Sujet: Charlie Wyatt Hopper (Terminée) Jeu 19 Juil - 12:57
FEAT. Paul Walker
Charlie Wyatt HOPPER
40 ans → Né(e) à Cherryvale (Kansas) le 29/02/1972 → Ancien boxeur, ancien Capitaine des Marines, Gérant d'une boîte de nuit et d'un bar Divorcé → Homosexuel (autrefois refoulé) → Membre des Populars.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Charlie Hopper a tout du mec qui vieillit bien, en tout cas pour l'instant, ce qui n'est pas donné à tout le monde. Ayant 40 ans, il est selon ses dires dans la pleine fleur de l'âge. Il faut avouer que cet homme plutôt massif a toujours conservé sa forme. Il est plutôt élancé et mesure 1m90 pour un poids de 85 kg, tout en muscles, enfin ou presque. Les longues années d'entraînement ne l'ont jamais vraiment quitté. Il a un corps bien proportionné avec une musculature bien dessinée mais pas trop prononcée. Le temps a quand même fait sa petite marque. On voit qu'il est entraîné mais qu'il s'est un peu relâché ces derniers temps. C'est un homme peu poilu. Il ne s'épile pas et ses rares poils blonds dispersés sur son torse, ses bras, ses aisselles, son pubis et ses jambes restent peu visibles. Ils ont en effet bien du mal à contraster avec sa peau hâlée. Malgré tout, Charlie est du genre plutôt viril. Il se laisse pousser la barbe de façon fréquente et la rase rarement de près. Il a des cheveux blonds, coupés courts et coiffés en bataille. Il aime bien se donner un côté bad boy, faire genre qu'il ne se préoccupe pas de son apparence alors que c'est faux. Quand il pleut ou que le ciel se couvre, ses cheveux s'assombrissent et virent vers un blond foncé, presque vers du châtain. L'effet est assez surprenant pour qui n'y est pas habitué. Et il ne va de même pour ses yeux bleu clair à la base. Quand le temps tourne, ils virent vers le bleu-vert plus foncé. Son regard est particulièrement mystérieux et envoutant. Il a une petite lueur de caractère au fond de ses iris et ses sourcils parfaitement dessinés et proportionnés ajoutent un côté humain, qui inspire confiance. Mais ce bel homme a quand même quelques imperfections qu'il est important de relever, histoire d'être objectif. Tout d'abord, il s'est fait quelques cicatrices, quatre pour être précis. La première est peu visible, elle est placée sur le haut de son crâne, masquée par ses cheveux. Il a en une, de taille moyenne sur la jambe droite, juste sous la rotule. Une fine cicatrice est également présente sur son arcade gauche, elle est le résultat d'une bagarre et est assez peu visible. Il faut vraiment avoir son visage tout près du sien pour la distinguer. Enfin, il a une autre cicatrice sur le ventre, du à l'opération qu'il a subi après une appendicite. Il est important d'ajouter que son visage est légèrement marqué par quelques rides, notamment celles d'expression et ce malgré les crèmes qu'il a pu tester à ses heures perdues. Il a également fait tatouer sur son corps de nombreuses représentations de sa vie. Sur sa nuque, il a fait mettre un symbole tribal représentant l'indépendance. Sur son épaule droite, il a fait inscrire son nom de boxeur en chinois. Sur son bras gauche, il a fait tatouer le blason de son bataillon à l'époque des Marines. Dans le creux de ses reins, il a fait tatouer un poignard qui descend jusqu'au haut de ses fesses. Et enfin, juste en dessous de son nombril, il a fait tatouer son prénom en chinois. Côté vêtement, il porte généralement des t-shirt, un jean et des baskets. Mais étant donné qu'il est gérant d'une boîte de nuit et d'un bar, il lui arrive de mettre des costards, sans cravate ou noeud papillon parce qu'il a horreur de ça. Chez lui ou quand il fait du sport il revêt un débardeur et un short. Une dernière chose, il est fortement allergique aux arachides, ce qui nécessite une hygiène alimentaire particulièrement attentive.
