Kristo' Cormacou || on ne peut connaitre la lumière, sans avoir connu l'obscurité.
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Sujet: Kristo' Cormacou || on ne peut connaitre la lumière, sans avoir connu l'obscurité. Mar 24 Avr - 15:29
FEAT. JARED LETO
Kristopher Eiden McCormac
29 ans → Né à Vancouver le 14/04/1983 → Chanteur en couple → hétéro → membre des Populars.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques ? → Des cheveux blonds presque blancs, avec racines brunes. C'est le premier truc qu'on voit quand on regarde Kris. Certes, il y a aussi ses yeux d'un bleu très clair, qui ne passent pas inaperçus du tout. Mais sa coiffure est assez atypique et ne passe pas inaperçue, bien qu'elle ne soit qu’éphémère, puisqu'il compte revenir à sa couleur naturelle, tôt ou tard. C'est selon ses périodes et ses envies du moment. Dans les choses qui sont "à part" et qui se remarquent, chez lui, il y a aussi son style vestimentaire, bien entendu. Parfois classe et chic mais plus souvent rock et grunge, il aime s'affirmer de par ses fringues et être tout simplement, lui ! Concernant les tatouages, il en a quelques uns, sans pour autant en être recouvert de la tête aux pieds. Un "Provehito in altum" sur la clavicule, pour lui rappeler qu'il doit toujours aller de l'avant, peu importe les coups durs. Il a aussi un tatouage sur la face interne de l'un de ses poignets, qui représente (à sa façon) les triplés. Et sur l'avant bras de son second bras, il a tout un charabia qui représente sa vie. A sa façon, là encore. Il a tendance à voir les choses différemment et à inventer ses propres expressions et symboles. Pour le reste, il a la fâcheuse habitude de se passer les doigts dans les cheveux, pour les recoiffer, de se mordiller les lèvres quand il est nerveux et de tapoter du pied ou des doigts, en rythme, lorsqu'il s'ennuie ou qu'il a simplement une chanson en tête. Siffloter est aussi une habitude qu'il a prit, sans même s'en rendre compte. Si vous entendez quelqu'un siffloter ou tapoter ses doigts ou pieds, alors que vous êtes dans une salle d'attente chez le médecin, ne cherchez pas plus loin, c'est sans doute lui. Oui oui, ces bruits que personne ne supporte ...
★Quel est le caractère de ton personnage? → Un peu fou sur les bords, totalement déjanté, sans limite et accro à l'adrénaline ? Oui, c'est tout Kris ça. Il adore faire la fête et est totalement accro aux sports qui font monter l'adrénaline. Saut en parachute ou à l’élastique, deltaplane, courses de vitesse ou autre, il adore ça. Le danger ne lui fait pas peur, tout au contraire même. Il est un peu aventurier sur les bords. Et son tour du monde le prouve bien d'ailleurs. Il aime avoir une vie qui va à cent à l'heure et ne tient pas sur place à cause de ça. Il est sportif et adore donc faire des footing presque tous les jours et autres choses qui demandent des efforts physiques, quels qu'ils soient. Il est aussi totalement déjanté, adore faire le con, grimacer et débite une connerie à la minute. S'il ne plaisante pas au cours d'une journée, c'est que quelque chose cloche. Il est un peu le bon pote de tout le monde, adore faire de nouvelles rencontres et être l'ami sur qui on peut compter. Toutefois, il ne faut pas le prendre pour un idiot. Il est loin d'être naïf et ne supporte pas que l'on se paie sa tronche. Avec les gens qu'il aime, il est très protecteur, pour ne pas dire trop. Il prend ses relations amicales très à coeur et est quelqu'un de confiance. Passionné d'arts en tout genre, il peut passer des heures à observer un tableau sous tous ses angles, avant de dire ce qu'il en pense concrètement. Il adore lire aussi, mais ne prend jamais le temps de se poser pour ça. En revanche, il n'est pas très porté ordinateur portable et télévision, qui sont des activités qui enferment les gens dans un monde à part et qui les éloigne de la vie réelle, selon lui. En clair, si vous passez chez lui (mais pour ça il faudrait qu'il accepte de vous donner son adresse), vous avez plus de chance de le trouver en train de composer un autre morceau, qu'en train de regarder la télévision.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Elodie alias Morphine. 21 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Par hélicoptère ze crois ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nope ★Présence sur le forum → Connexion hebdomadaire ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé
Mon exemple de RolePlay:
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La connerie est un art qui se cultive.
