Well... It's my story...

copyright Eagle

Un cri, on se demande ou on est, et c’est à ce moment-là, qu’on se rend compte que la vie passe très vite, elle est là, sans qu’on le demande et parfois elle nous échappe par la même occasion. Est-ce bien ? Est-ce nulle ? Je n’en saurais rien, je ne suis pas du genre à croire en dieu ou bien même au diable, loin de là. Il parait que l’on choisit sa vie. Vous y croyez-vous ? Parce que moi non, je veux bien croire que de temps en temps suivant nos décisions, on peut à un moment donnés dévier la trajectoire de notre vie, mais, on ne la choisit pas pour autant. Ce n’est pas parce qu’on veut devenir médecin qu’on ne peut pas être un tueur recherchait par le monde entier. L’habit ne fait pas le moine, douce citation qui est, malheureusement vraie. Si on devait faire sa vie comme on le souhaite, je pense que j’aurais coché la case, princesse, option prince charmant, beau de préférence, qui m’aime et qui soit fidèle. Parce que soyons honnête, les hommes ce n’est pas fidèles. Les femmes de nos jours encore moins. Qui n’aime pas le sexe ? Le plaisir charnel, sentir les caresses sur son corps, les doigts chaud de son conjoint passer sur nos parties intimes ou bien même nos zones érogènes. Le souffle court sur sa peau, qui frissonne rien qu’à ce doux contact… Un état euphorique, un désir de partir ailleurs, l’utopie qui nous envahit. Bref, qui n’en rêve pas ? Mais ce n’est pas pour autant que certaines femmes sont des salopes ou des pauvres pétasses qui trompent leur amis à tout va. On ne peut pas dire que je sois comme ça bien au contraire. Il faut dire qu’avec la vie que j’ai eu, j’ai beaucoup de chose en tête et je préfère me poser que de faire l’idiote et de ruiner ma vie ou bien même passer mes week-ends au lit à baiser comme une dingue avec un inconnu. Je ne dis pas que je ne l’ai jamais fait, loin de là, mais, ce n’est pas une priorité pour moi… Je suis née un beau jour ensoleillé en plein mois de Juin. Plus exactement le seize Juin dans les années 1988. Une belle année non ? Mais si seulement j’avais vécu dans mon pays natale, ou bien même connu ma mère… Peut-être que je ne serais pas là en ce moment. Je serais peut-être morte ? Dans une autre branche d’étude ? Je serais teinte en brune, grosse, laide, je n’en sais fichtrement rien. Et je préfère ne pas le savoir. Pourquoi reculer ? Quand on ne veut pas de vous, quand on fait des erreurs et qu’on n’assume pas on fait quoi ?