★Quel est le caractère de ton personnage? → A son âge, Charlie peut se vanter d'une chose, en plus de son physique toujours avantageux. C'est que son caractère n'a pas pris une ride et qu'il n'a pas changé. Oui, il est toujours aussi grande-gueule. C'est quelqu'un d'assez sanguin, qui réagit sur le vif, à chaud, parfois de façon raisonnée, souvent de façon trop emportée. Il n'a pas la langue dans sa poche. Il parle toujours avec une franchise, qui est certes tout à son honneur, mais qui parfois est blessante. Surtout qu'il ne met pratiquement jamais de gants pour exprimer ce qu'il ressent et pour répondre à ses interlocuteurs. C'est quelqu'un d'assuré, de parfois même trop arrogant. Il n'aime pas avoir tort et s'entête tant qu'on ne lui a pas prouvé qu'il se trompait. Et si c'est le cas, plutôt que de reconnaître son erreur, il change de sujet et pointe du doigt autre chose. Il trouve toujours un détail pour noyer le poisson. En plus, dans la vie de tous les jours, il a gardé son comportement très fermier. Il considère qu'en tant qu'homme viril, il y certaines tâches qui ne le regardent absolument pas. Le ménage, par exemple. Et autant dire que Charlie est quelqu'un de bordélique, qui laisse traîner ses affaires mais qui surtout ne lève pas une rame pour aider à nettoyer, à repasser ou à cuisiner. D'ailleurs, quand il est seul, il achète des trucs tout prêt pour ne pas avoir à faire une seule tâche ménagère. Il a fait des efforts depuis sa jeunesse et lorsqu'il était marié pour aider un peu, mais ça n'est jamais de bon coeur et il dit clairement que ça l'ennuie. Ayant refoulé son homosexualité pendant des années, maintenant qu'il s'est découvert réellement, il voit son partenaire potentiel comme une femme et à un peu tendance à transposer cette façon de raisonner. Pourtant il n'est pas mauvais bougre, il est même assez généreux, il ne manque pas de tendresse et de romantisme, même s'il est souvent maladroit car il n'aime pas enrober. Outre ses positions "traditionalistes", il aime l'humour et le pratique régulièrement, pour égayer la journée. C'est une façon d'animer le quotidien et de rire car Charlie aime se divertir, s'amuser. C'est quelqu'un de joueur, de taquin qui apprécie toute sorte de blague, sauf quand elle le concerne de trop près, évidemment. Il est loyal envers ses amis et il a tendance à aller vers les gens. Il est sociable. En amour, il a des tendances à la jalousie qui s'explique par son comportement fidèle et attentionné. Il n'a jamais trompé ses conquêtes, malgré les diverses tentations et digère très mal le fait de l'être. C'est même un motif de rupture pure et simple. Pour autant, quand il s'investit dans une relation, il fait tout pour que ça marche, enfin tout... disons dans certaines limites... Ajoutons qu'il est plutôt secret sur sa vie personnelle et son enfance. Il n'a pas peur de créer une famille en adoptant un enfant plus tard car il sait quelles techniques il n'utilisera pas pour l'éduquer.
Well... It's my story...
Je sais, je sais... je n'ai pas eu de chance. Je suis né un 29 février... en 1972 pour être précis. Pas de bol vous dites ? En fait, ça ne change rien. Je fête mes anniversaires le 1er mars, jamais avant pour ne pas porter malheur, vieille tradition familiale. J'ai vu le jour dans un centre médical assez miteux de Cherryvale, une ville rurale perdue dans la Kansas. Mes parents avaient une ferme à l'extérieur de la ville, dans laquelle ils cultivaient du maïs et ils élevaient des vaches. On ne peut pas dire que nous étions très riches, c'était même carrément l'inverse. C'est à peine si on arrivait à boucler les fins de mois. Et autant dire que quand le temps faisait des siennes, nous avions peu de marge de manœuvre. On se tapait souvent sur le ventre. Quand je dis on, je parle de moi, oui, mais aussi de mes frères. J'étais l'aîné et j'en avais trois. Un an après ma naissance, Jack est venu au monde, suivi deux ans plus tard par Ted et Peter, deux faux jumeaux. Dans n'importe quelle autre famille, j'aurais été chargé de veiller sur eux, de les protéger, bref, d'être leur guide vers leur future vie d'adulte. Mais mon père n'avait pas la même vision des choses. La famille, il ne connaissait que pour servir ses intérêts. Quand ma mère essayait de nous protéger de son "despotisme", elle se faisait lourdement molester. Il lui rappelait qu'elle devait faire les tâches ménagères, se taire et l'attendre bien sagement. C'était un homme violent, qui se portait souvent sur la bouteille. J'avais 5 ans quand j'ai été engagé pour travailler dans la ferme. Mon père me faisait creuser les trou pour les plantations, nettoyer les enclos de vaches... bref, je faisais toutes les tâches ingrates. Et il me faisait sécher l'école. Heureusement pour moi, ma mère profitait des soirées où mon père ronflait en décuvant son vin pour m'apprendre à lire et à écrire. Elle avait fait des études autrefois et elle s'imposa donc comme ma maîtresse d'école. Je lui dois beaucoup et je ne la remercierais jamais assez d'avoir été présente.