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L’heure tournait et je ne voyais pas le bout de mon projet. Pondre dix manteaux différents avant le lundi à venir, sur un même et unique thème. Mon patron en avait de bonnes, c’était certain. Mais il était certain que j’avais moi-même tendu le bâton pour me faire battre. Plus je bossais et plus il me donnait de travail, persuadé que je pouvais faire tout cela sans la moindre difficulté, dans un temps donné. Il avait la fâcheuse tendance à oublier que je n’étais qu’un homme parmi tant d’autre et non pas un Dieu capable d’assurer une aussi grande quantité de travail. Quoi qu’il en soit, plus il me donnait de travail et plus je faisais en sorte de tout lui rendre dans les temps. Sans doute par crainte de perdre mon emploi. Ou plus simplement parce que j’aimais ce métier comme pas permit. Ou bien les deux. Même si je savais qu’il faudrait plus qu’un simple retard de travail, pour inciter mon patron à me virer puisqu’il avait toujours été très satisfait de mon travail et que ce n’était pas un simple retard qui changerait cela. Quoi qu’il en soit, j’en étais à mon sixième manteau dessiné, lorsque la dixième heure de la journée arriva. Il était temps de partir, je ne comptais nullement faire des heures supplémentaires ici et préférais de loin, terminer mon boulot chez moi. J’avais les deux jours à venir, pour terminer ce projet et devais lui rendre tout cela à la première heure, le lundi suivant. C’était largement faisable, je n’en doutais pas un seul instant. Ainsi, je me retrouvai à ranger plus ou moins mes affaires. A la vérité, je glissai mes stylos et autres objets de ce genre, dans ma trousse, plaçai mes croquis et feuilles dans mon porte document et posai le tout sur le bord de mon bureau –du moins sur un coin plutôt vide encore-, le temps d’enfiler ma veste en cuir cloutée au col. Une fois totalement prêt, je plaçai mes affaires sous l’un de mes bras et quittai mon bureau. Après avoir salué les quelques personnes que je croisai, je quittai le bâtiment qui accueillait l’entreprise dans laquelle je bossais depuis plusieurs années, et filai à ma place de parking où je trouvai ma voiture toujours aussi sagement garée là. Je pris le temps de retirer ma veste pour la poser sur le siège passager avec mes affaires, m’installai, fermai la portière, attachai ma ceinture et mis enfin le contact. La seconde d’après, je quittai le parking en trombe, faisant crisser les pneus.
Lorsque j’arrivai sur le parking de l’immeuble, je ne pris pas la peine de fermer ma voiture, l’abandonnant là sans la moindre crainte, me contentant simplement d’embarquer mes affaires, ma veste et mes clés bien entendu. Comme chaque vendredi après le boulot, je rentrai chez moi presque en rampant, tant je sentais le poids de la fatigue me tomber dessus avec brutalité. Il était vrai que je sortais généralement tôt du boulot le soir mais cela n’empêchait pas que j’y allais généralement vraiment tôt le matin, justement pour pouvoir rentrer chez moi plus tôt. Il était certain que je faisais généralement plus d’heures que n’importe qui d’autre. Mais le salaire que je recevais à la fin du mois, me donnait toujours l’envie de continuer de la sorte. Je n’étais en rien une personne pour qui l’argent faisait tout mon bonheur. J’étais plutôt de ceux qui songeaient au fait qu’il était préférable d’avoir trop d’argent plutôt que pas assez. Je préférais être certain que je ne serais jamais dans le besoin et que s’il venait à m’arriver des problèmes, par exemple de santé, je serais à l’abri du besoin. Tout comme si je venais à perdre mon emploi ou autres soucis du même genre ou totalement différents. Bref, j’étais clairement à l’abri du besoin et cela suffisait à me soulager un tant soit peu. Et puis il fallait bien reconnaître que j’avais bien besoin de cela pour payer ma bouffe et celle de mon serpent. Non pas que nous étions tous les deux de vrais morfales qui adoraient manger constamment … Mais presque ! Sans parler du fait que j’organisais des tas de soirées chez moi et que j’avais besoin de pas mal d’argent pour cela. Je n’étais pas le genre de personne qui invitait des gens à une soirée et qui s’attendait à ce que tous les invités assurent du côté des boissons et amuse gueules. J’étais, au contraire, du genre à demander à tout le monde de ne rien ramener. C’était ainsi que je voyais l’esprit d’hôte pour ma part et je me foutais bien de savoir si c’était ainsi que ça devait se passer, ou non. Moi je faisais tout cela à ma sauce. C’était ainsi et pas autrement, pourquoi chercher plus loin ? J’adorais faire en sorte de rendre heureux un tant soit peu autrui et voir que mes agissements pouvaient faire plaisir, tout simplement.
