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You know, it's a joke.

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Empire State of Mind
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MessageSujet: You know, it's a joke. You know, it's a joke. EmptyMar 15 Mai - 23:18

FEAT. Selena Gomez
Ellane Phoebe Dawson

19 ans → Né(e) à Dublin le 9/06/1992 → Mannequin - Et étudiante en photographie
célibataire → hétérosexuel(le) → membre des populars.


And who am i ?

★Quels sont tes caractéristiques?
Ellane à de beaux cheveux brun descendant en bas de ses épaules. Possédant des yeux couleur agate, brillant de milles feux, pétillante et pleine de vie. Un sourire à faire tomber n'importe qui, Ellane mérite son statue de femme séduisante. Mannequin, on peut comprendre rien qu'en la voyant sa profession, bien qu'elle soit également étudiante en photographie. Sur le derrière de sa nuque, un tatouage ayant pour forme un oiseaux s'envolant, symbole de liberté et d'harmonie, de paix et d'amour. Oui, Ellane est quelqu'un de bien. Elle a des mimiques qui en font rire pas mal. Une façon de courir très comique, les bras à moitié en l'air, toujours à faire des gestes avec les bras, se penchant légèrement lorsqu'elle pose une question ou fait une réflexion, jouant avec ses sourcils. [ Bon, j'arrive pas trop à vous le dire, mais en gros, on peut dire qu'elle a les mêmes mimiques que Jack Sparrow ^^. ] La jeune femme à un sens de l'humour hors du commun, ce qui fait sans nul doute sa popularité, entre autre. Bref, Ellane est comme tout le monde, mais elle a le petit truc en plus qui la rend parfaitement unique et sans intérêt.

★Quel est le caractère de ton personnage?
Personne ne pourra empêcher Ellane de réaliser ses rêves. Volontaire et déterminée, elle y arrivera quoi qu'il se passe entre temps. Ce n'est pas toi qui lui dira ce qu'elle a à faire, elle le sait et de toute façon, n'en fera qu'à sa tête. Cette jeune femme sait ce qu'elle veut, et atteindra son but coûte que coûte. Elle s'impose dans ce monde cruel et sans pitié. Ellane considère ses amis comme ses frères et sœurs. Mais surtout comme ses frères, car la majorité de ses amis sont de sexe masculin. Elle les trouve bien plus drôles. Rire est essentiel pour la donzelle. Elle est fidèle à eux, et pourrait mourir pour sauver leurs vies. La jeune femme a toujours un sourire radieux scotché aux lèvres, elle est très sociable et va beaucoup vers les autres. C'est la petite comique de service, et elle passe son temps à faire rire les autres. Évidemment, personne n'est parfait. Ellane a un très fort caractère. Voix colérique et grimace sur son visage d'ange, elle a déjà 5 ans qu'elle se montre colérique avec ses chers parents qui tente de l'élever au mieux qu'ils peuvent. Ils ne comprenaient pas cette jeune fillette qui clamait haut et fort ce qu'elle désirait. Cela n'a pas vraiment changé au fil des années si ce n'est qu'elle contrôle maintenant ses sentiments et canalise cette colère. Jeune femme gourmande et qui aime les bonnes choses. Depuis petite, Ellane ingurgite tel un ogre des tonnes de pâtisseries. Elle compense cette gourmandise en faisant beaucoup de sport. Curieuse, elle goûte à tout et bien souvent, termine son assiette sans rechigner. Libre comme l'air, gourmande oui, mais surtout d'aventure. Travailleuse, persévérante, infatigable. Quel que soit le travail qui est demandé à Ellane, elle s'exécute sans broncher, râler, marmonner, sans s'arrêter ne serait-ce qu'un instant avant que sa tâche ne soit finie. Traite la un jour de paresseuse et ce sera ton dernier mot, ta dernière pensée, car elle est tout, sauf cela. Soit juste envers elle, et elle le sera envers toi. Les insultes, elle supporte très mal. Ce qui est à elle est à elle : Que ce soit du matériel ou une personne qui lui ai chère. Si tu t'en approche de trop, tu risquerais de le sentir passé. Avare ? Pas radine. Ne la cherche pas, elle te trouveras même au confins de la Terre. Cependant, même si la belle est très gentille, avec ses ennemis, ou personne qu'elle n'aime pas, elle est aussi cruelle qu'une sorcière maléfique. Elle fera la plus mauvaise des réputations à celui qui osera mal lui parler, être insolent ou même la regarder de travers sans aucune raison. Populaire car très gentille, souriante, marrante et jolie. Elle n'aime pas se vanter, mais elle est consciente de sa valeur, elle sait ce qu'elle ait, et pourrait parfois même jouer de ses charmes pour parvenir à ses fins.


Well... It's my story...


Ellane Phoebe Dawson
Journal d'une jeune adulte insouciante

[ Je tiens à préciser qu'à partir de maintenant, c'est Ellane qui écrit, y comprit ce qu'il y a entre * ! ]



" Et là-bas, il y aura des togobans ? "


* Roulement de tambouuuuuuur... * Tatalaaaa !

