis. Vous ne la connaissez plus, elle n'est plus rien à vos yeux et vous ne devez plus vous approcher d'elle. » « Vous ne pouvez pas me faire ça ! J'ai besoin de la voir ! Je ne veux pas qu'elle me croit mort... je... » « Vous l'aimez ? Si c'est le cas, il va falloir comprendre et l'oublier. »
Cette discussion passée lui revint à l'esprit, au moment où il sonna à la porte. Il n'avait pas tenu sa promesse, lui qui avait ensuite jurer de ne jamais aller voir Everleigh, de lui annoncer son retour. Il avait cédé, à l'idée de revoir ce visage ne serait-ce qu'une fois, son cœur s'emballait et le stress montait en flèche. Il ne savait pas ce que serait la réaction de la jeune femme face à lui, mais il imaginait le pire, et non le meilleur. Certes, il aurait voulu croire avec conviction qu'elle se jetterait dans ses bras en pleurant de soulagement, et qu'elle lui adresserait ce tendre sourire qu'il aimait tant. Cependant, il se doutait que ce ne serait pas le cas. Elle l'enverrait peut-être balader, elle lui hurlerait dessus, elle le jetterait dehors ? A ces idées, Peter prit une profonde inspiration pour se donner du courage, bien qu'il était prit d'une envie furieuse de s'enfuir en courant. Seulement, il avait bien trop fuit, et il se devait de se montrer courageux, capable d'affronter les évènements et de prendre ses responsabilités comme il se doit. Il avait envie de pleurer, d'éclater en sanglots sur le champ, ses doigts tremblaient, et son souffle était difficile. Et si elle n'était pas là ? Tant pis, ou tant mieux. Il pourrait la croiser en quittant l'immeuble, ou sur le trottoir ? Tout était possible, et Peter ne savait plus du tout quoi faire maintenant qu'il était planté devant cette porte.
« C'est ouvert, rentre ! »
Au son de cette voix qu'il ne connaissait que trop bien, Peter sentit son cœur se soulever dans sa poitrine, et ses yeux se baissèrent jusqu'à la poignée de la porte. Il n'osait pas. Et pourtant, Everleigh ne viendrait pas ouvrir s'il n'en prenait pas l'initiative. Le musicien prit une longue et profonde inspiration, et ouvrit lentement la porte pour faire quelques pas à l'intérieur de l'appartement. Son rythme cardiaque était affreusement brutal, Peter essayait de garder son calme, mais en vain. Il ferma lentement la porte derrière lui, et en l'espace de quelques secondes, Everleigh était dans son champ de vision. Penchée au-dessus du canapé, elle était dos à lui et ne le voyait pas. Cette silhouette, ces courbes fines et élégantes, il ne les avait pas oublié. Peter se surprit à sourire légèrement, soulagé et comblé de la voir, ne serait-ce qu'un peu.
« T'en as mis du temps, tu aurais pu me répondre quand même. »
Le musicien baissa la tête et regarda un moment ses mains encore gelées par la température extérieure. Il les frictionna brièvement entre elles, et soupira en levant les yeux vers Everleigh.
« Je n'en avais pas l'autorisation. » répondit-il simplement en reculant d'un pas, craignant la réaction de la brune.
Le code règlement:
→ Yankees Rock.
Dernière édition par Aaron C. Marston le Lun 5 Mar - 16:57, édité 1 fois
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Sujet: Re: no particular place to go ► feat. james franco Lun 5 Mar - 16:47
Bienvenue parmi nous N'hésite pas si tu as besoin
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Sujet: Re: no particular place to go ► feat. james franco Lun 5 Mar - 16:51
JAMES FRANCO Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: no particular place to go ► feat. james franco Lun 5 Mar - 16:55
FRANCO Bienvenue & bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: no particular place to go ► feat. james franco Lun 5 Mar - 16:58
Merci à vous trois.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: no particular place to go ► feat. james franco Lun 5 Mar - 17:00
Bienvenue parmi nous & Très bon choix d'avatar
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Sujet: Re: no particular place to go ► feat. james franco Lun 5 Mar - 17:01
Merci.
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Sujet: Re: no particular place to go ► feat. james franco Lun 5 Mar - 17:21
Très bon choix d'avatar ! :brigitte: Réserves moi un super lien (a) En tout cas, BIENVENUUUE !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: no particular place to go ► feat. james franco Lun 5 Mar - 17:23
Pas de souci. *-*
Merci en tout cas ! =D
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: no particular place to go ► feat. james franco Lun 5 Mar - 17:32
Bienvenue parmi nous Excellent choix d'avatar!!
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Sujet: Re: no particular place to go ► feat. james franco Lun 5 Mar - 17:34
Merci !
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Sujet: Re: no particular place to go ► feat. james franco Lun 5 Mar - 17:43
FRANCO très bon choix d'avatar et bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: no particular place to go ► feat. james franco Lun 5 Mar - 17:45
Merci.
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Sujet: Re: no particular place to go ► feat. james franco Lun 5 Mar - 17:51
Validé !
Franco et puis je tiens à dire aussi que j'écoutais Smoke and Mirrors en lisant ta fiche et punaise je trouve que ton histoire et la chanson se marient tellement bien . Un système d'intégration est mis en place sur le forum sous forme de flood d'intégration, mélangeant anciens et nouveaux membres, n'hésite pas à t'y inscrire ! N'oublie pas de compléter ta fiche personnage, ton profil et de faire toutes les demandes nécessaire. Si tu as la moindre question ou problème, tu peux bien sur contacter un membre du staff par MP. Nous t'invitons aussi à aller lire ce sujet premiers pas sur le forum Et puis tu peux bien sur voter toutes les deux heures pour aider le forum en cliquant sur la petite bobine (a)
Have Fun !
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Sujet: Re: no particular place to go ► feat. james franco Lun 5 Mar - 22:26
Welcome, JAMES
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Sujet: Re: no particular place to go ► feat. james franco
no particular place to go ► feat. james franco
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