Sujet: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Ven 27 Juil - 22:38
FEAT. BLAKE LIVELY
Luna Evannah BURWELL-HARVERSON
22 ans → Née à Naples le 17/07/01990 → Infirmière, mannequin à ses heures perdues. célibataire → hétérosexuelle → membre des Populars.
And who am i ?
★Quels sont tes caractéristiques? → Des piercings, des tatouages, tout ce qu’il y a de plus superficiel pour moi. Mais moi, je suis superficiel, du moins je l’étais. Les temps changent et ils m’ont emporté avec eux. Et aujourd’hui je regrette ces gestes désinvoltes que les jeunes font, prit d’une folie passagère. Mais la vie nous apporte bien des surprises, bonnes comme mauvaises. Mon tatouage vient de cette période. Une période dont je ne veux plus entendre parler aujourd’hui, période dont une seule personne en connait les détails : Serena L. Douglas. Ce tatouage représente la liberté : quatre colombes partant au loin en vol, comme si rien ne les retenaient. Ensuite un piercing. Sur le nez, bien que je l’ai enlevé depuis maintenant trois ou quatre ans. L’époque où j’ai changé. Caractériellement parlant, car physiquement, personne ne m’arrivait et ne m’arrive encore à l’heure d’aujourd’hui à la cheville. Une mimique : je tape dans mes mains quand je dis oui, joyeusement. Je ne sais pas de qui je tiens cette mimique mais depuis que j’ai effectué ce geste, les personnes qui m’entourent le reproduisent. Je vous l’ai bien dit, personne ne me surpasse. Enfin, la mode, c’est moi, comme tout le monde veut le dire de sa propre personne, pour mon cas, c’est la réalité. De plus je suis aussi très sportive. Ahh merci papa maman.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Garce enfant, gentille comme tout. Bouleversement, choc psychologique, et tout bascula du jour au lendemain. Petite je ne faisais que parler de moi. Aujourd’hui c’est bien tout l’inverse ; Je ne pouvais m’empêcher de faire une bêtise, à droite, à gauche, tout ceci pour que l’on me remarque, mais qu’importait les conséquences tant que l’on parlait de moi. Tout ce qui faisait mon bonheur contenait dans ces simples mots : que l’on parle de moi. En mal c’était le mieux. J’étais celle qui ne fallait pas approcher au risque de se faire humilier en long, en large et en travers. De voir son secret le plus cher et le plus enfoui révélé au grand jour, raconté lors d’un moment pathétiquement triste, ou une soirée beaucoup trop arrosée pour ces personnes-là. Penser que je suis la bonne copine avec une épaule du feu de dieu, que tous vos secrets seront bien protégés avec moi. Bien au contraire, se méfier du loup qui dort. Et encore, je ne me cachais pas, ma réputation en disait long sur moi. Mais je ne vois pas comment des personnes pouvaient me faire confiance à cette époque-là sauf une sûrement, toujours la même, elle. Mais quand la vérité éclos, et que tout votre petit monde sur lequel vous vous étiez construit, vos piliers dans la vie, votre confiance en soi acquise grâce à ceci, quand tout bascule, c’est le drame, et vous ne pensez qu’à une seule chose, fuir. Bien sûr, intelligente comme je suis, je n’ai pas fais la même chose que tous ces innocents qui croient que la vie c’est du kiwi, et qu’en claquant des doigts nous avions tout offert sur un plateau en argent. Non, bien au contraire j’avais décidé d’en joué, de jouer avec ceux qui s’étaient bien foutu de moi pendant toutes ces années. Me venger n’aurait servi à rien. Alors j’ai décidé de me reprendre en main, de demander ou plus faire du chantage pour que l’on me donne ce que je voulais et repartir sur de bonnes bases pour être devenue celle que je suis aujourd’hui. Une femme épanouie qui ne penserait pas faire du mal à une mouche, et justement ouvrir les yeux aux gens qui étaient autrefois comme moi, une pure garce. Le mot ami je connais, le mot amour aussi, mais ô grand jamais je ne voulais entendre ce mot avant. Je suis aussi dvenue la fille généreuse en excellence, tout ce que je peux faire pour les autres je le fais, je passe après eux. Je n’ai aucun amour propre, juste ce qui faut pour penser que je puisse plaire encore aux garçons. Les narciciques, les machos, très peu pour moi. Les neuneus non plus. Enfin bref, tout ce que l’on peut rêver d’une femme parfaite est réuni en moi, d’après certains.
