Sujet: your bullshit don't phase me - bindy Lun 19 Nov - 4:49
FEAT. ROSIE HUNTINGTON-WHITELEY
Bindy Odell Jacobs
24 ans → Né(e) à Los Angeles le 13/10/1988 → ancienne mannequin, étudiante en arts à columbia, chanteuse dans des bars. célibataire → hétérosexuelle → membre des beauty queens.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Lorsqu'on aperçois Bindy dans la rue, un ''umpff'' est inévitable. Effectivement, la jeune femme est éblouissante bien malgré elle. Sa chevelure et ses jambes sont interminables. Des longues cascades dorées retombent dans son dos légèrement bronzé. Ses yeux bleus sont d'une profondeur ahurissante tout en étant criants de sincérité. Ses lèvres pulpeuses savent également attiré les regards tout comme son sourire qui crève des coeur sur son chemin. Elle porte de percings aux oreilles. Elle a également deux petits tatouages tout discret. Un coeur tout près de la main et un autre tatouage sur la cheville. Malheureusement, la sublime demoiselle est allergique au chocolat, son visage devient tout enflé lorsqu'elle en mange. Heureusement, parce que sinon, elle n'aurait pas une taille aussi fine. Son style vestimentaire n'est pas très définie. En vrai, elle porte ce qui lui plait. Lorsqu'elle craque pour un morceau de tissus, elle ne tarde pas à l'acheter. C'est sur des coups de tête et de coeur que se forge sa garde-robe. Même si elle est assez aisée, elle ne porte pas que des vêtements griffés. Elle fait également les magasins grande surface et même les friperies : vous seriez étonnés de ce qu'on peux y trouver pour seulement cinq dollars. Elle est conquête, sans pour autant en mettre des tonnes. Elle préfère être le plus naturel possible. Pourtant, elle ne sortira jamais sans un peu de mascara, parce qu'elle à l'impression qu'elle en a besoin pour ne pas avoir l'air d'un cadavre. Elle n'est pas narcissique du tout, elle se trouve ordinaire comme fille et c'est justement ce qui fait d'elle quelqu'un d'encore plus magnifique.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Bindy fut autrefois connu, mais a été oubliée après s'être tenue pendant de longues années loin des feux de la rampe et des caméras. Certains ne l'ont pas oubliée et après s'est exilée, on croirait qu'elle est une personne qu'il est difficile d'approcher : pas du tout. Elle est très accessible, prête à parler et offrir des sourires à toutes les personnes s'adressant à elle. La jeune femme est l'une des plus souriantes que vous croiserez dans votre vie. Même lorqu'elle dort, un sourire est scotché à ses lèvres. Même lorsqu'elle pleure, on finis toujours par la faire sourire à travers ses larmes. Bindy est très sensible et a un coeur en or. Toujours prête à aider les autres sans attendre rien en retour, elle a du mal à refuser de donner un peu de monnaie à un itinérant sans s'en vouloir, elle ferait tout même pour quelqu'un qu'elle ne connait pas. Pourtant, les personnes gentilles, sont souvent sujettes aux attaques diverses. Il est facile de la faire pleurer, même si elle sait se défendre sans pour autant attaquer l'autre personne. Bindy aime. Elle aime la vie, elle l'art avec passion, elle aime les gens qui l'entourent. Elle est passionnée dans tout ce qu'elle fait et elle est très affectueuse avec les gens rapidement. Dès la première rencontre, vous pourriez la quittée avec une accolade généreuse et son numéro. Elle aime les gens, elle adore discuter et faire de nouvelles rencontre. C'est une bavarde invétérée qu'on devait toujours faire taire dans les classes du lycée. Elle a besoin de contacts humains tous les jours pour être heureuse. Pourtant, elle ne ressent pas le besoin urgent et pressant de se caser. Elle est bien dans son célibat, même si elle n'en profite pas pour se taper tout ce qui bouge. Elle a eut quelques histoires depuis son arrivée à New-York, mais ce n'était pas mecs au hasard lors de soirées qu'elle ramenait chez-elle (même si c'est déjà arrivé un fois ou deux, foutue alcool). Elle est indépendante et n'as besoin de personne au niveau amoureux pour valider son existence. C'est une artiste, tout ce qu'elle touche se transforme en oeuvre d'art, non seulement pour sa beauté, mais pour le sens que ses oeuvres prennent. Elle crée tous les jours, elle fait de toiles, des sculptures, des dessins, écris des chansons, compose de la musique ou invente des chorégraphies. C'est une artiste accomplie qui, malgré tout, à dernièrement eut une grosse baisse niveau créatif. Pourtant, étant très imaginative, cela ne tardera surement pas à revenir. Elle est très attachante de par sa gentillesse et la fascination qu'elle provoque chez les gens qu'elle croise. Non seulement est-elle flamboyante, mais elle est également distinguée dans sa façon d'être, de parler, de marcher, de vivre. Charmante sans pour autant être une charmeuse invétérée, c'est malgré elle qu'elle vole les coeur sur son passage. Expressive en plus d'être très honnête, ni son visage ne son coeur ne sauront vous mentir. Sans pour autant être directe, elle trouvera une façons douce de vous dire les choses. Elle est influente malgré elle, parfois elle s'en rend compte, mais elle n'aura jamais la prétention de se déclarée ainsi. Effectivement, elle est très modeste et n'est pas fan de la popularité qui l'as toujours collée à la peau depuis qu'elle est petite. Elle n'affectionne pas la reconnaissante et à du mal à prendre les compliments. C'est une jeune femme très intelligente, stable et studieuse. Perfectionniste dans sa vie et son art, elle ne sait quand s'arrêter, elle veux toujours plus de perfection et met des heures folles de travaille dans tout ce qu'elle fait. Rêveuse, il n'est pas rare de la voir perdue dans ses pensées débordantes. Elle a malgré tout des défauts comme celui d'être impatiente. Elle n'aime pas attendre, elle soupire, elle bougotte, elle ne supporte tout simplement pas. Pourtant elle ne deviendra pas désagréable pour le moins. Elle est également très entêtée, lorsqu'elle veux quelque chose ou qu'elle a une idée, ne tentez pas le l'en détournée.
