Sujet: PB. KAVANAUGH -messingupyourmind withthatpaperwork. Mer 16 Mai - 0:43
FEAT. ZACHARY QUINTO
Paul Balthazar KAVANAUGH
36 ans → Né à NYC le 26/08/1975 → Chief Business Directive Officer chez B&N, chaîne de librairies/mediastores. célibataire → hétérosexuel → membre des WORKAHOLICS.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? Paul, c'est un costume tiré à quatre épingles. C'est une laque impeccablement répartie dans sa tignasse pourtant souvent folle au réveil, c'est une chemise immaculée et mieux repassée que la vôtre ne le sera jamais. Car Paul, c'est avant tout un maniaque en puissance. Si ce n'est une pilosité assez développée qui fait sa fierté -et qui comble surtout le fossé que ses manières exacerbées creusent dans sa pauvre virilité- et ces énormes lunettes rectangulaires qui lui mangent le visage, Paul ne présente pas de caractéristiques particulières. Ni rock-star dérangée, encore moins artiste marginal, il se fond à merveille dans la masse peuplant la Grosse Pomme. Paul est ce connard en costard qui vous grille dans la file du Starbucks sous prétexte que juste un donut, ce ne sera pas long, et puis zut, hein, il y en a qui bossent. C'est ce type qui arpente les trottoirs d'un pas ample et assuré, l'air pressé quelle que soit sa destination. Car le temps, c'est de l'argent.
★Quel est le caractère de ton personnage? Paul est quelqu'un qui a réussi. Mais quelqu'un qui a réussi à la sueur de son front. S'il n'est pas aussi pédant que ceux qui ont eu la chance de naître avec une cuillère d'or dans la bouche -et qu'il a tendance à exécrer au plus haut point- il faut lui reconnaître un certain égocentrisme. Les chiffres d'affaires, les formalités interminables et les statistiques incompréhensibles, c'est plus que son domaine : c'est sa vie. Ses relations se calculent en pourcentages. Son emploi du temps se déroule de façon parfaitement chronométrée, sans qu'aucun imprévu ne vienne perturber sa journée. Jamais. La vie de Paul est un métronome sans la moindre dissonance et sa carrière, une ascension constante. Bien que son esprit remarquablement doué pour les calculs et les affaires soit difficilement accessible, c'est bel et bien la passion qui l'a mené là où il est. Le fric, les costumes, tout ça, c'est du bonus. Mais on ne va pas s'en plaindre, hein. Aussi bien qu'un écrivain dérangé ou qu'un drogué qui serait affreusement dépendant à son bureau, ses petits papiers bien rangés et à ses stylo plumes en imitation marbrée, Paul vit dans son monde. Un monde de chiffres, de ventes, d'achats et de clientèle à fidéliser. Aussi, en tant qu'homme d'affaires accompli, il présente bien, rencontre bien, sourit bien, et vous serre la main juste comme il faut, ni trop faiblement, mais sans y mettre trop de vigueur non plus. Cependant, bonjour les dégâts dès lors que les relations dépassent le stade de simples affaires. Trop habitué à ne fréquenter que ses amis les courbes de croissance et autres diagrammes des ventes, Paul ne sait pas tout à fait comment agir face à un humain, un vrai, quelqu'un qui voudrait le rencontrer lui. Pas ses statistiques ou ses verres de whisky avalés d'un trait, car dans le commerce c'est comme cela qu'on fait. C'est souvent une source de conflit, tant avec les autres qu'avec lui-même. Sans compter son maniérisme aberrant, qui en deviendrait presque ridicule. Si l'un des rares êtres parvenant à le supporter personnellement venait à, disons, laisser traîner ne serait-ce qu'une miette de feuilleté sur son canapé de cuir noir, adieu sourires maladroits mais sincères, bienvenue le démon. Le démon soupirant très fort et armé d'un aspirateur, oui oui, tout à fait.
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age Kavanaugh & old enouh. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? Hasard. ★Ce personnage est-il un double compte ? Nop. ★Présence sur le forum Plus ou moins régulière. Tous les deux jours, au minimum. ★Personnage inventé ou scénario ? Original character.