Well... It's my story...
« Si jeune que l’on soit, le jour où l’on perd sa mère, on devient vieux tout à coup. »
Moi j’avais envie d’être une princesse mais on ne m'en a pas donné l’occasion. C’est bête. Je suis juste née dans une famille normale sans réputation, sans soucis. Quoique, c’était à voir. Je suis banalement née en Italie et ça s’arrête là. Le dix-sept juillet mille neuf cent quatre vingt dix, à Naples. Mais mon entrée dans ce grand monde ne fut des plus simples et les années qui suivirent ne furent point joyeuses. L’été 92, un terrible accident survint dans ma petite vie, mais je n’en avais pas conscience à ce moment là. En Juin, un tireur fou se promenait dans la rue munit d’une mitraillette, tirant sur tout ce qui bougeait. Et mes parents avec. Se baladant comme deux amoureux dans la ville, le destin les ayant menait sur cette place, la mort ne fut inévitable. Une balle dans le cœur pour chacun, autant vous dire que dans la rue c’était la panique totale. Cet homme fut tué par les forces mais au final, mais parents n’étaient plus des nôtres. Ce jour-là, je fus recueilli dans une famille, celle de ma tante, les Douglas. Je peux vous assurer, que même à mon jeune âge je voyais bien la différence. Je ne comprenais pas pourquoi je ne voyais plus ma mère ni mon père. On me racontait une fois qu’ils étaient partis en voyage, une autre fois qu’ils avaient beaucoup de travail et qu’ils viendraient plus tard. Et ceci pendant quelques années jusqu’à ce que je tombe sur ces foutus papiers. Ma tante avait gardé un journal, décrivant la scène de cette fusillade. J’étais en âge de lire, déjà, malheureusement, et j’ai lu cet article, encore encore et encore sans pouvoir décrocher ce papier de mes mains. Pas avant que mon oncle rentre, me voyant avec ce journal. Affolé, il couru dans ma direction, me prenant dans ses bras, jetant le journal par terre et essayant de me consoler. Cela faisait deux heures voir plus – je ne me souviens pas très bien – que je pleurais, j’étais fatiguée, essoufflée, bref, il était tant pour mon oncle que ceci cesse. Sauf que cela a duré plus d’une semaine, à rester dans ma chambre dans bouger, mangeant deux trois choses – et encore -, à pleurer de toutes mes forces. J’avais perdu mes parents.
« Nulle amie ne vaut une soeur. »
J’ai donc connu ma sœur, enfin ma cousine plutôt, mais c’était comme une sœur pour moi. Au fil des années, elle et moi, on était les opposées. Elle, elle était gentille comme tout, discrète, bref la petite fille qui ne se faisait pas remarqué. A son inverse, moi, j’étais limite une garce, une personne à qui il ne fallait pas se fier, une personne qu’il ne fallait pas chercher, égocentrique. Je l’étais avec tout le monde, sauf avec Serena, celle que je protégé, enfin, je me comprends. C’est alors que l’adolescence me réussissait. J’ai débuté le mannequinat dans ces années-là, et j’étais bonne pour ça. A croire que j’étais destinée à faire ceci. J’ai ensuite rencontré le garçon. Celui qui me faisait rêver, avec qui je redevenais douce et gentille. L’amour nous change, ça, on peut le dire. Mais on ne peut pas tout avoir. Et la vie me l’a bien prouvé. Ma soeurette Serena est partie avec son père à New-York, me laissant toute seule en Italie, avec notre grand-mère. Malgré le fait que j’avais une vie formidable, j’éprouvais ce sentiment de manque envers une personne. Ce qui ne m’était encore jamais arrivé. Et c’est à partir de ce moment-là que j’ai changé. La grande garce s’est transformé en gentille, telle Serena. J’avais alors 15 ans.