On fait ce qu’il y a de mieux à faire. Enfin je me comprends. On refile le gosse à un orphelinat et le voilà alors, abandonné par sa mère et il se retrouve ailleurs, loin d’elle. Pour toujours. Toujours. Ce simple mot qui veut tout dire. Deux syllabes qui sont définitive … Ma mère avait dix-sept ans quand elle a accouché de moi. Jeune, très jeune, mais, je ne saurais jamais pourquoi, ni comment. Je ne préfère même pas le savoir, cela pourrait peut-être changer trop de chose dans ma vie. Ce qui n’est pas super je dois tout de même l’avouer. Je suis une belle Suédoise ce qui n’est déjà pas mal. Je ne me rappelle pas du tout de ma vie là-bas. J’ai été adopté à l’âge de seize mois par un couple d’anglais. Je les considère comme mes vrais parents. Ils ont fait de moi ce que je suis aujourd’hui et je ne regrette en aucun cas ma vie. Petite, fille normalement unique je me suis alors retrouvé avec un grand frère italien. Protecteur et joueur il s’occupait de moi, heureux d’avoir une petite sœur. Je n’ai compris que plus tard ce que cela faisait d’avoir un frère près de soi. Mes parents ne m’ont jamais cachés que j’avais été adopté loin de là, et je pense que c’est cela qui m’a rapproché encore plus d’eux. Une réelle confiance, une complicité du tonnerre, rien ne pouvait nous désunir. Il faut dire que de ma nature protectrice et aimante je ne me voyais pas faire la tête à ma mère. Non je préférais la prendre dans mes bras lui faire un bisou et la remercier de m’avoir prise moi et pas une autre. Mon frère seulement âgé de trois ans de plus que moi était lui aussi très protecteur et n’aimait pas trop me laisser seule. Ce qui me plaisait plutôt assez bien. Je grandissais dans la joie le bonheur et la bonne humeur, même si parfois il y avait des hauts et des bas j’étais joyeuse. Je n’étais pas une fille super brillante à l’école mais je m’en sortais, je bossais pour faire mes études. Des copains, des copines j’en avais à tout va mais, comme on dit si bien les amis se comptent sur les doigts d’une main. Ça ne dure pas si longtemps que cela. Les amis changent, nous aussi et on s’aperçoit que dans la vie on ne peut compter que sur soit même. Allant dans des écoles privées, je n’ai pas échappé pour autant à la drogue loin de là. Fils à papa, c’est là qu’on trouvait le plus grand coin de consommateur. Je n’ai jamais touché à cette merde mais, je sais qui en prend et qui n’en prend pas. Je préférais me contenter de fumer une clope de temps en temps et cela s’arrête là. Mais que faire quand on apprend que son grand frère y touche ? On essaie de le raisonner de lui faire comprendre que cela ne mènera à rien. Mais quand on parle à un mur autant s’arrêter. Plus le temps avance et plus je me dis que mon frère ne décrochera jamais, mais, je ne perds jamais espoir.

Complètement addict, au jour d’aujourd’hui, voir mon frère me fait du mal. Fermant les yeux, je me revoyais encore rentrant à la maison, habillé de mon uniforme d’école trouvant alors mon frère un joint au bec dans sa chambre la fenêtre ouverte pour faire partir la fumée. Un pincement au cœur, je me mordais la lèvre tout en plissant les yeux. Je fermais alors la porte à clé pour lui parler seul à seul. Mon sac posait sur le sol je m’avançais doucement vers lui sans qu’il se retourne, il savait que c’était moi. « Gabriele, tu sais ce que je pense de tout ça. » Dis-je en me postant derrière lui tout en mettant ms mains sur ses épaules. J’inspirais doucement, triste de ne pouvoir rien faire de bien concluant. « Lou’ on s’aime quoi qu’il arrive » dit-il en utilisant le surnom qu’il m’avait toujours donné. Lou’, pour Opalou’. Mon second prénom, Opale mais, petit il m’appelait toujours Opalou qui est devenu Lou’ tout court. Je laissais glisser mes mains le long de ses bras et m’asseyais derrière lui le prenant dans mes bras enfouissant ma tête dans sa nuque. « Oui, tu le sais très bien » dis-je la voix hésitante et tremblante par la peine qu’il me faisait subir. Je restais la, sans rien dire, ne comptant pas les minutes. On avait l’habitude de faire cela. Je ne voulais pas le perdre. Alors que le silence régnait, sans pour autant être pesant je le sentis se dégager pour se retourner. « Et toi. T’es-tu vu ? Tu as seize ans bon sang et tous mes potes ne rêve que d’une chose. Te « sauter » » dit-il en grimaçant un regard triste sur mon corps. J’explosais de rire, cependant déçu de voir que les garçons ne pensaient qu’à cela. « J’emmerde tes potes ! Ils n’auront jamais mon corps et tu le sais très bien ! Puis les mecs je m’en fiche, tu sais que ma raison de vivre c’est la danse… » Dis-je en me levant pour éviter l’éternelle discussion sur les garçons. Je n’avais rien à me reprocher j’étais vierge et fière de l’être mais, mon frère était un tantinet lourd sur cela. Il était protecteur, je ne pouvais pas lui vouloir j’étais pareille avec lui.



