JEF ♈ Les OVNI existent réellement, ce sont les incrédules qui n'existent pas.
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Sujet: JEF ♈ Les OVNI existent réellement, ce sont les incrédules qui n'existent pas. Jeu 12 Avr - 21:30
FEAT. LEA MICHELE SARFATI
Jonalynn Evaelle Fawkes
25 ans → Né(e) à New-York le 08/11/1987 → Elle a fait des études en photographie, puis, elle veut commencé des études en médecine pour se spécialiser en psychiatrie célibataire → hétérosexuelle → membre des Beauty Queen.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Elle connaît par coeur chaque réplique des films de Disney (notamment Mulan, La Belle et la Bête, la Petite Sirène, Blanche-Neige & Histoire de jouets) • A écouter une bonne cinquantaine de fois « La mélodie du Bonheur » avec sa grand-mère, lui a d'ailleurs promis il y a quelques temps d'aller voir la comédie musicale • Possède une passion sans borne pour ce qui est des faux ongles • Légèrement dépensive compulsive, elle a aussi une passion sans borne pour les vêtements, en particulier les souliers, elle s'excuse en disant qu'elle en avait de besoin et que sa garde-robe est vide, alors que ce n'est absolument pas le cas • Elle a un débit rapide et serait sans doute capable d'engager une conversation toute seule, tellement qu'elle parle • Elle ne s'est jamais, absolument teint les cheveux, tout est naturel chez elle, sauf son maquillage, évidemment • Elle est nouvellement végétarienne, ce qui laisse légèrement pensive sa grand-mère, dont elle sait que le repas préféré de sa petite fille c'est le poulet • Jonalynn est quelqu'un de passionné, lorsqu'elle touche à quelque chose, elle adopte, tout est question de passion avec elle, elle se fout des conneries d'histoire à la rose bonbon des comédies romantiques, elle veut quelque chose qui dépeigne • Elle n'hésitera jamais à dire un mot vulgaire si elle sent qu'il est approprié • Jona n'a presque jamais eu besoin d'étudier comme une folle afin de recevoir des notes qui dépassent la moyenne • Elle sort toujours en ayant au moins, un minimum de quinze minutes (parfois allant à une demie-heure et plus) à s'arranger, la seule exeption est lorsqu'elle va faire du jogging • Elle a une phobie immense des aiguilles • Dernièrement, par contre, voulant faire une bonne cause elle a été donné du sang... Malgré sa phobie, elle s'est fermée les yeux tout simplement • Jonalynn est légèrement insomniaque et stressée, elle est une fille de nuit et toute sa vie, elle a fait tous ses travaux à minuit. Elle n'a pas besoin de beaucoup d'heures de sommeil • Ne sort jamais sans son cellulaire • Elle a trop changer pendant son séjour en Afrique et elle refuse complètement de l'admettre • Jonalynn n'est pas trop fan de lecture, mais selon elle, Marc Levy est le meilleur auteur, pendant son voyage un type lui a passé son bouquin ; L'achimiste de Paule Coelho, quelque part en elle, il y a quelque chose qu'elle a compris • Elle a toujours eu un attirance pour la psychologie, elle a décidé de commencer des études en médecine afin de devenir psychiatre, suite à son voyage • Parfois on peut souvent comprendre qu'elle vit une histoire d'amour avec sa propre personne, enfin on le lui a déjà reproché • Elle a collectionne les articles de sa mère, mais elle ne lui dira jamais.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Malgré tout ce que l'on dira, père militaire ou pas, si la demoiselle aurait fait un tour dans l'armée, elle aurait sans doute passé un mauvais quart d'heure. Savez-vous, au moins vous pourrez toujours compté sur Jonalynn pour connaître l'heure juste, parce que la jeune femme est d'une franchise à tout épreuve. Et parfois cette franchise manque monumentalement de tact, sauuf ! Sauf qu'elle s'en fiche. Elle déborde d'assurance et manie le sarcasme et l'ironie très bien. Parfois, c'est agaçant, je vous l'accorde. Parfois, on a l'envie irrépréssible de lui dire " Ta gueule ! " bien comme du monde. Parce que la demoiselle n'est pas vraiment capable de mentir, n'est pas vraiment capable non plus de faire l'hypocrite. Ça l'a met tout simplement hors d'elle. Jona est aussi un peu enfant gâtée, elle n'a jamais rien manqué et ses parents l'ont élevée en compensant dans une multitulde de jouets et d'argent de poche afin que leur enfant ne manque de rien. Maintenant, elle a une très grande difficulté à accepter les refus, les non. La négativité lorsque ça s'adresse à elle. Sauf qu'il