Sujet: I would have loved you all my life. MAXENCE Ven 5 Oct - 14:04
FEAT. COLTON HAYNES
Maxence Sasha Kingsley
21 ans → Né à New York le 16/03/1991 → Professeur de musique fiancé → hétérosexuel → membre des Rebels.
And who am i ?
★Quelles sont tes caractéristiques? → Maxence n'aime guère parler de lui. Son passé, il ne l'aborde jamais, ou bien uniquement avec les gens qui lui sont particulièrement proches. Sans doute, car il lui est trop douloureux de se remémorer en public les souvenirs qu'il a avec ses parents. Il lui est toujours bien douloureux de ne faire que penser à eux, hors il ne se passe pas un jour sans qu'il le fasse. - Il n'est pas du genre à multiplier les couches de vêtements quand le vent se lève. A l'inverse, il a facilement chaud et, détestant cette sensation désagréable, il ne se couvre jamais beaucoup. - Depuis le décès de ses parents, il a perdu contact avec tous les membres de sa famille. Son frère aîné, il ne l'a guère vu depuis qu'il a atteint sa majorité. Il a l'impression de ne plus avoir de famille, sa fiancée demeure la sienne à présent. - Il n'a jamais été démonstratif et aurait même tendance à repousser les gens de façon générale. Peu-être, car la perte brusque de ses deux géniteurs l'a totalement chamboulé, au point qu'il ne parvient guère à envisager de s'attacher à de nouvelles personnes dans sa vie. Il aurait trop peur de n'avoir ne serais-ce que la vague sensation de perdre ses parents une deuxième fois. - Sa couleur préférée est le bleu. - Il a tendance à tout perdre, il faut dire qu'il n'a jamais été très doué pour le rangement. Il se complait dans son bordel bien qu'il fasse quelques efforts depuis qu'il s'est engagé auprès d'une jeune femme. - Enfant, il était plutôt peureux. Le fait de s'endormir était périlleux en soit pour lui. Aujourd'hui encore, il peine souvent à trouver le sommeil. - Il n'accorde que très difficilement sa confiance aux autres. - Il fait du sport depuis des années, cela lui a toujours permis de se vider la tête. Après le décès de ses parents, il avait davantage besoin de cela que jamais. - Il est très amoureux, tout se résume à elle pour lui. - Il est fidèle et constant. Quand il aime, il aime vraiment, en revanche quand il n'aime pas... Il n'aimera sans doute jamais. Buté ? Si peu...
★Quel est le caractère de ton personnage? → Par le passé, il était le bon fils. Couvé depuis sa naissance par ses deux parents, il demeurait légèrement égoïste, car habitué à avoir tout ce qu'il désirait, mais ce défaut n'a jamais pesé dans la balance contre ces qualités. Avant le décès de ses parents, Maxence était un enfant, légèrement embarrassé par les démonstrations d'affection de ses géniteurs, mais également proche de ces derniers. Il se défoulait déjà dans le sport, mais demeurait sociable et toujours ouvert à la discussion. Il adorait parler, peu-être même un peu trop, car il devenait ardu de le faire taire, son besoin d'avoir raison étant omniprésent. Depuis qu'il a perdu ses parents, Maxence s'est fermé aux autres. Il est devenu plus superficiel, gommant ses qualités au profit de l'apparition de nouveaux défauts. Les discussions auxquelles il participe, il y porte bien moins d'intérêt et son sens de la répartie demeure plus prononcé que jamais. Sa façon d'agir, le timbre de sa voix même, a changé. Il tâche de se démarquer de tout ce qui l'accroche à son passé, mais sans grand succès. Il y revient toujours. Sa façade froide, nouvelle facette de lui-même n'a rien de bien sincère : il est tout simplement blessé. Blessé par la vie, par la perte de personne sur lesquelles il avait l'habitude de s'appuyer pour remonter la pente quand les choses prenaient des tournures difficiles. Il se sent seul, bien qu'il ne doute désormais plus d'avoir trouvé la bonne fille. Il a perdu ses parents bien trop tôt, quand il avait toujours vraiment besoin d'eux. Maxence est également une personne très rancunière et déterminée à parvenir à ses fins, à atteindre tous les objectifs qu'il se fixe. Quand il se déçoit, le monde s'effondre autour de lui. Il peut paraître très sur de lui en apparence, mais il n'a jamais eu une très grande confiance en sa propre personne.
my little secret
★Ton prénom ou ton pseudo & ton age → Lilly, dix-sept ans. ★Comment es-tu arrivé(e) ici ? → via bazzart. ★Ce personnage est-il un double compte ? → non. ★Présence sur le forum → bonne. ★Personnage inventé ou scénario ? → scénario d'Oksana. ★Crédit images → avatar par shattered, gif(s) provenant de tumblr.