Mon exemple de RolePlay:
Les gouttes s’écrasaient à toute vitesse sur son front, provoquant un fracas assourdissant. Parfaitement immobile sous la cascade qui l’inondait, le Grand Méchant Loup se contentait de fixer le pommeau de la douche. Son regard était parfaitement vide, exactement comme le flot de ses pensées à cet instant précis. Raison évidente : insurmontable fatigue. Raison sous-jacente : gueule de bois profonde. Suite à un coma partiel d’un bon quart d’heure sous le lourd flot d’eau brûlante, il secoua soudainement la tête, ce qui n’eut pour effet que d’accentuer les viles aiguilles de la migraine qui lui vrillaient le crâne. Peu à peu, il retrouva la maîtrise de ses sens, de son corps, et pût lentement adoucir le filet d’eau jusqu’à réduire celui-ci à quelques gouttes insistantes, habituelles preuves de la pitoyable tuyauterie dont était muni son appartement. Entrebâilla à un rythme tout aussi amoindri la cloison de verre et s’extirpa lourdement de la cabine. La vapeur libérée envahit aussitôt le reste de la pièce, embuant en quelques secondes l’unique et minuscule miroir fissuré. Sans même jeter un œil à ce dernier, le Loup s’empara d’une des quelques serviettes qui jonchaient le carrelage et se traîna jusqu’à l’autre pièce. Une puissante odeur agressa alors ses narines de nouveau fonctionnelles. Ainsi, il avait pensé à jeter un steak dans la poêle en se levant ?
Une fois devant l’objet en question, parfaitement carbonisé, il dut se contenter d’un soupir. Ne prenant même pas la peine d’éteindre le feu, Fael s’empara d’un autre morceau de viande conservé au frais et le laissa tomber dans la graisse crépitante qui tapissait déjà le fond de la casserole après avoir récupéré la semelle noircie qui y baignait. Bon à jeter. Se retournant vers l’habituel coin poubelle, il se trouva face à un amont de détritus rassemblés dans divers sacs, empilés jusqu’à former une pyramide malodorante qui atteignait désormais son épaule. Un instant d’hésitation, un nouveau regard au morceau brûlé qu’il tenait dans la main, et le choix ne fut pas difficile. Faisant abstraction de la pile d’ordures, il s’en détourna et engloutit la viande réduite à l’état de charbon en deux, trois bouchées. Après avoir négligemment essuyé ses doigts noircis sur la serviette, il se défit de celle-ci et s’empara de quelques fringues à ses pieds. Se rendit compte un peu tard que le jean enfilé était quasi totalement recouvert de boue et de sang. Foutue saison.
Une fois habillé -tant bien que mal-, il chercha à atteindre son sofa et y parvint miraculeusement en deux grandes enjambées, évitant stratégiquement les cartons de pizzas et le bordel divers qui recouvraient sa moquette. Farfouillant parmi les couvertures, il finit par sentir un objet étranger et l’en extirpa. Un soutien-gorge. Ah, tiens. Il n’en avait pas le moindre souvenir. Toujours est-il qu’elle avait été plutôt bien servie à ce niveau, c’était déjà ça de pris. Conscient que sa propriétaire ne viendrait probablement pas frapper à sa porte de si tôt, le Loup jeta négligemment le souvenir de sa nuit par-dessus son épaule et reprit ses fouilles. Quelques secondes plus tard, il avait enfin retrouvé son colt.
Après avoir procédé à une rapide vérification de son flingue et des balles restantes par pure habitude, il se laissa choir dans le moelleux canapé. Les oiseaux qui picoraient ses tempes n’avaient toujours pas cessé leur besogne. Que diable avait-il bu ? Quelques petits verres ne suffisaient généralement pas à le mettre dans cet état. De la veille, il se souvenait de sa mission. Une petite routine, un simplet un peu trop curieux qui avait tenté de fouiner dans les affaires de la Bête, et qui n’avait pas tenu compte du premier avertissement. Pour son plus grand malheur, il s’était mis à couiner un peu trop fort et Graukopf avait été chargé de lui clouer le bec. Le fanfaron n’était plus d’humeur à claironner après avoir vu le massacre qui avait été fait des deux hommes chargés de sa sécurité. C’avait été une vraie partie de plaisir, au début. Ils avaient tenté de monter une pathétique défense dans la panique, absolument inutile par ailleurs ; avant de réaliser leur infériorité et de se transformer en faibles lâches priant pour qu’on épargne leurs existences. Ce retournement de caractère avait toujours fait la joie du Grand Méchant Loup. La cible en elle-même était moins drôle. Le petit homme en costard suait comme un porc et se contentait de rouler des yeux exorbités dans toutes les directions, probablement à la recherche d’un ultime échappatoire. Aucun intérêt. Une balle dans le crâne à bout portant avait suffi. Puis il avait fallu de laisser quelques petits explosifs derrière soi et tout était fini. Quelques heures à peine, un après-midi tranquille.