faut bien qu'un jour, elle se fasse dire " non ! ". Et lorsqu'elle ne veut pas ce qu'elle désire, non pas qu'elle soit tout à coup en colère, mais elle veut l'avoir, point. Plutôt entêtée, obstinée, têtue, bref tous les synonymes du monde, la jeune femme est brillante, personne ne peut en douter, elle a une mémoire légèrement encyclopédique (ce qui fait qu'elle est légèrement rancunnière et n'a pas le pardon facile) sauf qu'elle ne se donne jamais la peine. « J'ai la vie devant moi, aussi bien en profiter ! » est sa phrase fétiche lorsqu'on lui reproche son manque de sérieux. Superficielle, enfant gâté, égocentrique et hautaine avec tous les gens qui ne sont pas près d'elle. Seulement, la demoiselle est aussi vaguement dépendante affective et elle a tellement peur de souffrir qu'elle veut faire fuir environ tout le monde, c'est un petit chat sauvage, Jonalynn. Elle refuse obstinément de laisser quiconque entrer dans son monde. Interdiction d'accès, va voir ailleurs, connasse. Son caractère il est encore là, un peu moins pire, depuis qu'elle est revenue à NY, sauf qu'à quelque part, elle a découvert sa part « d'humanité » en elle. Le tigre se serait-il adouci ? Un peu. Sauf que c'est tellement compliqué pour elle de démontrer qu'une part de générosité à semer en elle, qu'elle se montre aussi désagréable qu'avant. Elle refuse de souffrir, elle a assez donné. Merci.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Naomie & dix-huit ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → J'aurais envie de dire Google est mon ami, parce que j'avais envie de dire ça. Sinon, c'est Dieu qui m'a mis la lumière sur mon chemin, et... Ouais, ouais. J'arrête. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non ! ★Présence sur le forum → Pour le moment je dirais quasi nulle parce que ça fait longtemps que j'ai créer le compte & que je suis pas mal occupée, aah la joie. Mais je finis officiellement le 24 mai l'école donc, eum. Les supers nanas débarquent (trouvons le rapport, groupe d'accord ?) ★Personnage inventé ou scénario ? → Un petit scénario ~
Mon exemple de RolePlay:
→ Elle avait laissé tombé ses barrières, comme elle avait laissé tomber le vouvoiement envers cet homme. Elle se fichait qu'il la juge, qu'il la rejette, elle serait capable d'encaisser. Enfin, le présumait-elle. Quoi que Sahvanna, en réfléchissant très bien, pouvait facilement avoir une légère incompréhension de ce côté. En fait, peut-être qu'elle ne le supporterait pas tant que ça, peut-être que quelque part, ça la blesserait. Après tout, la rouquine avait laissé tombé les ramparts, elle lui avait jeté en pleine figure toute sa douleur. Et puis, là, il faisait de même de ce côté. Comment pensez alors qu'elle sortirait indemne s'il se mettait à la critiquer. Pas comme il l'avait fait dans le but qu'elle cesse de penser seulement aux autres, mais qu'elle pense aussi à elle. Ça à quelque part, la rouquine avait un besoin impératif que quelqu'un lui dise. Non. S'il fichait le camp en la laissant en pleine forêt, ça ferait mal à son orgueil, mais aussi... À sa constitution entière. Elle se fichait de ne pas savoir son nom et de savoir seulement que ses parents étaient morts lorsqu'il était enfant. Sahv s'en fichait, bêtement. En fait, c'était peut-être même plus évident que de jeté le poison qui les envenimait alors qu'ils n'affrontaient pas une personne qu'il connaissait directement. Qui elle, pouvait facilement les juger. C'était un peu compliqué de comprendre comment elle pouvait penser et comprendre la situation, sauf que selon Sahvanna ça avait toute une logique aberrante. Pour une fois, depuis tout ce temps qu'elle avait quitté Harry dans sa hâte de tenter de sauver sa fille, de la retrouver, elle était en paix. Oui, bien sûr elle était sensible au sujet, qu'elle y pense un peu trop la blesserait et elle se mettrait à pleurer. Seulement, ça faisait du bien sortir cette rage, cette peine, de l'exposer à quelqu'un, de sentir que quelqu'un l'appuyait. D'ailleurs, c'était comme si elle sentait un vide à l'intérieur de sa personne lorsqu'elle observait le ciel, comme si on lui avait arraché quelque chose, qu'elle était capable de vivre sans et qu'elle ne le sentait que lorsqu'elle y portait attention. Comme par exemple, respirer. On n'y pense jamais, à inspirer, expirer. Sauf lorsqu'on manque d'air, ou encore quand on y porte une attention particulière. C'était la même chose que la mort d'Everlight.