Une fois chez moi, j’abandonnai mes affaires sur le bureau qui se trouvait non loin de la fenêtre de mon salon. Au passage, je m’arrêtai le temps de lancer un regard en direction de l’appartement de Nymphéà. Je me détournai aussitôt en constatant qu’elle n’était pas dans mon champ de vision. Tranquillement, je rangeai ma veste dans le placard mural de mon entrée, mes chaussures dans le meuble et filai en direction de ma cuisine pour prendre un goûter tardif. Tout comme les gosses en rentrant de l’école, j’avais besoin de mon goûter pour tenir jusqu’au diner que je faisais généralement à vingt heures au plus tôt. Le café dans une main et un morceau de pain rempli de Nutella dans l’autre, je m’installai tranquillement devant la télévision et j’entrepris de zapper tout en mangeant tranquillement. Une fois mon goûter bien placé au chaud dans mon estomac, je m’allongeai sur le canapé pour continuer de zapper en ayant bien l’intention de me reposer un peu avant de reprendre le boulot que j’avais à faire durant le week-end. Lorsque je repris pied, je réalisai que je m’étais assoupi comme un crétin et que si je ne me dépêchai pas, j’allais manquer mon strip tease du soir. Ainsi, je me hâtai de me relever pour aller me poster devant la fenêtre qui donnait sur celle de chez Nymphéà. L’air de rien, je m’y accoudai en croisant les bras, restant ainsi juste le temps que la jeune femme prenne connaissance de ma présence. Sourire en coin, je lui lançai un regard insistant qu’elle n’eut de toute évidence aucun mal à comprendre. Il était l’heure ! Elle n’hésita pas une minute avant de commencer à se déshabiller avec lenteur et sensualité, pour mon plus grand plaisir. En la découvrant, rapidement, en sous vêtement, je lâchai un involontaire gémissement d’envie en sentant mon corps réagir au quart de tour. Comment étais-je censé résister à pareille perfection chez une seule et même jeune femme ? Elle était tout bonnement parfaite, sur tous les plans. Lorsqu’elle se retourna pour retirer son soutien-gorge, je me mis à prier intensément, pour qu’elle se retourne face à moi. Chose qu’elle fit presque aussitôt, m’offrant une vision de sa poitrine parfaite. Il était certain qu’elle était beaucoup trop loin à mon goût et que, par conséquent, je ne pouvais voir son corps avec perfection. Mais je voyais bien assez pour savoir qu’elle était physiquement irréprochable ! Par la suite, elle baissa vaguement son tangua avant de le remettre en place et de me laisser un baiser l’air de rien. Lorsqu’elle disparut de mon champ de vision, je pris un allé rapide pour ma salle de bains. Prendre ma douche après ses strip teases, était devenu une nécessité. Et ce pour la simple et bonne raison … Que c’était le meilleur moment pour me soulager, dirons nous. A de rares occasions, je prenais plutôt une douche froide pour calmer mes ardeurs. Mais cela ne suffisait jamais que pour un temps trop court à mon goût.
Une fois ma douche prise, je quittai la salle de bains avec simplement une serviette autour de ma taille et encore le corps et les cheveux trempés. Fâcheuse habitude que j’avais prise, qui consistait à ne pas prendre de vêtements pour les emmener dans la salle de bains, avant de prendre ma douche. Une fois dans ma chambre, j’enfilai un jean usé jusqu’à la trame, délavé et déchiré par endroit, avec un tee shirt large, long, déchiré à l’ourlet et découvrant une épaule tant l’encolure était large. Je pris ensuite le temps de sécher plus ou moins mes cheveux et de les ramener en pique, les laissant tenir grâce à l’eau encore présente sur eux. Une fois cela fait, je me rendis à nouveau dans ma cuisine pour préparer le diner. Rien de bien compliqué pour ce soir, tant j’étais anxieux à l’idée de ne pas avoir le temps de terminer rapidement mon boulot en retard, si j’en perdais à cuisiner trop longuement. J’en étais encore à préparer mon repas, lorsque des coups furent frappés à la porte de on appartement. Je laissai le tout sur le feu et filai pour ouvrir. Je ne pu retenir l’immense sourire qui étira automatiquement les lèvres, lorsque je découvris l’identité de la personne qui se trouvait là. Nymphéà. Ma bouffée d’air frais du jour, ma dose de bonne humeur … La fille qui me faisait totalement perdre la tête depuis le premier jour, tout simplement. A vrai dire, comment ne pas craquer sur cette fille hors normes ? C’était impossible ! Apprendre qu’elle venait me voir uniquement pour me demander un service, n’entama en rien ma bonne humeur. Je n’étais pas le genre de personne à se vexer pour un oui ou pour un non. Et à vrai dire, je ne voyais là que le bon côté ! A savoir, le fait qu’elle m’avait choisit moi et pas une autre personne, pour m’occuper de son petit chien adoré. Cela ne signifiait-il donc pas qu’elle m’appréciait plus que n’importe qui d’autre dans l’immeuble ? J’osais espérer que si ! Au moment de partir après m’avoir laissé son chie, elle me prit dans ses bras, ce qui me fit frissonner de bien être et je la laissai faire sans broncher, ayant toujours un sourire idiot aux lèvres. Lorsqu’elle se détourna pour partir, je ne pu m’empêcher de la suivre du regard, jusqu’à ce qu’elle ait disparut au bout du couloir. Par la suite, je lâchai un bref soupir de résignation en me retrouvant seul avec son chien, refermant la porte de mon appartement pour revenir à l’intérieur. Un bref couinement à mes pieds, me fit baisser la tête. Je plissai quelque peu le nez en me baissant pour récupérer Mars dans mes bras, le caressant entre les oreilles, avec lenteur. « Ouais … A moi aussi elle me manque déjà … » Marmonnais-je doucement avant d’aller le déposer près du canapé, sur le sol, sortant ensuite ses affaires que je disposai près de lui pour lui laisser faire son propre cocon.
