« Parfois, toute une vie se résume à un geste fou. »
Auteur
Message
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou. » Sam 3 Mar - 22:11
FEAT. shelley hennig
Jessica Ashley Kennedy
20 ans → Né(e) à New York le 14/11/1991 → aux commandes de l'entreprise familiale célibataire → hétérosexuelle→ membre des WORKAHOLICS.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → S'il y a bien quelque chose à quoi est allergique Jessica, c'est le bruit de son réveil. Elle sait qu'il y a un moment pour se lever, un moment pour dormir et le reste travailler. Cependant, elle a toujours trouvé ça horrible, ce bruit qui vous tire de vos rêves sans vous demander la moindre permission. Crétin. Jessica a dans le bas du dos, un tout petit tatouage qui représente une libellule. Ses proches n'en sont même pas au courant. Elle a fait ça lors d'une rare soirée où elle avait consommé de quoi lui donner de la fièvre. Pour elle, ce petit dessin à une grande signification. Elle ne regrette pas. Bien au contraire, pour elle, c'est un clin d'oeil aux étapes par lesquelles elle est passé et où elle s'est toujours débrouillée. Derrière son visage angélique, elle est une femme qui sait cacher son jeu et donner les bonnes cartes au bon moment. Depuis toujours, elle est difficile à cerner et ce n'est pas aujourd'hui que ça va changer. Une demoiselle aux deux facettes qui réserve bien des surprises. Ce n'est pas parce qu'elle a balancé son frère qu'elle ne l'apprécie pas. Mais c'est aussi un côté particulier de sa personnalité, avoué ce qu'elle ressent, elle laisse ça aux autres.
★Quel est le caractère de ton personnage? → S'il y a bien une personne qui ne manque pas de sérieux, c'est moi. J'ai toujours été en avance sur les personnes du même âge que moi. Peut - être l'environnement de ma famille et mes responsabilités m'ont forgé de cette manière. Je ne regrette rien et cela m'a permis d'être responsable pour deux. Car personnellement, si j'avais dû compter sur mon frère. Je ne sais pas où on en serait. J'ai toujours donné le meilleur de moi - même. Je suis conscience que le travail est toujours passé avant l'amusement. C'est ma façon de voir les choses, je n'en peux rien. C'est plus fort que tout, plus fort que moi. J'ai ce besoin de travailler, de contrôler la situation pour ne pas quelle m'échappe. Je suis responsable et cela m'a toujours aidé à avancer, à être là quand on avait besoin de moi. La famille s'est un critère que je trouve prioritaire. Je suis du genre persévérante également. Quand je veux quelque chose, je ferais n'importe quoi pour l'avoir dans la mesure du raisonnable bien sûr. J'ai des principes dans la vie et ce n'est pas aujourd'hui que ça va changer. Je suis loin d'être une personne totalement parfaite et j'en assume les conséquences. Néanmoins, ça ne m'empêche pas de dire ce que je pense comme je le pense.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → elodie ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → qui ne connait pas ce forum, c'est un vieux de la vieille ★Ce personnage est-il un double compte ? → non, je le jure ★Présence sur le forum → cinq jours sur sept ★Personnage inventé ou scénario ? → scénario qui a la classe
Mon exemple de RolePlay:
Aujourd’hui, je devais encore me rendre à la bibliothèque. C’était le gros travail présent sur mon planning de la semaine. Il me restait une semaine pour rendre ce devoir juridique et je n’avais pas droit à un délai supplémentaire. Je dois l’avouer que je ne suis pas une grande adepte de ses lieux car d’habitude, je travaille dans le bruit et souvent avec Camélia. Donc j’avoue que ça changeait mon comportement mais je n’avais pas le choix. Il me fallait des documents précis et le seul endroit où je pouvais les dégoter, c’était là. Je m’y étais rendue pratiquement tous les jours de cette semaine. Lundi, mardi, jeudi et à l’instant