« L'homme le plus malheureux? Oui. Sûrement. Quel homme serait heureux d'avoir une âme noir comme la mienne? » Elle releva la tête, s'appuyant sur les coudes, poussa un petit soupir et observa cet homme, non. À ses yeux, elle était loin d'être noire son aura. Sauf qu'elle ne comprennait même pas comment il pouvait croire autant qu'elle était noire, qu'il semblait aussi maudit pour l'enfer. Comment un homme qui semblait autant... Elle n'avait pas de mots pour le décrire, mais qui sortait de la normalité, qu'elle savait qu'elle aimerait côtoyer, pouvait croire une seule seconde qu'il était si noir. Sahvanna haussa tout simplement les épaules, elle n'était pas là pour l'obstiner. Quoi que oui, en fait. Elle avait une tête dure la rouquine et elle n'était pas prête de laisser tomber le sujet, d'ailleurs, elle ouvrait déjà la bouche pour lui dire clairement que non, qu'il se trompait. Oui, il se trompait sur toute la ligne. Quoi ? Il se connaissait peut-être un peu mieux qu'elle, elle le connaissait ? Elle s'en fichait. Comment bordel, dites-moi quelqu'un qui lui faisait tant de bien pouvait dire une seule seconde qu'il avait une âme si noire ? Sauf qu'elle ne l'obstina pour l'homme malheureux... Oui, il avait l'air malheureux. Sahvanna se souvint de ce sourire qui l'avait un peu ébloui qu'il avait tiré sur ses lèvres... Et puis, ensuite cette froideur inquiétante sur ce visage. C'était perturbant, quoi. En fait, les mots voulurent sortir pour l'interrompre et tenter de lui dire tout à fait le contraire lorsqu'il se remit à parler. « Dit moi. N'as tu jamais pensé que toutes ses choses que tu as fait, ses choses qui te ronge dans le plus profond de ton âme, que tu as fait malgré le fait que tu savais qu'elle était sombre de noirceur, t'empêcherais d'accéder au paradis au moment de mourir? Que personne ne pourra jamais te libéré de ce poids car tu en est le seul responsable? Que finalement, m'as vie se résume pas mal à être malheureux de tout les mauvais choix que j'ai fait? » Elle refermit sa bouche, en fait pour une première fois sans doute de sa vie Sahvanna Harrisson était carrément bouché. Il faut dire que ce n'était pas comme si elle réfléchissait toujours sur la question, elle avait autre chose en tête que cette question... Mais quand même !
