Sujet: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Dim 20 Mai - 21:31
FEAT. MINKA KELLY
Trish Diane Sparkles-Brooks
27 ans → Née à Camden, New-Jersey le 29/08/1984 → Kinésithérapeute célibataire → hétérosexuelle → membre des Rebels.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Bon, pour commencer, vous l'avez tous remarqué: je suis canon. J'ai tout ce qu'il faut là où il faut, j'ai un regard qui fait craquer, un magnifique sourire... Non mais quoi ! C'est vrai, je fais pas faire semblant et dire que je suis une fille banale. Si ça peut vous intéresser; je mesure 1m68 et je pèse environ 55 kilos... Awesome, ça va changer votre vie de savoir ça, pas vrai ?!. Hum reprenons. Au niveau des fringues, je porte de tout ! Je n'ai pas de style précis. J'adore mélanger les fringues qui donnent un air négligé, ou rock, ou glamour ou vulgos. J'ai une cicatrice sur la tempe gauche; elle est petite mais comme elle est légèrement blanche, on peut la distinguer sur ma peau au teint hâlé. Quoi d'autre... Hum... J'adore jouer de la guitare le matin, ça me fait du bien. Je joue du piano et je suis folle de musique (comme pas mal de gens hein). Quand je mens, j'ai tendance à me pincer les lèvres. Lorsque quelqu'un me parle, et que je m'ennuie, je le fais savoir de différentes manières: selon mon humeur, ça peut passer par des bruits de bouches très agaçants, ou par des hochements de tête, je regarde fixement la personne en fronçant les sourcils, je regarde ailleurs ou je regarde mon portable toutes les cinq minutes. Quand je suis stressée, je me gratte les pouces ou je mange comme un ogre. Quand je trouve que quelqu'un est canon, je me mords les lèvres. Ah oui, ça c'est une particularité: j'ai des fringales nocturnes assez surprenante. Si je n'étais pas flemmarde, parfois, en plein milieu de la nuit, je cuisinerais des plats ultra copieux, et pour plusieurs personne pour me les envoyer. J'adore manger, je mange un max mais je ne prends pas un gramme... C'est le kiff. Sinon euh je passe ma vie à me vernir les ongles, c'est mon kiff ça. Je ne me mets pas des couches et des couches de maquillage sur la tronche, mais je me rattrape sur les ongles. J'aime mettre du vernis coloré et super flashy, je trouve que ça claque trop *o*. Contrairement aux autres femmes, je ne suis pas obsédée par les pompes, moi c'est le maquillage. J'ai un tiroir immense remplit à ras bord de maquillage, et pourtant, je ne mets que très peu de maquillage... Mais je ne résiste pas à l'achat de cosmétiques. J'adore fumer, boire et faire la fête... Après, rien d'autre ne me vient à l'esprit !
★Quel est le caractère de ton personnage? → Bah voilà : je suis tout simplement parfaite. *FAUUUX*. Oui bon ça va …
Je ne vais pas faire durer le suspense plus longtemps ; j’ai un caractère de merde. J’ai grandis dans une ville pourrie avec une mère alcoolique… Très jeune j’ai du m’occuper de tout, toute seule. Du coup, je suis très indépendante et je n’ai besoin de personne pour m’en sortir ; encore heureux parce que vu les cons qui trainent, je serais bien dans la daube. Je suis impulsive et lunatique ; mon humeur change souvent, et surtout, très vite. Genre je peux déconner comme une malade, et trois secondes après, faire la gueule et envoyer bouler tout le monde. Quoi d’autre… Ah oui ! Je suis jamais contente, je suis une gueularde et ça depuis toujours. J’ai toujours quelque chose à dire, je râle tout le temps et j’adore ça, et plus je sais que ça agace, plus je le fais. Quand on me bouscule dans la rue et qu’on ne s’excuse pas, je gueule et parfois, je balance un petit « connard » ou un gentil « fais toi rouler dessus par un bus » pour faire comprendre mon mécontentement… Si on m’entend ? J’en ai rien a faire, je dis encore ce que je veux, on est pas en Corée hein et je risque quoi ? Rien, on est d’accord. Comme vous l’avez remarqué, je ne mâche pas mes mots et je me fiche des conséquences qu’ils ont : l’hypocrisie, ça me file la nausée, alors je la combat avec un mot que beaucoup ne connaissent pas : l’honnêteté. Waw, ça claque comme mot hein ?! Bon, je dois avouer que je suis une fille honnête dans le sens, y a que la vérité qui blesse, et blesser c’est marrant. Mieux vaut être blessé par la vérité je trouve : j’ai connu ça avec ma mère, la vérité qui fait pleurer, qui fait mal, et surtout, la vérité déballée sans prendre de gants. C’est grâce à elle que je suis comme ça ; au moins j’ai un point commun avec elle. Je suis assez agressive et violente… Bon, je suis violente que dans les cas extrêmes, faut pas croire que je me bats comme un bonhomme parce qu’on m’a marché sur le pied ou autre hein. Mais si quelqu’un est dans la merde, ou si on touche à mes véritables amis, une droite, ça part très vite. J’suis têtue ; quand j’ai une idée en tête, je fonce et rien ne peut m’en détourner, mais alors vraiment personne. Je n’ai jamais écouté personne et c’est toujours le cas aujourd’hui. Je déteste qu’on me dise quoi faire, et je déteste suivre une ligne de conduite bien précise ; je fais ce que je veux, quand je veux quitte à déranger les moutons de ce bas monde.