Mon exemple de RolePlay:
→ Poster ici un rp que vous pourrez utiliser plus tard comme premier rp sur le forum, ou bien un ancien rp écrit par votre main. L'exemple de RP doit avoir un minimum de 15 lignes complètes, comme demandé sur le NYCL.
Le code règlement:
→ Let's go Knicks.
Dernière édition par Maxence S. Kingsley le Sam 6 Oct - 10:10, édité 29 fois
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: I would have loved you all my life. MAXENCE Ven 5 Oct - 14:05
Well... It's my story...
Je ne serais pas à la maison pour le diner ce soir, alors ne faites pas n'importe quoi souffla Madame Kingsley en entrant dans la cuisine, un vieux roman dont les pages étaient jaunies à force d'avoir été tournées dans la main. Elle avait relevé sa chevelure éclaircie par les dernières vacances familiales au soleil en un chignon strict dont s'échappaient cependant quelques mèches rebelles. Maxence fronça les sourcils tout en attrapant une tranche de pain dans l'assiette posée au centre de la table. Il jeta un regard en biais à son père qui sirotait un café, tâchant avec celui-ci les feuilles du journal qu'il lisait distraitement depuis une bonne dizaine de minutes. Maxence avait toujours pensé que ses parents étaient radicalement opposés. Sa mère était une femme indépendante, très maternelle et soignée, là où son père ressemblait parfois à un grand gamin, capable de s'extirper de son lit un matin avec l'envie de recommencer une nouvelle vie. Emma Kingsley adorait conter à son fils le récit de sa rencontre avec son père, tant et si bien que ce dernier s'était mis à éviter le sujet, las de cette histoire. Maxence roula des yeux à la remarque de sa mère. Elle leur parlait comme à des gamins. Il suivi rapidement sa mère des yeux tendis qu'elle se versait une tasse de café qu'elle commença à boire à grand trait, visiblement résolue à ne pas perdre de temps autour de la table du petit déjeuner. Une fois son café fini, elle lava rapidement sa tasse puis reprit sa marche, le cliquetis de ses talons raisonnant sur le carrelage. Elle s'arrêta entre deux de ses hommes. Je file mes amours dit-elle d'un ton jovial. Elle s'approcha de Maxence qui s'apprêtait à se lever lui aussi et vint le couper dans son élan. Bonne journée mon lapin lança t'elle avant de déposer un baiser plein de tendresse sur son front. Elle alla ensuite embrasser son époux puis quitta la pièce. Quand elle fut sortie, Maxence poussa un bref soupire. Son père eu un bref soupire puis son rire raisonna dans la pièce, faisant lever la tête de son fils. Ta mère. Qu'est ce qu'on ferait sans elle ? Demanda-t-il. Maxence haussa légèrement les épaules tout en terminant une de ses tartines. Beaucoup de choses, j'imagine répondit-il, esquissant à son tour l'ébauche d'un sourire. Dans cette maison, sa mère était celle qui posait les multiples barrières. On aurait put dire qu'elle encaissait le rôle de la méchante avec son fils, mais ce dernier ne le percevait pas vraiment ainsi. Il écarta devant lui les restes de son petit-déjeuner puis se leva à son tour. J'y vais aussi, bonne journée papatoi aussi mon grand.Quelques heures plus tard. Les mots lui manquaient. Il ne digérait rien de ce qu'on tentait de lui faire assimiler. Comment l'aurait-il put ? Tout semblait irréel, le poussant à croire qu'il ne s'agissait que d'une vaste blague. Des adultes, discutant entre eux, son frère, fraîchement arrivé, le regard vitreux, sa chevelure blonde en bataille. Le coeur noué, Maxence l'observait. Il ne l'avait jamais vu ainsi. Son frère avait toujours provoqué un certain sentiment de jalousie en lui. Il semblait si sûr de lui, indépendant, bourré de charisme. Aujourd'hui cependant, il semblait simplement nerveux. Il repassait sans arrêt une de ses mains dans sa chevelure, geste qu'il reproduisait en boucle lorsqu'un malaise le gagnait. Soudain, tout le monde cessa de parler. L'aîné des Kingsley porta un regard bouleversé sur son frère, comme s'il prenait à présent conscience de sa présence. Maxence soutint son regard et se sent sur le point de fondre en larmes, envie qu'il dut retenir, serrant les poings pour la faire disparaître. Son frère laissa retomber une main tremblante sur son épaule. Je n'arrive pas à y croire... Murmura-t-il d'un ton bien bas. Il semblait ne s'adresser qu'à sa propre personne. Ses doigts se crispèrent sur le vêtement de son petit frère puis, après avoir poussé un léger soupire, il fit volte face et se baissa doucement, déposant les paumes de ses mains sur les genoux de son frère. Max, ça va aller, d'accord ? Ca va aller pour nous deux répondit-il d'une voix qui manqua pour la première fois d'assurance aux yeux de son frère. Celui-ci craqua brusquement. Les larmes refoulées jaillirent et, doucement, les bras de l'aîné se fermèrent autour de Maxence, dans un geste protecteur.