En fait, Sahvanna le savait pourquoi est-ce qu'elle n'avait jamais pensé à cette question, parce qu'elle avait été complètement heureuse tout le long de sa vie, il y avait eu ces dépressions, ces passes de complètes anorexie, il y avait eu ces passes où elle avait passé de bras en bras, d'hommes en hommes. Sauf qu'elle finissait toujours par revenir dans le droit chemin, parce qu'elle était obstinée, qu'elle s'écoeurait elle-même et qu'elle avait une tête dure. Pouvait-on dire que Sahvanna était destiné au bonheur ? Non. Sauf qu'elle était capable de le trouver, la rouquine était capable de faire, créer son propre bonheur. Le jour où elle ne le ferait pas, elle pourrait se pratiquer à faire des noeuds coulants, pas avant. Elle se l'interdisait, complètement. Peut-être était-ce pourquoi elle n'avait jamais réfléchit à cette question. Sahvanna avait été proche de la mort à beaucoup d'instant, elle avait vu mourir devant ses yeux nombres de personnes, mais dans sa tête, tout le monde allait dans les plaines de lumière. Dans sa tête, une mère ne voyait jamais son enfant mourir, dans sa tête on avait tous un happy ending, point. Enfant ? Ouais, et ? Au moins, elle se l'avouait ! Sauf qu'elle était certaine qu'on ne faisait pas de descrimination ; tous allaient sur les plaines, heureux. Sinon, l'éternité c'est triste être seul. « J'ai fait des choses que je qualifierais d'ignoble à mes yeux, j'ai eu des pensées ou des paroles, des souhaits, qu'ensuite j'ai regretté toute ma vie, mais jamais j'ai cru que ça allait faire en sorte que je n'aille pas aux plaines de lumières. En fait, je crois que peu importe d’où tu viens, que tu ai tué, que tu ai prié, que tu as pu commettre x nombre de meurtres, que tu as pu sauver x nombre de personnes, tu vas te retrouver au paradis. Réfléchis, un instant. L'éternité, la mort, c'est long lorsque tu es malheureux et seul. » Elle poussa un petit sourire tout en lui faisant un sourire, observant au passage son profil. Il était décidément l'homme le plus malheureux qu'elle ai pu voir. Et à quelque part, elle aurait voulu le serrer dans ses bras, lui donner le plus de bonheur possible, le faire rire. Elle voulait entendre cet éclat de rire, elle voulait revoir ce sourire éblouissant, voilà !
Elle se rassoya, le fixant toujours, tombant légèrement dans la lune, pour ensuite reprendre conscience qu'elle le fixait et que parfois, ça pouvait sembler carrément inconfortable. Puis, elle eut un petit sourire, penchant sa tête et arrachant de l'herbe par terre pour jouer avec. « Quand j'étais petite, j'avais un meilleur ami. C'était à mes yeux, la personne la plus formidable de la terre. Et dans ma tête, c'était l'homme de ma vie, on allait avoir des enfants ensemble, j'allais être heureuse. Puis, un jour, il m'a trahi. Il m'a humilié. Devant tout le monde, tout le village. Ma mère m'a consolé en m'disant que c'était tout simplement pas l'homme de ma vie. J'm'étais dit alors, mais il est où bordel, dans ce cas ! Je veux mon conte de fées à moi ! Elle m'a dit qu'il pouvait être n'importe où. J'suis devenue inquiète, si j'faisais pas le tour du monde ? Elle m'a dit que lui le fera. Alors s'il part de l'autre côté ? Eh bien, elle m'a répondue que la terre est ronde. Qu'il allait m'trouver. Sauf que ça peut être long, comme c'est pas obliger. » Sahvanna releva la tête, observant l'arbre devant elle, en fait elle ne le voyait pas réellement. Pourquoi avait-elle dit cela ? Ça n'avait pas vraiment de bon sens. Puis, elle planta son regard dans celui de cet homme. « En fait, depuis que j'ai sept ans, je me répète cette phrase et je l'applique un peu partout. Je n'étais pas heureuse, ce n'était pas ma place en tant que serveuse de resto. Sauf qu'il y a un million de choses que tu peux faire, or être serveuse, dans la vie, bordel ! C'est comme dire que la terre est ronde. Tu n'es pas heureux ? Bouge ! On fait tous des choix dans la vie, parfois ils sont bons, parfois tu te plantes en pleine face. Et parfois, c'est la personne que t'aimes qui se plante. Le plus dur c'est pas de se relever, le plus dur c'est tenter de changer pour faire en sorte que tu ne te casses pas encore un bras ! Le plus dur, c'est d'admettre tes erreurs. Et encore plus, le plus dur c'est de tenter de changer. Changer pour ton bien, uniquement. Et non pour les autres. Regarde au fond de toi, creuses, fouille. Imagine que t'es une marmotte, si ça t'chantes. T'as une aura noire, peut-être ? Bordel, réveilles-toi merde ! » Non, elle ne mâchait pas ses mots. Sauf que ça lui faisait du bien de lui dire son avis. Elle ne lâcha pas son regard, elle n'avait pas terminé. « Si j'aurais eu une aura noire, à ta place, j'aurais violé cette femme, je l'aurais tué, j'aurais pris ses organes pour les vendre sur le marché noir. Non pas l'écouter, non pas la consolé, non pas lui faire du bien. » La rouquine poussa un soupir. « T'attends quoi ? Que tu te réveilles vieux, la vie derrière toi en te disant que tu regrettes ? C'est LE moment d'agir ! » Et elle était que trop bien placé pour prendre elle-même son conseil.