Cher journal.

Tu vas avoir la chance de connaitre mon extra-ordinaire et trépidante vie. :HUM:. Alors, commençons par le commencement.

Je suis née dans les quartiers chic de Dublin, soit dit en passant, la capitale de l'Irlande. J'ai grandis dans une sublime villa appartenant à mon cher père, vivant avec ma mère mais également avec mon grand père, qui touchait presque à la fin de sa vie. Et malheureusement je dois dire. Je t'avoue, que je n'étais pas une petite fille facile à vivre, mais évidemment, ça a changer maintenant, hein, tout le monde le sait ! Bref. Je te passe en vitesse accélérée le passage de mes premiers pas, de mon premier mot qui était d'ailleurs " papa ", mon premier popo et tout ça. En fait, mes parents n'étaient même pas là lors que ces événements ô combien important durant la croissance et l'éducation de son cher bambin. Oui, mes parents avaient certainement mieux à faire que de s'occuper d'une gamine qui ne faisait que pleurer toutes les cinq minutes, qui avait constamment faim et... Enfin bref. Ma mère, qui porte le nom d'Isaline, et mon père, qui porte le nom de Michael, sont des braves et puissants chefs d'entreprises. Vivre à Dublin était un réel avantage pour eux, et ils n'avaient que peu de temps pour s'occuper de son seul et unique enfant : Moi. C'est donc ma nurse qui m'a élevée, en présence évidemment de mon grand-père, mais le pauvre était trop fatigué pour se lever toutes les 2 heures, ce qui est pour lui, compréhensible. Cela dit, j'étais plutôt proche de mon papa, d'où mon premier mot. Ma mère avait l'air de s'en ficher de moi. Pourquoi faire un enfant dans ce cas... Bref, là n'est pas la question. Pour compenser leurs absences, ils me couvraient de cadeaux, totalement inutiles, car il en faut ( peuuuu pour être heureux ! ) peu pour me fasciner : Franchement, je l'avoue, un simple couple d'oiseaux gazouillants et vivants le parfait amour me suffisait pour me faire rêver lorsque j'étais gosse (et toujours maintenant. ). Je grandis et développa une intelligence surhumaine (mais oui bien sur ! ). Non, réellement, j'étais bonne élève à la primaire, une élève comme les autres, mais vraiment très, même trop bavarde. Lorsque j'avais cinq ans, je me souviens de cette merveilleuse fin de soirée dans le grand jardin. Allongée dans l'herbe, les yeux rivés vers le ciel orangé, le soleil se couchait, les oiseaux chantaient, la piscine n'attendait que moi. Mais j'étais là, immobile, ne daignant pas bougée. Mon grand-père, Charly, dormait sur un transat, tranquillement. Mon père m'avait rejoint, m'offrant un peu de son temps, pour la première fois de la semaine : Nous étions vendredi. Ma mère cuisinait, et une délicieuse odeur se mêlait à l'air chaud de l'été. Papa était venu près de moi, s'assaillant en tailleur. Je me redressais, et lui offris un petit sourire, mais la tête ailleurs. Je rêvais. Je n'avais que ça pour m'échapper de ce monde trop sérieux. Les yeux brillants, un sourire béa scotché aux lèvres, mes longs bruns flottants dans les airs, je fixais sans relâche mon père, sans vraiment le regarder. Intrigué, celui ci m'extirpa de mes songes :

" - Ellane, est-ce que tu vas bien ?

- Oui papa. Je pense.

- Ha oui ? Et à quoi penses-tu ?

- A mon rêve. Dis, papa, est-ce que toi aussi tu as des rêves ?

- Tout le monde a des rêves. Quel-est le tien ? "


Mon visage se ferma alors. Je ne savais pas si je pouvais, en fait, je ne savais pas s'il comprendrait. Peut être que je pensais qu'il était trop grand ? Je ne me souviens plus de la raison de ce silence. Mais je savais que je pouvais faire confiance à mon père. Les yeux vides, je me ressaisis soudainement, et redressant la tête. Je lui accordais un sourire désolé, et je repris, avec ce ton qu'ont tout les enfants lorsqu'ils parlent de leurs rêves, ou quand ils voient le père noël :

" - Papa. J'ai rêvé de cette mer toute bleu comme je l'aime. De ce sable tout fin qui chatouille les doigts de pieds. De Mr. Le Soleil qui part dormir dans la mer avec les petits poissons, qui nagent aussi bien que les gros. C'est ma maîtresse qui me l'a dit. J'ai envie de voir ces arbres touts tordus, avec des grosses boules marrons indestructible. J'ai envie de me rouler dans le sable en regardant le soleil laisser sa place à Mme. La Lune. Tu sais, il est gentil le soleil de laisser sa place à la belle lune. Tu crois qu'il est amoureux d'elle ? Parce que sinon, il faut lui dire hein ! Des fois, ils se font des calins. Ma maîtresse m'a dit que ça s'appelle des zéclipse. Des zéclipes, c'est bizarre comme nom de calin ! J'aimerais bien voir ça aussi. Tu crois qu'un jour, je pourrais aller sur cette plage paradizaque ? "


En m'entendant dire toutes ces belles choses, avec des mots mal formés, mon père ne put renier un sourire de tendresse. Un beau sourire, que je n'avais eus l'occasion de voir que rarement. Il me prit dans ses bras, et me souffla à l'oreille :

" - Un jour, je t'emmènerais là-bas. Je te le jure. "


J'eus un énorme sourire lorsque j'entendis cette promesse, une promesse que je n'eus jamais oublié. Je répliqua, enchantée :


" - Woaw ! Tu sais où c'est ?

