FEAT. RICK GENEST

Matthew Jack HAWTHORNE

25 ans → Né au New Jersey le 31/10/1986 → Vagabond
célibataire → hétérosexuel → membre des rebels.

And who am i ?

★Quels sont tes caractéristiques?
→ Tout d'abord, je pense que les gens remarquent mon physique, quoi que peut discret, il s'avère aussi plutôt provocant. Il est sans doute très rare de voir quelqu'un d'aussi tatouer que moi, même pour les habitants de New York. Je n'aime pas beaucoup parler de moi-même, mais voilà ... J'ai eut mon premier tatouage à l'âge de 16 ans, c'était une sorte de rébellion contre mes parents qui refusait que je me tattoo, comme je n'aime pas vraiment suivre les règles ... D'ailleurs, je n'ai jamais vraiment été quelqu'un d'obéissant, mes parents avait beaucoup de difficulté avec moi. Voilà sans doute LE caractéristique qui me décrit et me dévoile le plus ... Les tatouages. Ensuite, j'ai plusieurs piercing beaucoup moins frappant que mes tatouages, mais tout de même. J'ai un piercing entre les yeux sur l'os du nez, ensuite dans l'arcade du nez. J'ai aussi un mamelon -selon de gauche- de percé, mais cela ne soit pas vraiment. Un autre de mes caractéristiques serait mon style vestimentaire, je porte beaucoup de veste de jean avec des ''stodes'', des bottes d'armée et des pantalons mi-jambe. J'aime beaucoup les jeans foncés, les chandails blanc et les vestes de cuir. J'ai mon style bien a moi, si jamais vous me croisez dans la rue, il est fort probable que vous allez me reconnaitre. -Ha,ha,ha.- Bref, à part mes nombreux tatouage, mes piercings et mon style vestimentaire douteux -pour certain-. Je dirai que j'ai une façon de pensée bien à moi ... Sarcastique, sombre parfois. Quand je parle, sois dit en passant, parce que la sociabilité ne figure pas dans mes qualités générales. Les gens me disent souvent que j'ai une voix particulière, grave, sombre et très attirante, mais étrange. Je ne sais pas, j'imagine qu'ont ne s’entend pas parler de la même façon que ceux avec qui l'ont tient la discussion. Ils disent aussi que je sens bon, mais je sais aussi que je n'ai pas l'air de sentir bon.

★Quel est le caractère de ton personnage?
→ Well ... Vous voulez que je commence par quoi ? Le bon où le mauvais ? Commençons par le mauvais, comme ça je n'aurais pas l'air d'un fou maniaque déséquilibré à la tout fin. Vous garderez peut-être une meilleure image de moi, n'est-ce pas ? Je ne suis pas si mal que ça ... J'ai eut quelques problèmes par le passé, ils ne sont pas entièrement régler, je vous l'accorde, mais dans le fond, comment juge-t-on une livre ? Par la couverture !?!

