Sujet: VSM "elle a le charme du diable" Dim 30 Sep - 2:10
FEAT. GINTA LAPINA
Valentina Scar Léo MCALLISTAIR
20 ans → Né(e) à Venice (Los Angeles) le 25/12/1991 → études de droit célibataire → hétérosexuel(le) → membre des Populars.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → On me donne un air narquois, un air sûr de moi et peut-être même hautain. La première impression est souvent la plus importante et pourtant elle ne reflète en rien ce que je suis vraiment mais ça, je ne le démontre jamais. Grande et mince, long cheveux blonds, grands yeux bleus et teint presque blafard, mon visage enfantin et innocent me donne le droit au surnom de reine des glaces. Hum ... Rien que ça. J'ai la mauvaise habitude de dévisager les gens ce qui n'améliore pas l'opinion qu'ils se font de moi. Pourtant, ma prestance et mon allure me donne au moins l'avantage que ces mêmes personnes essayeront malgré tout de me connaître ou du moins, de faire semblant de le vouloir au cas où je serais l'une de ces pestes superficielles et qu'un jour je jette mon courroux sur l'un deux. Avoir un ami dans ses rangs c'est bien, une ennemie c'est encore mieux. Je reflète pourtant une image totalement fausse de qui je suis mais ça, ils n'ont pas à le savoir. Garde robe avant-gardiste et souvent complètement décalée, j'aime montrer ma différence sur la vision que j'ai du monde.
★Quel est le caractère de ton personnage? → On dit des gens que lorsqu'il y a trauma, on se renforce, on se créé une résistance à tous les chocs qui pourraient arriver dans la vie et on s'endurcit pour ne pas sombrer dans la dépression. Pourtant, j'ai l'impression d'être le genre de fille fragile, qui pourrait se déstabiliser pour un rien. Je n'ai rien d'une forte tête au fond bien que je ne fais qu'induire en erreur les gens vis à vis de ce que je suis vraiment. J'ai un don pour ça. Faire semblant pour oublier le passé, pour me reconstruire. J'ai toujours été d'une franchise indéniable et souvent j'en blesse plus d'un malgré mes intentions. Mais lorsque finalement, je me retrouve devant une situation que je ne sais démêler, je me perd, je cherche mes mots et finit souvent par briser l'image de fille sûre d'elle, manipulatrice et nombriliste. Cette image donne le sens du pouvoir. Montrer que vous en avez et les ennuis n'iront pas vers vous car ils vous éviteront comme la peste. Plus que déterminée à changer de vie, je ferais tout ce qu'il faut pour que rien ne vienne déranger ce que j’essaie de me construire à présent, quoi qu'il en coûte ...
Well... It's my story...
On ne se sent souvent chez soit que lorsqu'on est entouré des personnes que l'on aime. Je ne sais pas qui j'aime. J'aime les lectures qui s'éternisent durant la nuit, j'aime les films qui me font frissonner de peur et pourtant que je continue à regarder jusqu'au bout, enfouie à moitié sous la couette. J'aime la glace à la vanille et les rires d'enfants. Mais qui j'aime ? J'avais aimé ma mère et mon père, j'avais idolâtré mon frère Devon et aimé encore plus qu'il ne le savait, son ami Hunter. Mais j'avais l'impression que parler de ces personnes c'était comme de retourner dans un cauchemar. Une nuit froide où tout avait tourné, où ma vie avait changé. C'était à cause de ces personnes que j'avais vécu ce passé agité et aujourd'hui, repenser à mon affection pour eux ne faisait que me faire d'avantage de mal. Ces visages faisaient partit de mon passé et pour me reconstruire je ne pouvais y repenser; Et pourtant ...
J'étais née le jour de Noël et pourtant, pas sous une bonne étoile. Mes parents et moi vivions à Venice et alors que les années de ma petite enfance s'écoulaient sans aucun problème, celles qui représentaient mon adolescences allaient être les plus sombres de ma vie. On dit que lorsqu'on sombre dans l'alcool, cela signifie qu'il y a quelque chose dans notre vie qui nous trouble, qui ne nous permet plus d'avancer et qui ne fait que s’immiscer dans nos rêves pour ne jamais nous laisser en paix. Alors on se penche vers la première bouteille qui traîne et on absorbe ce liquide qui brûle nos gorges et nos démons. Pourtant, mes parents avaient tout. Du moins, de mon regard d'adolescente, je n'avais jamais compris pourquoi un tel revirement de situation. Ils buvaient constamment. D'abord pour des repas amicaux puis ensuite seuls, entre eux puis finalement, vint l'alcoolisme et cette fatalité avec laquelle on voit ces mêmes personnes s'entêter dans un chemin qu'on dénigre. Je ne comprenais pas à l'époque pourtant mes parents avaient besoin de ça pour vivre. Une dépression, une vie qu'ils ne voulaient pas ? Qu'importe, même si je les aimais, le souvenir de leurs mines égarées me rappelait que finalement, la vue de leurs enfants ne leur faisait ni chaud ni froid. Et puis vint les cris et les larmes. Devon était partit pour étudier, ses six ans de plus lui donnait au moins la satisfaction de pouvoir être indépendant dorénavant. Mais pour moi, c'était bien différent. J'en voulais à ma mère pour son inactivité, sa manière de rester vautrée dans le canapé mais j'espérais toujours qu'elle recommencerait à me sourire comme avant. Il n'en fut rien. Mon père devint violent avec l'alcool et se mit à nous frapper toutes les deux. J'allais me barricader dans ma chambre, nous enfermant toutes deux, ma mère et moi pendant des heures en espérant que la crise de mon père passerait. Mais elle ne passait jamais. Alors je prenais des coups et j'encaissais. Des fois je me débattais, pour ma mère. Je le repoussais en espérant qu'il s'étale de tout son long et que l'alcool lui fasse perdre connaissance. Mais rien n'y faisait, mes réactions ne faisaient qu'attiser un peu plus sa colère. Il n'y avait que lorsqu'on mon frère revenait à la maison que les choses s'arrangeaient un peu. Il tenait tête à mon père et malgré les quelques coups qu'il prenait, il me prenait toujours son son bras et me sortais de la maison pour que j'oublie ce monde dans lequel je vivais. et je vivais alors pour une nuit dans un autre ...
Devon ne m'avait jamais vraiment expliqué ce qu'il faisait de sa vie mais vu tout l'argent qu'il me ramenait pour faire faire le semblant de famille qu'il me restait, je me disais bien qu'il y avait quelque chose d'anormal là-dedans. Je ne lui avais pourtant jamais posé de questions et j'aurais été bien sotte de vouloir lui reprocher quoi que ce soit. On était né dans un monde pourri, le mieux pour s'en sortir c'était de faire tout ce qu'on pouvait faire et dans notre cas, on ne pouvait se donner de limites. J'étais peureuse, lui aventurier. Il faisait ça pour moi et je lui en était toujours reconnaissante. Je connu vite sa petite bande d'amis, avec laquelle il passait ses journées à essayer de feindre une vie normale de jeunes gens plus ou moins fréquentables. C'est lorsque leurs magouilles se mettaient en place que je fis la connaissance tout d'abord de Nathaniel. Il était aussi le petit frère d'un des amis de Devon et cela faisait de nous, des amis liés par le secret des actions de la bande ... Ce fut grâce à lui que je fis la connaissance de Hunter. Il était l'ami le plus proche de mon frère et avait la même mine de mauvais garçon mais il m'attirait d'une manière que je ne pouvais concevoir. J'avais le visage de l'innocence même et lui celui de quelqu'un qui attirait les ennuis et pourtant, dès la première fois que nous nous étions parlés, j'étais sûre de foncer dans quelque chose d'incompréhensible. ça avait été le cas. Cette sensation je ne l'avais jamais connu. Je n'avais jamais éprouvé ce sentiment envers un homme et je comprenais pourquoi on pouvait en avoir peur. C'était comme une dépendance, une drogue, on y goutait et c'était finit, on ne pouvait s'en passer. Ce fut son premier baiser qui alluma en moi la sonnerie d'alarme. Devon me l'avait toujours dis : si tu veux t'en sortir Valentina, ne t'attache à personne. Pas ici en tout cas, pas dans la merde dans laquelle on est plongée actuellement. Ne compte que sur moi et toi seule. J'avais toujours été d'accord avec ses paroles puisque je vénérais chacune de ses idées mais je n'avais pas prévu que quelqu'un me fasse dévier du chemin qu'avait tracé pour moi Devon. Alors je pensais à Hunter pour encaisser les coups de mon père, je pensais à la tendresse dont il faisait preuve envers moi malgré ses airs de mauvais garçon pour me tenir éveiller dans un monde où il n'aurait fallut que s'endormir à jamais.
Et puis il y avait eu les coups à la porte. Des coups incessants, interminables qui m'avais éveillés de la torpeur dans laquelle je me trouvais. J'avais avancé comme un robot vers le bout du couloir. J'avais passé une nuit de terreur à attendre que mon père deigne cesser d'hurler pour que je lui ouvre. Il avait finalement renoncé vers 4heures du matin mais je n'avais pas fermé l'oeil de la nuit. J'avais les traits tirés, des cernes qui s'éternisaient en dessous de mes yeux et l'éclat de mon regard se ternissait avec l'appréhension. La porte s'était ouverte et deux agents de la police m'avait fait face. Je n'avais pas souris, je ne m'étais pas inquiétée et n'avais presque pas posé de question. J'avais juste soupirer et m'étais avancée pour refermer la porte derrière nous. Il était hors de question que mes parents apprennent ce que mon frère trafiquait. Et pourtant, la nouvelle n'avait rien d'aussi "conventionnelle". J'avais eu un temps d'arrêt, mon coeur avait manqué un battement et mes genoux avaient tremblé pour qu'enfin je vacille sans pouvoir me retenir. Je ne me rappelais pas grand chose de la scène. J'avais dû perdre la mémoire pendant quelques secondes. Pertes de la vue, de tous mes sens. J'avais sombré sous le choc. Je n'avais pu sortir aucun mot et était demeuré là, à genoux, à trembler, le regard dans le vide, l'air stupéfait par l'annonce que les policiers venaient de faire. Mon frère était mort, trois de ses amis l'étaient aussi et seul Hunter était entre la vie et la mort. J'avais enfin réalisé après un temps qui me semblait incertain et les larmes avaient roulé et un cri avait alors fusé de ma gorge. Un cri de détresse. On aurait pu croire à un animal qu'on achevait tellement toute la détresse que j'encaissais depuis des années s'y était insérée. J'avais hurlé comme si on m'achevait. On m'avait soulevé du sol et amené à l'hôpital. J'avais dû reconnaître le corps de mon frère et avait détruit tout ce qu'il était possible de détruire autour de moi. J'étais rentrée ensuite chez moi, avait pris des affaires et étais partie. J'emménageais dans un vieil entrepôt désaffecté pour la nuit et le lendemain je me rendis de nouveau à l'hôpital pour voir Hunter. On me parla de sa paralysie, des problèmes qu'il rencontrait en ce moment mais je n'entendais pas les infirmières qui m'expliquais la situation. J'étais comme dans une bulle. Une bulle où les sons et les visages ne passaient pas. J'étais un corps inerte qui ne voulait que s'écrouler pour ne plus jamais se relever. Mais je l'avais fait, en m'accrochant à l'espoir qu'Hunter irait mieux, qu'on surmonterait ça ensemble. J'avais pleuré sur lui, je lui avait parlé de ce que je ressentais pour lui alors que j'étais à son chevet. J'avais aussi hurlé sur lui, ne comprenant pas comment tout ça c'était passé, en demandant des explications. Et moi je retournais m'allonger contre lui, les larmes roulant sur mes joues. Il était la seule chose à laquelle me raccrocher désormais...
Mais même cette lueur d'espoir s'est évanouie. Il avait été le conducteur lors du crash de la voiture dans laquelle ils se trouvaient tous. Un accident de voiture, à cette vitesse, ça ne fait pas de cadeau. J'avais envisagé le fait qu'il n'y pouvait rien, qu'il n'avait pu éviter un fou sur la route mais je ne voulais pas me mentir à moi-même. Il avait peut-être tué mon frère en essayant de jouer à je ne savais quoi. Il était celui qu'avait tué mon frère. Les mots se joignaient dans ma tête sans que je ne puisse réaliser. L'homme que j'aimais venais de comettre l'irréparable. Je l'aimais mais il m'avais détruite. Alors je m'était réfugié chez la seule personne qui n'avait rien à voir avec tout ça, Nathaniel. Mais même sa présence ne me rassurait plus. Tout avait changé et nous avais changé. On sortait mais on ne se parlait pratiquement plus. c'était comme si, avec cette accident, nous étions devenus comme deux parfaits étrangers l'un pour l'autre. Alors on avait céssé de s'entêter et il avait disparu lui aussi de ma vie. Je n'avais pas souffert cette fois. D'ailleurs je m'étais demandée plusieurs fois si j'arriverais à ressentir quelque chose de nouveau. C'était comme si plus rien ne me touchait, que j'étais incenssible à la douleur tellement je venais d'en subir ses conséquences.
Et puis je décida d'avancer. Je pris mes valises et sauta dans le premier train que je trouva grâce à l'argent que Devon m'avait laissé. Je me dirigea vers New York, la ville du renouveau, celle qui vous promettais de nouveau départ plein d'espoir. de l'espoir je n'en avais plus mais pour mon frère je me devais de changer de vie et d'enfin suivre la voix qu'il aurait depuis toujours, voulu que j'empreinte. Je me forgea un mental d'acier. Je ne pouvais me permettre de subir les évènnements qui se déroulaient autour de moi comme je l'avais toujours fait. Il n'y avait plus personne pour m'aider ou me dicter ce que je devais faire. Alors je devais dorénavant me débrouiller toute seule pour tout ce que j'entreprendrais. J'avais peur de l'inconnue. J'étais tétanisée par cette ville et n'étais pas sûre de réussir à faire quoi que ce soit mais c'était cette voix dans ma tête qui m'obligeais à continuer. Pour Devon ... Alors j'avais étudier, étudier et étudier sans relâche. Je m'inscrivis à de nombreux cours de théâtre, danse et autres types d'art qui me permettait d'exprimer tout ce que je ressentais; J'étais pour ainsi dire l'une des meilleures sans que je n'ai jamais rien fait de particulier pour le devenir. On appelait ça quelque chose d'ïnouie. Je ne le voyais pas ainsi mais à en voir les regards inquisiteurs des autres filles, je comprenais que cela avait de l'importance dans la vie de tous les jours; Etre la meilleure, devenir la meilleure, celle que tout le monde regarde. Alors je m'étais inscrite en fac de droit. Défendre ainsi des causes, batailler pour ses idées ... Une sensation étrange de vouloir rendre la justice, de vouloir remettre en place ce qui se devait d'être à sa place. Des études donc, qui étaient parfaites pour moi. Je pris des petits boulots en tout genre et finis par me dégotter un petit appartement. De par les cours de théâtre que je prenais, je vis rapidement que j'avais un don pour jouer la comédie et je me forgea donc une nouvelle moi. Une fille avec une poigne de fer, qui pouvait dénigrer tout le monde d'un simple regard, une garce, une reine, une fille qui tenait sa vie à pleine main et qui n'avait pas froid aux yeux. J'intimais le respect et la crainte de par cet aspect et cela me convenait parfaitement. Cela évitait pour ainsi dire, les questions qui pourraient se lier à mon passé. Des fois malheureusement j'en venais à vouloir devenir réellement cette personne, cette fille factice que j'avais créé. Je buvais, fumer, essayait de m'éclater comme une diva comme elle l'aurait fait. Mais chaque lendemain je regrettais. Ce n'était pas moi mais l'ancienne moi, représentait mon passé et je devais l'oublier. Alors j'errais entre deux filles. Celle que j'étais et celle que j'aurais dû être. On peut bien essayer de tracer une ligne droite vers son futur, notre futur dépendra toujours de notre passé ... Je n'imaginais pas à quel point, cette citation pouvait se révéler exacte...
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Laura ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Via le top site obsession ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nop ^^. ★Présence sur le forum → 6/7 j ★Personnage inventé ou scénario ? → scénario ★Crédit images → bazzart
Mon exemple de RolePlay:
→ Je culpabilisais plus que tout. Malgré mes grands airs, devant lui, à l'intérieur, je n'avais plus l'air de rien. J'avalais ses paroles qu'avec peine et à chaque fois qu'un souvenir me ramenait à cette histoire, je me sentais tressaillir. Comment avais-je pu lui faire ça ? Comment ? Peut-être que toutes les réponses aux questions que je posais finiraient par sortir en temps et en heure. Malheureusement, je ne voulais pas savoir le dénouement de tout cela. J'avais peur de réveiller d'anciens souvenirs, d'anciens sentiments enfouis. Lorsque je le regardais, là, dans les yeux, j'avais l'impression de faire un bond dans le passé. Ce pourrait-il que je me sois éloignée de lui simplement parce que j'avais peur d'éprouver plus que de l'amitié pour lui ? Se pourrait-il qu'en voyant Jamie, je m'étais accroché à lui, aux sentiments que j'avais développé pour cette homme tout simplement pour oublier que je pourrais jamais avoir de vie tranquille ? Une vie où j'aurais pu être avec Jayan sans qu'autre chose que des paroles amicales soient prononcées ? Tout cela m'était venu d'un coup en plongeant mon regard dans celui de Jayan et cela me fit prendre conscience que quelque chose s'était déclenché lorsque je l'avais revu. Quelque chose de bien plus fort et que je ne voulais pas laisser sortir. J'avais peur. Une peur bleue de découvrir que je pouvais encore ressentir, aimer et souffrir. Il était hors de question que je perde de nouveau pied et de voir qu'en faîtes, tout ce que j'avais toujours ressentit pour Jayan n'avait pas disparu mais avait été enfuit au fond de moi. Maintenant tout ressortait et j'avais comme l'impression que j'allais encore tout gâcher. Que tout cela allait encore tout détruire et j'avais peur. Peur de ne pas réussir à faire semblant, peur car je ressentais ces sentiments qui m'avaient détruites auprès de Jamie, peur de tout. Peur de son regard, de ses mots, de sa bouche qui m'attirait, peur de ses mains qui frôlaient mon corps et mon cœur sans qu'il ne l’aperçoive ... Alors je restais plantée devant lui, à écouter ses mots, à me prélasser le long de son corps, à lui intimer de ne plus y penser alors qu'en faîtes, j'étais pire encore et ne faisais que ressasser tout ce qui nous était arrivé depuis le début. Il avait fallut le retour de Jayan dans ma vie pour que tout soit perturbé au fond de moi. Depuis je doutais constamment et sans le vouloir, des choses me revenaient, des souvenirs se transformaient et me montraient alors une autre facette d'eux que je n'avais pas encore réalisés et compris. j'avais l'impression de découvrir mon passé sous un autre angle, de me redécouvrir et d'apprendre sur moi. C'était très frustrant et j'aurais bien voulu que cesse toute cette agitation. Surtout que je ne voulais rien montrer. Je ne pouvais pas, je voulais pouvoir rester dans les bras de Jayan toute ma vie sans que les problèmes de sentiment viennent s'y mêler. Surtout au sein d'une université. Pourquoi avec Jamie tout s'était parfaitement déroulé ? Tout simplement parce que nous étions seuls face à tous, que nous vivions l'un pour l'autre, que personne d'autre ne pouvait entrer dans notre bulle. Nous étions seuls, amoureux mais nous ne le savions pas encore, nous étions vulnérables. Je l'avais compris à la mort de Jamie. Mais avec Jayan alors ? Tout était trop différent. Nous vivions avec les gens de l'université, au milieu d'un flot de visages qui faisaient partis de nos vies. Nous avions nos habitudes et nos secrets, et je le savais pour le voir beaucoup autour de moi, l'amour était dur à être préserver au milieu de cet environnement dangereux alors je préférais pouvoir compter sur notre grande amitié pour que rien ne change entre nous. Malheureusement même là, l'amitié pouvait être difficile à tenir. L'université, je la représentais un peu comme une arène dangereuse où tous nos gestes étaient épiés et où un faux pas pouvait par des rumeurs ou autre, nous faire trépasser. Je regardais alors Jayan et j'avais peur. De le perdre et j'avais peur de ces sentiments qui se bousculaient en moi quand je le regardais. J'avais envie de l'embrasser, de me donner à lui. Mais j'avais déjà vécu tout ça et je savais à quel point tout pouvait être si compliqué ... Je lui souris en fin à ses réflexions. Un sourire plus triste qu'autre chose. Je savais que rien n'était finit et qu'il faudrait du temps pour pouvoir gommer ces dernières années mais nous avions tout notre temps à présent ... J'avais seulement peur que le monde dans lequel nous vivions vienne tout foutre en l'air ... Alors, sans m'y attendre, il m'attrapa et me fit basculer et en l'espace de deux secondes, il se retrouva au-dessus de moi, mes poignets dans ses mains pour que je ne puisse le repousser. Je ris sous la surprise et le regarda avec un grand sourire pendant qu'il me parlait :
Sans moi ? Probablement rien. Je me demande même comment tu as pu survivre pendant mon absence ! J'eus un sourire mais fond je ne contrôlais plus rien. Son visage si près du mien et ses mains qui me relâchèrent alors pendant que son visage se rapprochait. Je ramena mes mains le long de son coup en une légère caresse pendant qu'il embrassait mon visage et se fut comme si le temps s'était arrêté. Je ferma les yeux pour apprécier ce moment. Enfin il se repoussa sur le coter et je me tourna aussi pour lui faire face. Je le regarda longuement, il avait raison et j'aurais dû l'écouter. Mais je ne pouvais pas. J'aurais dû écouter ma conscience et ma peur qui paralysait une partie de mon cerveau mais je n'en faisais rien, j'écoutais mon instinct qui me poussait toujours à réagir d'une manière inattendue et j'écoutais peut-être aussi l'alcool dans mes veines qui continuait à amenuisée mais qui était toujours présent. J'allais peut-être le regretter qui sait, je n'en savais rien. Je me rapprocha de lui, et posa ma main dans sa nuque pour la caresser faisait glisser quelques mèches de ses cheveux entre mes doigts et lui sourit. J'approcha enfin mon visage du sien, je n'étais plus qu'à quelques centimètres. Mon cerveau me criait d'arrêter mais je ne l'avais jamais écouté. Il aurait peut-être mieux fallut que je m'arrête à temps. C'était ça la différence entre Jayan et moi. Il savait s'arrêter. Moi non. Alors que j'allais déposer mes lèvres contre les siennes, je les décala et les posa à la commissure des siennes.
Tu vois, toi par contre, je vois que tu n'arrives toujours pas à dire non aux jolies filles, qu'est-ce que je ferais si tu me remplaçais par l'une d'elles ? Je faisais mine que mon baiser glisser au creux de ses lèvres n'avait été qu'un test pour lui retourner sa réflexion néanmoins, je me forçais pour ne pas l'embrasser vraiment et lui montrer à quel point il m'avait manqué...
Le code règlement:
→ okey by dy'
Dernière édition par Valentina S. McAllistair le Dim 30 Sep - 16:50, édité 11 fois
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Sujet: Re: VSM "elle a le charme du diable" Dim 30 Sep - 2:12
Bienvenue parmi nous Tu fais un heureux
N'hésite pas si tu as besoin
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Sujet: Re: VSM "elle a le charme du diable" Dim 30 Sep - 2:14
Merci ^^
J'espère bien
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: VSM "elle a le charme du diable" Dim 30 Sep - 2:16
Oh oui que je suis heureux !
Mon cœur a fait un tour sur lui-même quand j'ai vu le pseudo alors déjà BIENVENUE ! et ensuite MERCI de tenter ce scenario qui me tient énormément à cœur ! J'espère vraiment que tu te plairas ici et surtout avec ce rôle. En tout cas, si tu as la moindre question, n'hésite pas, et même si tu n'as pas de question, n'hésite pas non plus à me contacter.
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Sujet: Re: VSM "elle a le charme du diable" Dim 30 Sep - 2:26
Oh gosh, ce qu'il est beau quand même
Brefons, j'adore le scénario et j'ai énormément d'idées pour le personnage ^^ En ce moment, avec la fac j'ai beaucoup de travail mais je vais essayer d'être le plus présente possible
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Sujet: Re: VSM "elle a le charme du diable" Dim 30 Sep - 2:30
Ouais mais Ginta quoi..
Je comprend tout à fait, les emplois du temps ne sont pas toujours simples, j'ai été en fac un jour aussi. En tout cas, j'ai hâte de lire ta fiche et de voir tes idées à l’œuvre. Et par la suite, RP. En tout cas, n'hésite pas, perso je suis beaucoup sur la CB si tu as un truc à demander, ou par MP.
et si je vais tenter de ne pas te harceler.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: VSM "elle a le charme du diable" Dim 30 Sep - 2:37
Oui, tu me diras ce que tu penses de la manière dont je tournerais les choses ^^
Mais j'attends que ça moi, le harcèlement
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Sujet: Re: VSM "elle a le charme du diable" Dim 30 Sep - 2:39
Bienvenue
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Sujet: Re: VSM "elle a le charme du diable" Dim 30 Sep - 3:12
Bienvenue parmi nous Excellent choix de scénario
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Sujet: Re: VSM "elle a le charme du diable" Dim 30 Sep - 8:33
hunter est doué dans le harcèlement
bienvenuue excellent choix de scénario & ginta lapina la belle
bref, bon courage pour ta fiche (:
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Sujet: Re: VSM "elle a le charme du diable" Dim 30 Sep - 10:49
Excellent choix de scénario Bienvenue parmi nous & courage pour ta fiche :brigitte:
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Sujet: Re: VSM "elle a le charme du diable" Dim 30 Sep - 11:10
GINTA LAPINA + VALENTINA. Excellent choix de scénario. Bienvenue parmi nous & bon courage pour ta fiche.
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Sujet: Re: VSM "elle a le charme du diable" Dim 30 Sep - 11:40
Bienvenue!
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Sujet: Re: VSM "elle a le charme du diable" Dim 30 Sep - 11:40
Bienvenuuuuue !!
Bon courage pour ta fiche !
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Sujet: Re: VSM "elle a le charme du diable" Dim 30 Sep - 12:07
Bienvenue sur le forum et bonne fiche à toi!
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Sujet: Re: VSM "elle a le charme du diable" Dim 30 Sep - 12:35
bienvenue sur le forum
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Sujet: Re: VSM "elle a le charme du diable" Dim 30 Sep - 12:38
Welcome, beauté
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Sujet: Re: VSM "elle a le charme du diable" Dim 30 Sep - 12:53
bienvenue sur nycl
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Sujet: Re: VSM "elle a le charme du diable" Dim 30 Sep - 14:25
Bienvenue sur NYCL toi
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Sujet: Re: VSM "elle a le charme du diable" Dim 30 Sep - 14:35
Merci à tous
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Sujet: Re: VSM "elle a le charme du diable" Dim 30 Sep - 18:21
Bienvenue.
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Sujet: Re: VSM "elle a le charme du diable" Dim 30 Sep - 20:22
A l'attention des admins, la fiche me convient !
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Sujet: Re: VSM "elle a le charme du diable" Dim 30 Sep - 20:33
Validée !
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Katerina M. Lehtonen
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Sujet: Re: VSM "elle a le charme du diable" Dim 30 Sep - 21:00
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Sujet: Re: VSM "elle a le charme du diable"
VSM "elle a le charme du diable"
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