- Oui. Les Caraïbes.

- Ouah ! Et tu crois que là-bas, il y a des togobans ? "


Un léger rire retentit. Celui de mon cher père. Je ria avec lui, bien que je n'eus aucune réponse. Mes yeux étaient surement pétillant, j'avais rêvé d'être là-bas avec mon papounet la nuit suivante. Non, je n'oublierais jamais cette soirée.

" C'est mon anniversaire... Et il n'y a que toi qui t'en souviens... "

Le matin était clair et ensoleillé. Habituel pour un mois de juin. Un temps idéal, juste pour mon anniversaire. Ce jours ci, je venais d'avoir 10 ans. Je n'avais pas école ce jour là, et d'ailleurs, je me demande bien pourquoi. Mais je sais que je jubilais à l'idée de ne pas à avoir à me lever. Comme tout enfant normal je présume. Bref. C'était mon anniversaire, chose très importante pour un enfant. Je me réjouissais, tellement pressée d'avoir des cadeaux. Je me suis levée dans les environs de 8 h 30. Souvent, les bambins sont matinal. Maintenant, je dors comme une marmotte jusqu'à 14 h 00. Enfin bref. Ce jour ci m'a marqué. Déjà, j'aurais pensé que mes parents resteraient avec moi pour ce splendide jour. Et bien non. Lorsque je me suis dirigée dans leur chambre, ma mince lueur d'espoir avait disparu soudain lorsque j'eus aperçu le lit vide et froid. Les yeux pleins de larmes, le cœur déchiré, je descendis dans le salon, les larmes coulants sur mes petites joues bien rondes. J'entrais tête baissée dans la salle à manger, afin de prendre un bon petit déjeuner, et de noyer mon chagrin dans des litres et des litres de jus d'orange. Je redressais la tête, découvrant ainsi une table bien garnie, avec une banderole :

" Joyeux anniversaire Ellanounette ! "

Ellanounette. Le surnom que me donnait mon grand-père. Je l'aime beaucoup, nous étions très très proche. C'était d'ailleurs lui et lui seul qui avait préparé cette surprise. En voyant tout cela, toutes ces pâtisseries qui n'attendaient que moi, cette banderole et ces trois petits cadeaux sur la table, ainsi que mon grand-père assit sur l'une des deux chaises, un grand sourire aux lèvres en voyant mon émerveillement, je courus et sauta sur ses genoux. Toujours ses larmes sur mes joues, je me serrais fort contre lui. Le seul à y avoir pensé. La tête sur son épaule après 5 minutes, je me redressa et le regardais droit dans les yeux. Il fut soudain surprit, et tout en essuyant mes larmes, il me dit d'une jolie voix :

" Bon anniversaire ma poupée. Mais, pourquoi pleures-tu ? Tu es une grande fille, tu as 10 ans maintenant !

- Grand-père... C'est mon anniversaire, et il n'y a que toi qui t'en souviens... Merci.. "


Et je me reblotissais contre cet êtres qui m'est tellement cher, et aujourd'hui, avec grand regret, il me regarde de tout là-haut. Il n'ajouta rien, et me posa sur la deuxième chaise qui se situait à côté de lui. Nous mangeâmes comme des voraces tout ce qui se trouvait sur la table. Un vrai régale. Des gâteaux, du chocolat, jus de pomme, de raisin, d'orange... Un très bel anniversaire malgré l'absence de mes deux parents. Après m'être régalée en riant avec mon grand-père, il me tendit un premier cadeau. Un petit sourire curieux s'affichait sur mes lèvres, et je secoua furtivement le paquet. Un petit paquet, d'ailleurs. Il contenait un collier en forme de cœur. Il s'ouvrait. Je le pris dans mes petites mains, et l'ouvris. Sur une partie du cœur, il y avait ma photo, et sur l'autre, celle de mon grand-père Charly. Je relevais les yeux vers lui, les yeux brillants. Il me dit, me rendant mon sourire, voyant ma satisfaction :

" - Comme ça, je serais toujours avec toi. Ne l'oublie jamais. "