J'entretenais avec elle un lien spécial. Je l’idolâtrais, alors qu'elle s'aplatissait devant mon père et qu'elle fuyait ses colères. Pas question pour elle de le contredire. Elle le laissa nous exploiter durant de longues années. Avec mes frères, j'avais un peu de mal. J'étais le seul à ouvrir ma bouche, le seul à contester, à râler... et surtout le seul à prendre de sacrées branlées... je n'aimais pas ce comportement attentiste et docile. J'étais révolté de me savoir prisonnier ici alors que ma mère m'avait tant de fois raconté ce qu'était la vie en dehors de la ferme. Moi aussi je voulais vivre mes aventures. Évidemment, quand j'étais ado, rien ne s'est arrangé. Un jour, alors que je répliquais des mots dans un langage peu châtié à mon père, il a fracassé sa bouteille vide sur mon crâne, la brisant en plusieurs morceaux et m'ouvrant légèrement la peau. Quand j'y repense, je n'avais pas à lui parler comme ça, c'est vrai, mais il l'avait cherché et ça n'était pas une raison pour manquer me tuer. J'ai eu droit à douze points de suture et à quelques jours de repos. Le médecin local, ami de mon père, ferma les yeux sur ses agissements et me donna même tort quand il me fit remarquer que j'étais beaucoup trop turbulent et qu'il allait me donner quelques calmants. Ne voulant pas de son poison, je me souviens avoir jeté les cachets dans les toilettes. Ce qu'il faut savoir sur ma famille avant que je continue mon histoire, c'est qu'ils étaient mormons. Enfin, ça dépendait des moments. Mon père était alcoolique et n'était pas très fermé sur les questions médicales. En revanche, ils étaient très croyants. Résultat, nous étions obligés de prier à longue de journée. Ma seule sortie de la semaine, consistait à aller à l’Église. C'était le dimanche. J'y voyais d'autres gens, des garçons, des filles. J'avais du mal à m'intéresser à elles. Je ne me doutais pas de ma vraie attirance à cette époque, parce que j'avais du mal à savoir qui j'étais vraiment. J'ai donc mis ça sur le compte de l'isolement et je ne m'en suis pas plus préoccupé.
Quand j'ai fêté mes 18 ans, j'ai voulu sortir faire la fête avec quelques "amis", des jeunes de mon âge que je voyais en dehors de l’Église, quand nous roulions nos cigarettes en secret. Mon père me l'a interdit et m'a accablé de travail pour toute la nuit. Il m'a surveillé jusqu'au petit matin pour bien s'assurer que je ne désobéissais pas. Deux jours après, j'ai fui cette maison de fous avec mes maigres affaires pour mettre le cap vers Denver. J'ai fait du stop et j'ai vagabondé pendant des lustres pour tenter de trouver un peu d'argent. Je nettoyais les voitures, je reparais les bécanes, parce que j'avais l'habitude de la mécanique avec les tracteurs de la ferme. Pendant quelques semaines, j'ai même distribué les journaux. J'en ai profité pour découvrir la vie et m'amuser, en traînant dans les bars, en flirtant avec des belles femmes pour qui j'avais du mal à éprouver quelque chose. Le première avec laquelle j'ai eu une relation sexuelle, ce fut celle qui me trahit. Elle sortait avec un autre homme et j'étais juste un coup d'un soir. Quand je l'ai appris, je me suis empressé de lui dire ce que j'avais sur le cœur. Elle a fait appel à son copain, en disant que je l'avais agressé. Évidemment, comme je suis quelqu'un de direct, je lui ai tout déballé sur notre relation, sur le fait que sa copine soit une vraie pouffiasse, et tout le reste. Sauf qu'à ma grande surprise, le type a réagi violemment à mon encontre. Nous nous sommes battus. Il m'a explosé l'arcade mais j'ai gagné notre petit combat en le mettant KO. Parmi les spectateurs de cette empoignade, il y avait mon futur coach, Lenny. Il s'est rapproché de moi, m'a félicité et m'a proposé un métier où je pouvais gagner ma vie de façon confortable, devenir célèbre et en plus avoir une solide réputation pour emballer n'importe quelle fille. C'était un façon d’enrober les choses, qu'un couillon comme j'étais ne pouvais qu'accepter. Je suis donc devenu boxeur. Et effectivement, j'ai bien gagné ma vie. J'ai eu trois petites amies avec lesquelles ça n'a jamais vraiment collé. Et puis vers 21 ans, j'ai compris une évidence à mon sujet. Je n'étais pas attiré par les femmes mais par les hommes. Dans les vestiaires, j'avais tendance à les regarder à les trouver à mon goût. J'étais un putain de gay ! J'en ai eu la preuve quand je suis sorti avec Rick, un autre boxeur, dans la catégorie poids plume... Ce fut le pied, je dois l'admettre mais nous avons rompu quand les journalistes ont commencé à vouloir en savoir trop à mon sujet. L'homosexualité étant très mal vue à cette époque, nous avons repris une vie "normale", en évitant soigneusement de traîner ensemble. De toute façon, ça a mieux valu pour moi, parce que j'ai appris il a trois ans, que Rick était mort du SIDA. A force d'aller voir à droite à gauche... ça ne pouvait que lui pendre au nez...
