FEAT. ARTHUR DANIYAROV

RAPHAEL NOA PHILLIPS

21 ans → né à new york le 07/08/1988 → héritier d'un multimilliardaire
en couple → homosexuel → membre des playboys.

And who am i ?

★Quelles sont tes caractéristiques?
→ s'est vu offrir une carte gold par son parrain le jour de sa naissance × fils unique × n'a jamais été attiré par les femmes × a démoli le mur qui séparait deux chambres de son loft pour faire son dressing × est allergique aux fruits de mer × n'a jamais travaillé de sa vie et se laisse vivre sur la fortune de son paternel × adorerait avoir un grand frère pour veiller sur lui × se souvient chaque détail de sa rencontre avec son petit ami, alex, qui venait d'arriver en ville × a au naturel des yeux de la couleur du champagne, mais les cache sous des lentilles de couleur × attire beaucoup de femmes × possède quatre serpents et un énorme rottweiler, ainsi que trois chatons × accro à son portable × pique une crise dès qu'il voit des fringues jaunes × a la phobie des aiguilles × n'a toujours eu que des blackberry dès son plus jeune âge et ne changerait pour rien au monde × adore voyager × a une sainte horreur des armes à feu × a toujours la peau fraîche, même en plein été × possède une bonne douzaine de basses différentes × n'a jamais pris un petit déjeuner autre part que chez starbucks

★Quel est le caractère de ton personnage?
→ Raphael est remarquable par sa beauté. Il ne s'agit pas ici d'une beauté typiquement virile, celle de David de Michel-Ange ou d'Apollon du Belvédère. Le natif paraît quelque peu efféminé, avec ses traits très fins, ses mains délicates, son teint clair, ses cheveux soyeux qu'il aime porter longs, ses muscles discrets et son corps élancé.

Raphael plaît naturellement aux femmes. Il n'a nullement besoin d'aller chanter sous la fenêtre des belles orgueilleuses. Son charme irrésistible a tôt fait de le mettre dans l'embarras du choix dès sa plus tendre jeunesse.

Inutile de dire que Raphaël est un amant fougueux et infatigable. Tout homme qui l'a connu serait de cet avis et trouverait les autres hommes médiocres. Mais c'est aussi un amant insatiable qui aurait le plus grand mal du monde à se contenter d'un seul homme. Il est dans ses habitudes, ou du moins dans ses désirs, de mener de front plusieurs aventures amoureuses.

Par suite de ses nombreuses liaisons, le natif connaît en général une vie conjugale et familiale extrêmement embrouillée. On se demande comment il arrive à se retrouver dans ce dédale. Lorsqu'il a cessé d'aimer ou d'être aimé, on ne peut trouver en lui trace de déception ou de haine : il met simplement une croix sur l'ancien objet de sa passion et va à la recherche d'un autre, le cœoeur intact comme une table rase. La nature, semble-t-il, l'a immunisé contre le mal d'amour.

Raphael n'a pas peur non plus du mariage, probablement parce qu'à la différence de la plupart des hommes il n'y attache pas une importance capitale. Il se remariera volontiers après chaque divorce. Mais c'est en se livrant à ce jeu-là qu'il encourt les pires ennuis et risque d'y laisser santé, fortune, réputation et paix intérieure.

Lorsqu'il arrive à maîtriser son cœoeur inconstant, Raphael apparaît comme un être éminemment sage et honnête. Il tient en horreur les injustices et n'hésite pas à se battre en faveur des opprimés et des déshérités. On le voit alors se livrer à la politique ou à l'action syndicale où ses idées et son enthousiasme forcent l'admiration de tous.

Quoique plus brillant que la moyenne des mortels, Raphael ne cherche pas à tout comprendre et à tout expliquer. Il échappe ainsi à des angoisses inutiles dont bien des gens sont victimes, et jouit de la sérénité devant les énigmes de la vie. Il aime la vie, la croque à belles dents, et ne refuse point les douceurs qu'elle lui offre.

Pourtant, ce n'est pas un homme irréfléchi et superficiel. D'une curiosité insatiable, il s'intéresse à tout et notamment aux sciences susceptibles de donner la clé du comportement humain comme l'histoire, l'anthropologie, l'histoire de la philosophie, l'histoire des religions. Il comprend vite ce qu'il lit et peut avoir des pensées extrêmement intéressantes. On a aussi intérêt à solliciter ses conseils qui sont la plupart du temps d'une grande valeur.

Well... It's my story...