précis, vendredi. J’allais devenir une vraie studieuse si je continuais sur cette voie. Enfin, je ne dois pas vous le cacher. Je me réjouis d’avance d’avoir clôturé ce dossier et de retrouver l’air frais de l’extérieur. Je ne suis pas le genre de personne qui reste enfermer dans sa boite. J’aime beaucoup plus de choses attrayantes. Voilà la preuve et la raison de mon engagement chez les iotas, j’occupais le poste de capitaine de cheerleaders et de doyenne de la confrérie. Après trois élections comme présidente, j’ai décidé de laisser ma place aux arrivants. Puis après tout ce qui s’est passé cet été, je voulais avancer d’une autre manière. J’avais encore des choses à faire à l’université, voir d’autres horizons tout en restant chez moi, chez les iota. En me levant ce matin, je réalisais que j’approchais plus vite de l’après – midi que je ne l’aurais voulu. Mes cours avaient été suspendus pour la journée et ça me donnait déjà du temps pour finir ce que j’avais commencé. Je trainais et je réalisais que je n’avais pas tout le temps que je voulais. La bibliothèque n’allait pas rester ouverte toute la nuit pour mon plus grand plaisir. Coup de pied aux fesses, je glissais sous ma douche et enfila de quoi ne pas me promener toute nue. J’avais lissé mes cheveux en vitesse, quelques ondulations se laissaient donc relevé par le vent qui était également présent pour combler le tout à ma journée. Je ne savais pas si mon chemin allait croiser celui de ce bel inconnu. Depuis que je fréquentais ce lieu à l’université, je me rendais compte également que de charmant jeune homme pouvait s’y trouver. Je ne savais pas son nom et encore moins la confrérie dont il était le membre. En tout cas, je me doutais déjà qu’il n’était pas un des nôtres. Sinon je l’aurais déjà vu trainer par ci par là et je l’aurais directement remarqué sur le terrain. Je me rappelle encore le premier livre qu’il avait osé déposer à mes côtés. J’étais d’abord étonnée de voir que ce geste m’était adressé. Puis le signet qu’on pouvait trouver à la page deux cent trois, m’avait attiré. Comme un aimant qu’on venait de placer sous mes yeux. Je ne le quittais pas du regard jusqu’à le voir s’éloigner et s’effacer de ma vue. Pour en ouvrir le contenu, je lisais ligne après ligne. Mot après mot et un sentiment de douceur me toucha. Ces propos, ces écrits voulaient exprimer ces pensées. Sinon je ne voyais pas l’utilité qu’il avait à avoir agis de la sorte. Je l’avoue, ce genre de rapprochement m’arrive pour une toute grande première. Personne n’a agis de cette manière pour m’approcher. Certains allaient droit au but, en me demandant si je voulais être raccompagnée. D’autres encore voulaient me payer des verres pour noyer ma conscience et que je ne finisse par ne plus savoir ce que je veux où ce que je dis. Puis il y avait les étonnant, ceux qu’on n’oublie pas car ils ne font pas les choses comme tout le monde. Ils ont leur façon à eux de s’approcher, avec délicatesse et respect. Qu’est-ce que je pouvais faire en retour ? Directement, je pensais à ce livre de la littérature française, l’étranger d’Albert Camus. Le livre n’allait pas le décrire même si le titre pouvait être évocateur. Un passage plus précis attirait mon attention. Ce paragraphe qui décrit un homme plein de mystère, rempli de réserve. On ne sait pas qui est face à nous. Parfois alors même qu’on connait la personne, on doute encore. Alors quand on marche carrément vers l’inconnu, c’est un sentiment encore plus grand qui grandit. Le mystère est quelque chose qui m’attire et dont je me méfie. On ne sait pas où ça peut nous mener ou sur quoi on peut tomber. Alors j’avance petit pas après petit pas. Sagement et doucement, j’avais déposé à sa place habituelle, l’ouvrage qu’il allait surement comprendre la signification et lui faire passer mon ressenti dans ces quelques échanges.