Well... It's my story...
Ils étaient beaux, ils étaient jeunes, ils étaient célèbres, ils avaient tout pour eux. Il était un producteur de films connu et reconnu pour faire chef d'oeuvres sur chef d'oeuvre. Ils furent tous surpris lorsque le réalisateur demanda à une mannequin magnifique de tenir le premier rôle de son film. Ils avaient tous des doutes sur les talents d'actrice de la belle, mais ils ne furent pas déçus. La critique acclama sa performance ainsi que toute l'équipe du film. Personne ne se doutait de se qui s'était fait derrière les caméras, après les tournages et qui était bien réel. Le réalisateur était tombé amoureux de son actrice autrefois mannequin. Ils se fréquentaient peu avant qu'il n'offre le rôle à sa muse. Leur amour se vivait dans le plus grand des secrets, loin des yeux et des oreilles indiscrètes. Pourtant, ils n'eurent d'autre choix que de révéler leur relation au grand jour lorsqu'on appris que l'actrice au corps de déesse était enceinte du réalisateur. À partir de cet instant, Los Angeles en entier perdit la tête. La paparazzi et la presse à potin s'en donnaient à coeur-joie. Leur relation était très médiatisée malgré tous les efforts qu'ils mettaient en place pour éviter cela. La naissance de la petite princesse ne fut pas épargnée. Les première photos de l'enfant valaient tout l'or du monde. Bindy Odell Jacobs, fille de Kurt Jacobs et Sally Brook-Jacobs de par leur mariage. L'enfant était magnifique et les gens étaient tout simplement émerveillés par la demoiselle. Son enfance fut médiatisée et donc ses parents décidèrent d'en profiter pour lui offrir une carrière. La petite commença très jeune les concours de beauté tout en étant le vissage d'une compagnie de produits pour enfants. On ne la connaissait que parce qu'elle était adorable, angélique, mais cela ne tarda pas à changer alors qu'elle grandissait. Elle passait d'enfant à adolescente aux allures de femme. Laissant tomber les concours de beauté pour se consacrée à une carrière de mannequin alors qu'elle faisait partie intégrante de se monde superficiel où le seul but est de faire du pognon. Au début, elle appréciait. Des garçons tournaient autour d'elle et elle se laissait amadouée, mais elle eut très rapidement le coeur brisé plus d'une fois. La pression montait avec les années qui s'accumulaient. Elle eut des problèmes d’anorexie, de consommation de drogues et de d'abus d'alcool. Ses parents n'étaient pas très fiers de la voir prendre ce chemin sinueux en étant impuissant. Une vidéo pornographique d'elle fut prise pendant une soirée beaucoup trop arrosée et ce fut le début de la fin. Après s'être assuré que toutes traces de cette vidéo était disparue, ils lui donnèrent le choix entre la thérapie ou quitter la famille et se retrouver à la rue. Elle n'eut pas vraiment le choix. Le centre Betty Ford de la Californie fut sa maison pour un long et douloureux moment. Elle eut beaucoup de mal à se sortir de cet enfer auquel elle était affreusement accrochée. Le plus dur fut pourtant de vaincre son anorexie qui la menaçait de mort. C'est l'une des raisons pour laquelle elle a toujours du mal à se trouver jolie et à prendre le compliments. De dix-huit jusqu'à vingt ans, elle y fut enfermée jusqu'à ce qu'elle aille enfin mieux. Elle rentrait à Los Angeles auprès de ses parents, mais elle n'y resta pas longtemps. Elle ne supportait plus toute la pression de la célébrité. Après un an à fuir les caméras, elle alla vivre à New-York loin de tout ce bordel pour avoir la paix. Elle fut heureuse d'être une étrangère pour beaucoup, c'était une nouvelle vie qui s'offrait à elle. Bien entendu, son logement dans l'Upper East Side (gracieuseté de ses parents) attira bien des curieux vers l'ancienne célébrité. Pourtant elle a réussis à y mener une vie tranquille où elle peux désormais se consacrée à sa passion pour l'art tout en étudiant dans ce domaine à l'université. Il y a maintenant trois ans qu'elle s'est installée et rien n'as changé. Elle fait de tout ce qui a à trait à l'art, sans pour autant chercher à être connue. Elle est plutôt en démarche artistique pour l'instant. Rien de nouveau après trois ans, elle est restée célibataire, pas de mec, pas de bague, ni bébé, ni rien de tout cela, elle a récemment redécoré son appartement, elle a toujours le même entourage qu'elle adore et elle a un petit chat qu'elle traite comme son propre enfant. Toujours considérée comme une princesse plutôt qu'une artiste parce qu'elle reste discrète sur ses talents artistiques. C'est pire depuis une semaine, parce qu'elle est vidée de toute inspiration. Elle n'arrive plus à écrire quoi que ce soit de nouveau, à peindre quelque chose de potable ou dessiner quelque chose de convainquant. Pourtant elle ne s'inquiète pas, cela lui permet de sortir d'avantage alors qu'elle cherche l'inspiration partout où elle pourrait se manifester.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → alexee/acidwolf. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → à cause de Sandrine ma femme ★Ce personnage est-il un double compte ? → Si, si. :brigitte: ★Présence sur le forum → Tout le temps. ★Personnage inventé ou scénario ? → Inventé ★Crédit images → Tumblr.