Je me jeta dans ses bras. Grand-père, tu es avec moi, et c'est grâce à toi que parfois, lorsque je me sens seule, je sais que je ne le suis pas totalement. Tu es avec moi. Je t'aime. Ne l'oublie jamais aussi. C'est lui qui m'a mit ce collier autour de mon cou. Et depuis, je ne l'ai jamais retiré. Jamais. Le deuxième paquet était un peu plus gros. Il contenait une petite maison en bois pour les oiseaux, afin que je puisse la mettre dans le jardin, et observer les petits oiseaux qui viendraient y manger à leur guise. J'étais vraiment ravie, et à peine ouverte, j'ai couru dans le jardin, et nous l'avons installé. Ensemble. Lorsque j'ai déménagé à New York, je l'ai emmené, et remis dans mon jardin. Le troisième paquet était une petite paire de chaussure que j'adorais. Bien que je ne puis plus les mettre, je les gardent précieusement dans une boite sous mon lit, à l'abri. Car lorsque celle ci ne m'allaient plus, mes parents voulaient les jeter. Hors de question. Je les enfila, et partis m'assoir accompagné de mon grand-père dans l'herbe, au soleil. J'en avais lourd sur le cœur, et il l'a vue. Il me prit dans ses bras :

" - Ellane... Qu'est ce qui ne va pas ?

- Je suis toute seule tu sais. Papa et maman ne sont jamais là, et j'ai personne pour m'amuser. Je n'ai pas de petit, grand frère ou petite, grande sœur. Je ne peux jouer qu'avec... Moi ? Tu peux m'aider, dis, aides moi. Je ne veux plus jouer toute seule. "


Grand-père prit quelques minutes de réflexion. Les paroles sortit de la bouche de sa petite fille l'a surement touché, et il savait que même si je l'avais, il ne serait plus là durant bien longtemps. Il sourit soudain, se leva, et me tira près de lui. Il prit une veste, et nous montâmes dans la voiture. Intriguée, je le fixais avec un regard interrogateur :

" On va où, grand-père ?

- Te chercher un nouvel ami. "

Il n'en dit pas plus, et démarra le moteur. La voiture rugit, et nous partions au quart de tour. Ne sachant plus quoi penser, je ne disais rien, et un silence de mort régnait dans l'automobile. Grand-père me regarda avec un sourire très charmant, et enclencha la radio. Sur cette station, il n'y avait que des chansons que nous connaissions tout deux, et après une demie heure de route, à chanter en chœur et dans la bonne humeur, nous arrivons dans un grand centre commercial. Je descendis et partis prendre la main sans trop attendre à mon cher grand-père. Nous nous échangeâmes un regard complice, et il déclara :

" Je vais t'offrir un quatrième cadeau. "

Et il s'engagea dans une animalerie. C'est tout émerveillée que je le suivis. Il y avait des lapins, des chiens, des oiseaux, des poissons, des rats, des souris, des hamsters, c'était comme le paradis. Surtout quand nous sommes des enfants. A peine entrée, je me scotcha devant une cage : Celle des chats. Un petit minou gris, tigré noir était planté devant moi, il me regardait avec des yeux d'ange, et ne s'intéressait qu'à moi. Je savais qu'il était là, qu'il était fait pour moi. Je m'exclamais immédiatement, sachant que se serait lui mon ami, mon petit chat idéal. Mon grand-père me rejoint, et s'attendrit devant le chaton presque instantanément. Tandis que je ne voulais en aucun cas me décrocher du petit chat par peur que quelqu'un d'autre le prenne, mon grand-père partit chercher quelqu'un du magasin. Le voilà mon quatrième cadeaux. Lui. Il fut venu le moment de lui donner un nom. Sans hésiter, je le nomma Berny. Il lui va vachement bien. On lui prit également une petite caisse pour ses cacas, des gamelle, et un joli collier noir, avec son nom gravé. Nous repartions avec mon nouvel ami, de quoi le nourrir et tout ce qu'il fallait. Une fois à la maison, je lui fis visiter, et mon grand-père partit se reposer. La journée ne faisait que commencer. Je passa la fin de la matinée à jouer avec lui, à lui faire des papouilles. Au fil des années, je l'ai dressé. Il connait son nom, et lorsque je l'appelle, il vient, il sait dire maman, il sait ouvrir les portes, et tirer la chasse d'eau. Il me suit partout si je le lui demande. Durant l'après midi, mon grand-père m'a raconté plein d'histoire. C'était une belle journée, et c'est seulement à 18 h 00 que mes parents m'ont souhaité un joyeux anniversaire.