Rejetant sa tête en arrière, Fael se laissa aller dans la contemplation de son plafond. La suite aussi, il s’en souvenait, la routine poursuivait son cours. Il était rentré au Bul-let’s sans même passer par chez lui, il n’y avait pas la moindre goutte de sang sur ses vêtements -du moins pas récente. Un vague signe de la main avait suffi à faire comprendre à Léo que la mission était accompli, ce qui ne lui avait valu qu’un discret signe de tête. Aucune autre mission immédiate, donc. Cependant, il était bien tôt pour rejoindre son nid, et le bar était, après tout, comme son deuxième foyer. Il s’était donc accoudé sur le bois vernis, avait commandé son premier verre… Quelques autres. Il lui restait les sons très approximatifs d’une conversation avec une image aux contours flous… Sans doute celle qui avait fini là. Toujours la routine, au final ; peu importait qu’il n’ait pas le moindre souvenir de la suite. Juste un instant, il ferma les yeux. Ce fut alors qu’il lui sembla entendre quelques faibles tapements, provenant de toute évidence d’un poing timide contre sa porte d’entrée. Pas maintenant. Il éprouvait la sensation que s’arracher à son doux nuage le jetterait dans une humeur épouvantable, et il aurait été fort dommage pour celui qui l’interrompait d’avoir à souffrir d’un tel état du Loup. C’était donc par pur égard pour un innocent qu’il ne quitta pas son canapé. Bien entendu. Il ne put s’empêcher cependant de tendre une oreille -l’autre étant déjà occupée à se faire décrasser par un auriculaire intransigeant- et put percevoir un léger frottement, quelques craquements sur le sol. Puis les pas qui s’éloignaient, lentement, comme à contrecœur. Ce n’est qu’une fois l’intrus parti que Fa s’autorisa un long et bruyant bâillement. Que n’aurait-il donné pour replonger sous ses couvertures…
Soudain, une évidence jusque-là obstruée par son état pitoyable lui apparut ; ou plutôt une question évidente à prendre en compte sur-le-champ. Quelle heure était-il ? Le temps n’avait jamais été une source de stress pour le Loup ; peu de choses l’ont jamais été. Mais ce n’était malheureusement pas le cas pour ceux qui l’entouraient, et se ramasser une tarte de la part de la Bête parce qu’il avait négligé ses appels ne l’enchantait guère. Cela n’arrangerait certainement pas son mal de crâne. C’est donc cette idée qui le poussa à se lever péniblement et à se lancer à la recherche éperdue de son téléphone. Sa seule source de communication, et son unique horloge. Une fois, une nana avait tenté de modifier l’heure de celui-ci, de l’avancer. Fael demeurait persuadé qu’elle avait suivi un ordre de son Boss, bien que celui-ci ait violemment démenti la chose. Toujours est-il qu’il avait rapidement compris que quelque chose clochait et la source du problème, cela n’avait donc rien résolu quant à son éternel retard sur les choses. Retournant du pied une veste encore humide d’un jour de pluie, il aperçut enfin le portable. Par chance, il n’y avait qu‘un appel manqué. Mais il venait bien de Bennett, et il était déjà quinze heures passées. Pour lui qui se rendait habituellement au bar aux alentours de midi afin de s’assurer qu’aucune petite mission ne traînait dans le coin, c’était un problème. Cette visite était devenue une évidence et y manquer revenait à perturber les plans. Or il n’était jamais bon de perturber les plans de la Bête, Fa était bien placé pour le savoir.
Cela signifiait qu’il allait devoir se presser. En envisageant seulement cette idée, le Loup ne put retenir un long soupir. Soudain, il prit conscience d’une nouvelle odeur de brûlé, ce qui lui arracha un second souffle, d’agacement celui-là. S’élançant jusqu’à la cuisinière, il arrêta le feu et contempla quelques instants le bout de viande ratatiné, encore rouge à la surface mais complètement cramé en vérité. Son estomac peu enthousiasmé par cette vue le guida vers la veste qui traînait sur la table, celle où était encore dissimulé tout l’arsenal qu’il trimballait quotidiennement avec lui. Une fois celle-ci enfilée et au moment où il posait la main sur la poignée de la porte, il avisa un bout de papier dépassant du dessous de cette dernière. Se pencher pour le ramasser lui permit de comprendre que ses sens n’étaient pas encore parfaitement éveillés, une mauvaise évaluation de la distance projetant son crâne contre la porte. Un grognement s’échappa de ses dents serrées, mais il déplia quand même le feuillet en se relevant tout en se massant la tête, résistant à l’envie de le déchirer.