Trois ans sont passés. Je suis restée la même, je vis toujours chez ma grand-mère, je suis toujours avec le même mec. J’aime de plus en plus le mannequinat, et les gens m’aiment aussi de plus en plus. Mais la vie me frappa encore sur la tête. L’amour de ma vie vient d’avoir un accident de voiture, et il est plongé depuis maintenant trois semaines dans le coma. Je suis tous les jours à son chevet, espérant que tout s’arrange, priant, mais rien ne bougeait et les médecins restaient très en réserve. Je me disais qu’il ne connaissait rien en l’amour, mais il connaissait le corps humain, eux. Mes larmes me désespéraient, cette situation me désespérait. Mais je ne pouvais rien faire à part rester là, à attendre. Une semaine après, le moment ultime arriva. Il ouvrit les yeux, enfin ! Je le regardais avec un amour profond. « Je t’aime ». Et ses paupières se rabattirent sur ses magnifiques yeux. Ce fut ses derniers mots. Je ne pensais pas que cela pouvait m’arriver en vrai, on ne voit que ceci dans les films quoi ! Apparemment non… Ma vie s’était écroulée quand il partit pour ne jamais revenir. Comment allai-je faire sans lui, sans sa tendresse, ses baisers, son amour pour moi, tout. Les médecins arrivaient en foule, se poussant, courant partout dans la pièce. Je fus sorti de la pièce pour au final, m’évanouir dans le couloir. Ce fut le dernier souvenir que j’eus de ce moment. Quelques instants après, ma grand-mère m’apprit qu’il était… mort. Ma joie de vivre s’était définitivement enfuie et enfoui en moi, à jamais. Qu’allai-je faire ? La vie n’allait définitivement plus être la même, à présent. Un mois passa. Me réfugiant dans le mannequinat, je ne vivais plus que pour ça pour ne plus penser, oublier tout ce qui m’entourer. Et pourtant, c’était tout le contraire. Deux mois. Je ne m’étais toujours pas remise de cette histoire, on ne s’en remet jamais à vrai dire.. Trois mois, déception suprême, il fallait que je change, que je bouge, ce n’était plus possible, surtout que ma grand-mère s’inquiétait de plus en plus à mon sujet. Je pris alors la décision de partir, à New-York. J’avais entendu de bon écho venant de Serena et ses parents alors c’était à mon tour, de briller à nouveau quelque part, loin de toute cette tragédie.
« Une vie sans émotion est une vie perdue. »
C’était une nouvelle vie pour moi, donnant toujours des nouvelles à ma grand-mère. Les Douglas n’étaient pas au courant de mon arrivé à NY, et je lui avais fait promettre à Naples de ne pas en parler. Je me suis lancée dans des études de médecine, plus précisément d’infirmière. Cela me réussissait plutôt bien, et je faisais ceci en hommage aussi à l’amour de ma vie qui était mort. Je n’ai toujours pas revenue Serena, mais j’ai eu des échos. Elle aussi avait changé. De petite fille gentille c’était tout l’inverse. Comme si nos personnalités avaient été échangées. Bizarre. Qu’arrivera-t-il si jamais je la recroise, je me le demande bien. Petit à petit j’arrive à me reconstruire mais il y a des hauts et des bas comme toujours, comme pour tout le monde, mais je me demande ce que l’avenir va encore me réserver.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Bibiii. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Keira la fabuleuse ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nope. ★Présence sur le forum → Le plus possible, c'est-à-dire souvent --> ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventééé
Mon exemple de RolePlay:
→ Tout le monde voulait jouer, le veut, mais peu de gens y arrivent. Beaucoup d'entre eux se prennent les pieds dans leur propre jeu, la partie relançait, les perdants sont toujours du même côté. On ne nait pas avec un gène d'assurance et d'aplomb qu'on ne peut déstabiliser, le temps joue lui-même sur nos personnalités, sur notre entourage, et surtout sur les êtres qui nous sont chers, ou bien de simples connaissances. Comme Stiyzanna. Elle voulait, ou plutôt, elle joue avec le feu, mais qui vend la peau ce l'ours avant de l'avoir tué est une mauvaise chose, tout le monde le sait pourtant. C'était l'impression qu'avait Estevan quand il l'entendait parler. Quiconque vous diras connaître la fin de leur discussion, leur relation, leurs ressentis et sentiments. Or, Estevan et Stiyzanna, c'était tout autre chose.. la relation qu'on ne peut cerner, impossible à qualifier. Impensable de ne pas avoir cette personne dans sa vie, et tout au contraire, imaginer tranquillement sa vie sans, une vie plus sereine et avec plus de folies sur le plan des relations. Il pouvait dire ce qu'il voulait, elle faisait travailler son esprit, un Delta, imaginez le tableau. Eux, les coureurs de jupons qui ne pensent qu'au sexe, d'après les préjugés, ceux qui n'ont aucun sentiment et attachement pour tel ou telle personne. Les apparences n'étaient, généralement pas trompeuses, pour leur cas. Des exceptions existaient, des Deltas casés, ils existent, rares certes, mais présent dans ce vaste monde, dans cette université et ses confréries toutes plus farfelues et délurées les unes que les autres. Tel les Deltas. Avec de la beauté à l'état pur, bien évidemment. A sa réflexion, un léger rire s’échappa de la bouche du jeune homme. Susceptible, tiens donc? Ils n’avaient donc pas la même définition du mot. Partir pour rejoindre quelqu’un d’autre, il ne disait que ce qu’il pensait, la vérité soit disant passant. A quoi bon rester à côté d’une femme qui est têtue comme pas possible, avec qui des orages étaient dans l’air. On ne lui avait donc jamais appris qu’il ne fallait pas jouer avec un Delta, encore moins le provoquer et lui faire ce genre de réflexions? Non Stiyzanna était une petite nouvelle dans ce milieu, il faut bien tout apprendre un jour, qu’on lui enseigne les règles des Deltas et leurs comportements. Comme celui d’Estevan avait en ce moment. Voulait-elle réellement apprendre les conséquences de telles réflexions envers lui? Il pouvait être adorable comme mec, mais quand une fille le cherchait trop, habituée à avoir ce qu’il voulait venant de la gente féminine, cette chère Stiyzanna n’allait pas faire long feu dans sa vie. Surtout si elle continuait dans ce sens là. Loin d’être susceptible ma chère, mais entraine toi à trouver de meilleures esquives la prochaine fois. Game on. On ne jouait pas avec lui, c’est lui qui s’amuser avec qui il voulait. Macho? Non, juste réaliste. Ils ne pouvaient reculer, elle commençait ; lui qui aimait jouer, aucune raison de ne pas continuer. Oui, fâcheux à dire pour les plus sensibles, mais il fallait apparemment être comme ça pour se faire respecter, qu’autrui ne vienne pas gâcher votre vie jour après jour pour pourvoir s’acharner sur vous ou bien d’autres choses encore, la vie n’est pas si belle qu’on peut l’imaginer, on l’apprend malheureusement à ses dépends. A l’inverse, avec ses erreurs qu’on avance non? Stiyzanna devait bien le comprendre, surtout en ce moment. Pas besoin de s’en mordre les doigts non plus, mais esquiver ses questions, ce n’était pas ce qu’il appréciait le plus au monde, en l’occurrence, elle venait de le faire. Too bad for her. Elle mentait, encore une fois. Elle ne voyait pas pourquoi le jeune homme la testerait, maintenant, alors qu’il y a deux minutes elle lui posait la question. Stiyzanna avait des idées derrières la tête, des pensées qu’elle ne voulait révéler, ne voulait lui révéler. La petite pouvait être futée, mais pas avec lui. D’une part il ne le connaissait que trop bien, tout ce temps passé avec elle pour justement, l’aider à s’ouvrir, profiter de son entourage, en particulier des hommes. Toutes ses mimiques, ils les connaissaient, tous ses gestes, toutes ses pensées pour tel ou telle occasion, il les savait d’avance. Choquant venant de la part d’un Delta? De s’attarder sur une fille en particulier? Peut être pour certains esprits beaucoup trop carrés à son goût, mais tout le monde à un cœur, malgré ce que l’on peut penser. Ce n’était pas