Spoiler:

" Toute seule. Ha non pardon, avec mon chat, absolument. "

C'était un des rares week end, durant les vacances scolaires, où ma mère et mon père étaient tout deux là, avec moi. On avait décidé de partir m'acheter des meubles, afin de refaire ma chambre. Et oui, les goût change quand nous grandissons. Je ne voulais plus de cette chambre toute rose. Cette chambre de petite fille, j'avais grandie, à l'intérieur, et aussi à l'extérieur. Depuis que j'ai dix ans, j'ai les mêmes meubles dans ma chambre. Après, il a fallut déménager, et tout ça, mais j'ai tout de même emporté mes meubles avec moi hein. Bref, j'avais envie d'avoir une chambre toute marron et beige. Nous sommes tout d'abords partit acheter de la peinture, puis plein de meubles qui me faisaient tellement envie. Mes parents pouvaient se le permettre, et c'est une des rares fois où j'ai réclamer autre chose qu'à manger durant ma vie. Bref. Plus les magasins défilaient, plus ma chambre prenait un aspect bien particulier dans ma tête. Cependant, il me manquait quelque chose : Trois instruments de musiques bien précis : Un piano, une guitare sèche, et une guitare électrique. Mes parents ont accepté de me les acheter, et m'ont même proposé de prendre des cours. Mais, allez savoir pourquoi, j'ai refuser. Je voulais me débrouiller toute seule. Brefouille, voilà ma chambre, enfin, une partie :

Spoiler:

Bon voilà, j'aime la simplicité. Le piano et les guitare sont un peu plus loin. Mon piano est blanc. Bref, une fois que ma chambre fut terminée, et mes parents, repartit travailler, comme toujours, je m'assis au piano. J'y ai jouer toutes les vacances, non stop, et idem pour la guitare. Mes instruments, je l'ai ai eu à 10 ans, la même année que mon chat. J'étais un petit prodige à 14 ans. C'est d'ailleurs un soir, quand j'avais 14 ans, ma mère et mon père discutaient dans le salon, avec grand-père. Je me mis à jouer dans ma chambre, et comme une idiote, je pensais qu'ils ne m'entendraient pas. C'est quand j'entendis la porte grincer que je me rendais compte du vacarme que je devais faire. Tout trois étaient scotché derrière la porte, pensant que je n'aurais pas entendu le léger cri de la porte qui s'entrebâillait. Je partis ouvrir ma porte à ses trois grands gamins. J'eus des félicitation toute la soirée, et une demande de mes parents :

" - Mais enfin, comment, enfin, où a tu appris à faire cela mon ange ?

- Toute seule. Ha non, pardon, avec mon chat. Absolument.
"

Et depuis, je ne peux pas me passer de faire au moins une heure de musique par jour.


" Jamais je ne t'oublierais. "

16 ans. L'âge con. Les amours qui ne durent pas, les sorties entre amis tard le soir. Le bon temps. En fait, j'ai que 19 ans hein, je le fais toujours. C'est là que j'ai rencontré mes vrais frères et quelques sœurs. Au lycée. Mes amis, c'est vraiment eux les plus importants. Je sais que je peux compter sur eux, et que je peux leur faire confiance. Ils seront toujours là pour moi, et moi de même. Comment j'en suis si sûre ? Je vais t'expliquer. L'année de mes 16 ans fut pleine de surprise, de conneries, de délire, d'amusement. Jamais plus je ne m'ennuyais toute seule chez moi. Mais cette année fut vraiment douloureuse aussi. Cette année là... J'ai du mal à en parler. J'en ai les larmes aux yeux quand j'en parle, même quand je l'écris. Cette année si... J'ai perdu sans doute l'être qui comptait le plus à mes yeux. Mon cher Grand-Père, Charly. Il a disparut cette année là, et mon année scolaire, tout comme mon état moral se passait très mal à cause de ce malheureux événement. Cela m'a pris beaucoup de temps pour faire mon deuil. Aujourd'hui encore, je pense souvent à lui, et je pleure. Je savais qu'il allait partir, il était temps qu'il aille se reposer. Mais... Maintenant, qui me fêtera avec joie mon anniversaire, dès le matin ? Qui me serra fort contre lui lorsque j'irais mal, qui viendra s'occuper de moi lorsque je m'ennuie durant l'été, qui sera chaque jour à mes côté pour le meilleur et pour le pire ? Grand-père... Cela te faisait tellement plaisir que je te nomme ainsi. Tu n'avais pas envie que l'on t'appelle Papy, comme mes cousins et cousines. Moi, je t'ai appelé comme ça instinctivement, sans que tu ais à me le demander. Quand j'étais petite, tu me racontais plein d'histoire les mercredis après-midi, ou le soir quand je n'arrivais pas à dormir. Et maintenant, qui me fera mon bisous de bonne nuit, mon bisous magique qui repousse tout les vilains de la nuit ? Qui m'apprendra à parler la langue des signes, comme tu avais commencer à me l'apprendre ? Qui fera de l'origami avec moi, pour partager mes insomnie ? Et à qui je devrais faire des gâteaux, maintenant que tu n'es plus là ? A qui je vais installer le hamac dans le jardin pour qu'il puisse se reposer dehors durant l'été ? Ta disparition laisse un grand vide, dans la villa et surtout dans mon cœur. Je n'ai plus de grand-père, aucune personne n'est comme toi. J'ai fais des choses grandiose pour ton enterrement. Tu le méritais. Tu étais quelqu'un de généreux, de gentil, quelqu'un d'attentionné qui savais écouter les peurs des uns, les malheurs et les bonheurs des autres. Tu faisais tout ce qui était possible pour notre famille, et je m'occupais de toi comme si ma vie en dépendait. Et voilà. Maintenant, tu es un ange, tu me regardes de tout là-haut. Tu veilles sur moi comme j'ai veillé sur toi lorsque tu n'allais vraiment pas bien. Je t'ai accompagné jusqu'à ton dernier souffle. Tu me manque, énormément grand-père. Suite à cette tragédie pour moi, plus rien n'avais de sens. Mais tout mes amis étaient présent. Malgré cela, quand je rentrais chez moi, il n'y a toujours personne pour m'accueillir comme lui le faisait. J'allais de plus en plus mal, et je finissais pas sécher les cours. Un jour, je pleurais tellement que je n'alla pas en cours. Je préférais aller quelque par où mon grand-père adorait tout comme moi se balader, nous deux, mains dans la mains. Je sortis de la maison, et partis en forêt. Dans cette merveilleuse forêt. Au milieu des arbres, il y avait un tronc abattu. Nous nous asseyons ici, et nous contemplions les animaux vivant dans la forêt, tout en prenant de belles photos, de nous deux et de la faune et flore. Je partis rejoindre cet endroit. Quand j'aperçus l'endroit, éclairé par les rayons du soleil, je fondu en larmes. Je n'en pouvais plus, il me manquait vraiment trop. J'étais folle de rage aussi. Un mélange de haine et de désespoir. J'avais mal, très mal. Ce vieux bonhomme comptait plus que tout pour moi. Je me vidais de mon eau avec toutes mes larmes. Et alors que j'avais l'appareil photo de mon grand-père dans les mains, je pris des photos, comme on le faisait, non stop. Les photos défilaient, et elles étaient de plus en plus belle. J'avais trouver ce jour ci ma vocation. Je continua comme ça, jusqu'à tard le soir,