Je ne suis pas une personne qui se confie facilement, à vrai dire, je déteste ça. La seule personne a qui je disais tout, c’était à mon cousin et il n’est plus de ce monde, depuis je n’ai jamais pu me confier comme je le faisais avec Tyler et ça doit être un signe que personne ne peut me comprendre et s’intéresser à moi sincèrement. Les gens qui jouent les psychologues ou les conseillers alors qu’ils n’arrivent même pas à gérer leur propre vie, ça m’insupporte. Depuis la mort de mon cousin, j’ai géré mes états d’âmes, mes émotions et tout ça seule, et c’est pas maintenant que je vais changer ça. J’ai essayé d’aller voir un psy une fois, bah juste après la mort de mon cousin… Allez laissez tomber, le type il m’a donné envie de me tailler les veines ! J’ai tellement été déçue que depuis, je me débrouille et les seuls qui peuvent me faire décrocher un mot à propos de mes sentiments, ce sont mes véritables amis, ceux qui sont là depuis des années et qui me connaissent assez bien pour savoir que s’ils veulent que je m’ouvre et que je me confie un minimum, il faut insister et limite m’agresser pour que je décroche un mot. Je ne suis pas le genre de nana à déballer ma vie à une fille (encore moins à un gars) juste parce que on s’entend bien, et en faire ma confidente… On est plus au collège. Si je déteste me confier, je ne supporte pas non plus que les gens me racontent leurs petits malheurs, surtout quand c’est pour me dire des trucs du style ; « Rah ma mère m’a coupé les vivres, j’peux plus m’acheter de chaussures, je vais me pendre quoi laisse tomber » ou « il m’a trompé, tu te rends compte ? Les mecs, tous les mêmes, j’en ai marre de la vie… ». MAIS FOUTEZ MOI LA PAIX ET PENDEZ VOUS A UN ARBRE ! Personne vous retient. Ce n’est pas parce que je suis une nana que je vais pleurer avec mes copines en mangeant de la glace devant un film à l’eau de rose parce qu’elle s’est fait plaquée, et que je vais manger des bonbons en écoutant les confidences d’une espèce d’idiote qui a un petit copain depuis trois jours et qui se croit arrivée. Je joue souvent la confidente pour être polie, mais moi je n’en fais pas autant. Par contre, il faut pas me demander des conseils côté cœur, parce que moi et l’amour… bah voilà quoi. J’adore jouer les confidentes parce que c’est fun de découvrir ce que pensent les gens de l’amour et autre, et je me rends encore plus compte qu’entre moi et certaines personnes, il y a un énorme fossé. En ce qui me concerne, j’ai été dégoutée de l’amour assez jeune, car ma mère me disait toute la vérité sur ce qu’elle vivait côté cœur. Puis avec ce qui m’est arrivé à douze ans, je me méfie grave des hommes et je fais en sorte qu’ils se méfient aussi de moi. Je les mène par le bout du nez, je me venge. Autant à douze ans je n’avais pas conscience de mon corps et tout ça, mais aujourd’hui, c’est le cas et je suis une adepte du « on va coucher ensemble ce soir », chauffer le gars à fond, et au moment d’aller au lit… BAM ! Goodbye débile ! J’aime bien, ça fait mal à l’égo démesuré de certains « séducteurs ». Puis j’en ai connu des nazes durant mon adolescence et même après, oulala…
Donc comme vous l’avez compris, le seul moment où je me suis montrée naïve m’a couté cher du coup, ça fait bien longtemps que je ne le suis plus. A cause de ça, je méprise les gens naïfs mais d’une force… Mais c’est de la faute aux adultes ça ! Les conneries qu’on raconte dans les contes de fée, ça vous abruti un gosse ça, et toute sa vie il y croit, pour peu que ses parents restent ensemble toute leur vie ! Puis les gens naïfs sont ultra-optimistes, ça m’achève. J’aimerais leur jeter des cailloux à ceux là ! M’enfin… Que puis-je ajouter… AH ! Je suis très possessive ; je ne veux pas qu’on tourne autour de mes amis, je déteste ça mais c’est fou. Je fais tout pour ne pas le montrer par contre, car je n’ais pas à leur imposer des choses mais si je pouvais, je monterais la garde avec un fusil à la main pour dégommer les cons/connes qui tournent autour d’eux. Le pire, c’est quand on tourne autour d’un mec de mon entourage, alors là… Je suis verte de jalousie, mais hors de question de l’avouer, ça me ressemble pas. Mais en cachette, rien ne m’empêche de te bouffer si tu touche à mes potes. Bah oui, j’ai des amis hein ! Pour être mon ami(e), il faut le mériter parce que je ne déconne pas avec mon cercle d’amis ; il me faut des gens de confiance et des gens que j’aimerais toujours même s’ils me gonflent parfois. Dès que vous avez mon amitié, je suis une amie en or ! Je reste la même, mais en plus aimable et je suis plus à l’écoute. Même si je suis assez solitaire, j’aime bien trainer le soir avec mes amis et ne rien faire, c’est le pied quoi. Je suis une nana assez moqueuse, j’aime me foutre de la tronche des gens, c’est marrant. Sinon, je suis une adepte du sarcasme, de l’humour noir, salace et de l’ironie. Je suis très ouverte, très peu de choses me choquent donc on peut me parler de tout (m’enfin il faut encore que ça m’intéresse).