Le code règlement:
→ code bon par Maisy
Dernière édition par Jonalynn E. Fawkes le Ven 13 Avr - 0:04, édité 11 fois
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Sujet: Re: JEF ♈ Les OVNI existent réellement, ce sont les incrédules qui n'existent pas. Jeu 12 Avr - 21:31
Well... It's my story...
Summer after high school when we first met we made out in your Mustang to Radiohead and on my 18th Birthday, we got matching tattoos -Katy Perry.
" Madame, ma mère est partie en Égypte écrire un article à la con -oh, désolée mamie- alors, hmm, on fait des brownies ? C'est toi maaaaaamie qui m'a toujours répété cent milles fois, pis j'exagère pas, je n'exagère jamais, MERDE, que les brownies ça règle tout. Alors, hun. C'est la seconde guerre mondiale dans ma vie, pis ma mère est partie en Égypte. Mon père est... Oh, mais mon père serait incapable de régler ça, il dirait étudie ton arithémétique Jonny, fous-toi des garçons, s'pas d'ton âge. HUN, j'ai DIX ANS. Je vis ma première peine d'amour, PIS J'AI MÊME PAS MA MÈRE. " En tant normal, sa grand-mère dans ces cas là, elle lui disait d'appeller Joyce. Parce que... Parce que c'était ainsi. Lorsque l'on considérait que le stade " seconde guerre mondiale enclanchée " chez la gamine, on appellait Joyce, point. Ou enfin on lui suggérait aimablement de le faire. Elle allait jouer un peu avec sa meilleure amie et ensuite tout se réglait. Sauf que là, c'était le top de la nullité et elle refusait qu'on la calme avec une si petite maigre phrase comme cela. En fait, elle s'en fichait de ce nul de garçon qui lui avait dit " que les filles c'étaient remplies de microbes " et avec une once de féministe très ressentie, Jonalynn lui avait foutu une baffe. LES FILLES C'EST PAS REMPLIE DE MICROBES, POINT. Qu'il répète ça, juste pour voir ce débile attardé ! Parce que pour la petite fille, ils étaient tous des débiles attardés à cet âge, point. Et évidemment, ça allait pas en grandissant. Sa grand-mère lui avait répété pleins de fois de ne pas adresser la paroles aux inconnus. Le jour où elle avait répondu pourquoi, elle lui avait dit qu'il pourrait lui faire du mal. Et dès qu'elle su ce que voulait dire le mot tant redouté de pédophilie, elle comprit que c'était sans doute cela, que sa grand-mère parlait de pas parler aux inconnus.
L'enfance de Jonalynn ne se résumait pourtant pas seulement à un nombre incalculable de crisettes. Sa maison, c'était ce luxueux appartemment. Sa mère, elle ne la connaissait même pas et vice-versa. Bon, grand nombre de fois, elle aurait voulu que sa mère qui savait toujours tout, connaisse toujours tout d'elle, aussi. Du genre, connaître sa couleur préféré. Ça lui aurait éviter de ramener des t-shirts touristiques affreux en matière de couleur aux yeux de la fillette. En fait, la jeune fille qu'elle était vouait une admiration profonde pour sa grand-mère qui l'avait à elle seule élevée, qui était à ses yeux un peu la mère qu'elle n'avait pas. Sauf que malgré tout, elle était incapable de ne pas vouer un amour sans borne pour cette femme étrangère qui était sa mère. Dès ses neuf ans, elle avait commencé à découper les articles de sa mère, de les imprimer à la limite et de les garder bien précieusement. Son père, elle s'en fichait en grande partie parce qu'un père ce n'était pas aussi important qu'une mère, et qu'un militaire c'est beaucoup trop sérieux au goût de Jonalynn. En fait, c'était surtout que dès qu'elle eut atteint l'âge de dire " non " et de d'avoir pleins de gros mots en pleine bouche, la relation père-fille s'effrita rapidement : il n'était pas question pour cet homme de se faire manquer de respect et il n'était pas question pour Jonalynn de devoir obéir au doigt et à l'oeil de son père. D'ailleurs, pendant une année, elle se força afin d'avoir des notes pitoyables afin de le fâcher lorsqu'il viendrait la voir. Et qu'il refusera pour la forme l'argent de poche que sa fille lui demandera. Quelle relation de famille, quoi ! Déjà, elle savait très bien " qu'elle voulait ficher le camps " rapidement. Parfois, elle demandait à sa grand-mère si elles pouvaient s'en aller ; elle et sa Grand-mère. Partir pour les Bamas à la limite. Quitter New-York et oublier le fait qu'elle avait une mère partie écrire un article quelque part dans le Conecticut et un père partit faire la guerre courageusement.