Voilà. C'est très important les amis. Je peux vous le dire. Et grand-père, jamais je ne t'oublierais ♥.

" Qu'est ce que ... ?! "

C'était... Le soir même de ma révélation, après être rentrée tard le soir. A peine que j'eus passé la porte, je montais directement dans ma chambre, les yeux me brulant, tellement je les ai frottés. J'avais envie de faire comme dans les films, et me jeter sur mon lit, le visage dégoulinant de mes larmes. Mais je ne pus le faire : Un gros et vieux carton trônait sur mon lit. Alors, je m'approchai, et scrutais des yeux le vieux carton, rempli de choses. Une lettre y était posé. Je m'en saisit, et la lu, intriguée.

" Ma petite Ellanounette.

J'ai chargé ton père de te donner cette lettre, ainsi que ce grand carton, que je gardais précieusement sous mon lit, rien que pour toi. Je savais que je pouvais lui faire confiance, et qu'il n'ouvrirait rien. Tout d'abord, je te souhaite bon courage pour ouvrir le carton, vue la tonne de scotch... Héhé !
* Je ris tout en pleurant, reconnaissant bien ici l'écriture, l'humour et la tendresse de mon grand-père.* A l'intérieur, tu y trouvera des tonnes de babioles, et des objets auxquels je tiens particulièrement. Ils sont pour toi. Prends en soin. Bon, je te laisse, Dieu m'a invité à une soirée dansante ! Aha ! Je te protège, mon ange. JE T'AIME ! Tellement fort, si tu savais. Bisous mon petit cœur ♥. "

Mon grand-père a toujours eu cette auto-dérision et cet humour... Je pleurais. Ainsi, il m'avait écrit une lettre, il avait préparé sa mort... Je pleurais, je riais, j'avais tellement d'émotions qui me traversaient. Je suis... Tellement fière de mon grand-père. J'essuyais mes larmes d'un geste rapide, et posai la lettre sur mon lit. J'admirais le carton enroulé de scotch, et je souriais bêtement. Je pris un cutteur, et peinai à transpercer le chatterton. Une fois que j'eus accompli cet exploit, j'ouvris le carton, et plongeai ma main dedans. Le premier objet qui atterrit dans ma main était une sublime et ancienne montre à gousset. Et je remarquai que sur chaque objet, un bout de papier y étais scotché. Je pris le papier de la montre :

" Pour t'aider à continuer ta collection. Elle est très rare ! Et m'a appartenu. Elle marche encore bien, même si elle a appartenu à un vieux crouton ! Héhé ! ♥. "

Oui, je fais la collection des montres à goussets. Je l'ouvris, et vu les aiguilles tourner. Je souris, et la refermai. Ensuite, je me saisit d'un vieux journal, et décrochai le papier :

" Ceci est mon journal intime. Lis le, je t'en pris. Il y a des photos de toi toutes bébés... Hihi, t'étais trooop mimi ! Et des photos de moi jeune, de ton papa, tu verra, c'était un beau jeune homme ! ♥. "

Je l'ouvris un bref instant, et admirai la magnifique écriture de mon grand-père. J'aurais de la lecture pour ce soir ! Je regardai les photos. Mon père était effectivement très beau, ainsi que mon grand-père ! J'ai les yeux de mon père, et le nez de mon grand-père. Étonnant.. Je me saisis ensuite d'une belle gourmette en argent. Je décrochai le papier :


" J'ai acheté cette gourmette spécialement pour toi. Pour tes 18 ans, car je ne suis plus là pour les fêter avec toi. Alors, garde la, et met la le jour de tes 18 années, en pensant à moi. Je t'aime petit cœur ♥."