Ralentis, tu veux ? Mec, ralentis ! Maxence émit un sifflement d'exaspération tout en commençant péniblement à piétiner sur place. Quelques instants plus tard, son ami le rejoignit. Son visage était rouge et il se pencha, mettant ses mains sur ses genoux, reprenant son souffle. Je ne sais pas il secoua la tête pour souligner son désarrois, comment tu fais. En guise de réponse, Maxence haussa les épaules, ne sachant que dire. Il pratiquait le sport depuis des années, il ne s'était pas passée une année depuis sa première rentrée à l'école sans qu'il s'y adonne. Le sport demeurait un échappatoire, de plus, le pratiquer lui apportait une fatigue bonne, apaisante à vrais dire à son goût et qui lui permettait de s'endormir avec facilité. Si une journée se passait sans qu'il court, qu'il fasse quoi que ce soit pour se dépenser, il lui était pratiquement impossible de trouver les sommeils avant des heures impossibles. Sans doute pensait-il beaucoup trop. Hors, quand il courrait, il ne pensait à rien, si ce n'est allé plus vite encore. Et ce sentiment lui plaisait, il en était devenu dépendant. Tu ne cours pas aussi vite d'habitude, ou alors je me ramollis. Renchérit son ami. Il secoua la tête, pensif, toujours essoufflé par la course. Maxence resta immobile quelques instants. Il ne trouvait plus ses mots. Depuis quand Maxence Kingsley ne parvenait-il plus à s'exprimer ? Ca doit être toi dit-il enfin d'une voix évasive. On y va lança t'il, la détermination persistant dans sa voix, accompagnée d'une vague lassitude. Il entendit son ami ronchonner derrière lui, puis recommencer à courir. Lui était déjà devant, courant instinctivement aussi vite qu'il le pouvait. Il ne savait guère où il puisait toute cette énergie aujourd'hui. Intérieurement, il était pourtant exténué. La veille, malgré sa fatigue, confortablement installé dans sa lit, il n'était pas parvenu à s'endormir. Il avait finit par fermer les yeux à une heure bien trop avancée et de plus, son sommeil avait été agité. A cela, une raison pour le moins évidente : déjà quatre ans. Quatre années auparavant, jour pour jour, le cours de Maxence avait été interrompu. On l'avait conduit à l'abris des oreilles indiscrètes, son frère aîné était arrivé paniqué et on l'avait mit au courant qu'à partir de ce moment il n'avait plus de parents, seulement un frère. Alors qu'il courrait, Maxence se retrouva une énième fois plongé dans ce souvenir qui demeurait l'instant le plus douloureux de toute sa vie et totalement perdu dans ses pensées, il bouscula presque une jeune femme. Son meilleur ami le percuta légèrement, le poussant sur le côté. Maxence laissa échapper un petit gémissement de plainte et reprit lentement contact avec la réalité. Désolé, il est intenable aujourd'hui entendu-t-il son meilleur ami justifier la bousculade. Maxence roula des yeux puis vint croiser ceux des deux jeunes femmes. On se connait tous les deux fit remarquer soudain l'une d'elle. Maxence arqua les sourcils puis restitua rapidement ce visage à la jeune fille qu'il avait rencontré peu de temps auparavant. Oui, au concert confirma-t-il simplement. Et puis au café continua-t-elle, sourire aux lèvres. Maxence l'imita. Il n'avait pas sourit depuis le début de la journée et son attitude brusquement plus agréable surprit son ami, qui se le coltinait depuis plusieurs heures. Il le dévisagea brièvement. Maxence l'ignora. Tu voudrais refaire un truc, plus tard ? Enfin, j'ai ton numéro, donc...Et j'ai le tiens l'interrompit-elle. Il hocha la tête. Ils se revirent bel et bien. Il ne le savait pas encore, mais cette jeune femme allait devenir avec le temps la meilleure amie qu'il ai jamais eu, une partenaire pour la vie.