Enfin voilà quoi, vous en savez un peu plus sur moi. Pour le reste, vous le découvrirez par vous-même. Mais sachez que je ne mords pas, je le promets… (hmm)
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → B. & 16 ans ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Grâce au top site d'Obsession
★Ce personnage est-il un double compte ? → Non. ★Présence sur le forum → 5/7 si tout va bien ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé
Mon exemple de RolePlay:
→ J'acquiesçais ses propos d’un signe de tête. Il avait raison et du coup, cela me montrait que j’avais vraiment eut de la chance au final, d’être une fille simple et sympa parce que j’aurais vraiment pu devenir une fille ignoble. « Oui… Mais tant pis pour eux, s’ils sont assez stupides pour croire qu’en suivant l’exemple de leurs parents, ils seront heureux et qu’ils font le bon choix, c’est faux. Et ils réaliseront, quand ils auront des soucis et qu’ils auront besoin d’aide, que c’est l’argent qui les lient tous entre eux, pas l’amitié, tout n’est qu’hypocrisie... La preuve, mes parents ont lâchés des amis lorsqu’ils étaient dans l’ennui, une amie d’enfance de mon père a perdu tout son argent aux jeux, et mon père ne l’a même pas aidée alors qu’elle l’avait sortie de la purée lorsqu’il avait des problèmes… M’enfin… », Je soupirais en évoquant ceci. Je me demandais comment les choses se passeraient si mes parents se retrouvaient ruinés. Est-ce-que quelqu’un les aideraient ? Viendraient-ils chez moi ? Je sais déjà que mon père ne voudrait pas demander de l’aide à son frère qu’il déteste plus que tout, c’est d’ailleurs pour ça qu’il a choisit le métier de trader plutôt qu’un métier dans la médecine, car celui-ci avait déjà choisi ce domaine. Ma mère irait certainement pleurer chez sa sœur, qu’elle n’avait même pas conviée à son mariage, ni à mon baptême et a qui elle ne donnait des nouvelles qu’une ou deux fois par an. Mon père est un imbécile désagréable mais fier alors que ma mère, c’est plutôt la garce sans gêne, qui ose tout et qui est prête à tout pour rester au top, quitte à se servir des gens… Et non, mon père n’est pas comme elle ; il est plutôt j’en-foutiste et trouve que personne n’est assez bien pour avoir l’honneur de lui parler ou autre. Ils mériteraient une bonne gifle pour leur remettre les idées en place ces deux là. « Par chance, il existe des exceptions, et tu en fais partie. Et autant dire que cela me ravi. Dans le cas contraire, jamais nous n’aurions été en contact. » , en entendant ceci, je pouffais de rire avant de répondre « Oh, je ne peux même pas contre-attaquer. Je ne peux pas me vanter en disant que mon physique aurait suffit à te séduire, peu importe ma personnalité puisque tu n’es pas comme ça... », dis-je en secouant la tête de gauche à droite comme pour lui reprocher d’être trop parfait, pour le taquiner bien entendu. Je fus surprise et contente d’entendre Noah éclater de rire suite à mes propos ; mon air sérieux et comique avait fonctionné. Houra ! J’avais réussi à le détendre un peu. Vous n’imaginez pas à quel point il est difficile de le calmer et surtout de le faire rire lorsque quelque chose le contrarie ou autre… Alors j’étais plutôt satisfaite en entendant son rire, communicatif d’ailleurs. Je me mis moi-même à rire légèrement en voyant son visage détendu et ses yeux rieurs. Une fois calmé, il reporta son attention sur moi avec un regard attendrit… Je me pinçais les lèvres pour ne pas sourire timidement… C’est fou comme Noah pouvait me faire de l’effet. Son regard m’intimidait parfois, mais dans le bon sens du terme bien entendu. En même temps, mettez vous à ma place ! Il me manque, je l’aime, j’essaye de le cacher tant bien que mal, nous sommes très proches, il est très séduisant et ses yeux... Ses yeux me faisaient craquer et croyez moi, la personne qui peut y résister n’est pas humaine. « Tu sais quoi ? Je donnerais beaucoup pour te voir en train de faire une chose pareille ! » , Je lâchais un petit rire et lorsque je le vis se mordre la lèvre ainsi, mon sourire s’élargit… Ah je donnerais tout pour goûter de nouveau à ses lèvres… Bon, j’essayais de penser à autre chose, pour ne pas laisser mes pensées me déstabiliser sinon Noah risquait de se rendre compte que j’étais bizarre et… Enfin voilà, vous voyez ce que je veux dire ! Passons, je répondis, amusée « A ce point ?! Et bien si les choses ne bougent pas rapidement, tu vas pouvoir prendre ton pied en m’observant leur botter les fesses un par un ! Ce sera tellement violent qu’à la fin du supplice, tu n’arriveras même pas à compter les bleus sur leur fesses tellement ils seront nombreux... », Puis je regardais mes spartiates, qui certes, n’avaient pas de talon, mais pour mettre une fessée, c’était très efficace ! Ca leur couperait le souffle à coup sûr à ces débiles. J’ajoutais en riant légèrement « Enfin… Je ne pense pas que ce serait jouissif pour toi de voir leurs fesses, m’enfin, dans l’euphorie du moment, peut-être que… ».