de l’attachement à ce que l’on pourrait penser, plutôt de la sympathie pour quelqu’un, comme il en avait avec pas mal de monde. Elle ne lui avait rien fait, de l’avait pas énervé pour quelque chose, et bien d’autres choses, du moins pour le moment. Apparemment, ce ne serait tarder. Pauvre fille. Tu mens. Elle avait dit qu’elle arrêterait, et bien sa promesse était de courte durée dis donc. Oh mais quelle phrase, c’est quelle faisait des progrès la petite Stiyzanna. Elle se trahissait même par elle-même, par ses expressions, ajoutaient à ses paroles. Quelques instants auparavant, elle disait avoir des sentiments, et la connaissant, malgré ce qui lui ait arrivé étant petite de regrettable, tous les sentiments y passaient. Et bien sûr que oui elle a une tête à aimer. Qui ne trouverait pas sa bouille mignonne? Attendrissante qui a toujours un sourire aux lèvres, sauf quand elle est dans une phase garce contre quelqu’un. Dans ces cas là, il ne valait mieux pas être dans son rayon, mais sinon oui, elle avait une tête à aimer. L’aimer lui? Déclaration, elle venait de se trahir à nouveau. Si même elle venait de le dire, elle y avait surement pensé précédemment. Très perspicace cet Estevan. Stiyzanna était tombé sur la mauvaise personne pour ce genre de discussion. Mais ce n’est certainement pas lui qui allait la plaindre. Un léger rire s’échappa à nouveau de ses lèvres. Que pouvait-il réellement répondre à ces paroles? Aller droit au but sur ce sujet ou bien oublier? Rien de tout ça. Un sourire en coin sur sa bouche, il acquiesça d’un signe de tête. Réponse parfaite, sans trop en dire, gardant ses pensées, la jeune fille n’allait surement pas pouvoir rester sur place encore longtemps sans poser des questions, ce ne serait pas son caractère. Son caractère à aimer tiens. Elle voulait jouer à ça, yeux dans les yeux, ce ne serait pas lui qui lâcherait l’affaire en premier, trop d’aplomb de confiance en lui pour. Contrairement à elle, qui venait de le dire haut et fort. Elle s’emportait? Très bien, lui ne suivrait pas, au contraire, il était très calme et posé, rien ne servait de s’énerver, elle le faisait déjà très bien toute seule pour eux deux. Ah maintenant madame voulait avoir un titre spécial. Pour quoi faire? En quoi ceci lui tenait tant à cœur? Il avait juste affirmé qu’il ne la voyait pas comme une groupie de première, une de ses groupies, joke. Elle insistait lourdement, rien que le fait qu’elle l’appelle par son nom de famille le prouvait. Elle ne l’atteignait pas, rien ne l’atteignait. En tout cas, pas ses paroles, petite nature qu’elle était. Oh parce qu’il te faut un titre spécial maintenant? Il faudrait que je te fasse une place tellement exceptionnelle dans ma vie pour que tu puisses jouir d’un quelconque titre? Il ne savait que dire, ce n’était pas le genre de conversation qu’il avait l’habitude d’avoir, trop… accablante à son goût? Juste qu’il ne voyait pas l’intérêt de ce genre de conversations. Non parce qu’un titre… Il n’en voyait vraiment pas l’utilité. Elle venait de lui montrer son plus beau regard, trop d’honneur, vraiment. Se rapprochant, elle venait de dire l’exact contraire de ses paroles précédentes. Un jour serait-elle vraiment ce qu’elle voulait? Non apparemment non.. ce qui allait désespérer Estevan au bout d’un moment. On ne teste pas les limites d’un Delta, encore moins d’Estevan, c’est jouer avec le feu. Lui adressant un sourire des plus sarcastique, approchant son visage de la jeune femme, assez pour qu’elle en vienne même en sentir son souffle sur son visage. Oh vraiment? Je suis sûr que tu penses l’inverse à ce moment précis, ce ne sont que tes sentiments de surface que tu fais ressortir là, ta colère. Jouant du regard avec cette très chère Stiy’, le jeu était lancé. Je te connais, je connais tes réactions, tes sentiments quand tu es dans cet état là Sityzanna, ne le nie pas. Et tu n’es pas prête de changer. Mais soit, dit ce que tu veux, je n’en croirai pas un mot.