Tu vas lui demander sa main ? Interrogea une faible voix dans le combiné. Maxence fourra une main dans la poche de sa veste. Rapidement, son doigt se posa sur le tout petit paquet. Il caressa avec le dos de son doigt le ruban doré qui fermait la petite boite. Il aurait pu se sentir légèrement offensé par le ton de surprise pris par son frère aîné mais ce ne fut cas. Après leur décès de leurs parents, quand Maxence n'était qu'un gamin de quinze ans, son frère avait dû jouer les parents pour lui. Il n'en avait plus et dut accepter l'idée de n'avoir plus que lui. Leur relation en fut touchée, si bien qu'aujourd'hui, alors que Maxence avait fini par atteindre la majorité et était devenu un adulte, ils ne se parlaient presque plus. Peu-être étaient-ils trop différents pour s'entendre et entretenir une bonne relation fraternelle. C'était ainsi que Maxence le percevait et il se demandait parfois si c'était la même chose pour son frère. Aujourd'hui, il avait cependant décidé de renouer pour quelques minutes. Après tout, il s'apprêtait à faire un saut dans le vide et avait cru important d'aborder un tel sujet avec son unique famille. Oui, je vais le faire répondit-il en sortant sa main de sa poche. Doucement, li la fit glisser sur sa nuque. Quand je pense que je n'ai jamais rencontré ma future belle-soeur Maxence pu le voir arquer ses sourcils et arborer son air pensif depuis l'endroit où il se trouvait. Il eu un petit rire avant de répliquer d'un ton légèrement cassant. Ce n'est pas comme si tu faisais en sorte que cela change un jour fit-il remarquer. Maxence... Commença son frère d'un ton qui annonçait une suite de mots explicative sur tant d'absence de sa part, mais il ne la continua jamais, Maxence ne lui en laissant guère le temps. Non, laisse tombé, je dois te laisser. Maxence coupa l'appel. Comme toujours à la fin d'une conversation avec son frère, il se sentait penaud, puis la vie reprenait son cours. Il n'avait guère le temps de rêvasser aux quelques moments de complicité qu'il avait partagé avec son frère aîné et qu'il ne retrouverait sans doute jamais. Pas aujourd'hui. Oksana ne tarderait plus à rentrer, à vrais dire elle serait sans doute à la maison d'un instant à l'autre. Justement, comme si cette dernière s'était invitée dans ses pensées, il entendit la porte s'ouvrir puis se refermer dans la pièce voisine. Maxence réajusta son blouson tout en tâtant du doigt les contours de la petite boite puis sortit de la pièce pour aller à la rencontre de la jeune femme. Elle se tenait, encore près de la porte, ses chaussures ôtées reposant sur le sol, passant une main dans sa longue chevelure rousse. Salut souffla-t-il de sa voix la plus caressante. Il traversa la pièce pour aller à sa rencontre. Quelques pas suffirent pour qu'il arrive à sa hauteur. L'odeur de son parfum si familier le submergea et il se pencha pour lui donner un baiser. Il enroula un bras autour de sa taille et l'enlaça tendrement avant de laisser reposer sa tête contre son cou, sur lequel il déposa un nouveau baiser. Il resta ainsi, quelques instants. Une main vint ébouriffer sa chevelure. Au cours de sa vie, il avait beaucoup douté et ce à propos de divers sujets. Des sujets sérieux ou ridiculement insignifiants. Ces doutes persistaient durant des heures, l'empêchant de se réfugier dans la sérénité. Mais tout était différent avec elle. Dans ses bras, il atteignait un certain niveau de calme. Il dormait plus paisiblement depuis qu'elle partager ses nuits, se révélait moins désagréable aussi. Oui, il l'aimait. C'était bien là la seule chose dont il ne doutait nullement.
you are the best thing that's ever been mine.
Dernière édition par Maxence S. Kingsley le Sam 6 Oct - 13:11, édité 28 fois
Cheyenne L. Pearson
Empire State of Mind
if you're going through hell, KEEP GOING.
▌INSCRIT LE : 14/01/2012
▌MESSAGES : 5706
▌AGE DU PERSO : 25
▌ADRESSE : 2515 Lexigton Avenue #402; Manhattan.
▌CÉLÉBRITÉ : Freida Pinto.
▌SMALL IDENTITY PHOTO :
Sujet: Re: I would have loved you all my life. MAXENCE Ven 5 Oct - 14:10
ouuuh tu vas nous faire une heureuse très bon choix de scéna ! Bienvenue chez nous
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: I would have loved you all my life. MAXENCE Ven 5 Oct - 14:12
COLTOON :brigitte:
bienvenuuuuee lululu bon courage pr ta fiche
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: I would have loved you all my life. MAXENCE Ven 5 Oct - 14:37
Bienvenue parmi nous Très bon choix de scénario (:
N'hésite pas si tu as besoin
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: I would have loved you all my life. MAXENCE Ven 5 Oct - 15:11
Bienvenue
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: I would have loved you all my life. MAXENCE Ven 5 Oct - 15:14
Bienvenue à toi plus officiellement donc & bon courage pour ta fiche colton
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Empire State of Mind
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Sujet: Re: I would have loved you all my life. MAXENCE Ven 5 Oct - 16:25
Accueil
très bon choix de scéna ! Bienvenue chez nous 
bon courage pr ta fiche
Tu sais pas à quel point je suis heureuse que tu ais pris mon scénario 
Excellent choix de scéna, d'avatar, de tout. 