7 août 1991. Andrew devient fou, et la migraine qui le hante depuis le début de la matinée ne l’a toujours pas lâché. Mais qu’est ce qu’elle a à la fin à geindre, celle-là ? Ca fait bientôt cinq heures que sa conquête du moment, Victoria, gémit au moindre mouvement, se tenant le ventre complètement crispée en deux. Et franchement y’a rien de plus emmerdant que de l’entendre chouiner, cette pauvre fille. « Bon ça suffit tu m'rends dingue à gueuler comme ça ! J’t’emmène à l’hôpital » Certes la belle brune a refusé les six fois précédentes mais il la porte dans ses bras, ne lui laissant pas plus le choix. Il allait la filer aux médecins et ne viendrait la chercher que quand elle aurait cessé de pousser ces bruits qui le rendaient dingue.
Sur le trajet, le nouveau pdg de cette marque mobile qui gagne en puissance chaque jour, faillit envoyer six fois la voiture dans le décor tant il avait les nerfs à fleur de peau ; il frôlait la mort à chaque virage pour arriver plus vite à ce foutu hôpital, qui étrangement lui semblait ce soir si loin de chez lui. Ce fut donc un soulagement quand enfin il arriva en bas des urgences, où deux médecins vinrent immédiatement s’occuper de Victoria, qu’ils emmenèrent dieu sait où. Enfin un peu de calme ! Du moins … Pas pour longtemps. Lorsque le médecin vint le voir onze longues heures plus tard avec un bébé enveloppé dans une minuscule couverture bleue, ce fut son visage qui devint de cette même couleur. « Oh non … » geignit-il à son tour, effrayé comme on le serait face à un serpent géant ou un chien à trois têtes. Mais c’est bien vers lui que le docteur se dirigeait. « Félicitations. C’est un petit garçon »

4 septembre 1997. Le directeur regarde les deux garçons assis face à lui, et soupire une nouvelle fois en secouant la tête. Les explications ont été données, ne reste qu’à attendre les parents des enfants pour tirer cette situation au clair. Depuis quand on se bagarre dans une école bon sang. A six ans comment pouvaient-ils connaître autant de rancœur, autant d’insultes … Cette situation ne lui plaisait pas. C’était anormal. Malsain. Il se frotte le visage de ses mains alors qu’on frappe à la porte et la secrétaire laisse entrer les parents du petit Jamie. Une mère enlaidie par la fatigue, elle a vieilli trop vite, sa peau devient brunâtre à cause des cigarettes qu’elle fume à longueur de journée ; le père n’en parlons même pas. C’est un miracle qu’il ait l’air à peu près sobre aujourd’hui. Enfin … Ils s’asseyent et attendent tous dans le silence le plus gênant qui soit, seules les secondes qui passent cassant régulièrement le calme de la pièce. Et maintenant ils attendent.
Encore une fois la mère de Noa se fait prier. Elle arrive une bonne demi-heure en retard, comme si c’était tout naturel et que le directeur n’avait que ça à faire, et s’excuse en remettant d’une main parfaitement manucurée une mèche blonde derrière son oreille. Blonde parce que son mari aime les blondes. Habillée par un styliste personnel et parfaite jusqu’au bout des ongles, parce qu’il déteste les femmes négligées. Liftée à mort par le meilleur chirurgien esthétique de la côte est dans un vain espoir de paraitre plus jeune que ces pétasses de 20 ans dont Andrew partage le lit quatre ou six fois la semaine. « Désolée » lance-t-elle simplement avant de s’asseoir près de son fils, tout sauf l’air désolé. Le directeur lui répond d’un regard blasé et courroucé avant de commencer. « Bien. Il semblerait que ce matin vos deux garçons se soient battus en plein cours. La rentrée commence fort à ce que je vois, hm » Les Sanders froncent des sourcils, tandis que Victoria papillonne stupidement des cils. « Alors c’est forcément Jamie qui a commencé. Noa ne se bat jamais » « Et pourtant c’est lui qui a donné le premier coup » nuance le directeur « Sans compter la morsure sur la joue de Jamie. Heureusement que nous n’étions pas loin de l’infirmerie, il n’y a pas été de main morte. Ecoutez, vous devez apprendre à votre fils à encaisser les critiques qu’on peut formuler envers lui, et vous » continua-t-il patiemment en se tournant vers les parents de Jamie « devez apprendre à votre fils qu’un enfant n’est pas responsable des actes de son père. Noa n’y est pour rien si son père vous a viré » Le père, honteux, baisse les yeux et serre les poings. « Phillips est qu’un salaud. Viendra un jour où on le retrouvera au fond de l’Hudson et on trouvera personne pour le pleurer » Un ange passe. Que peut-on répondre face à une vérité universelle ? Le licenciement de 800 personnes, dont beaucoup avaient leurs enfants dans cette école, avait fait beaucoup de tort. « Quand je serai grand c’est moi qui commande » déclara Noa, osant pour la première fois depuis ce matin reprendre la parole. Quand il serait grand il reprendrait la succursale et tous ces employés le verraient comme un superhéros qui les sauverait du chômage et de la misère, de la crainte des factures impayées. « Papa il commandera plus ça sera que moi. Puis tout le monde aura du travail. Mais si Jamie me tape encore bah vous vous ramasserez que les cacas de chien »