Le temps commençait à se couvrir, et je râlais intérieurement… Puis Noah leva ma main et y déposa un tendre baiser. Je baissais la tête en me mordant la lèvre avant de la relever et de lui faire un joli sourire. « Heureusement que tu es là, tu sais ? Tu m’aides à ne pas perdre pied, parce que je pourrais vraiment être énervé actuellement. » . Je lui serrais doucement la main en gardant mon sourire radieux sur les lèvres « C’est à ça que servent les amis… Tu sais que je veux te voir souriant, et heureux, certainement pas énervé ni malheureux. Et tant je le pourrais, je serai toujours là pour toi ! ». A présent, j’imaginais comment les choses se passeraient entre nous s’il se mettait en couple avec quelqu’un… Honnêtement, j’adorerais me remettre avec lui mais j’essayais de ne pas me faire de faux espoirs, du coup, je pensais à cette possibilité : une nouvelle femme dans la vie de Noah. Ce serait certainement une bonne personne mais je doutais qu’elle accepte notre amitié car quand même, nous sommes un peu plus que de simples bons amis.. Puis comme nous sommes sortis deux ans ensemble, on ne peut pas avoir une relation normale en sortant d’une telle histoire… Alors parfois je me disais qu’elle essaierait de nous séparer ou autre… Du coup, je profitais de mon Noah, car comme il est Extraordinaire, il n’allait pas tarder à se recaser. Je lui souhaitais mais dans un sens… Non, je le voulais rien que pour moi. Quel égoïsme n’est-ce-pas ?! Je ne pense qu’à moi hein. Bah ouais, pour une fois ! . « Enfin, parlons de choses plus joyeuses, ça me changera un petit peu ! », Je fus « amusée » qu’il dise ceci, étant donné que je pensais à des choses qui ne me réjouissaient absolument pas. Je m’apprêtais à répondre lorsque mon téléphone sonna. Je jetais un coup d’œil et je vis un numéro inconnu. Je mettais le téléphone en vibreur, sans même prendre la peine de répondre ; j’étais persuadée que c’était soit ma mère, soit mon père. « Comment ça se passe à l’université ? », je reportais mon attention sur Noah afin de répondre simplement « Ca se passe plutôt bien, merci ! Je m’ennuie pas mal mais bon… Et t… ». Mon téléphone se remit à vibrer trois fois de suite, je me mis à lever les yeux au ciel et je répondis en m’excusant auprès de Noah, il fallait que je réponde pour voir si c’était bien mes parents « Allo ? Ah maman… Je peux te rappeler plus tard ?! (…) Bah je suis avec mon cop… un ami !! » dis-je en mettant ma main sur mon front, gênée par ce que j’avais failli dire. « (…) Ca va tu m’as pas dis bonjour non plus et j’en fais pas toute une histoire (…) Et en quoi ça me concerne ? Hein ? Non mais ça va p… (…) Mets-moi à la rue aussi… (…) T’es pas obligée de m’agresser tu sais. (…) Ouais c’est ça. Je fais attendre quelqu’un de plus important que toi, tu permets !? (…) Dommage, BYE ». Je raccrochais au nez de ma mère et je jetais mon téléphone sur la pelouse. J’avais été calme au téléphone alors que je me faisais agresser mais j’étais terriblement irritée. Je dis d’une petite voix en baissant la tête « Je suis désolée Noah… », je secouais la tête, les larmes aux yeux, enragée par cet appel… Je restais silencieuse quelques secondes avant de dire comme-ci de rien n’était, estimant qu’il en avait assez entendu et qu’il était hors de question de l’embêter plus longtemps « Oui donc, comment se passent les affaires ? » .
Le code règlement:
→ OKAY by k.
Est-il possible de me réserver Minka Kelly, svp ? :$
Dernière édition par Trish D. Sparkles-Brooks le Mar 22 Mai - 15:21, édité 9 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Dim 20 Mai - 21:31
Well... It's my story...
Camden, New-Jersey : Seconde ville la plus dangereuse des Etats-Unis, dans laquelle des meurtriers se déchaînent, des fous rôdent dans les parcs et près des habitations, des gangs règlent leurs comptes à coup de fusil en tirant sur des innocents et dans laquelle les trafics de drogue et d’armes est devenue une pratique qui ne surprend plus personne et qui est devenue naturelle. Pour vous, aller chercher du pain ou de la viande c’est naturel ? Et bien ici, acheter des flingues et de la drogue c’est aussi naturel que ça ! On est d’accord que personne ne devrait avoir d’enfants, et les élever dans un tel coupe gorge ?! Pourtant, c’est ce qui arrive… La preuve, c’est dans cette ville minable et dangereuse que je suis née et dans laquelle j’ai vécu de nombreuses années, sans une présence masculine rassurante.