Damn good
La complicité de meurtre est passible de vingt ans de prison …



Il parait qu’à part la famille on a aussi des amis sur qui compter. Oui, et nous sommes là aussi pour qu’ils puissent compter sur nous. Mais à quoi sert une amitié si on ne fait rien pour aider la personne lorsqu’elle est dans la merde jusqu’au cou ? Moi je ne suis pas une lâcheuse, non je suis une battante, et je sais qu’un jour je risque d’en payer les conséquences … Mais je sais que j’aurais au moins fait quelque chose de bien dans ma vie. Je n’ai pas encore parlé de ma meilleure amie... celle qui compte le plus pour moi. On sait connu des que je suis arrivée dans la famille des Shackerwoods. Nous avons que quelques mois d’écarts rien de grave. Mais d’après nos parents, on a de suite accroché. Deux blondes ensemble… ça ne peut que marcher comme dirait nos frères… On a grandi ensemble, faisant les pires conneries ensemble, des conneries de filles quoi … Nos parents travaillaient ensemble du coup on se voyait tout le temps, école, maison, parfois même au sorti de travail… Jaelyn était et restera toujours ma meilleure amie, celle à qui je me confie, celle avec qui je n’ai aucune honte. On grandissait, accompagnées de mon frère et du sien, tous les quatre ensemble jusqu’au jour où quelque chose changea. A nos douze ans, Jaelyn s’éloigna de moi. Beaucoup trop même. J’avais beau cherché ce que j’avais bien pu faire, les réponses étaient toujours les mêmes… Rien….Son frère disait ne pas savoir non plus. Elle ne venait même plus à l’école. Je ne comprenais plus ce qui se passait. Lorsque je la voyais elle me fuyait ou ne me parlais plus. Elle avait, comme perdu le gout de vivre… J’en aie réellement souffert, je ne la voyais plus, je ressentais comme un vide en moi. Mon cœur peinait, j’avançais ma vie sans elle, sans savoir ce qu’elle devenait. Les années passèrent, a quinze ans j’ai commençais à me rapprocher dangereusement de son frère. Il faut dire qu’il avait dix huit ans à l’époque et me faisait quelque peu des avances. Je me suis laissé tenter, pour voir ce que cela faisait d’avoir un petit ami. Sans amour, rien, juste de l’amitié avec quelques baisers et ça s’en tenait là, je ne voulais pas aller plus loin de toute façon, j’étais bien trop jeune… Puis un jour, alors que l’on devait se voir, il n’est pas venu, trouvant ça bizarre je suis allée chez lui. Alors que j’étais dans le jardin marchant tranquillement, j’ai entendu ce bruit. Un bruit qui vous glace le sang. Un bruit d’horreur, de souffrance de désespoir. Sans réfléchir j’ai accouru c’était le cri de ma meilleure amie. J’ouvrais la porte le souffle coupé. « Jael ??? Tu es ou ? » Aucune réponse, je paniquais, en haut elle était forcément en haut. Je courais dans les escaliers, les montant quatre par quatre le cœur battant la chamade. J’ouvrais la porte de sa chambre. Rien. Je courais vers celle de son frère l’ouvrant et me figea sur place. Tétanisé, je tremblais regardant la scène devant moi. Je portais mes mains à ma bouche reculant doucement. Les larmes me montèrent rapidement aux yeux, mais ne coulèrent pas pour autant. Je regardais Jaelyn, elle était mal en point. Ces vêtements à moitié déchirés, ses cheveux débrayaient, je n’eux pas besoin de parler pour comprendre qu’il s’était passé quelque chose de grave. Je regardais son frère, gisant sur le sol, inerte. Je m’approchais doucement d’elle pour ne pas lui faire peur. Elle pleurait regardant son frère, les larmes coulaient à flots, elle tremblait comme une feuille morte. Je tendis la main vers elle sans trembler. J’étais inconsciente et surtout folle de faire ce que j’allais faire. « Donne-moi ce couteau ma puce, s’il te plait. » Je la regardais droit dans les yeux, prenant le couteau et le posa sur le meuble. Je la pris dans mes bras et l’amena loin de son frère, tout en la serrant contre moi. « Il me violait Laety, il abusait de moi depuis toute ces années » Dit-elle d’une voix colérique triste et apeurée. Je restais la sans bouger, ahurit de ces déclarations. Je ne doutais pas une seule seconde de ses paroles. Je la connaissais. Elle n’aimait pas mentir. Elle allait être accusée de meurtre… Non…. Elle s’était défendu… Je la lâchais doucement essuyant les larmes qui perlaient aux coins de mes yeux. « Reste là, je m’occupe de tout. » Et c’est à partir de ce moment-là que j’ai fait ce que je devais faire. Aider ma meilleure amie. J’ai d’abord essuyait le couteau avec un torchon et le lava de façon a ce qu’il n’y ait plus aucune trace. Je regardais si son frère était vivant… Mais rien, elle l’avait poignardé en plein cœur. Je fermais doucement les yeux de son frère et ferma les mien essayant de ne pas vomir sur place. Alors que Jaelyn allait en bas, j’arrangeais la chambre de façon à ce que cela passe pour une dispute. Son frère était plongé dans la drogue, comme le mien. Sa pouvait marcher. Sa le devait. Quelques minutes plus tard J’appelais la police. Tout se déroula à mon plus grand étonnement comme je l’avais voulu. Jaelyn, ne parlait pas, je parlais à sa place, après tout c’était son frère. Nous n’avions que seize ans…. Jeune et insouciante de ce que nous encourions. Elle avait tué un homme, j’avais été sa complice en cachant la meurtrière. Seulement malgré qu’elle s’en soit tiré, l’enquête ne fut pas clôturé pour autant…. Non… Nous étions loin de nous douter qu’un jour ils reviendraient à la charge…