Sarcastique est sans doute, mon défaut le plus grand. Je trouve toujours le côté sombre en chaque chose, le mauvais côté et j'arrive toujours à le remettre en surface, j'adore faire du sarcasme. Les gens me prennent souvent au sérieux, mais c'est ma façon d'être, ne le prenez pas mal, quoi que j'm'en fou un peu. C'est vous les pires ... N'est-ce pas ? Je suis un être assez impulsif, d'ailleurs vous l'aurez compris en regardant mon physique ? Je n'ai pas tout à fait réfléchis quand je me suis lancé dans ce projet, mais je dois dire que je suis surpris et admiratif devant le résultat. Ce qui n'est, certes, pas le cas de tout le monde. Oui, j'ai parfois la testostérone bien enfoncé, je me bats assez facilement. Il ne faut pas me chercher, j'aime me battre d'ailleurs. J'aime pousser mes limites, j'aime défier les autres, mes amis savent très bien comment je fonctionne. Les gens me décrivent comme dangereux !?! J'ai envie de dire; WTF ? Certaines personnes disent cela à cause de mon apparence, peut-être ont-ils peur ? D'autres, mes amis, croient que je suis une bombe a retardement. Oui, j'avoue que mentalement il m'arrive de ne pas être tout à fait équilibré. J'ai parfois des idées sombres, de décapitation à la limite du succube. Je me marre devant les films d'horreur où l'ont voit les tripes et le cerveau giclé sur les murs. J'ai déjà manier des armes et sachez que je sais très bien comment appuyer sur la gâchette. -Mon histoire le prouvera-. Mais, je vous le demande, suis-je dangereux pour autant ? Solitaire, personnellement je ne considère pas cela comme un défaut, mais de nos jours il semble que cela en soit un. Alors, je suis un solitaire dans l'âme, je n'es besoin de personne pour vivre -sauf peut-être mon chien Goliath- j'aime être dans ma bulle, faire ce qui me plait quand il me le plait. N'avoir aucun regret ne pas avoir à dépendre de quelqu'un et surtout baiser sans lendemain, sans promesse, sans futur. Il m'arrive parfois d'avoir des tendances manipulatrices, je sais comment jouer avec les gens, il m'arrive d'avoir envie de le faire, où carrément de le faire. Mais j'essaye de ne plus utilisé cette fonction de moi, j'essaye d'être meilleur, non !?! Je suis un peu paresseux, il faut l'avouer, bien que j'ai un petit appartement minable et minuscule, le ménage n'est pas ma priorité. Je n'ai pas que cela à faire et d'ailleurs, personne ne vient jamais chez moi, pourquoi faire le ménage dans ce cas ? Je suis assez désorganisé, ce qui va sans doute avec mon côté paresseux qui ne range rien, pourtant -sans savoir moi-même comment je fais- j'arrive à me retrouver dans mon bordel. Fou, je n'osais pas trop en parler, en faite je passe souvent cela sous silence parce que ... Cela fait fuir les gens, je trouve cela marrant de les voir fuir de cette façon. Bref, fou est un de mes défauts, reliant un peu les caractéristiques de dangereux, j'ai des moments d'absence, des moments de folie passagèrent parfois créer par un douloureux souvenir, parfois juste parce que je réfléchis. Il m'arrive de voir complètement noir et d'avoir une seule envie m'enfoncé l'arme -caché dans le troisième tiroir de mon bureau- dans la gorge et appuyer sur la détente. Quand l'attaque ne se tourne pas vers moi, elle se tourne vers les autres et je ne sais pas jusqu'où je pourrais me rendre. Peut-être que je violerai quelqu'un, là dans une ruelle, attaché contre les barreaux métallique, le corps tremblant de peur, ou bien je pourrais juste tuer quelqu'un, caché dans un ruelle. Je suis fou, fou je vous dit. Je m'arrête la avec mes défauts parce que vous risquez de vous sauvez en courant vous aussi. Passons plutôt au bon côté de ma personnalité ...

Confiant, bien que les gens aient tendance à me regarder comme si j'étais un monstre de foire, j'ai confiance en moi. Je n'ai pas peur de foncé dans la vie, je n'ai absolument aucun regret quant a l'apparence que j'ai aujourd'hui. Il faut dire que je marche la tête plutôt haute dans la rue (sans être un gamin prétentieux) je regarde les autres dans les yeux et rigole de leur réaction quand il me font face. C'est marrant à quel point les gens ne sont pas ouvert d'esprit de nos jours, ce ne sont que quelques tatouages et quelques piercings après tout. Je suis honnête envers tout le monde à niveau égal, je veux dire. Je n'aime mentir, je n'aimerai pas que quelqu'un fasse la même chose à mon égard, alors je suis toujours tout à fait honnête. Parfois, je dirai même direct, franc et froid. (C'est supposé ce trouver dans les défauts ça non ?) Je ne passe pas par quatre chemin pour dire ce que je pense. Intelligent est un autre de mes qualités, je ne dirai pas que je suis un Einstein, mais je suis rusé et assez cultivé pour quelqu'un de mon milieu. Ouvert d'esprit, j'adore découvrir de nouvelle chose, de nouveau milieu et j'admire ceux qui le font. Je n'ai pas peur des nouvelles choses, d'un tout nouveau genre. Je suis audacieux et ces sans doute l'une de mes qualités préférés, je n'ai pas peur d'essayer de nouveau truc, quand ont me lance un défi il est rare que je refuse. J'aime expérimenté de toute nouvelle chose, je n'ai pas peur de l'inconnu il faut vivre sa vie à fond car ont ne vie qu'une fois. En faite, voilà ce que je suis.

Well... It's my story...

