Une chose est sûr, c'est que si le second prénom de Blu-Ivy est Yashila, c'est parce qu'elle était promise par ses parents à une grande renommée. En effet, ce prénom indien signifie célèbre.
Blu-Ivy est née d'un père italien styliste passionné par son travail descendant du fondateur de la célèbre marque, et d'une mère anglaise d'origine indienne et roumaine dont la famille est installée en Angleterre depuis deux générations seulement. Sans être forcément très riche, sa famille avait une place importante dans dans la haute société anglaise. Son futur semblait tout tracé: elle devait reprendre la suite de Versace avec son père dès ses dix huit ans, et ses parents espéraient que leur fille arriverait même à surpasser Chanel, et surtout la marque de leur rivaux, Shangai Dawson London. Oui, c'est ce qui aurai du se passer. Qui aurai du.

Chapter 1 •Les cigognes ont dues se tromper de maison.

Dès son plus jeune âge, Blu-Ivy se passionna pour tout ce qui touche de près ou de loin à l'art. Ses parents n'en étaient que ravis, jusqu'au jour où la fillette de deux ans renversa la tasse de café bien tachant sur les croquis de la prochaine collection qui venaient d'être terminés. Pas un seul fut épargné d'une impressionnante tache aussi marron que les yeux de la petite blonde. A croire qu'elle s'était rendue compte de l'avenir qui l'attendait.

Chapter 2 •Mais vous lui avez donné un prénom de fille !

Le temps passa, jusqu'à la naissance en 2000 de son petit frère, Louka. A lui, il suffisait de lui montrer les croquis de la nouvelle collection automne-hiver pour qu'il se mette à ouvrir de grands yeux et à sourire de toutes ses dents -ou plutôt de toutes ses gencives. Sa grande soeur, elle, trouvait son sourire idiot et qu'il portait un prénom de fille. Pas un prénom mixte, un prénom de fille.

Chapter 3 •Le temps de l'école -enfin du collège.

A l'école, elle aimait dormir à côté du chauffage en cours de français, cette langue si compliqué, son bonnet favori couvrant ses cheveux blonds. Cependant, le collège fut pour elle l'occasion de pouvoir avoir des cours d'arts plastiques, une des seule matières où elle avait la moyenne. L'après midi, une de ses activité préféré consistait à jouer au basket, bien qu'elle était la seule fille. Courir après un ballon pour le mettre dans un panier, elle trouvait ça un peu débile, mais qu'importe, elle adorait ça. Sa troisième grande passion consistait à passer ses samedis après midi à peindre les paysages de Londres.

Chapter 4 •Blu-Ivy et ses psys.

Si il y a bien quelque chose qui inquiétait ses parents, c'est le fait qu'elle n'a jamais ramener une amie à la maison. Ils décidèrent d'aller lui faire voir un psychologue très recommandé. C'était le vrai stéréotype du psy: lunettes, blouse blanche, lunettes rectangulaires. Blu-Ivy lui raconta avec joie son quotidien, ou plutôt celui de Tokio, le personnage principal d'une histoire qu'elle écrivait quelques mois auparavant. Ce qui l'amusait le plus, c'est qu'il y croyait. Ses parents furent bien entendus encore plus affolés qu'ils ne l'étaient, et l'envoyèrent cette fois voir la psychologue du collège. Blu-Ivy trouva en elle une confidente, surtout qu'elles partageaient toutes deux une passion pour Abba, David Bowie, les Beatles, et Björk.

Chapter 5 •Vulnerat Omnes, ultima necat.

SI il y a une année, ou plutôt un jour qui fut décisif dans la vie de la jeune londonienne, c'est sans aucun doute le dix juin deux mille huit. Elle avait alors seize. Les écouteurs sur les oreilles, l'I-phone flambant neuf jouant son titre favori des Beatles, Ivy-Blu traversa la rue les yeux rivés sur l'écran indiquant la météo du lendemain. Les passants se promenaient tranquillement. La rue était calme, pas une voiture ne roulait. Sauf celle qui arriva à toute vitesse. La suite n'est pas bien difficile à deviner. Tous ces passants une seconde auparavant si calme sur ruèrent autour de l'adolescente, paniqués, horrifiés par ce qui venait de ce passer, même si la blonde commençant à avoir les cheveux tachés de rouge respirait. Pour l'instant. Quelques temps plus tard, à l'hôpital, elle arrêta de respirer. La suite, croyez-la ou non, mais pour Blu-Ivy tout ce qui suit c'est réellement passé. Dès le moment où elle fut cliniquement morte, elle se rendit compte de tout ce qui se passait autour d'elle. Ne comprenant pas ce qu'il se passait, elle fit quelques pas, puis alla dans la salle d'attente. Enfin, elle. Peut-t-on nommer "quelque chose" qui traverse les murs et que personne ne voit ?Elle vit ses parents, très inquiets, mais bizarrement Louka n'était pas là. Soudain, elle vit une immense lumière blanche. Elle voulu s'en approcher, et vu à l'intérieur un autre monde. Au moment où elle voulu aller voir de plus près, Blu-Ivy attendit une voix. Ce n'est pas encore ton heure, retourne dans ton monde, tu as de grandes choses à y accomplir...
L'assistant du médecin était en train de prévenir ses parents lorsque les appareils se remirent en marche après huit minutes d'inactivité. Un mois après son accident, les médias anglais voulurent faire un reportage sur cette "miraculée". Tout ce qu'ils eurent, c'est une mini interview de Blu-Ivy dans son café favori après s'être fait teindre les cheveux. Si vous avez vécu à Londres durant cette période, vous avez sûrement vu ce reportage, ou tout du moins son interview - informations nationales s'il vous plait. Les seules personnes à qui elle parla de son expérience "surnaturelle" furent ses parents, qui l'envoyèrent encore une fois voir le psy.

Chapter 6 •Une preuve de plus que j'ai des parents bizarres.

Passé cette micro célébrité, Blu-Ivy, qui avait arrêter ses études depuis un bout de temps déjà (elle n'a jamais mis les pieds dans un lycée) annonça à ses parents qu'il était hors de question qu'elle soit styliste, qu'en tout cas elle ne voulait pas travailler pour Versace. Ces derniers furent persuadés qu'elle voulait leur faire de la concurrence, ou pire, travailler pour SDL. Depuis, elle vit avec le fait que ses parents la croient passée de l'autre côté. La mode, pour eux, c'est tellement important qu'ils en furent malade... psychologiquement et physiquement, mais pas que pour ça. Leur fille avait décider de partir à New York, pensant y trouver la reconnaissance...

Chapter 7 •I love you New York City.

La vie à New York était loin d'être aussi rose que Blu-Ivy avait pu l'imaginer. Elle du se trouver un travail pour payer son loyer, ses factures, et ses dépenses personnelles; mais pas un instant elle ne regretta d'être partie. Elle trouva assez vites ses marques, et peu à peu, se fit des amis... mais aussi des ennemis, que ce soit dans le domaine de la peinture ou non...

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Tient on a la fille de Beyonce sur le fo

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