Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise »
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Sujet: Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise » Sam 31 Mar - 16:43
FEAT. ANDREW COOPER
Kenzo Gregorio Sharper-Mehari
26 ans → Né(e) à Venise, Italie le 12/05/1985 → Infirmier en pédiatrie célibataire → hétérosexuel → membre des Populars.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Mes caractéristiques? Je n'ai rien de bien différent des autres jeunes hommes de ma ville. Je ne me suis jamais fait faire de piercings et encore moins de tatouages, par peur de me lasser sans doute. Moi les tatouages, je les fais à l'henné, j'ai au moins la certitude que ceux-ci partiront un mois après. Sinon, à bien y réfléchir, j'ai quand même quelques petites différences, comme mes allergies. Parce que là, dame nature m'a gatée. En effet, je suis à la fois allergique aux acariens, aux poussières, à certaines substances présentes dans certains médicaments, au chlore & aux noisettes. J'ai aussi fait de l'asthme pendant mon adolescence mais ce dernier à l'air de me laisser tranquille ces derniers temps. Passons maintenant à mon physique. Je mesure un peu plus d'un mètre septante et je suis musclé, jusque comme il faut. Je ne saurais vous dire avec exactitude mon poids et ma taille puisque cela fait très longtemps que je ne suis plus monter sur une balance ou autre. J'ai les cheveux bruns foncés, tirant sur le noir. J'essaye toujours d'être bien coiffé même si j'avoue que parfois ce n'est pas si facile que cela, mes cheveux prenant souvent un malin plaisir à se mettre en pétard. Mais passons. Ce qui me différencie réellement d'un autre italien est la couleur de mes yeux: vert-bleu. Il paraitrait d'ailleurs qu'ils sont tellement expressifs qu'on pourrait lire en moi comme dans un livre ouvert. Qu'on parle d'yeux, je suis myope mais préfère porter des lentilles aux lunettes. Que dire d'autre? J'ai un style vestimentaire pouvant aller du classique au sportif en passant par le décontracté. Je m'adapte à toutes les situations.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Je n'ai pas toujours été celui que je suis aujourd'hui. En effet, mon évolution niveau caractère s'est faite lentement, grâce aux expériences de la vie. Le seul trait de caractère que j'ai toujours gardé est ma curiosité. Sinon, petit j'étais plutôt quelqu'un de timide et de renfermé. L'adolescence a fait de moi un jeune homme assez révolté contre ma famille. Je ne compte plus les crises de colère que j'ai fait subir à ma mère. Si j'étais difficile en privé, j'étais toujours ce jeune homme réservé et timide en société. Vous voyez le petit intello à lunettes à la deuxième rangée? Et bien c'était moi. Les seuls moments où je m'extériorisais c'était pendant que je dansais ou alors que je montais sur les planches, le théâtre m'aidant beaucoup à prendre confiance en moi. Côté coeur, j'étais un véritable romantique. Paraitrait même que j'étais le genre de prince charmant des temps modernes. Mais tout cela c'était avant. Avant que je ne parte pour l'Amérique, avant que je ne me débrouille seul, avant elle. Maintenant, je suis tout le contraire de celui que j'étais. C'est bien simple mes amis de Venise ont souvent un mal fou à me reconnaître. Si je devais vous parler de mes défauts je pourrais très bien vous les résumer en disant de moi que je possède un sale caractère. En effet, vous ne trouverez probablement pas quelqu'un d'aussi têtu que moi. Je veux toujours avoir le dernier mot, toujours avoir raison. De plus, je suis quelqu'un qui ne change pas facilement ses positions. Si je vous promets d'être présent, j'y serai. Mais si vous avez obtenu un non, vous pourrez danser sur votre tête pour que je change d'avis... De plus, je suis quelqu'un qui n'accorde pas facilement sa confiance et qui la retire très vite. Cela ne vous étonnera certainement pas si je vous avoue que je suis quelqu'un de très rancunier. Spontané, j'essaye de plus en plus de contrôler mes impulsions et de ne pas foncer tête baissée sans réfléchir. Rassurez-vous, je n'ai pas que des défauts. La preuve? Je suis quelqu'un d'assez extraverti qui adore passer du temps avec ses amis. Je suis toujours là pour eux quoiqu'il arrive à n'importe quelle heure du jour ou même de la nuit. Malgré ma profession, je suis toujours un grand fêtard qui adore sortir jusqu'à pas d'heures, boire et draguer. Sociable, je suis également un grand bavard même si je sais aussi me taire afin d'écouter les autres. Energique, il semble que je ne sois jamais fatigué et que je possède un brin de folie qui me pousse à taquiner les personnes importantes à mon coeur -les autres aussi d'ailleurs- Je dois certainement posséder d'autres qualités mais je n'aime pas trop me vanter, vous les découvrirez donc par vous même.