« OH ! Mais pourquoi ? » - Bah tout simplement parce que Adam, mon père, est un sale lâche et qu’il a préféré s’en aller avec une pouf quelques jours après ma naissance. CA c’est un homme, un vrai ! Qui n’a pas peur des responsabilités… Quelle honte. Ma mère fut contrainte de m’élever seule et autant vous dire que c’était compliqué pour elle ; je faisais rarement mes nuits, du coup, elle était toujours entrain de me bercer et une fois endormie, elle me remettait au lit et à cause de quelques coups de feu ou de jeunes qui hurlaient non loin de ma rue, je me réveillais et c’était reparti pour un tour. Même lorsque je commençais à faire mes nuits en me réveillant au maximum deux fois, ma mère ne dormait que d’un œil car elle craignait pour notre sécurité. Il y avait des pros du cambriolage alors elle se méfiait. Puis en grandissant, c’était à moi de faire gaffe parce qu’elle se comportait comme ado attardée. Elle fricotait avec des cons, elle commençait à boire comme un trou… Ah bah dès que j’ai su me laver seule, dès qu’elle a vu que j’étais intelligente et que je savais me débrouiller seule, elle s’est lâchée l’autre !
Ca marchait comme ça a la maison : le matin, je me levais super tôt pour me préparer, prendre mon petit déjeuner, préparer celui de ma mère et aller jusqu’à l’arrêt de bus, parce que le bus scolaire ne passait pas dans mon coin. La cantine étant payante, et ma mère étant une grosse radine, elle préférait que je mange à la maison. Du coup, je devais rentrer le midi pour ensuite arriver affamée à la maison… Rien n’était prêt, ma mère était sur le canapé, dans les bras de son coup de cœur du moment. Alors je devais me faire un sandwich tout pourri et je devais repartir genre trente minutes après. Puis le soir, je devais faire mes devoirs toute seule, si je ne comprenais pas, je devais attendre le lendemain pour demander de l’aide, et du coup, je prenais un retard monstre. Sur mes bulletins, on trouvait des remarques du genre « gros potentiel mais s’isole trop ». En même temps, à la maison ma mère m’envoyait bouler sévèrement quand je voulais rester un peu avec elle, parce qu’elle préférait se vautrer dans son pieu avec un de ses coups de cœur du moment. Alors quand tu veux faire un câlin à ta mère et qu’elle te dit « Va dans ta chambre, tu m’emmerde », bah t’insiste pas. Elle m’a fait le coup une fois, deux fois, trois fois, et étant déjà gonflée par son comportement, je tentais plus ma chance, et à l’école, je faisais exactement pareil quand on refusait de passer du temps avec moi. Quand je tombais sur des sales mômes qui ne voulaient pas de moi, j’allais dans mon coin pour chialer un coup et je refusais de parler aux autres pendant super longtemps (n’importe quoi). Puis quand je me retrouvais seule au fond de la classe, j’étais bien. Après tout, en classe, on doit écouter, pas papoter ! (j’étais trop sage, laissez tomber quoi). Le seul truc que ma mère faisait, c’était jouer la comédie aux réunions de parents d’élèves. Elle faisait style « je suis une bonne mère, je fais tout ce qu’il faut pour aider ma fille » et quand on lui foutait mon bulletin de notes dans la face elle justifiait mon comportement et mes notes en sortant des trucs stupides du genre « Oui mais vous comprenez, elle grandit sans père et elle se pose beaucoup de questions… » et bla bla bla. Ahah, ils ne s’imaginaient pas à l’école que je savais tout, et que je ne me posais aucunes questions. Honnêtement, j’en avais rien à péter de mon père. Il n’était pas là, et j’avais déjà le bon réflexe de ne pas me préoccuper des gens absents, surtout des salauds comme lui. Ouais, ma mère m’avait expliqué très tôt que mon père s’était barré pour aller vivre avec sa maîtresse et tout ça. Un enfant ne comprend pas ce que c’est une maitresse, c’est ce que vous vous dites. Bah vous avez raison ! Moi je me disais que ouais, c’était la même que la morue qui me cassait les pieds à l’école, cool… Puis non, pas du tout ! Elle m’avait brièvement expliquée ce que c’était une maitresse et tout. J’étais jeune et pourtant, je détestais les hommes parce qu’ils faisaient sans cesse souffrir ma mère.