Give me a second I, I need to get my story straight My friends are in the bathroom getting higher than the empire state, my lover she is waiting for me just across the bar My seat's been taken by some sunglasses asking 'bout a scar and I know I gave it to you months age I know you're trying to forget but between the drinks and subtle things the holes in my apologies you know I'm trying hard to take it back so if by the time the bar closes and you feel like falling down I'll carry you home. -Fun.
Adolescence. Mot qui indique une crise, toujours. Jonalynn passa inévitablement par là avec sa meilleure amie, une des seules choses qui tenaient toujours la route ; Joyce. Ah... Joyce, cette bonne vieille Joyce. Toujours là, en train de se soutenir mutuellement, de faire les quatre cent coups, de monter toujours les années, commençant à approcher le jour où elles devront trouver leur voie. Cette meilleure amie qu'elle connaît depuis toujours, qui sait tout de sa vie, parce que c'est impossible pour elle de garder quelque chose sans le dire à elle. Bien sû, ce n'était pas seulement bon pour l'enfance, leur amitié. Amie pour la vie avait un sens pour Jonalynn, plus que pour les autres en tout cas. Adolescence veut aussi dire toutes ces premières, mais aussi alcool et drogue. Si Jonalynn peut jurer sur la tête de sa grand-mère qu'elle n'a jamais consommé de drogues, on repassera pour ce qui de l'alcool par contre. Non, mais. C'est tout à fait normal de profiter de la jeunesse, voyons. Même que parfois, ça l'inquiète quelques parents, les adolescents trop inquiets. Et puis, ce n'est pas comme si elle croyait fermement que ses parents, militaire et journaliste accomplie se faisait du sang d'encre, alors que le premier avait été assigné à la guerre en Irak et sa mère parcourait les États-Unis. Il manquait seulement une vieille westfalia toute décolorée et on peut déjà avoir ici le rêve canadien de toute pièce, n'est-ce pas, hein ? Oh, comme c'est chou ! Bien sûr, Jonalynn à l'époque ne trouvait pas vraiment le tout très chou et elle aurait plutôt eut envie de crier et de les informer qu'elle existait. Juste au passage parce qu'ils semblaient pas réellement conscient du fait qu'elle existait toujours et encore. Vous voyez cette petite fille qui habite chez sa grand-maman, qui aimerait bien que vous en occupiez un peu, beaucoup ? Qui êtes heureux pour elle quand elle ramène un mec à la maison, son premier amoureux. Tsé.