J'étais un boxeur côté, classé. Vainqueur d'un championnat local dans ma catégorie, j'avais commencé une carrière brillante. Pourtant Lenny avait en vue un autre poulain. Un type nommé Bill, contre lequel il m'organisa un combat. Pour que Bill soit sa nouvelle poule aux œufs d'or, il lui fallait me battre. Tout avait réglé au millimètre près, Bill devait me mettre KO par une prise illégale mais l'arbitre avait été acheté. J'étais peut-être passionné par ce défouloir qu'était la boxe mais loin d'être stupide ou fou. Je n'allais pas risquer ma vie sur le ring pour gagner un match. Je fus mis au courant par un ami, qui avait surpris une conversation entre Lenny et l'arbitre. Alors je me suis couché et j'ai rendu les gants. La boxe était un monde pourri, où le combat et l'art qui en découlait était d'abord et avant tout relégué aux intérêts financiers. Je n'ai pas perdu grand chose, mais cela m'a permis d'avoir une meilleure maîtrise de moi et de repartir sur autre chose. J'enviais beaucoup les personnes qui avaient le sens du devoir, qui étaient solidaire entre elles. Je me suis donc tourné naturellement vers l'armée, dans laquelle je me suis enrôlé à l'aube de mes 23 ans. Les Marines m'ont apporté le sens des responsabilités et surtout une belle leçon de vie. J'étais bien parmi eux. Notre histoire a duré 10 années, pendant lesquelles je me suis plu à mettre de l'ambiance par mes blagues potaches, même quand j'étais Capitaine. J'ai obtenu le rang à l'âge de 27 ans, après avoir fait brillamment mes preuves. Et c'est la même année, en 1989 donc que j'ai rencontré Sally, un beau brin de fille. Nous avons fait connaissance lors d'un de mes permissions à Dallas.
Je n'étais pas spécialement attiré par elle mais j'avais renié ma sexualité véritable et il n'était pas question de la réaffirmer à l'armée. Je l'ai donc épousé, huit mois après notre rencontre, je me souviens c'était en mai 1990. Juste avant la guerre du Golfe pour laquelle j'ai été mobilisé. J'ai combattu vaillamment avec le groupe d'hommes sous mon commandement. Nous sommes rentrés 2 ans plus tard lorsque la paix fut conclue. Pour tout vous dire, je n'avais pas eu l'impression que nous ayons accompli notre devoir et notre mission. C'était plutôt l'inverse, on nous avait envoyé là-bas pour des raisons purement politiques et financières. Malgré tout, pour mes états de services, on me nomma sergent, puis lieutenant et enfin capitaine, en 1997. L'armée était comme une famille pour moi. La famille que je n'avais jamais eu. Parmi tous les hommes qui m'entouraient et qui étaient sous mes ordres directs, je sais que tous auraient donné leur vie pour sauver la mienne et l'inverse était vrai. Nous avions les vraies valeurs du sacrifice et de la solidarité. Nous étions un régiment soudé et uni. Et surtout nous étions l'un des plus entraînés. Nous n'avions que peu de répit entre nos différentes séances physiques. Quand j'y repense, on nous préparait déjà aux combats les plus rudes, peut-être sciemment. Le 11 septembre 2001, j'étais à New York, avec Sally. Nous déjeunions chez ses parents à Brooklynn lorsque nous avons entendu une explosion. Nous avons vu la foule se masser dans les rues. Quand nous sommes sortis, nous avons vu l'un des deux tours du World Trade Center entourée de fumée. Nous avons pensé à un accident, sur le coup mais lorsqu'un avion a percuté la seconde tour, nous avons compris que nous étions attaqués. Et en effet, je n'ai pas eu à attendre longtemps pour comprendre le fin mot de cette histoire. Un coup de téléphone de mon Général m'annonça que j'étais mobilisé pour une nouvelle guerre et que je devais immédiatement me rendre à Dallas, dans notre caserne. Je partis donc. Quelques mois plus tard, la Guerre d'Afghanistan commença. Nous avions pour mission de pourchasser les terroristes responsables des attentats. Du moins, c'était les ordres officiels. Je trouvais que cette guerre était différente des autres. Nous avions reçu le soutien de français, d'anglais, alors qu'eux-mêmes n'avaient pas été attaqués. Tout avait été précipité mais je fus impressionné par la coordination des troupes.
Notre régiment servit donc avec dévotion la cause qui était la nôtre : la vengeance. Je n'aurais sans doute pas du le faire, mais j'ai couvert bon nombre d'exactions et d'exécutions. Et puis à mesure que le temps a passé, j'ai commencé à poser des questions sur le réel combat que nous menions. Parfois, nous devions investir des villages entiers, où aucun taliban ne résidait. Ces derniers se servaient de femmes et d'enfants pour nous attaquer par surprise. Il s'agissait de missions suicides qui coûtaient de nombreuses vies, surtout de notre côté. Alors quand on m'a demandé d'envoyer mes hommes dans la gueule du loup, sans aucun soutien, j'ai refusé. On m'a suspendu de façon temporaire. Comme je m'entendais bien avec le général, nous avons trouvé un accord pour m'éviter la cour de discipline et la prison. Je donnais ma démission suite à une faute personnelle et j'avais le droit de partir libre. A vrai dire, je n'ai pas eu le choix, on m'a rapatrié à Dallas, sans tenir compte de mes arguments. Sur mon régiment, qui comptait une centaine de personnes, 57 perdirent la vie ce jour là... Je ne culpabilise pas. Si j'étais resté, ils seraient morts aussi. Ainsi en avaient décidé les prétendus "stratèges" qui nous dirigeaient. J'ai retrouvé ma femme, mais les longs mois d'absence avaient visiblement brisé quelque chose. Elle était plus distante, moins patiente et surtout beaucoup plus exigeante. Elle voulait un enfant mais pas moi. Je n'étais pas prêt à assumer une descendance. Disons que ça impliquait de l'élever avec elle et je savais que je ne l'aimais pas vraiment. Sally était un beau brin de fille, touchante, attachante, mais malheureusement, je n'étais pas l'homme qu'elle attendait. Peu après nous être installés à New York, nous avons divorcé. Au total ce mariage aura quand même duré 17 ans.