Je souris. Il a donc pensé à tout. Je la rangeai dans une boîte offerte par mon père. Et enfin, dernier truc : Un album photo. J'eus le temps de lire :

" Toutes mes photos. Durant toute ma vie, j'ai conservé ces photos. Gardes les, je t'aimes ♥. "

Je n'eus pas le temps de l'ouvrir, que ma mère m'appelait pour manger. Je le rangeai sous mon oreiller, et descendis à toute allure les escaliers. Enfin, je connais toute la vérité. Mon grand-père, c'est le meilleur de tous. Je ne rencontrerais personne d'aussi génial.


Bien bien. On va sauter des années, jusqu'à mes 18 ans, soit, mon départ en Amérique. Parce que mes 17 ans, il n'y a rien eu de folichon, à part mes conneries, mes délires, et toujours ma déprime vis à vis de mon grand-père, qui est un sujet plutôt sensible. Alooors !


" C'est la meilleure chose que tu as pus faire pour moi, maman. "

Et voilà ! J'ai 18 ans. J'suis majeure, et tout et tout. Ouaip, les responsabilité... HA NON ! Mais quelle horreur ! Moi, je ne voulais pas grandir, je ne voulais pas devenir adulte. Et trop tard. Bref. La première chose que j'ai fait lorsque je me suis levée : J'ai enfilée la gourmette de mon grand-père, en pensant fort à lui. Je souriais comme une idiote, et descendis les escaliers, toutes heureuse tout de même. Et à ma graaaaaaaande surprise : Mes parents m'attendaient tout deux. Ils étaient là ! J'étais... Choquée ? Mes yeux s'écarquillaient, et mon père vint me serrer dans ses bras. Je l'enlaçais de même, très heureuse de les avoir à mes côtés pour ce jour fort important : J'ai 18 ans, et en plus, je déménage ! Et oui ! Je pars pour New York. Déjà, parce que mon grand-père rêvais de partir là-bas. Ensuite, parce que j'adore l'Amérique, et puis, mes parents m'ont offert une villa là-bas. Ils me payent mes études pour la photographie, la maison, et ma voiture, car oui, j'ai le permis. Alors, comme ils sont jamais là, papa maman, autant partir, et puis, j'ai décrocher un contract dans une agence de mannequina. Comment ? C'est un secret ! Et de toute façon, j'étais partie pour un endroit meilleur. Mes parents avaient l'air, à ma grande surprise, extrêmement tristes. Je l'étais aussi, car je les aimes tout de même, et puis, je quitte mes amis. Mais durant les vacances, je retournerais à Dublin, pour sur. Mon père me libéra de son étreinte, et ma mère me prit à son tour dans ses bras, et elle m'embrassa tendrement le font.

" C'est la meilleure chose que tu as pus faire pour moi, maman. "


Elle ne répondit rien, m'adressa simplement un sourire, une larme coulant sur sa joue. Enfin, ma mère avait l'air d'éprouver de l'affection pour moi. Mes parents m'accompagnèrent jusqu'à l'aéroport, et son restés jusqu'à ce que l'avion ne décolle. Le voyage c'est très bien passé, même si part moment, j'avais franchement la trouille. Je posais bagage à New York, alors que c'était les vacances. Les grandes vacances. J'avais tout le temps de ranger tout mon bordel. Je découvris la villa avec stupéfaction : Grand jardin, piscine, chambres immenses... Parfois, c'est un avantage d'avoir des parents chefs de grandes entreprises. Mais... Il va me falloir quelqu'un, pour partager cette immense maison !



ETTTT VOILA ! C'est la fin ! Maintenant, l'avenir m'appartient.


my little secret

★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Loune
★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Par tout les hasard xD.
★Ce personnage est-il un double compte ? → Et non ! :10:
★Présence sur le forum → 6/7
★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé :xander:

Mon exemple de RolePlay:
Le code règlement:


Dernière édition par Ellane P. Dawson le Jeu 17 Mai - 20:06, édité 6 fois
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MessageSujet: Re: You know, it's a joke. You know, it's a joke. EmptyMar 15 Mai - 23:23

Welcome, Cool You know, it's a joke. 3014
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MessageSujet: Re: You know, it's a joke. You know, it's a joke. EmptyMar 15 Mai - 23:26

bienvenue à toi & bon courage pour ta fiche You know, it's a joke. 14619
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MessageSujet: Re: You know, it's a joke. You know, it's a joke. EmptyMar 15 Mai - 23:55