Mon exemple de RolePlay:
→ Avant même qu'il n'ouvre les yeux, quelques sensations dérangèrent Amen pour le tirer d'un sommeil pourtant reposant. Premièrement, une petite main froide qui se glissait sur son ventre trop mince y engouffrant ses ongles pour s'y retenir comme à une bouée. Ensuite ce fut la mal de crâne qui le fit froncer des sourcils tandis qu'il léchait ses lèvres trop sèches par la nuit qu'il venait de passer. Ensuite, ce fut le mal de cœur, l'envie de se lever et de gerber partout. Ravalant ce mal cruel, le jeune homme ouvrit ses yeux avec douceur, la lumière du jour l'agressant étrangement. Merde, où était-il ? Chez-lui il ne faisait pas aussi clair quel que soit l'heure ou la circonstance. Heureusement qu'il n'était pas chez-lui. Chomsky ne se souvenait plus de ce qu'il avait fait la veille, mais il savait au moins qu'il n'avait pas ramené une meuf chez-lui alors qu'il devrait la foutre dehors. Ses yeux s'habituaient de façon définitive à la lumière alors qu'il regardait celle avec qui il avait passé. La nuit. Une magnifique blonde au corps voluptueux se trouvait à ses côtés dans un énorme lit blanc dans une pièce beaucoup trop lumineuse. Il devait avoir pris quelque chose de sacrément fort, parce qu'il n'avait même pas le souvenir d'avoir rencontré cette demoiselle. Il n'était pourtant pas au bout de son incompréhension. Tandis qu'il observait perversement le corps de la belle au bois dormant, une main arrivait de derrière lui pour venir caresser ses fesses nues avec une douceur étonnante. L'égyptien sursauta pour se retourner. Putain, mais c'était qu'il se faisait des bons plans qu'il n'avait malheureusement pas la chance de se rappeler. Une rouquine à l'apparence douce et sage avait apparemment passé la nuit en compagnie d'Amen et de la délicieuse blonde. Leurs noms et leurs visages lui étaient totalement inconnus et à vrai dire, il s'en balançait royalement. Il avait passé une bonne soirée et probablement qu'elles aussi. Sans trop faire attention aux demoiselles, l'ogre décidait de se lever du lit. Pourtant, alors qu'il posait ses pieds au bout du lit, son cœur s'arrêta de nouveau. Il avait failli écraser le bras d'une fille nue, enlacée avec une autre au pied de leur lit. Putain, mais qu'est-ce qu'ils avaient fait ? Amen se levait, complètement à poil comme toutes les personnes présentes dans la pièce. Pourtant, pas une trace de vêtements sur le sol. Il s'étira, puis décida d'approfondir sa recherche. Rien sous les couvertures ni le lit. C'était à n'y rien comprendre. Soit ils étaient tous arrivés ici sans vêtements, soit quelqu'un les avaient volés. Il cherchait le pourquoi du comment alors qu'il se décidait à ouvrir les tiroirs de la commode de cette fameuse chambre. Apparemment, c'était celle d'une fille et évidemment, il était tombé sur le tiroir de petites culottes, le premier, c'était un classique. À croire que les femmes le faisaient exprès. Bref, il n'allait tout de même pas se foutre une culotte de femme dessus pour se couvrir. Il ouvrit donc les autres tiroirs pour finalement en ressortir un pantalon jogging noir et potable qu'il enfila sans plus attendre. Relevant ses yeux azurs, quelque chose le troubla profondément, sur le meuble qu'il venait de dévaliser reposait une caméra. Peu importe ce qu'ils avaient fait, ils avaient probablement été filmés. Le jeune homme amoché décida donc de s'enfuir avec l'appareil pour se remémorer cette soirée. Ne prenant même pas la peine de cacher l'objet ou encore de ne pas faire de bruits, il sortit de la pièce en claquant la porte. Croyant être dans une immense chambre d'un petit appartement, il eut de nouveau le souffle coupé. Il était dans une immense baraque de gosses de riches. Impossible qu'il soit à une fête à Kassiopéi l'avait traînée. Les enfants des gens aisées n'étaient pas aussi débauchés. Effectivement, la maison avait l'air d'un champ de bataille. Le sol était jonché des vestiges de ce qui semblait avoir été une immense sauterie. Il n'y avait pas deux centimètres du sol qui n'était pas recouvert du cadavre dénudé d'un fêtard, de bouteilles, des verres d'alcool, de vêtements, de vomis ou d'autres trucs louches. Le jeune fêtard portait sa main libre vers son crâne sensible alors qu'il soupirait longuement devant ce désastre, heureusement que ce n'était pas chez-lui. L'orphelin se frayait un chemin parmi le champ de bataille alors qu'il dû revenir trois fois sur ses pas pour trouver une putain de sortie. Il jurait et grognait sans pour autant croiser qui que ce soit d'éveillés. C'était à croire qu'ils étaient tous profondément morts. Enfin, Chomsky atteignait une porte, pouvant ainsi aspirer à plein poumons l'air frais de ce qui semblait être un après-midi. Pourtant, il était dans la cours extérieure clôturée. Il jura encore et encore alors qu'il devait faire le tour du château pour arriver à retrouver la rue. L'extérieur de l'habitation n'avait pas meilleure allure que l'intérieur. Définitivement, quelqu'un avait organisé l'open house du siècle. Aucuns souvenirs de cette magnifique nuit n’étaient dans sa mémoire. C'était le vide total. Il ne savait pas comment il était arrivé ici ni quand ni comment ni avec qui ni pourquoi. Il était torse nu et ne savait pas du tout où il était. C'était une bonne façon de commencer la journée. Autours il n'y avait que des arbres à perte de vue. Aucuns gratte-ciel, bordel, pour vu qu'il était toujours dans l'état de New York. Tout ce qu'il voulait c'était rentrer chez-lui et retrouver son lit.