En poussant la porte de la bibliothèque, j’avais comme une boule dans le ventre. Savoir s’il avait reçu le message et si ça lui avait plu, ça comptait. J’avançais donc en direction de ma place. Sans savoir si je trouverai une réponse ou le jeune homme en question. C’est le genre de situation qui fou un peu d’ambiance dans une journée et là, ça avait été là pour toute ma semaine. Il était grand, brun et il avait un regard tout aussi intriguant que son comportement. En arrivant à la hauteur de ma place, car je venais toujours poser mes affaires sur cette table. Je remarquais que la table à ma gauche, celle qu’il avait aussi l’habitude d’occuper était couverte de livres. Était-ce les siens ? Je ne savais pas mais en tout cas, il y avait bien et bel quelqu’un. Je prenais alors place de mon côté et ouvrit le dernier ouvrage que je devais feuilleter quand une présence se fit sentir. Je levais mon regard vers cette silhouette. Tandis qu’il s’approchait et à mon plus grand étonnement, déposait une seconde fois, un livre. Directement mon attention se posa sur ce signet de couleur rouge. Toujours le même, un peu le nôtre. Reposant mon regard sur son allure, je le voyais s’éloigner et comme par instant, j’ouvris le bouquin. Des paroles charmantes, des compliments et du plaisir à lire. Quand j’arrivais à cette phrase qui disait : « Ils se retrouvèrent toujours à cet endroit. Cette véranda sur le toit de son immeuble. Il savait où l’attendre depuis qu’elle était partie, depuis qu’elle avait fait le mauvais choix. » Étrangement, je fus pousser à vouloir constater mes limites. Est-ce que j’étais capable de croire qu’il y avait un endroit où il m’attendrait ? Et pourquoi ? Est-ce qu’il s’intéressait à une inconnue aussi fortement parce qu’elle était jolie ou parce qu’il pensait qu’elle réservait d’autres surprises. Je dois avouer être prise parfaitement de cours. Cependant sans attendre, je ressemblais déjà mes affaires. Si j’arrivais sur le toit de l’université et que je ne trouvais personne, je réaliserais que je suis vraiment à la masse par moment. Je pousse le vice trop loin. Le vent s’était levée depuis mon arrivée à l’université et en poussant la porte qui menait au plus haut point du bâtiment. Je commençais à douter. Seulement, je ne pouvais pas retourner en arrière. Je voulais absolument savoir qui était là et surtout s’il était là. J’avançais alors à vitesse grand vé vers ce que l’on pouvait appeler aussi une véranda. Cet endroit que les sauveurs de l’humanité de Berkeley ont construit avec leurs différentes causes de charités. Une façon de voir naitre des plantes étonnantes et plutôt rares. Je n’étais jamais venue ici mais j’avais toujours su qu’un jour j’y mettrai les pieds. Même si aujourd’hui, la raison de ma venue était ma plus grande curiosité. En fermant la porte derrière, je voyageais entres les arbustes, les étagères de plantes. Laissant tomber ma capuche sur mes épaules, je me disais que j’étais vraiment une tarée de venir me perdre ici ou de croire qu’on pouvait m’y attendre. Quand soudain, mon regard tomba sur sa personne. Cet homme, très grand et très mystérieux. Je souriais alors légèrement et même timidement. C’était vraiment une attitude rare chez moi, peu de personnes savent m’intimider et il fallait croire qu’il en faisait partie dès à présent. Lui tendant son livre, j’ajoutais : « Je pense que c’est à toi. » Comme un murmure, j’avais prononcé ces mots. Tendant ce qu’il avait déposé sur mon banc, il y a une dizaine de minutes. Je devais me faire passer pour la fille impatiente et folle. Un garçon me laissait un livre et aussi vite que j’avais pu prendre le temps de le lire, je m’étais fait une enquête à la Navarro. Je ne savais pas quoi dire, ni quoi faire. Est-ce qu’il m’avait mis au pied du mur ? Et que j’avais raté le test ? Car j’avais craqué aussi vite, si faiblement. Je coupais le blanc qui s’imposait entre nous. Précisant comme si je m’y étais attachée. « J’espère que ça ne te dérange pas si je le garde. » Tout en prononçant, je rangeais dans mon sac à main, notre signet. Celui qu’on avait partagé, qui nous avait rapproché.
Le code règlement:
→ Validé par Maya
Dernière édition par Jessica A. Kennedy le Dim 4 Mar - 20:07, édité 5 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou. » Sam 3 Mar - 22:11
Well... It's my story...