Well... It's my story...
Souvent quand les personnes parlent de leur histoire, elles la commencent par leur naissance. Je pense qu'il faut remonter un peu plus loin pour bien comprendre d'où l'on vient, les racines c'est aussi important que l'experience qu'on acquiert dans la vie, selon moi. Je commencerais donc par vous parler de la rencontre entre mes parents, deux êtres qui n'étaient pas destinés à se rencontrer puisqu'ils avaient deux métiers totalement différents et habitaient des pays totalement éloignés. Mais le destin ne fait-il pas bien les choses quelques fois? Mon père, Alessandro Mehari, est un grand cardiologue italien dont la renommée n'est plus à faire. Mais à cette époque, il débutait seulement sa longue carrière et avait encore beaucoup de choses à apprendre. C'est pourquoi, le jeune homme accumulait les colloques et les formations supplémentaires. L'une d'elles était proposées par un grand professeur et il était impossible pour mon père de louper une chance pareille. Le seul hic était qu'elle se donnait loin de son pays, en Amérique. Ce ne fut pas la distance qui découragea mon père. Il mit une grande partie de ses économies pour suivre cette formation qui durait un peu plus d'un mois. C'est pendant ce mois là-bas qu'il rencontra ma mère, Amber Sharper, grande rêveuse et future styliste. Ce petit côté fantaisiste plu de suite à mon père et ils passèrent ce mois à faire connaissance. C'était un peu comme un coup de foudre, c'est du moins comme ça qu'ils définissent cette rencontre. Quelques mois plus tard, ma mère plaqua tout pour rejoindre mon père en Italie. Dans la foulée, ils se marièrent et des envies d'avoir des enfants commençèrent à germer dans l'esprit de ma mère. Seulement, si certaines ont une facilité déconcertante de tomber enceinte, ma mère éprouva énormément de difficultés. Après trois ans d'essais infructueux, mes parents se rendirent à l'évidence: ils n'auraient jamais d'enfants bien à eux. Ils décidèrent alors d'adopter. Ils envoyèrent des formulaires dans les orphelinats africains, attendant impatiemment une réponse qui semblait ne pas venir. C'est sans doute quand on s'y attend le moins que le bonheur arrive, sans crier gare. Cela faisait presque un an que le formulaire avait été mis en attente quand ma mère remarqua qu'elle avait du retard dans ses règles. Au départ, elle ne pensa pas sérieusement qu'elle pouvait être enceinte, alors qu'ils avaient à présent perdu tout espoir. C'était pourtant bien le cas, ma mère attendait famille. Cette nouvelle ressouda encore plus mes parents -leur couple avait quand même été égratiné par tous ses essais infructueux- C'est donc dans cette ambiance chaleureuse que je naquis le 12 mai 1985 dans une petite clinique privée de Venise. Je grandis sans problème majeur, entouré de l'amour de mes deux parents, plus de ma mère, mon père accumulant trop souvent les heures supplémentaires à l'hopital. Je devais avoir presque trois ans quand mes parents reçurent une réponse positive à leur dossier d'adoption. Zaïa arriva chez nous alors que je faisais mes premiers pas à l'école maternelle. Un an seulement nous séparait. Au départ, j'eu un peu de mal à lui faire une place dans mon petit cocon familial. Mais très vite, je pris mon rôle de grand frère très au sérieux et nous fumes très vite inséparables, Zaîa et moi. Les années d'enfance passèrent à une vite folle. A cinq ans, alors que j'accompagnais ma meilleure amie à un cours de danse avec sa mère, j'eus moi aussi envie d'essayer cette discipline. Bouger sur une musique, ça me plaisait et ce qui ne devait qu'être un essai devint une passion. Je m'exprimais mieux à travers la danse qu'en paroles. C'était plus facile pour moi. Cette passion ne me quitta plus. J'eus très vite l'âge d'apprendre à lire et à écrire, choses que je fis avec beaucoup de plaisir. Mon esprit de curiosité était déjà là, je débordais de projets, dont l'un d'eux était de devenir archéologue. A huit ans, j'entamais des cours de théâtre en plus de la danse. Le théâtre me permit de me