Je n'avais que 12 ans et je faisais le diable à mes parents. Ils y ont pensée ... À m'envoyer dans un centre de ré-éducation, où dans un école militaire, d'ailleurs je ne sais pas pourquoi il ne l'ont pas fait. J'aurai certainement été mieux là-bas, loin de toute leur guerre, leur chicane, leur cri et leur coup. Déjà à 12 ans, je n'allais plus en cours ! À quoi bon ... J'avais peine à me concentré, plus rien n'avait d'importance, je ne dormais quasiment jamais la nuit parce que mes parents s'engueulait dans le salon sous ma chambre. Quand je n'entendais pas ma mère hurler de douleur, je l'entendais jouir comme une malade. J'étais vraiment confus sur ce qu'étais l'amour de nos jours. Bref, l'école n'était pas une chose importante pour moi, il m'étais impossible de me faire des amis d'ailleurs, pour la simple et bonne raison que je n'en voulais pas. Parce qu'une fois qu'ont a des amis, il faut toujours être ensemble, jouer ensemble et dès que tu fausses présence, ils ont fâchés. Trop d’ennuis, trop d'emmerde. Je préférais passer les journées à me balader dans les rues du New Jersey. Faire des grafettis sur les murs, lancés des ampoules sur les voitures qui passaient dans les rues, bref faire le voyou. Tout les jours, c'est ce que je faisais, je m'attirais des ennuis, puis je les fuyais. Nombreuses fois, mes parents ont du venir me chercher au poste de police. Je n'avais jamais très envie de rentrer à la maison, parce que lorsque mes parents n'étaient pas fâchés l'un contre l'autre c'était contre moi et il m'arrivait parfois de subir des coups. J'ai toujours préféré ma mère à mon père, d'abord parce qu'elle frappait moins fort, mais aussi parce qu'elle me voyait pas comme le faisait mon père. Je n'avais pas une très bonne relation avec mes parents, mais ma mère je l'aimais.

J'avais environs treize ans quand c'est arrivé, je rentrais d'une journée d'école, à laquelle je n'avais pas assister, et de dehors je les entendais s'engueuler, encore. Je n'avais pas très envie de rentrer tout de suite, dans quelques secondes la colère de mon père descendrait d'un cran. Assis dans le banc de neige dehors, j'attendais patiemment, puis BANNNG! Le son me rappelait étrangement quelque chose, fort, sourd ... Un coup de fusil. En entrant à l'intérieur j’aperçus mon père un couteau de cuisine planté dans la cuisse, la bouche en sang, il était adossé au armoire de cuisine. Mon regard filait sur le plancher tâchés de sang, il y avait du sang partout. J’aperçus ma mère gisant sans vie sur le sol, le fusil à quelque centimètre de son corps. Je le saisit, sans réfléchir, je m'avançais vers mon père pointa l'arme sur lui. La haine qui ce lisait dans mes yeux devait trahir tout l'amour que je portais à ma mère, il eut peur.

-Ce n'est pas ce que tu crois, c'est un accident!
-T'es un salaud et tu mérites juste de crever au bout de ton sang. Tu as tué ma mère enfoirée, t'es aller trop loin.

Mes mains tremblait, la rage en moi essayait de ce contrôler, mais au fond je savais que je n'y arriverais pas. J'étais perdu, je voyais noir.

-Je veux voir ton cerveau gicler sur les murs, je veux que tu souffre comme tu l'as fait souffrir, je veux que tu me supplies de te tuer tellement tu auras mal.

Les paroles sortaient toutes seules. Sans dévier l'arme pointé sur son front, j'empoigna le couteau planté dans sa cuisse et le tourna rapidement avant de le retirer et de recevoir du sang sur le visage. Son sang. Je me souviens l'avoir torturé pendant près de trois heures, puis;

-Meurs, meurs et souhaite que je ne te recroise jamais dans une autre vie sinon je me ferai un plaisir de t'écorché vivant.