Je retournai ensuite dans ma cuisine pour continuer la conception de mon repas franchement peu travaillé, commençant à me gratter distraitement dans le cou. Un moment plus tard, alors que je mangeais tranquillement, je pris conscience du fait que mon cou, le haut de mon dos, mes épaules et même mes cheveux, me démangeaient atrocement. Je songeai que la meilleur façon de faire passer cela, était justement de ne plus me gratter. Ainsi, je passai tout mon repas à me tortiller sur place, pour me retenir de me gratter. Lorsque je m’installai devant mon bureau un instant plus tard, pour reprendre mes dessins, je n’y tins plus et me mis à me gratter tant bien que mal. Je lâchai un vague grognement de dépit en constatant qu’avec des ongles plus long, cela serait tout de même plus aisé et meilleur. Je tâchai de dessiner tant bien que mal, sans jamais cesser de me gratter plus ou moins aux endroits accessibles. J’étais justement en train de me gratter le cou comme un forcené, lorsqu’un bruit dans mon dos me fit me retourner illico presto. Je lâchai un franc gémissement de dégoût et de dépit, en découvrant que Mars venait de vomir l’équivalent d’au moins trois jours de repas. A moins que Nymphéà ne le gave autant en une seule journée ! Abandonnant mon travail, je me levai pour nettoyer cela. La serpillère dans une main, je continuais de me gratter de l’autre, sans jamais cesser de me tortiller. De longues heures plus tard, alors que j’avais été incapable de me concentrer tant mon dos et d’autres parties de ce genre, me démangeaient, je décidai de me coucher. Malheureusement pour moi, j’eus un mal fou à trouver le sommeil tant l’envie de me gratter était pressante et omniprésente. Inlassablement, je me tortillais dans mon lit pour tenter de me soulager un tant soit peu avec les frottements des draps sur ma peau à présent rougit par les grattements que je lui faisais subir. J’eus toute la nuit, autant dire de longues heures, pour tenter de comprendre les raisons de telles démangeaisons. Varicelle ou autre maladie de ce genre, avec apparition de boutons ? Si ç’avait été le cas, j’aurai eus d’autres symptômes. Or, je n’avais strictement rien d’autre que ces dérangeantes démangeaisons. Le chien de Nymphéà avait des puces ? Si j’en avais choppé, elles auraient tout de même été visibles. Bref, quelle que furent les raisons de ces démangeaisons, elles m’empêchèrent de dormir une grande majorité de la nuit. Au point même où, totalement dépité, je me levai à huit heures en songeant que la jeune femme aurait aussi bien pu passer récupérer son chien en rentrant du boulot. Tel un zombie, je me rendis dans ma cuisine en trainant des pieds et continuant inlassablement de me gratter, pour prendre un grand café ben chaud et bien fort. A moitié endormi sur la table de ma cuisine, je continuai de me gratter sans trop y penser. Durant les heures suivantes, j’entrepris de bosser sur la fin de mon projet, sans jamais vraiment cesser de me gratter. A onze heures, vêtu d’un pantalon moulant noir et d’un débardeur large, ouvert sur les côtés et de la même couleur, j’enfilai une paire de basket noir avec coutures rouges intenses, je quittai mon appartement pour aller relever le courrier. Je trouvai ainsi le mot de Nymphéà, sous ma facture de téléphone. Facture à laquelle je ne prêtai nullement attention puisque je savais que j’étais, encore, en hors forfait, pour ne pas changer les bonnes vieilles habitudes. De retour dans mon appartement, je pris un véritable petit déjeuner digne de ce nom, avant de reprendre mon travail. Lorsqu’il fut treize heures trente, je rangeai les affaires de Mars dans son sac et lavai les dernières preuves de son petit coup de pas bien. J’y réfléchirai sans doute à deux fois avant d’accepter à nouveau de le garder, lorsqu’il serait malade. A quatorze heures tapantes, j'entrais avec lenteur dans son appartement, refermant doucement la porte derrière moi. Je lançai un vague regard circulaire dans la pièce avant de m'approcher de la porte qui devait être la chambre de Nymphéà. Je l'ouvris avec hésitation, me retint de regarder à l'intérieur et me contentai de poser son chien dans l'entrée, pour le laisser aller la réveiller. Une fois fais, je me reculai et fis un instant les cent pas dans la pièce principale, avant de me poster devant la fenêtre qui donnait vers mon appartement.
Le code règlement:
→ Yankees Rock
Dernière édition par Kristopher E. McCormac le Mar 24 Avr - 19:40, édité 7 fois
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Sujet: Re: Kristo' Cormacou || on ne peut connaitre la lumière, sans avoir connu l'obscurité. Mar 24 Avr - 15:29
Well... It's my story...
I-Ils se marièrent et eurent beaucoup d'enfants.