Si son père et sa mère n'étaient pas heureux de cet événement parce qu'ils ne le vécurent tout simplement pas, sa grand-mère elle, fut contente. Même si elle fit une entrevue en règle, au peigne fin pleins de détails sur ce mec. Oh, le pauvre. Il était si gêné devant cette femme, avec un chapelet autour du cou en jouant avec ses cartes, un jeu de patience. Elle se donnait des airs, cette femme qui a première vue paraissait tellement conservatrice et tellement sévère était devenue quelqu'un de si important pour la jeune femme qu'elle ne lui tint même pas rigueur de cette petite mise en scène. En fait, sa grand-mère lui faisait des sermons seulement quand elle découchait sans prévenir, qu'elle s'employait à seulement revenir complètement soule, se retenant par les murs ou bien encore par les épaules de Joyce, tout dépendait de la situation. Du genre, si elles décidaient de finir chez elle ou bien chez sa meilleure amie. Aussi simple, n'est-ce pas ? Jona se croyait supérieure, et pour cause. Elle l'était au fond. Elle était jolie, brillante, savait manier les mots assez pour vous faire chier proprement dit, puis elle était toujours accompagnée de la jolie Joyce Badfort de qui elle était inséparable, encore et toujours. Les deux demoiselles enchaînèrent soirées par-dessus soirée, Jonalynn, aventure par-dessus aventure. Elle tombait la plupart du temps sur des types qui lui proposaient d'aller déjeuner ensemble le lendemain matin. Ceux-là, elle ne voulait rien savoir, absolument. Puis, il y avait ces hommes qui se fichaient d'elle. Par contre, ceux-là déjà il était plus intéressant de l'avis de la jeune femme. Bah quoi, un homme indépendant c'est toujours plus intéressant qu'un petit chien-chien, si ? Au grand bonheur de sa grand-mère, elle n'abandonna pas les études pour autant. Était-ce parce qu'elle était tout de même une petite enfant sage ? Pas vraiment. Mais c'était surtout que l'idée de vivre au dépend de son père et sa mère ne lui plaisait pas vraiment.
Guess this means you're sorry You're standing at my door guess this means you take back All you said before like how much you wanted anyone but me - Kelly Clarkson
Elle ne le prenait pas. Non, absolument pas. Pourquoi est-ce qu'elle lui faisait ça ? Pourquoi est-ce que la personne en qui elle avait le plus confiance était en train de prendre ce putain d'avion, à ce putain d'aéroport afin de quitter New-York. Non, mais quelle idée. Comme si quelqu'un pouvait être assez brillant pour quitter NEW-YORK. Fallait être cinglé. Et Joyce n'était pas cinglé, alors elle comprenait que dalle. En fait, ce jour-là, elle avait failli massacrer son appareil photo lorsqu'elle lui avait annoncer qu'elle quittait la ville. Jonalynn lui avait seulement craché en pleine figure " au moins tu me l'annonces et tu t'barres pas sans prévenir, t'as plus de couille que tous les salauds d'la terre réuni, quoi. " On aurait pu penser que c'était un compliment. Pas dans la bouche de Jonalynn Evaelle Fawkes. Ce ton était un peu trop sarcastique pour être, oh je t'adore de m'abandonner. Mais qu'est-ce qu'elle pouvait faire, mis à part lui faire la tête ? Rien, niette. Alors, aussi bien la laisser faire, qu'elle s'en aille. De toute façon, elle va s'emmerder. Jonalynn n'était même pas certaine de la destination en fait (et si elle devait prendre avion et aéroport) mais dans sa tête, elle partait pour l'Australie, ou quelque chose dans le genre. La demoiselle avait fait des études en photographie et elle avait toujours aimé. La seule et unique chose qu'elle avait trouvé pour faire plaisir à maman, papa et même mamie avait été d'entamer des études en photographie. Pas sérieux ? Pas obligé d'aller faire un militaire de sa personne pour être sérieuse qu'elle avait répliquer. Son père était devenu bouillant. Comme une bouillore. Personnellement, s'en moquait... Comme d'une guigne. À ses yeux, être militaire c'était pas sensé être une qualité.