▽Ce n'est pas nous qui faisons l'histoire. C'est l'histoire qui nous fait. Je ne sais pas par où commencer car l'histoire est longue à raconter. Mes parents ont fait de notre famille un empire, un nom qui laissera des traces dans les annales. Katherine et William se sont donné la chance de réussir, d'en vouloir toujours plus que le voisin. Ils ont fait de notre vie, tout ce qu'il y avait à avoir. On n'a jamais manqué de rien. Ils se sont donnés tant de mal pour être en haut de l'affiche et je ne pourrais que les remercier quoi qu'il advienne. Quand j'ai vu le jour ce quatorze novembre à New York, le levé du soleil fût plaisant. Ma mère avait dû faire des efforts pour mettre au monde son second enfant. Les Kennedy s'agrandissaient et c'est tout ce qu'il fallait. Après leur fils, ma mère était comblée d'avoir une petite fille. En grandissant, j'ai toujours voulu m'éloigner de cette étiquette que porte ma famille. Je voulais qu'on me reconnaisse pour la personne que je suis et non pas pour le nom que je porte. Au début, je l'avoue ça n'a pas toujours été facile. Les filles de la classe n'ont pas toujours été mes amies. Certains m'enviaient tandis que d'autres me méprisaient. Je dois avouer que depuis mon premier souffle les amies ne se sont jamais comptées sur les doigts de deux mains entières. Une main me suffit largement même. Je dois dire que par moment, j'ai eu difficile à me faire une raison. Se retrouver toute seule, livrée à soir même, n'est pas la chose la plus évidente. Loin de là. Puis j'ai grandis et j'ai pu compter sur la complicité que j'avais avec mon frangin. Cameron était mon super héros, celui à qui je pouvais tout raconter. On était vraiment inséparable. Malgré le fait que quatre années nous séparent. On le voyait dans son regard et on le comprenait dans mes gestes, c'était important d'en être là, d'en partager autant. Je me sentais en sécurité, en confiance et pour rien au monde j'aurais voulu perdre ça. Sauf que la vie est loin d'être un long fleuve tranquille sur lequel, il suffit de se promener comme bon nous semble. Je dirais plutôt qu'on est jamais sûr de quoi sera fait demain et qu'on ne peut jamais dire ce qu'il adviendra de nous. On peut s'éloigner du chemin. Se retrouver dans des situations où on se retrouve face à plusieurs choix, plusieurs directions et pourtant une unique à prendre. Quand j'étais petite, enfin je suis loin d'être vieille, j'avais mon lot de rêve et d'envie. Je me voyais déjà loin, à l'université. Etre une fille studieuse, ça aurait été totalement moi, avec ce désir de décrocher un diplôme en droit pour me voir obtenir un poste de juge ou avocate. Je me voyais déjà à la barre prêter serment et vivre d'une passion existante en moi depuis pratiquement ma première année à l'école. Je n'avais que six ans et je savais déjà ce que je voulais faire. Néanmoins, la vie ne me laissait pas le choix.
▽L'obscurité ne peut pas chasser l'obscurité; seule la lumière le peut. La haine ne peut pas chasser la haine; seul l'amour le peut. Tout change, des obstacles se posent et on ne sait plus quoi faire. On croit qu'on touche le fond et que la fin est proche. Je ne savais pas quoi faire, quoi dire. J'ai eu des étapes plutôt difficile à vivre, des choix douloureux à faire. « la petite princesse de Brooklyn » Ce n'est pas de cette façon que je voulais qu'on me voit et j'allais finir par le prouver. Je voyais mon frère tomber dans les tourments d'une existence. Ces yeux devenaient de plus en plus rouge à chaque fois qu'il rentrait. Je compris très vite son jeu. J'ai passé des nuits à me demander ce que je pouvais faire, ce que je pouvais dire pour qu'il arrête. Je tiens à Cameron comme à personne. Donc le voir se détruire petit par petit, me ronge également de l'intérieur. J'ai essayé de lui parler, de le menacer de tout raconter. Mais mon frère était bien trop loin pour se rendre compte de ce qu'il faisait. Puis il y a eu cette histoire avec cette fille. Je ne pouvais plus laisser passer la pilule. C'était trop dur, il jouait avec le feu et je savais qu'il allait vite se brûler. On a une image à préserver. Alors par moment, je peux paraitre égoïste mais je sais combien ils se sont donnés et je ne souhaite pas qu'en un souffle tout s'écroule. J'ai lâché le morceau et Cameron allait surement me faire payer un jour ou l'autre. J'avais parlé de cette fille. Je ne pouvais pas laisser toutes ces histoires filer. J'ai donc pris le risque de le perdre, lui donner la chance de me haïr. J'en avais conscience et l'état de maman ne facilitait pas les choses. J'étais à peine sortie du lycée des bonnes filles que j'ai dû faire une croix sur mon envie de carrière. En l'absence en plus de mon frère, je n'avais pas d'autre choix que de passer derrière les reines. Je brûlais les étapes et je laissais mon innocence de côté. Ma jeunesse n'avait pas sa place dans mon futur. Deux années qui sont passées comme un éclair. Ces rencontres d'un soir et aucune place pour des sentiments. La seule fois où j'ai trahi mes principes fût une certaine nuit en question avec cet homme. Il était séduisant. Il m'amusait. Puis j'avais trop bu pour prendre conscience. J'avais juste envie de me couper du monde, profiter de l'instant présent pour changer. Sauf que le réveil fût très douloureux et la réalité également. Mon dieu que j'aurai voulu l'étouffer pour me prouver que tout ceci n'était qu'un rêve. Cependant, il était bien tout ce qu'il y avait de vivant. Comme ce que nous avions fait cette nuit là. On avait craqué. On avait goutté l'un à l'autre et on ne pouvait pas revenir en arrière. Le travail que je fournissais pour l'entreprise ma construit une force et une certaine image. J'ai redoré l'image familiale, j'ai su soulever l'entreprise comme il le fallait. Merci aux conseillers de maman de m'avoir aidé à ne pas laisser couler le navire.