surpasser et de vaincre petit à petit ma légendaire timidité. A côté de cela, je passais mes années scolaires sans aucune difficulté. L'adolescence arriva au moment où je quittais le collège pour le lycée. Les premières disputes avec mes parents éclatèrent au sujet de mes études. Mes parents voulaient que je suive la filière scientifique et moi la filière sportive. Je finis par gagner, bien que mes parents espèraient toujours me faire changer d'avis en cours de route. C'est à 18 ans, lors que la soirée organisée après la remise du bac que ma vie prit un tournant assez spécial. C'est en effet lors de cette fameuse soirée que je la rencontrais. Elle? Celia. Elle aussi venait d'empocher son bac et à priori je n'aurais pas su la rencontrer avant puisqu'elle était dans la filière scientifique et voulait devenir docteur spécialisé en pédiatrie. Elle avait de l'ambition, avait un fort caractère et était belle comme une déesse. Moi qui n'aimait pourtant que les brunes, je tombais immédiatement sous le charme de la jolie blonde. Il me fallu tout le courage du monde pour l'accoster et encore plus pour oser lui avouer mes sentiments quelques mois plus tard. Heureusement, mes sentiments étaient partagés et une belle histoire d'amour débuta. J'étais l'homme le plus heureux du monde de ce point de vue. Car niveau familial les relations avec mon père se dégradait. Il venait de remarquer que je ne suivais pas les cours de médecine à l'université et que je m'étais inscrit dans le cursus paramédical. Alors oui, c'était toujours de sciences mais non je ne deviendrais pas chirurgien comme lui mais infirmier et ça, il avait plutôt un mal fou à le digérer. Il me mit devant un ultimatum: ou je prenais réellement mes cours de médecine ou il ne finançait plus mes études. Je choisis de suivre ma voie et je cherchais un job d'étudiant. C'est ainsi que j'atteris dans une petite radio locale où je fus d'abord chargé de petits travaux avant de devenir animateur d'une émission qui passait en fin de soirée. C'est à ce moment que je me rendis compte de ma sociabilité. J'avais un très bon contact avec les personnes et ma timidité avait complètement disparu. Je devenais un autre jeune homme, capable de prendre ses responsabilités. Mon diplôme en poche je rêvais en grand et voulait tout faire pour que mes rêves se réalisent. Pour cela, je savais que je devais quitter mon pays pour l'Amérique. J'en parlais avec Celia qui sembla aussi emballée que moi. C'était du moins ce que j'avais ressenti. Je devais m'être trompé. La demoiselle vint me trouver la vieille de notre départ pour me dire qu'elle renonçait, qu'elle ne voulait pas quitter sa famille mais que je devais poursuivre mon rêve. Ce qu'elle ne savait pas, c'est que je ne voulais pas vivre mon rêve sans elle. Celia ne me laissa pas le temps de répliquer, sa décision était prise, elle avait mis fin à notre couple sans que je ne vois rien venir. J'avais 21 ans, j'étais seul, le coeur brisé et avec mes économies quand je posais le pied en Amérique. J'appris quelques mois plus tard que Celia m'avait déjà remplacé, avec un de mes meilleurs amis, ce qui eu le don de me briser une deuxième fois le coeur. C'est à ce moment que je me promis de ne plus jamais tomber amoureux et que je commençais donc à accumuler les filles. Restait que pour continuer à vivre, il fallait que je me trouve un job. Aussi incroyable que cela puisse paraître je trouvais très vite du travail. D'abord comme intérimaire dans un grand hôpital, j'enchainais les jours de travail sans montrer de réelle fatigue. Je restais quelques années ainsi, avant de recevoir une promotion. Cela fait donc maintenant quelques mois que je suis infirmier dans un service de pédiatrie.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → On m'appelle souvent chipie & j'ai plus que la majorité . ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Je m'étais déjà inscrite auparavant. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → Plus ou moins 5/7. ★Personnage inventé ou scénario ? → Personnage inventé.