Soupirant longuement, regardant à gauche puis à droite sans savoir dans quelle direction allée. Instinctivement, il choisit la gauche alors qu'il commençait à marcher sans grande conviction. Ses muscles lui faisaient mal tandis que sa tête lui rappelait qu'il avait surement abusé de quelques substances que ce soit. Heureusement après quelques minutes, il aboutit sur une rue. Il était à New York, dans un quartier résidentiel beaucoup trop chic où il détonnait vachement. Le pire fut lorsqu'il croisa une dame sur la rue pour lui demander des directions. Son air dégoûté alors qu'elle ne manquait pas de fixer son cou couvert de suçons et son torse légèrement égratigné par les tigresses. Adressant un sourire arrogant à cette pouffiasse de dame riche que son marie devait tromper avec plusieurs maîtresses tellement elle était emmerdante. Elle lui pointant une direction tout en ajoutant que c'était à vingt minutes à pied. Il grogna avant de se mettre en route. Putain. S'il avait su, il aurait réveillé les demoiselles dans son lit pour leur demander si elles avaient des bagnoles. Il ne put faire autrement que ce tapé le trajet en marchant et en grognant. Il tentait d'ignorer les gens qu'ils croisaient pour se concentrer à se souvenir de la fête de débauche totale. Pourtant il en était incapable. Amen ne faisait que pousser des jurons alors qu’une maman changeait de trottoir avec sa fille tandis qu'elles le croisaient. Pfttt... D'ici une vingtaine d'année, sa précieuse princesse se retrouverait peut-être dans la même maison de débauche que venait de quitter le garçon. Pourtant, il continuait d’avancer, même s'il avait envie de se laisser mourir dans la pelouse trop verte de ce quartier. Il se motivait à songeait à son lit en bordel dans sa microscopique chambre. Quelques coins de rue plus loin, il ne se retrouvait que plus enfoncer dans la merde. Il n'avait pas l'ombre d'un centime sur lui et pas la moindre preuve d'identité ni quoi que ce soit. Il aurait pu aller demander de l'aide à un policier traînant non-loin. Pourtant le dealer préférait se tenir loin de ses merdes et de leurs questions. C'est ainsi qu'il tenta de demander la charité dans le métro. On sait tous pourtant que les gens du genre sont habituellement évités. Pas Amen, il était près du téléphone alors qu'il cherchait une magnifique proie. Trouvant une douce enfant aux cheveux ébène, il s'approcha d'elle en charmeur pour lui expliquer qu'il avait perdu son porte-monnaie et qu'il était vachement loin de chez-lui. La demoiselle rigola doucement avant de lui filer assez d'argent pour qu'il fasse quelques appels. Heureusement, parce que c'est ce qu'il dû faire avant de finalement rejoindre quelqu'un. Tout cela fut pénible, il devait attendre dans le métro pour que l'un de ses colocataires vienne le rejoindre avec son portefeuille qu'ils avaient retrouvés à la porte de l'appartement du jeune homme accompagné de ses vêtements avec une note disant '' en espérant que t'ai passé une bonne soirée. '' Amen fulminait au bout du téléphone lorsqu'il apprit que ce coup de merde était anonyme. Il trépignait dans le métro pendant un bon trente minutes avant que Dash ne se pointe avec ses trucs, ne manquant pas de lui demander à qui il avait piqué cette caméra. Il rigola faussement avant de récupéré ses effets et d'enfin prendre le métro pour se rendre chez eux. Déposant sa tête sur l'épaule de Dash alors qu'inévitablement, son colocataire venait glisser sa main dans la sienne avec une douceur indescriptible. Habituellement, Amen aurait défait ce contact, imposant ainsi les limites de leur relation, une fois de plus. Pourtant il n’en avait pas la force. Il était si épuisé qu’il ne pensait qu’à se laisser tomber dans son lit et dormir paisiblement.
Ils rentrèrent donc dans l’appartement, Dash traînant un Amen qui chancelait de fatigue. Il était déjà dans un autre monde, rigolant de fatigue devant les efforts de son ami pour le traîner jusqu’à sa chambre. Il était mou comme un bout de tissus et n’aidait en rien le jeune homme à se rendre jusqu’à son lit. Dash n’était pas assez musclé pour le porter sur ses épaules, donc il faisait du mieux qu’il pouvait. Le reposant contre son torse pour refermer la porte alors qu’il le tirait avec douceur dans le couloir menant aux chambre jusqu’à ce qu’il pousse la porte de la chambre d’Amen pour se laisser tomber dans son lit avec lui. Pas besoin de vous faire un dessin, il était hors de question pour son colocataire de partir de la chambre du jeune homme. Celui-ci déposait sur le sol d’un geste mou la caméra qu’il tenait toujours. Dash récupérait le visage de son Amen entre ses mains, caressant sa joue du bout des doigts alors qu’il admirait son visage d’ange déjà endormis. Habituellement, Amen lui aurait dit de foutre le camp, parce que ce n’était pas une bonne idée qu’ils soient si près tous les deux, mais présentement il dormait déjà. Son colocataire qui n’en était pas certain, décida de vérifier le tout. Approchant son visage de celui de Chomsky pour s’emparer sensuellement des lèvres du fêtard. Elles restaient molles et sans vie, ne répondant pas à ses caresses charnelle. Un immense soupir de découragement s’échappa des lèvres du jeune brun tandis qu’il se contentait de se coller contre Amen, l’entourant de ses bras pour déposer sa tête sur son torse.
Ils s’endormirent ainsi, ne se réveillant qu’aux environ de quatre heure à cause du ventre d’Amen qui gargouillait de faim. Amen avait dormit, mais ses rêves n’avaient étés calme pour autant. Pendant toutes ses heures, il était revenu sur ses terres de sable, dans son village natal que sa mémoire déformait certainement de par le nombre d’années qui s’était écoulée. Entre deux maisons, il voyait pendant des brefs instants, le visage de son père, vivant. Sans attendre un instant de plus, Amen courrait pour le rattraper, mais il n’allait jamais assez vite. Il avait chaud, son corps dégoulinait de sueur alors que sa gorge était sèche. Chaque fois qu’il l’entrevoyait, son père disparaissait de nouveau. Il passait ainsi tout son temps à tenter de la rattraper, hurlant et pleurant toutes les larmes de son corps fictif. Il rêvait qu’il tombait dans des trous dont il se sortait avec peine et misère pendant sa course. Il rêvait qu’il se blessait alors qu’une balle l’atteignait en plein ventre. Il se prit même le pied dans un piège, coupant son propre pied avec une pierre alors qu’il souffrait. Il continuait tout de même à se traîner, jusqu’à ce que son père soit coincé au bord d’un précipice. Il se retournait alors vers lui, souriant doucement pour venir réchauffer le cœur de son fil. Puis il se jetait dans le vide. Amen hurlait et tentait de faire de même. Il se jetait dans le vide à la suite de son père alors qu’il se réveillait en sursaute, son ventre lui faisant toujours mal. Il ouvrait ses yeux pour se découvrir étroitement enlacé à l’un de ses meilleurs potes, il soupira doucement. Depuis qu’il connaissait Dash, il l’adorait et même s’il l’attirait affreusement et qu’ils avaient même déjà succombé à la tentation une fois, il ne cessait de se répéter qu’ils ne pouvaient plus. Dash était déjà beaucoup trop attaché à lui et ils ne pouvaient devenir des amies de couchette sans que le tout ne devienne affreusement compliqué avec des sentiments que le romantique jeune homme ressentirait face au cœur de pierre qu’était l’égyptien. Il ne pouvait s’empêcher d’être terroriser à l’idée de le perdre. D’une certaine façon, c’était la preuve qu’il tenait bel et bien à son amitié. Justement, il lui tenait trop pour risquer de la gâcher d’une quelconque façon. Ainsi il se levait, réveillant son ami sans le vouloir. Dash n’était pas comme les traînés de ce matin. Non seulement il n’était pas nu contre lui, mais Amenhotep lui vouait beaucoup de respect et ne voulait donc pas le réveiller brutalement.