À ce moment j'ai appuyer sur la gâchette, son cerveau à gicler sur les murs, les armoires et les meubles dans les environs. J'ai rigolé, si fort et d'une façon si machiavélique que je me suis fait peur moi-même. Je fuis donc la maison familial qui n'en n'avait jamais vraiment été une. Je ne savais pas où j'irai ... Un gamin de treize ans, des idées sombre plein la tête, et à peine vingt dollars en poche, en plein milieu du mois de janvier. Qu'aurait-il pu arriver de pire ? J'ai donc prit quelque effet personnel, un sac a dos, j'ai volé l'argent que mon père avait et je suis parti. Loin de chez moi, loin du New Jersey. Je n'avais vraiment aucune destination prévu, les gens auraient sans doute tôt fait de ce demander ce qu'un gamin de mon âge faisait tout seul dans les rues. Peut m'importait, je n'avais qu'une idée, une seule, mettre le plus de distance entre moi et cette maison. J'ai conservé l'arme aussi, peut-être par peur de me faire prendre, j'aurai risqué quoi ? Un centre de ré-éducation !?! Je l'ai principalement garder pour me défendre, au cas où. J'ai marché longtemps, heureusement j'y étais habitué. J'ai passée les trois première année de ma vie à vivre dans les rues, il y a bien des jours où je ne mangeais pas du tout. Je devais voler, sinon demander aux gens généreux qui passaient. Oui, à ce moment de ma vie je me sentais misérable, petit et surtout mal en point. Un jour alors qu'il pleuvait à verse, je me suis caché dans une ruelle, sous l'escalier d'un appartement. Il faisait très froid, j'étais trempé et je désirais juste un peu de repos. Quand l'homme qui habitait l'appartement descendit et m’aperçus il me cria de dégagez de chez lui, et commença a me frapper afin que je me réveille et parte plus vite. Cela c'est passée très vite, j'étais à cran et j'avais mal, froid et mes idées sombres, les coups du jeune homme n'aidait en rien. Je me souviens l'avoir violemment poussée contre le mur et d'avoir dégainez l'arme que je cachais sous ma veste. Le pointant sur le propriétaire de mon refuse, je décocha un sourire sadique -comme le faisait mon père- et lui dit;

-Tu vas fermer ta grande gueule, à cause de toi je ne pourrais plus fermer l’œil avant un bout. J'te demandais pas grand chose, j'dérangeais même pas et t'a quand même trouvé le moyen de gueuler.

Mes mains tremblaient tellement l'envie me prenait de presser la gâchette, j'avais le corps raide, les yeux sombre et tueur. Dans une dernière tentative, pour éviter de ce faire tuer, il m'attrapa le poignet et tenta de me faire lâché l'arme. Nous nous sommes battus un moment puis je l'ai repoussé contre le mur de brique ... Je me souviens du bruit que ça tête à faire en heurtant la parois. Le bruit du choc m'a traversé les os. J'ai sourit. Puis, je lui est prit la main doucement, comme pour l'aider et lui est briser le poignet. Le bruit des os qui craquent est presque aussi satisfaisant qu'une baise. J'ai de nouveau pointé l'arme sur son crâne et il a dit;

-T'es un minable personnage qui ce baladent avec un flingue et qui ce crois plus fort que tout. Ce n'est pas parce que tu as des tatouages pleins le corps, des piercings et un style pourri que tu peux te permettre de jouer les sans-abris, de voler de l'argent aux passants et de te cacher sous les appartements des gens.

Mon sourire s’élargit davantage, à ce moment de ma vie j'avais effectivement plusieurs tatouages qui avait été fait dans les différentes villes où j'étais passée. En général, je considérais cela comme un souvenir, un souvenir douloureux qui me permettait de me rappeler que l'amour rend stupide. Que c'étais à cause de l'amour que mes parents en était rendu là et que moi aussi par le fait même. Je n'avais pas beaucoup d'argent pour me faire tatouer, mais je le faisais quand même. L'argent que les gens me donnait servaient surtout à ajouter un tatouage sur mon corps meurtri. Je trouvais cela stupide de critiqué ainsi celui qui tient l'arme qui pourrait te tuer, mais bref ... Chacun leur technique désespérer.

- Critique et rabaisse tant que tu veux. J'irai quand même pisser sur ta tombe.