Joyce, sa meilleure amie, celle qui la comprennait mieux que n'importe qui, qui l'avait lâchement abandonné pendant une année, une année où elle s'était appelé et où Jonalynn s'était affreusement rendue compte qu'elles ne se comprennaient plus. Elles, autant sur cette longueur d'onde... Eh bien, c'était une belle merde sa relation amicale, pas amicale. Supra-amicale, sa soeur de coeur. Celle que si un mec balançait une main sur elle, lui faisait une minuscule égratignure, recevait un tas de menaces de mort accompagné d'un talon haut en pleine gueule. Évidemment, quoi de mieux que se défendre qu'un talon haut ? Absolument rien, merci. Jonalynn avait tout de même reçut un espèce de contrat, un célèbre écrivain, qui faisait des livres-photo, avait décidé d'en faire un sur le Kenya, en Afrique. Jonalynn avait été chargée de prendre les photos. Elle partie à vingt-trois ans et elle en revint à vingt-cinq ans complètement changée. Le sida qui décimait une bonne majeure de la société ainsi que la misère l'atteint directement, elle, si désagréable avait à son tour changé, démontrant la facette de sa personnalité qu'elle-même ne connaissait pas, elle était gentille, compréhensive, aidante. Elle tentait de comprendre le mieux possible et d'aider. Sans doute que comprendre la misère de ces gens lui permit de faire un travail d'enfer et d'illustrer aussi facilement cette misère qu'elle réussissait à capter là où elle marchait ? Elle en savait rien. Seulement, elle savait qu'à quelque part ce projet l'avait changé de la tête à l'orteil. Jonalynn se promit dès son retour à New-York de faire une demande d'admission pour la médecine. Elle avait les bonnes notes. Elle avait le rêve utopique de rendre le monde supportable. Sauf qu'avant tout, elle allait devoir affronter ses propres démons : son retour, les gens qui voyaient en elle cette garce fini, qui décida de se ramener les fesses afin de ne pas souffrir. Encore et toujours. C'était désagréable, vous savez.
Dernière édition par Jonalynn E. Fawkes le Ven 13 Avr - 7:02, édité 8 fois
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Sujet: Re: JEF ♈ Les OVNI existent réellement, ce sont les incrédules qui n'existent pas. Jeu 12 Avr - 21:32
Bienvenue :cutie;
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Sujet: Re: JEF ♈ Les OVNI existent réellement, ce sont les incrédules qui n'existent pas. Jeu 12 Avr - 21:40
MA Jonalynn (C'est Joyce, juste la flemme de changer de compte )
Bienvenue & Bon courage pour ta fiche
Et si tu as la moindre question, ma boîte à MP est grande ouverte
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Sujet: Re: JEF ♈ Les OVNI existent réellement, ce sont les incrédules qui n'existent pas. Jeu 12 Avr - 21:42
Bienvenue parmi nous N'hésite pas si tu as besoin
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Sujet: Re: JEF ♈ Les OVNI existent réellement, ce sont les incrédules qui n'existent pas. Jeu 12 Avr - 21:46
Bienvenue à toi bon courage pour ta fiche LEA & ton kit
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Sujet: Re: JEF ♈ Les OVNI existent réellement, ce sont les incrédules qui n'existent pas. Jeu 12 Avr - 22:05
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: JEF ♈ Les OVNI existent réellement, ce sont les incrédules qui n'existent pas. Ven 13 Avr - 0:06
bienvenue parmi nous je valide ton code qui est bon, bonne continuation
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Sujet: Re: JEF ♈ Les OVNI existent réellement, ce sont les incrédules qui n'existent pas. Ven 13 Avr - 0:51
aonww, mercii ! & Serena, Nina Dobrev
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Sujet: Re: JEF ♈ Les OVNI existent réellement, ce sont les incrédules qui n'existent pas. Ven 13 Avr - 1:49
Lea-ma-magnifique Bienvenue & bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: JEF ♈ Les OVNI existent réellement, ce sont les incrédules qui n'existent pas. Ven 13 Avr - 12:09
DP; je n'ai rien à redire sur ta fiche, ele est parfaite Il me manque juste l'accord d'Ever/Joyce pour pouvoir te valider
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
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Sujet: Re: JEF ♈ Les OVNI existent réellement, ce sont les incrédules qui n'existent pas. Ven 13 Avr - 21:39
LEA Bienvenue!
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Sujet: Re: JEF ♈ Les OVNI existent réellement, ce sont les incrédules qui n'existent pas. Sam 14 Avr - 0:43
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Sujet: Re: JEF ♈ Les OVNI existent réellement, ce sont les incrédules qui n'existent pas. Sam 14 Avr - 12:56
Pour ma part tout est parfait
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Sujet: Re: JEF ♈ Les OVNI existent réellement, ce sont les incrédules qui n'existent pas. Sam 14 Avr - 13:16
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Sujet: Re: JEF ♈ Les OVNI existent réellement, ce sont les incrédules qui n'existent pas.
JEF ♈ Les OVNI existent réellement, ce sont les incrédules qui n'existent pas.
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