J'ai regretté de ne pas avoir été franc avec elle et j'ai réfléchi sur ma vie personnelle. A quoi bon nier l'évidence et cacher mon homosexualité. Ici, on me connaissait pour mes exploits sur le ring, quand j'étais plus jeune mais les gens ne jugeaient pas comme à Dallas. Ils étaient moins cons, moins conservateurs. Je pouvais m'assumer et puis de toute façon, j'en avais envie. Si ça ne plaisait pas, qu'importe ! J'ai fait mon coming-out auprès de Sally d'abord. Je la respectais trop pour qu'elle l'apprenne par quelqu'un d'autre. Je lui ai expliqué autour d'un café qu'elle n'y était pour rien, que j'avais longtemps cru que j'étais anormal et que je l'avais épousé pour m'insérer dans la société, dans l'armée, pour faire comme tout le monde. Elle ne m'en a pas voulu, elle me connaissait, elle savait que j'étais quelqu'un d'honnête et que je n'avais pas cherché à la blesser. Elle m'avoua que sur les derniers mois, elle voyait quelqu'un et qu'elle m'avait trompé. Cet homme était désormais son nouveau compagnon. Quand j'y repense, elle fut la seule personne à qui j'ai pardonné l'infidélité. Moi-même, n'ayant couché avec personne d'autre qu'elle, je lui fus infidèle par mon secret. Nous avions divorcé à l'amiable, ce qui fait que j'avais pas mal d'argent placé. J'avais profité de mon salaire de militaire pour épargner en vue de mes vieux jours. Cet argent me servit à ouvrir une boîte de nuit, dans Manhattan. Je ne m'y connaissais pas vraiment en gestion d'entreprise mais Sally me donna quelques conseils en tout bien tout honneur. Grâce à eux et grâce surtout au personnel que j'avais embauché, ma boîte a aussitôt marché et elle a prospéré.
En 2009, alors que je fermais la boutique, vers les 3 heures du matin, j'ai fait la connaissance de Lucas, un type qui vu comme ça n'était pas particulièrement beau. Il avait été sacrément amoché par une bande de 2 jeunes qui avaient fui. Je lui ai porté secours. Je n'aime pas les agressions gratuites et je me suis demandé ce qu'il avait bien pu faire pour se faire démolir ainsi. En attendant que l'ambulance arrive, je n'allais pas le laisser là, tout seul. J'ai essayé de discuter avec lui mais il avait un drôle d'accent et il parlait de façon... embrouillée. Ce ne fut pas évident pour comprendre les quelques mots qu'il me disait. Je compris qu'il s'appelait Lucas, ce qui était déjà un bon pas en avant. Quand j'ai regardé ses yeux, j'ai senti un courant d'air dans mon échine, comme si j'avais soudain très chaud et très froid en même temps. A bien l'observer, je me suis demandé si j'allais m'en remettre. Je me suis senti investi d'une mission, le protéger, mais j'avais l'impression de le connaître, de vouloir aller bien plus loin avec lui. Je me suis senti très con quand je l'ai vu partir en ambulance. D'une parce que comme un imbécile, je n'avais pas pensé à lui demander son numéro de téléphone. Et de deux parce que je n'étais pas du genre à croire dans les coups de foudre. Je trouvais l'idée même complètement absurde, surtout quand on sait que la foudre dure rarement longtemps et qu'elle disparaît ensuite. Je suis rentré chez moi, mais je n'arrivais pas à me défaire de la vision de ce Lucas, un énigmatique blond qui avait foutu un sacré bordel dans ma tête, rien que par son regard !