Si Kristopher n’est né qu’en 1986, on peut considérer que son histoire démarre en 1985, quand ses parents se sont rencontrés. Entre eux, ce fut l’histoire d’un véritable coup de foudre, qui les a foudroyés sur place. Ils se sont vus et aussitôt, sont tombés amoureux l’un de l’autre. Des yeux brillant d’amour et de passion et qui s'accrochent inlassablement, se plongent les uns dans les autres et ne se quittent plus. Un seul baiser échangé, suffit à les laisser ivre de bonheur et pantois d'amour. Seulement voilà…forcément il y a un souci. Lequel, me demanderez-vous ? Eh bien à cette époque là, les parents de la jeune femme, qui deviendra la mère de Kris, refusent que leur fille vive dans le pêché. En résumé, elle n’a pas le droit de faire l’amour avant le mariage. Qu’à cela ne tienne, celui dont elle est éperdument amoureuse, demande sa main, à son père. Ravi de voir que le jeune homme connait les bonnes manières, il accepte. Un mois plus tard, le mariage est célébré. Et c’est durant la nuit de noce, qu'est conçu Kristopher. Très belle histoire n’est-ce pas ? En tout cas, leur relation a bien évolué. Une histoire d’amour passionnelle et fusionnelle…mais violemment destructrice aussi. Mais il est encore trop tôt pour parler de cela. C’est donc le 14 avril de l'année 1983, que Kris a vu le jour, dans une grande maternité de Vancouver au Canada. Une grossesse merveilleuse, une naissance sans problème majeur. En gros, une arrivée parfaite, sur cette terre. Ce n’est qu’après, que tout se dégrade dans le couple jusqu’alors heureux comme tout. De nombreuses tensions font leur apparition entre les deux, qui se disputent de plus en plus souvent. Certes, les retrouvailles sont…formidables pour eux. Mais la mère de Kris tombe de nouveau enceinte. Il s’agit d’une grossesse non désirée qui met le feu aux poudres. Le père de Kris part, laissant son fils et sa femme enceinte, derrière lui. La mère du jeune enfant, malheureuse de ce départ précipité, décide quand même de garder l’enfant qu’elle porte. Seulement voilà…elle apprend qu’elle était enceinte, non pas d’un bébé, mais de trois. Ainsi, c’était trois enfants qui vont venir agrandir la famille. Une semaine après cette surprenante nouvelle, l’époux revient au domicile familial. Retrouvailles heureuses, famille ressoudée mais pas pour très longtemps. Les trois enfants viennent donc agrandir la famille. Mais les cris et les pleurs de ceux-ci, créèrent de nouvelles tensions au sein du couple. Au milieu de tout cela, crises de la part des bébés et crises de la part des parents, il y a le jeune Kristopher. Enfant d’à peine trois ans, qui se retrouve dans les problèmes sans avoir jamais rien demandé à la vie…Contrairement aux autres enfants de son âge, il ne fait pas de bruit, ne pleure jamais et parle peu. Il est beaucoup trop calme et trop sage pour son âge…Ce que ne remarquent même pas ses parents, trop occupés à se déchirer.
II-Quand tu seras grand, tu comprendras.
Les mois puis les années passent, sans qu’aucun changement ne survienne chez les McCormac. Kristopher grandit, toujours aussi calme et absent. Il entre à l’école primaire où il récolte d’excellentes notes. Cependant, ses instituteurs s’inquiètent beaucoup de son mutisme. Il ne parle que fort peu et reste dans son coin, dans la cours de récréation. Ils décident de convoquer les parents. Le soir même, ils se disputent de nouveau, se rejetant la faute l’un sur l’autre, concernant le comportement de leur enfant. Même chez eux, Kris reste dans son coin, refusant même de parler ou de jouer avec ses deux petites sœurs et son petit frère, les triplés qui grandissent aussi. Contrairement à lui, ils sont très bruyants et avides de bêtises. Et puis, ce qui devait arriver, arrive. Kristopher vient de fêter ses huit ans, lorsque son père décide de prendre ses clic et ses clac et de partir une bonne fois pour toute. Sans même un regard en arrière, il part, valises en main. A aucun moment il ne se retourne pour regarder son fils et son épouse, qui se sont postés dans l’entrée de la demeure familiale, pour le voir partir. C'est la dernière fois que Kris le voit. Jamais plus il n'entendra parler de lui, sinon par sa mère qui passe son temps à dire à quel point c’est un père et un mari indigne et combien elle le déteste, pour tout. L’enfant lui-même ne parle jamais de ce père qui est parti, abandonnant sa famille comme si de rien n’était. Ou du moins si…il parle une seule fois de lui, à sa mère. En effet, deux mois après le départ de son père, il demande pour quelle raison il est parti et pourquoi ils se sont tant disputés avant son départ. La seule chose qu’elle accepte de lui dire, est : « Tu comprendras quand tu seras plus grand ! ». Kristopher comprend dès lors, qu’elle ne lui en dira jamais plus. C’est ainsi…lorsque l’on est un enfant, on n’est jamais dans la confidence, on ne doit pas se mêler des affaires des grands. Cela a au moins eut le mérite de faire sortir le jeune enfant de son mutisme. Il comprend qu’il ne devra rien attendre de la vie mais plutôt profiter d’elle. C’est ainsi, qu’il commence à s’ouvrir aux autres. A la maison, il s’est considérablement rapproché des triplés qu’il considère, enfin, comme son frère et ses sœurs. Et à l’école, il se fait des amis. Lorsque le divorce est prononcé, la famille part pour New-York où la mère de Kris et des triplés, va retrouver ses sœurs et ses parents qui vivent là. Ainsi, elle aura un peu d’aide pour élever ses quatre enfants dont elle doit s’occuper seule. Heureusement, même si Kristopher s’est ouvert, il n’est pas du genre turbulent pour autant, mais plutôt, très sage et obéissant. Il fait vite la fierté de sa mère…Quant à son père, il restera absent, toujours. Il ne veut plus rien avoir à faire avec eux. Jamais il ne prendra de nouvelles de ses enfants.