Ils se regardaient en souriant bêtement tandis qu’Amen ne pouvait s’empêcher d’avoir envie de déposer un baiser sur ses lèvres. Envie qu’il tue, tentant de se concentrer sur son appétit qui l’avait réveillé. Il se plaint donc comme un gamin auprès de son coloc, lui disant qu’il a une faim de loup et qu’il était trop lâche pour faire la cuisine, qu’il préférait de loin rester à crever de faim. Dash souriait tout aussi tendrement que son ami alors qu’il lui annonçait qu’il allait leur préparer ses pâtes spéciales. Un immense sourire s’afficha sur le visage d’Amen alors qu’il fichait un baiser mouillé sur la joue de l’autre garçon. Il se levait d’un bon, signalant qu’il allait prendre une douche pendant que Dash se levait doucement dans l’intention d’aller leur faire à manger. Putain qu’il l’aimait. Souvent même trop. Amen se disait qu’il était trop attaché au jeune homme et que cela pouvait devenir dangereux. Il l’aimait tellement, même si ce n’était qu’amicalement, qu’il ne pouvait s’empêcher de se demander comment il survivrait s’il finissait par le perdre alors que la mort lui arracherait de nouveau celui qu’il avait trouvé comme un frère. Amen se dénuda sans verrouiller sa porte, filant sous le jet, en évitant soigneusement les premiers filets d'eau qu’il détestait tant. Habituellement, il se lavait en moins de trois minutes, mais en cet instant il profitait de sa douche. Le jet brûlant contre sa peau qui risquait de fondre tellement l’eau était bouillante. Il arrivait même à effrayer les keratinocytes sous sa peau. Pourtant il était affreusement bien, se prélassant jusqu’à ce que sa peau devienne plissée. Sa tête et ses muscles profitaient de cette chaleur réconfortante pour guérir leurs maux. Il se décidait enfin à sortir, enroulant une serviette autour de sa taille pour se rendre jusqu’à sa chambre. Pourtant, l’odeur délectable de la sauce spéciale l’attira à se rendre jusqu’à la cuisine. Rejoignant son ami alors qu’il passait son nez au-dessus de son épaule pour renifler le tout. Il embrassait doucement son cou, lui murmurant qu’il était le dieu des marmites avant de ne s’enfuir vers sa chambre pour se vêtir. Comme à son habitude, il ne mit pas de haut, se faufilant dans un pyjama des Simpson alors qu’il retournait dans la cuisine pour retrouver le chef et attendre le repas avec fermeté. S’asseyant à la table non loin alors qu’il prenait une bière et s’allumait une clope pour s’asseoir tranquillement. Adossé au mur près du dossier de sa chaise tandis que ses jambes étaient repliées sur lui et qu’il aspirait longuement le poison de sa nicotine en admirant peut-être un peu trop affectueusement celui qui lui préparait son repas. Malgré son excès de tendresse, Amen se réveilla soudainement en se rappelant un peu plus loin que lorsqu’il s’était réveillé en parfaite harmonie avec Dash. Ce matin à l’origine, il était revenu d’une fête et pour lui s’était le néant. Il devait savoir, tout savoir. Se levant subitement avec une putain, Amen apporta sa clope pour se rendre dans sa chambre. Il s’assied dans son lit, tenant sa cigarette fermement avec sa bouche tandis qu’il prenait la caméra en cherchant à la faire marcher. Il mit le tout en marche tandis que l’horreur de sa soirée se révélait à lui.
« Amen, j’suis contente de te voir. » Disait une jeune femme dont la voix lui était inconnue. Il entendait sa propre voix résonner alors qu’il n’avait aucune idée de ce moment précis. Son visage montrait déjà qu’il n’avait plus toute sa tête alors qu’il s’approchait de la caméraman pour l’embrasser on ne sait trop où. Il se reculait alors qu’elle fichait la caméra dans son visage. Il fronçait les sourcils pour la regarder. « Qu’est-ce que tu fiche avec ça poupée ? » Elle gloussait doucement avant de ne lui dire « Je ne voudrais oublier cette soirée pour rien au monde. » Amen souriait bêtement avant que le reste de la soirée ne se déroule sous ses yeux en petits flash. Amen sniffant une ligne sur le ventre de la personne tenant la caméra. Lui se jetant d’un toit jusque dans une piscine en faisant un flip arrière qui aurait pu être très dangereux étant donné sa condition. Un verre dans lequel on versait un liquide incolore. Amen qui buvait un verre. Amen qui était complètement parti tandis qu’une fille était sur lui à l’embrasser, puis une autre arrivait derrière. Puis troisième et enfin un quatrième. Ils étaient tous sur lui alors qu’il avait l’impression de se faire violer. Vous ne voulez même pas savoir tout ce que ses filles firent à Amen, il en avait des hauts le cœur. Assez pour être fâché contre cette personne dont il ignorait complètement l’identité. « Arrêtez, c’est plus drôle ! » Hurlait-il, en sueur, suppliant des yeux la caméraman. Elle rigolait doucement tandis qu’elle s’approchait de lui et qu’elle donnait la caméra à une autre fille. Par-dessus lui, la magnifique rousse ne pouvait être plus reconnaissable. « Tu veux qu’on arrête pauvre petit ? » Il hochait de la tête vigoureusement, des larmes à ses yeux causées par la douleur qu’il avait ressentie. La connasse approchait son visage du sien alors qu’on aurait cru qu’elle allait l’embrasser. « La prochaine fois, avant de faire mal à une fille, t’y pensera à deux fois. C’est tout ce que tu mérites. » Dit-elle cruellement avant de ne lui foutre une claque magistrale. Enfonçant ensuite ses ongles dans son torse tandis qu’il se tordait de douleur et qu’il ne pouvait rien faire pour se défendre ou se libérer.