Conscient que ma boîte de nuit était désormais bien lancée et réputée à travers New York, j'ai décidé d'ouvrir un bar, toujours à Manhattan, juste à côté, dans un bâtiment en vente suite au décès de son propriétaire. Les quelques soirs de première, nous avons eu quelques couacs au démarrage notamment avec la glace pilée, mais par la suite, nous avons rectifié le tir. Là aussi, le bar fonctionna aussi bien voire même mieux que la boîte de nuit. Quand j'y repense, j'ai rencontré pas mal de gens sur mon lieu de travail, sympathiques ou cons comme des manches à balai, communs ou exceptionnels. Si je devais la classer dans une catégorie, c'est dans cette dernière que je mettrais Savannah. Cette femme était un beau brin, et si je n'avais pas été gay, j'aurais probablement passé ma vie avec elle. Deux soirs d'affilée, elle avait pris une telle cuite qu'elle pouvait à peine marcher. Je n'ai pas l'habitude de faire dans le social avec des inconnus, mais là, elle paraissait tellement perdue que je me suis senti obligé de la ramener chez elle. Alors qu'elle était allongée sur son lit, elle m'a retenu pour que nous parlions. Elle m'a raconté ce qu'était sa vie. C'est vrai qu'elle résidait dans un appartement miteux et légèrement crade, enfin bon moi j'y étais habitué à avoir du bordel partout. Je n'en étais donc pas du tout gêné. Savannah me raconta sa triste histoire. Elle était une fille sans problème. Elle respirait la joie, la bonne humeur. Lors d'une soirée, elle avait bu un verre d'alcool en trop et elle perdit son enfant. Depuis, elle semblait plongé dans le remords et sa seule façon de reprendre une bouffée d'air c'était de se noyer dans l'alcool. Je ne pouvais pas la laisser ainsi, elle était touchante. Je l'ai donc aidé à se sortir de cette spirale, à lui faire reprendre goût à la vie, aux choses autour d'elle. Elle est reparti sur ce chemin de la vie que j'espère sans embûche supplémentaire, j'y veille. Elle est comme une sœur pour moi, elle le sait, parce que je le lui ai dit. Elle pourra toujours compter sur ma présence.
Il y a deux ans, j'ai eu la bonne surprise de retrouver par le plus pur des hasards, Lucas. Il postula à un poste de serveur dans mon bar. Comme je recrutais moi-même le personnel, je lui ai fait son entretien d'embauche. J'ai été un vrai salaud, je dois l'admettre, je n'ai pas hésité à lui lancer des répliques froides, à appuyer sur certains défauts. J'ai pris plaisir à le voir dérouté, parce que moi-même je l'étais... j'étais aussi jaloux et blessé qu'il ne soit pas revenu plus tôt... je lui avais sauvé la vie quand même ! Enfin la vie, peut-être pas, non... mais bon, si je n'avais pas été là, il n'aurait pas été soigné et pris en charge... J'éprouvais de la rancœur alors que nous n'étions même pas ensemble et que n'étions pas mariés. Nom de Dieu, ce que ce type pouvait être beau sans bleu ni boursouflure au visage... je n'avais qu'une envie lors de cet entretien, l'embrasser, le serrer contre moi. En plus, je n'avais pas eu de relation particulière depuis plus d'un an, alors je dois avouer que j'étais quand même un peu à cran. Il a commencé son service et je n'ai pas manqué une occasion de lui faire un reproche ou deux. Il ne répondait pas vraiment. Un soir, alors qu'il rangeait le bar, nous avons discuté. Je n'en pouvais plus de devoir agir comme ça. Il fallait que l'un de nous franchisse le pas. Je fus surpris de voir que ce fut lui qui pencha la tête pour m'embrasser. J'allais avancer la mienne lorsque j'ai aperçu un autre serveur. Qu'étais-je en train de faire ? D'avoir une relation publique avec un membre du personnel ? J'ai immédiatement pensé aux rumeurs qui pouvaient circuler ensuite sur nous deux et à ce que Lucas pourrait subir comme moqueries. Alors je l'ai repoussé brutalement en prononçant des mots très durs pour l'écarter de moi.
Depuis cette humiliation, il ne m'adresse pratiquement plus la parole et je dois reconnaître que j'en souffre. Je ne voulais pas le blesser, seulement le protéger... Mais à force d'y réfléchir, j'ai compris où était mon blocage. J'étais effrayé... parce que je n'avais jamais ressenti ça pour personne, parce que j'étais plus âgé que lui... Je ne suis pas du genre à baisser les bras. Je vais donc tenter de le séduire à nouveau parce que je ne supporte plus de croiser son regard et de me reprocher le mal que j'ai pu lui faire. Je ne veux pas le perdre, j'ai fait la connerie de l'éloigner une fois, ça ne se reproduira plus...
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → David, 20 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Par un de vos membres qui m'a fait connaître le forum. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nan. ★Présence sur le forum → On va dire 4/7. ★Personnage inventé ou scénario ? → Scénario.