III-Cap ou pas cap de te montrer con ?
Les années s’écoulent rapidement. Kristopher devient un jeune adolescent très gentil et serviable mais il est un véritable casse cou qui n’a peur de rien ou pas grand chose. Il n’est pas rare de le voir se mettre dans des situations pas possibles. Parfois, il risque même sa vie. Surtout le jour où, avec l’un de ses amis, ils décident d’escalader le pont de Brooklyn pour mieux voir le feu d’artifice du 4 juillet. Des gens se sentent obligés d’appeler les pompiers et la police. Mais le temps qu’ils arrivent, les deux jeunes fous ont disparus et sont tranquillement rentrés chez eux, comme si tout est normal. C’est à cette époque, que Kris entre dans le jeu du cap ou pas cap, avec son meilleur ami, celui avec lequel il est monté sur le pont. Chaque jour, ils se montrent un peu plus idiots, un peu plus téméraires. A 18 ans, il tombe amoureux d’une fille. Il pense que c'est elle la bonne, qu'il l'aimera toujours, qu'elle est parfaite pour lui etc. Ca l'inquiète un peu tout de même. Dans le sens où voir ses parents se déchirer autant, ne donne pas franchement l'envie, de connaitre la même chose. Mais il fait tout pour ne pas penser au mauvais côté. Et puis il est loin d'être son père. Heureusement, qu'il n’a pas un caractère fort et gueulard d'ailleurs. Car jamais, il n’a un mot de travers pour sa petite amie. Jamais, ils ne se disputent…du moins, pas durant les 18 premiers mois. Après, il en va tout autrement, lorsqu’elle tombe malencontreusement, enceinte. Se sentant pris au piège, Kris envisage de rompre, persuadé qu’elle l'a fait exprès. Il est bien trop jeune pour être père et ne voit pas d'autre solution que tout arrêter avant qu'il ne soit trop tard. Comprenant qu’elle risque de le perdre à cause de ça, sa petite amie se fait avorter, sans même lui en parler. Lorsque Kristopher revient à ses côtés après être parti quelques temps pour réfléchir, elle lui avoue enfin l’avortement. Aussi étrange que cela puisse paraître, il lui en veut vraiment. Non pas qu'il est prêt à assumer un enfant. Mais il a eut le temps de se faire à l'idée et s'y préparer un tant soit peu. A partir de là, leur relation n'est plus du tout la même. Les disputes font leur apparition et deviennent de plus en plus fréquentes. Et puis le meilleur ami de Kris, en rajoute une couche en défiant son ami de la laisser tomber pour partir à l’autre bout du monde, pendant plusieurs mois. Kris commence par refuser. Alors sans se démonter, son ami lui rétorque, que dans ce cas, il n’a qu’à l’épouser si elle est aussi importante que cela, à ses yeux. Ni une ni deux, Kristopher demande la main à sa petite amie, le jour même. Celle-ci est tellement heureuse, qu’elle accepte. Ils doivent se marier à la mi-juillet, l’année des vingt ans de Kris. Sauf que voilà…le meilleur ami et témoin du jeune homme, est là ce jour là et il s’est ouvertement moqué de celui qui va se piéger lui-même, en s’enfermant dans un mariage avec une fille qu’il n’aime même plus. Voir même, qu'il n'a jamais réellement aimé, dans le fond. Arrivée devant Monsieur le maire, Kristopher commence sérieusement à se demander pourquoi il s’apprête à faire une telle connerie. Lorsque le maire lui demande s’il accepte de prendre sa petite amie pour épouse, il se rendu compte, horrifié, de ce qu’il s’apprête à faire. Il a donc répondu non et s’en est allé en courant. Arrivé dehors, son meilleur ami le rejoint à bord de sa voiture, le raccompagne à l’appartement qu’ils partagent depuis un an. Kristopher fourre ses affaires dans une valise et…releve le défi lancé par son ami quelques mois plus tôt. Il va partir pour l’autre bout du monde, pendant plusieurs mois…
IV-Et après ça, le monde paraît petit.