Soufflant doucement j’essayais de ne plus penser à cela. Mon adolescence avait beau être joyeuse et tout bonnement banale, j’avais tout aussi bien des moments durs que j’avais du mal à gérer. Je me souviendrais toujours le jour où j’ai appris la mort de mes parents. Une sorte de déchirure en moi, un trou, on se fige on ne sait plus ce qu’il nous arrive. Je fermais les yeux me revoyant dans cette salle. Les miroirs m’entouraient de partout, la douce musique retentissait me berçant. Mon corps en harmonie ne faisant plus qu’un avec la mélodie je dansais avec les autres filles, les gouttes de sueur sur le front, le dos et tous les endroits inimaginable du corps, j’évacuais le stresse de la journée. Les yeux fermaient je pouvais faire les enchainements sans aucun soucis. J’étais une très bonne danseuse. J’aimais la danse, la musique, je n’avais même pas besoin de compter dans ma tête pour être dans les temps, non j’étais prodigieuse, je pouvais aller loin et la danse m’aider pour mes photos. Et oui, contre toute attente je m’étais en plus de mes études dirigeait vers le mannequinat. J’adorais vraiment cela. Alors que j’étais en train d’effectuer des battements de jambes, des gens entraient dans la pièce allant voir la professeure. Au début je n’y faisais pas attention puis quand je sentis son regard sur moi plus les inconnus j’ai commencé à me poser des questions. J’ai d’abord pensé à mon frère. Prise de panique je me suis figée devant tout le monde. J’ai mis plus de cinq secondes à les rejoindre pour sortir dans les vestiaires. Alors quand j’ai appris que c’était mes parents qui étaient morts dans un accident de voiture, mon monde s’est encore plus écroulé. Je ne m’étais jamais dit qu’ils mourraient si tôt. Le trou noir s’empara de moi. Le néant fut alors mon meilleur ami. Un réveil à l’hôpital, difficile, on pleure, on se dit que la vie est injuste. On se dit qu’il y a quand même mieux comme mort. On dit que la peine passe qu’on peut la penser sans aucun souci il suffit d’oublier et d’avancer. Je ne pourrais jamais les oublier. Allant tous les jours sur leurs tombes leurs parlant regardant le ciel, me fichant de la pluie ou du beau temps. J’ai mis un an pour faire mon deuil. Une fois chose faite, je partis sans rien dire.