Mon exemple de RolePlay:
→ Avant-propos : Afin de situer le contexte de ce RP, je dois préciser, je dois présenter les protagonistes. Parïs est un Prince violent, brutal et pas très fûté. Thaïs, alias Sinon, alias Aède est de son côté un espion du camp adverse qui cherche à retrouver Parïs. La raison ? Parïs lui a sauvé la vie au moment où il allait se suicider et l'a pris sous son aile. Les deux personnages se sont liés mais les années ont passé et Parïs n'a connu Aède que quand il était adolescent. Il ne l'a pas reconnu une fois adulte, et il a enfermé ce souvenir volontairement au fond de lui pour masquer sa faiblesse. C'est grossièrement résumé, je m'en excuse. Bon en ce qui concerne le style d'écriture, Parïs est quelqu'un de brutal et de grossier, donc ne soyez pas surpris par certains propos. Ils ne constitueront aucunement la façon dont je vais jouer sur NYCL. J'espère que la lecture de cet exemple vous sera agréable. ^^
En cet instant, il était difficile pour Parïs de ne pas se sentir coupable. C'était quelque chose qui n'arrivait pourtant jamais. Pas un seule fois il n'avait regretté une insulte, un coup ou une menace. Et pourtant, Thaïs avait le don de l'agacer par moment, tellement il avait de l'influence sur lui. Furieux, il était furieux contre cet homme qui le rendait dingue sans qu'il ne sache pourquoi. Il avait l'impression diffuse d'être en train de revivre quelque chose. Il se perdit dans les yeux du brun en face de lui, des yeux marrons, foncés, qui parfois viraient un peu au noir. Il avait l'envie incontrôlable de se perdre dans cette lueur. Depuis qu'il l'avait croisé, ce qu'il appréciait le plus c'était son regard. Thaïs se rapprocha de lui pour venir au contact. En temps normal, le Prince aurait immédiatement repoussé la personne et l'aurait à moitié broyée entre ses bras solides. Au lieu de ça, Parïs se laissa caresser le visage. Une étrange sensation l'habitait... encore... comme une vague de chaleur qu'il ne pouvait contrôler. Quand il posa la tête sur son épaule, il fut dérouté. Pourquoi ne lui déboitait-il pas l'épaule ? C'était ce qu'il faisait avec... et voilà que maintenant, il lui touchait le torse ! Le blond fronça les sourcils, ça faisait beaucoup trop de données, d'informations et d'émotions pour lui. Il se sentait dépassé par les évènements et il détestait ça. Il allait le repousser prestement lorsque Thaïs déposa ses lèvres sur son cou. Difficile pour le Prince de ne pas l'embrasser à son tour, le brun se détacha après l'avoir fixé intensément.
Parïs n'était pas un homme d'esprit. Il ne se demandait pas pourquoi ce type lui faisait autant confiance, ni pourquoi il avait une attitude aussi attentionnée à son égard. Il ne se posait pas vraiment de questions, il n'avait jamais été érudit ou philosophe et il préférait cogner plutôt que réfléchir. Il le suivit par un petit chemin pour rejoindre la plage. Tandis qu'il le regardait récupérer un morceau de bois, il remarqua un détail et non des moindres. C'était étrange, l'homme avait la même façon de tenir le bâton qu'un guerrier, et pourtant, il n'en était pas un. Au contraire, son rôle de juriste faisait de lui un bureaucrate, un type qui certes physiquement était bien entretenu mais qui n'était pas sensé savoir se battre. Il continua de l'observer et le vit écrire sur le sol. Paradoxalement, s'il avait l'air d'un combattant avec le bout de bois, il semblait totalement inoffensif avec son écriture enfantine et légère. Le Prince de son côté écrivait très mal, avec un style italique, très strict. On s'y prenait souvent à de nombreuses reprises pour pouvoir comprendre ce qu'il marquait. Il faut dire qu'il ne rédigeait pratiquement rien et que quand il le faisait c'était exceptionnel. De même qu'il n'était pas habitué à lire et qu'il avait parfois du mal. Le message de Thaïs était pourtant clair, limpide. Il répondit, un brin sévère :
- C'est un endroit dangereux, tu comprends ? N'importe qui peut tomber dans le vide et s'écraser sur les rochers...
Le souvenir d'Aède lui revint en tête mais il le chassa aussitôt. Il ne voulait pas s'embrouiller encore plus que ce qu'il n'était. Pour masquer son trouble, il ajouta :
- Et je n'ai pas de souvenir étrange qui me hante quand je viens ici. Qu'est-ce qui t'a mis ça dans la tête ? Je...
Il s'était vendu sans s'en rendre compte. Il avait ce souvenir mais il refusait de l'admettre et de le confier à quelqu'un, tout ça appartenait au passé. Le Prince se massa le front, un peu perdu et improvisa un mensonge sur le tas :
- Je n'étais pas loin, j'avais à faire dans le coin... et je me suis dit que si tu venais à tomber, tu ne pourrais pas alerter quelqu'un, puisque tu ne parles pas. Alors, j'en ai profité pour garder un oeil sur toi. Je veux dire... c'est mon devoir de Prince de veiller à ce que les juristes soient... tu sais... en bonne santé, tout ça...