Elle me disait sans cesse, après avoir rompu avec un de ses copains, que les hommes étaient des enfoirés et tout ça… C’était ma mère donc je la croyais… Puis j’ai eut la preuve de ce qu’elle affirmait lors de ma douzième année. Ma mère Amanda changeait de copain très souvent et franchement, ça me dérangeait parce que voir des hommes, des inconnus défiler chez moi, ça me faisait flipper ! Surtout que ma mère ramenait toujours des types bizarres alors voilà quoi. Je ne comprenais pas pourquoi elle voulait absolument être en couple… Ca servait à rien ! Surtout que dès qu’ils se séparaient, elle s’enfonçait un max et c’était à moi de lui remonter le moral. Bon, elle en a tellement eut que j’ai numéroté ses compagnons… Mais la numérotation est douteuse parce que je n’ai pas vu tous les hommes qui sont passés sur ma mère (encore heureux sinon j’aurai été choquée). Comme ce que je vais raconter s’est passé quand j’avais douze ans, son mec de l’époque, je vais l’appeler « Numéro 12 ». Alors Numéro 12 c’est le mec le plus flippant que ma mère a ramené à la maison. Il faisait surement un peu plus de… Hum… 1m95 je pense. Il était bien foutu, il avait de grands yeux verts, pleins de tatouages, des cheveux bruns mi-longs, qu’il coiffait juste en passant sa main dedans… Franchement, il était grave canon ce mec mais quand t’as douze ans et que tu vois ce géant tatoué de partout, tu flippe ta mère. A part ça, vous vous demandez pourquoi c’est le mec le plus flippant que j’ai jamais vu ?! Bah tout simplement parce que c’était un dealer de drogue très réputé dans le coin, et il avait déjà tué des gens. Alors si ça vous fait pas flipper, vous êtes bizarres. M’enfin, là il est question de moi, pas de vous, donc je continue. Ma mère a passé un an avec Numéro 12, et tout allait bien entre eux. Ils s’aimaient et il commençait à gagner ma confiance. Il s’occupait de moi ; il me faisait à manger, chose que ma mère ne faisait pas, il essayait de m’aider à faire mes devoirs, puis il m’offrait quelques bricoles grâce à l’argent sale qu’il se faisait en vendant sa drogue. J’étais super contente, j’avais enfin un pseudo père et même si j’avais peur de lui, je l’aimais bien. Mais leur relation prit fin à cause de l’alcool. Ma mère avait prit l’habitude de picoler un max avec lui le soir et du coup, ils étaient souvent bourrés. Et ça partait en sucette, mais à un point… Et donc après un an de relation sans nuages, ni rien, ils ont tout arrêté. Un soir, alors que je rentrais de l’école, ma mère n’était pas là. Elle m’avait laissé un mot sur le frigo « Epicerie, Alcool. A tout à l’heure ». J’avais l’habitude, alors j’avais prit mon goûter avant de m’enfermer dans ma chambre pour travailler. Puis un peu plus tard, on frappait à la porte de ma chambre. J’allais ouvrir et qui je vis ?! Numéro 12, encore plus flippant que d’habitude. Je me sentais super mal de le voir entrer dans ma chambre comme ça. Il avait refermé la porte derrière lui, à clef avant de me pousser sur le lit… Pour la suite, vous avez deviné, pas besoin de vous faire un dessin.
Après cet évènement, il m’a dit que si je disais quoi que ce soit, je passerais un sale quart d’heure. Mais moi, les menaces, ça me faisait pas peur puis j’étais tellement choquée que j’étais obligée de le dire à ma mère. Cette idiote ne m’a même pas crut, et c’est à partir de ce jour que le quotidien à la maison devint limite un enfer. Elle devenait une véritable épave : elle refusait de se bouger, elle pensait toujours au Numéro 12 et elle picolait comme une folle. On se disputait tout le temps parce qu’elle me reprochait de ne pas m’intéresser à ses confidences stupides. En même temps, je me démerde depuis petite, elle s’est tapée je ne sais combien d’hommes au lieu de m’aider à faire mes devoirs, elle boit comme un trou, elle ne me croit même pas quand je lui raconte que j’ai été violée par son connard de Numéro 12 et c’est moi la méchante ?! Bah oui, bien sur ! Du coup, quand elle me parlait de lui, je quittais la pièce. Et le pire, c’est qu’elle me demandait sans cesse pourquoi je ne l’aimais pas alors qu’il avait été si gentil avec moi… Elle avait vraiment la mémoire courte celle-là, je lui avais dit ce qui s’était passé mais visiblement, elle s’en tapait mais à un tel point qu’elle ne s’en rappelait même plus. Tant pis hein.