Ah, le sigle du Bul-let’s. Ce n’était pourtant pas dans les habitudes de la Bête de lui envoyer des mots doux. Grimaçant à cette idée, Graukopf lut rapidement les ordres qui lui étaient assignés. Ceux-ci étaient simples, précis. L’écriture du patron était parfaitement reconnaissable, mais un code était probablement dissimulé quelque part dans la lettre pour confirmer son identité. Fa n’avait jamais été bon avec les codes, il ne s’embarrassa donc pas d’une telle recherche et se contenta de relever les quelques détails qui chiffonnaient sa compréhension. Il aurait tout le temps de passer quelques coups de fil sur le chemin pour poser ses questions et s‘assurer qu‘il ne s‘agissait pas d‘un faux. À mesure qu’il relisait le message, son sourire s’élargissait. Cette mission-là n’était pas particulièrement originale, mais possédait un charme indéniable. Enfonçant sans ménagement le papier dans l’une des poches de sa veste, il passa le pas de sa porte et claqua violemment celle-ci dans son dos. Tiens, avait-il pensé à prendre ses clés ? Oh, peu importe. C’était l’heure de la chasse.
Le code règlement:
HELL YES BY J
Dernière édition par Paul B. Kavanaugh le Mer 16 Mai - 2:00, édité 6 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: PB. KAVANAUGH -messingupyourmind withthatpaperwork. Mer 16 Mai - 0:55
Bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche N'hésites pas si tu as une question
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: PB. KAVANAUGH -messingupyourmind withthatpaperwork. Mer 16 Mai - 0:56
Quinto
Bienvenue parmi nous N'hésite pas si tu as besoin
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: PB. KAVANAUGH -messingupyourmind withthatpaperwork. Mer 16 Mai - 1:57
Merci pour l'acceuil o/ Well, je ne pense pas vraiment avoir de questions. Il ne me reste plus que l'histoire à rédiger, ce qui va sans doute attendre demain.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: PB. KAVANAUGH -messingupyourmind withthatpaperwork. Mer 16 Mai - 3:18
Bienvenuuue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: PB. KAVANAUGH -messingupyourmind withthatpaperwork. Mer 16 Mai - 9:06
bienvenue à toi bon courage pour l'histoire
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
i love the ring of your name you're the yin to my yang
▌INSCRIT LE : 01/07/2010
▌MESSAGES : 20301
▌AGE DU PERSO : 23
▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: PB. KAVANAUGH -messingupyourmind withthatpaperwork. Mer 16 Mai - 11:38
Bienvenue chez nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: PB. KAVANAUGH -messingupyourmind withthatpaperwork. Mer 16 Mai - 11:41
Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: PB. KAVANAUGH -messingupyourmind withthatpaperwork. Mer 16 Mai - 14:12
Welcome!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: PB. KAVANAUGH -messingupyourmind withthatpaperwork. Mer 16 Mai - 14:37
Welcome and good luck
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: PB. KAVANAUGH -messingupyourmind withthatpaperwork. Mer 16 Mai - 16:17
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: PB. KAVANAUGH -messingupyourmind withthatpaperwork. Mer 16 Mai - 17:39
QUIIIIIINTOOOOOO. Excellent choix. Je valide le code du règlement au passage. Bienvenue & bon courage pour le reste de ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: PB. KAVANAUGH -messingupyourmind withthatpaperwork. Jeu 17 Mai - 22:24
Bienvenue parmi nous très bon choix d'avatar
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: PB. KAVANAUGH -messingupyourmind withthatpaperwork. Ven 18 Mai - 13:54
Bienvenue sur le forum
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: PB. KAVANAUGH -messingupyourmind withthatpaperwork. Sam 19 Mai - 1:43
Bienvenue parmi nous
Merci de mettre le nom de ta célébrité dans la case sous ton titre s'il te plait
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: PB. KAVANAUGH -messingupyourmind withthatpaperwork. Dim 27 Mai - 21:39
En vue de la date à laquelle tu as posté ta fiche, tu as donc une semaine pour la terminer (ou faire les changements demandés) avant que ton compte ne soit supprimé.