Il était une fois « La rencontre des parents d’Alessandra fût atypique, rien n’était tiré d’un compte de fée où tout le monde est beau ou tout le monde est gentil. En effet rien ne laissait présager que les deux tourtereaux allaient se lier d’affection. Il existait une vigoureuse alchimie entre eux, certes, ils jouaient constamment au chat et à la souris, sans aucun doute. Néanmoins, tous les sujets de conversations menaient à la dispute. Cela dit, les opposés s’attirent, autant les qualités que les défauts qui leurs étaient propres, attisaient une certaine curiosité chez les protagonistes. Intrigué par l’inconnu, charmé d’un caractère imposant, de pas à pas, de jour en jour, ses parents s’attachaient à un futur orné de querelles et de passions. Un événement ébranla le couple, une tragédie les unis envers et contre tout. Giuseppe Amaro, le père d’Alessandra, appris qu’il était atteint d’un cancer malin. A l’annonce de cette nouvelle Agata Pesce Amaro eut l’impression de recevoir un coup de poing dans la poitrine. Dans son esprit surgirent des images. De sales images. Elle savait bien que cette relation était vouée à l’échec, non un échec sentimental, mais la vie leur jouait un tour. Un sale tour. Il était heurté par une infection virulente qui se déplaçait par tout le corps, s’y cachant du dehors pendant des années, puis en rompt soudain la peau pour rappeler à tous combien elle est laide cette maladie. Comme une douce mélodie qui apaise les esprits effrontés, le jeune couple précipita les choses. Un mariage après l’annonce de la maladie, et la naissance d’Alessandra le 21 juin 1981. » (c) tears buried.

WELCOME TO THE JUNGLE « La jeunesse d’Alessandra à été bercée par la maladie de son père, ça n’a pas été tous les jours commode à vivre. Une atmosphère d’inquiétude, voire d’incertitude planait au-dessus de leur foyer. La jeune fille c’était rendue compte très rapidement de l’ampleur de la maladie de son paternel. Afin de lui épargner cette situation plus qu’étouffante, ses parents prirent la décision de l’envoyer dans une école « Italophone » à New-York ; peut-être pas la plus prestigieuse, mais néanmoins ça reste une école respectable. Depuis quelque temps Alessandra troquait son temps consacré aux devoirs pour s’occuper de son père. Constamment à son chevet, à remuer ciel et terre pour contribuer à son bonheur et à son confort. Ses parents pensaient évidemment bien faire en l’expédiant à « The Big Apple ». Par contre, dès son arrivée se fût la décadence. Loin de ses proches, loin de la terre natale qui l’a vu naître et loin de toutes les interdictions et contraintes auxquelles elle était confrontée auparavant, la jeune femme, âgée seulement de quinze ans, sombra dans une dépression qui l’amenai à l’excès. D’un caractère naïf, la demoiselle fit confiance à des personnes dépourvus d’humilités, qui ne voyaient que l’intérêt de la fréquenter. Première goutte d’alcool, premier joins consumé, première relation sexuelle et tout ce qui s’en suit. Une période relativement néfaste pour elle. Mais fort heureusement, comme un ange qui déploie ses ailes pour l’envelopper dans le droit de chemin, la jeune femme croisa son destin sur le chemin. Un jeune homme aux allures athlétiques sans histoires. Une rencontre utopique, un regard pour un coup de foudre. Doucement comme une abeille qui se pose sur une fleure pour butiner, les jeunes gens apprirent à se connaître. Enfantins furent les premiers instants passés ensemble. Les deux chicanaient et se taquinaient perpétuellement. Le jeune homme fit renaître Alessandra. Il a su l’apprivoiser, l’apaiser et surtout l’apprécier à sa juste valeur. Un flottement de bonheur planait au dessus de leur tête, jusqu’à ce que le téléphone de la jeune femme sonne. » (c) tears buried.