« CHOMSKY ! À LA BOUFFE BÉBÉ ! » Il fermait brusquement la caméra qu’il s’empressait de foutre dans ses tiroirs. Ce qu’il avait cru être une soirée d’orgie avec des magnifiques jeunes femmes avait plutôt été la vengeance d’une fille à qui il avait autrefois fait de la peine et qui avait voulu se venger. La haine en lui était terrible, il voulait voir son sang coulé et le tout ce soir. Pour l’instant, il se devait de faire comme si de rien n’était et aller manger. Personne ne devait savoir cela, personne ne devait voir cette vidéo. Il était dans un état affreux alors qu’il se dirigeait vers la cuisine et s’empressait de se fondre sur l’assiette pour la dévorer, me laissant pas sa bouche vide une seule seconde et espérant ainsi ne pas avoir à parler. Dans sa tête déjà germaient les idées de son prochain coup contre la demoiselle à qui il devait rendre la pareille. Il dévora le plat délicieux alors qu’il callait la bière qu’il s’était ouverte. Se contentant de se relever pour embrasser Dash beaucoup trop près de ses lèvres, le remerciant tout en lui disant qu’il avait une affaire urgente ce soir et que demain, ils se devaient de passer du temps de qualité ensemble. Le serrant dans ses bras pour se calmer un peu alors qu’il filait dans sa chambre avec son paquet de clopes et une autre bière. Il devait la trouver ce soir et il ne pouvait pourtant pas lui envoyer tout bonnement un message pour le lui demander où elle était. Il cherchait de ses amies dans ses nombreux contacts comprenant bon nombre de clients. Il mit un bon moment avant de n’avoir des nouvelles. Pourtant il n’était pas le genre de mecs à passer ses journées à envoyer des textos. Ce soir oui. Après une heure quinze à fumer et envoyer des SMS, il découvrit que la belle devait se rendre au Club Exit ce soir vers vingt-deux heures. Il jetait un coup d’œil à son cadran alors qu’il échappait un juron. Il était vingt et une heure quarante, il n’y arriverait jamais. Il enfila rapidement des vêtements descends, un t-shirt noir don les manches avaient étés découpées pour laisser voir ses tatouages ainsi qu’un jean troué et des baskets oranges s’annonçaient être sa tenue de soirée. Il apporta son portefeuille, quelques drogues pour s’assurer que son coup soit parfait, ses clés, son portable, puis il s’évada. Courant jusqu’au métro pour se rendre jusqu’à Brooklyn. Sa course de Métro dura environ une heure trente, résultat, il arrivait au Club Exit vers environ 23h05. Envoyant aussitôt un message à la gourde qui l’avait envoyée ici, sans pour autant perdre son temps pour rentrer dans l’établissement. Son téléphone ne tarda pas à vibrer alors qu’elle lui répondit : Elle vient tout juste de partir avec un mec, meilleure chance la prochaine fois. S’il n’avait pas été dans un bar, il aurait probablement hurlé de rage. Voilà que tout son plan tombait à l’eau. Il se dirigea vers les bars, ne tardant pas à commander trois shooter qu’il avala les uns après les autres sans se faire prier. Commandant ensuite une bière. Il voulait oublier, tout oublier parce que c’était douloureux. Parce qu’elle était cruelle et qu’il avait mal partout. Il voulait que tous ses maux physiques disparaissent, qu’il ne ressent plus rien. Ainsi, il ne tarda pas à avaler un comprimé de poussière de fée l’aider à ne plus rien ressentir.
Après avoir avalé le tout, son regard triste se posait sur la piste de danse. Il buvait tranquillement sa bière jusqu’à ce qu’il l’aperçoive. La minuscule blonde au corps de déesse était de la fête. Probablement dans le même état que lui, elle se frottait sur un mec qui semblait un peu trop apprécier la chose. Amen les regardaient alors que montait en lui l’envie de foutre la merde rien que pour s’amuser. Il n’était pas jaloux, même si c’était ce qu’il voulait lui faire croire, pour la garder rien que pour elle de façon égoïste. Lorsque Lena et lui s’étaient rencontrés pour la première, Amen avait su qu’ils ne s’en sortiraient pas intacts. Ils étaient deux enfants au passé troubles se retrouvant dans la même famille d’accueil alors qu’on leur permettait d’être un peu trop près. Ils fumaient, ils buvaient, ils parlaient alors qu’ils étaient très tactiles ensembles. Amen avait l’impression que pour la première fois de sa vie, quelqu’un se souciait de lui. Il aimait avoir de l’importance pour quelqu’un, même si ce n’était pas réciproque. Ainsi il faisait tout pour l’isoler des autres jeunes des environs et garder toute son affection rien que pour lui. Puis soudainement, on le blessa alors que sa bouée de sauvetage était jetée par-dessus bord. Ils se faisaient l’amour comme des perdus, sachant que c’était ce qu’ils étaient. Verrouillant la porte de la chambre d’Amen, n’hésitant pas à faire trembler les murs de la maison alors que leurs corps se mélangeaient pour la première et la dernière fois. Puis on lui arracha et Amen détruisit une fenêtre et un mur sous l’effet de sa colère. Il se jurait de retrouver Lena l’un de ses jours. C’est ainsi qu’un jour, la télévision ouverte mentionna son nom. À partir de ce moment, Amen se mit à chercher partout pour en apprendre plus sur elle, son passé, son présent, son futur. Elle était dans les environs de New York et c’est ainsi qu’Amen se jura d’y aller un jour. Jamais il n’aurait cru y rester si longtemps, jamais il n’aurait cru se sentir autant chez-lui. Lena restait pour lui une obsession, sans pour autant qu’on ne puisse parler de sentiments affectifs ou amoureux. Il avait besoin de son attention. Il avait besoin de sombrer dans le vice avec elle. Il avait besoin de l’entendre parler, il voulait qu’elle se confie à lui pour qu’il puisse ensuite se confier à elle. Il voulait partager son passé ressemblant au sien, il voulait être compris et savoir s’il était le seul être à se sentir comme il se sentait tous les jours. Il voulait savoir si c’était normal qu’il soit aussi taré. Il voulait savoir si elle avait autant besoin que lui de faire mal aux gens, de se faire mal pour se prouver à quel point elle est insensible. Il voulait savoir si la mort l’attirait autant que lui. Amen voulait tout simplement se voir dans le reflet des yeux de Wates.