Ah, enfin ! Le moment tant attendu : les années lycées. C’est durant cette période que j’ai eut les plus grosses embrouilles avec ma mère et que j’ai pété un câble. Ma mère devenait de plus en plus insupportable. C’était une alcoolique, qui refusait d’aller en cure de désintox. Elle se laissait aller, elle ne foutait plus rien, elle restait allongée toute la journée avec ses bouteilles près d’elle, elle prenait des antidépresseurs en plus de ça, elle était désagréable, elle me gueulait sans cesse dessus… Et moi, je trainais avec des petits cons et des poufs. Je sortais tout le temps et grâce au frère d’un pote, on arrivait à se procurer de l’alcool pour se saouler parce que « c’est trop marrant ». On fumait des joints avant d’aller en cours, on arrivait complètement stone en cours, on envoyait bouler les profs, on ne foutait rien, on séchait… ‘Fin le gros kiff quoi. Et ma mère, qui recevait les courriers du lycée, me passait un savon quand je rentrais à la maison –chose rare, puisque je passais ma vie chez mes amis– mais franchement je m’en fichais parce que pour moi, elle n’était qu’un fardeau, une personne inutile qui ne faisait que me hurler dessus et me jeter tout ce qui lui passait sous la main quand je lui disais que je ne pouvais pas lui acheter de l’alcool parce que je n’avais pas l’âge –alors que je me bourrais la gueule tous les jeudi avec mes potes de seize ans, mais bon–. Malgré le fait que je n’étais pas très sérieuse, je réussissais à avoir la moyenne partout ; faut dire que j’ai toujours eut des facilités sur le plan scolaire et heureusement parce que si c’est pour finir comme ma mère, merci bien. Comme je savais que je n’aurais pas de problème pour rattraper les cours que je manquais un max… Je déconnais totalement et même les soirs de semaine j’allais faire la fête chez des potes jusqu’à pas d’heures… D’ailleurs, durant une de ces soirées, j’ai eut la connerie de goûter à quelques drogues, dont la cocaïne et j’ai regretté mais à un tel point, vous n’imaginez même pas. Quelques jours après la fameuse soirée, j’ai eut une envie terrible de reprendre de la drogue et j’ai été ultra malade, à tel point que j’enchaînais joints sur joints histoire de ne pas craquer. J’ai loupé quelques jours de cours à cause de cette envie, que j’ai réussi à combattre. Olala j’imaginais déjà le tableau : une mère alcoolo, et sa fille droguée… Super le portrait de « famille » quoi. Au début de mes années lycée, j’ai eut un copain, Doug qui m’a quitté après seulement deux mois de relation, juste parce que je refusais de coucher avec ; ouais excuse moi mec, j’ai été violée à douze ans, j’ai un peu les boules tu vois. Alors, j’ai préféré rester célibataire puisque de toute façon, je ne me voyais pas en couple aussi jeune ; être enchainé à quelqu’un, c’est pas avant trente piges ! et encore…
Le jour de mes dix-huit ans, je m’étais disputée avec ma mère, encore une fois oui, mais cette fois, c’était parce que j’en avais vraiment marre de la voir pleurer sur le divan et vider je ne sais combien de bouteilles. Même si je ne l’aimais pas comme une fille devrait aimer sa mère, je ne pouvais pas la laisser comme ça. Je me disais « imagine elle meurt, et t’a rien fait pour l’aider… Tu vas culpabiliser toute ta vie ! ». Du coup, voici ce que je lui avais dit en lui descendant une grosse valise « OK l’épave, maintenant tu te bouge le cul. Pour mon anniversaire, tu vas me faire plaisir, tu vas en désintox. J’en ai marre de te voir comme ça. Tu vas réussir à me dégoûter de l’alcool si tu continue ». Et elle m’avait répondu « A qui tu parle merdeuse ?! Occupe toi de tes affaires, j’ai pas à te faire plaisir, tu m’as assez gâché la vie pour me donner des ordres hein ». Bon, je l’avais insultée, voilà, je le dis. J’avais été outrée par le « tu m’as assez gâché la vie », alors que j’avais été trop sympa et je m’étais effacée pour la laisser vivre sa vie de merde. Suite à ceci, elle s’était levée, et m’avait giflée d’une force… A vrai dire, j’étais tombé et je m’étais ouvert la tempe suite à une mauvaise chute, sur le coin de la table. D’ailleurs, aujourd’hui, j’ai toujours une petite cicatrice sur la tempe gauche… Après, elle m’a frappée, m’a insultée et m’a foutue à la rue. Alors, je suis partie vivre chez un pote, qui avait des parents trop adorables. Deux mois après cette grosse dispute, j’avais décidé de rentrer pour m’excuser et parler calmement avec ma mère. Mais malheureusement, en rentrant, je la vis inconsciente, allongée par terre, près de deux bouteilles de whisky et deux boites d’antidépresseurs. Les médecins n’ont pas pu la sauver. Oui, j’ai culpabilisé mais ce n’était pas de ma faute tout ça, c’était de sa faute si on s’était disputées… Je voulais l’aider et elle m’a foutue à la porte alors je n’allais certainement pas me tailler les veines pour autant.