Mon exemple de RolePlay:
→ Il y a des jours avec et des jours sans et malheureusement, les jours sans, il faut faire avec! En effet, nous n'avons pas toujours le choix de changer le cours des évènements de la journée et pourtant Dieu sait combien j'aimerais pouvoir bouleverser l'ordre des choses quelques fois. Des exemples j'en ai plein mais si il fallait n'en prendre qu'un seul, ce serait le jour où j'ai perdu la femme que je considérais à l'époque comme la femme de ma vie. Rassurez-vous elle est toujours en vie et en parfaite santé seulement elle n'est plus à mes côtés. Je l'ai rencontrée alors que j'étais toujours adolescent. Nous étions dans le même lycée mais pas dans la même option. J'étais déjà plus orienté vers les sports et elle vers les sciences. Nous n'étions donc pas destinés à nous rencontrer et certainement pas à nous plaire. En effet, d'habitude je suis plutôt attiré par les jolies brunes à la peau légèrement halée et elle était tout le contraire: blonde à la peau blanche. Pourtant cette soirée-là, elle était magnifique. L'ambiance aidant j'avais osé lui parler, chose que je ne faisais jamais, j'étais un grand timide à l'époque. De toute la soirée, nous ne nous étions pas quittés. On avait échangé nos numéros de gsm et c'est ainsi que nous avions commencé à faire connaissance. Encore une fois rien ne nous prédisposait à nous entendre tellement nous possédions deux forts caractères. Nous étions à la fois si différents mais aussi incroyable que cela puisse paraître, nous étions aussi fort complémentaires. Deux mois après notre première rencontre, nous sortions ensemble. Nous n'étions pratiquement jamais d'accord, nous nous disputions souvent mais l'amour était le plus fort et notre histoire durait dans le temps. Je pensais d'ailleurs qu'elle et moi c'était du sérieux. Douce illusion. Cela faisait trois ans que nous étions en couple, trois années d'amour et de bonheur. Je terminais le lycée, tout comme elle, et j'avais pour projet de partir vers l'Amérique. Bien entendu, je lui en avais parlé. Au départ, elle avait semblé si heureuse de voir du pays que je n'avais pas soupçonné une seule seconde la suite des évènements. Quelques semaines après cette discussion, alors que je préparais activement notre voyage, la demoiselle avait décidé de me quitter, évoquant le fait qu'elle ne voulait pas partir loin de sa famille et que je ne devais pas abandonner mon rêve. Ce qu'elle ignorait c'est que je n'imaginais pas une seconde réaliser mon rêve sans elle. Sa décision était pourtant sans appel, je n'avais pas vraiment le choix, je ne pouvais faire marche arrière. J'étais donc parti, le coeur brisé. C'était peut-être la seule erreur que j'avais faite: ne pas me battre pour la récupérer et accepter d'avancer sans elle. J'appris un peu plus tard qu'elle m'avait très vite remplacé par un de mes meilleurs amis, ce qui eu le don de me chambouler encore un peu plus. Il fallait croire qu'elle ne m'aimait pas autant que moi je l'aimais. La preuve, je n'avais pas réussi à l'oublier. Mon boulot m'aidant, de l'homme timide qui n'osait pas draguer les filles, je devins un don juan sans coeur, un de ces hommes qui les collectionnait toutes, un beau parleur. Toute cette partie de ma vie pour vous montrer que oui, il y a des jours où rien ne va, vraiment. Et fallait croire que dès fois, j'avais le chic pour me mettre dans des pétrins pas possibles. Pourtant, aujourd'hui, tout avait commencé normalement. Depuis quelques semaines, j'étais devenu le professeur de danse et de théâtre de l'université de Berkeley et comme la plupart des matins, j'avais des cours à dispenser. Comme à l'habitude, je partais de chez moi assez tôt, je détestais arriver en retard. Pour bien commencer la journée, je crevais un pneu avant d'arriver à destination. Ce petit évènement ne me permit pas d'arriver à l'heure à mon premier cours. De plus, mes étudiants semblaient bien décidés à faire chambard, ce qui eu le don de m'énerver. Je pouvais devenir sévère quand je le décidais. Tout comme mes étudiants pouvaient être insupportables quand ils s'y mettaient. Aujourd'hui, la forte tête du groupe de première année rouspeta un fois de plus et devint même insolente. Je fus obligé de sévir et de renvoyer la demoiselle de mon cours. Cette insolence accumulée à mon pneu crevé et à mon retard involontaire avait fini par ruiner mon début de journée. En général quand une de ces dernières commençait si mal, il fallait craindre pour la suite. J'aurai certainement mieux fait de ne pas me lever. Cette constatation s'affirma de plus en plus alors que je sortais de ma salle de cours et tombais nez-à-nez avec un de mes collègues. Lui et moi, nous ne nous supportions pas, c'était physique, il n'y avait pas d'explication à chercher. « Tiens, Mehary, comme d'habitude en train d'arpenter les couloirs au lieu de travailler....» Il allait encore recommencer à me chercher, ce qui ne devait pas m'étonner, cela semblait être un de ses passe-temps préféré. Je poussais un soupir. A cet instant, deux choix s'offraient à moi: ou je répliquais et nous n'en finirions pas, ou bien je me taisais et le laissais en plan. J'optais pour la deuxième solution. Je le fusillais donc du regard avant de le contourner afin de me diriger vers le théâtre où mes étudiants de deuxième année m'attendaient.