Fort heureusement pour lui, Kristopher a pas mal d’économies grâce à ses divers petits boulots en tant que chanteur et serveur, dans quelques restaurants et cafés. Assez pour pouvoir effectuer un long, très long voyage. Il décide même que se limiter à un seul pays, est bien bête. C’est pourquoi, il achète un billet pour un tour du monde. Sa première destination, est l’Europe de l’Ouest. Il commence par l’Espagne, trop chaud pour lui. Il traverse ensuite la France du Sud au Nord où il déguste des plats merveilleusement bons, selon ses propres dires. Ensuite il se rend au Royaume Uni, trop pluvieux selon lui. Il se rend ainsi dans la plupart des pays d’Europe durant cinq mois, avant de faire la traversée de l’Asie pendant quatre autres mois. Il continue inlassablement sa traversée, va du Sud au Nord et Nord au Sud. De l'Ouest à l'Est et de l'Est à l'Ouest. Il rencontre des gens qu'il n'aurait jamais rencontré en temps normal. Il apprend quelques langues, baragouines quelques autres, mange des plats onctueux et d'autres, totalement immondes. Il voit des paysages à couper le souffle, prend des milliers de photos et des centaines de vidéos. Malheureusement, la fin de ce merveilleux épisode, se fait de façon tragique, lorsqu'il arrive en Afrique où, il se fait piquer par un moustique qui lui refile le paludisme. Après une longue année de tour du monde, il est contraint de rentrer aux Etats-Unis pour se faire soigner, le plus vite possible. De ce voyage, il ne garde que les bons souvenirs qui sont, il faut le reconnaitre, vraiment nombreux. Bien sûr, il a eut droit à certaines frayeurs. Il s’est fait courir après par un kangourou en Australie et a du grimper à un arbre pour s'en protéger. En Chine, il a rencontré un habitant pas très commode, qui a semblé très remonté contre lui, sans qu’il comprenne pourquoi, et il s’est mit à lui hurler dessus et à le suivre, dans la rue, jusqu'à ce qu'il parvienne à le semer. Il a aussi faillit se faire égorger par un homme qui maniait à merveille la machette, en plein milieu de nulle part, dans les campagnes asiatiques. Et à la fin de son voyage, en Afrique, il a fait la rencontre d’une tribu de cannibales qui sortaient tout juste de table et qui lui proposait même les restes. Autant dire qu’il est reparti illico presto et qu’il a vomit pendant un bon quart d’heure tant il a été choqué et dégoûté. Dans tous les cas, l'on peut dire qu'il a vu, apprit et découvert bien des choses, qui font de lui ce qu'il est aujourd'hui. Un homme ouvert d'esprit et aux convictions sûres. Raconter ses voyages et tout ce qu'il a pu vivre durant cette année, est un grand plaisir pour lui. Il en parle toujours avec autant de joie et des étoiles plein les yeux.
V-J'ai dis que j'étais cap de vivre. Pas vrai ?
Lorsqu’il rentre aux Etats-Unis, dans un état très inquiétant, personne n’a plus eut de nouvelles de lui depuis son départ, ni sa famille ni ses amis. Mais aussitôt arrivé, tout ce beau monde a été averti. Kris est encore dans le coma quand son ex petite amie vient s’enquérir de sa santé et se fait virer par le meilleur ami du jeune homme qui est resté à son chevet tous les jours. Lorsque Kristopher revient à lui, avant même d’ouvrir les yeux, il reconnait la voix de son ami qui le défit de rester en vie. L’idiot, il n’a pas oublié comme Kris est joueur. Le lendemain, le jeune homme quitte l’hôpital, presque en parfaite santé. Il n’a fallut que deux mois pour qu’il se remette parfaitement de sa maladie. Tout ça grâce à sa jeunesse et à un trait de vie presque exemplaire. Il n'a jamais fait le moindre excès qui aurait pu mettre tout ça en jeu. Ainsi, il va rapidement mieux, à la plus grande de tous ses proches. Bien entendu, son père n'a pas été mit au courant de tout ça et Kris ne le veut pas d'ailleurs. Il s'en fiche royalement puisque, dans le fond, son père n'a jamais été réellement un père pour lui, comme pour son frère et ses soeurs. Quoi qu'il en soit, une fois rentré chez lui, il peut enfin raconter l’intégralité de son long voyage à son meilleur ami, sa mère et aux triplés. Durant les années suivantes, Kris a décidé de reprendre ses études, se tournant vers le droit, histoire de continuer sa vie. Seulement, il s'est rapidement rendu compte qu'il ne supportait pas le genre trop sérieux, travailler derrière un bureau. Et c'est une chose qui a amplifié à cause de ses voyages, sans aucun doute. Il s'est habitué aux grands espaces, au grand air et à la liberté. Il décide donc d'arrêter et de trouver autre chose. Suite à son tour du monde, il connait des gens de partout, sur tous les continents. Pour se ressourcer, il décide d'aller vivre quelques temps, chez un ami se trouvant sur l'île de Wight. Prenant le temps de vivre et de réfléchir, il revient à une vieille passion qui ne l'a jamais vraiment quitté : la musique. Durant son adolescence, il a rencontré un ami qui lui a apprit à jouer de la guitare. C'est à cette même époque que Kris a découvert qu'il aimait chanter. Du coup, il a commencé à donner quelques petits concerts dans la rue, sur l'île. Rapidement, il a été remarqué par un gérant de bar qui a décidé de l'embaucher comme chanteur. Durant les quatre années suivantes, Kris a vécut comme un jeune qui se respecte. Fêtes, folies, alcool et autres choses du même genre, tout en ayant un petit boulot tout à fait correct et sage, à côté de ça. Bref, il a vécut et profité, comme il se doit !
VI-Cap de l'aimer plus que tu ne t'aimes toi même ?