Il serrait ses poings, sans se demander si cette émotion était réelle ou créer de toutes pièces. Il ressentait véritablement l’agressivité à l’intérieur de lui. C’était probablement la drogue qu’il avait consommé. Peu lui importait. Ses yeux ne quittaient pas Lena tandis qu’elle le remarquait, un sourire moqueur à ses lèvres de princesse tandis que l’étranger déposait des baisers dans son cou délicieux. Ce mec allait le payer très cher, le pauvre. Il déposait ses mains sur le ventre de la magnifique blonde. Putain, son ventre, qu’est-ce qu’il aimait son ventre. L’embrasser doucement, le caresser avec lenteur alors qu’il sentait ses os à travers. Il ne pouvait se laisser faire ainsi, surtout qu’elle le fixait sans cesse pour le provoquer. S’en était trop, il fit cul sec de sa bière tandis qu’il se levait du siège où il avait pris place. Elle regardait Amen avec son air de vierge innocente qui ne fait rien de mal tout en hochant négativement de la tête. Pourtant, il voyait toute la perversité dans ses fesses qui se collaient sur le bellâtre qui n’avait rien à voir avec elle et qui ne voulait que se la faire dans les toilettes. Les lèvres de la belle bougeaient silencieusement alors qu’il ne pouvait discerner que ‘’wrong’’ et ‘’babe’’ sur sa bouche délicieuse. Il s’en fichait, il commençait à avancer vers elle à travers la foule. Il ne la quittait pas des yeux une seule seconde tandis que son sourire pervers ne disait rien qui vaille. Amen avait une idée bien précise en tête. Une idée don la jeune femme ne se serait même pas doutée alors qu’elle l’avait su se lever pour aller la voir. Elle croyait probablement qu’il serait allé en foutre un au bâtard derrière elle ? Eh bien non. Amen s’avançait près d’elle, jusqu’à ce que son ventre soit contre celui de la demoiselle que les deux garçons surplombaient par leur grandeur. Il adressait un dernier sourire à la demoiselle avant de ne poser son regard de charmeur sur l’homme de l’autre côté d’elle. C’était le genre de barbie masculine qui ne l’attirait pas tellement, mais tant pis. Amen attrapa le visage du jeune homme alors qu’il se mit à l’embrasser passionnément. Quoi de mieux pour offusquer la jeune femme que de lui voler son propre partenaire de soirée. Les deux jeunes hommes s’embrassaient à plein bouche alors que Lena était coincée entre eux, impuissante alors qu’elle devait se sentir comme étant de trop. Il n’arrêtait pas, redoublant même de vigueur en attendant une réaction de la jeune femme. Elle devait cesser son cinéma et ne se consacrer qu’à lui, sinon Amen s’amuserait à rendre sa soirée infernale. Il avait tant de haine à déverser qu’il ne pouvait en faire autrement. Il voulait que quelqu’un paie pour ce qu’on lui avait fait. Il en voulait à la terre entière et ce soir, c’était contre la seule personne qui pouvait le comprendre qu’il se retournait. Des envies contradictoires se battaient en lui face à la jeune femme. Il voulait lui faire mal parce qu’elle l’avait provoquée. Il voulait danser contre elle tendrement alors qu’elle ne serait qu’à lui et à lui seul. Il ne voulait pas être ici. Il voulait être dans une chambre avec Lena alors qu’ils seraient seuls au monde. Il voulait parler sans rien dire. Il voulait lui faire la guerre, il voulait lui faire la tendresse. Il voulait l’emprisonner et la garder pour lui sans pourtant jamais ne lui appartenir en échange. Amen avait surtout mal. Il était en mal de vivre et ce soir, c’était pire que tout. Après la mésaventure d’hier, il voulait se venger et montrer à la vie ce dont il était capable. Il voulait lui montrer, à cette chienne de vie qu’elle avait beau le foutre aussi bas qu’elle voulait, il ne deviendrait pas quelqu’un de bien. Amen était lui-même convaincu d’être un être pourrit de l’intérieur. Dès qu’il était né, sa vie avait été gâchée par un futur qu’on lui annonçait déjà trouble. Voir ses parents se faire assassiné n’avait qu’aider à le jeter dans le canyon du vice près duquel il rodait déjà. Si ce n’était pas son père qui se serait fait assassiné, s’aurait été lui, plus tard alors qu’il prenait sa relève. Son rêve ultime était de retourner en Égypte et de venger ses parents. Pourtant faire cela ne le mènerait qu’à sa propre mort. Sa mort dont il se fichait. Souvent, il se demandait pourquoi vivre. Pourquoi vivre alors qu’il ressentait autant de douleur à l’intérieur de lui. La douleur prenait toute la place et étouffait tous les autres sentiments. Jamais il ne pourrait être heureux et avoir une belle vie, simplement parce qu’il ne le voulait pas. Il ne voulait pas oublier son passé et commencer à vivre. Ça le hantait dans ses cauchemars, même ceux éveillés. Alors qu’Amen embrassait cet homme qu’il lui était tout aussi inconnu qu’à Lena, c’était presque avec désespoir. Il l’embrassait avec toute la rage qu’il possédait à l’intérieur de lui. Il perdait la tête de plus en plus et risquait bien de lui foutre son point dans la gueule juste après l’avoir embrassé passionnément si mademoiselle Wates ne se décidait pas à mettre fin à ce carnage.
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Dernière édition par Bindy O. Jacobs le Mar 20 Nov - 4:55, édité 10 fois
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Sujet: Re: your bullshit don't phase me - bindy Lun 19 Nov - 4:53
+1 au cas
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Sujet: Re: your bullshit don't phase me - bindy Lun 19 Nov - 6:38
Citation :
à cause de Sandrine ma femme
T'es la meilleure, tu le sais, hein? Re-bienvenue parmi nous
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Sujet: Re: your bullshit don't phase me - bindy Lun 19 Nov - 10:19
Haaaa, j'adore ton ava'. :3 Rebienvenue !
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Sujet: Re: your bullshit don't phase me - bindy Lun 19 Nov - 11:15
rebienvenue ici le parfum burberry sur lequel y a rosie sent divinement bon
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Sujet: Re: your bullshit don't phase me - bindy Lun 19 Nov - 11:21
Rebienvenue :brigitte: On es tous les deux de Los Angeles !
Dernière édition par Hunter Brunkhorst le Lun 19 Nov - 12:22, édité 1 fois
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Sujet: Re: your bullshit don't phase me - bindy Lun 19 Nov - 12:08
Re-Bienvenue Bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: your bullshit don't phase me - bindy Lun 19 Nov - 12:28
Re-bienvenue & courage pour ta fiche Il faudrait indiquer en sous titre la célébrité choisie stp
Je valide le code du règlement =)
Katerina M. Lehtonen
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what doesn't kill you makes you stronger
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Sujet: Re: your bullshit don't phase me - bindy Lun 19 Nov - 12:51
re-bienvenue
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Sujet: Re: your bullshit don't phase me - bindy Lun 19 Nov - 13:51
Zechariah S.D. Venturi a écrit:
Citation :
à cause de Sandrine ma femme
T'es la meilleure, tu le sais, hein? Re-bienvenue parmi nous
Oh nan, toi t'es la meilleure. :brigitte: Merci
Kayla M. Worthington a écrit:
Haaaa, j'adore ton ava'. :3 Rebienvenue !
C'est gentil, merci beaucoup.
Serena L. Douglas a écrit:
rebienvenue ici le parfum burberry sur lequel y a rosie sent divinement bon
Je ne sais pas du tout, faudrait que je foute mon nez la dessus un jour, mais je n'en doute pas.
Hunter Brunkhorst a écrit:
Rebienvenue :brigitte: On es tous les deux de Los Angeles !
Ça sent le lien ça J'attend des millions de MPs de ta part, encore.
Dylan L. Cooper a écrit:
Re-Bienvenue Bon courage pour ta fiche
Merci beaucoup ma puce
Savannah L.-A. Walsh a écrit:
Re-bienvenue & courage pour ta fiche Il faudrait indiquer en sous titre la célébrité choisie stp
Je valide le code du règlement =)
parfait, je le fais de ce pas. Merci à toi aussi
Katerina M. Lehtonen a écrit:
re-bienvenue
Merci tout plein
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Sujet: Re: your bullshit don't phase me - bindy Lun 19 Nov - 14:09
Bindy O. Jacobs a écrit:
Hunter Brunkhorst a écrit:
Rebienvenue :brigitte: On es tous les deux de Los Angeles !
Ça sent le lien ça J'attend des millions de MPs de ta part, encore.
T'en as pas marre que je te réponde au tac au tac ? Bon courage pour ta fiche et pour le lien, c'est O-BLI-GE
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Sujet: Re: your bullshit don't phase me - bindy Lun 19 Nov - 14:10
Rebienvenue
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Sujet: Re: your bullshit don't phase me - bindy Lun 19 Nov - 14:12
Hunter Brunkhorst a écrit:
Bindy O. Jacobs a écrit:
Hunter Brunkhorst a écrit:
Rebienvenue :brigitte: On es tous les deux de Los Angeles !
Ça sent le lien ça J'attend des millions de MPs de ta part, encore.
T'en as pas marre que je te réponde au tac au tac ? Bon courage pour ta fiche et pour le lien, c'est O-BLI-GE
Tu plaisante ? J'adore ça et je t'adore toi. :brigitte:
Mike D. Spencer a écrit:
Rebienvenue
Merci beaucoup
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Sujet: Re: your bullshit don't phase me - bindy Lun 19 Nov - 17:07
rebienvenuuue. bon courage pour ta ficheeeeeeeeeee.
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Sujet: Re: your bullshit don't phase me - bindy Lun 19 Nov - 19:54
Re-bienvenue!
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Sujet: Re: your bullshit don't phase me - bindy Lun 19 Nov - 19:58
Bienvenueee
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Sujet: Re: your bullshit don't phase me - bindy Lun 19 Nov - 20:03
Bienvenue sur le forum *-*
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Sujet: Re: your bullshit don't phase me - bindy Lun 19 Nov - 20:29
Rebienvenue parmi nouuus. J'ai hâte de lire ta fiche pour voir quel personnage tu vas nous sortir.
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Sujet: Re: your bullshit don't phase me - bindy Lun 19 Nov - 20:34
welcome !
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Sujet: Re: your bullshit don't phase me - bindy Mar 20 Nov - 1:17
Sujet: Re: your bullshit don't phase me - bindy Mar 20 Nov - 1:21
Bienvenue
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Sujet: Re: your bullshit don't phase me - bindy Mar 20 Nov - 1:25
Je vais faire simple : Merci à tous. C'est à cause de vous si je fais un deuxième compte. Vous êtes trop des bêtes, trop des anges, je vous kiffe, voilà, c'est tout. :brigitte:
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Sujet: Re: your bullshit don't phase me - bindy Mar 20 Nov - 11:01
Validée !
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Sujet: Re: your bullshit don't phase me - bindy Mar 20 Nov - 13:54
Merci beaucoup petite chérie. :brigitte:
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Sujet: Re: your bullshit don't phase me - bindy
your bullshit don't phase me - bindy
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