Le code règlement:
→ Code validé par la folle aux 5 comptes .
Dernière édition par Luna E. Burwell-Haverson le Dim 5 Aoû - 21:42, édité 24 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Ven 27 Juil - 22:39
Dernière édition par Luna E. Burwell-Haverson le Dim 5 Aoû - 22:20, édité 1 fois
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Ven 27 Juil - 22:42
Bienvenue parmi nous & bonne chance pour ta fiche N'hésites pas si tu as des questions
Cheyenne L. Pearson
Empire State of Mind
if you're going through hell, KEEP GOING.
▌INSCRIT LE : 14/01/2012
▌MESSAGES : 5706
▌AGE DU PERSO : 25
▌ADRESSE : 2515 Lexigton Avenue #402; Manhattan.
▌CÉLÉBRITÉ : Freida Pinto.
▌SMALL IDENTITY PHOTO :
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Ven 27 Juil - 22:42
Bienvenue chez nous
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Ven 27 Juil - 22:43
Oh deux administratrices d'un coup merci beaucoup à vous deux
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Ven 27 Juil - 22:58
Bienvenue parmi nous N'hésite pas si tu as besoin
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Ven 27 Juil - 23:05
Bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Ven 27 Juil - 23:10
Bienvenue parmi nous
Je valide le code du règlement qui est bon
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Ven 27 Juil - 23:12
Duncan M. Miller a écrit:
Bienvenue
Merci
Lux E. Sorensen a écrit:
Bienvenue parmi nous
Je valide le code du règlement qui est bon
Marie des aristochats, marie des aristochattsssssssssssssss merci beaucoup
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Ven 27 Juil - 23:25
MON LALALALALALALALA cette fois ci tu finis ta fiche ma choue s'il te plait en plus avec la greene
bienvenue ici ma belle si tu as des questions tu connais hein (a) bon courage pour ta fiche !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Ven 27 Juil - 23:28
maaa LALALALALAA oui maman promis, promis rouiii merciiiii ma bichette
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Sam 28 Juil - 0:08
des minions bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Sam 28 Juil - 11:28
Bienvenue parmi nous & Bon courage pour ta fiche
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Sam 28 Juil - 14:52
Bienvenue !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Sam 28 Juil - 16:46
bienvenuuuue, avec Ashley c'est même un giga-bon bienvenue ouais. bonne chance pour ta fiche.
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Sam 28 Juil - 16:58
Bienvenuuue !
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Sam 28 Juil - 18:06
bienvenuuue excellent choix, greene est tellement magnifique. & bon courage pour le reste de ta fiche
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Sam 28 Juil - 21:33
bienvenue.
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Sam 28 Juil - 23:17
Une autre personne a terminé sa fiche avec Ashley Greene, nous te laissons donc trois jours pour terminer la tienne avant de choisir la meilleure des deux
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Mer 1 Aoû - 13:35
Le délai étant passé l'avatar a était donné à l'autre personne, désolée. N'hésite pas si tu as besoin d'aide pour en trouver un autre
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Ven 3 Aoû - 21:00
Oui j'ai demandé à keira de me réserver blake lively donc donc si ça n'a pas été fait ça serait possible d'être fait s'il vous plaît?
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Ven 3 Aoû - 21:11
Luna E. Burwell-Haverson a écrit:
Oui j'ai demandé à keira de me réserver blake lively donc donc si ça n'a pas été fait ça serait possible d'être fait s'il vous plaît?
je te fais ça, (shame j'avais zappé ) elle t'est réservée 3 jours
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Ven 3 Aoû - 22:04
merci poulette
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Sam 4 Aoû - 12:50
Bienvenue
Invité
Empire State of Mind
Invité
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna Dim 5 Aoû - 17:31
Des nouvelles? En vue de la date à laquelle tu as posté ta fiche, je suis obligée de te considéré comme un membre en danger. Tu as une semaine avant d'être supprimée.
Contenu sponsorisé
Empire State of Mind
Sujet: Re: The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna
The trouble with trouble is, it starts out as fun. Luna