A son enterrement, je vis pour la première fois mes grands-parents maternels, qui étaient venu de Los Angeles pour enterrer leur fille, avec qui les relations étaient tendues depuis qu’elle était partie vivre à Camden avec mon père. Ils m’ont ensuite proposé de venir vivre chez eux… N’en pouvant plus de Camden, j’avais accepté. Tant pis pour mes amis, je m’en ferais d’autres hein. Et waw, quand on a vécu dix-huit ans dans une petite maison sombre et qu’on arrive dans une villa sublime et lumineuse, on se sent presque renaître. J’étais heureuse avec mes grands-parents, cependant, j’avais du mal à apprécier les nouvelles personnes avec qui j’allais en cours. Je ne me sentais pas à l’aise, et je ne trouvais pas que je pouvais leur faire confiance comme je faisais confiance à mes potes du New-Jersey. Mais c’était avant de rencontrer mon cousin Tyler, de deux ans mon aîné. Un type extraordinaire, mon frère de cœur, le seul a qui je pouvais tout dire… Une relation très forte nous liait, tellement forte que j’avais trouvé la force de me libérer d’un poids énorme : j’avais réussi à lui raconter l’horrible soirée de mon viol, chose que je n’avais racontée à personne, bien entendu. Il m’avait aidé à ne plus me sentir honteuse, et coupable de cet affreux geste et j’en avais bien besoin. Après le lycée donc, j’avais intégré la même université que lui, pour étudier la même chose que lui : la kinésithérapie. Après des années à ne rien faire, j’avais eut du mal à m’y mettre. Le rythme était intense, j’avais beaucoup de travail et je ne pouvais pas me permettre d’improviser. Heureusement, Tyler vivait avec moi, du coup, il m’aidait à travailler et à apprendre correctement tous mes cours.
A 26 ans, Tyler fit une attaque et me quitta… Je fus réellement abattue par sa mort. Celle de ma mère ne m’avait même pas autant fait pleurée. Suite à son décès, j’avais envie de tout arrêter, de me laisser crever pour le rejoindre… Puis après une longue conversation avec ma grand-mère, je m’étais rendue compte que j’avais « de la chance » d’être en vie, et que pour mon cousin, je devais continuer. Notre projet, c’était d’ouvrir un cabinet sur New-York et de tout déchirer… Alors, malgré mon immense tristesse et ma dépression qui suivit son décès, je bossais à fond. Je ne faisais que travailler : je faisais un tas de stages, je bossais sans cesse… Je ne pensais plus qu’à ça, je me réfugiais dans mes études car je savais que ça comptait énormément pour Tyler et je ne voulais pas le décevoir, parce que je savais qu’il aurait adoré arriver au bout de ses études, et avoir la chance de commencer à exercer le métier de kiné. J’obtenais mon diplôme en juin, cinq mois après sa disparition. Suite à ceci, je pris mon envol… J’allais désormais quitter mes chers grands-parents, qui eux, pétaient encore la forme ; tant mieux d’ailleurs parce que je ne me voyais pas enterrer quelqu’un d’autre avant plusieurs années. Goodbye California, Hello New York…
Cela fait maintenant deux ans que je suis à New York. La Californie me manque, ainsi que mes grands-parents. Je n’arrive pas à profiter de mon métier de kiné, je n’y arrive pas, je pense trop à mon cousin à chaque fois que je m’occupe d’un patient… Je ne sais plus quoi faire…
Dernière édition par Trish D. Sparkles-Brooks le Mar 22 Mai - 3:49, édité 2 fois
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Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Dim 20 Mai - 21:32
Une Minka, ça faisait longtemps tiens. Bienvenue parmi nous.
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Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Dim 20 Mai - 21:35
Kelly Bienvenuuuuuue x)
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Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Dim 20 Mai - 21:36
non mais toi alors bienvenue ici si tu as des questions n'hésite surtout pas & bon courage pour ta fiche en ce qui concerne la réservation je te réserve donc m.kelly pour trois jours, j'édite ton code du règlement qui est bon en attendant !
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Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Dim 20 Mai - 21:37
Aie aie aie :brigitte:
Bienvenue aux states et bon courage à toi
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Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Dim 20 Mai - 21:47
Bienvenue parmi nous & Bon courage pour ta fiche
Cheyenne L. Pearson
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if you're going through hell, KEEP GOING.
▌INSCRIT LE : 14/01/2012
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Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Dim 20 Mai - 21:49
Minka Bienvenue !
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Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Dim 20 Mai - 21:59
Bienvenue parmi nous N'hésite pas si tu as besoin
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Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Dim 20 Mai - 23:03
Welcome,
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Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Dim 20 Mai - 23:12
Minka Bienvenue
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Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Dim 20 Mai - 23:29
Oulalala Julian, me gusta
Merci à touuus :brigitte:
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Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Lun 21 Mai - 0:37
Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Lun 21 Mai - 1:02
Bienvenue sur le forum.
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Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Lun 21 Mai - 2:18
MINKA Bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche
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Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Lun 21 Mai - 3:35
Merci de mettre le nom de ta célébrité dans la case sous ton titre s'il te plait
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Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Lun 21 Mai - 15:03
Bienvenuue J'adore ton titre & bon courage pour ta fiche !
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Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Lun 21 Mai - 16:49
Welcome miss & bon courage pour la fiche!
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Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Lun 21 Mai - 18:14
Oksana - Sorry, il s'est effacé sans que je le vois =$
Ahah Jona' ! Merci les filles
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Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Lun 21 Mai - 19:30
Kelly Bienvenue
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Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Lun 21 Mai - 19:48
Awww Kutcher Merciii
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Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Lun 21 Mai - 22:16
Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Mar 22 Mai - 17:17
WELCOME.
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Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Mar 22 Mai - 17:21
CAAAM *o* Mercii =D
Tiens, tiens ! Merci bien
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Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci. Mar 22 Mai - 20:44
Validée !
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Sujet: Re: Trish ☼ Recule, tu bave sur mes escarpins. Merci.