PLEASE DON'T LEAVE ME « Alessandra dormait paisiblement ou presque. Noire était la mer sur laquelle elle flottait, et sans étoiles le ciel au-dessus d’elle. Elle ne voyait, ni n’entendait rien. L’instant était parfaitement noir, noir comme les ténèbres, puis elle ouvrit les yeux et quitta son rêve doucement. Et, elle contempla le plafond. Ecouta le vent dehors et entendit les branches du chêne gratter contre la fenêtre. Se demanda si c’étaient ses grattements contre la vitre ou quelconque autres bruits dans la maison qui l’avaient réveillée. Son portable sonna. Elle en fût tout étonnée. Précipitamment, elle tendit la main vers la table de nuit. Approcha l’appareil de son oreille et répondit d’une voix parfaitement alerte où ne subsistait pas la moindre trace de sommeil. Sa mère au téléphone. La jeune femme compris tout de suite que ce n’était pas un appel anodin. Sept ans qu’elle avait quittée sa terre natale et qu’elle voyait ses parents uniquement lors des vacances. Subtilement, sa mère lui annonça le décès de son père. A ce moment-là, la demoiselle eut l’impression de se prendre une grosse claque dans la figure. Alessandra se mit assise sur son lit et posa les pieds à terre. Elle porta sa main libre à son ventre. Cet appel, elle l’attendait tous les soirs. Tous les soirs elle s’endormait avec son téléphone prêt de l’oreille. Un appel qui fait mal. La demoiselle effondrée, pris le volant pour se rendre au plus vite à l’aéroport le plus proche. Son anxiété l’encouragea à ne plus prêter attention aux feux rouges, aux panneaux stop et tout ce qui s’en suit. Son manque d’inattention l’a rattrapait. Une voiture déboulait en face d’elle, les phares de ce véhicule lui éblouissaient les yeux. Par reflexe, la jeune femme braqua le volant afin d’éviter de la percuter de plein fouet. Elle parti en tête à queue. Dans la précipitation, elle n’avait pas mise la ceinture. Le premier véhicule fût évité, mais la voiture qui l’a précédait roulait à vive allure. En une fraction de seconde cette dernière se fit tamponner. Un choc violant, qui la propulsai à travers le pare-brise. Les secours la transportèrent rapidement aux urgences. Alessandra sombra dans un coma. Un coma qui dura un peu plus de deux semaines. Par chance, ses organes vitaux n’ont guères étés touchés. Néanmoins, la jeune femme devint amnésique. Elle n’avait pour souvenir que son enfance. Ironie du sort, elle ne se souvint plus du décès de son père. Pendant son séjour à l’hôpital, l’homme qu’elle avait aimé auparavant lui rendit visite, seulement, son visage lui était inconnu. L’homme s’accrochait tout de même à elle, dans l’espoir qu’un jour tout redeviendra comme avant. » (c) tears buried.

PRÉLUDE « Les coudes sur la rambarde, elle resta longtemps sur sa terrasse à tenter en vint de se rappeler de son passé avec le jeune homme. Qu’elle ressorte les photos ou pas, pour elle, il n’en était rien, jamais elle ne le reverra. Elle éprouvait un sentiment vide. Elle avait l’impression qu’on l’avait privée de quelque chose de bon avant même qu’elle puisse vraiment savoir à quel point ça pourrait l’être. Alessandra essayait de chasser cet homme de son esprit pendant un instant. Elle scrutait la ville dans le lointain et la trouvait magnifique. Les pluies avaient délavé le ciel et elle pouvait voir jusqu’au building du quartier d’affaire de New-York. L’air paraissait aussi pur et propre que celui qu’avaient dû respirer Christophe Colomb, il y avait bien des années de cela. Enfin la jeune femme voyait ce qu’il avait trouvé à ces lieux. Ce jour-là était de ceux sur lesquels on se sent capable de bâtir un avenir. » (c) tears buried.

my little secret

★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Ga' / 19 ans et toutes mes dents ahah.
★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → En fouillant sur le net..
★Ce personnage est-il un double compte ? → Non.
★Présence sur le forum → du lundi au vendredi.
★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé.

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