Et puis BANNG! Dans une petite ruelle de la Pennsylvanie un homme venait de mourir, et je sortais de là comme si de rien n'était. Dans les trois première années de ma débauche j'avoue avoir tuer sans relâche, sans remord des tas de gens sans bonne raison. Parce qu'il me regardait de travers, parce que j'en n'avais envie, parce que j'avais couché avec leur femme. Bref, le dossier de meurtre qui me suivait devenait de plus en plus gros. Sans doute que c'était ma façon à moi de me libéré de la douleur de mon passé. À seize ans, j'avais déjà plusieurs meurtre d'accumuler à mon dossier, mon corps était presque entièrement tatouer, j'abordais plusieurs piercing et une attitude de merde -je vous l'accorde- c'était sans doute relié à mon adolescence. Heureusement, mes idées sombres et mon passé ne me hantait plus avec autant d'acharnement qu'avant. J'avais donc cessé de tuer pour tuer. Il m'arrivait d'abattre quelqu'un juste lorsque je me sentais menacé, où lorsqu’on voulait me voler. Après la Pennsylvanie, j'ai décidé de me diriger vers le Connecticut, j'ai passée environs trois années à cette même endroit. Je pensais vraiment m'être trouvé un chez moi, j'avais je n'étais resté aussi longtemps à un même endroit. J'avais alors dix neuf ans et le corps tatouer de la tête au pied, mes tatouages étaient terminés, mes piercings aussi ... Cependant, avec l'apparence que je m'étais fais, personne ne voulait me louer un appartement aussi minable soit-il. Frustré, je suis parti. Décidément, le monde ne m'accepterai jamais, j'étais un marginal exclus de tous. Springfield, n'avait rien de particulier, rien ne m'intéressait là-bas, mais quelqu'un fini par me louer un appartement ... Minable, certes, mais un appartement tout de même. Je suis rester dans les environs de springfield pendant quatre ans, je déménageais souvent, les appartements pourris s'accumulaient et j'en n'avais marre. J'étais souvent jeter à la rue par manque d'argent, je n'arrivais pas à payer le loyer où je considérai celui-ci beaucoup trop élevé pour la misérable qualité de mon logement, alors je ne payais pas. Je suis donc retourner à la rue. Vivant selon les jours, demandant l'aide des gens qui marchait, volant parfois dans les boutiques. J'essayais quand même de me tenir loin de tout ce que l'ont appelait couramment, l'autorité. Finalement, après deux ans de rue, je me surpris à croire qu'il était temps de me planté les pieds quelque part d'y rester et de ne pas fuir dans deux semaines. J'avais passé ma vie caché dans les ruelles, dans les appartements minable, sans personne à qui parler, à qui vraiment me confier. J'avais passée ces dernières années de ma vie sans personne, à me cloitré dans un sombre passé et je n'avançais à rien du tout. J'avais donc décidé de me planté les pieds à New York, cela changerait des villes où j'avais passée et je passerais sans doute plus inaperçu dans la foule de NY.

my little secret

★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Cynthia/Diamond*/20ans
★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Bazzart, je crois.
★Ce personnage est-il un double compte ? → Non.
★Présence sur le forum → 5/7
★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé

Mon exemple de RolePlay:

Le code règlement:

bienvenue à toi & bon courage pour ta fiche

Bienvenue & bonne chance pour ta fiche

Merci beaucoup à vous jolie jeunes femmes.

Bienvenue parmi nous
Merci de mettre le nom de la célébrité choisit sous la case sous ton titre, s'il te plaît.

N'hésite pas si tu as besoin

Pardon, c'est fait maintenant. (:
Oui, c'est tout ;a fait lui

Bienvenue! Comment je veux trop un lien quoi

Bienvenue chez nous!

GNIAHHHHHH!!!! Rick Genest!!!! Ouais, j'ai une fascination pour les personnages étranges

Je veux un lien!!!!!! (justement, je cherche des liens prédéfinis pour ma Lux... une arnaqueuse... )

Bref, bienvenue parmi nous

Blaise: Juste pour le prénom, je ne peux refuser
Oksana: Avec plaisir, as-tu une idée en particulier ?
Merci pour vos bienvenues, en passant.

Réserve moi une petite place, je suis sur qu'on trouvera une bonne idée de lien

Bienvenue

Welcome,

Bienvenue !
Oh il nous faudra un lien si tu veux bien

Merci beaucoup à tous.
J'ai terminée ma fiche et ...
Kathlyn c'est avec grand plaisir (:

alors, alors
j'ai lu ta fiche et au niveau de la première partie RAS par contre au niveau de l'histoire je suis restée sur ma faim. car dans les dernières lignes le perso' avait 13 ans mais il en a actuellement 25. je te demanderais donc de parler de cette partie là (a) et aussi fais attention à ne pas confondre première et troisième personne du singulier ( cf dernière ligne de l'histoire ^^ )

Ohhh, je m'excuse pour la première et la troisième personne, je ne m'en étais pas rendu compte. J'ai modifié et allongé mon histoire, j'espère que ce sera correcte. S'il y a quoi que ce soit n'hésite pas.