Le code règlement:
→ Code validé par Z.
Dernière édition par Kenzo G. Sharper-Mehari le Mar 3 Avr - 0:56, édité 7 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise » Sam 31 Mar - 16:44
+1 au cas où. & j'aurai besoin de votre avis: plutôt Andrew Cooper ou Chad White?
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise » Sam 31 Mar - 16:45
Ton pseudo. Et bienvenue sur le forum. Alors pour moi, ça sera Andrew Cooper sans hésitation.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise » Sam 31 Mar - 16:46
Merci à toi
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise » Sam 31 Mar - 16:49
« Tiens, qu’est-ce que tu fais là ? C’est moi, c’est Nathalie... Quoi tu me reconnais pas ? Mais si. »
Re-Bienvenue d'après ton adresse IP Pour ma part ça serait Andrew Cooper aussi, mais c'est à toi de voir avec lequel tu sera le plus à l'aise pour créer ton personnage (:
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise » Sam 31 Mar - 17:02
Mdr, là je suis grillée C'est vrai que je me suis déjà inscrite mais je ne suis pas passé souvent, manque de temps & d'inspiration En tout cas, merci à toi
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise » Sam 31 Mar - 17:09
Re-bienvenue & bonne chance pour ta fiche A 150% Andrew Cooper
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise » Sam 31 Mar - 17:10
Moi je dirais Chad White
En tout cas, re-bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise » Sam 31 Mar - 17:15
Jude L. Hemingway a écrit:
Re-bienvenue & bonne chance pour ta fiche A 150% Andrew Cooper
Merci
Liberty N. Parker a écrit:
Moi je dirais Chad White
En tout cas, re-bienvenue parmi nous
Je me doutais bien que le choix ne serait pas si facile que ça Merci pour ton avis & pour ton accueil
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise » Sam 31 Mar - 17:27
Bienvenue à toi bon courage pour ta fiche A choisir je prendrais a.cooper
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise » Sam 31 Mar - 17:34
Merci Je pense que ce sera Andrew Cooper alors Merci à tous pour vos avis
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise » Sam 31 Mar - 18:20
j'ai le droit de demander qui t'étais avant ? bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise » Sam 31 Mar - 18:45
rebienvenue good luck pour ta fiche !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise » Sam 31 Mar - 21:24
Bienvenue
Cheyenne L. Pearson
Empire State of Mind
if you're going through hell, KEEP GOING.
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Sujet: Re: Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise » Sam 31 Mar - 21:26
ANDREW Bienvenue !
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise » Sam 31 Mar - 22:25
Moi je dirais Chad White Bienvenue sur le forum
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise » Dim 1 Avr - 5:21
Andrew Cooper!!!!
Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise » Dim 1 Avr - 15:38
Andrew
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise » Dim 1 Avr - 20:45
Bienvenue parmi nous & Bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise » Lun 2 Avr - 9:58
Merci à vous tous pour cet accueil chaleureux
Aria C. Hathaway a écrit:
j'ai le droit de demander qui t'étais avant ? bienvenue
Oui t'as le droit En fait, j'suis pas passée souvent, je jouais avec Miranda Kerr (mais j'ai jamais réellement su m'imposer avec un personnage féminin)
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise » Mar 3 Avr - 1:43
Bienvenue parmi nous
Je valide le code du règlement qui est bon et je te pré-valide également, puisque ta fiche me semble correcte Un administrateur passera bientôt dans ta fiche pour te valider officiellement
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise » Mar 3 Avr - 2:14
Validé !
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Sujet: Re: Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise »
Kenzo — « Moi, j'tombe amoureux comme on tombe d'une chaise »
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