1 janvier 2002. Noa n’a que onze ans, et pourtant il fait déjà le mur pour faire la fête avec ses « amis ». Enfin faire le mur c’était vite dit vu que personne ne se souciait de lui : les domestiques faisaient leur boulot, son précepteur était en vacances au ski avec sa famille, sa mère était partie depuis plusieurs heures à un gala ilnesavaitpastropquoi et son père, encore dans le lit d’une autre de ces minettes qui lorgnaient sur son compte en banque. Donc lui avait le champ libre pour traverser Manhattan et se diriger vers cette immense maison qui leur servirait de refuge pour la nuit. Une fois arrivé il fut vite entraîné par les autres au cœur de ce qui promettait d’être une fête digne d’une fin d’année … Et la fête commença.
Sans qu’il ne se rappelle trop comment il avait pu en arriver là, lorsqu’il rouvrit les yeux c’était avec un beau blond qui surplombait son corps nu du sien, prêt à s’immiscer en lui. Ce blond, il le connaissait. Ethan avait 17 ans et cela faisait bien un an que le beau Noa n’avait d’yeux que pour lui. Un vrai fantasme ambulant. Et allez savoir comment il s’était débrouillé mais ce soir c’était bien lui qu’Ethan avait choisi pour partager sa nuit. Alors qu’il avait la réputation d’un véritable salaud, le blond se montra particulièrement tendre, patient et prévenant avec lui. L’héritier se sentit fondre sous ses caresses ; ses baisers ne cessaient de faire battre son cœur plus fort, et leurs ébats avaient le don de le transporter dans un cocon de douceur et de plaisir suave qui n’appartenait qu’à eux. La perfection. Le paradis. Ce paradis, c’était la première fois qu’il le découvrait. Pas seulement avec son fantasme mais avec qui que ce soit. Et sa virginité voilà qu’il la perdait ce soir de nouvel an avec celui qu’il aimait. C’était magique … Mais qui aurait pu se douter qu’on pouvait se rhabiller si vite ? Noa papillonna des yeux et le regarda faire quelques secondes stupidement, encore abruti par les sensations qui l’avaient tant fait gémir. « Qu … Qu’est-ce que tu fais … Tu vas pas … T’en aller, hein … » Attendri, le blond sourit et vint l’embrasser. Qu’il pouvait être mignon de s’inquiéter comme ça. On aurait dit un chaton abandonné trop tôt par sa mère, encore tout effrayé par tout ce qui pouvait se passer autour de lui. « Non. Bien sûr que non. J’ai juste deux trois trucs à régler, et ensuite je reviens. Dors ma puce, ça sera pas très long » Naïf, le plus jeune acquiesça vaguement et laissa Morphée l’emporter, alors qu’Ethan s’en allait … Pour ne plus jamais revenir.

my little secret

★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → breaks, 21 bougies
★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → par pur hasard, et une touche de google x)
★Ce personnage est-il un double compte ? → naan
★Présence sur le forum → asqp (aussi souvent que possible)
★Personnage inventé ou scénario ? → inventé
★Crédit images → tekila pour l'avatar et LJ pour l'icon

Mon exemple de RolePlay:

Le code règlement:

Bienvenue officiellement parmi nous
N'hésite pas si tu as besoin

Bienvenue!

Merci les filles

Bienvenue à toi Bon courage pour ta fiche
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Bienvenue parmi nous
Excellent choix
& Bon courage pour ta fiche

Héhé merci

bienvenue

Welcome

Bienvenue!

Bienvenue parmi nous

L'avatar et le pseudo!!! :brigitte:

Je valide le code du règlement qui est on

Bienvenue & bonne chance pour ta fiche

Très, trèèèèès bon choix d'avatar.
Bienvenue parmi nous.

Bienvenue à toi & bon courage pour ta fiche

bienvenue parmi nous
bon courage pour ta fiche

Bienvenue !
Bonne chance pour ta fiche

Ouah so cute la personnalité sur ton avatar :brigitte:


BIENVENUE :10:

HNH !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! ...

L'homme de ma vie ce mec !!!!!!!!

Je dois avoir un lien avec toi ! Sinon ...

Et j'en oublierai presque de te dire BIENVENUE !
&& Bonne chance pour ta fiche !

Bienvenue

Bienvenue.

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Merci tout le monde

Et désolée, petit changement de personnage en cours de route

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