→ Cela ne faisait que quelque semaines que j'étais enfin revenu de la guerre et revenir dans mon pays d'origine ne pouvait que me procurer le plus grand bien. J'étais heureux à la fois d'avoir enfin quitté cette merde que je vivais chaque jours au quotidien et avant tout heureux de retrouver ma petite famille, ma femme et ma petite fille qui m'ont tout simplement terriblement manquées. Il ce faisait déjà tard maintenant, la nuit avait enfin fait son apparition alors que je m'étais rapidement endormis, enfin disons plutôt assoupis parce que je n'attendais qu'une chose que ma femme me rejoins rapidement dans notre lit conjugale. Lisa dormait depuis maintenant deux heures et la connaissant tant qu'elle ne ferait pas de cauchemars elle dormirait tranquillement dans sa chambre. Marilyn m'avait rapidement rejoins mais rapidement quittée aussi en réalité, elle ne devait pas avoir aucune envie de dormir.. J'ouvris l'un de mes yeux tout en lançant un petit sourire bien qu'elle ne me voyait pas. Je me redressa lentement tout en m'étirant doucement.. J'avais envie de passé du moment avec ma femme et ça comptait aussi pour passer du temps avec lui le soir, je sortit donc du lit tout en me dirigeant vers le jardin ou je voyait Marilyn pencher vers la barrière.. Ses cheveux au vent je la trouvait tout simplement magnifique et je ne pu m'empêcher de mordiller lentement ma lèvre affichant un sourire. J'étais l'homme le plus heureux du monde et avec une plante aussi belle et parfaite c'est normal après tout. Je marcha donc vers elle avant de passer lentement mes mains sur son corps gardant toujours ce même sourire alors que je pouvais sentir des frissons lui parcourir le corps doucement. « Je sais que je suis impressionnant mais de là à te faire peur.. Je te crois pas tellement. » Je continuait toujours de sourire continuant de passer mes mains sur son corps avec à la fois tendresse et envie.. « Pas peur que le grand méchant viens te manger à une heure pareil ma chérie ? » Je ne pu m'empêcher de rire suite à cette remarque. Il faut dire que le grand méchant loup c'est bien moi en réalité. Je prit donc ensuite possession de ses lèvres, lèvres qui m'avaient terriblement manqué la collant à moi gardant cette même emprise sur elle comme je l'avais depuis le début.

→ Yankees Rock.