Il lâcha un soupir d'énervement. Il avait l'impression de ne plus se contrôler... ou alors c'était l'inverse. Il n'avait pas envie de lui sauter à la gorge. Et pourtant, dans un coin de sa tête, il se disait que peut-être, il aurait du le pousser dans le vide tout à l'heure pour ne plus être perturbé. Il avait horreur de passer pour un imbécile, son père l'avait suffisamment humilié sur ce point. Le mensonge n'était pas crédible, il cachait autre chose c'était sûr et certain. Parïs enleva ses chaussures et ses chaussettes puis il s'assit à côté de Thaïs en observant la mer. Désagréable, tentant de se retrouver lui-même, il lâcha :
- Je n'arrive pas à voir ce que tu aimes ici... La mer, ça n'est que de l'eau salée, et je ne te raconte même pas ce qu'on y trouve dedans... Le sable, ça colle et ça gratte... et le paysage, c'est à chier. En plus comment tu peux rester planté là, devant à regarder les vagues ? Sérieusement, t'as pas mieux à faire dans ta misérable vie ?
Il s'en voulait de lui parler comme ça. Il aurait voulu lui présenter ses excuses mais sa fierté l'en empêchait. Et puis, ça lui permettait de se venger pour le trouble que Thaïs créait en lui.
Le code règlement:
→ Validé par Savy
Dernière édition par Charlie W. Hopper le Jeu 19 Juil - 23:28, édité 3 fois
Mackenzie J. Howard
Empire State of Mind
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▌INSCRIT LE : 01/07/2010
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▌ADRESSE : 6812 Beverley Road #104, Brooklyn. avec l'amour de sa vie.
Sujet: Re: Charlie Wyatt Hopper (Terminée) Jeu 19 Juil - 13:01
Bienvenue chez nous
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Sujet: Re: Charlie Wyatt Hopper (Terminée) Jeu 19 Juil - 13:05
Paul Bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Charlie Wyatt Hopper (Terminée) Jeu 19 Juil - 13:11
Bienvenue sur NYCL N'hésites pas si tu as une question Je valide le code du règlement =)
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Sujet: Re: Charlie Wyatt Hopper (Terminée) Jeu 19 Juil - 13:12
Bienvenue parmi nous N'hésite pas si tu as besoin
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Sujet: Re: Charlie Wyatt Hopper (Terminée) Jeu 19 Juil - 13:25
BIENVENUE d'abord !
je viens de lire en entier ta fiche et je vais éviter de dire des gros mots car je le fais quand je suis très très content, tu as vraiment saisis le sens du personnage
et ta fiche c'est la perfection, tu as donné à ce predef la force qu'il avait besoin ! pour l'acteur j'étais d'accord pour qu'il change ! :brigitte: :brigitte: :brigitte:
sinon j'adore le coup de "allergique aux arachides" ou encore les couacs du premier soir du lancement du bar, et j'aime l'histoire du boxeur avec Lenry et tout le passage dans les Commandos de Marines, tout est logique!
voila !
Dernière édition par Lucas E. Nikita le Jeu 19 Juil - 15:28, édité 2 fois
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Sujet: Re: Charlie Wyatt Hopper (Terminée) Jeu 19 Juil - 13:44
Oh je n'avais même pas capté que c'était le Charlie de Lucas, le grand frère de ma Savy
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Sujet: Re: Charlie Wyatt Hopper (Terminée) Jeu 19 Juil - 15:03
bienvenue
Paul
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charlie Wyatt Hopper (Terminée) Jeu 19 Juil - 16:02
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charlie Wyatt Hopper (Terminée) Jeu 19 Juil - 16:17
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charlie Wyatt Hopper (Terminée) Jeu 19 Juil - 21:27
Bienvenue à toi & bon courage pour ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charlie Wyatt Hopper (Terminée) Jeu 19 Juil - 23:21
Bienvenue parmi nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charlie Wyatt Hopper (Terminée) Jeu 19 Juil - 23:29
Merci à tous pour vos messages de bienvenue (et pour vos compliments).
J'ai terminé ma fiche et je suis ravi de vous rejoindre.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charlie Wyatt Hopper (Terminée) Ven 20 Juil - 3:57
bienvenuue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charlie Wyatt Hopper (Terminée) Ven 20 Juil - 11:17
Merci.
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Sujet: Re: Charlie Wyatt Hopper (Terminée) Ven 20 Juil - 16:52
ohgod paul walker :baveur bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: Charlie Wyatt Hopper (Terminée) Ven 20 Juil - 22:52
Va falloir que je surveille quand il sera validé !!!
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: Charlie Wyatt Hopper (Terminée) Dim 22 Juil - 0:17
Validé !
Un système d'intégration est mis en place sur le forum sous forme de flood d'intégration, mélangeant anciens et nouveaux membres, n'hésite pas à t'y inscrire ! N'oublie pas de compléter ta fiche personnage, ton profil et de faire toutes les demandes nécessaire. Si tu as la moindre question ou problème, tu peux bien sur contacter un membre du staff par MP. Nous t'invitons aussi à aller lire ce sujet premiers pas sur le forum Et puis tu peux bien sur voter toutes les deux heures pour aider le forum en cliquant sur le petit noeud (a)