Et c'est au cours de ces années là, qu'il a fait la rencontre de celle qui partage sa vie à présent. Au départ et pendant un an et demi, elle n'a été qu'une amie pour lui. Même s'il n'a jamais pu s'empêcher de songer qu'elle est affreusement belle, désirable et qu'il la voulait réellement, il n'a jamais voulu gâcher leur amitié. Ainsi, c'est la jeune femme qui a fini par craquer la première. De toute évidence amoureuse de lui depuis le début, elle a fini par l'attirer dans ses filets. Lorsqu'il a apprit qu'elle en était amoureuse depuis le début, il a voulu mettre un terme à tout ça. Mais il a bien fallut qu'il reconnaisse qu'elle ne le laissait pas insensible. Au fil du temps, ils ont finit par se mettre en couple. A vrai dire, Kris qui a bien du mal à abandonner son célibat et à faire confiance de façon démesurée et aveugle, a besoin de temps pour voir l'évolution de leur relation et pour pouvoir apprendre à lui faire confiance. Lorsqu'elle a eut l'envie d'accepter un boulot sur New-York, voilà quelques semaines, il n'a même pas hésité à accepter et l'a suivit. Ce qu'elle ignore, c'est qu'il l'aime déjà, même s'il n'a pas encore trouvé le courage de le lui dire. En attendant de vivre avec Laety, Kristopher a décidé de passer les prochains mois chez sa mère, pour ne pas précipiter les choses.
Dernière édition par Kristopher E. McCormac le Mar 24 Avr - 18:22, édité 3 fois
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Sujet: Re: Kristo' Cormacou || on ne peut connaitre la lumière, sans avoir connu l'obscurité. Mar 24 Avr - 15:30
bienvenue à toi plus officiellement donc je sais que tu vas en faire des heureuses avec jared si tu as des questions n'hésite surtout pas & bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Kristo' Cormacou || on ne peut connaitre la lumière, sans avoir connu l'obscurité. Mar 24 Avr - 15:42
Merci beaucoup à toi, pour tout :10:
Ahah je vais surtout en faire des malheureuses vu que je suis en couple, amoureux et bien fidèle
pas de souci
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Sujet: Re: Kristo' Cormacou || on ne peut connaitre la lumière, sans avoir connu l'obscurité. Mar 24 Avr - 16:21
Bienvenue parmi nous N'hésite pas si tu as besoin
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Sujet: Re: Kristo' Cormacou || on ne peut connaitre la lumière, sans avoir connu l'obscurité. Mar 24 Avr - 16:31
Merci beaucoup et oui, pas de souci
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Sujet: Re: Kristo' Cormacou || on ne peut connaitre la lumière, sans avoir connu l'obscurité. Mar 24 Avr - 16:49
Jareeeeeeed
Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: Kristo' Cormacou || on ne peut connaitre la lumière, sans avoir connu l'obscurité. Mar 24 Avr - 16:50
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Kristo' Cormacou || on ne peut connaitre la lumière, sans avoir connu l'obscurité. Mar 24 Avr - 16:51
Bienvenue sur NYCL.
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Sujet: Re: Kristo' Cormacou || on ne peut connaitre la lumière, sans avoir connu l'obscurité. Mar 24 Avr - 16:52
Oh qu'il est choupinou ton avatar Jayleen
Merci beaucoup à vous troiiiis
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Sujet: Re: Kristo' Cormacou || on ne peut connaitre la lumière, sans avoir connu l'obscurité. Mar 24 Avr - 19:10
Bienvenue
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Sujet: Re: Kristo' Cormacou || on ne peut connaitre la lumière, sans avoir connu l'obscurité. Mar 24 Avr - 19:14
Mercii =) Ashton *_*
Mackenzie J. Howard
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i love the ring of your name you're the yin to my yang
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Sujet: Re: Kristo' Cormacou || on ne peut connaitre la lumière, sans avoir connu l'obscurité. Mar 24 Avr - 19:36
Bienvenue chez nous
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Sujet: Re: Kristo' Cormacou || on ne peut connaitre la lumière, sans avoir connu l'obscurité. Mar 24 Avr - 19:41
Merci beaucoup =D & j'en profite pour dire que ma fiche est terminée (:
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Sujet: Re: Kristo' Cormacou || on ne peut connaitre la lumière, sans avoir connu l'obscurité. Mar 24 Avr - 19:54
Mon mien *bave* *sors*
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Sujet: Re: Kristo' Cormacou || on ne peut connaitre la lumière, sans avoir connu l'obscurité. Mar 24 Avr - 19:57
Validé !
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Have Fun !
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Sujet: Re: Kristo' Cormacou || on ne peut connaitre la lumière, sans avoir connu l'obscurité. Mar 24 Avr - 21:34
Bienvenue !!
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Sujet: Re: Kristo' Cormacou || on ne peut connaitre la lumière, sans avoir connu l'obscurité. Mar 24 Avr - 21:40
Laety j'en étais sûre que t'allais venir marquer ton territoire (aaaaaaa)
Merci Serena et merciii Abigail =D
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Sujet: Re: Kristo' Cormacou || on ne peut connaitre la lumière, sans avoir connu l'obscurité.
Kristo' Cormacou || on ne peut connaitre la lumière, sans avoir connu l'obscurité.
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