Loin de l’Angleterre, enfin façon de parler. L’île était mieux pour moi. Je pense. J’ai tout claqué pour aller m’installer là-bas. Dans une maison côté et loin de tout, je me m’étais à l’ écart des gens. Je repris alors mes études de Marketing aimant cela tout en faisant toujours des photos. Le mannequinat était quelque chose de fort dans ma vie. Une passion, une addiction. J’adorais paraitre sous les objectifs, sentir les regards posaient sur moi. Les flashs blanchir ma peau. Mon corps désirait par les photographes qui ne le toucheront jamais. J’avais des convictions je les appliquais. On ne mélange pas boulot et sexe. Hors de question. Je faisais ma vie comme je le voulais, mon frère avec moi, il réussit à décrocher de la drogue mais, pas totalement. Vivant avec lui je le faisais bouger, faisant du sport tous les soirs, j’essayais de le distraire pour qu’il oublie son raye quotidien ou bien même son joint. J’arrêtais même la clope pour qu’il voie qu’il n’était pas seul. J’avais de la volonté et je savais qu’il pouvait en avoir lui aussi. Et petit à petit il y arrivait, j’étais fière de moi. Puis les années sont passés, deux ans plus exactement, rien de bien méchant tant de chose ont changé dans ma vie. Je me suis forgé un caractère des plus affreux pour mon frère. Je deviens petit à petit une femme, une vraie. Je m’attache aux gens et je ne supporte pas de les perdre. J’aime bien prendre les devants et être la meneuse. Je n’aime pas suivre quelqu’un, on me suit ou on dégage. Je n’aime pas les filles prétentieuses qui savent qu’elles sont belles et qui jouent fortement avec cela. Il n’y a pas de beauté physique. Pour moi l’intérieur fait tout. On peut être belle est complètement conne. Je suis belle, enfin je pense, et je ne suis pas conne… Je pense aussi. Je ne pourrais pas le définir avec certitude… Par contre ce que je peux certifier, c’est qu’en ce moment je suis folle amoureuse d’un homme. Le premier à vraie dire. Un simple rendez vous dans un bar, on regarde le concert et là on le voit. On se fiche de notre rendez vous. On n’a d’yeux que pour lui. Dieu sait qu’il est beau. Il est musicien alors quoi demander de plus ? On ne se rend pas compte au début qu’on l’aime et c’est au fur et à mesure en revenant toutes les semaines qu’on se rend compte qu’on l’aime. Comment faire ? Comment le lui avouer ? Telle est la question. A moi d’agir. A moi de faire de ma vie ce que je veux. Pour une fois je vais devoir prendre un tournant qui risque peut être, de tout changer. Pour toujours.

Aujourd’hui, en couple avec Kristopher, les choix de la vie nous ont menés sur New-York. Un nouveau job, une nouvelle agence de mode, et nous voici, peut-être est-ce un bon signe ? Un signe que nous devons faire de notre vie un monde meilleur. Au revoir Southampton, bonjour NYC !

bienvenue à toi laety avec la jolie stam
si tu as des questions n'hésite surtout pas & bon courage pour ta fiche
par contre je te demanderai de mettre ton pseudo sous la forme Prénom P. Nom s'il te plait

Oups le changement est fait pour le pseudo (a)
Merci beaucoup pour l'accueil (a) et oui Stam est .... :brigitte:

Bienvenue parmi nous
N'hésite pas si tu as besoin

Merci beaucoup (a)

Désolée pour le double poste, mais ma fiche est TERMINEE (a)

Dans ce cas, n'oublie pas de poster ici, s'il te plaît (:

voilà c'est fait, pardon je n'avais pas vu (a)

Pas de souci, je valide ton code du règlement qui est bon (:

Bienvenue sur NYCL.

Oh la belle Jessica Bienvenue sur NYCL ! Et bon courage pour ta validation :brigitte: (vu que t'as fini ta fiche )

Merci Callie (:

Merci a toi Aleksandra

Merci Jayleen j'adore ton prénom *_*

Bienvenue

Ashton *-* Merci

Stam Bienvenue !

*-* Duff si peu prise a mon gout Merci

Par contre n'hésitez pas à me dire s'il faut que je change quoi que ce soit à ma fiche (a)

Bienvenue