Bienvenue parmi nous bounce
N'hésite pas si tu as besoin You know, it's a joke. 14619
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MessageSujet: Re: You know, it's a joke. You know, it's a joke. EmptyMer 16 Mai - 0:09

Citation :
Née à Dublin

HELL YEAH une Irish de plus! cheers You know, it's a joke. 13716 Cool

Welcome jolie jeune fille! Je t'aime déjà toi You know, it's a joke. 57717 You know, it's a joke. 3014 Arrow

Bon courage avec ta fiche You know, it's a joke. 61499

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MessageSujet: Re: You know, it's a joke. You know, it's a joke. EmptyMer 16 Mai - 0:56

SELENA You know, it's a joke. 57717
Bienvenue & bonne chance pour ta fiche You know, it's a joke. 14619
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MessageSujet: Re: You know, it's a joke. You know, it's a joke. EmptyMer 16 Mai - 3:19

selenaaa You know, it's a joke. 57717
Bienvenuue I love you
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MessageSujet: Re: You know, it's a joke. You know, it's a joke. EmptyMer 16 Mai - 7:25

Bienvenuuuuuuuuuue x)
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MessageSujet: Re: You know, it's a joke. You know, it's a joke. EmptyMer 16 Mai - 11:40

ayant Demi en DC j'exige d'hors et déjà un lien I love you Bienvenue chez nous !
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MessageSujet: Re: You know, it's a joke. You know, it's a joke. EmptyMer 16 Mai - 13:53

Merci à tous pour votre accueil ! Very Happy.

Je me demandais, pour le RP test, je peux mettre un RP que j'avais déjà fait, même si le personnage n'est pas Ellane ? x)..
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MessageSujet: Re: You know, it's a joke. You know, it's a joke. EmptyMer 16 Mai - 13:58

oui oui bien sur I love you Tant que c'est toi qui l'a écrit, c'est parfait =)
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MessageSujet: Re: You know, it's a joke. You know, it's a joke. EmptyMer 16 Mai - 14:33

Cool ! Very Happy. Merci ! :3.
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MessageSujet: Re: You know, it's a joke. You know, it's a joke. EmptyMer 16 Mai - 16:16

Bienvenue You know, it's a joke. 57717
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MessageSujet: Re: You know, it's a joke. You know, it's a joke. EmptyMer 16 Mai - 17:42

Cutie Selena Gomez. You know, it's a joke. 57717 Bienvenue parmi nous. I love you Je valide le code du règlement au passage. :maya:
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MessageSujet: Re: You know, it's a joke. You know, it's a joke. EmptyMer 16 Mai - 21:03

Merciiiiiiiii ! Smile


Yé fini ma fiche ! You know, it's a joke. 281155270
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Mackenzie J. Howard
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MessageSujet: Re: You know, it's a joke. You know, it's a joke. EmptyMer 16 Mai - 22:31

Avant de te valider il faudrait faire des modifications dans ta fiche et notamment corriger certaines fautes comme les "à" alors que c'est pour l'auxiliaire avoir, les "s" en trop pour les "je t'avoues", "je te passes", les s qui manquent au pluriel ... Un petit passage sous word ou sous bon patron et ce sera bon je pense I love you Une fois les modifs faites il faudra reposter dans le sujet des présentations terminées.
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MessageSujet: Re: You know, it's a joke. You know, it's a joke. EmptyMer 16 Mai - 22:34

Ha ouais, j'avais oublier ce détails o/ J'étais sur tablette numérique, et c'est pas fastoche. Alors je demande pardon, et je vais corriger immédiatement xD. Sinon, elle est bonne ?

EDIT : J'ai corrigé les fautes les plus flagrantes.
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MessageSujet: Re: You know, it's a joke. You know, it's a joke. EmptyJeu 17 Mai - 22:23

Bienvenue You know, it's a joke. 932210
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MessageSujet: Re: You know, it's a joke. You know, it's a joke. EmptyJeu 17 Mai - 23:07

Merci You know, it's a joke. 14619
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MessageSujet: Re: You know, it's a joke. You know, it's a joke. EmptyVen 18 Mai - 13:55

    Bienvenue sur le forum You know, it's a joke. 57717 I love you
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MessageSujet: Re: You know, it's a joke. You know, it's a joke. EmptyVen 18 Mai - 15:12

Merci ! You know, it's a joke. 924603
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MessageSujet: Re: You know, it's a joke. You know, it's a joke. EmptySam 19 Mai - 14:02

Malheureusement il y a encore pas mal de fautes, ce qui est assez désagréable à la lecture. Essaie de passer ta fiche sous BonPatron ou word, s'il te plaît.
Bon courage et n'oublie pas de reposter dans le sujet des fiches terminées, une fois finit.
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MessageSujet: Re: You know, it's a joke. You know, it's a joke. EmptyDim 27 Mai - 21:38

    En vue de la date à laquelle tu as posté ta fiche, tu as donc une semaine pour la terminer (ou faire les changements demandés) avant que ton compte ne soit supprimé.
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MessageSujet: Re: You know, it's a joke. You know, it's a joke. Empty

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