▽ Soyez réalistes: demandez l'impossible. Aujourd'hui, bien des choses vont changer. Mon frère est de retour et je sens que je ne vais pas m'en sortir indemne. Mon frère va reprendre le taureau par les cornes. Je dois avouer que c'est la seule chose qui ne me plait pas. Je me suis démêlée de tout mon corps pour cette entreprise et il va revenir tout frais reprendre sa place. Je dois avouer que ça ne me plait pas beaucoup. Même si pour moi, c'est le moment de faire des choix et peut - être d'avancer. Voir plus loin que ma famille et de son empire, je ne sais pas si je suis prête.. Je ne sais pas si je suis assez forte pour me détacher de cette grande partie de ma vie. J'ai la chance et le choix de pouvoir retrouver ma liberté, ma jeunesse. Seulement, je ne sais pas si je suis prête à ça, prête à vouloir tourner cette lourde page. Je sais que si je m'en détache, c'est pour de bon. Je ne veux pas être la roue de secours qu'on appelle sans cesse quand il y a besoin. Je veux avoir mon importance et qu'on reconnaisse ce que je suis, ce que je donne comme travail et ce pourquoi je suis prête pour faire avancer cette entreprise qui a fait voyager ma famille. Je suis malgré tout prête à faire mon possible pour garder ce pourquoi je me suis battue. Cette entreprise, c'est surement tout ce qu'il me reste et en dehors de ça, je crains ce qui peut m'entourer.
Dernière édition par Jessica A. Kennedy le Dim 4 Mar - 20:08, édité 13 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou. » Sam 3 Mar - 22:18
Shelley Bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou. » Sam 3 Mar - 22:21
Bienvenue ici si tu as des questions n'hésite surtout pas & bon courage pour ta fiche
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou. » Sam 3 Mar - 22:22
merci à vous deux
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou. » Sam 3 Mar - 22:42
Bienvenue parmis nous la belle
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou. » Sam 3 Mar - 22:44
je peux t'en dire autant, le beau
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou. » Sam 3 Mar - 22:56
Bienvenue parmi nous N'hésite pas si tu as besoin
Cheyenne L. Pearson
Empire State of Mind
if you're going through hell, KEEP GOING.
▌INSCRIT LE : 14/01/2012
▌MESSAGES : 5706
▌AGE DU PERSO : 25
▌ADRESSE : 2515 Lexigton Avenue #402; Manhattan.
▌CÉLÉBRITÉ : Freida Pinto.
▌SMALL IDENTITY PHOTO :
Sujet: Re: « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou. » Sam 3 Mar - 23:52
Bienvenue!
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou. » Dim 4 Mar - 3:22
Bienvenue parmi nous Excellent choix de scénario
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou. » Dim 4 Mar - 13:08
bienvenue sur nycl
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou. » Dim 4 Mar - 13:53
Welcome,
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou. » Dim 4 Mar - 14:14
Bienvenue,
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou. » Dim 4 Mar - 17:20
Ma vilaine Bienvenue & bonne chance pour ta fiche N'hésites pas si tu as la moindre question sur le scénario
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou. » Dim 4 Mar - 17:31
merci à tous
vilaine attend de voir que je sois validée
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou. » Dim 4 Mar - 17:48
bienvenue sur nycl
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou. » Dim 4 Mar - 18:35
merci beaucoup
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou. » Dim 4 Mar - 20:20
Tout me semble correcte Par contre Amethyst va sans doute te MP avec l'ancienne Jessica on avait lié Jude, Amethyst et Jessica donc elle t'expliquera le lien (a)
Validée !
Un système d'intégration est mis en place sur le forum sous forme de flood d'intégration, mélangeant anciens et nouveaux membres, n'hésite pas à t'y inscrire ! N'oublie pas de compléter ta fiche personnage, ton profil et de faire toutes les demandes nécessaire. Si tu as la moindre question ou problème, tu peux bien sur contacter un membre du staff par MP. Nous t'invitons aussi à aller lire ce sujet premiers pas sur le forum Et puis tu peux bien sur voter toutes les deux heures pour aider le forum en cliquant sur la petite bobine (a)
Have Fun !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou. » Dim 4 Mar - 20:31
merci beaucoup j'attends son mp dans ce cas (:
Contenu sponsorisé
Empire State of Mind
Sujet: Re: « Parfois, toute une vie se résume à un geste fou. »
« Parfois, toute une vie se résume à un geste fou. »
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum