Sujet: CLARENCE Ϟ Comme un air de déjà-vu Jeu 27 Sep - 0:25
FEAT. ZACHARY QUINTO
Clarence Owen JACOBS
34 ans → Né à New-York le 18/05/1978 → Gentleman cambrioleur célibataire → homosexuel → membre des REBELS.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Il parle couramment l'anglais, le portugais et l'espagnol. Il a appris les deux dernières durant son séjour de dix ans au Brésil. → Clarence Jacobs est une fausse identité qu'il a pris avant de revenir aux Etats-Unis afin d'échapper aux forces de l'ordre et empêcher Mike de le retrouver trop facilement. → Malgré tous les dangers qu'il a dû affronter, il n'a gardé que peu de séquelles de ses aventures → Il avait autrefois un M tatoué sur le poignet mais il l'a fait retiré quelques mois après avoir fui les Etats-Unis. → Sa mère étant atteinte de la chorée de Huttington, une pathologie génétique incurable, il a une chance sur deux d'être également malade. Cependant, il s'est toujours refusé à faire le test qui pourrait lui donner confirmer cela. → Il est atteint d'une légère myopie, et porte systématiquement des lunettes pour aller au cinéma ou lire. → Il conserve une vieille photo de Mike et lui. C'est d'ailleurs le seul souvenir qu'il lui reste de son ex. → Plus jeune, il était complexé par l'épaisseur de ses sourcils. Ce n'est plus le cas désormais, il est même persuadé que ça lui ajoute un charme supplémentaire (et il a bien raison :p) → Outre la tenue noire qu'il porte pour ses cambriolages, Clarence a une large panoplie de vêtements (débardeurs, chemises, pantalons colorés, jeans ...). Difficile donc de lui coller un style particulier. → Il porte souvent un long manteau noir qui peut donner l'impression d'une cape et qui le rend étrangement sexy.
★Quel est le caractère de ton personnage? → Difficile de savoir par où commencer quand il faut résumer la personnalité de Clarence. Enfin Leaf ... Vous voyez ça devient déjà difficile à suivre. Passons ce changement d’identité et attaquons nous à ses qualités. Ne vous inquiétez pas, cela ne sera pas bien long, par contre pour ses défauts, je ne peux rien vous promettre. D’abord, c’est quelqu’un qui se décourage difficilement. Il ne baisse jamais les bras et ce, malgré les obstacles qui lui barrent la route. Du coup, il est souvent obliger de recourir à des méthodes douteuses voire carrément malsaines pour obtenir ce qu’il veut. Très fier, il ne plie devant rien ni personne, et n’hésite pas à vendre père et mère pour se sortir d’un mauvais pas. Le sacrifice, il a déjà donné dans son adolescence, et cela n’a pas vraiment payé. Charismatique et manipulateur, il sait y faire pour mettre tout le monde de son avis, même les plus récalcitrants. Et à la moindre résistance, un bon flingue suffit à réaffirmer sa supériorité. Plutôt joueur, il aime mettre la patience de ses amis et encore plus celle de ses ennemis à l’épreuve, de quoi vous rendre complètement parano. Toujours le mot pour rire, il faut cependant se méfier de sa langue mielleuse, il n’en demeure pas moins une personne dangereuse et impitoyable. Profondément athée, il emmerde royalement la religion, la spiritualité et toutes les bigotes qui voudraient lui faire entendre raison. En amour, il s’attache très vite aux garçons mais le montre très peu, du moins en dehors de la couette. Pas très à l’aise avec les marques d’attention en public, il les compense par des regards langoureux qui valent bien mille baisers.bla
Well... It's my story...
Bien que ce soit difficile à croire en voyant Clarence si à l’aise dans les allées de New-York, le beau brun est en réalité originaire du Milwaukee, la plus grande ville du Wisconsin. Bien moins glamour que la grosse pomme, cette ville eût néanmoins le mérite d’être son foyer durant une grande partie de sa vie. Il vivait avec sa mère dans une jolie maison dans le centre-ville. Ses parents ayant divorcés quelques mois après sa naissance, deux mains suffisent amplement pour compter le nombres de fois qu’il vit son père. Aussi difficile qu’elle puisse sembler , cette situation ne faisait absolument pas souffrir Leaf, car tel était son prénom à cette époque. Bien au contraire même, il était très heureux d’avoir sa mère rien qu’à lui. Maîtresse d’école, elle avait toujours aimé s’occuper des enfants, et son fils unique devint tout de suite son principal centre d’intérêt, l’œuvre de toute sa vie. Période bénie, l’enfance de Leaf représente pour lui des années de pur bonheur qui s’obscurcirent malheureusement trop vite par de terribles évènements.
Il devait être âgé de treize ans tout au plus lorsque les médecins diagnostiquèrent à sa mère une chorée de Huntington. Une maladie neurologiques encore incurable à l’heure actuelle entraînant une dégénérescence progressive des fonctions mentales et physiques. Les premiers troubles se manifestèrent par des légers tremblements des mains, des paupières qui se mettaient à cligner successivement sans vouloir s’arrêter. Rien de grave jusque-là penserez-vous, sauf que ces troubles s’accumulèrent et d’aggravèrent avec les années. Ce n’était bientôt plus seulement physique mais psychologique. Observer sa mère adorée mourir à petit feu rendait Leaf complètement cinglé. Plus les années passaient et plus sa mère semblait effacée et apathique, comme si elle n’avait plus conscience de rien. Quelques rares fois cependant, il lui semblait qu’elle retrouvait un peu de sa lucidité. Il lui parlait alors du lycée, des filles et de tout ce qui constituait sa vie d’adolescent. Adolescent justement, il ne l’était plus vraiment. Les courses, les trajets à l’hôpital, le ménage, la cuisine, toutes ces tâches étaient devenues son quotidien et jamais quiconque ne l’avait entendu se plaindre. En même temps, personne ne passait jamais à la maison. Il était trop occupé pour avoir des amis.
Morte dans son sommeil, c’était ce que le médecin avait conclu en auscultant une dernière fois le corps de Mlle Richardson. Pourtant, Leaf avait encore en tête le souvenir encore frais de ses mains écrasant violemment un oreiller sur le visage inerte de sa mère. Cette dernière n’avait même pas montré l’ombre d’une résistance. Elle avait gémi faiblement avant de se taire et laisser l’asphyxie et l’inertie la terrasser. Ce crime matricide était le dernier cadeau qu’il pouvait faire à la femme de sa vie avant qu’elle ne devienne totalement un légume. Il vendait la maison, dernier vestige de son passé, un mois plus tard et partait pour New-York. Il avait été reçu dans une modeste école d’infirmiers où, une fois diplômé il aurait la chance de venir en aide à d’autres malades, la seule chose en laquelle il était doué. Enfin, il y avait ça et ... le sexe. Débarrassé du carcan familial (ou ce qu’il en restait), le petit garçon coincé du Milwaukee découvrait enfin les joies d’une sexualité décomplexée. Sa chambre d’étudiant était devenu une garçonnière où les partenaires de jeux changeaient continuellement. C’est dans ce petit paradis lubrique qu’un beau jour vint se pointer Mike Spencer. Un garçon de peu son cadet, beau comme un dieu, et aussi peu recommandable qu’on peut l’être. Ce fut le premier vrai amour de notre héros et peut-être même le seul. Ce fut lui qui planta la graine vice dans le coeur de Leaf, et dieu que le terrain était fertile. Le triste infirmier devint bientôt un voleur confirmé qui jouait à Bonnie et Clyde en chaude compagnie dans les résidences chics des beaux quartiers. Cette idylle un peu étrange dura quatre belles années remplie de forfaits en tous genres qui eurent le mérite de ne jamais faire couler la moindre goutte de sang. A moins bien sûr que l’on ne fasse pas abstraction de leur dernier coup. Le propriétaire de la maison qu’il étaient entrain de dévaliser débarqua plus tôt que prévu et menaça d’appeler la police. Il sortit son téléphone portable, composa le numéro d’urgence devant un Mike complètement désemparé. N’appréciant que moyennement les menaces, Leaf, prit d’un réflexe soudain vida le chargeur de son flingue sur ce dernier alors qu’il terminait de donner l’adresse aux forces de l’ordre. Rassemblant le butin, Leaf se préparait à mettre les voiles et demanda à son amant de le suivre rapidement. Stoïque, ce dernier contemplait le macchabée avec un air vide qui rappelait à Leaf celui de sa mère dans ses derniers jours. Bientôt les sirènes de police retentirent autour d’eux et s’enfuit discrètement par la porte de derrière sans se retourner.
Abandonnant son prince charmant à son sort, Leaf trouva refuge au Brésil où sa carrière de hors-la-loi prit un nouveau tournant. Après deux meurtres à son actif, il ne voyait pas d’inconvénient à en commettre d’autres, surtout si cela lui permettrait de gagner du galon. Il commencer à créer son propre réseau criminel pillant sans relâche les braves gens de la haute société. Accumulant succès et fortune, Leaf devint rapidement un des parias les plus détestés du Brésil. Le casse d’un musée d’arts ne se déroule pas comme prévu et plusieurs de ses hommes se font capturer par les forces de police. Comprenant tout le danger de la position dans laquelle il se trouvait, il prit la poudre d’escampette emportant avec lui le strict nécessaire. J’entends par là près d’un million de dollars en liquide ainsi que son mec du moment, un superbe brésilien du nom d’Ephraim qu’il a prit sous son aile (ainsi que dans tout son ancien loft soit dit en passant). Il s’offre également une nouvelle identité et devient Clarence Owen Jacobs au cas où le FBI serait encore sur ses traces.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Ruben, 22 ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → Via Bazzart. ★Ce personnage est-il un double compte ? → Nop. ★Présence sur le forum → 5 jours sur 7 minimum. ★Personnage inventé ou scénario ? → Scénario. ★Crédit images → Shiya.
Mon exemple de RolePlay:
→ La chaleur de la nuit posa lourde patte sur le sommeil fragile de Lazar. Le garçon résista une heure, peut-être deux mais finit par s’échapper du maléfice lancé plus tôt par le marchand de sable. Depuis qu’il avait quitté la Russie, il était sujet à des insomnies chroniques qui ne se lassaient pas de venir le torturer. Comme une chatte silencieuse, le garçon glissa hors de son lit douillet et se faufila dans la cuisine. En chemin, il referma précautionneusement la porte de la chambre de Colton, l’ours qui lui servait de colocataire. Le colosse dont la nudité recouverte d’un drap blanc, avait les sourcils légèrement froncés. Sans doute faisait-il un rêve désagréable, mais Laz’ se garda bien de l’en soustraire. Après la scène qu’il lui avait faite la veille, cela lui ferait les dents.
Une fois arrivé à destination, la pornostar s’arrêta devant l’évier, se pencha en avant et but quelques lapées d’eau rafraichissantes. Qu’allait-il faire maintenant qu’il était debout ? Essayer de se rendormir ? C’était peine perdue... Une fois ses yeux ouverts, il lui était impossible de rejoindre le berger Morphée et ses moutons rêveurs. Tandis qu’il réfléchissait à quoi s’occuper, un moustique entra discrètement dans l’appartement en passant par le fenêtre entrouverte. Attiré par l’halogène traître accroché au plafond, l’insecte se mit à bourdonner pour rejoindre cette lumière plus salutaire qu’il ne pouvait l’imaginer. Le vrombissement de ses ailes était si fort que Lazar crût d’abord qu’une moto venait de traverser l’allée à toute vitesse. Il finit par repérer le suceur de sang en fronçant les sourcils. Ni une ni deux, il attrapa un torchon et fouetta l’air tel un dresseur de fauves en pleine représentation. Le culicidae, assommé, tourbillonna doucement vers le sol où un châtiment rapide mais douloureux l’attendait. Il eût beau remuer ses affreuses petites pattes dans tous les sens, ses protestations demeureraient vaines. Sans plus de cérémonie, Lazar acheva sa victime d’un coup de talon impitoyable puis se débarrassa du corps.
« - Il ne peut y avoir qu’un suceur dans cette maison. Désolé ma poule ! » confia-t-il à la dépouille qui gisait maintenant dans la poubelle.
Maintenant qu’il était désaltéré et débarrassé du nuisible, notre héros se sentait bien l’envie de faire un petit tour dehors. Il s’imaginait mal regarder la télé à cette heure. On y passait que de la merde dans ces créneaux horaires, ce n’était même pas la peine d’y penser. Laissant son côté aventurier décider pour lui, l’ancienne superstar s’habilla en vitesse en composant sa tenue des premiers vêtements qui lui tombaient sous la main. De toutes manières, leur rue n’était pas suffisamment éclairée pour que quelqu’un s’aperçoive que les couleurs qu’il portait juraient les unes avec les autres. Et puis d’ailleurs, y avait-il seulement quelqu’un d’autre dehors de suffisamment fou pour quitter son nid chaud et confortable pour l’hostilité inquiétante du monde de la nuit ?
A peine eût-il fait quelques pas hors de l’immeuble où ils vivaient, Cole et lui, qu’un frisson glacé parcourut son dos caressant le haut de son échine puis glisser jusqu’au bas de son dos. Les poils de ses avant bras et ceux des ses jambes se dressèrent tout à coup comme si Lazar révélait enfin sa véritable nature : mi-homme mi- hérisson. Il passa les paumes chaudes de ses mains sur ces régions dépourvues de protection face à la fraicheur inattendue de la soirée. A force de travailler depuis son appartement, le garçon avait du mal à évaluer la température extérieure. Il portait un short rouge usé par des centaines de lavages ainsi qu’un débardeur sans manche violet trop grand. Il avait piqué ce dernier vêtement à Colton qui n’avait jamais osé sortir avec.
Comme il l’avait prédit, il n’y avait pas un rat dehors. Le calme qui régnait sur Jackson Square n’avait pourtant rien d’apaisant et de tranquille. Au contraire, ce silence était angoissant, c’était celui qui précède le dénouement sanglant des films d’horreur, la seconde avant ce qu’une pauvre ingénue se fasse ouvrir le ventre par un immonde psychopathe. Lazar se hâta de rejoindre sa voiture. Le vieux moteur de la Ford sembla tousser à plusieurs reprises avant de pousser le puissant vrombissement qu’il produisait lorsqu’il était enfin opérationnel. La citadine se dégagea sans difficulté de l’emplacement où elle avait été garé puis fila à vive allure vers Broadmoor. A la Nouvelle-Orléans, personne n’ignorait la réputation de ce coin de la ville. Là-bas, l’ambiance était certainement plus agitée que dans les ruelles sages du quartier français. Tout ce que le jeune homme espérait, c’était ne pas tomber sur un de ses « fans ». Vu les shows qu’il donnait sur Internet, on aurait vite fait de lui coller une étiquette de garçon facile voire de pute ce qui n’était franchement pas le cas. Entre montrer son cul et le vendre, il y avait une nuance de taille. Nuance qu’un vicelard en rut pouvait avoir du mal à comprendre.
« - Putain ! » fit Lazar en se remettant debout.
A peine venait-il de se garer et sortir de son épave qu’un drôle d’oiseau lui fonça dessus. Lui qui voulait de l’action, le voilà servi. Ce n’est qu’une fois qu’il se retrouva à nouveau perché sur ses deux guiboles que le russe remarqua que son interlocuteur était encore moins habillé que lui. Tandis que l’inconnu se confondait en excuses, Lazar lui, dévorait du regard cette chaude apparition. Qu’est-ce qu’un homme à poil pouvait bien faire dans le coin le plus chaud de la ville ? Une question auquel l’esprit de Lazar s’empresserait de trouver une réponse une fois qu’il aurait terminé de baver.
« - J’adore ta tenue en tous cas, faudra que tu me donnes l’adresse de la boutique où tu t’habilles ! » ironisa-t-il sans méchanceté.
Le code règlement:
→ Let's go Knicks
Dernière édition par Clarence O. Jacobs le Dim 7 Oct - 19:40, édité 6 fois
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Sujet: Re: CLARENCE Ϟ Comme un air de déjà-vu Jeu 27 Sep - 0:30
Bienvenuuuuue ex-chouchou d'amooooouuur :10: Et bon courage pour ta fiche ! Comme je te l'ai déjà dit, ma boîte mp est ouverte
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: CLARENCE Ϟ Comme un air de déjà-vu Jeu 27 Sep - 0:31
Bienvenue à toi & bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: CLARENCE Ϟ Comme un air de déjà-vu Jeu 27 Sep - 0:48
bienvenuue
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Sujet: Re: CLARENCE Ϟ Comme un air de déjà-vu Jeu 27 Sep - 0:50
ZACH QUINTO. Ca me déprimait qu'il y en ait pas un ici. Excellent choix d'avatar. Bienvenue parmi nous et bon courage pour ta fiche.
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: CLARENCE Ϟ Comme un air de déjà-vu Jeu 27 Sep - 1:40
Bienvenue sur le forum et bon courage pour ta fiche
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Sujet: Re: CLARENCE Ϟ Comme un air de déjà-vu Jeu 27 Sep - 8:38
Bienvenue parmi nous N'hésite pas si tu as besoin
Cheyenne L. Pearson
Empire State of Mind
if you're going through hell, KEEP GOING.
▌INSCRIT LE : 14/01/2012
▌MESSAGES : 5706
▌AGE DU PERSO : 25
▌ADRESSE : 2515 Lexigton Avenue #402; Manhattan.
▌CÉLÉBRITÉ : Freida Pinto.
▌SMALL IDENTITY PHOTO :
Sujet: Re: CLARENCE Ϟ Comme un air de déjà-vu Jeu 27 Sep - 10:09
Bienvenue chez nous
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Sujet: Re: CLARENCE Ϟ Comme un air de déjà-vu Jeu 27 Sep - 10:13
Bienvenue, excellent choix de scénario! =)
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Sujet: Re: CLARENCE Ϟ Comme un air de déjà-vu Jeu 27 Sep - 10:37
Bienvenue & courage pour ta fiche
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Sujet: Re: CLARENCE Ϟ Comme un air de déjà-vu Jeu 27 Sep - 11:08